 LES SUPPORTS CELLULAIRES DU REFLEXE MYOTATIQUE Ganglion rachidien

Choc sur le
tendon
Choc
,
LES SUPPORTS CELLULAIRES DU REFLEXE MYOTATIQUE
Extension du pied
Jonction neuromusculaire
(plaques motrices)
Substance blanche
de la moelle épinière
Ganglion rachidien
Corps cellulaires des neurones
sensitifs (en T)
Racine ventrale :
Fibres nerveuses des
Neurones moteurs
Racine dorsale :
Fibres nerveuses des
neurones sensitifs
Substance grise
de la moelle épinière
Neurone moteur =
Neurone sensitif =
Sens de circulation du message nerveux
Récepteur sensoriel :
Fuseau neuromusculaire
CT de nerf rachidien :
Nerf mixte
fibre musculaire banale
neurone sensitif
fibre musculaire modifiée
axone du motoneurone
bouton synaptique
plaque motrice
fibres nerveuses myélinisées
(axones)
corps cellulaire du motoneurone
fibres nerveuses sans myéline
Fibre nerveuse (sensitive ou
motrice)
Gaine de myéline
Message moteur
Message sensitif
fibres nerveuses
sensitives
corps cellulaire
de neurone en T

4- Réponse à la problématique :
La percussion du tendon d’Achille en provoquant l'étirement du muscle, engendre une extension du pied, suite à
une contraction musculaire brève. C’est un réflexe myotatique.
Le choc sur le tendon, étire les fibres du muscle et cet étirement stimule le fuseau neuromusculaire qui génère
un message nerveux sur le neurone sensitif auquel il est relié.
Ce message est conduit par le neurone sensitif (neurone en T) via la racine dorsale vers la substance grise de la moelle
épinière. Le message est alors transmis à un motoneurone par l'intermédiaire d’une synapse.
Le message nerveux moteur, emprunte la fibre motrice passant par la racine ventrale d’un nerf rachidien. Le
motoneurone est au contact avec une fibre musculaire au niveau d'une plaque motrice. L'arrivée d'un message
nerveux moteur au niveau de la plaque motrice commande la contraction de la fibre musculaire innervée.
La lésion d’un organe support du réflexe, peut interrompre la propagation du message nerveux, et sera révélée
par l’absence de réflexe myotatique.