Cancérologie 20 pages [1] :A Les facteurs de risques concernent l’adénocarcinome du sein. Les autres histologies sont rares. Facteurs de risques du cancer du sein - antécédents familiaux (mère, tante, soeur) - nulliparité - première grossesse tardive - absence d’allaitement - mastopathies bénignes hypooestrogènie - age supérieur à 40 ans - ménarche précoce - haut niveau socio-culturel - régime riche en graisse. [2] :E Le radium n’est plus utilisé, il est remplacé par le césium, (qui présente beaucoup moins de problèmes de radioprotection). Cependant, le césium comme le radium jadis, est utilisé en curiethérapie,non en radiothérapie métabolique, qui consiste à injecter un corps radioactif dans le sang (32 p 131 I). [3] :C Incidence annuelle environ 80 pour 100.000 années femme. Col : 170/0000 femmes/corps : 20 0/0000 femmes. Mélanome malin : 4 0/0000 habitants. Côlon : 50 0/0000 habitants. [4] :C A - Est un poison du fuseau, alcaloïde de la pervenche B D - Sont des agents alkylants E - Est un agent intercalant, anthracyclique. Le méthotrexate est un antifolique. La classe des antimétaboliques comprend : les antipuriques, les antipyrimidiques, les antifoliques. [5] :C 109 est à peu près égal à 230 (si on considère une cellule initiale puis les divisions de chaque cellule fille), à partir de la détectabilité clinique, il faut 10 temps de doublement pour aboutir à la mort, représentant 1012 cellules soit 1 kg de tumeur. [6] :B La chimiothérapie adjuvante est débutéée après chirurgie ayant enlevée toute masse tumorale. [7] :D Adriamycine : cardiotoxique. Cyclophosphamide : cystites hémorragiques. La prednisone : complications des corticoïdes. Alkéran : est un agent alkylants, moutarde aromatique, dont la toxicité est commune à tous les alkylants: diminution de la spermatogénèse, oncogénèse, toxicité hématologique et digestive. [8] :E La radiothérapie est contreindiquée en cas d’infection, de nécrose tumorale, et d’épanchement pleural volumineux. [9] :BD L’incidence du cancer gastrique diminue dans toutes les parties du globe.! [10] :B Signe classique: hématurie totale isolée, indolore. [11] :D 1 Certains fixent à 3 le nombre de ganglions envahis, audessus duquel le pronostic s’assombrit. Le degré de différenciation (classification de Scarf et Bloom) intervient à un moindre degré. Les tumeurs centrales ou des quadrants internes sont également de plus mauvais pronostic du fait de renvahissement médiastinal potentiel. [12] :B 40% des cas, suivis par le cancer anaplasique à petites cellules : 25%, tous deux liés au tabagisme. Puis, l’adénocarcinome : 20%, le cancer broncholoalvéolaire: 15%. [13] :C Par définition. [14] :D 10% en l’absence des récepteurs. L’hormonothérapie n’est jamais utilisée seule en traitement curatif. [15] :C Ce risque impose: une remise en état bucco dentaire avant le début du traitement, et la prescription de gel fluoré pendant le traitement, appliqué au moyen de gouttières laissées en place pendant environ 1/2 heure par jour. [16] :ABCE A - Atteinte du recurrent gauche, par compression ganglionnaire B - Atteinte du nerf phrénique C - Néoplasique ou réactionnel D - Traduit une compression des bronches proximales entrainant un trouble ventilatoire E - Syndrome de Pancoast Tobias (cancer de l’apex) traduisant un envahissement loco régional [17] :AC Le rôle pronostic des récepteurs hormonaux reste discuté. Néanmoins, leur présence permet de prévoir une réponse à l’hormonothérapie (de 80% si présence de récepteurs à la progestérone et aux oestrogènes). [18] :CE Sans commentaire. [19] :BDE Les cancers oesophagiens sont des épidermoïdes sauf pour la portion sous diaphragmatique (adénocarcinome). Les cancers du col utérin sont des épidermoïdes. [20] :AcDE Tout polype doit être enlevé, et le cadre colique vérifié (polypes sentinelles) D - Résulte du nombre de polypes existants chez un patient; la probabilité de dégénérescence est de 100%. [21] :ABDE Les cancers lymphophiles donnent donc souvent des métastases ganglionnaires régionales, justifiant une radiothérapie des aires ganglionnaires drainant le territoire atteint. [22] :A Les poisons du fuseau empêchent la formation du fuseau métaphasique par action sur la tubuline. Ils sont tous neurotoxiques. Ce groupe comprend - alcaloïdes de la pervenche (Vinblastine, Vindésine,Vincristine) - alcaloïdes de la podophylline : VP16 - VM26. [23] :ABCDE Le traitement dun cancer du sein Ti NOMO est radical. Il ny a donc plus de tissu tumoral ; il ny a donc aucune précautions particulières. D - Est contre-indiqué. [24] :B Facteurs de risque : bas niveau socio-économique, vie sexuelle précoce, nombreux part nombreuses grossesses, première grossesse précoce, infections génitales répêtées. [25] :C Les autres ne sont pas héréditaires Le xéroderma pigmentosum est une maladie autosomique récessive, avec défaut de réparation des lésions de ADN dues aux U.V. Elle dégénère toujours en carcinomes cutanés multiples. [26] :E 40%, suivis par le cancer anaplasique à petites cellules et dadénocarcinome (25 et 20% respectivement). Le carcinome épidermoïde et lanaplasique à petites cellules sont les 2 formes liées au tabagisme, donc susceptibles de prévention. [27] :D A - Dissémmination lymphatique. B - Dissémmination veineuse cave inférieure. C - Envahissement direct par contiguité. D - Dissémination veineuse, suivant le drainage sanguin du tube digestif, vers la veine. 2 E - Dissémination systémique artérielle. [28] :C Les colites dues aux laxatifs ne dégénèrent pas. La polypose familiale dégénère dans 100% des cas. [29] :C Trois phases 1 - croissance lente 2 - croissance rapide 3 - ralentissement par augmentation des pertes cellulaires. [30] :C Evident. [31] :ABD Ce sont des facteurs de risque du cancer du sein. Facteurs de risque du cancer du col - rapports sexuels précoces - mariage avant 20 ans, premier enfant avant 20 ans - partenaires multiples - plus de 5 enfants - bas niveau socioéconomique - mauvaise hygiène génitale, avec infections fréquentes. [32] :BCE Touche les séreuses, avant tout la plèvre Lassociation amiante + tabac multiplie par 50 le risque de cancer bronchique. [33] :CD Rectite et cystite. La vessie et le rectum sont des facteurs limitants les doses tolérables. Maximum : 60 grays. [34] :ACE A E - Déterminent le T de la classification TNM, correlé au pronostic vital. C - Dont dépendra la réponse :B C’est une forme clinique et non un syndrome paranéoplasique. [43] :B Mais nallonge pas la survie. Elle est aussi efficace que la castration chirurgicale. La dose nécessaire est de 15-20 gys. [44] :B A.E - Sont plus tardives. C.D - Traduisent des métastases osseuses. La myélémie survient avant le stade dinsuffisance médullaire. [45] :CE Facteurs de risque du cancer du [37] sein :C - ménarche tardive Adénocarcinome le plus - ménopause précoce souvent différencié de type - âge supérieur à 40 ans lieberkùhnien, parfois peu différencié de type trabéculaire - haut niveau socio-économique ou colloïde muqueux, rarement - nulliparité - absence dallaitement anaplasique ou indifférencié, exceptionnellement carcinoïdes, - obésité (hyperoestrogénie) - mastopathies bénignes - régime lymphomes. riche en graisse. [38] [46] :E :BC Associé également au A - Basocellulaire. carcinome indifférencié du nasopharynx. [39] [47] :C :E Car athérogène, thrombogène. La dissémination veineuse se fait par le système porte vers le foie. [40] Dissémination lymphatique vers :D les ganglions mésentériques et le Le neuroblastome dérive des canal thoracique (ganglion sus cellules des crêtes neurales à l’origine des médullosurrénales. claviculaire gauche de Troisier). [48] Elles sécrètent des :E catécholamines. Lacide vanylLa dose nécessaire pour stériliser mandélique est un produit de (théoriquement) un cancer dégradation des anaplasique à petites cellules est catécholamines. de 55 gys. C’est un cancer [41] chimio et radiosensible. :C Les carcinomes épidermoïdes Le risque décroit lentement nécessitent des doses plus après arrêt du tabac, le risque élevées, de l’ordre de 65 gys. La redevient proche de celui du non fumeur, environ 10-15 ans chimiothérapie est très peu efficace. après arrêt du tabac. Les mélanomes malins sont peu [42] à une hormonothérapie. L’absence de récepteurs est de mauvais pronostic. [35] :BC C - Par augmentation du tabagisme Lincidence du cancer gastrique diminue mondialement. [36] :C Facteurs de risques - gastrite de Ménétrier - gastrectomies anciennes (cancer sur inflammation chronique) - reflux biliaire - achlorhydrie 3 sensibles. Les glioblastomes et les adénocarcinomes sont intermédiaires. [49] :B Métastases souvent présentes au moment du diagnostic. Le drainage osseux se faisant par le système cave inférieur, le premier relai métastatique est donc le poumon. Secondairement dissémination générale. Latteinte médullaire est locale. [50] :B Un taux dalpha foetoprotéine supérieur à 5000 U.l./ml est très en faveur du diagnostic. [51] :E Examen très peu sensible qui ne détecte que des lésions déjà importantes. Le dépistage doit permettre de mettre en évidence des carcinomes in situ. Les frottis endo et exocervicaux en sont le principe. [52] :C La courbe des Gompertz comprend trois parties - une phase initiale de croissance exponentielle, avec peu de pertes cellulaires - une phase de croissance rapide à vitesse constante, résultat dun équilibre entre les pertes cellulaires et proliférations cellulaires - dernière phase de ralentissement de la croissance, les pertes cellulaires devenant très importantes (nécrose) et la multiplication cellulaires au centre de la tumeur faible du fait des mauvaises conditions de vascularisation. Seule l’anatomie pathologique permet d’affirmer le diagnostic de cancer du sein. L’intérêt principal de la mammographie est le dépistage des microlésions infracliniques car la spécificité des signes observés est moins bonne dans ce cas. La cytoponction n’a de valeur que positive, sa négativité n’exclue pas le diagnostic. [59] :B Le Distilbène® est administré per os à la dose de 3mg par jour et il abaisse le testostérone plasmatique, au taux de castrat en 15 à 20 jours. Des doses plus élevées (10, 20, 50,100 mg) n’abaissent pas plus le testostérone et augmentent le risque cardiovasculaire. [60] :B Sans commentaire. [61] :B Mais il faut bien sûr rechercher également des métastases hépatiques et osseuses (scintigraphie osseuse). [62] :E On considère que 109 cellules [55] correspondent à une masse :ACD tumorale de 1 gramme. Sans commentaire. [63] [56] :D :ABCE Les pays à haut risque sont: le L’agent pathogène modifie le Japon, le Chili, l’Autriche, la génome cellulaire ; cette Finlande. transformation aboutit aux caractères de malignité, il n’agit [64] :E que comme promoteur du Elle constitue la seconde processus. méthode de traitement curatif. [57] Elle est toujours associée à un :C curage ganglionnaire. Elle est Le virus d’Epstein Barr est réservée aux stades A et B. retrouvé dans - mononucléose infectieuse - lymphone de Burkitt africain [65] - cancer du cavum indifférencié : C Chez renfant, la principale forme (surtout fréquent en Asie du est la tumeur de Wilms. Sud-Est et Maghreb). [66] [58] :C :E [53] :ABE Bilan - clinique -NFS - VS électrophorèse des protides fibrinémie - phosphatases alcalines bilirubine - gamma GT - biopsie médullaire - radiographie thoracique - scanner thoraco abdominal, qui rend actuellement inutile la lymphographie. Les autres examens seront fonction des résultats précédents, ou de signes dappels. [54] :ABE Facteurs favorisants les carcinomes cutanés - lésions cicatricielles de la peau : cicatrices de brûlures, radiodermites, fistules chroniques, kératoses arsenicales ou des goudrons - états précancéreux: kératoses séniles, maladie de Bowen, xéroderma pigmentosum, tumeurs fibroépithéliales de Pinkus. 4 On connait en effet le rôle favorisant de la bilharziose dans les pays d’endémie comme rEgypte. [67] :E Lantécédent d’abcès du sein nest pas un facteur de risque, contrairement aux mastopathies bénignes (ou dystrophiques simples) ou dysplasiques. [68] :C Le ganglion de Troisier correspond le plus souvent à la métastase dun cancer sous diaphragmatique. Le ganglion de Troisier est annexé au canal thoracique. Celui-ci se jette 9 fois sur 10 à gauche dans la veine sous-clavière. [69] :ACD Pas de commentaire. [70] :ABDE C’est faux, il s’agit le plus souvent d’une bradypnée inspiratoire. [71] :E Le tabagisme est un facteur de risque principalement pour les carcinomes épidermoïdes et les anaplasiques. [72] :C Classification TNM, pour les adénopathies - NO: pas d’adénopathie palpable - Ni : adénopathie homolatérale mobile - Nia : non suspect .Nlb suspect d’envahissement - N2b: adénopathie homolatérale fixée - N3 : adénopathie sus ou rétro-claviculaire homolatérale ou oedème du bras. [73] :D Le séminome pur n’a pas de marqueurs connus. Les photons. Il est égal au rapport entre la dose absorbée à deux profondeurs différentes. Lorsque l’énergie augmente, les photons parcourent une distance plus grande dans l’organism. B - Plus l’énergie augmente, plus les limites du faisceau sont précises C - La courbe du rendement en profondeur d’un faisceau a deux parties - augmentation initiale jusqu’à un maximum qui est d’autant plus profond que l’énergie est [74] élevée, donc sous-dosage de :D la peau B - Au contraire, les cellules - puis décroissance centrales sont moins bien progressive en profondeur oxygénées (moins bien D - Le risque de nécrose est vascularisée. moins important quand Les pertes cellulaires sont l’énergie augmente. importantes (nécrose) [83] C - Courbe de Gompertz :C E - Pas toujours : exemple des Il n’est pas nécessaire de cancers hormonodépendants connaître les carcinogènes, (prostate, sein, endomètre) cependant, pour certains [75] cancers, on les connait, et le :D dépistage pourra être La chimiothérapie se conçoit ici intensifié dans les groupes dans le cadre d’un cancer exposés (de même que pour assimilé à une maladie les facteurs de risque). générale demblée. Exemple du [84] cancer du sein pour lequel on :D considère quil existe des Voir la classification TNM. T2 micrométastases dès le [82] : tumeur comprise entre 2 et 5 :E diagnostic, et ceci cm dans sa plus grande En effet, l’efficacité biologique fréquemment. La dimension N2 : adénopathie relative est le rapport entre le chimiothérapie a pour but de homolatérale fixée. Mo : pas taux de survie cellulaire après détruire les micrométastases. de métastase décelable. irradiation par deux C - Chimiothérapie [85] rayonnements de nature néoadjuvante. :B différente (rayonnement béta, [76] Un cancer du col utérin T3 delta, particules :D (classification FIGO) : atteinte C’est la dose à partir de laquelle delta, protons...). les complications cutanées sont La référence habituelle (EBR = 1) du 1/3 inférieur du vagin et/ou est le rayonnement delta c’est-à- des paramètres jusqu’à la importantes et laissent des paroi. Le risque dire les photons, à laquelle séquelles. d’envahissement local sera comparée un rayonnement [77] antérieur vers la vessie (et les béta par exemple. Ainsi, les :C uretères) ou postérieur vers le photons ont tous la même EBR, La classification TNM est rectum, justifient A.D.E. La quelle que soit leur énergie. clinique, parfois radiologique. lymphographie est A - Le rendement en profondeur [78] systématique, en raison du augmente avec l’energie des :ABE tumeurs germinales non séminomateuses du testicule sont - le teratocarcinome, sécrétant de lalphafoeto-proteïne - le choriocarcinome, sécrétant de la B-HCG. Une tumeur testiculaire dont l’histologie est de type séminome, mais dont les marqueurs alpha. FP et/ou BHCG sont augmentés, doit être considérée (et traitée) comme une tumeur non séminomateuse. Les cancers de la cavité buccale sont le plus souvent les carcinomes épidermoïdes. La dose,, nécessaire est de 65 Gys. Lhyposialie est constante, la récupération est lente et la salive est définitivement de mauvaise qualité. [79] :BCD Autres facteurs Antécédents familiaux de cancer du sein. Antécédents de mastopathies bénignes. Régime riche en graisse. Nulliparité - absence dallaitement. [80] :BCE Les métastases osseuses ont pour origine, le plus fréquemment: sein, prostate, rein, thyroïde, poumon. [81] :C Ladénocarcinome recto-colique est : soit Lieberkuhnien (80%), soit trabéculaire ou colloïde muqueux. Les cancers anaplasiques sont rares, les lymphomes et les carcinoïdes à cellules en bague à chaton sont des cancers ovariens secondaires à un cancer digestif 5 les ganglions rétropéritonéaux. B.C. - Sont systématiques, objectivant le syndrome tumoral. E - Moins utile depuis le scanner, sauf en pré-opératoire. [90] :A L’administration de cyclophosphamide doit toujours s’accompagner d’une diurèse forcée par hyperhydratation et mannitol. B - Toxicité digestive par ulcérations : stomatite et diarrhée sanglante. C - Toxicité neurologique (déficit sensitifs et auditifs) et rénale. D - Ulcérations muqueuses, cytolyse hépatique. E - Risque d’incompétence myocardique ; dose maximale : 550 mg/m2. [91] :A Le sang provenant du foie circule dans la veine cave supérieure vers le coeur droit et les poumons, dont les capillaires constituent un barrage pour les cellules néoplasiques. Les autres organes peuvent être atteints secondairement à partir du poumon. (Mais l’extension est surtout lymphatique). [92] :C Stade I : 1 seul territoire ganglionnaire envahi. Stade Il : 2 territoires ganglionnaires du même côté du diaphragme. Stade III : Envahissement ganglionnaire sus et sousdiaphragmatique. Stade IV: Envahissement viscéral. La rate est considérée [89] ici comme un ganglion. :D L’extension régionale du cancer E - Correspond à une atteinte viscérale contiguê à l’atteinte du rein est précoce, vers la ganglionnair. veine rénale et les ganglions [93] hilaires. Le scanner est le meilleur examen pour visualiser : D les structures rétro péritonéales A - Est systématique, combiné au toucher vaginal, au mieux sous en particulier la loge rénale. A - Ne permet pas de bien voir anesthésie générale. tropisme lymphatique (1er relai : iliaque externe). Par contre, les métastases viscérales sont rares et très tardives, c’est un tumeur d’évolution locorégionale. [86] :AD B - Est traitée par chirurgie + chimiothérapie. c E - Sont traités par une association chirurgie + chimiothérapie + radiothérapie [87] :ABcE L’alpha foeto proteïne est un marqueur non spécifique des cancers: - tératocarcinomes : hépatique, testiculaire, ovarien, plus rarement gastrique, pancréas, colon, mais il est augmenté - également dans de nombreuses affections bénignes : toutes les pathologies hépatiques et les syndromes abdominaux, et la pathologie obstétricale. D - Le séminome testiculaire ne sécrète rien. [88] :A 1 2 - A savoir 3 - Fréquent 4 - La tumeur primitive peut ne pas être retrouvée, ainsi une métastase indifférenciée rend recherche difficile. Mais il arrive qu’une histologie d’adénocarcinome non différencié se solde par un échec dans la recherche du primitif. 6 Permet d’apprécier: la paroi rectale, l’état des paramètres. B - Systématique, en raison du tropisme ganglionnaire iliaque externe des épithéliomas du col utérin. Pathologique s’il existe une lacune ganglionnaire ou un blocage, non traversé par les canaux sur les clichés du 1er jour (2 séries de clichés à 24 et 48 heures). C - Pour les stades avancés (stade III) ou si l’UIV au temps cystographique est anormale. E - Recherche une compression urétérale, facteur de mauvais pronostic. [94] :D Est trop tardif. Un nouveau frottis après traitement antiseptique, 10 jours après pourrait être une réponse meilleure que D. B.C.E : Absurdes étant donné qu’un frottis classe III peut être dû à une simple infection. [95] :D La classification de Papanicolaou comporte 5 classes: 1 - Cellules normales 2 - Présence de cellules inflammatoires 3 - Cellules anormales suspectes 4 - Cellules tumorales 5 - Cellules néoplasiques en grand nombre. Pour les frottis classe 4 et 5. Faire pratiquer d’emblée des investigations plus poussées (biopsie). [96] :ABD Les facteurs de risque du cancer du sein * Terrain dhyperroestrogénie - menarche précoce, ménopause tardive - nulliparité, première grossesse tardive - stérilité - célibat (lié à la nulliparité) - traitement oestrogénique antérieur sans progestatifs associés - antécédent de mastopathies bénignes - obésité * Ages supérieur à 40 ans: - antécédents familiaux (mère, tantes, soeurs) - niveau socio-économique élevé - régime riche en graisses animales (sturés) [97] :ABCD A - Défaut de réparation des lésions de ADN par les UV B dégénèrent en épithéliomas spinocellulaires, multiples. Affection héréditaire autosomale récessive B - Glioblastome C - Adénocarcinomes rectocoliques D - Ostéosarcome, dans 1% des cas. E - Est une affection bénigne sans dégénérescence. [98] :E Le geste chirurgical, dans les tumeurs de moins de 3 cm peut être conservateur, avec une efficacité identique et moins de complications quune mastectomie . Le curage axillaire est systématique, l’envahissement pouvant n’être qu’histologique. La radiothérapie post opératoire est systématique délivrant 50 gys dans le sein et la paroi thoracique, s’il existe un envahissement axillaire, irradiant également les aires ganglionnaires axillaires, sus claviculaires et mammaires internes homolatérales. [99] :E Dans le risque de rechute, mais surtout dans les cancers à haut :C Le côlon a un mode de dissémination hématogène. Son drainage veineux se fait par le système porte. Etant donné la fréquence de ce cancer, 70% des métastases hépatiques sont dorigine colique. Pour les autres, le drainage veineux se fait par le système cave vers le poumon. L’atteinte hépatique est donc plus tardive. [105] :C 30 temps de doublement correspondent à 230 soit 10 exposant 9 cellules environ, et 1 gramme de tumeur. [106] :E La classification de Dukes est corrélée à la survie à 5 ans Stade A - limité à la paroi colique, 75% Stade B - effraction de la paroi, 50% Stade C - ganglions régionaux, 35% Stade D - métastases à distance, inférieur à 1%. [107] :DE Discutable actuellement pour D. E - Est actuellement observée, sans explication claire. A C - (Ménopause) semblent corrélés à l’importance des [103] récepteurs hormonaux. :C [108] Image en “lâcher de ballon”, :B réalisant des opacités arrondies, périphériques. L’opacité peut être Un frottis classe III (classification de unique, posant un problème Papanicolaou) est suspect, diagnostique avec un cancer primitif ou une affection bénigne. mais peut être le fait d’une infection. Seuls, les frottis La lymphangite carcinomateuse est également classique au cours classe IV et V nécessitent des investigations (colposcopiede cancers pulmonaires et rénaux. Elle doit être différenciée biopsie) immédiates. [109] des miliaires (tuberculose. :BE pneumopathie intersticielle). Touche dans 90% des cas [104] potentiel métastatique (sein) Une chimiothérapie pratiquée avant chirurgie est appelée, “néoadjuvante”. [100] :C Justifiant le curage axillaire systématique afin de décider du traitement complémentaire. [101] :A La chirurgie du cancer de l’endomètre, outre l’ablation de l’utérus, des annexes, d’une colle vaginale, examine les ganglions pelviens (lymphadenéctomie ou biopsie des ganglions suspects). L’atteinte des 2/3 du myomètre augmente la probabilité d’atteinte ganglionnaire et le risque de récidive pelvienne. La chimiothérapie n’ayant pas fait ses preuves, la radiothérapie post-opératoire est indiquée. Elle diminue la fréquence des récidives pelviennes. [102] :B Action palliative, efficace sur les symptômes urinaires et les métastases Le Distilbène® est au contraire source de complications, surtout thrombo-emboliques Le Nolvadex® (tamoxifène) est un antioestrogène. Ce sont les antiandrogènes (donc les oestrogènes) qu’on utilise dans les cancers de la prostate. 7 l’homme alcoolo-tabagique. Il se place, en taux de mortalité, après poumon, côlon, ORL (chez l’homme) L’endobrachyoesophage est un état pré-cancéreux d’adénocarcinome (1/3 inf oesophage). [110] :C Toute infection est une contreindication transitoire à une radiothérapie. Elle peut être indiquée dans une compression cave supérieure après corticothérapie massive. Elle est le plus souvent pratiquée après chirurgie (dans les épithéliomas) ou chimiothérapie (dans les anaplasiques) pour assurer le contrôle locorégional de la tumeur. L’envahissement pariétal relève de la radiothérapie palliative. L’atélectasie de tout un poumon est due à une compression de la bronche souche. La radiothérapie sera faite en deux temps, pour, mieux cerner la tumeur et réduire le champs d’irradiation après le premier temps si la compression a été levée. [111] :BDE Affections liées au tabac: - cancer du larynx, cancer de la cavité buccale et du pharynx (en association à l’alcool), bronchique, cancer vésical - athérome et ses conséquences cardiovasculaires - ulcères gastroduodénaux - problèmes obstétricaux (avortement, prématurité, mortalité périnatale, hypotrophie, hématome rétroplacentaire) - bronchopneumopathie chronique obstructive - impuissance. [112] :BD La faible différenciation et l’envahissement du col sont liés à un envahissement ganglionnaire plus fréquent. L’âge est le facteur pronostic par son incidence sur les possibilités thérapeutiques. Autres facteurs de mauvais pronostics : utérus de plus de 8 cm, myomètre envahi sur plus de la moitié de son épaisseur, l’extension ganglionnaire. [113] :C C’est la voie habituelle. L’adriblastine est administrée dans la tubulure de perfusion. Il faut éviter tout extravasation, en raison du risque de nécrose des tissus. La voie intra-artérielle est aussi utilisée. [114] :C Facteurs de risque du cancer du sein - antécédents familiaux de cancer du sein (mère, tante, soeur) - mastopathie bénigne - age supérieur à 40 ans - ménarche précoce ménopause tardive - nulliparité - absence d’allaitement - haut niveau socio-économique - alimentation riche en lipides. [115] :C Dans 30% des cas, des métastases pulmonaires apparaissent dans la première année. [116] :D La bléomycine peut entraîner une réaction de type allergique (éruption fébrile, choc anaphylactique). Elle provoque une fibrose pulmonaire qui limite la dose cumulée à 250mg/m2. [117] :E Surtout pour des doses supérieures à 300mg/m2 Dose cumulée à ne pas dépasser: 250mg/m2. 8 [118] :BC Endémique en Afrique occidentale, le lymphome de Burkitt est aussi associé plus constamment à une anomalie chromosomique : (translocation 8 - 14). c - Vrai pour les carcinomes indifférenciés. [119] :A Aiguès : troubles du rythme et de la repolarisation. Chroniques : insuffisance cardiaque globale faisant limiter la dose cumulée à 550mg/m2. [120] :AB Les antimétabolites bloquent la synthèse des acides nucléiques. On distingue - les antifoliques: méthotrexate - les antipuriques : 6 mercaptopurine - thioguanine - azathioprine - les antipyrimidiques : - 5 fluoro-uracile - cytosine arabinoside [121] :ACD La vitesse de croissance dépend de 3 paramètres: - le coefficient de prolifération (pourcentage de cellules en cycles) - le coefficient de pertes cellulaires (dû aux pertes par mort cellulaire et par migration) - la durée du cycle : sensiblement la même pour un type tumoral donné. La précision de rénoncé (tumeur de l’estomac) est un piège : il y a plusieurs types histologiques possibles, et même pour un type histologique identique, deux tumeurs peuvent avoir des durées de cycle différent. [122] :C L’administration de Cisplatinum® doit s’accompagner d’une hyperhydratation par perfusion de sérum physiologique ou de mannitol, pour éviter une insuffisance rénale aiguê tubulaire. La toxicité est liée à la dose - adriamycine : cardiotoxique - bléomycine : fibrose pulmonaire - cyclophosphamide : cystite hémorragique - 5FU : lésions digestives avec diarrhées. [123] :D Prostate: phosphatases acides prostatiques si métastases. Cancer médullaire thyroïdiens : thyrocalcitonine. Carcinome épidermoïde différencié thyroïdien : thyroglobuline. Phéochromocytome : catécholamines. [124] :ABE Les cancers des voies aérodigestives surviennent dans 90% des cas chez l’homme alcoolo tabagique de plus de 50 ans (sauf pour le cancer du cavum). En pratique, une adénopathie cervicale dure, indolore doit faire pratiquer systématiquement un examen ORL. [125] :CD La polypose rectocolique familiale dégénère dans 100% des cas. La rectocolite hémorragique dégénère surtout si elle est diffuse et sévère. [126] :E Les antimétabolites comprennent - les antifoliques: methotrexate - les antipuriques : la :CE La classification de Dukes prend en compte l’infiltration en profondeur de la paroi colique et l’extension régionale ou [127] générale :ADE Le stade A est limité à la paroi Carcinomes épidermoïdes = sans atteindre la séreuse épithélioma épidermoïde = Stade B : envahissement de épithélioma malpighien la séreuse et des tissus ils reproduisent plus ou moins la périocoliques structure d’une épithélium Stade C : envahissement malpighien. gaglionnaire Localisation Stade D : métastases à - cavité buccale distance - pharynx, larynx, oesophage, Elle est actuellment plus anus utilisée que la classification - peau TNM. - vagin, vulve [131] - col utérin :D - ronchec. Les radiations ionisantes [128] agissent en provoquant des :CD lésions de l’ADN. Certaines Ces deux types de cancer sont de ces lésions sont très chimiosensibles. immédiatement létales pour Les tumeurs testiculaires sont les cellules, d’autres sont essentiellement des tumeurs réparables et la mort cellulaire germinales, qui comprennent est due à une accumulation • séminomes (radiosensibles) de lésions, dépassant les • dysembryomes: possibilités de réparation tératocarcinome et enzymatique. La mort chororiocarcinome sont cellulaire peut être également chimiosensibles. due à l’accumulation de Les cancers testiculaires sont donc presque tous guérissables, toxiques dûs aux radicaux libres fortement réactifs, par la radiothérapie pour les séminones, par la chimiothérapie produits au passage d’une particule ionisante. Certaines (vinblastine, bléomycine, lésions de l’ADN sont viables cisplatinum) pour le dysembryome évidemment après avec défaut de réparation enzymatique : ce phénomène orchidectomie. est responsable d’anomalies [129] chromosomiques ou géniques :AB Les drogues utilisées n’entrainent des cellules germinales et de l’apparition de cancers radiopas d’insuffisance rénale. induits (surtout dans les L’alopécie entrainée par la irradiations continues à faible radiothérapie est partielle, débit par défaut de occipitale, due à l’irradiation de cette région du cuir chevelu dans radioprotection). [132] certains cas :D - La surveillance de la NFS doit Le drainage veineux de l’os être hebdomadaire pendant la se fait par la veine cave radiothérapie qui prend le plus inférieure. Le premier organe souvent de grands volumes. relai pour les cellules [130] mercaptopurine, thioguanine, azathioprine - les antipyrimidiques : 5 fluorouracile, cytosine arabinoside. 9 :B Premier en fréquence et en mortalité suivi par: Les cancers de l’utérus (col-corps confondus) et les cancers rectocoliques. Les carcinomes cutanés sont en fait les plus fréquents mais de bon pronostic, donc souvent écartés des statistiques. [137] :C 1-2 jours, c’est-à-dire à peu près égal à une cellule normale. [138] :BE Utile si le taux était élevé avant traitement. [139] :ABCDE A - Hépatocarcinome. [133] B - Cancer de vessie et des voies :E urinaires. Ceci grâce au dépistage par frottis du col. De plus, l’examen C - Bronches, peau. clinique systématique permet la D - Angiosarcome hépatique. E - Vagin chez les filles dont la découverte des cancers à des mère a pris du Distilbène® stades limités. Les cancers pendant la grossesse. bronchiques sont en [140] progression. Le cancer :ABCD intraépithélial est aussi plus Est un piège vis à vis de la souvent diagnostiqué (fausse réponse (D) qui est vraie. augmentation de fréquence, [141] due aux possibilités :ABCE diagnostiques). Facteurs de risque : diabète [134] HTA - obésité. :C Oestrogénothérapie sans A - Cancer du larynx, des progestatifs associés. bronches. Nulliparité, ménopause tardive B - Mélanome malin. Surtout les états antérieurs D - Cancer de l’utérus. d’insuffisance lutéale. E - Cancer du sein. C - Peut faire penser à une LAL chez l’enfant (donc [142] :ABC hémopathie). A et B - Sont évidents. [135] C - L’adénocarcunome est la :D forme la plus fréquente, de La chimiothérapie la moins meilleur pronostic. Les autres inefficace actuellement est le DTIC (alkylant) donnant 20% de formes sont plus rares. réponses partielles de courte L’envahissement ganglionnaire durée. Le mélanome malin est peu sensible à la radiothérapie. est plus fréquent dans les types Le traitement est donc curatif au indifférenciés. [143] stade localisé, par chirurgie. :C [136] cancéreuses est donc le poumon. 80% des ostéosarcomes présentent des métastases pulmonaires dans la première année. Le cancer du col a une évolution principalement 10cc régionale. Les métastases pulmonaires et osseuses sont rares et tardives. Les cancers du colon et de l’estomac donnent en premier lieu des métastases hépatiques (drainage par la veine porte). Le carcinome épidermoïde oesophagien est d’évolution locorégionale (envahissement du médiastin) à tropisme ganglionnaire. 10 Le carcinome épidermoïde de l’amygdale donne des adénopathies homolatérales ; des adénopathies bilatérales s’observent en cas d’atteinte de la base de la langue. D - Donne aussi le plus souvent des adénopathies homolatérales. Tous les cancers de la sphère ORL peuvent être découverts devant une adénopathie cervicale, sauf les cancers de la corde vocale. Dans cette question, c’est le caractère bilatéral qui est discuté. [144] :D Seule la présence d’embols parmi les items affirment la malignité car elle traduit la possibilité pour un cellule cancéreuse de se détacher de la tumeur primitive et de former une colonie néoplasique (ici très proche de la tumeur prumitive). [145] :A Les syndromes paranéoplasiques sont nombreux, mais exceptionnellement circonstance de découverte. [146] :D C’est le contraire. Rappelons que la cytologie seule n’est pas suffisante pour un diagnostic précis et doit être suivie d’une étude architecturale du tissu. Aucun caractère cytologique ne peut affirmer à lui seul la malignité, c’est leur association qui permet de conclure. [147] :D Cancers liés au tabac : bronches, voies aérodigestives supérieures, vessie. Le cancer de la vessie est lié également à l’exposition aux histologique. C - Coefficient relatif aux morts cellulaires surtout (les cellules qui migrent sont beaucoup moins nombreuses). Ce coefficient varie au cours du temps : faible en début dévolution, il augmente avec la taille de la tumeur de part les mauvaises conditions de nutrition et d’oxygénation au centre de la tumeur. [152] :AB Par ordre de fréquence décroissante: bronches, VADS, côlon. [153] :ABCD Rappelons qu’il existe des tissus constituants des “barrières” à l’extension d’une tumeur: ainsi les cartilages des os pour les tumeurs osseuses La perte de l’adhésivité est responsable des [150] métastases. La perte de :ABCDE C’est une mesure de prévention l’inhibition de contact est responsable de la croissance secondaire car dépistant les maladies à un stade précoce (la théoriquement infinie. [154] prévention primaire du cancer :ABD consistant à éliminer les Alcool + tabac dans toute la facteurs de risques). Le sphère ORL. rendement est meilleur si le L’hygiène bucco-dentaire favorise dépistage s’applique aux populations à risque (problème les cancers de la cavité buccale par irritation chronique. de faisabilité d’emploi). [155] [151] :BC :ABC Sans commentaire. A - Rapport du nombre de [156] cellules en cycles au nombre :CD total de cellules. Les cellules L’alcool, le tabac, les hors antécédents familiaux ne sont cycle sont celles qui ne se pas des facteurs de risque de divisent pas cancer recto-colique - cellules en GO Facteurs de risque de cancer - cellules hautement recto-colique différenciées Le coefficient varie au cours du régime pauvre en fibres végétales et riche en acides gras temps et en fonction du saturés (graisses animales) traitement. B - La durée du cycle varie peu antécédent de polype rectoentre les cellules au sein d’une colique, de cancer recto-colique tumeur. Elle varie selon le type polypose recto-colique familiale recto-colite hémorragique diffus. cellulaire, donc selon le type amines aromatiques (colorants) et aux états inflammatoires chroniques de la vessie (bilharziose). B - Régime pauvre en fibres, riche en acides gras saturés. E - Poussière de bois. [148] :E A - Son incidence actuelle augmente et tend à rejoindre celle du cancer du col. B - Le plus souvent (90%) il s’agit d’un adénocarcinome f. C - L’extension sanguine est rare en dehors des tumeurs mésenchymateuses. D - L’hyperoestrogénie est un facteur favorisant important. [149] :ACE C’est-à-dire les tumeurs dérivant du tissu conjonctif. 11 [157] :DE Facteurs de risque du cancer du col - vie sexuelle précoce, nombreux partenaires - mauvaise hygiène génitale - première grossesse précoce - nulliparité - haut niveau socioéconomique - Lésions pré-cancéreuses : dysplasie sévère, dont la transformation maligne serait favorisée par rherpes virus HSV 2 et HPV (human papilloma virus). [158] :C Il y a quatre stades dans la classification de Dukes qui est plus utilisée que la classification TNM. Stade A - Limité à la paroi colique sans atteinte de la séreuse. Stade B - Atteinte de la séreuse. Stade C - Ganglions régionaux. Stade D - Métastas. [159] :E La rareté du cancer de l’ovaire n’a pas permis d’établir avec certitude des facteurs de risque. Pour certains : nulliparité, faible fécondité. [160] :C Du fait du drainage porte, du côlon et de la fréquence de ce cancer. [161] :DE Les antimétabolites comprennent trois groupes: 1 - Antifoliques : méthotrexate. 2 - Antipuriques : 6mercaptopurine, thioguanine, azathioprine. 3 - Antipyrimidiques: 5 FU, acides prostatiques B - Calcitonine, ACE. C - Thyroglobuline. D-5 HIAA. [167] :ABDE Sans commentaire. [168] :ACE Le taux de récepteurs permet de prévoir la sensibilité à rhormonothérapie. Le dégré de différenciation est celui de Scarif et Bloom, noté SBR I, Il ou III. SBRIII = très peu différencié de mauvais pronostic. [169] :ABE D - Piège grossier: cest une anomalie bénigne, non une mastopathie. [170] :A Elle témoigne de la compression du nerf récurrent gauche, donc de l’envahissement médiastinal, probablement par une adénopathie. [171] :C Orchidectomie par voie haute. Elle constitue un geste [165] diagnostique et thérapeutique. :BC (Mal posé, car le diagnostic de Lorchidectomie par voie scrotale est à proscrire. séminome suppose que rorchidectomie a déjà été faite). [172] :C Lorchidectomie est toujours Sans commentaire. faite par voie haute (inguinale) [173] afin de dégager le cordon très :E haut. La radiothérapie est faite Sans commentaire. au niveau des aires ganglionnaires lombo aortiques, [174] :D iliaques primitives bilatérales, Drainage colique par le système iliaques externes porte. Le grêle, qui se draine homolatérales. Dose : 25 Gys. également vers la veine porte, [166] est beaucoup plus rarement en :E cause que le côlon. Le tableau classique du phéochromocytome est celui des poussées hypertensives [175] :B paroxystiques, par décharges Dose cumulée limite : 250 de catécholamines. A - P.S.A. (antigène prostatique mg/m2. La bléomycine est un radiomimétique. spécifique) ; phosphatases cytosine arabinoside. [162] :DE Le virus est retrouvé avec une fréquence très élevée au cours: - du lymphome de Burkitt africain (beaucoup moins au cours du lymphome de Burkitt des autres régions) - du carcinome indifférencié du cavum, très fréquent sur le pourtour méditérrannéen et en Asie du Sud-Est. [163] :AB Sans commentaire : connaissance. [164] :DE Ce sont les poisons du fuseau qui empêche la migration des chromosomes en métaphase. Les poisons du fuseau comprennent 1 - Les alcaloïdes de la pervenche : vincristine (Oncovin®), vinblastine (Velbé®), vindésine. 2 - Alcaloïdes de la podophylline : VP 16, VM 26. 12 [176] :C A - P.S.A. (antigène prostatique spécifique) non spécifique de cancer; phosphatases acides prostatiques, dont l’élévation est contemporaine des métastases. B - ACE., non spécifique ; calcitonine. D-5 HIAA. E - Catécholamines. [177] :C Les histiocytofibromes malins représentent environ 10% des sarcomes des tissus mous. Dans tous les cas, le traitement initial est une éxérèse en bloc du compartiment cellulomusculaire atteint. [178] :ABC Sans commentaire. [179] :ACDE L’évolution peut être rapide mais, typiquement, elle est lente. Jamais de métastases. Lépithélioma baso-cellulaire pigmenté peut être difficile à différencier d’un mélanome. [180] :DE La béta HCG est secrétée par les choriocarcinomes, en premier lieu testicule, placenta. [181] :C Notamment: ototoxicité, liée à la dose. [182] :ABC Sans commentaire. [183] :C 40% puis ladénocarcinome et lanaplasique, chacun environ 20%. [184] :B Par le système porte. :AC Dose [194] :BE La béta HCG est secrétée par les choriocarcinomes quelle que soit leur localisation. [195] :BD [186] Les stades limites du cancer de :B En effet, la corde vocale est très l’endomètre sont classiquement traités par peu vascularisée. Un cancer - curithérapie localisé à la corde ne donne - hysteréctomie totale qu’exceptionnellement des - plus ou moins radiothérapie métastases ganglionnaires. complémentaire sur les ganglions [187] pelviens. :BC [196] Le drainage lymphatique du :D système digestif sousSans commentaire. diaphragmatique se fait par le canal thoracique auquel est associé le ganglion de Troisier. [197] :B Les cancers ORL sont souvent Connaissance. révélés par des métastases [198] ganglionnaires mais celles-ci sont rarement sus-claviculaires : B Il s’agit d’un cancer laissé en isolées. place, à traiter comme un stade 1 [188] du col. Donc, par curithérapi :BC utéro-vaginale puis chirurgie. Sans commentaire. [199] [189] :B :D Trois drogues ont radicalement Liée à la différence de l’alcoolomodifié le pronostic des cancers tabagisme, chez l’homme et la femme. du testicule : bléomycine, [200] vinblastine, cisplatinum. :ADE Actuellement, sont également L’ACE est marqueur non utilisés, car très efficaces : spécifique des cancers. La VP16, ifosfamide. positivité avant traitement et la [190] régression après permettent de :AB correler le taux d’ACE à la Lalcoolo-tabagisme est le tumeur, ainsi, B.C. sont faux facteur principal retrouvé dans dans ce contexte. 90% des cas des cancers [201] buccopharyngés. :AB [191] Connaissance. :ABD [202] Sans commentaire. :BDE [192] Facteurs de risque :AE - régime hyperlipidique, carné, Les métastases osseuses ont pauvre en fibres pour origine principale : sein, - antécédents familiaux de cancer prostate, rein, bronches, colique pancréas, thyroïde. - antécédents personnels de [193] [185] :B La thymidine tritiée est incorporée dans la cellule lors de la synthèse de l’ADN donc en phase S. 13 cancer colique, polype, rectocolite hemorragique. [203] :A Connaissance. [204] :D A - Choricarcinome. B - Hépatocarcinome surtout. C - Non spécifique d’un cancer ni de lésion cancéreuse. E - Prostate métastatique. [205] :E Sans commentaire. [206] :BE A C - Dorment des métastases ganglionnaires. D - Métastases hématogènes. E - Métastases régionales discutables quant au mécanisme (migration dans le LCR). [207] :CDE Sans commentaire. [208] :A B - Bléomycine. C - Cyclophosphamide. D - Vincristine. E - Cispiatinum. [209] :B La biopsie ganglionnaire est contre-indiquée car elle peut induire une effraction capsulaire pouvant être à l’origine d’une dissémination tumorale. Il faut pratiquer dans ce cas une carcinologique exploratrice avec examen extemporané. [210] :E Il s’agit dune patiente âgée stade IV; le traitement sera donc palliatif. On utilisera en premier lieu un traitement progestatif par acétate de médroxyprogestérone (Prodasone® ou Farlutal®). L’hormonothérapie oestroprogestative est contreindiquée puisque le cancer de l’endomètre est hormonodépendant. [211] :BC B - Il s’agit d’un déficit congénital en DNA réparase : des épithéliomas baso et spinocellulaires ainsi que des mélanomes apparaissant dès l’enfance sous l’effet des radiations UV. C. Cette maladie nécessite une rectocolectomie préventive. [212] :C Sans commentaire. [213] :AB A - Est un signe radiologique de malignité. B - Est la 1ère cause de calcification rénale en Europe (en pays d’endémie, c’est le kyste hydatique). Le kyste simple du rein est très rarement calcifié. C D E - Sont des signes indirects du syndrome tumoral. [214] :BD La radiothérapie médiastinale est utilisée comme complément du traitement chimiothérapique mais n’est presque jamais utilisée seule car elle n’est qu’exceptionnellement curative, malgré la grande radiosensibilité de cette tumeur. L’irradiation encéphalique est prophylactique, vu l’extrême fréquence des métastases cérébrales. [215] :C Il s’agit d’un cancer épidermoïde, donc le traitement doit, si possible, être chirurgical. Vu l’atteinte de l’éperon Iobaire, le meilleur traitement est la pneumonectomie, d’autant que l’exploration fonctionnelle respiratoire est normale. [216] :A A - La médiastinoscopie a comme but l’évaluation médiastinale, un envahissement contre- indiquant en principe la chirurgie. Elle est fréquemment pratiquée dans le même temps opératoire que la thoracotomie. Elle ne permet qu’une visualisation du médiastin droit, la partie gauche lui échappant. Pour visualiser le médiastin gauche, il faut pratiquer une médiastinotomie. [217] :BD Ces deux localisations sont le siège d’amas lymphoïdes et donc, des sièges fréquents de lymphome malin. Les lymphomes cérébraux se voient avec une fréquence accrue lors du SIDA. [218] :C Il s’agit d’un cancer épidermoïde opérable, donc l’intervention à proposer est une lobectomie, qui laissera au patient un VEMS post-opératoire suffisant. La pneumonectomie n’est pas nécessaire dans ce cas et laisserait un VEMS postopératoire limite. La radiothérapie et la chimiothérapie ne sont pas des thérapeutiques de première intention, contrairement au cas du carcinome anaplasique à petites cellules. [219] :C Cependant certaines tumeurs bénignes peuvent être invasives localement (par exemple les fibromes dermoïdes de la paroi abdominale). [220] :B Le mélanome malin aux stades 1 et 2 est chirurgical. La chimiothérapie dans les stades 3 donne 10 à 20% de réponses complètes ou partielles. Il n’y a 14 pas de chimiothérapie efficace sur le mélanome. [221] :D Evident. A,B,C,E sont audessus de toute thérapeutique chirurgicale curative. [222] :D Ou image de “vertèbre borgne” qui signe la malignité. Classiquement le pédicule est respecté dans le myélome, à la différence des métastases osseuses. A,B,C peuvent témoigner d’une pathologie maligne mais ne sont pas pathognomoniques. E réalise l’image d’un abcès des parties molles (ex. mal de Pott). [223] :ABCDE La dissémination lymphatique des cellules tumorales se draine d’abord dans les relais ganglionnaires, mais peut atteindre le canal thoracique et par là, la circulation cave avec essaimage artériel. [224] Question annulée. [225] :ABCD On peut également rajouter comme argument en faveur de la malignité, l’épaississement cutanée en regard de la tumeur. [226] :ACD A noter que le prurit ne fait pas partie des signes d’altération de l’état général. [227] :CDE Les circonstances de révélation d’un cancer du cavum sont - adénopathie cervicale, surtout digastrique (ganglion de Kuttner) - signes rhinopharyngés : obstruction nasale, épistaxis - signes d’atteinte de l’oreille moyenne : hypoacousie, acouphènes, otalgies... Toute otite séreuse de l’adulte doit faire rechercher un cancer du cavum - signes neurologiques : atteinte du V et du VI. [228] :B Sans commentaire. [229] :E Les régimes riches en graisses ont été incriminé dans la génèse des cancers du sein et du côlon. [230] : A B (C) D E Q C M discutable. A. Etat pré-épithéliomateux (ou carcinome in situ) précédant l’apparition d’un épithélioma spinocellulaire. B. Classique - Un polype adénomateux découvert lors d’une coloscopie doit être réséqué, la filiation polypecancer étant considérée comme obligatoire par certains. C. Papillome cutané est un mauvais terme. On peut considérer: - Le papillome corné, qui correspond à une kératose sénile, et donc dans ce cas il faut le cocher. - Les papillomes viraux, qui correspondent à des verrues vulgaires ou planes, qui ne dégénèrent jamais. Donc réponse très discutable D- Peut précéder l’apparition de baso ou de spinocellulaire. E - Les tumeurs vésicales n’ont pas une bénignité ou une malignité tranchée, c’est souvent l’évolution après traitement qui permet de le dire. [231] :ABE mastite carcinomateuse (PeV 3). B - Correspond à une tumeur inflammatoire souvent reliée à une adénopathie par une traînée de lymphangite. PeV 1 est défini par une croissance tumorale rapide. [239] :B B - Anisocaryose. C - Anisocytose. [240] [233] :E Le cancer médullaire de la Question annulée. thyroïde est une tumeur du [234] système APUD. Il peut être :DE A- Classe la maladie en stade III. associé à un phéochromocytome, une B - Classe la maladie en stade hyperparathyroïdie primaire, IV. C - Ne rentre pas dans les signes ou une maladie de Recklinghausen dans le cadre généraux de la classification. d’un syndrome. Cependant une cholestase doit faire rechercher une atteinte Il est développé aux dépens des cellules C thyroïdiennes hépatique du Hodgkin, ou des et sécrète de la calcitonine. Il adénopathies comprimant le peut se révéler par une cholédoque, ce qui modifie le diarrhée, des flushes, une stade. D E - Les signes rentrent dans la hypocalcémie (liée à une hypercalcitonémie), des classification. variations tensionnelles. B - sont: Lélevation de LACE a une - fièvre prolongée sans foyer valeur diagnostique. La infectieux thyroglobuline sélève dans les - sueurs nocturnes - amaigrissement> 10 % du poids cancers vésiculaires de la thyroïde. du corps. [235] :AE [241] :D Evident. Il s’agit du 1er diagnostic à [236] évoquer devant une :A condensation d’une vertèbre Les métastases osseuses du chez un homme âgé. Les cancer du sein sont le plus souvent ostéolytiques et sont soit autres causes fréquentes de condensation vertébrale sont asymptomatiques soit révélées par des fractures ‘pathologiques’. la maladie de Paget osseuse, la maladie de Hodgkin, et à [237] un degré moindre, la :C splénomégalie myéloïde et C - Lâge, la localisation et les spondylodiscites. l’histologie sont en faveur d’un [242] carcinome prostatique. :ABDE [238] A - Est directement lié à la :B lyse cellulaire, ainsi que E. A - Correspond à la classique Les 5 cancers les plus ostéophiles sont : sein, prostate, thyroïde, rein, bronches. [232] :A Le fait qu’il s’agisse d’un adénocarcinome élimine le mélanome et l’amygdale (fréquemment il s’agit d’un lymphome). Parmi les 3 autres, le plus fréquent et le plus ostéophile est le cancer du sein. 15 c - Cette lyse cellulaire peut être responsable d’une insuffisance rénale aigué, d’où l’importance de l’hyperhydratation préchimiothérapique. D - Il existe une hypocalcémie en rapport avec Ihyperphosphorémie liée à la lyse tumorale. [243] :CE Sans commentaire. [244] :E Evident, il faut rechercher sur ce terrain un cancer des voies aéro-digestives supérieures. [245] :C A - Est un aspect très évocateur de myélome mais pas absolument spécifique. B D - Ppeuvent se voir lors des gammapathies monoclonales bénignes. E - Ne témoignent que de Ihyperimmunoglobulinémie (la VS est normale dans les myélomes à chaînes légères, non sécrétants et à cryoglobuline) C - Seul ce critère permet de poser le diagnostic de myélome : plasmocytes dystrophiques nombreux (> 15 %) sur le myélogramme. [246] :B Cancer très ostéophile, et le plus fréquent chez la femme. [247] Question annulée. [248] :AC Sans commentaire. [249] :ABE Sans commentaire. [250] :A Sans commentaire. [251] Question annulée. [252] :BE Sans commentaire. [253] : Question annulée. [254] :B Evident. Le basocellulaire a une malignité purement locale. [255] :D Il s’agit d’une urgence cancérologique. La thérapeutique à instituer est une radiothérapie décompressive associée à un traitement anti-oedemateux par corticothérapie générale. [256] :ACE Evident. [257] :BC Le myélome n’est pas responsable d’une hyperglycémie mais d’une hyperlipémie, peutêtre en rapport avec une activité antilipoprotéine de l’immunoglobuline monoclonale. [258] :D Le chylothorax survient lors de toute pathologie compressive lymphatique notamment les processus malins. On observe également des chylothorax par traumatisme du canal thoracique. [259] :B La dégénérescence est quasi obligatoire dans cette maladie, imposant une colectomie totale. La lentiginose de Peutz Peghers ne dégénère quexeptionnellement, tout comme la ploypose juvénile. [260] :B Le cancer du sein réalise fréquemment des images mixtes. [261] 16 :B Plus exactement, la régression est partielle quand plus de 50 % de la masse tumorale a disparu. [262] Question annulée. [263] :ABCDE Tous ces cancers peuvent donner des métastases osseuses. Les cinq cancers les plus ostéophiles sont : sein, prostate, thyroïde, rein, bronches. [264] :ABC A et C - Sont liés au virus Epstein Barr. A est - Fréquent surtout en Chine du Sud et au Maghreb. C est - Fréquent en Afrique Centrale. B - Est lié aux infections cervicales par Papilloma virus (HPV) dont certains types sont oncogènes. [265] Question annulée. [266] :AC A - Est la conséquence de nombreuses chimiothérapies, mais rAdriamycine est particulièrement alopéciante. On peut essayer de limiter cet effet secondaire par le port de casques réfrigérants en cours de traitement. C - li existe une toxicité cumulative de lAdriamycine apparaissant au delà de la dose cumulée de 550 mglm2. D - Est une complication des alcaloïdes de la pervenche (Vinblastine, Vinscritine). E - Complique les traitements par Busulfan, Méthotrexate et Bléomycine. [267] cm marge anale). C - Idiot : tumeur rectale, non colique. E - Non curateur. [274] :C C - Le seul examen pouvant donner une histologie, de plus le plus sensible. A B - Peut être associé, moins sensible et pas dhistologie. D E - Aucun rapport. [275] :BCDE A - Non peut donner une atteinte récurentielle gauche et non droite. B C D E - Evident. [276] :BCDE A - Image classiquement non maligne (macro calcifications). B - Oui, effet oedème non visible à la mammographie. C - Envahissement cutané. D E - Classiques. [277] :ABCD Connaissance. E - Polypes utérins et non du col. [278] :CD Connaissance. A - Peut se discuter (taux de réponse très faible). B E - Aucune réponse connue. [279] :BCD (Score de Durie-Salmon à [271] connaître). :D D - Par action sur la thymidihate [280] :ABCDE synthétase A - Oui, c’est son mode d’action. Connaissances. B, C, D, E - Connaissance. [272] :C C - Connaissance. [281] :ACE [273] Connaissance. :D D - Le traitement curateur d’une B - Non par définition. D - Jamais, c’est une tumeur à moins de 8 cm de la classification initiale de la marge anale ne peut être qu’une intervention chirurgicale maladie. [282] avec amputation abdomino:ABD périnéale. A - Ne se voit pas dans le cas A, B - Impossible (tumeur à 2 :BD A - A une toxicité cardiaque (il sagit dune anthracycline). C - A une toxicité surtout muqueuse et digestive (colites ulcéreuses). E - Donne principalement des réactions allergiques, une atteinte pancréatique. [268] :ADE Ces complications, classiques et graves, peuvent être limitées par le traitement préradiothérapique de toute infection dentaire et le port de gouttières fluorées. [269] :B A - Intervention classique. C D E - Dérivations laissant la tumeur en place. B - La duodénectomie est indispensable en cas de chirurgie carcinologique. [270] :D A - Aucune spécificité. B - Cancer de lovaire. E - Cancer du sein. C - Tumeurs hépatiques et germinales. D - Le plus spécifique évoquant une tumeur digestive quand il est très élevé, très évocateur dadénocarcinome pancréatique. 17 d’un kyste bénin, toujours bien limité. B - Effet oedème. C - A l’inverse de leur présence l’aurait fait évoquer. D - Effet oedème ou infiltration. E - N’a aucune valeur d’orientation. [283] :B Peut faire la part entre thrombus thrombotique et thrombus néoplasique ce que ne fait pas le scanner, l’échographie ni la cavographie. D - Mauvais examen pour le diagnostic de thrombose. [284] :D Il est impératif de ne pas aborder directement le testicule en cas de suspicion de cancer. Seule l’histologie donnera le diagnostic. [285] :C Connaissance : le mélanome malin est la tumeur cutanée la plus métastasiante. D E - Donnent très rarement des métastases (carcinome localisé aux cordes vocales) voire jamais (glioblastome). [286] :B Connaissance, peut être associé à lendoxan ou à l’adriamycine. [287] :E Connaissance, si métastase non ganglionnaire mais d’organe = D2. [288] :E E - Même au stade métastatique la chimiothérapie dans le cancer rénal est quasiment inefficace. S’orienter plutôt vers linterleukine 2. [289] [300] :D C’est une tumeur excessivement chimio sensible. S’il persiste des masses après un premier traitement chimiothérapique, en faire l’exérèse pour vérifier l’absence de tumeur viable. S’il existe encore de la tumeur active alors reprendre un traitement. [291] Sinon surveillance simple. :D L’hématurie terminale signe une [301] :B pathologie vésicale. Connaissance (os et moelle = A B C E - Signes cliniques ou biologiques pouvant évoquer un neuroblastome si tumeur solide de l’enfant). cancer du rein. [292] :C [302] :AC Connaissance. B - Faux, moins fréquent que [293] pour les tumeurs du quadrant :CE interne. Connaissance. E - Faux chez les femmes non [294] ménauposées. :ABCDE D - Faux ce n’est pas un signe Sans commentaire. inflammatoire. [295] [303] :B :AE Connaissance. Connaissance. Les 2 tumeurs MX et non MO car il n’y a pas malignes les plus hormonoeu de bilan à la recherche de sensibles sont celles du sein et métastases. de la prostate. [296] [304] :A :AD Connaissance : devant des Connaissance. métastases osseuses rechercher une tumeur du sein, [305] :AC rein, thyroïde, prostate en Sur le terrain premier, mais ce sont des Sujet jeune, donc penser à un adénocarcinomes. Iymphome ou une tumeur Les tumeurs bronchiques sont thyroïdienne. les premiers cancers [306] épidermoïdes donnant des :AD métastases osseuses. Connaissance. [297] [307] :C :ABCD Connaissance. Lyse tumorale = libération [298] d’éléments intra cellulaires (K+, :E phospore) + hyperuricémie. Connaissance. Risques majeurs = anurie etldonc [299] hyper kaliémie. :D [308] Connaissance. :A Car tumeur infiltrante donc néphrectomie indispensable (donc pas B-C). D E - Non car N- M-. [290] :B C’est une tumeur opérable et seule la chirurgie est un traitement curateur du cancer du rein. 18 :E Le CA 15.3 est le marqueur du cancer du sein, FACE est beaucoup moins sensible et spécifique. [309] :ABC (D et E ne s’accompagnent pas de dysplasies épithéhales, ne dégénèrent donc pas). [310] :BDE Définition même du syndrome de Pancoast-Tobias. [311] :BD C’est une homonothérapie donnée rarement d’emblée classiquement. Inhibe la synthèse d’homones (androgènes ou oestrogènes), par feed-back négatif. [312] :ADE Connaissance. B - C’est l’inverse. C - C’est l’inverse. [313] :ABD C E - Pas nécessaire. D - Rythme suffisant car la patiente na pas apparemment de facteur de risque particulier donc surveillance classique. [314] :BE Si femme non ménauposée et ganglions histologiquement envahis, la chimiothérapie adjuvante augmente la survie, quel que soit le score de Scarif-Bloom. [315] :AE Connaissance. [316] :ADE (Tachycardie du fait de la déshydratation). [317] :BCDE On n’affirme la malignité D E - Ne sont pas des lésions pré-cancéreuses. A - Favorise rapparition de carcinome spino cellulaire. C - Non, mais peut dégénérer. En réalité statistiquement exceptionnel. [327] :BCE A - On peut obtenir une rémission complète mais jamais de guérison (rechute inévitable). D Seule rallogreffe de moelle permet actuellement de guérir la LMC. [328] :B Connaissance. [329] :CD Connaissance. [330] :ABD D - Du fait de Ihyperoestrogénie associée aux dysovulations prolongées. [331] :C Pour pratiquer une exérèse maximale, établir le stade, donner Ihistologie. [332] :B Le syndrome inflammatoire est exceptionnel dans les autres cancers thyroïdiens et évoque fortement le diagnostic surtout si [324] le patient est âgé (type :AD histologique rarissime chez le Connaissance. E - Pas d’études scientifiques le sujet jeune). [333] prouvant, bien que les :B radiations soit un carcinogène C’est la mammographie qui est la connu. plus sensible. B - Non. C - Non. [325] [334] :A :ACE Le dosage du CA 15.3 est aussi Connaissance, c’est le marqueur du cancer de l’ovaire. très utile pour la survie de la [335] patiente et actuellement est :C préféré à l’ACE. Evident, le pronostic dépend [326] essentiellement du stade. :B Au sens strict du terme, seule B [336] :C est juste. qu’en ayant une histologie. [318] :D Connaissance. Ladénocarcinome est une tumeur du 1/3 inférieur (30 %) et de type cylindrique glandulaire, comme ceux de l’estomac. [319] :D Une tumeur bénigne ne métastase jamais. [320] :E Diagnostiquera les micrométastases grâce à l’étude histologique. [321] :B Connaissance. [322] :C La tumeur est diagnostiquée lors d’un examen systématique devant une augmentation de volume de l’abdomen. Dans les 2 cas la laparotomie suit et fera le diagnostic. [323] :E Non le siège est essentiellement sur les zones exposées au soleil, principalement la face. 19 Une élévation < 3 fois normale peut se voir dans les ascites cirrhotiques mais jamais à une telle valeur. [337] :C (PEV1) connaissance. [338] :D Connaissance : inopérable car atteinte du 1/3 inférieur du vagin ou atteinte de la paroi. [339] :C A - Non T3 si supérieur à 5 cm B - Non atteinte du muscle pectoral D - Non Mo = absence de métastase E - Non Mx = pas de condition minimale requise pour savoir si il y a des métastases. [340] :ABCD Connaissance. [341] :ABE C - Non, plutôt des adénocarcinomes D - Non [342] :AC (Tumeurs embryonnaires et tumeurs hépatiques malignes primitives ou secondaires). [343] :ACE B - Non le frottis fait le diagnostic de malignité mais pas de cancer invasif, il faut une biopsie pour faire la preuve de l’invasion. D - Non stade Il. [344] :BCD L’irradiation n’est indiquée que quand il y a une extension dépassant la paroi colique. Pas dans les stades A et B de Dukes. Une radiothérapie doit être associée, survie 40 % à 3 ans. [353] :B Sur l’âge, le type histologique, la localisation ganglionnaire. [354] :B Il existe une atteinte sus et sousdiaphragmatique (splénomégalie et ganglions cervicaux et médiastinaux) ainsi que des Pas de réponse. signes généraux (sueurs et QCM sans réponse, l’item D serait le plus acceptable mais si température à 38,2). la fraction d’éjection était inférieure à 50 %. Dans ce cas [355] il ne faudrait pas faire d’injection : A C E de doxorubicine. Les adénocarcinomes se [348] développent à partir d’éléments :C glandulaires. Problème mécanique simple. [356] [349] :B :A Connaissance. L’hormothérapie par [357] antioestrogènes augmente la :C médiane de survie des femmes C’est la période ou le risque de ménauposées avec des leucémie secondaire est tumeurs mammaires, ganglions maximale. envahis et récepteurs A - Non, aucun rapport. hormonaux positifs. C’est le B - Non, le risque diminue avec le traitement de choix. temps, il nest donc pas majoré à [350] 5 ans. :C E - Non, la radiothérapie était Représente environ 10 % des abdominale haute. tumeurs thyroïdiennes, forme D - Non, pas majoré à 5 ans. familiale fréquente (50 %) Complication du MOPP. sécrétion particulière de Apparaît dès le début de la thyrocalcétonine chimiothérapie. Doit faire rechercher d’autres [358] tumeurs endocines :ABC (phéochromocytome, D E - Ne sont pas des facteurs adénomes parathyroïdiens) favorisants connus. La diarrhée motrice et les flushs B - Penser au lymphome de sont caractéristiques du CMT Burkitt. (substances neuro endocrines [359] sécrétées probablement en :C cause). Connaissances. [351] [360] :E :D Connaissance. Connaissances. La coelioscopie [352] a un interêt pour les tumeurs :E ovariennes. Evident : tumeur de pronostic [361] redoutable à fort potentiel de :C métastase le long du névraxe. Connaissances. [345] :A Evident, c’est l’examen la plus simple et le plus fiable. [346] :C D - La mélanose de Dubreuilh n’est pas hériditaire A B E - Non, évident. [347] 20 [362] :E Connaissances. [363] :E D - Los est la structure qui absorbe le plus dans lorganisme quel que soit le type de rayonnement. A B C E - Raisons pour lesquelles cette technique d’irradiation a été développée. [364] :D La radiographie pulmonaire est presque toujours parlante, par contre elle ne dépiste que 15 % des tumeurs pulmonaires asymptomatiques. [365] :ACE B E - Aucun rapport. A C D - Peuvent permettre de définir le temps de doublement tumoral. [366] :ABE C - Cancers coliques. D - Lymphome (classification de Lukes et de Collins). [367] :BD Connaissances. [368] :AB A - Dans toutes les tumeurs thyroïdiennes. B - Thyrocalcitonine marqueurs spécifiques du CMV. [369] :ABCDE Connaissances. [370] :ABCDE Raisons essentielles de rexistence de la classification TNM. [371] :AD B - Non, 10%. C - Non, évoque plutôt une thyroïdite ou une hémorragie intra-kystique. E - Non. [372] :ABE C - Non, c’est un cancer hormono-résistant. D - Non, pic vers 40 ans. [373] :AD B - Non, c’est une chirurgie curative. C - Non, car dégénère exceptionnellement (plutôt en tumeur sarcomateuse). E - Ne dégénère jamais. [374] :ABC Connaissances. Devant une métastase osseuse, penser aussi aux adénocarcinomes mammaires et rénaux mais aussi bronchiques. [375] :AB Connaissances. [376] :CD Connaissance. [377] :BC Sans commentaire. [378] :E E - Examen de première intention pour les pathologies ovariennes, excellente sensibilité. [379] :A Connaissances. [380] :E E - Le caractère métastatique affine la malignité. [381] :D Connaissances. [382] :D Connaissances. C’est encore actuellement le facteur pronostic majeur du cancer du sein. La présence dun envahissement ganglionnaire chez la femme de moins de 50 ans impose une chimiothérapie adjuvante. Chez la femme postménauposée avec des Rh+, elle doit faire proposer une hormonothérapie. [383] :AB In situ = dans la muqueuse ne dépassant pas la membrane basale. [384] :AB Connaissances. [385] :B Connaissance. [386] :D Connaissance. [387] :B Connaissance. [388] :AE B, D - Sont des Adénocarcinomes. C - Non, les aires inguinales ne sont pas des relais ganglionnaires satellites du col utérin. [389] :C Si l’on traite par radiothérapie, une curiethérapie interstitielle doit être pratiquée. Mais on nest pas obligé de pratiquer en 2 séances ou associée à une hyperthermie interstitielle. [390] :AD Connaissance. [391] :CD Sont aussi considérés comme facteurs favorisants les hyperplasies muqueuses, les amines aromatiques, le café, la saccharine et les métabolites du tryptophane. [392] :AD Connaissance. 21 [393] :B Par le système portaI. [394] :D Une métastase hépatique isolée et opérable doit être retirée. [395] :DE D - Opérabilité, le patient doit tolérer la lobectomie voire la pneumonectomie. E - Ne pas opérer un cancer métastatique: illogique. [396] :ABCDE A - Tous les adénocarcinomes. B - Les tumeurs embryonnaires. C - Le myélome multiple. D - Ladéno-carcinome mammaire. E - Les tumeurs malignes hépatiques et les tumeurs embryonnaires. [397] Sans commentaire. [398] :A A - Car seuls les lymphocytes T ont un intérêt dans lefficacité de la vaccination antigrippale mais toutes les drogues chimiothérapiques naltèrent pas la fonction du lymphocyte T (les drogues doivent être lymphotoxiques, exemple : corticoïdes, endoxan). [399] :D Connaissances. [400] :C A B D - Adénocarcinomes E - Adénocarcinome très particulier. [401] :D Voir dans la question le terme lymphoedème plutôt que mobile. a : non suspect b : suspect - N2 : ganglion homolatéral fixé. - N3 : ganglion sus ou retro claviculaire homolatéral, ou oedème du bras. [2] :BE Voir les facteurs de risques de cancer du sein. [3] :ABD Plus de trois ganglions envahis est considéré comme de mauvais pronostic - La classification histopronostique de Scarif et Bloom comporte 3 grades: I: Bien différencié. Il: Moyennement différencié. III : Indifférencié, de mauvais pronostic. Labsence de récepteurs hormonaux rend peu probable la réponse à l’hormonothérapie. Autres facteurs de mauvais pronostics - T> 5 cm - sein inflammatoire - métastase. [4] :E Lirradiation simpose après chirurgie car elle assure un meilleur contrôle loco-régional que la chirurgie seule (récidives locales moins nombreuses). Les ganglions étant envahis, la radiothérapie devra concerner, [410] outre la paroi thoracique :BCD régionale du sein, les aires Connaissances. ganglionnaires axillaires, sus[411] claviculaires et mammaires :B Connaissance, mais l’extension internes homolatérales. La chimiothérapie vise à traiter ne doit pas atteindre le 1/3 les métastases infracliniques inférieur car dans ce cas c’est probables dans ce contexte (N+, un T2b. (Classification TNM). SBR III). [1] [5] :A :B Classification TNM - Ti : <2cm, T2 :2 à 5cm, T3 :5- S’il était élevé initialement, surtout. 10cm, T4 : >10cm ou [6] envahissement cutané. - NO: pas de ganglion palpable. : C Masse battante, soufflante, - Ni : ganglion homolatéral lymphadénectomie probablement? C - Car laisse la veine axillaire en place, diminution nette du risque de lymphoedème. [402] :B B - Peut se voir. D - Plus rare. E - Plutôt la commissure labiale. [403] :ABE C - Carcinomes épidermoïdes. D - Tumeurs embryonnaires. [404] :ABDE Connaissances. [405] :ABDE La prévention secondaire consiste à déceler et à traiter les lésions pré-cancéreuses. C - Plutôt prévention primaire. [406] :ABC Connaissances. [407] :BCE Connaissances. [408] :BE A C D - Ne sécrètent pas d’ACE, plutôt réservé aux adénocarcinomes. [409] :ABD Connaissances. 22 expansive, para ombilicale = anévrisme de l’aorte abdominale. D - Non, car la masse est expansive. A - Piège grossier. [7] :B Examen rapide, sensible, permettant d’apprécier la thrombose associée. [8] :B N’a pas d’intérêt, car cliniquement il n’existe aucune anomalie. [9] :B Par rupture d’anévrisme. L’embolie artérielle est également redoutable. La thrombose est quasi toujours associée. [10] :B D’indication formelle. La rupture menace en permanence. [11] :CDE La stase salivaire et la dysphagie évoquent une obstruction pharyngée, qui, sur ce terrain alcoolotabagique fait penser à un cancer des voies aérodigestives supérieures. L’immobilité laryngée est fortement suspecte d’envahissement néoplasique dans ce contexte. [12] :C La dysphagie sans trouble respiratoire, avec stase salivaire, et avec une adénopathie cervicale évoquent une origine basse, hypopharyngée (sinus piriforme). [13] :AC L’altération de l’état général peut-être une contre- vise à obtenir la stérilisation tumorale. Le vagin est irradié pour diminuer le taux de récidives à son niveau. La colpohystérectomie a lieu 6 semaines plus tard. Elle sera suivie de radiothérapie externe en cas denvahissement ganglionnaire histologique. [18] :B Le cancer du col utérin est une maladie à évolution principalement loco-régionale. Les métastases sont rares et tardives (en dehors des métastases ganglionnaires pelviennes). La récidive survient souvent sur cicatrice vaginale de l’intervention chirurgicale. [19] :E L’âge, la clinique, la mammographie sont fortement évocateurs, nécessitant un bilan à la recherche du cancer avant tout. [20] :B Seule l’histologie est affirmative, sur la tumeur primitive. [21] :B [16] Valable pour toute tumeur :BCE maligne. Les calcifications se Le carcinome épidermoïde du col n’a pas de marqueur connu. voient dans les tumeurs bénignes Le bilan systématique pour tout (macrocalcifications), les adénopathies métastatiques sont stade comprend typiquement petites, dures, - lymphographie indolores. - UIV [22] - cystoscopie. :CE LUIV recherche une Les récepteurs ont un intérêt compression urétérale et son pronostique et thérapeutique retentissement sur le haut (sensibilité à l’hormonothérapie). appareil La lymphographie recherche un Les frottis seraient réalisés, mais à titre systématique, pour le envahissement ganglionnaire pelvien dont le premier relai est dépistage du cancer du col utérin, sans rapport avec iliaque externe (ganglion de l’extension de la tumeur du sein. Levoeuf et Godart). [23] [17] :B :C Voir la classification TNM. C’est le traitement classique. T2 : tumeur entre 2 et 5 cm. La curicthérapie utérovaginale indication à l’anesthésie générale. La “préparation” à la chirurgie nécessite la renutrition du malade. L’existence d’une métastase oriente le traitement vers une attitude palliative. Le “contrôle local” n’a ici plus d’intérêt. La chirurgie associe une laryngectomie totale et une hypopharyngectomie unilatérale (dans les tumeurs classées T3). L’évidement ganglionnaire est bilatéral. La radiothérapie est toujours associée, nécessitant des doses de l’ordre de 65 gys. [14] :B La certitude ne peut-être qu’histologique (biopsie). [15] :BDE L’examen doit être fait sous anesthésie générale - pour obtenir une bonne décontractation - pour faciliter l’examen par plusieurs médecins. L’état de la cloison rectovaginale est appréciée par le toucher bimanuel vaginal et rectal. 23 Ni a : car on palpe des adénopathies, mais leur aspect clinique est bénin. [24] :D La tumorectomie est généralement pratiquée pour les tumeurs de moins de 3 cm. Le curage axillaire est systématique. La radiothérapie concerne le sein et la paroi thoracique sous mammaire systématiquement si on trouve un envahissement ganglionnaire histologique, il faut irradier également : aires ganglionnaires axillaires, susclaviculaires, mammaire interne homolatérale. [25] :BCDE Le cancer du sein est très ostéophile. Les métastases hépatiques et thoraciques sont également fréquentes. LACE a un intérêt dans la surveillance postthérapeutique. [26] :D Les signes inflammatoires témoignent d’une évolutivité importante, et impose la chimiothérapie première, avant toute chirurgie. [27] :BE Les chimiothérapies les plus utilisées dans le cancer du sein sont - cyclophosphamide, adriamycine, 5 fluoro-uracile, méthotrexate. [28] :C La chirurgie et la radiothérapie sont systématiques. Dans ce cas, il faut opérer dès que les signes inflammatoires ont disparu. Elle associera mammectomie et curage :C Du fait de la barrière hématoencéphalique. Les patients en rémission complète après la chimiothérapie peuvent bénéficier dune radiothérapie prophylactique sur fencéphale (30 Gys en 10 séances). [35] :D Le taux de survie à 2 ans est de 10 à 20 % dans les formes localisées, la plus faible parmi les cancers bronchiques, et ce, malgré la chimiosensibilité et la radiosensibilité. [36] :E Les formes disséminées ont une médiane de survie de huit mois environ. [37] :Ac Les facteurs de risque entrent tous dans le cadre des hyperoestrogénies relatives ou absolues B - Est faux : ce sont les mastopathies bénignes qui sont un facteur de risque. [38] :B Ti : inférieur à 2 cm. T2 : 2 à 5 cm. T3 : plus de 5 cm. T4 : extension cutanée ou de la paroi thoracique, (quelle que soit la taille). Ni : car c’est un ganglion axillaire homolatéral. Ni a : car il n’est pas suspect d’envahissement (peut-être dû à une lésion, même minime du membre supérieur droit, ou être simplement réactionnel, sans cellules néoplasiques). [39] :D [33] A - Peu sensible. :A B E - Ne font qu’orienter le Justifie une scintigraphie diagnostic. osseuse. Les métastases cérébrales sont c - Intérêt dans la surveillance. également fréquentes, justifiant Non spécifique du cancer du sein. Doit être dosé avant le un scanner cérébral lors du traitement, puis pendant et après bilan dextension. s’il était élevé initialement. [34] axillaire homolatéral. La radiothérapie suit les modalités habituelles. [29] :C L’association radio chirurgicale assure un bon contrôle locorégional. Le cancer du sein doit être considéré comme une maladie générale, étant donné la fréquence des micrométastases au moment du diagnostic. Dans le cas présent, le tableau initial rend très probable l’existence de micrométastases initiales. [30] :E N’a rien à voir. Il se voit dans le cancer de l’apex, dans le cadre d’un syndrome de Pancoast Tobias: - lyse de la 1ère côte - névralgie C8 Dl - claude Bernard Horner. L’envahissement médiastinal est très fréquent au cours du cancer anaplasique à petites cellules. [31] :A Evident. Le syndrome cave supérieur est une indication du traitement d’urgence répondant parfaitement à la chimiothérapie avec corticothérapie. [32] :B Inutile, car parfaitement inexistant au niveau médiastinal. A C D - Sont systématiques. E - Permettra de voir l’immobilité de la corde vocale (par paralysie récurrentielle) 24 D - Est le seul examen permettant un diagnostic formel, d’histologie précise. [40] :B C’est le traitement classique des formes limitées non centrales. Le curage axillaire homolatéral permet d’apprécier l’extension ganglionnaire, conditionnant la suite du traitement. Un curage limité entraîne peu de risque de lymphoedème du bras. L’irradiation est systématique après chirurgie. Elle entraîne un meilleur contrôle locorégional donc moins de récidives, bien que n’améliorant pas la survie. (Si les ganglions sont indemnes, dans un stade limité, l’irradiation comprend le sein et la paroi thoracique. En cas d’envahissement ganglionnaire, on irradie en plus les aires ganglionnaires, axillaires, sus-claviculaires et mammaires internes homolatérales). [41] :D D - Est admis par tous, bien que discuté en fonction du nombre de ganglions atteints. A - Discutable car les avis divergent amplement. c - Prescription de tamoxifene. cependant, la chimiothérapie du cancer du sein est extrêmement controversée dans ses indications. Dans les stades localisés (Ti T2), l’indication de chimiothérapie dépend - du grade histopronostic de Scarif et Bloom (grade III?) - du nombre de ganglions envahis (supérieur à 3 ?). [42] :E T4 : envahissement cutané ou de la paroi thoracique (sauf le grand pectoral et son aponévrose) quelle que soit la taille de la tumeur. N3 : adénopathie sus ou rétroclaviculaire, ou oedème du bras. La détermination est clinique (non histologique). [43] :DE A - Concerne le bilan préthérapeutique si une chimiothérapie comprenant des anthracyclines est entreprise (mesure du coefficient d’éjection systolique). Elle est parfois remplacée par une ventriculographie isotopique voire, plus récemment par la biopsie endomyocardique. C - Une radiographie thoracique face et profil est suffisante. B - En cas de signe d’appel. D E - Systématiquement, recherche de métastases infracliniques, une scintigraphie positive sera complétée par des radiographies localisées. [44] :BCE A - Surtout avec la Vincristine®. B - Adriamycine® - Endoxan®. C - Toute chimiothérapie. D - Cisplatinum® E - Adriamycine® Endoxan®. Ne pas oublier le risque de cystite hémorragique avec le cyclophosphamide, et la cardiotoxicité de l’adriamycine. [45] :BCE B - Le cancer du sein est réputé hormonosensible. L’absence de récepteur privant de l’intérêt de l’hormonothérapie. C - Classification histopronostique de Scarif et Bloom. Le grade III (noté SBR III) correspondant à un type indifférencié de mauvais tératomateux pouvant être dissocié E - Remplacée ou associée au scanner abdominal recherchant adénopathies rétropéritonéales et métastases viscérales. Le bilan est complété par une UIV. [48] :C Systématique et immédiate devant toute tuméfaction testiculaire. Seule la “voie haute”, c’est à dire inguinale doit être utilisée permettant la section haute du cordon, et le respect du scrotum. La biopsie transcrotale est à proscrire, du fait du risque de greffe tumorale scrotale de mauvais pronostic. [49] :BD Ce sont les 2 risques majeurs du cisplatinum. La surdité est de perception, fonction de la dose cumulée. Le risque d’insuffisance rénale doit faire pratiquer, pendant l’administration du cisplatinum, une diurèse forcée par perfusion de sérum glucosé, Lasilix® et Mannitol®. [50] :C [47] 10 jours correspondent :ABDE grossièrement au moment où A - Systématique dans le bilan d’extension (de plus, il existe une l’aplasie médullaire éventuelle est la plus importante (Nadir). dyspnée !). Certains préfèrent actuellement le scanner Cette aplasie nécessiterait la thoracique permettant de déceler mise en chambre stérile, l’antibiothérapie des petites métastases, majeure, parfois des notamment des culs-de-sac transfusions de leucocytes. pleuraux, difficilement Bien sûr, les prélèvements visualisables sur une bactériologiques complètent radiographie le bilan. standard. La NFS permet de distinguer B - Sécrétée par les choriocarcinomes, évoqués ici en 2 groupes de malades, selon l’aplasie ou non, distinction raison de la gynécomastie. fondamentale pour le C - Sans intérêt. D - Dont l’augmentation traduirait traitement. [51] l’existence d’un contingent pronostic. Les critères sont cytologiques. SBR I : bien différencié ; SBR li: moyennement différencié E - Mauvais pronostic car: début de dissémination, avec risque accru de micrométastases au moment du diagnostic ; de plus, le curage ganglionnaire ne concerne pas les ganglions susclaviculaires. A - Est au contraire de meilleur pronostic qu’une tumeur centrale ou des quadrants internes qui envahissent plus rapidement le médiastin. [46] :E La palpation d’une masse testiculaire chez l’homme jeune, doit faire penser au cancer du testicule. La gynécomastie traduit une sécrétion d’HCG, donc une tumeur non séminomateuse (qui inclut les tumeurs ayant un contingent séminomateux et un autre contingent) ; ici il s’agit d’un choriocarcinome. La masse abdominale fait suspecter une atteinte ganglionnaire, qui à gauche est le plus souvent lombo aortique prérénale. La dyspnée d’effort évoque des métastases pulmonaires. 25 :E Classification de Whitemore - stade A - cancer occulte, découvert sur pièce d’adenomectomie - stade B 1 - nodule limité à l’intérieur de la glande touchant 1 seul lobe et/ou taille < 1,5 cm B2 - Idem, touchant 2 lobes et/ou> 1,5 cm - stade C - envahissement locorégional : pelvis, ganglions pelviens - stade D - métastase L’augmentation des phosphatases acides prostatiques est contemporaine des métastases osseuses. [52] :ABCDE La réponse E est à mettre entre parenthèse. Le distilbène®, à la dose de 2-3 mg/jour est le plus utilisé. Cependant, la toxicité, notamment cardiovasculaire, avec risque de thrombose est un facteur limitant. Son action est constante sur les symptômes urinaires, mais elle n’améliore pas la survie. Son intérêt est donc palliatif. Les antiandrogènes (acétate de cyprotérone-flutamide) sont moins toxiques mais moins efficaces que le DES. Les analogues de la LH-RH donnent actuellement des résultats excellents, de plus en plus utilisé en première intention avant le distilbène. Les progestatifs sont parfois utilisés en dernière intention, peu efficaces, ils ont un effet de brève durée. [53] :D Cependant, il existe à terme un échappement au traitement qui nécessitera une autre hormonothérapie, dont l’efficacité sera brève. [54] :ABC Le dosage des phosphatases acides prostatiques permet de vérifier l’évolutivité métastatique. Loestrogénothérapie diminue le taux de sécrétion de la LH hypophysaire par rétro-controle négatif et diminue la testostérone libre (celle qui est active). En fait la surveillance est surtout clinique, vérifiant l’amendement des symptômes et la tolérance cardiovasculaire. [55] :C Le médullogramme est un examen cytologique. La biopsie du ganglion est indispensable pour connaître l’architecture du tissu. Les autres examens sont évidemment injustifiés à ce stade d’établissement du diagnostic. [56] :A En fait, elle tend à être remplacée par le scanner abdominal. Le bilan, actuellement, comprend - examen clinique - radiographie thoracique - scanner abdominal et thoracique - NFS avec plaquettes - VS - électrophorèse des protides - fibrinémie - dosage des phosphatases alcalines - transaminases bilirubine - gamma GT. Tous ces examens sont systématiques. Ponction biopsie osseuse en cas de signes généraux (fièvre, sueurs, amaigrissement) dans les stades III et IV. Les autres examens seront pratiqués en cas de signes d’appels. [57] :B Il existe une atteinte ganglionnaire médiastinale et sus-claviculaire : ce sont deux territoires non contigus du même côté du diaphragme = stade Il. 26 A = absence d’évolutivité clinique (ni fièvre, ni sueur, ni amaigrissement) a = absence d’évolutivité biologique (VS<40). [58] :ABE La réponse E est à mettre entre parenthèse. Par ailleurs, hypoplasie médullaire (surveillance hebdomadaire de la NFS) risque de stérilité par toxicité gonadique enfin, risque leucémigène. L’alopécie est inconstante et transitoire. [59] :B L’irradiation en mantelet est réalisée par un faisceau prenant les ganglions cervicaux, susclaviculaires, axillaires, médiastinaux, en protégeant le larynx et une partie des poumons. Pendant l’irradiation (qui se fait en étalement classique et < 5 x 2 grays par semaine). La surveillance de la NFS doit être régulière étant donné l’irradiation d’une grande quantité de moelle hématopoïétique. Risques tardifs : asialie, fibrose des apex pulmonaires, péricardite, hypothyroïdie, caries, insuffisance coronaire à distance. [60] :D Les stades I et Il ont une survie à 5 ans de 90 %. Facteurs de bon pronostic de stade l-II - “couplé” VS/signes généraux favorables ; c’est-àdire A et Vs < 50 ou B et VS <30 A et VS <50 ou B et VS < 30 - stade Il avec seulement 2 aires ganglionnaires atteintes, sans atteinte massive du médiastin - la réponse à la chimiothérapie qui doit être complète (au mieux dès la première cure). [61] :ABcD complications de la chimiothérapie (MOPP) - précoces: hypoplasie médullaire, nauséesvomissements, polynévrite, alopécie - tardives : leucémies aiguès, stérilité, l’immunodépression est lente à régresser (d’où le risque de zona). complications de la radiothérapie (en Mantelet) - précoce : asialie, dysphagie, alopécie occipitale transitoire, hypoplasie médullaire - tardives: sclérose des apex (asymptomatique), asialie, hypothyroïdie, péricardite régressive, baisse de la capacité respiratoire (régressive en 1 an), syndrome de Lhermitte, spontanément régressif. [62] :B L’opacité systématisée rétractile par compression proximale évoque dans ce cadre, un cancer, proximal. La réponse se fait plutôt par élimination des autres items. [63] :C Toute hémoptysie, surtout chez une femme, doit faire pratiquer une fibroscopie bronchique, permettant des biopsies et un lavage bronchoalvéolaire. [64] :D Le cancer épidermoïde touche presque exclusivement les grosses bronches, sous forme de bourgeonnement. Le cancer anaplasique à petites cellules est médiastinopulmonaire, avec nombreuses adénopathies médiastinales. La radiographie montre souvent un élargissement du médiastin. La fibroscopie trouve une infiltration de la muqueuse, avec compression extrinsèque. L’adénocarcinome donne plus souvent une image ronde périphérique unique. [65] :C ABE.- Sont des problèmes dont il faut tenir compte pour l’anesthésie, mais ne sont pas des contre-indications, si ces lésions sont stabilisées. D - Hépatomégalie n’est pas synonyme de métastase hépatique, ni de cirrhose. c - L’existence d’une adénopathie sus-claviculaire témoigne d’une extension régionale. Le traitement chirurgical dans ces conditions serait inutile car n’améliorant pas le pronostic. contre-indications à la chirurgie - tumeur à moins de 2 cm de la carène - cancer anaplasique à petites cellules - extension pleurale, costale, péricardique (qui peuvent être des découvertes opératoires) - métastases ganglionnaires ou viscérales - état général médiocre - EFR. altérées (le traitement, en cas de contre-indication chirurgicale, fait appel à la radiothérapie). [66] :D Une grosse bourse isolée chez un homme jeune, avec palpation normale de l’épididyme doit fairepenser au cancer du testicule. Le drainage lymphatique du testicule est lombo-aortique. Des adénopathies inguinales peuvent s’observer: - en cas d’envahissement du scrotum - s’il existe des antécédents chirurgicaux pour hernie inguinale ou pour testicule 27 ectopique. [67] :D La suspicion du diagnostic doit faire pratiquer un abord du testicule par voie haute. Jamais de biopsie transcrotale, ni d’orchidectomie par voie scrotale du fait du risque de greffe néoplasique scrotale. La cytologie du sperme n’a aucun intérêt. La lymphographie ferait partie éventuellement du bilan d’extension (mais remplacée par le scanner). [68] :BC béta HCG : traduisent l’existence d’un contingent de choriocarcinome. Alphafoetoprotéine: traduit l’existence d’un contingent de teratocarcinome. Les associations sont possibles. L’élévation de ces marqueurs signent une tumeur non séminomateuse pure. Les prélèvements pour recherche de marqueurs sont pratiqués - dans le sang, avant orchidectomie - dans le cordon, pendant l’intervention puis, lors de la surveillance s’ils étaient élevés initialement. [69] :AD A - Est le premier geste, diagnostique et thérapeutique. D - Le séminome est très radiosensible. Les doses nécessaires (25-35 Gys) sont parfaitement tolérées. La lymphadénectomie lomboaortique est donc inutile, et source de complications plus fréquentes. [70] :BCD L’otalgie réflexe est caractéristique de l’origine pharyngée. La dysphagie des localisations oesophagienne n’est pas douloureuse. L’absence de régurgitation lors d’une dysphagie est en faveur d’une atteinte haut située. [71] :E Les cancers des cordes vocales donnent des dysphonies isolées, et les adénopathies sont exceptionnelles, lors d’envahissements importants du larynx. Le cancer sus-glottique est un cancer du larynx donnant des signes respiratoires avec une voie diminuée d’amplitude. La dysphagie est le fait d’envahissement postérieur oesophagien. Ici, le terrain, la dysphagie haute, doivent faire rechercher un cancer pharyngé dont le plus fréquent est le cancer du sinus piriforme (hypopharynx). [72] :D Le sinus piriforme est visible en laryngoscopie indirecte et peut être biopsié pour un diagnostic histologique indispensable. La fibroscopie laryngo-trachéale est trop lourde pour faire le diagnostic, elle fera partie du bilan à la recherche d’un 2e cancer. Les autres examens donnent une imagerie utile au bilan d’extension mais ne font en aucun cas le diagnostic de certitude. [73] :C Dans la classification TNM, il s’agit d’un T3NOMO. La thérapeutique est lourde: - pharyngo-laryngectomie totale, avec trachéotomie définitive, (nécessitant l’apprentissage d’une voie oesophagienne), évidement ganglionnaire - radiothérapie post-opératoire, à des doses élevées (65-70 Gys sur la tumeur primitive) en 6 à 7 semaines. L’irradiation concerne tous les ganglions cervicaux, les creux sus-claviculaires et la tumeur. Les problèmes posés lors de l’irradiation sont lépithélite et la mucite. La cavité buccale doit être remise en état avant la radiothérapie. (Actuellement, la chimiothérapie pré-opératoire est en cours d’étude). [74] :ACD Le bilan d’extension du cancer de l’oesophage comporte systématiquement: - TOGD - fibroscopie oesogastrique - fibroscopie trachéobronchique - examen ORL - radio pulmonaire - echographie hépatique ou scanner abdominal (meilleur car visualise d’éventuelles adénopathies coeliaques). [75] :A Sans commentaire : évident. [76] :AB La scintigraphie permet de visualiser les zones fixantes donc en activité métabolique. Sa positivité est plus précoce que les images radiologiques. Les radiographies du rachis centrées sur la zone douloureuse sont systématiques car les troubles peuvent être indépendants du cancer. [77] :ABCE C E - Sont palliatives contre la dysphagie. B - A montré une efficacité dans le cancer de l’oesophage. sans gain de survie A - Traitement des malades inopérables. [78] :AC Voir facteurs de risque, qui sont 28 en fait, tout ce qui augmente l’exposition aux oestrogènes. [79] :A La fréquence augmente avec l’augmentation de la longévité et du niveau économique. [80] :B T1N0M0. Ti : tumeur limitée au corps de l’utérus. Ti a: hystérométrie < 8 cm. Ti b: hystérométrie > 8 cm. [81] :C Qui sera suivie d’une curithérapie vaginale si la lésion atteint l’isthme. La radiothérapie postopératoire n’est pas admise par tous. [82] Question annulée. [83] :B C’est une tumeur d’évolution essentiellement loGorégionale. Le scanner pelvien se discute, mais ici, il s’agit d’une petite lésion, survie supérieure à 80 % à 5 ans. [84] :B Evident. [85] :A En effet rhypercalcémie peut provoquer des signes neurologiques (confusion, coma) et des signes cardiaques (hyperexcitabilité myocardique). [86] :E La scintigraphie hépatique et/ou cérébrale en 1987 sont des propositions peu plausibles. [87] :C Le Nolvadex® (Tamoxifène) est un antioestrogène séminomateuses, et le traitement est celui des tumeurs non séminomateuses. [94] :C Le séminome est très radiosensible. Des doses de 25 Gys sont suffisantes pour les ganglions iliaques et lomboaortiques dans les stades I. [95] :A Une hypercalcémie est vraisemblablement à l’origine de l’obnubilation. [96] :A Aucun examen n’est nécessaire devant ce lâcher de ballon, n’ayant pas de diagnostic différentiel. [97] :C Sans commentaire. [98] :ABCE Llndocid® diminue la résorption osseuse. [99] :CD Connaissance. [100] :ACD Le cancer de la prostate est hormonodépendant aux androgènes (testostérone). Le but de l’hormonothérapie est de [92] faire baisser la testostéronémie. :ABCE Bien que le scanner soit de plus L’action est palliative. [101] en plus à même d’étudier les :B ganglions abdominaux aussi Il permet d’apprécier l’efficacité bien ou mieux que la de l’hormonothérapie sur les lymphographie. De même, l’échographie du foie et scanner métastases et une reprise évolutive (échappement à abdominal font double emploi. l’hormonothérapie). [93] :ABD En effet, l’examen histologique [102] :CE ne suffit pas, les contingents Le traitement est urgent. cellulaires pouvant être de Laminectomie en cas plusieurs natures. dopérabilité, radiothérapie sinon, Ainsi, l’augmentation d’un marqueur alors que l’histologie ou parfois de première intention. conclue à un séminome signe la Les doses initiales sont modérées, car des doses fortes présence de cellules non agissant par intéraction avec les récepteurs d’oestrédiol. [88] :D On peut proposer une radiothérapie antalgique centrée sur le ou les vertèbres lombaires douloureuses. [89] :C Il s’agit du classique FAC. [90] :ABC A B - Evident. C - Ici, l’examen histologique doit être complété par la recherche de marqueurs bétaHCG et alpha foeto-protéine, dans le sang périphérique et dans le sang du cordon, prélevé lors de l’interventio. L’augmentation franche de l’un des marqueurs signe une tumeur “non séminome pur”, dont le traitement diffère radicalement. [91] :E Le dosage des marqueurs doit être fait avant toute intervention pour suspicion de cancer testiculaire, servant de référence pour la surveillance ultérieure. 29 risqueraient dans un premier temps, daggraver la compression. On associe des corticoïdes. [103] :A Réponse très discutable mais seule possible. LADM est délivré en injections intraveineuses lentes exclusivement intratubulaires si le système veineux est délabré, on préfère utiliser un cathéter. [104] :AB Les examens systématiques avant chaque cure sont ceux susceptibles davoir un rapport avec les drogues utilisées, non avec le bilan d’extension - NFS avant toute chimiothérapie - ECG ou échographie, pour ladriamycine. [105] :B Connaissance. [106] :ABDE A B - Sont liés à la mucite. D - Alopécie constante, transitoire. E - Problème principal de radriamycine. Actuellement, dautres anthracyclines (Farmorubicine@)) sont comparables à radriamycine pour refficacité, mais beaucoup moins cardiotoxiques. [107] :C Les caractéristiques du toucher rectal chez cet homme de 74 ans permettent de poser quasiment le diagnostic de cancer de prostate à confirmer néanmoins par Ihistologie. [108] :BC La biopsie peut être réalisée par voie transrectale, médullaire et non un simple myélogramme. [114] :ABE Le pronostic est meilleur chez les sujets jeunes. Le type Il histologique a le meilleur pronostic. [115] :BD Le traitement des formes de bon pronostic consiste en une chimiothérapie par MOPP ou alternance MOPP-ABVD associée à une radiothérapie en mantelet, ou une radiothérapie exclusive en mantelet + lombosplénique pour stériliser les foyers sous diaphragmatiques, puisqu’il n’y a pas eu de laparotomie. [116] [111] :ABDE :AD Le diagnostic de maladie des Le meilleur traitement dans ce griffes du chat est éliminé sur le cas est la pulpectomie qui caractère ancien et non permet de faire chuter le taux douloureux de l’Adénopathie. Les des androgènes. La castration ganglions dans cette maladie oestrogénique ne semble pas sont initialement douloureux et une bonne indication puisqu’il existe un antécédent d’embolie inflammatoires et évoluent vers l’abcédation. pulmonaire. La radiothérapie vertébrale peut [117] être utilisée à la demande à titre : E antalgique. Rappelons que ces Les diagnostics A B C peuvent mesures sont palliatives et non être éliminés. J’élimine le diagnostic de LLC curatives. devant l’âge du patient (ce n’est Enfin, l’abstention, parfois évidemment pas formel) et le justifiée, ne l’est pas dans ce cas du fait de l’atteinte osseuse. caractère asymétrique des adénopathies. [112] [118] :ACE :B Ces 3 signes permettent de Evident. classer la maladie en A [119] (absence) et B (présence de ces signes). Cela a une QUESTION ANNULEE. importance pronostique. [120] [113] :B :AC Question de connaissances A: Permet de faire un bilan générales. d’extension de l’atteinte médiastinale. C : Indispensable car une [121] :E atteinte médullaire classe la La survie à 10 ans des stades II maladie en stade IV. A bien traités par chimiothérapie Il faut pratiquer une biopsie transpariétale ou transurétrale (lorsque le syndrome obstructif nécessite une résection transurétrale). [109] :ABDE C - Est un marqueur de tumeurs ovariennes surtout avec épanchement de sérum. [110] :E Classification de Whitmore A : foyers cancéreux intraprostatique sans expression clinique. B : lésion nodulaire localisée à la prostate. C : lésion dépassant la capsule prostatique. D : Métastase. 30 et radiothérapie est de rordre de 95 %. [122] :ABDE Sans commentaire. [123] :ABE Importance du palpé pour bilan d’extension. [124] :E Sans commentaire. [125] :CDE Sans commentaire. [126] :BD Terrain et AEG doivent faire suspecter d’emblée le néo pulmonaire. [127] :B Sans commentaire. [128] :B Sans commentaire. [129] :ACDE Sans commentaire. [130] :B Sans commentaire. [131] :B Sans commentaire. [132] :AC Sans commentaire. [133] :E Sans commentaire. [134] :D Sans commentaire. [135] :B Schwartz-Barther. [136] :C Sans commentaire. [137] :C Sans commentaire. [138] :B Il s’agit d’un syndrome paranéoplasique (syndrome de Schwartz Barther) dû à la sécrétion par les cellules tumorales d’ADH. Cliniquement, il se manifeste par des troubles de conscience, des céphalées, parfois des crises comitiales pouvant faire évoquer des métastases cérébrales. Le traitement consiste principalement en une restriction hydrique, la prescription de Ledermycine®, et le traitement du cancer luimême. [139] :D Cet examen simple permet d’éliminer une hyponatrémie de déplétion ou de dilution, la natriurèse étant dans ce cas en rapport avec les apports. [140] :C La restriction hydrique est efficace sur les symptômes lorsqu’elle permet à la natrémie de remonter au delà de 115 mEq/l. Dans les cas où rhyponatrémie est menaçante, on utilisera l’association sérum salé hypertonique + Lasilix®. [141] :E En faveur de ce diagnostic, l’association fumeur-opacité médiastinale - syndrome de sécrétion inappropriée d’ADH, signe quasiment le diagnostic. [142] :AC Le cancer pulmonaire anaplasique à petites cellules est très radio et chimiosensible. Cependant, la survie reste limitée. On propose en général une polychimiothérapie comprenant le cyclophosphamide, le méthotrexate, l’adriamycine, la vincristine, ou plus récemment létoposide et la cisplatine. Cette chimiothérapie est complétée par une irradiation médiastinale et encéphalique à titre prophylactique. La chirurgie n’a que très peu d’intérêt vu la dissémination de la maladie au moment du diagnostic. Les corticoïdes peuvent être utilisés en cas de compression médiastinale ou d’hypertension intracrânienne. [143] :E En cas de dissémination d’emblée, la survie est d’environ 2% à 2 ans. En cas de tumeur localisée, elle est de 10 à 15% à 2 ans. [144] :CE C : A la recherche d’une deuxième localisation dans les voies aérodigestives, fréquente. E : Dans le bilan d’extension minimum. [145] :C Egalement la mauvaise hygiène bucco-dentaire. D : Favorise le cancer de réthmoïde. [146] :CDE La radiothérapie est pourvoyeuse de complications redoutables telles que la radionécrose, osseuse ou muqueuse, et les asialies. D’où l’intérêt des extractions dentaires de dents suspectes et la pose de gouttières fluorées. [147] :C C’est le premier diagnostic à évoquer sur ce terrain, les facteurs de risque étant les mêmes. A: Donne des dysphagies accompagnées de régurgitations, et des toux nocturnes par inhalation bronchique. [148] :B Les 3 facteurs favorisants du 31 cancer de la langue mobile sont: le tabac, l’alcool et la mauvaise hygiène dentaire. [149] :B Evident. [150] :BD A: Est souhaitable mais parfois illusoire. B : Fondamental, pour limiter le risque de nécrose radique. L’emploi de gouttières fluorées est également hautement souhaitable. D : Surtout en cas de mauvais état dentaire. [151] :ABCDE C E : Par le biais de Ihyposécrétion salivaire. [152] :CD Les facteurs de risque du cancer du côlon sont: - râge (le risque s’élève significativement à partir de 40 ans) - rexistence de polyadénomes ou de tumeurs villeuses à fortiori l’existence dune polypose familiale diffuse - les antécédents familiaux ou personnels de cancer colique (risque multiplié par 3) - les colites inflammatoires (RCH surtout) - l’alimentation pauvre en fibres et riche en graisse. [153] :D En principe, colonoscopie annuelle pendant les 5 années qui suivent le traitement. LACE peut être intéressant à doser lors de la surveillance à condition de lavoir dosé en préopératoire. [154] :D Classification du Dukes A : tumeur limitée à la paroi [161] :ACD A: Par voie sous-cutanée. C : L’accoutumance peut arriver plus ou moins rapidement selon les individus. D : Effet secondaire très fréquent. E : Les effets peuvent survenir à différentes doses initiales selon la susceptibilité individuelle. [162] :ADE Les facteurs de risque du cancer du sein sont - râge supérieur à 40 ans - le célibat - rabsence d’allaitement - rexistence d’une mastopathie kystique - un niveau socio économique élevé - des antécédents personnels ou familiaux de cancers hormonodépendants - la nulliparité ou une première grossesse tardive après 30 ans QUESTION ANNULEE. - des premières règles précoces [159] et une ménopause tardive. :B Il s’agit dune tumeur ‘à risque” : C : N’est pas un facteur de risque elle est volumineuse, il y a plus du cancer du sein mais est de quatre ganglions envahis, il contre-indiqué en cas de cancer déclaré. n’y a pas de récepteurs [163] hormonaux et il s’agit d’un grade 3 de Scarf et Bloom. cela : B C D E Classique. justifie donc d’une [164] chimiothérapie adjuvante qui doit être poursuivie au moins 12 : B mois, maximum 2 ans si pas de Voir classification TNM. [165] rechute entre temps. [160] QUESTION ANNULEE. :D [166] La radiothérapie donne :ABCD d’excellents résultats antalgiques sur les métastases A: Le caractère infiltrant est de mauvais pronostic. osseuses douloureuses et B : Il s’agit du grade permet d’éviter les histopronostique de compressions médullaires lors différenciation tumorale. d’atteinte du rachis. Les métastases hépatiques justifient C : On considère que plus de quatre ganglions envahis sont de d’une polychimiothérapie. mauvais pronostic. L’hormonothérapie n’est pas indiquée du fait de l’absence de D : Evident. E: Au contraire, facteur de bon récepteurs hormonaux. pronostic (80 % de réponses à une hormono thérapie). intestinale sans la dépasser. B : tumeur dépassant la musculeuse et envahissant le tissu périrectal sans atteinte ganglionnaire. C : atteinte métastatique ganglionnaire régionale. Survies à 5 ans A: 67 % B : 77 % C : 32 %. [155] :E Le traitement du cancer colique est essentiellement chirurgical, la radiothérapie et la chimiothérapie étant peu efficaces. [156] :A Voir questions précédentes. [157] :E Evident. [158] 32 [167] QUESTION ANNULEE. [168] QUESTION ANNULEE. [169] QUESTION ANNULEE. [170] QUESTION ANNULEE. [171] QUESTION ANNULEE. [172] :B A - Non, la localisation n’est pas classique. B - Oui, sur l’aspect de la lésion, l’adénopathie satellite et le terrain. C - Non, sur la localisation. D - Non, sur l’aspect fixe de la corde vocale + ladénopathie. E - Non, sur l’adénopathie et l’aspect fixe de la corde vocale. [173] :C A - N’affirmera pas le diagnostic de la lésion. B - Peut confirmer la métastase mais en général adénectomie. C - Oui, évident, donnera le diagnostic histologique. D - Non, aucun intérêt. E - Ne donne pas de diagnostic, qui est histologique. [174] :ABD A - Oui, systématiquement bilan pré-opératoire + d’extension. B - Oui, avant radiothérapie. C - Non, pas systématiquement en fonction du bilan et de la clinique, métastases rarement présentes. D - Oui, à la recherche d’une deuxième localisation + bilan pré-thérapeutique d’extension. E - Aucun intérêt. [175] :ABCDE A - Oui, risque septique. B - Oui, risque traumatique aggrave la mucite. C - Oui, protection dentaire. D - Oui, évident. E - Oui, évident. [176] :ABC A - Oui, (terrain). B - Oui, sur la dureté et la localisation (1er relai envahi). C - Oui. D - Non. E - Non menuisier = ethmoïde. [177] :AE A - Oui, évident. B - Non. C - Non, il n’y a d’élément glandulaire dans cette région. D - Non (oreille). E - Oui, évident. [178] :CDE A - Non, pas systématique. B - Non, pas systématique. C - Oui, recherche 2ème localisation, métastase, préopératoire. D - Oui, pré-radiothérapique. E - Oui, recherche d’une 2ème localisation. [179] :ABCD A - Oui, évident. B - Oui, évident. C - Oui, évident. D - Oui, évident. E - Non, évident, la surveillance sera progressivement espacée. 1988 Corrigés C.C.Q.C.M. 1988 D 1990 CORRIGES U [180] :A A - Oui, confirme le diagnostic, toujours avoir une histologie. B - Non, ne donne pas l’histologie. C - Non, trop compliqué, pas de certitude d’avoir l’histologie. D - Non, évident, n’affirme pas le diagnostique. E - Non, pas d’histologie. [181] :D A - Non, plutôt hyperphosphorémie (insuffisance rénale). B - Non. C - Non, insuffisance rénale pas d’obstacle. D - Oui, métastase condensante + insuffisance rénale. E - Non. [182] :D A - Non (voir UIV) rarissime. B - Non (voir UIV). C - Non, sur l’UIV et l’élévation parallèle de l’urée et de la créatinine. D - Oui, évident par l’énoncé. E - Non, la vessie serait dilatée. [183] :E A - Non, l’obstacle est plus haut. B - Idiot. C - Non, l’obstacle est urétéral.. D - Idiot. E - Oui, l’uretère droit car le rein droit est fonctionnel. [184] :A A - Oui, évident. B - Non, aucun rapport. C - Non, aspécifique. D - Non, plutôt traumatique ou septique. E - Non, le plus souvent indolore. [185] :AD A - Oui, AFP et HCG. B - Non. C - Non. D - Oui, recherche de métastases. E - Non. [186] :E A - Non, même au stade 1 une radiothérapie lombo-aortique et iliaque homolatérale sera associée. 33 B - Non, aucun rapport. C - Non. D - Non, cancer bilatéral rarissime. E - Oui. [187] :A A - Oui, la guérison définitive est de plus de 90 %. B - Non. C - Non. D - Non. E - Non. [188] :D A - Non, le carcinome embryonnaire n’est pas radio sensible. B - Idiot. C - Non, systématique car 80 % des patients n’en ont pas besoin. D - Oui, ou un curage ganglionnaire limite 20 % de métastases infracliniques ganglionnaires. E - Non, pas au stade 1 mais au stade 2. La chirurgie n’est indiquée que s’il existe des masses tumorales résiduelles pour en pratiquer l’exérèse. [189] :CD A - Rares. B - Rares. C - Oui, les métastases osseuses sont préférentiellement au niveau du bassin et du rachis dorso-lombaire. D - Oui, sont les plus fréquents. E - Rares. [190] :ACD A - Oui, geste simple en dehors des contre-indications opératoires. B - Non, risque d’aggravation si hormono-sensibilité. C - Oui, stéroïdiens ou mieux non stéroïdiens (Eulexine®, Anandron®). D - Oui, associé aux antiandrogènes car risque D - Non. E - Non. [195] :C A - Non. B - Non. C - Oui, métastases d’organe [191] (os) = D2. :BD D - Non. A - Non, systématique mais E - Non. peut être élevée. [196] B - Oui dautant plus qu’il y a :A des métastases osseuses. A - Oui, maladie métastatique = C - Non. traitement systémique = D - Oui, excellent marqueur hormonothérapie dans les sensible mais non spécifique. cancers E - Non, cancer de l’ovaire. prostatiques. [192] B - Non, tumeur peu chimio:CE sensible, jamais en première A - Non, le méthotrexate est intention. une mauvaise drogue pour le C - Non. cancer prostatique. D - Non, pas dans ce cas (pas de B - Non, le cancer prostatique rétention mentionnée dans est peu chimio-sensible. l’énoncé). C - Oui, efficace rapidement. Alternative à la chirurgie, intérêt E - Non, peut-être lombaire après l’hormonothérapie, si inefficace si compression à plusieurs en fonction des douleurs, du étages. risque de compression. D - Non, trop dangeureux et [197] inefficace. :D E - Oui, c’est une urgence A - Non. thérapeutique ; un geste doit B - Non. rapidement décomprimer la C - Non. moelle. D - Oui, entre 60 à 80 % en [193] traitement hormonal de première :C ligne. A - Non, lésion condensante. E - Non. B - Non, sciatique. C - Oui, sur le terrain, l’aspect des lésions, l’apparition récente [198] de la sciatique compatible avec : A E A - Oui, sur ses variations. les lésions osseuses. B - Non, les lésions resteront D - Non, sur l’aspect condensant des lésions et l’âge condensées mêmes inactives. C - Non, en dehors de métases du patient mais peut se voir. ganglionnaires, hépatiques. E - Moins probable : l’âge, D - Non. l’aspect condensant plus E - Oui, idem PSA. évocateur du cancer [199] prostatique. :C [194] A - Rarissime. :B B - Pas au niveau de la langue A - Non. mobile. B - Oui, seule l’histologie c - Oui, les cancers de la langue prostatique confirme le mobile sont pratiquement tous diagnostic. des cancers épidermoïdes C - Non. d’aggravationsi ceux-ci sont utilisés seuls en monothérapie les 2 premières semaines de traitement. E - Non, illogique. 34 plus ou moins différenciés. D - Non, cancers cutanés. E - Non, pas la langue mobile. [200] :D A - Non, métastases osseuses rarissimes. B - Aucun intérêt Ti NO langue mobile. C - Non. D - Oui, bien sûr connues dans toutes les tumeurs ORL sur ce terrain. E - Non. [201] :BD A - Non. B - Oui. c - Non. D - Oui, connaissance, groupes lymphatiques de drainage. E - Non. [202] :AB A - Oui, il est nécessaire de pratiquer un curage ganglionnaire pour vérifier l’éventualité d’un envahissement ganglionnaire pour adapter le traitement et pour définir le pronostic. B - Oui, possible lésion linguale peu étendue. On ne pourra pas être aussi sûr du traitement radical de la tumeur primitive (pas d’étude histologique comme c’est possible après chirurgie). c - Item, incompréhensible. D - Non, la lésion est carcinologiquement chirurgicale. E - Non, suffisant. [203] :BCE A - Oui, peut se voir en cas de K prostate comme en cas de maladie de Paget. B - Non, il n’y a pas classiquement d’hypertrophie osseuse dans les cas d’une métastase. c - Non, idem, probablement aucun renseignement sur examen gynecologique. E - Non, évidement Radiographie du thorax mais pas tomographies. [209] :AC A - Possible Nia = banal, l’énoncé n’est pas clair. B - Non, car tumeur < 2 cm. C - Possible. Nlb cliniquement malin, l’énoncé n’est pas clair. D - Non, idem B. E - Non, car il existe un ganglion donc ce n’est pas NO. [205] [210] :AB A - Oui, jamais élevé en cas de : C A - Non, ce n’est pas une tumeur Paget. Ml. B - Oui, bien sûr, signe de B - Non, pour Ti la mammectomie maladie prostatique. ne simpose pas. C - Non, aucun rapport. C - Oui, le plus logique chez cette D - Non spécifique. femme, excellent résultat E - Non spécifique. esthétique et résultat [206] cancérologique identique à la :D mammectomie curage. Il faudrait A - Non. connaître le caractère envahi B - Non. ou non du ganglion car si il existe C - Non. D - Oui, le traitement du cancer, des métastases ganglionnaires il faut associer une donc étiologique, doit être entrepris. Cancer de la prostate chimiothérapie. D - Non, risque sans = radiothérapie de récidive locale. hormonothérapie. E - Non. E - Non. [207] :AC [211] :E A - Oui. A - Non, illogique en première B - Non. intention + Ti Ni MD probable. C - Oui, problème d’hyperoestrogénie (cycle long). Les traitements systémiques nont pas prouvé leurs efficacités. D - Non. Si c’est une tumeur Ti sans E - Non, plutôt protecteur car envahissement ganglionnaire on obligatoirement au moins une aurait plutôt opté de toute façon grossesse avant 35 ans. pour une chimiothérapie si [208] envahissement ganglionnaire. B - Non, infections génitales (QCM absurde). multiples en dehors d’un bilan A - Non, CA 19.9 = K digestifs plus particulièrement pancréas. soigneux. C - Non, pas d’hormones. B - Non, en dehors de signes D - Non, pas d’hormones. d’appels, aucun intérêt, trop E - Paraît le plus raisonnable. coûteux. [212] C - Non, ne fait pas partie d’un :B bilan d’un Ti. A - Non. D - Non, pas systématique, Paget. D - Peut se voir avec une métastase lytique. E - Non, hypertrophie donc Paget. [204] :C A - Non, connaissance, le Paget n’est pas inflammatoire. B - Non, idem. c - Oui. D - Non, jamais. E - Non, évident. 35 B - Réponse logique vu qu’il s’agit d’une tumeur Ti de bon pronostic. C - Non. D - Réponse moins satisfaisante vu l’âge de la patiente (grossesse après 40 ans). E - Non. [213] :E Connaissance du TNM. [214] :BCDE A - Non, ce n’est pas un facteur aggravant. B - Oui. C - Oui. D - Oui. E - Oui. [215] :A A - Oui, femme jeune endessous de 50 ans (âge de la ménopause dans la population générale) on propose une chimiothérapie en cas d’envahissement ganglionnaire (durée = 6 mois). B - Non, il a été montré que 6 mois équivalent à des durées plus longues. C - Non, du fait de l’âge. D - Non. E - Non. [216] :D A - Non, les douleurs osseuses sont rebelles aux antalgiques, il faut essayer de soulager rapidement la patiente, effet de la chimio plus aléatoire et parfois plus tardif que la radiothérapie sur les douleurs. B - Non, la tumeur est RHProbabilité de réponse < 10 %, effet lent de plus sur les douleurs. C - Non, pour les mêmes raisons. D - Oui, le plus logique du fait :BCE A - Non, efficacité minime dans le cancer du sein. B - Oui, 30 % de réponse en monothérapie. C - Oui, 30 % de réponse en monothérapie. D - Non. E - Oui, probablement les antracyclines sont les drogues majeures dans le cancer mammaire association classique = FAC (5FU Adria-Endoxan). [221] :C A - Non, illogique, il faut après l’efficacité clinique incomplète de la chimiothérapie, en cas dabsence de métastase viscérale, pratiquer un traitement loco-régional de réduction tumorale maximale. B - Non, n’a jamais fait la preuve de son efficacité. C - Oui, voir au-dessus. [218] D - Non, non carcinologique. :BCD A - Non, métastases au niveau E - Non, non carcinologique. [222] pelvien rares. :C B - Oui, localisation osseuse A - Non. classique dans le cancer du B - Non. sein. C - Oui, les cancers du sein C - Oui, les 3 localisations inflammatoire sont hautement préférentielles en dehors des métastatiques. ganglions sont ros, le foie, le D - Non. poumon. E - Non. D - Oui. E - Non, pas de signes d’appels [223] :E ne fait pas partie du bilan A - Non, n’explique pas la tumeur systématique. cérotale ni abdominale, âge peu [219] en faveur. :D B - Non, la tumeur est testiculaire A - Non. et l’âge ne concorde pas. B - Non. C - Non, tumeur testiculaire. C - Non. D - Non, la gynécomastie n’est D - Oui, le caractère pas un signe de lymphome, ni de inflammatoire gomme tous les sarcome, ni de cancer autres facteurs pronostiques, anaplasique. ces tumeurs doivent être traitées comme des E - Oui, sur 1) La tumeur testiculaire. maladies métastatiques 2) La masse rétropéritonéale d’emblée. probable. E - Non. 3) La gynécomastie (sécrétion [220] des douleurs osseuses et de l’existence des métastases hépatiques qui font le pronostic vital à court terme, il est logique de reprendre une chimiothérapie chez cette jeune femme. Vu le délai d’évolution (6 mois) utiliser de préférence d’autres drogues que lors du traitement adjuvant. E - Pas d’hormonothérapie vu l’âge de la patiente et le caractère RH- de la tumeur. [217] :DE A - Non, 4 heures. B - Non, pas les douleurs neurogènes, risque même de majoration. C - Non, accoutumance très faible à la morphine. D - Oui. E - Oui, si la dose dépasse celle nécessaire pour avoir la sédation des douleurs. 36 HCG). 4) La dyspnée = probables métastases pulmonaires ou ganglionnaires médiastinales compressives [224] :ABcD A - Oui, la dyspnée est un signe fonctionnel imposant de toute façon une radiographie du thorax et recherche des métastases. B - Oui, évident. c - Non, ce n’est pas un marqueur de tumeur testiculaire. D - Oui, évident. E - Oui, exploration de la masse. [225] :C A - Non. B - Non. C - Oui, toujours faire le geste le plus simple donnant l’histologie de la tumeur primitive avec certitude. D - Non. E - Non, jamais de biopsie testiculaire en cas de tumeur testiculaire, toujours orchidectomie. [226] :BD A - Non. B - Oui, toxicité neurologique (VIII). C - Non. D - Oui, par atteinte tubulaire aiguê réversible voire glomérulaire tardive alors irréversible. E - Non. [227] :C A - Non. B- Non. C - Oui, toujours penser au risque de granulopénie 1 à 2 semaines après chimiothérapie (toxicité médullaire maximale) risque de chocs septique gravissimes. La neutropénie impose une antibiothérapie bactéricide immédiate. D - Non. E - Non. [228] :C A - Non, sur l’histologie. B - Non, la tumeur est surrénalienne. C - Oui, le plus probable (âge, tumeur surrénalienne, envahissement médullaire et osseux et surtout les cellules groupés en rosettes qui affirment le diagnostic sur ce terrain) c’est un neuroblastome non sécrétant. D - Non. E - Non. [229] :C A - Non, inutile, tumeur métastatique et diagnostic ne faisant pas de doute (présentation chimique, cellules groupées en rosette). B - Illogique maladie métastatique. C - Oui, évident. D, E - Non. [230] :ABE A - Systématique. B - Systématique. C - Non. D - Oui, 15 jours après chimiothérapie rechercher une neutropénie une thrombopénie. E - Oui, car probablement neutropénique. [231] :C A - Non, sur l’apyrexie, limage radiologique. B - Non, sur l’aspect radiologique. C - Oui, premier diagnostic à évoquer, peut être apyrétique. Une pneumopathie interstitielle hypoxémiante chez un enfant immunodéprimé en cours de traitement chimiothérapique doit faire évoquer ce diagnostic en premier. D - Non, les bronchites ne sont pas hypoxémiantes. E - Non, pneumopathies nodulaires jamais interstitielles. [232] :C A - Non, une voie d’abord veineuse sûre suffit. B - Non, jamais du côté opéré car remaniement veineux et lymphatique post opératoire et radiothérapique. Risque de lymphangite et de thrombose. C - Oui. D - Non, jamais dadriamycine car nécrose des tissus systématique. E - Non, même raison qu’en D. [233] :AB A - Oui, vérifier l’absence de neutropénie et de thrombopénie. B - Oui, anthracycline contreindiquée en cas d’infarctus récent, de trouble du rythme, d’insuffisance cardiaque. C - Non, pas de drogue néphrotoxique. D - Non, en dehors de signes d’appels, non systématique. E - Non. [234] :B A B C, D E - Non. B - Oui, ainsi que les plaquettes. [235] :DE A B C - Non (connaissances). D - Oui, systématique en l’absence de casque réfrigérant. E - Oui, cumulative (risque majeur au-dessus de 500 mg/m2). [236] :ABE C - Non, n’explique pas l’altération de l’état général. D - Non, le patient est apyrétique. E A - Evoquer systématiquement. [237] :AB 37 Connaissances. [238] :BD A - Ne se fait plus. Scanner thoracique plutôt. C E - Ne se fait plus. Le scannera supplanté tous ces examens. [239] :D Pour voir les rapports vasculaires de la tumeur. [240] :C La maladie est non métastatique, le traitement doit être agressif. La chirurgie est actuellement la seule possibilité thérapeutique pour obtenir une guérison. Elle doit donc toujours être tentée si les conditions le permettent. [241] :DE A, B, C - Lésion bénignes (adénome ou kyste). D, E - Sont deux épithéliomas donc des cancers (épithélioma à stroma amyloïde doit faire penser à un cancer médullaire de la thyroïde). [242] :AB A - Non spécifique. B - Oui seule classiquement les tumeurs malignes s’accompagnent d’adénopathies. C - Non plutôt évoquant un kyste ayant saigné. D, E - Aucun rapport avec une pathologie tumorale. [243] :D A - Non plutôt l’échographie. B - Jamais. C - C’est l’inverse : 10 % des nodules froids sont des cancers. E - Non, la scintigraphie délivre une dose non thérapeutique lorsqu’elle est diagnostique. [244] :B Pour bien mettre d’éventuels reliquats thyroïdiens au repos. [245] :BD B - Marqueur des cancers papillaires de la thyroïde, son élévation doit faire rechercher une évolution tumorale. D - Pour adapter l’hormonothérapie substitutive. C - Non (marqueur des cancers médullaires de la thyroïde). [246] :C C - Pourra seule , lors d’une biopsie, donner l’histologie de la tumeur primitive, pouvant ainsi faire le diagnostic précis. [247] :C C - La présence d’un ganglion sus-claviculaire (d’autant plus axillaire) contre-indique la chirurgie (cancer au moins N3). [248] :B B - N’a d’intérêt qu’en cas de chirurgie exclue dans ce cas. A, C, D, E - Systématique (bilan d’extension + bilan biologique à la recherche d’un syndrome de Schwartz Barter: natrémie ou dune hypercalcémie). [249] :D D - Et encore de survie, on ne peut pas parler de guérison à 1 an. [250] :C C - Ce patient présente une hypercalcémie nette (normale de la calcémie 2,2 à 2,5 mmolell) la confusion mentale est un signe fréquemment associé à ce trouble métabolique. Après normalisation de la calcémie si la confusion persiste faire un scanner cérébral pour éliminer une métastase cérébrale. [251] :AE A - Fréquence la plus élevée entre 60 et 70 ans. E - Risque multiplié par 3. B - Non, le facteur diététique est le régime pauvre en graisse. C, D - Non pas de rapport prouvé. [252] :ABC A - Oui par le régime alimentaire et par rablation des polypes. B - Oui 30 % des cancers digestifs (les cancers coliques représentent 25 %). C - Connaissance. E - Non, les relais ganglionnaires sont les relais honteux puis hémorroïdaires puis latéroaortiques et latéro-caves. [253] :B B - Permet de faire de biopsies et de confirmer le diagnostic. [254] :BCE B - Recherche un envahissement urétéral. A - Non, se fait chez l’homme en cas de doute sur un envahissement vésical (après UIV plutôt). C - Recherche une deuxième localisation. E - Recherche dadénopathies rétropéritonéales et surtout des métastases hépatiques. [255] :C C - La tumeur est accessible au TR et est à 4 cm de la marge anale, seule l’amputation abdomino-périnéale est faisable et carcinologiquement satisfaisante. [256] :BDE B, D, E - Recherche d’une deuxième localisation, de métastases hépatiques, une élévation de lACE doit fortement évoquer une réévolution tumorale et faire pratiquer un bilan 38 approfondi. [257] :C Réponse C? A, B, D - Faux, évident. E - Non mais régime diététique particulier 48 heures avant. C - Paraît le moins faux mais sensibilité de 50 % pour les tumeurs (50 % de faux négatifs). [258] :A A - C’est un cancer typique du bas-fond coecal d’après l’énoncé, au niveau de la valvule iléocoecale l’aspect aurait été celui de la réponse C. [259] :ACD A - Recherche de métastases hépatiques. C - Bilan pré-opératoire + recherche de métastases (rarissimes). D - Refoulement voire envahissement de l’uretère droit. [260] :C C - Donne une symptomatologie type syndrome de Koenig. A - Non (pas de chirurgie sur le grêle). [261] :B B - Stade B2 plus précisément (atteinte de la séreuse) présentation la plus fréquente des adénocarcinomes coliques. [262] :BD Connaissance. [263] :ABCD Connaissance. [264] :ABCD - On se place en cas de récidive ou de deuxième tumeur. D - Oui, mais non chirurgicale, par traitement médical (chimiothérapie par 5 FU par exemple). [265] :C C - Connaissance (territoire de drainage). A - Non totalement aspécifique. B - Non ce sont des adénocarcinomes. D - Non, 1/3 moyen. E - Non, il n’y a pas de sténose décrite par l’endoscopie ni de stase alimentaire. [266] :BE Connaissance. A - Non, c’est plutôt un signe tardif. C - Non, l’inverse. D - Non, c’est une dysphagie par obstacle tumorale. [267] :C Connaissance. D - Faux (vrai dans le cas des adénocarcinomes, pas dans les carcinomes épidermoïdes). D - li y a un envahissement cutané, c’est un T4. [272] :ADE Connaissance. [273] :BCE A - Non, plutôt le cisplatine ou les vinca-alcaloïdes. D - Non, plutôt le cisplatine. [274] :BCE A - N’est pas un élément pronostic, intervient quand à la probabi’ité denvahissement de a chaîne mammaire interne. B, C, E - Oui, avec la taille de la tumeur et l’existence des métastases viscérales, de signes inflammatoires ce sont les facteurs pronostics classiques. [268] :ABD Bilan classique. C - Ne se fait plus depuis que l’on a l’échographie. D - Aucun intérêt, ne voit pas les aires lymphatiques de drainage de l’oesophage. [269] :ABC C - Pour la chirurgie. B - Oui, si un TQ bas est due à une cirrhose pouvant compliquer la chirurgie. A - Recherche d’une deuxième localisation. [270] :E E - Seule la chirurgie carcinologique permet actuellement despérer une guérison. [271] :D 39 Cardiologie cc 18 pages [1] :A Sans commentaire. [2] :C Sans commentaire. [3] :B Sans commentaire. [4] :D Sans commentaire. [5] :C Lischémie aiguê artérielle est une complication classique du rétrécissement mitral. Son mécanisme est rembolie à partir d’un thrombus auriculaire gauche ; thrombus favorisé par la stase sanguine à l’occasion du passage en arythmie. Dans ce cas-ci, la conduite à tenir est la désobstruction en urgence : la sonde de Fogarty est idéale sur ce terrain à artères saines. Le traitement héparinique à dose efficace est systématiquement prescrit. Dans un second temps, il faudra réduire le trouble du rythme puis faire le bilan du rétrécissement mitral (estimation de la surface mitrale à lécho-dopper continu). [6] :D Sans commentaire. [7] :BD Sans commentaire. [8] :D Sans commentaire. [9] :ABDE Sans commentaire. [10] :D Se voit dans l’infarctus du myocarde. La prolapsus de la valve mitrale est une affection fréquente (4 à 6 % de la population) surtout chez la femme souvent asymptomatique. Les signes fonctionnels se résument à des précordialgies atypiques, une asthénie, une dyspnée des palpitations. L’auscultation retrouve typiquement un click mésotélésystolique suivi d’un souffle, parfois un click isolé, un souffle télésystolique isolé dont la chronologie peut être précisée au phonogramme. L’ECG peut montrer des anomalies de la repolarisation (T négatives, sous décalage ST) variables d’un ECG à l’autre. L’échographie fait le diagnostic avec en bidimensionnel un bombement d’un ou des deux feuillets de la valve vers l’oreillette en systole des valves épaisses d’aspect myxoïde et en TM un aspect en hamac ou en louche. Les troubles du rythme ventriculaires et auriculaires sont fréquents. Le traitement est rarement nécessaire comme dans ce casci. On a décrit cependant des extrasystolies ventriculaires graves avec morts subites. L’endocardite bactérienne est également peu fréquente ; la prophylaxie n’est pas systématique mais souhaitable en cas de souffle Les accidents ischémiques artériels transitoires ou constitués sont retrouvés dans 3 % des cas ; un mécanisme fibrilla-plaquettaire est incriminé. Les autres complications sont l’insuffisance mitrale par aggravation du prolapsus ou rupture de cordage. Les complications en regard de la 1 fréquence du prolapsus sont cependant rares et le prolapsus de la valve mitrale peut être considéré comme une affection bénigne dans l’immense majorité des cas. [11] :D Sans commentaire. [12] :DE QRS> 0,12s; rSr en Vi; axe du QRS à-600. [13] :D Sans commentaire. [14] :CE Sans commentaire. [15] :D Un interrogatoire précis et soigneux est la première étape du diagnostic étiologique d’une syncope. L’association ici d’un bloc bifasciculaire (BBD + HBAC) et de syncope à l’emportepièce typique oriente vers un syndrome d’Adams Stockes. L’indication d’un pace maker sentinelle se pose alors, parfois précédée d’une exploration endocavitaire si le doute persiste quant à la séméiologie de la syncope. On y recherchera : un dédoublement de H ; un HV supérieur à l’état de base à 70 ms ou une réponse positive à l’ajmaline (HV>100 ms ou apparition d’un BAV Il ou III). Une cardiopathie sous jacente doit être recherchée devant des anomalies de conduction, dans ce cas-ci il s’agit vraisemblablement d’une maladie de Lenègre en raison de l’âge du patient. 1.2.CAS CLINIQUE N°3 [16] :E Bloc de branche droit: QRS à O,i3s avec rSr en V1V2. Hémi-bloc antérieur gauche : axe de QRS à -60° avec QD1 SQ3. [17] :C Sans commentaire. [18] :C Sans commentaire. [19] :ABC Sans commentaire. [20] :D Les blocs de branche bifasciculaires ne contreindiquent pas la Cordarone®, la Digoxine® ni le Tildiem®, mais l’association des trois doit être évitée. Le trouble étant ici bien toléré avec échappement haut situé on peut se contenter d’une surveillance sous scope après arrêt des médicaments bradycardisants. A plus longue terme, si une association potentiellement bradycardisante est indispensable, un pace maker définitif pourra être proposé. [21] :CD La tuberculose est l’étiologie la plus fréquente. [22] Elle permet de différencier ce tableau d’une cirrhose décompensée. [23] :A La constriction prédomine sur les cavités droites. [24] :ABCE Le tableau hémodynamique retrouve une égalisation des pressions diastolique de l’oreillette droite à l’artère pulmonaire, significative si supérieure au tiers de la systolique du VD, avec aspect de dip plateau. [25] :C En attendant la chirurgie, on mettra en route le traitement de l’insuffisance cardiaque. On recherchera une tuberculose (crachats, ponction pleurale, examen anatomopathologique du péricarde) et on mettra en route un traitement aussi tuberculeux. [26] :A Sans commentaire. [27] :D Elle recherche des lésions bilatérales. Elle permet le bilan dextension de la thrombose et apprécie le risque emboligène (vacuité de la veine cave). [28] :D Sans commentaire. [29] :B En cas d’atteinte des gros troncs veineux (veine iliaque, veine cave) un traitement fibrinolytique peut être entrepris en rabsence de contre-indication et si la phlébite est vue suffisamment tôt. Ce traitement ne diminue pas le risque d’embolie pulmonaire mais semblerait diminuer les séquelles post-phlébitiques. [30] :A Dans la myocardiopathie hypertrophique le souffle est de localisation mésocardiaque. [31] :ABCE B - Est le témoin du caractère serré du rétrécissement aortique E - Claquement d’ouverture de l’appareil valvulaire. [32] :ADE C - Les calcifications aortiques sont situées au niveau du point G 2 avec un mouvement vertical D - Lésion de jet du rétrécissement aortique. [33] :ABCD A - Signes d’hypertrophie ventriculaire gauche systolique B - Les troubles de conduction peuvent se voir par coulée calcaire sur le septum C.D. - L’hypertrophie ventriculaire gauche peut entraîner un bloc de branche gauche complet avec aspect QS en V1V2. [34] :C Le rétrécissement aortique est serré si le gradient pic à pic est supérieur à 70 mmHg A.B.D. - Apprécient le retentissement sur le ventricule gauche. [35] :BCD C - Les embolies sont calcaires, elles sont très rares. [36] :C Les dérivés nitrés ainsi que les diurétiques doivent être utilisés avec prudence dans le rétrécissement aortique car ils risquent de provoquer un collapsus par diminution trop importante de la précharge. Le tableau de ce patient est une indication formelle au remplacement valvulaire : le pronostic dun rétrécissement aortique avec insuffisance cardiaque est inférieur à un an. Dans son bilan (outre le bilan infectieux et préopératoire usuel) le doppler continu permettra de calculer le gradient VG-aorte, d’estimer la surface aortique, les explorations invasives comprendront un catéthérisme gauche ainsi qu’une coronarographie d’autant que le patient présente des douleurs angineuses. [37] :AD sans commentaire. [38] :C Examen non invasif, il permet de visualiser en cas d’IM un aspect de prolapsus d’une valve mitrale. Une épreuve de contraste (injection de microcavitation par une veine brocchiale) permet le diagnostic de rupture septale (jet négatif dans le VD). Le doppler pulsé peut mettre en évidence les flux anormaux. [39] :ABc A - La mise en place d’un catéther de Swan-Ganz permet la surveillance de la pression capillaire pulmonaire et du débit cardiaque et l’adaptation du traitement. [40] :A Elle est élevée D - L’HTAP est de type post capillaire sans gradient entre la pression artérielle pulmonaire et la pression capillaire pulmonaire. E - Elles sont augmentées du fait de la vasoconstriction généralisée (stimulation du système sympathique, hypoxie). Ce patient doit être proposé au chirurgien. En attendant l’intervention, une contre pulsion par ballonnet intraaortique pourra être proposée. [41] :A Durée <0,1 Os. Amplitude < 2,5 mm. [42] :D L’axe de QRS est perpendiculaire à la dérivation isoélectrique (aVL) et dans le sens de la dérivation la plus positive (D2). [43] :C Indice de Sokolow (SV1 + RV5) > 35 mm. [44] :C lschémie sous épicardique car T négative. Lésion sous épicardique car ST sus décalé. [45] :C Sans commentaire. [46] :C Sans commentaire. [47] :E C’est une prescription de première intention mais les troubles digestifs fréquents (20 %) obligent souvent au changement de thérapeutique. La prescription est précédée dune dose test avec surveillance ECG quelques heures après la prise dun comprimé d’hydroquinidine simple à la recherche dun allongement de respace PR, dun élargissement du QRS, dun allongement de l’espace QT qui contreindiqueraient la poursuite du traitement. [48] :A Sans commentaire. [49] :A Sans commentaire. [50] :E Il faut attendre l’anticoagulation efficace avant d’envisager une réduction. [51] :B Sans commentaire. [52] :D L’échographie montre les signes indirects de régurgitation (fluttering diastolique de la valve mitrale et du septum). Elle 3 permet d’apprécier le retentissement sur le ventricule gauche (mesure des diamètres ventriculaire gauche, calcul de la fraction de raccourcissement). Le doppler continu et pulsé permet le diagnostic de la régurgitation avec une spécificité et une sensibilité supérieures à 90 %. Différentes méthodes pour l’appréciation quantitative de la régurgitation sont proposées. [53] :D Sans commentaire. [54] :ACDE La diastole commence avec la fermeture des sigmoïdes et se termine avec la fermeture des valves auriculoventriculaires. La première phase est la relaxation isovolumétrique (D) la pression ventriculaire chute très rapidement ; quand elle est inférieure à celle de l’oreillette, les valves auriculoventriculaires souvrent. Débute alors le remplissage rapide (E) puis remplissage lent (C). La systole auriculaire (A) survient en télédiastole, elle contribue à 20 % du remplissage ventriculaire total. La fermeture des valves auriculo-ventriculaires survient quand la pression ventriculaire est supérieure à celle de l’oreillette. [55] :ACDE La péricardite rhumatismale n’évolue pas vers la constriction. Les conséquence du RAA sont par ordre de fréquence : le rétrécissement mitral, l’insuffisance aortique, l’insuffisance mitrale, l’insuffisance tricuspidienne, le rétrécissement aortique, rétrécissement tricuspidien. L’atteinte tricuspidienne est rarement isolée et on retrouve toujours une atteinte mitrale ou aortique. Il n’y a jamais d’atteinte pulmonaire. [56] :A La prophylaxie de l’endorcardite bactérienne est impérative, la porte d’entrée principale étant stomatologique. L’éradication des foyers dentaires se fera sous couverture antibiotique. C et D - Ne sont pas déconseillés devant l’absence d’insuffisance cardiaque. La patiente devra par la suite être suivie régulièrement par un examen clinique et des examens paracliniques simples (ECG radiographie de thorax, échographie, doppler pulse. doppler continu). L’indication chirurgicale ne doit pas en effet être portée au stade des signes fonctionnels qui sont tardifs. A côté de la classique augmentation de l’index cardiothoracique au delà de 0,6, la mesure des diamètre du ventricule gauche à l’échographie et la surveillance des fractions d’éjection à l’angio-scintigraphie ventriculaire gauche aident à poser l’indication opératoire. [57] :ABD Sans commentaire. [58] :ABCDE A - Recherche d’érosion costale au bord inférieur des côtes provoquées par la circulation colatérale. B - Elle montre un refoulement de l’icesophage par la dilatation de l’aorte sus jacente. C. D. - Elles visualisent la sténose et permettent le bilan : circulation colatérale ; état des complexe supraventriculaire et l’aspect ventriculaire. [64] :AC L’indication entre les deux se faisant selon la tolérance hémodynamique. [65] :BCD Les bêta-bloquants sont également possibles en l’absence de dysfonction ventriculaire gauche. [66] :D Il s’agit d’un rétrécissement mitral avec retentissement sur [61] le coeur droit (axe droit ; bloc :CD La notion d’extrasystole implique incomplet droit) et HTAP (éclat de B2 pulmonaire, la prématurité, elles sont larges grosses artères pulmonaire à car ventriculaires. la radio). [62] [67] :B :D Il permet de quantifier les Elle permet de faire le extrasystole-ventriculaire et diagnostic du rétrécissement recherche les critères de gravité mitral : aspect en genou, de cette extra-systol ie. mesure de la surface en Plusieurs classifications ont été bidimensionnel, attraction proposées. On retient, comme paradoxale de la petite valve critères de gravité, des et diminution de l’amplitude la extrasystoles nombreuses (>30 pente EF en TM ; d’apprécier par heure), polymorphes, répétitives, en salve, la présence l’état de l’appareil valvulaire et de tachycardie ventriculaire (plus sous-vavulaire de 3 extrasystoles successives), (remaniements, calcifications) ; de calculer la surface mitrale le caractère lié à l’effort. La ; d’apprécier le retentissement signification du phénomène R/T (dilatation de l’oreillette est actuellement discutée. gauche; des cavités droites, [63] HTAP). :BCD Le doppler continu permet le Ce sont les trois critères calcul du gradient et de la indispensables pour parler de surface mitrale. tachycardie ventriculaire. L’activité auriculaire est difficile à Le couplage des deux examens permet de poser repérer et on peut s’aider en faisant un tracé ECG rapide à 50 d’emblée l’indication chirurgicale. mm/s ou bien avec une sonde [68] oesophagienne. :D La capture et la fusion sont deux phénomènes pathognomomiques Sans commentaire. [69] de TV. La capture est un :E complexe d’origine supraventriculaire, la fusion a un La dilatation de l’oreillette gauche et la fibrillation aspect intermédiaire entre le segments en amont et en aval. E - Elle permet de visualiser la sténose au temps gauche si la sténose n’est pas franchissable par voie artérielle rétrograde. [59] :ACDE A.E. - Sont les conséquences de toute HTA. C - Elle prédomine au niveau des membres inférieurs. D - Elle est tardive [60] :D A la recherche d’un syndrome de Turner. 4 auriculaire favorisent la stase sanguine et la formation d’un thrombus auriculaire gauche. La localisation cérébrale est la plus fréquente. [70] :CE La mesure de la pression ventriculaire gauche et de la pression capillaire pulmonaire par catéther de Swan-Ganz ou la mesure de la pression dans l’oreillette gauche par catéthérisme trans-septal permettent de calculer le gradient de pression oreillette gauche - ventricule gauche ainsi que la surface mitrale. [71] :AC Sans commentaire. [72] :ABD Sans commentaire. [73] :E A - La trinitrine hormis son effet sur la précharge est aussi antispastique. [74] :AB D - Le HDL-cholestérol est au contraire “protecteur’ et n’est pas athérogène. Le rapport Apo A/Apo B est inversement corrélé au risque athérogène (l’apoprotéine A est la principale protéine du HDLcholestérol, lapoprotéine B du LDL-cholestérol). [75] :ABDE La consommation modérée d’alcool serait protectrice vis à vis de la coronaropathie ; c’est ainsi que l’on explique la fréquence relativement faible des maladies cardio vasculaires en France. [76] :A Sans commentaire. [77] :E Le spasme peut être associé aux lésions athéromateuses. Le test au Méthergin® ne sera réalisé qu’en l’absence de sténose significative. Il peut être réalisé en cours de coronaropaphie ou en milieu d’unité de soins intensifs cardiologiques avec enregistrement continu de l’ECG. [78] :AE La libération de l’effet stimulant sous bêta-bloquant favorise la vasoconstriction. [79] :C Sans commentaire. [80] :C Les blocs de branche peuvent en effet donner un dédoublement des bruits du coeur. L’élargissement du QRS avec grande onde R dans les précordiales gauches donnent le diagnostic de bloc de branche gauche complet. [81] :ABCD Sans commentaire. [82] :ACE Les troubles de conduction auriculo-ventriculaires sont rares. [83] :C Elle permet de surveiller les diamètres ventriculaires gauches, la fraction de raccourcissement (qui est corrélée à la fraction déjection) et de réunir les arguments en faveur d’une indication opératoire. [84] :B Sans commentaire. [85] :C Sans commentaire. [86] :BC A - Ne permet pas une bonne visualisation des axes vasculaires des membres 5 inférieurs. D - Le catéthérisme par la méthode de Seldinger n’est pas souhaitable devant la présence de lésion probable à ce niveau. B - Ne visualise pas l’aorte. [87] :D Ils ne diminuent pas la survenue des accidents dischémie aiguê et n’agissent pas sur les lésions athéromateuses et exposent aux accidents des anticoagulants. [88] :E Sans commentaire. [89] :E C’est le signe indirect de l’insuffisance aortique à l’échographie TM. [90] :E Elle signe l’insuffisance mitrale. Les autres résultats attendus seraient une HTAP postcapillaire avec pressions capillaires élevées sans gradient alvéolo-capillaire avec pressions droites élevées. Le débit cardiaque serait abaissé. [91] :B C’est une augmentation de la pression auriculaire due au reflux. [92] :E Le seul traitement est chirurgical avec remplacement valvulaire. En attendant, on mettra en route un traitement médical (intérêt des inhibiteurs de l’enzyme de conversion). [93] :E Dans les péricardites le sus décalage du segment ST est concave vers le haut. [94] :E Un épanchement de 500 ml est un épanchement important qui donnerait un tableau de tamponnade. [95] :C Le traitement comprend le repos au lit, les anti inflammatoires non stéroïdiens. Les anticoagulants sont contre indiqués en raison du risque théorique d’hémopéricarde et de tamponnade. Les corticoïdes favoriseraient les rechutes. [96] :BDE Lévolution des péricardites aiguês bénignes est favorable marquée par des rechutes possibles. LECG montre l’évolution électrique caractéristique avec aplatissement du segment ST puis négativation de T, enfin normalisation de T au bout de plusieurs semaines. [97] :AE Sans commentaire. [98] :D Sans commentaire. [99] :E A et C - Indique l’hypertrophie auriculaire gauche. B - Indique l’hypertrophie auriculaire droite. C - Se voit en cas d’hypertrophie ventriculaire droite. [100] :E En TM on voit: - un épaississement des feuillets mitraux - des calcifications - une diminution de ramplitude CE et de la pente EF avec disparition de l’onde a - une attraction de la petite valve vers la grande valve qui signe la fusion commissurale. [101] :D Sans commentaire. [102] :B Il n’y a pas dinsuffisance ventriculaire gauche : les conséquences hémodynamiques se situent en amont au rétrécissement. [103] :CD Lauscultation retrouve un souffle systolique râpeux maximal au deuxième espace intercostal droit, irradiant dans les vaisseaux du cou, le long du bord gauche du sternum. Son maximum est mésosystolique, il se renforce après diastole longue (ici après une extrasystole). Un clic protosystolique peut être entendu ainsi quun souffle protodiastolique témoignant dune insuffisance aortique associée. Labolition du B2 et un maximum télésystolique se retrouvent dans les RAC serrés. [104] :B A - Peut se voir. C - Traduit un bloc de branche gauche. D - Traduit rhypertrophie ventriculaire gauche. E - Les troubles de conduction sont dus à des coulées calcaires sur le septum. [105] :BD C’est l’atteinte idiopathique avec calcification (maladie de Monckeberg) qui est la plus fréquente. Elle survient plus fréquemment sur des anomalies congénitales (bicuspidie aortique). Latteinte rhumatismale constitue 10 % des RAO et est tardive vers 50-60 ans. B et D - Sont des causes 6 d’insuffisance aortique. [106] :E Etant donné la présence d’une symptomatologie fonctionnelle, on sattend à trouver un RAO serré. Le gradient VG-aorte est significatif à partir de 50 mm Hg et le RAO est considéré comme serré si le gradient est supérieur à 70 mm Hg (lindex cardiaque étant conservé). [107] :B Les embolies dans le RAC sont rares et ce sont des embolies calcaires. C - Le pronostic de survie est alors faible (inférieur à un an) et rindication chirurgicale est formelle. [108] :C Tableau typique d’angor d’effort quant au siège, aux irradiations, au type de la douleur. Les circonstances de déclenchement (marche en côte rapide), leur reproductivité (seuil ischémique) et l’arrêt à l’effort sont également typiques. [109] :CD C - C’est un bloc auriculoventriculaire du premier degré. D - L’indice de Sokolow est supérieur à 35 mm et donc indique une hypertrophie ventriculaire gauche. E - L’onde T peut être négative en D3 de façon physiologique. [110] :BD Sans commentaire. [111] :D On commencera le bilan par un doppler carotidien, examen non invasif; il ne détecte que la sténose supérieure à 50 %. L’angiographie précise mieux le siège, le degré de sténose, son étendue. [112] :D L’épreuve d’effort permet de faire le diagnostic d’angor d’effort, d’en apprécier la sévérité (niveau d’effort pour lequel apparaissent les signes, trouble du rythme ventriculaire...) Couplée à la scintigraphie myocardique, elle a une sensibilité et une spécificité respective de 85 % et de 90 %. Pour certains, la coronarographie serait systématique chez cet homme jeune. [113] :BCD Sans commentaire. [114] :C “Toute fièvre de plus 20 jours chez un patient porteur d’un souffle cardiaque doit être considérée comme une endocardite infectieuse”. D’autant plus que dans ce cas le tableau clinique est tout à fait évocateur d’endocardite d’Osier. On pratiquera, avant toute antibiothérapie, 9 à 12 hémocultures réparties sur 48 heures à l’occasion des pics fébriles ou des frissons. Elles permettent l’identification des germes et lantibiogramme. [115] :BE La porte d’entrée dentaire est la plus fréquente, le germe est alors le plus souvent un streptocoque non groupable. Les soins dentaires doivent se faire sous couverture antibiotique chez les valvulaires. [116] :B partiellement flottant dans le courant sanguin. [122] :BDE C - La phlébographie se fait à partir dune veine du dos du pied. B - Si la thrombose n’est pas adhésive, il n’y a pas de gêne au retour veineux et donc pas d’oedème. [123] :ABE [117] E - C’est le meilleur examen. :C Elle doit être bilatérale avec Sans commentaire. cavographie: elle fait le [118] diagnostic (non opacification :B d’un segment veineux, produit Il faut traiter d’urgence de contraste moulant le l’insuffisance cardiaque, en sachant que, si elle est rebelle au caillot), permet le bilan : traitement médical, une indication importance de l’obstruction, son étendue, présence d’un chirurgicale sera posée. caillot dans la veine cave. Le Lantibiothérapie sera entreprise doppler non invasif est une fois les hémocultures faites, réalisable au lit mais les faux elle est parentérale par voie négatifs sont fréquents (25 veineuse, sur perfusion à %). l’aiguille, associant deux [124] antibiotiques bactéricides, des :ABE synergiques à visée Les indications classiques antistreptococciques (pénicilline sont les thrombus flottants G et aminosides) pendant 6 des gros troncs veineux : semaines au moins. veine fémorale iliaque ou [119] cave (l’indication est plus ou :BD moins systématique selon les Tout foyer infectieux doit être équipes), les contreéradiqué. indications au traitement [120] anticoagulant, l’embolie :C pulmonaire malgré un Sans commentaire. traitement anticoagulant [121] efficace. :ACD A - C’est le syndrome de Cockett, La mise en place de certains filtres peut se faire par voie compression de la veine Iliaque jugulaire. gauche par artère iliaque droite. CD - Concernent la phlématia coeruléa : phlébite avec ischémie [125] :B artérielle aiguê par compression. Elle évoque une atteinte de Gamma : caractérise la phlébite l’artère fémorale droite surale. (dissection type I ou III de De B - La thrombo-phlébite est au contraire le stade constitué avec Bakey). On distingue trois organisation du caillot et réaction types 1 - (60 % des cas) Porte inflammatoire de la paroi au contraire de la phlébothrombose d’entrée au dessus des qui est le stade initial avec caillot sigmoïdes, aortiques, atteinte L’absence de végétation n’élimine pas le diagnostic. Elles apparaissent comme des échos anormaux ne limitant pas les mouvements des valves en TM. en bidimensionnel elles sont attenantes aux valves et on peut apprécier le nombre, la localisation, leur caractère pédiculé. A - Le fluttering est diastolique. 7 de l’aorte ascendante horizontale et abdominale jusqu’aux artères iliaques. Les gros vaisseaux du cou et les coronaires peuvent être touchés. 2- (10% des cas). Forme limitée à ratteinte entre les sigmoïdes et l’artère sous-clavière gauche 3 - Atteinte de l’artère sousclavière gauche jusqu’àu carrefour iliaque. Certains distinguent un type IV qui va de l’artère sous-clavière gauche jusqu’aux artères rénales. [126] :BC Le souffle diastolique n’est retrouvé qu’au cours des types I et II où il existe une dissection de l’anneau entraînant soit la bascule d’une sigmoïde, soit la dilatation de l’anneau par hématome pariétal. [127] :ABC B - L’infarctus du myocarde par dissection coronaire se retrouve dans 10 % des cas. C - L’hypertrophie ventriculaire gauche due aux antécédents d’hypertension est souvent retrouvée. [128] :A Laortographie visualise typiquement une image en double manchon avec une ligne claire correspondant à la zone disséquée. L’aorte est parfois comprimée par le faux chenal. La densité entre l’aorte et le manchon n’est parfois pas la même; ils ne sont parfois pas opacifiés dans le même temps. On retrouve enfin des signes de régurgitation dans le VG en cas dIA, une absence de visualisation d’une colatérale. [129] :C En l’absence de traitement: - 25 % de décès dans les 24 premières heures - 66 % de décès au cours de la première semaine - 80 % de décès au bout d’un mois. (95 % dans les types I et lI 35 % dans les types III) [130] :ACE L’hypertension artérielle est retrouvée dans 75 % des cas. C.E - Sont des maladies du tissu élastique. Les autres formes étiologiques concernent : les cardiopathies congénitales (coarctation de l’aorte, bicuspidie aortique, CIV) la grossesse, l’aortographie, les canulations artérielles pour circulation extra-corporelle. [131] :AE Les indications chirurgicales principales sont les types I et Il. La mortalité opératoire est de 25 à 30%. Le traitement consiste en un remplacement de l’aorte disséquée par une prothèse en dacron. On utilise parfois des colles biologiques. [132] :ABDE Sans commentaire. [133] :ABCDE A - Est souvent normal. On recherche une ascension de la coupole diapharagmatique, une atélectasie en bande, un épanchement pleural, une amputation dune branche de l’artère pulmonaire, une hyperclarté. B - Est anormal dans la plupart des embolies massives. On peut trouver une tachycardie sinusale, des troubles du rythme supraventriculaire, une rotation axiale droite avec aspect S1Q3, un bloc de branche droite, des troubles de la repolarisation dans les précordiales 8 droites. Tous ces signes sont fugaces. C - Montre un effet shunt. D - Normale, elle élimine l’embolie pulmonaire mais les faux positifs sont nombreux. E - Elle permet le diagnostic de phlébite, d’apprécier l’étendue de la thrombose, recherche l’existence de thrombus cave. [134] :BD Sans commentaire. [135] :A Elle est systématique à dose iso-coagulante. [136] :D Elle permet d’apprécier le degré d’obstruction : obstruction <40 % ; embolie peu importante, obstruction comprise entre 40 et 59 % ; embolie sévère, obstruction > 60 % ; embolie massive (index de Miller). Lhypocapnie importante et la présence des signes ECG sont également en faveur d’une embolie pulmonaire grave. [137] :AB A - Héparinothérapie par voie veineuse à dose efficace 5 mglkglj. C - Se discuterait dans les formes graves avec embolie massive si vues tôt. [138] :E Cette indication se discuterait en cas de caillot flottant cave, de contre-indication au traitement anticoagulant, de récidive d’embolie pulmonaire malgré un traitement anticoagulant à dose efficace. [139] :C Il faut un bilan de coagulation systématique avant tout traitement anticoagulant, avec La survenue à l’effort de ces syncopes est tout à fait évocatrice. Lexistence d’un obstacle à l’éjection rend difficile l’augmentation physiologique du débit cardiaque à l’effort d’où apparition des symptômes à [141] l’effort. :CE [146] L’héparine se fixe sur :B rantithrombine III et accélère la L’échographie cardiaque permet neutralisation de la thrombine. de faire le diagnostic de Elle neutralise également le rétrécissement aortique en facteur Xa. visualisant des sigmoïdes [142] épaissies, parfois calcifiées, à :C Le temps de céphaline activée l’ouverture diminuée. Elle apprécie la voie intrinsèque de apprécie le retentissement sur le la coagulation, facteurs XII, XI, ventricule gauche (degré d’hypertrophie). IX, VIII ainsi que le tronc Le doppler continu permet de commun : V, X, Il et I. Cest le calculer le gradient et la surface test le plus courant pour la aortique avec une bonne surveillance d’un traitement à l’héparine. Le test de HowelI est corrélation à l’étude un test de coagulation global et hémodynamique. [147] le temps de Quick explore la :C voie intrinsèque facteur VII, X, L’indication chirurgicale doit être V, Il, I. portée devant ce rétrécissement [143] aortique serré. La survenue de :B On distingue une thrombopénie syncope est un indice de gravité. précoce (au 3e jour), modérée, Les traitements digitaliques et sans signe clinique, régressant vasodilatateurs ne sont pas souhaitables car augmentent le spontanément en quelques jours et une thrombopénie plus gradient VG-aorte. [148] tardive (10e jour) de :D mécanisme immunologique En effet la patiente présente des avec risque de thrombose, troubles de la conduction avec imposant le passage à BAV I et bloc de branche droit. rhéparine de bas poids Ces troubles sont soit dûs à une moléculaire ou aux anti coulée calcaire sur le septum, vitamines K. soit à un processus dégénératif [144] (maladie de Lenègre) et il existe :AC un risque de bloc auriculoA rexamen clinique, en faveur ventriculaire postopératoire. du caractère serré on retient: [149] - un B2 aboli à la base ou :CD dédoublé paradoxalement Sans commentaire. - un Bi diminué à la pointe - un maximum télésystolique du souffle [150] :B - un pincement de la Sans commentaire. différentielle de la TA. [151] [145] :D :C numération plaquettaire de référence, si l’héparine est utilisée. [140] :D Sans commentaire. 9 Lischémie aiguê du nombre inférieur est une urgence vasculaire. [152] :C Sans commentaire. [153] :ACD Sans commentaire. [154] :B Il peut constituer une contreindication à ranesthésie générale d’autant que le patient a déjà fait des accidents ischémiques transitoires. [155] :C La chute tensionnelle est presque constante portant sur la systolique. [156] :E Le territoire septal profond associe l’atteinte antéroseptale et inférieure. [157] :BC Les CPK s’élèvent à partir de la 6e heure et se normalisent à partir de 48-72 heures. La fraction MB est spécifique du myocarde. L’importance de l’élévation est liée à l’étendue de la nécrose. [158] :D Les troubles du rythme sont fréquents dans les trois premières heures. Les extrasystoles ventriculaires sont fréquentes (70 %). Les tachycardies ventriculaires sont vues dans 10 à 30 % des cas. Les troubles du rythme sont responsables de 30 à 40 % des décès précoces. [159] :C Le syndrome de Leriche est dû à l’atteinte de la bifurcation aortique. Cliniquement, il existe une claudication D - Traduit une insuffisance vraisemblablement fonctionnelle par hypovolémie efficace. [166] :BDE B - Est un signe d’insuffisance tricuspidienne. L’inspiration [160] majore le retour veineux et :C En cas de surcharge pariétale, augmente donc la fuite avec égalisation des pressions le doppler montre une auriculaires et ventriculaires. disparition du ressaut sur la D - On retrouve une HTAP portion descendante de la (pression capillaire> 12 mm Hg) courbe. En cas de sténose, on note une de type post-capillaire (absence de gradient entre l’artère disparition de l’onde négative pulmonaire et le capillaire), ainsi de reflux diastolique, une qu’un gradient accélération de la vitesse auriculoventriculaire systolique, avec courbe plus (la pression capillaire étant le empatée. La sténose est reflet de la pression dans significative si on note une démodulation du signal en aval. l’oreillette gauche). E - Traduit l’insuffisance [161] ventriculaire droite. :A [167] B - Est à éviter devant la :C présence de souffle systolique Sans commentaire. sur les axes iliaques. [168] D - N’est pas assez :C performante pour la Les premières enzymes à visualisation des artères s’élever sont les CPK vers la 6e périphériques. heure. Certains dosent la A - Il faudra éliminer un myoglobine qui est élevée dès la anévrysme de l’aorte 3e heure. C’est un test sensible abdominale. mais peu spécifique. [162] [169] :A :C Il s’agit dune atteinte bilatérale Le malaise vagal est fréquent étagée et on retiendra donc le dans les infarctus inférieurs, il pontage aorto-bifémoral. Il se réagit bien à l’Atropine®. fera au moyen d’une prothèse en dacron. La mortalité opératoire est de 2 % et la [170] :A perméabilité à 5 ans de 80 %. B - Infarctus latéral. [163] C - Infarctus antéro-septal. :BC D - Infarctus septal profond. Sans commentaire. E - Infarctus inféro-latéral. [164] [171] :ACE :E A.C. - Se voient dans L’anomalie la plus précoce est l’insuffisance tricuspidienne. une ischémie sous endocardique [165] : onde T ample, positive :BCE symétrique. Puis apparait la B.C. - Témoignent du retentissement sur le foie avec lésion sous-épicardique : sus décalage de ST convexe vers le cytolyse et cholestase puis haut englobant l’onde T. insuffisance hépato-cellulaire. intermittente de fesse ou de cuisse bilatérale, une impuissance. A l’examen, on note l’abolition des deux pouls fémoraux. 10 Associée à l’onde Q de nécrose qui apparait vers la 6e - 12e heuren, elle costitue l’onde en dôme de De Pardee. Ce sus-décalage disparaît en quelques jours L’onde T se négative à la 48e heure. L’onde Q de nécrose est le plus souvent définitive, l’onde T évolue de façon variable. [172] :C Il associe bradycardiehypotension avec baisse de la pression veineuse centrale, nausées vomissements. [173] :AB Sans commentaire. [174] :AD Le galop droit est un signe de décompensation cardiaque droite indiquant alors une embolie pulmonaire grave. La tachypnée importante traduit un effet shunt important; une Pa 02 <60 mmHg est un indice d’embolie pulmonaire grave. [175] :B L’héparine est utilisée en perfusion continue intraveineuse à dose efficace 500 Ul/kg/j. Le relais sera pris ensuite par les antivitamines K. La durée totale du traitement anticoagulant sera de 3 à 6 mois selon les auteurs. [176] :ACD L’angiographie permet de confirmer le diagnostic et d’apprécier l’importance de l’amputation pulmonaire (embolie peu importante si < à 40 %, embolie sévère si comprise entre 40 et 59, massive si > à 60 %. Elle est effectuée dans le même temps que la phlébographie qui permettra de faire le diagnostic de phlébite et recherchera sur les images de cavographie un thrombus flottant. La scintigraphie, examen non spécifique, éliminera le diagnostic si elle est normale. Dans ce cas-ci elle n’aide pas au diagnostic (l’angiographie sera faite de toute façon) mais est un examen de référence qui pourra être répété par la suite afin de juger de l’évolution sous traitement. [177] :B C’est une fibrillation auriculaire car il n’y a pas d’activité auriculaire organisée et les QRS sont fins et irréguliers. C - Un flutter serait régulier [178] :A C’est le diagnostic le plus probable devant le passage récent en arythmie. L’accident évoque une topographie sylvienne superficielle droite. E - Si la sténose carotidienne gauche avait été en cause, la topographie de l’accident ischémique aurait été à droite. [179] :E Léchocardiogramme permettra un nouveau bilan : retentissement (recherche d’une dilatation de l’oreillette gauche, des cavités droites, recherche de signes d’HTAP), mesure de la surface mitrale, appréciation de l’appareil sous valvulaire, recherche de calcifications. Le doppler continu permet la mesure du gradient de pression, le calcul de la surface mitrale. Dans certains cas, l’indication opératoire peut se poser au vu des résultats de l’écho-doppler sans nécessité d’examen invasif. [180] :A On discutera également le remplacement valvulaire, la réduction du trouble du rythme. [181] :AC Sans commentaire. [182] :B L’héparinothérapie doit être faite en intraveineuse continue ou discontinue (toutes les deux heures), à la dose de 500 Ul/kg/j, de façon à être efficace (TCK à deux fois le témoin). [183] :E Sans commentaire. [184] :C Sans commentaire. [185] :D A - L’activité rénine plasmatique serait élevée. C - L’intoxication à la réglisse peut donner une HTA avec hypokaliémie, mais l’aldostérone est normale [186] :AC Sans commentaire. [187] :C C’est le diagnostic le plus probable devant le tableau d’HTA avec hypokaliémi, hyporaldostéronisme, ARP basse et inefficacité du test au Captopril®. A - HTA avec hypokaliémie et aldostérone normale. B - L’ARP et l’aldostérone sont élevés. D - L’ARP et l’aldostérone sont élevées. Le test au Captopril® est positif. [188] :BE C - L’écho est rarement positive. E - Montre une fixation en cas dadénome, une fixation bilatérale en cas d’hyperplasie. On pourra faire aussi une 11 phlébographie des surrénales avec dosage daldostérone. [189] :CD ce traitement est mis en route en attendant la chirurgie. Il comportera également un régime désodé et une recharge potassique. [190] :C Le renforcement présystolique correspond à la systole auriculaire, or la patiente est en arythmie par fibrillation auriculaire donc sans systole auriculaire. A - Signe dHTA. B - Signe d’insuffisance tricuspidienne. D - Signe d’insuffisance aortienne. E - Signe d’insuffisance pulmonaire. [191] :D La systole auriculaire assure 20 % du volume de remplissage du ventricule gauche. [192] :AC A - Est un tournant évolutif de la maladie. C - Est une complication classique du rétrécissement mitral par embolie à partir d’un thrombus de l’oreillette gauche, favorisée par la stase sanguine, elle-même favorisée par la fibrillation auriculaire et la dilatation de l’oreillette gauche. Leur fréquence est estimée à 65 %. [193] :B Sans commentaire. [194] :CD La présence d’un trouble du rythme supraventriculaire sur valvulopathie mitrale impose dune prothèse valvulaire. E - Indication à une plastie ou prothèse valvulaire. Actuellement, on peut proposer au rétrécissement mitral pur sur valves souples, la réalisation dune valvuloplastie avec mise en place du ballon de dilatation par catéthérisme trans-septal. [203] :AE A - En faveur du caractère éjectionnel : le frémissement systolique, le maximum mésotélésystolique l’irradiation aux vaisseaux du cou. D - Elles seraient sous la ligne décrite. Les calcifications sont étudiées en OAD et OAG. [204] :A Sans commentaire. [205] :B Les troubles de conduction sont [198] possibles au cours du :ABCDE rétrécissement aortique par Toutes ces éventualités coulée calcaire sur le septum, peuvent se voir. mais les syncopes ne sont pas [199] liées à l’effort. :A [206] Il nécessite un catéthérisme :ABCE droit et gauche. Le gradient peut être mesuré au A - Montre des sigmoïdes épaissies, calcifiées à l’ouverture doppler continu. diminuée. [200] B - Apprécie le retentissement :D sur le ventricule gauche. Elle apprécie en outre le C - La fraction de retentissement (dilatation de l’oreillette gauche, dilatation des racourcissement calculée à partir des diamètres mesurés est cavités droites, HTAP) elle corrélée à la permet de mesurer la surface fraction d’éjection. mitrale. Le doppler permet la E - Le doppler continu estime le mesure du gradient VG-aorte et la surface gradient de pression et aortique. rappréciation de la surface [207] mitrale. :C [201] Sans commentaire. :AE Sans commentaire. [202] [208] :D :CDE C - C’est une contre-indication à Le diagnostic est évoqué devant le caractère de la douleur la commissurotomie à coeur augmentant à rinspiration, fermé. D - Nécessite la mise en place rassociation avec un frottement l’anticoagulation. [195] :A Il recherchera les troubles de la repolarisation pendant les crises douloureuses ainsi que les troubles du rythme et de conduction associés. Il faudra au besoin le répéter. Dans un deuxième temps, il faudra proposer un test au Néthergin® après avoir éliminé une sténose significative à la coronarographie. [196] :B Sans commentaire. [197] :BCD LAvlocadyl® est contre-indiqué du fait de son activité sympathicomimétique intrinsèque. 12 péricardique et une fièvre précoce. [209] :BCD Sans commentaire. [210] :C Sans commentaire. [211] :C A - Le surpoids ne fait pas partie, stricto sensu, des facteurs de risque cardiovasculaires prouvés. Il doit être corrigé cependant. B.D. - L’apoprotéine B est un des constituants des CDL et son élévation est athérogène. Le taux de LDL-cholestérol élevé est au contraire protecteur. E - L’HTA est par définition une TA> 160/95 mmHg. [212] :ACDE Sans commentaire. [213] :C Elle doit être réalisée avec un matériel de réanimation à proximité. Les contreindications sont langor instable, la sténose du tronc commun, I’HTA et rinsuffisance cardiaque non contrôlées, le thrombus du VG, la péricardite, les troubles du rythme et de conductions graves, le rétrécissement aortique et la cardiomyopathie obstructive. Elle est positive devant une douleur angineuse et/ou un sous décalage de ST horizontal ou descendant de 1 mm au moins pendant 0,08s. D - La scintigraphie au repos ne permet pas de détecter l’ischémie. Elle visualise les zones nécrosées. [214] :B Sans commentaire. [215] :CE E - En raison des antécédents d’asthme. C - En raison des effets secondaires majeurs (neuropathie périphérique, amaigrissement, hypoglycémie, atteinte hépatique...). [216] :E On choisit la chirurgie en raison de l’âge jeune du patient et de l’atteinte bitronculaire. [217] :B Sans commentaire. :C Sans commentaire. [225] :C Sans commentaire. [226] :BCE Sans commentaire. [227] :D Le phénomène de vol vertébral peut avoir une traduction neurologique sévère. [228] :D Le risque de rupture impose l’intervention chirurgicale. [218] :D Ils diminuent la mortalité après infarctus du myocarde. [219] :B Le caractère expansif de la masse est fondamental. [220] :A Examen le plus simple, la radiographie d’abdomen sans préparation de face et profil montre souvent des calcifications linéaires diminuant ranévrisme. Néanmoins, l’échographie est souvent demandée de première intention. [221] :B Question annulée. [222] :B Il existe une relation de type exponentiel entre la taille de l’anévrisme et le risque de rupture à 5 ans. Le risque est majeur au delà de 5 à 6 cm de diamètre. [223] :C L’opération consiste en une mise à plat-greffe par prothèse anastomose en terminoterminal. [224] [229] :A L’anémie sévère est une cause d’angor fonctionnel, le souffle systolique au foyer aortique n’est pas synonyme de rétrécissement aortique symptomatique. [230] :ABcDE L’ensemble du tableau est en faveur d’une anémie aiguê importante et mal tolérée. [231] :E La correction de l’hémorragie et de l’anémie est prioritaire. [232] :C Sans commentaire. [233] :BE La présence de prodrome et la bradycardie sont en faveur de ces hypothèses. [234] :E Sans commentaire. [235] :B Sans commentaire. [236] :E L’épisode douloureux throracique unique et atypique ne justifie pas la mise sous antiangineux avant toute investigation complémentaire. 13 [237] :C L’activité auriculaire régulière et diphasique, à 300lminute, est bien vue dans les dérivations inférieures. [238] :B Le flutter est une tachycardie supraventriculaire le plus souvent régulière. [239] :A Sans commentaire. [240] :B Malgré le caractère modérément emboligène, l’anticoagulation s’impose en cas de flutter auriculaire. [241] :CD Ce sont les deux traitements les plus efficaces. [242] :AC Lindication de la méxilétine est à l’étage ventriculaire. [243] :E Les données auscultatoires, radiologiques et électrocardiographiques sont en faveur du diagnostic du rétrécissement mitral. [244] :D Léchocardiogramme pourra confirmer ce diagnostic. [245] :D Le RM se complique volontiers d’accès paroxystique de fibrillation auriculaire avant que celle- ci ne devienne permanente. Le fait que le rythme cardiaque au cours de l’accès soit irrégulier et que cet épisode se soit accompagné d’une embolie cérébrale plaide également en faveur de ce diagnostic. [246] s’inscrit dans un tableau d’IVD avec turgescence jugulaire ; enfin, le microvoltage traduit surtout l’abondance de l’épanchement. [253] :B Le traitement comportera le repos au lit jusqu’à disparition de la douleur et de la fièvre et la prescription d’aspirine (2 à 3 g/24 h) ou d’anti inflammatoires non stéroïdiens. Le traitement corticoïde dans cette étiologie n’est pas indiqué dans un premier temps et favoriserait les rechutes. [254] :D Le bigéminisme ventriculaire est défini par l’alternance d’un complexe sinusal et d’une ESV. [255] :B Le Holter de 24 heures permet d’apprécier la sévérité de l’hyperexcitabilité ventriculaire (classification de Lowa). [250] [256] :BC :BC Le tracé ECG présente Exceptionnellement, une révolution classique en quatre tachycardie ventriculaire peut stades: 1- Sus-décalage de ST concave être irrégulière, spontanément ou sous anti-arythmique. en haut [257] 2- Retour de ST à la ligne :AC isoélectrique avec T aplatie La Xylocaïre® est surtout efficace 3- T négative 4- Retour de l’onde T à la ligne dans les troubles du rythme ventriculaire à la phase aigué de isolélectrique en quelques l’infarctus. semaines ou quelques mois. [258] [251] :BCDE :D La tamponnade peut également Le traitement antiarythmique préventif fait appel aux émailler l’évolution d’une médicaments de la classe I ou à péricardie aigué bénigne mais reste une complication plus rare lamiodarone. [259] (ce QCM sous-entend que :C l’étiologie de la péricardite est Le souffle traduit une insuffisance virale). mitrale télésystolique. [252] :CDE Le pouls de Kussmaul [260] correspond à une diminution de : B D E La fibrillation auriculaire et les l’intensité du pouls lors de extrasystoles sont les troubles du l’inspiration, le foie douloureux :E La réponse est à l’évidence (E), bien qu’une erreur de l’énoncé ou de l’item existe dans la topographie droite de l’embolie et non gauche (hémiparésie droite). [247] :CE L’enregistrement simultané des pressions dans le capillaire pulmonaire ou 10G et le VG permettra d’établir le gradient de pression entre les deux cavités et d’évaluer la surface mitrale en fonction du débit cardiaque (formule de Gorlin). [248] :AC Sans commentaire. [249] :C La douleur est soulagée lors de la position penchée en avant ou assise, et est aggravée par le décubitus. 14 rythme les plus fréquemment rencontrés dans le prolapsus mitral. Néanmoins, malgré leur caractère irrégulier, les palpitations sont compatibles avec n’importe quelle arythmie. [261] :BC La proposition (D) s’observe dans la cardiomyopathie obstructive. A et E - Sont des signes de rétrécissement mitral. [262] :AC La survenue dextrasystoles isolées sans phénomène répétitif au caractère répétitif, n’impose pas un traitement antiarythmique. Sinon, les bêta-bloquants sont les plus efficaces dans cette pathologie. [263] :B La fréquence est estimée de 5 à 20 % selon les études. [264] :D L’atteinte de la petite valve est la plus fréquente. [265] :ACE Une prophylaxie de l’endocardite est nécessaire comme dans toutes les valvulopathies. [266] :BDE La paralysie sensitivo-motrice ne permet pas de trancher dans le mécanisme de Iischémie et l’existence d’une claudication ancienne plaiderait plutôt pour une origine thrombotique aiguê athéromateuse. [267] :ABC Tous ces éléments traduisent l’existence d’une artérite antérieure. L’évolution rapide n’est pas en faveur car l’existence d’une circulation sont formellement indiquées en cas d’antécédents veineux. [275] :C Sans commentaire. [276] :D L’hypertrophie concentrique du VG est un bon reflet de la sévérité du RA. [277] :D Devant un gradient VG - AO à 90 mm Hg, a fortiori si le patient est symptomatique, il y a une [270] indication de remplacement :ACE valvulaire. Le délai supérieur à 8 heures [278] d’ischémie complète, la :E précarité du terrain et Dans ce tableau, seule la l’existence d’un lit d’aval de coronarographie, pratiquée en mauvaise qualité sont autant même temps que le cathétérisme d’arguments pour faire une gauche, permettra d’éliminer amputation d’emblée. formellement une athérosclérose [271] cornarienne. :E Les tests d’effort ne sont pas Il s’agit d’une phlébite indiqués dans le RAO. superficielle. Aucun de ces examens n’est nécessaire, sauf [279] :CE en cas d’extension au niveau Sans commentaire. de la crosse de la saphène [280] interne, où certains problèmes :D diagnostiques peuvent être Classe 3 : dyspnée apparaissant tranchés par une pour des efforts légers, gênant la phlébographie. vie courante. [272] :CD Le repos au lit est contre[281] :D indiqué. Une contention Lexistence d’un B3 traduit une élastique peut être indiquée. régurgitation mitrale assez [273] importante. :ABC [282] Il s’agit d’une thrombose :D veineuse profonde. Le roulement diastolique peut Une épreuve au fibrinogène accompagner une fuite mitrale marqué se fait dans quelques pure. La perte de la systole centres spécialisés avec une auriculaire due à la fibrillation bonne corrélation avec les auriculaire fait qu’il ne pourra être résultats de la phlébographie. En pratique, un doppler veineux en aucun cas présystolique. et surtout la phlébographie sont [283] :AB suffisants. Sans commentaire. [274] [284] :AD :ABCE Souvent prises de façon Bien que certains auteurs aient systématiques, ces mesures collatérale rend le caractère de l’ischémie souvent incomplet. [268] :B Sans commentaire. [269] :ADE Lacidose s’accompagne souvent d’une hyperkaliémie pouvant être menaçante. La stase vasculaire et la nécrose musculaire peuvent s’accompagner d’une CIVD. 15 pu rapporter des atteintes des muscles papillaires d’origine syphilitique et pouvant être responsable dIM, cette étiologie est surtout classique dans lIA. [285] :ABDE Sans commentaire. [286] :BD Seuls ces deux examens permettent une étude maphologique précise du mécanisme lésionnel. [287] :D Une éventuelle asymétrie des pouls constituerait un argument de plus en faveur d’une dissection. [288] :D La scintigraphie myocardique n’a vraiment aucun intérêt dans le diagnostic de la dissection aortique. [289] :D Seule l’aortographie rétrograde permettra de confirmer le diagnostic et d’apprécier l’extension exacte de la dissection. [290] :D Sans commentaire. [291] :B Etant donné les chiffres tensionnels, cette mesure thérapeutique sera prise immédiatement en attendant l’intervention chirurgicale puisqu’il s’agit ici d’un type I ou Il (aorte ascendante). [292] :C L’arc supérieur droit répond au tronc veineux brachiocéphalique droit. [293] :E Le fluttering mitral est un signe d’insuffisance aortique. [294] :D Une maladie mitrale évoluant depuis 20 ans, et en oedème pulmonaire, est incompatible avec des pressions droites et artérielles pulmonaires normales. [295] :B Londe V capillaire est en général d’autant plus élevée que l’insuffisance mitrale est plus sévère. [296] :E La présence d’insuffisance ventriculaire gauche (OAP récent) contre-indique l’emploi des bêtabloquants. [297] :C Le renforcement présystolique du roulement, généré par la systole auriculaire, fait défaut en cas de fibrillation auriculaire. [298] :D La contribution de la contraction auriculaire au remplissage ventriculaire est en effet importante dans le RM. [299] :ACE Les troubles du rythme ventriculaire sont rares dans la sténose mitrale. [300] :B Les digitaliques sont prescrits de première intention. [301] :CD Une anticoagulation efficace doit être obtenue rapidement d’où l’emploi de l’héparine. [302] :A L’insuffisance aortique importante s’accompagne d’un souffle systolique de débit. [303] : QUESTION ANNULEE [304] :C Le streptoccoque non groupable est à l’origine de 35% des endocardites et est le germe le plus souvent rencontré devant une porte d’entrée dentaire. [305] :C Une association de deux antibiotiques bactéricides est nécessaire. Les streptoccoques sont en règle très sensibles à la pénicilline G (exceptés ceux du groupe D). [306] :D La mise en évidence de végétations valvulaires permet d’affirmer le diagnostic d’endocardite. [307] :ABCE La survenue d’abcès septal peut être à l’origine de trouble conductif. [308] :ABE Il débute après le claquement d’ouverture mitrale, augmente à l’effort. Le renforcement présystolique de ce roulement disparaît en fibrillation auriculaire. [309] :ACD Dans le RM pur, il n’y a pas dHVG mais il peut y avoir des signes de retentissement ventriculaire droit. A et C sont des signes d’hypertrophie auriculaire gauche. B est un signe d’hypertrophie auriculaire droite. [310] :E En général, il existe un mouvement paradoxal antérieur de la petite valve (feuillet postérieur) qui suit la grande valve. [311] :D 16 L’allongement de l’arc inférieur gauche traduirait une dilatation du ventncule gauche qui n’existe pas. On peut voir néanmoins un déplacement de l’arc inférieur gauche par une dilatation du VD avec une pointe susdiaphragmatique. [312] :B Le ventricule gauche étant normal et la sténose mitrale située en amont, il n’y a aucune raison d’observer une augmentation de la pression télédiastolique du ventricule gauche. [313] :BCE La douleur thoracique de la péricardite peut imiter dans son caractère constrictif une douleur dorigine coronarienne; néanmoins, dans ce cas, l’accentuation des douleurs lors de la respiration, la position antalgique penchée en avant et la fièvre d’emblée oriente vers une origine péricardique. [314] :C La ponction péricardique à visée diagnostique est sans aucun doute à réaliser en dernier recours pour préciser l’étiologie de la péricardite mais en aucun cas pour en faire le diagnostic elle est en général réservée aux formes sub-aiguês d’évolution traînante. La ponction péricardique à visée décompressive est par contre plus fréquemment réalisée en cas de tamponnade. [315] :B Il s’agit classiquement d’un sus-décalage de ST concave vers le haut évoluant en 4 stades avec retour à la ligne isoélectrique puis renégativation de l’onde T ; ces anomalies siègent en règle dans toutes les dérivations. On peut également rencontrer un sous-décalage de PQ, des troubles du rythme supraventriculaire (ESA, FA), une alternance électrique ou un microvoltage en cas d’épanchement abondant. [316] :E Le risque d’évolution d’une péricardite aiguê idiopathique vers une péricardite constrictive est très rare. [317] :B Le traitement classique de la péricardite aigué idiopathique comprend le repos au lit, la prescription d’antiinflammatoires non stéroïdiens ou de salicylés, et éventuellement d’antalgiques. Les corticoïdes sont à éviter, car ils pourraient favoriser les rechutes. [318] :BD La réponse à ce QCM est discutable : la sévérité de Ihypoxémie et les signes de choc avec baisse de la pression artérielle sont les 2 éléments traduisant le plus la gravité de cette EP mais la tachycardie importante, les signes de coeur pulmonaire aigu à l’ECG et les formes syncopales se voient plus souvent dans les EP graves. La réponse ABCDE pourrait donc être également acceptée. [319] :C Il n’y a pas de faux négatifs à la scintigraphie pulmonaire mais uniquement des faux positifs. [320] :ABCD Les indications des traitements fibrinolytiques concernent les embolies pulmonaires graves sur le plan hémodynamique (état de choc et signes d’insuffisance ventriculaire droite), prouvées par une angiographie pulmonaire (montrant une amputation d’au moins 40 %) l’administration peut se faire par voie veineuse centrale ou périphérique ; souvent l’administration en bolus de très fortes doses est également possible. Exemple de posologie streptokinase après 100 mg d’hémisuccinate d’hydrocortisone pour éviter les allergies : 250 000 UI / 30 minutes (dose de charge) puis 100 000 UI I heure pendant 24 heures. que le réseau profond est normal. [324] :ACD Une autre complication est la thrombose veineuse superficielle. Enfin les thromboses veineuses profondes peuvent se compliquer de varices mais l’inverse n’est pas vrai. [325] :C L’importance des varices et le fait qu’il s’agisse d’une incontinence de la valvule ostiale de la saphène interne plaident pour un traitement chirurgical, d’autant que le réseau profond semble [321] normal (contre-indication à la :ADE L’hémorragie digestive de grande chirurgie dans le cas contraire). Les scléroses sont abondance impose l’arrêt du plutôt réservées aux varices traitement anticoagulant et tronculaires modérées et aux l’existence d’un thrombus varicosités. fémoro-iliaque gauche impose [326] d’interrompre chirurgicalement la :B veine cave par un clip ou de La sclérose et le traitement mettre en place un filtre de chirurgical sont contreGreenfiels, afin d’éviter d’autres indiqués au cours de la migrations pulmonaires. grossesse dans la mesure où [322] les varices peuvent :ABD partiellement régresser après Une contre indication au l’accouchement. traitement anticoagulant au long [327] cours est également une contre:DE indication mais dans l’item C, on A B C - Sont des caractères n’envisage qu’une contreindication à l’héparine qui pourrait communs à la crise d’angor et à l’infarctus du myocarde. éventuellement faire utiliser les [328] antivitamines K. :C D est discutable : en général L’aspect d’ischémie sousl’interruption cave se fait surtout endocardique (onde T amples dans les caillots flottants de la veine cave, mais cette indication et pointues) et de lésion sousépicardique est visible de peut être étendu aux caillots V2 à V5. iliaques. Il s’agit donc probablement [323] d’un infarctus antérieur :A étendu. Le reflux à la toux au niveau du [329] Scarpa traduit une incontinence :B de la valvule ostiale de la B est le plus précoce (3 saphène interne. L’épreuve de premières heures) et le plus Perthes (varices diminuant à la transitoire. Dans les heures marche avec un garrot) montre 17 qui suivent, apparition de E puis antérieur une sévérité et une étendue de l’ischémie de A. myocardique à l’effort responsable d’une dysfonction [330] ventriculaire gauche. Cette chute :E tensionnelle peut également Les CPK sont les premiers s’observer en cas de cardiopathie enzymes à &élever mais en règle pas avant la 6ème heure. évoluée quelque soit son origine traduisant alors une inadaptation [331] de la performance ventriculaire :D La xylocaïne est le médicament gauche à l’effort. [336] de choix dans les arythmies :A ventriculaires à la phase aigué La coronarographie s’impose en de rinfarctus du myocarde. La réponse E aurait également raison de la sévérité probable put se discuter mais l’apparition des lésion coronaires. [337] de taux sériques efficaces :D après une dose de charge de cordarone est retardée et donc La survenue de douleurs spontanées chez ce patient qui l’action sera moins immédiate présentait jusque là uniquement qu’avec la xylocaïne. un angor d’effort authentifié par [332] une épreuve d’effort très positive :DE (importance du sous-décalage Les fibrinolytiques administrés qui survient pour un faible palier) précocement (avant la quatrième heure) permettent de doit être considéré comme un angor instable et justifie limiter la taille de rinfarctus en l’hospitalisation en unité de soins reperméabilisant l’artère intensifs. coronaire thrombosée (étude [338] GISSI par exemple). L’aténolol :B en IV puis per os a également fait preuve d’une efficacité dans Le caractère irrégulier, le début brutal et la fin progressive des la prévention de la mortalité crises de tachycardie sont en précoce et tardive, et la faveur d’une fibrillation prévention des récidive auriculaire. d’infarctus (étude ISIS). [333] [339] :B :B Compte tenu de la survenue de Critère de positivité : souscrises de tachycardie décalage de ST > à 1 mm à paroxystique, l’enregistrement de partir du point J, de durée > à cette bradycardie sinusale doit 0,06 sec avec un segment ST faire suspecter soit un syndrome horizontal ou descendant. bradycardie - tachycardie soit [334] une maladie arythmique :C Le seuil “douloureux” peut être auriculaire, avec dysfonction sinusale. nettement supérieur au seuil [340] “ischémique” chez certains :A sujets. L’enregistrement de Holter est [335] l’examen à faire en priorité : il :CE permettra d’apprécier la sévérité La chute tensionnelle à l’effort de la bradycardie sinusale, sa doit faire arrêter l’épreuve et traduit en l’absence d’infarctus variation au cours du 18 nycthémère, l’existence de pauses (surtout si > à 2,5 sec), le nombre d’épisodes éventuels de fibrillation auriculaire avec leur durée et leur fréquence et enfin la succession de ces différentes phases les unes par rapport aux autres. [341] :CD Il faut traiter les accès paroxystiques de FA pour prévenir leur récurrence dans la mesure où ils sont mal tolérés d’une part et où ils risquent toujours d’occasionner des accidents emboliques d’autre part. Ce traitement anti-arythmique risquant d’aggraver la dysfonction sinusale, un entraînement électrosystolique endocavitaire permanent par un stimulateur est indiqué (si la question fait appel à la conduite à tenir immédiate, pourront se discuter A ou C, bien que cette bradycardie soit bien tolérée). [342] :E Aucune de ces propositions n’est exacte. En effet, l’auscultation pulmonaire est peu en faveur d’un OAP. Les gaz du sang ne reflètent pas une décompensation respiratoire chez un bronchitique insuffisant respiratoire. L’absence de fièvre et l’aspect radiologique sont peu évocateurs d’une tuberculose ou d’une pneumonie à pneumocoque. [343] :ABE Un tracé normal est possible. B traduit un bloc de branche droit. On peut également voir une déviation axiale droite. [344] :ABCDE Tous ces aspects peuvent se voir au cours d’une embolie pulmonaire. Plus rarement on peut trouver une saillie de l’arc moyen gauche traduisant une distension de l’artère pulmonaire. [345] :ABDE Tel que le QCM a été modifié (pour étayer le diagnostic de la maladie thromboembolique) ces 4 items sont à retenir. B permettra d’affiner l’analyse mais sera difficile à obtenir en urgence. [346] :BCE Les signes cliniques de thrombose veineuse sont moins fréquents (ils seraient présents dans environ 50 % des cas dans une série rapportée de 174 EP). L’angoisse est assez fréquente (50 %) et la dyspnée est le signe le plus fréquent (80 % des cas environ). [347] :E L’absence de signes d’insuffisance cardiaque droite ne permet pas d’éliminer formellement une E.P. importante d’autant qu’existe une baisse de la pression artérielle. [348] QUESTION ANNULEE. [349] :A Tous les autres médicaments sont des hypotenseurs. [350] :E Tous les autres facteurs sont susceptibles de donner ou d’aggraver une hypotension orthostatique. [351] :E Un BAV paroxystique survient typiquement à remporte pièce et n’est pas déclenché ou influencé par un changement postural. Larthrose cervicale paraît également difficile à retenir comme cause de malaise. [352] QUESTION ANNULEE. [353] :A L’association tachypnée, tachycardie, signes d’insuffisance ventriculaire droite, et l’aspect ECG et radiologique sont très en faveur d’une embolie pulmonaire. [354] :C L’association hypoxie hypocapnie traduisant un effet shunt et une hyperventilation, est typiquement présente au cours d’une embolie pulmonaire. Il faut néanmoins savoir que les gaz du sang peuvent être normaux (dans environ 10 % des cas). [355] :D La réponse à ce QCM est difficile ; en pratique, le diagnostic étant presque certain, il est surtout utile de demander une angiographie précisant la gravité de I’E.P. La scintigraphie pulmonaire est surtout intéressante dans les formes sans tableau de gravité, avec éventuellement renouvellement de l’examen 15 jours plus tard pour confirmer un diagnostic éventuellement hésitant. [356] :ABE Bien qu’il n’y ait pas de parallélisme anatomoclinique net, l’existence d’une tachypnée importante d’une cyanose, d’une hypotension artérielle, d’une syncope, et de signes cliniques et ECG de retentissement cardiaque droit plaide pour une E.P. grave, surtout s’ils sont réunis. [357] :E A priori, un voyage de quelques 19 heures en position assise est tout de même bien différent d’un alitement prolongé, et insuffisant pour favoriser la survenue d’une thrombose veineuse. [358] :B Sans commentaire. [359] :BCDE On est en présence d’une embolie pulmonaire avec des signes cliniques de gravité qui doivent faire discuter une thrombolyse du caillot par fibrinolytique ou une embolectomie surtout si l’angiographie pulmonaire a confirmé l’existence dune amputation supérieure à 40 % du lit vasculaire. C et D se discuteront éventuellement plus tardivement mais pas dans ce contexte d’urgence, à moins qu’on ait la preuve de l’existence d’un caillot flottant qui pourrait continuer à emboliser et expliquer la dégradation du malade ou à moins qu’une embolectomie chirurgicale soit réalisée car ce dernier geste est toujours associé à une interruption partielle de la veine cave, en raison notamment de l’impossibilité d’anticoaguler ces patients dans la période postopératoire immédiate. [360] :A Par ordre de fréquence, A est à évoquer en premier lieu. Il faudrait avoir quelques renseignements supplémentaires sur l’auscultation pour étayer ce diagnostic. [361] :BCDE La diminution du 2ème bruit au foyer aortique traduit un remaniement valvulaire important, e frémissement systolique, l’intensité du souffle, enfin un click proto-systolique traduisent des valves sigmoïdes, qui gardent encore une certaine mobilité. [362] :ACDE A et E peuvent traduire des signes d’insuffisance cardiaque gauche. D est fréquente au cours du rétrécissement aortique. [363] :ACD Le PR à 0,22 sec correspond à un BAV du premier degré. La durée de QRS inférieure à 0,12 permet d’éliminer un bloc de branche gauche complet, l’aspect asymétrique de la négativation des onde T traduit plutôt une surcharge systolique du ventricule gauche mais il est parfois bien difficile de différencier cet aspect d’une véritable ischémie. [364] :C La mesure pratiquement simultanée du gradient de pression et du débit cardiaque lors du cathétérisme permet une évaluation de la surface aortique plus précise que le doppler continu (formule de Gorlin : surface aortique = flux aortique systolique VG-aorte) L’examen doppler dans les mains d’un expérimentateur entraîné permet une évaluation précise du gradient transorificiel mais l’absence de mesure fiable du débit cardiaque limite l’évaluation de la surface. [365] :ABCD Les embolies artérielles sont le plus souvent d’origine calcaire, mais sont rares. L’autre complication est la défaillance cardiaque gauche, puis globale. [366] :C L’emploi des dérivés nitrés (ou d’autres vasodilatateurs agissant surtout sur la précharge) doit se faire néanmoins avec précaution car une baisse trop importante de la pression télédiastolique du ventricule gauche peut entraîner une baisse du débit cardiaque. Le traitement digitalique est déconseillé chez les malades présentant un obstacle important à réjection ventriculaire gauche (rétrécissement aortique serré, cardiomyopathie obstructive). [367] :E La dyspnée au moindre effort correspond à la classe 4 de la NYHA (pour rappel, classe 3 = gêne pour les efforts de la vie courante et classe 2 gêne modérée apparaissant pour des efforts inhabituels, classe 1 = pas de gêne fonctionnelle). [368] :B Le B3 résulte des vibrations de l’ensemble du ventricule survenant à la fin de la phase de remplissage rapide protodiastolique du ventricule. [369] :B Le bref roulement diastolique correspond à une sténose fonctionnelle de l’orifice mitral en rapport avec l’importance de la fuite mitrale et donc du flux protodiastolique de remplissage rapide du ventricule (hyperdébit). [370] :E En l’absence de fièvre ou de signes généraux pouvant évoquer une endocardite, l’hypothèse la plus probable est une rupture de cordage. Le syndrome de rupture avec douleur thoracique et oedème pulmonaire est rare. Le volume cardiaque normal à la radiographie traduit le caractère très récent de cette fuite mitrale. 20 Les étiologies des ruptures de cordage sont par ordre de fréquence les formes dystrophiques (prolapsus valvulaire mitral) et les formes dégénératives (sujet âgé) dans environ 50 % des cas, les endocardites infectieuses dans 25 % des cas, les atteintes rhumatismales dans 20 % des cas, puis viennent l’infarctus du myocarde et les traumatismes. [371] :B L’aspect échocardiographique associe la présence d’échos anormaux dans l’oreillette gauche en systole (TM), des vibrations systoliques de la valve mitrale et une grande vitesse d’ouverture (TM). En bidimensionnel, on notera parfois l’existence d’un prolapsus et on recherchera le passage de l’extrémité distale du feuillet derrière le niveau de fermeture mitrale en systole. [372] :D Sans commentaire. [373] :ABE Sans commentaire. [374] :D Sans commentaire [375] :AB Le rythme mitral de Durozier associe l’éclat de Bi, le claquement d’ouverture mitral et le roulement diastolique. Le renforcement présystolique du roulement ne peut être entendu chez cette patiente en fibrillation auriculaire, en raison de la perte de la systole auriculaire. [376] :D On peut évidemment observer des signes de surcharge ventriculaire droite (déviation axiale droite de QRS avec Si Q3, bloc incomplet droit, inversion du rapport RIS en Vi). Les signes d’HAG ne peuvent s’observer chez cette patiente en fibrillation auriculaire. [377] :B L’échocardiogramme couplé au doppler permet une mesure assez précise de la surface mitrale : en bidimensionnel on mesure directement la surface de l’orifice mitral par planimétrie et le doppler permet également une évaluation de la surface mitrale par la mesure du profil vitesse du flux trans mitral. [378] :C Le territoire inférieur correspond aux dérivations D2 - D3 - VF et le territoire latéral correspond à V5-V6. [379] :D L’association de la bradycardie, de la chute tensionnelle et des sueurs ainsi que la topographie de l’infarctus évoquent plus un choc vagotonique. [380] :B La positivité du test au méthergin et la normalité de la coronarographie plaident en faveur d’un mécanisme spastique. Une autre étiologie d’infarctus associée à des artères coronaires normales est représentée par l’embolie coronaire. Une coronarographie normale est retrouvée dans environ 4 % des infarctus et dans i6 % des infarctus survenus chez des patients de moins de 35 ans. [381] :A A i heure 30 du début de la douleur, le bilan enzymatique sera en général normal. [382] :B Les bêtabloquants sont à éviter au cours du spasme coronaire car ils sont susceptibles de pouvoir le déclencher ou l’aggraver. Le tabagisme peut provoquer des spasmes coronaires. [383] :D La notion de l’existence d’une prothèse aortique et d’une fièvre prolongée à la suite d’une extraction dentaire doit faire évoquer en premier lieu une endocardite sur prothèse. [384] :E L’existence et surtout l’apparition d’un souffle diastolique chez ce patient suspect d’endocardite traduirait une fuite aortique et donc une éventuelle désinsertion de la prothèse, et serait un argument important pour une greffe bactérienne sur la prothèse. [385] :BCE Toute suspicion d’endocardite impose de rechercher des signes cutanés (purpura, faux panari d’OsIer) et une splénomégalie, dont l’existence confortera le diagnostic. Les frissons peuvent correspondre à des décharges bactériémiques à partir du foyer infectieux. [386] :B Au moins 6 hémocultures, avant toute antibiothérapie, de préférence lors d’une poussée fébrile ou de frissons, et à ensemencer sur milieux aéroanaérobies. [387] :C Streptocoques non groupables. [388] :D Une suspicion d’endocardite impose de débuter un traitement 21 antibiotique une fois les prélèvements effectués : double antibiothérapie, bactéricide, par voie parentérale. [389] :CD La consommation d’alcool et l’obésité sont des facteurs favorisant ou aggravant le développement d’une HTA. La tachycardie de repos peut traduire une activation du système sympathique, qui peut être un facteur d’augmentation du débit cardiaque des résistances périphériques et de la pression artérielle mais qui peut également correspondre à une adaptation pour maintenir un débit cardiaque constant sur une cardiopathie hypertensive. Cette réponse ne paraît pas devoir être retenue. [390] :ABC Il s’agit du bilan biologique de première intention. A est demandé surtout pour dépister d’autres facteurs de risque cardiovasculaire associés. [391] :ABC A et B sont des examens simples pour juger du retentissement de I’HTA sur le coeur et pour rechercher une HVG. [392] :BDE Le régime désodé strict est souvent très difficile à suivre, a fortiori chez un chauffeur routier. Le régime hypocalorique, l’arrêt de l’alcool et une activité physique régulière peuvent permettre un meilleur contrôle tensionnel, surtout si cela s’accompagne d’une perte de poids. [393] :BC Les bêta-bloquants sont contreindiqués en raison des antécédents d’asthme. Le labétalol, qui possède à la fois des propriétés alpha et bêtabloquantes est également contre-indiqué. [394] :CE Le souffle holosystolique augmentant à rinspiration est un souffle d’insuffisance tricuspide. Comme autre signe d’IVD, on peut également citer rhépatomégalie sensible. [395] :D Les autres signes sont en rapport avec l’intoxication digitalique, qui ne peut provoquer de bloc de branche dans la mesure où la digitaline déprime la conduction suprahissienne ou nodale mais jamais la conduction infrahissienne. [396] :E 90 % de la digoxine est excrétée sous forme intacte par le rein. En cas dinsuffisance rénale, il convient donc dadapter et de diminuer la posologie de digoxine. Classiquement, on disait qu’il fallait mieux utiliser dans ce cas la digitaline ; cependant la digitaline expose à la production de digoxine issue du catabolisme hépatique, dont les quantités sont difficilement prévisibles. Aussi, il faut actuellement préconiser remploi de la digoxine en cas d’insuffisance rénale, en diminuant la posologie. [397] :B L’élévation de la pression artérielle pulmonaire moyenne est secondaire à l’élévation de la pression capillaire pulmonaire (pression capillaire pulmonaire moyenne normal = 12 mm Hg, PAP systolique 30, diastolique 15, moyenne 20). Lindex cardiaque normal est compris entre 2,5 et 3,5 l/min/m2. [398] :C Les inhibiteurs de renzyme de conversion ont fait la preuve d’une efficacité dans la diminution de la mortalité au cours de l’insuffisance cardiaque grave (stade 4). lI possède à la fois des propriétés vasodilatatrices sur le système artériel et veineux. La réponse A pouvait également se discuter, ainsi que la réponse B. Ce QCM est donc litigieux. [399] :B Il vaut mieux éviter d’associer un diurétique épargneur de potassium au traitement par les inhibiteurs de l’enzyme de conversion en raison du risque accru d’hyperkaliémie. d’autant qu’existe une insuffisance rénale. [400] :BC B en raison de l’hypercholestérolémie, C en raison de l’insuffisance cardiaque. La très discrète élévation des triglycérides est contingeante à Ihypercholestérolémie et ne nécessite pas de régime pauvre en hydrates de carbone, d’autant qu’il ne présente pas de surcharge pondérale. [401] :E Les contre indications habituelles aux digitaliques sont le bloc auriculo-ventriculaire de haut degré non appareillé, la tachycardie ventriculaire, les cardiomyopathies obstructives, le tachycardies atriales survenant dans les syndromes de Wolff, Parkinson, White. [402] :CD 22 Les bêta-bloquants sont en principe contre-indiqués dans l’insuffisance cardiaque sévère, bien que certains auteurs aient pu les proposer dans cette indication. L’emploi de rhydralazine est déconseillé chez le patient coronarien, en l’absence d’association à un bêtabloquant, en raison de son effet tachycardisant. [403] :AD Le propanolol et le vérapamil sont contre-indiqués en raison de leur effet dépresseur sur la contractilité myocardique, chez ce patient présentant une diminution importante de sa fraction déjection. [404] :AB Les dérivés nitrés vont, en diminuant la précharge, diminuer le travail du myocarde et la consommation du myocarde en 02 et améliorer la symptomatologie du patient tant sur le plan de rangor que sur celui de l’insuffisance cardiaque. [405] :ABC Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion sont des vasodilatateurs mixtes agissant à la fois sur le versant artériel et veineux, Ils vont en s’opposant aux effets vasoconstricteurs de l’angiotensine Il, diminuer la post charge et la précharge d’où une amélioration de la dyspnée, une diminution de la PA et une augmentation de la fraction d’éjection. [406] :D La fibrillation auriculaire étant probablement récente et sans doute responsable de l’aggravation depuis 3 mois de son insuffisance cardiaque, il semble licite de tenter une réduction médicamenteuse par l’association digoxine-cordarone même si cette réduction sera difficile à obtenir. Enfin, l’administration de Lopril® (captopril) semble licite dans cette myocardiopathie évoluée, dans la mesure où les inhibiteurs de l’enzyme de conversion ont fait la preuve d’une efficacité dans la réduction de la mortalité chez de tels malades. [407] :BCDE La découverte d’une HTA d’apparition brutale et sévère chez l’adolescent doit faire évoquer une HTA secondaire, avant de parler de premières manifestations d’une HTA essentielle, et afin de retrouver une étiologie éventuellement curable. [408] :E Il s’agit d’une saillie ou d’une modification du bouton aortique (arc supérieur gauche). [409] :E Souffle méso-systolique entendu au 2° et 3° espace intercostal gauche et irradiant dans le dos dans la région paravertébrale gauche. [410] :A Sans commentaire. [411] :E La coarctation de l’aorte représente une cause rare d’HTA mais curable par un traitement chirurgical radical. [412] :C Les tests de coagulation sont normaux: plaquettes 310 gIl signifie 310.lOg/l, le temps de saignement par la méthode d’lvy (brassard à tension) est normalement inférieur à 10 minutes (méthode de duke, TS 5 minutes). [413] QUESTION ANNULEE. [414] :A La posologie habituelle de l’héparine est de 300 à 500 UI/kg /24 heures mais est à adapter à chaque patient en fonction du TCK (1,5 à 3 fois le témoin) et de l’héparinémie (0,2 à 0,4 UI/ml) [415] :B Sans commentaire. [416] :A Le relais par les antivitamines K par os peut être entrepris dès la cédation des signes cliniques et sera prolongé pendant 3 mois au moins. [417] :ABCE L’ECG à la recherche de signe de coeur pulmonaire aiguê (déviation axiale droite, bloc incomplet droit, trouble de repolarisation en précordiales droites), les gaz du sang à la recherche d’une hypoxémiehypocapnie. On observe habituellement une augmentation des LDH au cours de I’EP mais qui n’est absolument pas spécifique ; le dosage enzymatique est surtout utile pour éliminer une nécrose myocardique (CPK normales). [418] :ADE A et E sont surtout discriminatifs dans les thromboses haut situées. La phlébographie reste la méthode de choix en permettant la visualisation de la thrombose. [419] :A Sans commentaire. [420] :ABE La numération des plaquettes au 23 cours d’un traitement héparinique doit être réalisée au moins une fois par semaine afin de dépister précocement une thrombopénie. Le thromboélastogramme est un test global de la coagulation coûteux et peu reproductible qui nest plus utilisé en pratique. La mesure de la vitesse de sédimentation, accélérée initialement permet d’apprécier la régression progressive du syndrome inflammatoire sous traitement. [421] :AC La survenue d’une thrombopénie au cours d’un traitement héparinique curatif impose rarrêt immédiat de rhéparine et la mise en route d’un traitement par antivitamines K à demi-vie brève (Tromexane® par exemple), lorsque le risque thrombotique est important. [422] :D Léchodoppler est un examen non invasif, facilement reproductible qui précise de façon assez fiable la topographie et l’importance des lésions athéromateuses, et qui peut dépister une éventuelle thrombose (interruption du flux). [423] :C Léchotomographie est l’examen le plus simple et le meilleur pour détecter et évaluer la taille dun anévrysme de raorte abdominale, mais cet examen peut être gêné par une distension gazeuse abdominale importante. Langiographie même artérielle est moins précise en raison de la présence de thrombus qui peuvent masquer l’anévrysme ou minorer artificiellement sa taille. Le scanner abdominal est sans doute aussi performant que l’échographie mais plus onéreux. [424] :B Le doppler couplé à l’échographie des troncs cervicaux sera à demander en première intention avant une éventuelle angiographie cervicoencéphalique, afin de dépister d’éventuelles lésions associées chez ce patient polyartériel (souffle cervical gauche). [425] :ABCDE Les douleurs dorsolombaires sont le maître symptôme. Mais il faudra évoquer le diagnostic de fissuration devant la survenue d’un état de choc, devant une constipation (iléus réflexe ou compression par un anévrysme ayant récemment augmenté de volume) enfin une poussée dischémie distale pouvant être en rapport avec une anémie sévère. [426] déterminant en faveur de ce diagnostic et l’examen clinique permet d’éliminer d’autres étiologies mais ne peut faire partie de la réponse compte tenu de la formulation de la question. [428] :DE Lassociation dune hypokaliémie probablement induite par les diurétiques et les laxatifs, et de signes d’hypokaliémie sur ECG (allongement important de QT, aplatissement des ondes T, ESV polymorphes à couplage tardif) doit faire suspecter fortement l’éventualité de torsades de pointe, surtout chez un malade qui fait des malaises. La description des malaises n’apporte pas d’élément déterminant en faveur de ce diagnostic et l’examen clinique permet d’éliminer d’autres étiologies mais ne peut faire partie de la réponse compte tenu de la formulation de la question. [429] :BcE En cas de torsades de pointe, tout anti-arythmique est à proscrire car il ne pourrait que les aggraver. QUESTION ANNULEE. Le traitement repose sur la [427] correction de l’hypokaliémie, la :D stimulation cardiaque rapide 1000 à l2OImin, même en Commentaire : voir question suivante. l’absence de bradycardie basale Commentaire de la question excessive. Enfin, l’administration suivante de magnésium à fortes doses a L’association d’une souvent un effet spectaculaire hypokaliémie probablement même en l’absence induite par les diurétiques et les dhypomagnésémie. laxatifs, et de signes [430] d’hypokaliémie sur ECG :E (allongement important de QT, Tous ces médicaments antiaplatissement des ondes T, arythmiques susceptibles ESV polymorphes à couplage d’allonger le QT sont à proscrire tardif) doit faire suspecter formellement. fortement l’éventualité de [431] torsades de pointe, surtout chez : B D un malade qui fait des malaises. Lamiodarone et le sotalol, qui est La description des malaises un bêta-bloquant possédant une n’apporte pas d’élément activité anti-arythmique de la 24 classe III, ont tous deux une activité anti-angineuse. [432] : QUESTION ANNULEE. [433] : QUESTION ANNULEE. [434] : QUESTION ANNULEE. [435] QUESTION ANNULEE. [436] QUESTION ANNULEE. [437] QUESTION ANNULEE. [438] QUESTION ANNULEE. [439] :E On pourrait éventuellement observer une augmentation des produits de dégradation du fibrinogène. [440] :DE La posologie initiale avant adaptation aux tests de coagulation est de 400 à 600 Ul/kg par 24 heures à administrer en continue à la seringue électrique ou en injections intraveineuses discontinues toutes les deux heures. [441] :AD A, à la recherche dune thrombopénie induite par l’héparine, D pour surveiller l’efficacité biologique. Le dosage de l’antithrombine III nest pas à réaliser d’emblée dans la mesure où il existe une cause de phlébite (période post-opératoire et alitement). [442] :E L’héparine n’agit quen présence de l’antithrombine III (AT III) qui est son cofacteur, et ce complexe va agir essentiellement par rinhibition de la thrombine activée et du facteur Xa ; cela explique la baisse de l’AT III au cours dun traitement héparinique par consommation. Une baisse de l’AT III s’observe également au cours des thromboses mais de façon moins constante. [443] :E Les taux normaux de protéine C sont de 65 à 145 %. Les antivitamines K diminuent de façon importante les taux de protéine C, mais l’héparine n’interfère pas (protéine vitamine K- dépendante). [444] :D Le Sintrom® est un dérivé coumarinique dont l’efficacité est obtenue au bout de 48 heures environ. A noter que l’administration dantivitamines K chez un patient présentant un déficit en protéines a pu conduire à la survenue de nécrose cutanée. [445] :E Sans commentaire. [446] :BCE Le TCA explore la voie intrinsèque de la coagulation, son allongement peut traduire une diminution des facteurs XII, Xl, prékalliscréine, kininogéne de haut poids molléculaire, VIII, IX, X, V, VII, et fibrinogène, une anomalie de la fibrinoformation ou la présence d’inhibiteurs (héparine). [447] :A La normalité du temps de reptilase (insensible à l’héparine) associée à raugmentation du temps de normalité. [454] :AC La régulation de la synthèse daldostérone se fait surtout par IACTH dans l’adénome avec conservation d’un rythme nycthéméral, alors que la régulation se fait à partir du système rénineangiotensine dans Ihyperplasie bilatérale. Donc QUESTION ANNULEE. dans l’adénome : pas de [450] freinage de laldostérone par surcharge salée, diminution QUESTION ANNULEE. de laldostérone à [451] l’orthostatisme (fait à 8 h et 12 :CD Le régime désodé n’est pas strict h, rythme nycthéméral). Dans (natriurèse 100 mmol/24 H) et ne Ihyperplasie, c’est le contraire. peut dans ce cas expliquer [455] rhypokaliémie. :ABCE La normalité de la chlorémie Les effets secondaires sont permet raisonnablement en général réversibles, d’exclure des pertes digestives cependant dans de rares cas, d’origine haute. la gynécomastie a pu En cas dalcalose métabolique, Ihypokaliémie est due à une fuite persister à l’arrêt du traitement. rénale de potassium. Les spironolactones peuvent [452] donner une acidose :C hyperchlorémique avec La constatation d’une hyperkaliémie et une hypokaliémie associée à une altération de la fonction rénale HTA en l’absence de cause pouvant évoquer un tableau évidente (diurétiques, laxatifs, réglisse) et en régime normosodé d’insuffisance rénale. doit faire évoquer en premier lieu un hyperaldostéronisme primaire. [456] [453] :AC :ABC A s’explique par le souffle et Dans les urines, on trouvera une le frémissement fémoral droit. alcalose urinaire contrastant avec B est exclu car le pouls lalcalose sanguine, une fémoral est bien perçu. C est hyperkaliurie avec natriurèse responsable de rabolition des normale (Na u/K u> 1, pouls en aval. E est faux car phénomène d’échappement K u les axes tibiaux et pédieux > 20 mEq/24h) sont perméables. La mesure de l’activité rénine [457] plasmatique est basse en :AC position couchée et peu Explication identique. stimulable en position debout. [458] Enfin on note une élévation de :BCD laldostérone plasmatique et de la A nest pas réalisée en tétrahydroaldostéronurie. On pratique couvrante mais pratiquera un cycle de la permet dapprécier la cortisolémie pour s’assurer de sa foncetion métabolique thrombine plaide pour la réponse A. [448] :A La normalité du fibrinogène et du facteur V permet d’éliminer B et C. Le surdosage en héparine ne peut expliquer la baisse du facteur VII. [449] 25 tissulaire de l’artériopathe en stade III. B vérifiera rétat de raorte abdominale. L’épreuve d’effort permet daméliorer la sensibilité du doppler de repos. Lartériographie des membres inférieurs est évidemment indispensable chez ce patient. [459] :CDE Langiographie digitalisée par voie veineuse est théoriquement faisable mais rarement suffisante pour faire un bilan complet des lésions artérielles, car elle nécessiterait alors des quantités importantes de produit de contraste. C et D sont le plus souvent réalisées soit de manière conventionnelle soit par technique numérisée. Enfin, la voie axillaire est rare mais possible. [460] :C C sera choisi car les lésions sont étagées et bilatérales. [461] :C Les caractères et la durée de la douleur, sa résistance à la trinitrine et les modifications ECG avec image en miroir sont en faveur dun infarctus du myocarde. [462] :CD Les Bêta-bloquants intraveineux à la phase aigué de l’infarctus du myocarde ont fait la preuve de leur efficacité dans la baisse de la mortalité (étude ISIS 1) mais la fréquence cardiaque à 50/min est dans ce cas une contre-indication à leur emploi. L’association de raspirine à un traitement thrombolytique permet de réduire de manière plus importante la mortalité (étude ISIS 2). Par contre, ladministration systématique dinhibiteurs calciques ou de Xylocaïne intraveineuse ne semble pas procurer de bénéfice significatif. de digitaliques. Il serait vain de vouloir réduire la fibrillation auriculaire avant tout traitement. Chez cette patiente, l’emploi de dérivés nitrés doit être évitée en raison de l’hypotension artérielle. [468] :B Au cours du RM, les thromboses de l’oreillette gauche sont favorisées par la dilatation de 10G et la stase sanguine dans cette cavité, ainsi que par la survenue [464] d’une fibrillation auriculaire. :ABCE [469] La preuve absolue d’une :BC revascularisation ne peut être A D et E ne sont pas des apportée que par l’opacification critères de sévérité du RM. coronaire. Néanmoins, certains [470] critères cliniques de reperfusion :ABDE existent qu’on appelle ‘syndrome Ces signes traduisent de de revascularisation” : il s’agit manière directe ou indirecte des critères A C E. Néanmoins, ces critères sont peu sensibles et une HTAP au cours du RM. Le débord droit correspond à peu spécifiques, et on a aussi une dilatation de l’OD, la décrit des aggravations partie supérieure de la double paradoxales suivies d’une bosse de l’arc moyen gauche amélioration (B). est formée par le tronc de [465] l’artère pulmonaire dilatée. D :AD Nous sommes en présence d’un traduit un aspect d’oedème pulmonaire, E est évident. infarctus inférieur (signes ECG [471] en D2D3VF), l’examen :C angiographique révèlera donc a L’échocardiographie doppler priori une sténose de l’artère permet actuellement de coronaire droite et une quantifier de manière hypokinésie inférieure. extrêmement fiable le [466] gradient de pression :B diastolique entre 10G et le En effet, la thrombolyse a l’avantage d’avoir reperméabilisé VG, et la surface fonctionnelle l’artère, qui était occluse par une de l’orifice mitral. Cet examen permettra le plus souvent thrombose. Cependant, elle d’éviter le cathétérisme chez laisse persister en général une sténose de l’artère plus ou moins cette patiente jeune. [472] sévère pouvant être responsable :AB de nouveaux épisodes Les hémoptysies au cours du d’ischémie. RM peuvent survenir à [467] l’occasion d’un infarctus :BC Il faut traiter cet OAP en urgence, pulmonaire par embolie, à l’occasion d’un OAP ou de tout en essayant de ralentir la fréquence cardiaque par l’emploi surinfections bronchiques, qui [463] :ABD Un AVC de moins de 3 mois est une contre-indication absolue. Lulcère gastro-duodénal récent ou la rétinopathie diabétique sont des contre-indications plus relatives, mais représentent un risque de saignement indiscutable. Enfin, on doit se trouver à plus de 8 à 10 jours dune intervention et à plus de 3 mois de limplantation dune prothèse vasculaire en dacron. 26 Monckeberg est une des éthologies du RA calcifié dégénératif. [478] :A Devant l’aggravation de la symptomatologie, le remplacement valvulaire aortique s’impose. E (opération de Bentall) est le traitement chirurgical d’une lA par maladie [473] annulo-ectasiante. :AD Compte-tenu du risque potentiel [479] :D d’un accident embolique lors L’existence d’un déficit sensitivod’une récidive de la FA, moteur au cours d’une ischémie rindication des anticoagulants aiguê est un signe de gravité. est formelle. Les quinidiniques [480] sont prescrits pour prévenir les :ABD récidives de fibrillation Un autre signe est une asymétrie auriculaire. des pouls ou de la pression [474] artérielle. :B Devant l’apparition de ce souffle [481] :B diastolique à la suite d’un Le clivage se produit au niveau épisode fébrile, du tiers externe de la media. I’échocardiographie s’impose [482] d’une part pour confirmer :ABDE l’insuffisance aortique, et pour Ces complications résultent de la rechercher d’éventuelles progression de la dissection végétations. respectivement vers un des [475] troncs supra-aortique (A), vers :ABD les artères rénales (B) et l’artère Les ondes T négatives et d’Adamkiewicz (D). Enfin, la asymétriques en précordiales progression rétrograde de la gauches sont en faveur d’une dissection peut être responsable hypertrophie ventriculaire d’une fissuration dans le sac gauche plutôt de ‘type péricardique (E). systolique” mais peuvent se rencontrer dans rIA. Par ailleurs, l’énoncé ne précise pas [483] HVG ‘diastolique”, la réponse D : B C Le traitement anticoagulant est paraît donc acceptable. contre-indiqué. L’indication [476] chirurgicale est formelle dans :D cette dissection de type I de De Les syncopes mictionnelles Bakey. Le traitement hypotenseur nocturnes sont en général permet déviter les à-coups d’origine vaso-vagale. Aucun tensionnels néfastes. élément de l’énoncé évoque A [484] B C ou E. :D [477] Le souffle dIA est mieux perçu :C dans la position penchée en Le contexte infectieux et avant, bras relevé, en expiration l’apparition brutale du souffle forcée. plaide en faveur d’une [485] endocardite. La maladie de sont fréquentes. Elle témoigne d’une hypertension veinocapillaire pulmonaire. Par contre, la greffe oslérienne est très rare. Les troubles du rythme sont auriculaires uniquement et on ne peut parler d’insuffisance ventriculaire gauche. 27 :E Tous les autres critères sont en faveur d’une fuite aortique de faible importance. Le diamètre échographique télédiastolique normal du VG est compris entre 40 et 55 mm environ chez radulte. E napporte en fait aucune information sur l’importance de la fuite mais ne signifie pas que la fuite est importante. [486] :B Sans commentaire. [487] :C C’est I’éthiologie la plus probable compte tenu des antécédents d’angines à répétition lors de radolescence. [488] :C Nous sommes en présence d’une fuite aortique paraissant “minime à modérée” chez un sujet jeune asymptomatique. Il convient donc de le surveiller régulièrement cliniquement et échographiquement. [489] :A Le fluttering diastolique de la grande valve mitrale correspond à des vibrations sous l’effet de la régurgitation aortique. [490] :D Le schéma actuel d’une prophylaxie antibiotique au cours de soins dentaires chez un patient valvulaire comporte la prise orale de 2g d’amoxicilline (ou éventuellement de pénicilline type Oracilline) 1 heure avant les soins et 8 heures après. [491] :C Les ulcères malléolaires externes orientent plus vers une origine artérielle. :B L’hémibloc antérieur gauche se traduit par un aspect qR en Dl et rS en D3 avec une déviation axiale gauche de l’axe de QRS au-delà de 3Q0 [498] :A Le bloc de branche droit peut prendre un aspect rsR’ ou rSR’en [493] Vi avec un allongement de la :ACD durée de QRS à 12/1 00 La manoeuvre de PerthesDelbet (A) permet de s’assurer secondes. Lorsque l’onde r initiale est peu visible, l’aspect de la perméabilité du réseau rsR’ peut ressembler à un aspect profond. qR. D correspond à un aspect de [494] bloc de branche incomplet droit. :ABCDE [499] Les phlébotoniques sont des médicaments veinoconstricteurs : B La mise en place d’un pacequi peuvent jouer un rôle de contention mécanique discrète maker est impérative, devant ce BAV paroxystique syncopai. (notamment les dérivés de [500] l’ergot de seigle). Ces :D médicaments ont seulement L’AIT chez cette femme jeune une action sur les symptômes associé à une notion fonctionnels. L’indication des d’essoufflement récent et de cures réside palpitations irrégulières évoquait surtout dans les troubles déjà un RM. L’auscultation trophiques post-phlébitique. confirme ce diagnostic, de même [495] que l’aspect électrique et :D Le caractère à l’emporte-pièce radiologique. [501] de la syncope, sa durée, la :D constatation d’un pouls à Seule dans ces examens 35/min au décours de la l’échocardiographie est utile pour syncope et l’existence de trouble de conduction sur l’ECG confirmer l’existence du RM. [502] basal plaide :D fortement en faveur d’un BAV Le RM se complique volontiers paroxystique. de fibrillation auriculaire, en [496] raison de la dilatation de :ABDE l’oreillette gauche. L’aspect Cf commentaire précédent. paroxystique et irrégulier des Commentaire de la question palpitations est en faveur de ce précédente Le caractère à l’emporte-pièce diagnostic. de la syncope, sa durée, la constatation d’un pouls à [503] 35/min au décours de la :E syncope et l’existence de Il s’agit très vraisemblablement trouble de conduction sur l’ECG d’un embol cruorique à partir basal plaide d’une thrombose de l’oreillette fortement en faveur d’un BAV gauche. paroxystique. [504] [497] :AC [492] :A Le fait que les varices ne réapparaissent pas lors de la station debout avec un garrot signifie qu’elles sont en rapport avec une incontinence de la crosse de la saphène interne. 28 Le traitement anticoagulant s’impose ainsi que le traitement quinidinique pour prévenir les récidives de fibrillation auriculaire. [505] :A En effet, le souffle mésosystolique au bord gauche a les caractères d’un souffle éjectionnel d’accompagnement (par hyperdébit) et le roulement mésodiastolique est un roulement de Flint. [506] :C La notion d’une scarlatine au cours de l’enfance évoque une origine rhumatismale. [507] :ABCDE Tous ces signes témoignent de l’importance de la fuite aortique ; l’intensité du souffle diastolique est moins bien correlée au volume de la fuite que la durée du souffle dans la diastole. Néanmoins, un souffle diastolique 4/6 témoigne en règle d’une fuite plus importante qu’un souffle 1 à 2/6. Le souffle systolique éjectionnel d’accompagnement est en général d’intensité modéré mais peut devenir très intense lorsque lIA est volumineuse. [508] :D LHVG de type surcharge diastolique est caractérisée par des ondes T amples et positives dans les dérivations précordiales gauches, alors que I’HVG de type surcharge systolique se caractérise par des ondes T négatives et asymétriques. [509] :B Pour mémoire, voici les paramètres échographiques normaux: diamètre télédiastolique VG 38 à 56 mm ; diamètre TS du VG : 22 à 40 mm ; pourcentage de raccourcissement: 33 % fraction d’éjection : 60 à 70 %. [510] :BE LIA est la valvulopathie la plus exposée à la greffe bactérienne. La dissection peut se voir dans les lA survenant au cours d’anévrysmes dystrophiques mais pas dans les étiologies rhumatismales. [511] :D Il faut réaliser un remplacement valvulaire aortique sans tarder; ce patient aura néanmoins un pronostic post-opératoire moins bon que s’il avait été opéré plus tôt dans la mesure où il existe déjà une dilatation ventriculaire importante et une baisse de la fonction du VG, dont on n’est pas certain de la récupération post-opératoire. [512] :C II s’agit d’une tachycardie jonctionnelle dite tachycardie de Bouveret. [513] :E On sait aujourd’hui que la classique crise polyurique souvent décrite à l’arrêt de ce type de tachycardie est en rapport avec une libération de facteur atrial natriurétique. Néanmoins, la réponse à cette question est difficile car d’autres types de tachycardies peuvent entraîner une polyurie et d’autre part le caractère extrêmement brutal du début et de la fin de la crise est également assez évocateur. [514] :AE Les manoeuvres vagales peuvent parfois être sans effet lorsque le tonus adrénergique est très élevé. On peut obtenir un arrêt de la tachycardie, parfois précédé d’un ralentissement. Néanmoins la réponse B n’est pas à cocher. [515] :CD L’injection rapide de Striadyne (adénosine triphosphate) entraîne une dépression de la conduction du noeud auriculoventriculaire en raison d’un puissant effet vagomimétique. L’injection intra-veineuse lente de Vérapamil (Isoptine) est également souvent efficace par son effet freinateur sur la conduction nodale. La Cédilanide peut être efficace mais de manière plus retardée. [516] :E Le principal risque évolutif de ces tachycardies fonctionnelles paroxystiques est leur récidive. Elles ne donnent pas d’embolies systémiques. [517] :AC Il s’agit d’un malaise par hypotension artérielle orthostatique, en rapport avec une posologie un peu forte d’hypotenseurs. [518] :E Seul le métoprolol est chronotrope négatif et favorise la bronchoconstriction. Seule la nifédipine est vasodilatatrice. Aucun des 2 ne facilite la conduction nodale. [519] :CDE L’association bêta-bloquant Vérapamil a une action inotrope négative, chacun des deux médicaments étant lui-même inotrope négatif. La nifédipine est souvent responsable de bouffées vasomotrices ou d’oedèmes des membres inférieurs, surtout en début de traitement. [520] :BC 29 En bloquant la synthèse d’angiotensine Il, le captopril tend à diminuer l’aldostérone. Par cet effet, il tend plutôt à augmenter la kaliémie. C’est la raison pour laquelle il est préférable de l’associer avec un diurétique hypokaliémiant. Il faut diminuer la posologie en cas d’insuffisance rénale. Enfin, le captopril est contreindiqué en cas de sténose bilatérale des artères rénales, du fait du risque d’insuffisance rénale aiguê. dans ce cas. [521] :ABC A justifie de débuter la posologie de la prasozine très progressivement, en donnant la première prise au moment du coucher. La Dihydralazine est contre-indiquée dans rangor du fait de la tachycardie réflexe qu’elle induit et qui augmente le travail cardiaque. L’Aldomet peut entraîner des anémies hémolytiques auto-immunes. Enfin, l’arrêt brutal de la clonidine peut entraîner un rebond hypertensif. [522] :E Le contexte (alitement, plâtre) et la symptomatologie sont très en faveur d’une embolie pulmonaire. [523] :BDE Ce sont les examens à demander immédiatement devant toute suspicion d’embolie pulmonaire. [524] :AD L’aspect S1Q3 traduit une rotation vers la droite de l’axe de QRS. Des ondes P amples en D2 évoque une hypertrophie auriculaire droite, qui n’a pas le temps d’apparaître de manière aussi aiguê. [525] :ABCDE Sans commentaire. [526] :BCDE Seule l’angiographie pulmonaire permettra de confirmer le diagnostic d’embolie pulmonaire. La phlébocavographie est très importante pour dépister une éventuelle thrombose veineuse profonde et l’existence de caillots flottants. B peut ici avoir un intérêt pour suivre l’évolution de la maladie. [527] :AE Le traitement comporte dans l’immédiat une oxygénothérapie compte-tenu de l’hypoxémie et Ihéparinothérapie à doses efficaces. [528] :E Le rythme ventriculaire est irrégulier et il n’y a pas d’activité auriculaire visible : il s’agit donc dune fibrillation auriculaire. [529] :B Le souffle holodiastolique au bord gauche du sternum correspond à une insuffisance aortique le souffle holosystolique apexien est un souffle d’insuffisance mitrale; le bref roulement mésodiastolique à l’apex correspond à un souffle d’accompagnement d’hyperdébit du à l’insuffisance mitrale, il ne s’agit pas d’une sténose mitrale autonome. [530] :A En effet, les signes auscultatoires sont en faveur d’une 1M importante, non tant en raison de rintensité du souffle qu’en raison de l’existence d’un B3 (galop protodiastolique) et d’un roulement diastolique d’accompagnement. [531] :ACD Le passage en fibrillation auriculaire peut être à l’origine d’une poussée d’insuffisance cardiaque en raison de la perte de la systole auriculaire dans le remplissage ventriculaire. La stase sanguine favorise la formation de thrombus dans l’oreillette gauche, pouvant donner des embolies systémiques. [532] :C Léchodoppler permettra de quantifier la fuite aortique et la fuite mitrale, et d’apprécier le retentissement de ces fuites sur le ventricule gauche (dilatation des cavités et fonction VG) et l’oreillette gauche ; de plus, cet examen recherchera la présence d’un éventuel thrombus dans la cavité auriculaire gauche. [533] :AC Le traitement anticoagulant est ici systématique sauf contreindication. Le traitement digitalique permettra de ralentir le rythme ventriculaire, voire de réduire le trouble du rythme. Un choc électrique externe ne sera envisagé qu’ultérieurement après une anticoagulation de plusieurs semaines, et après arrêt des digitaliques. [534] :AC Les antiarythmiques de classe lA (quinidiniques-Rythmodan) ou de classe IC (Flécaïne, Rythmol, Cipralan) sont les médicaments les plus efficaces dans la prévention des récidives de fibrillation auriculaire. Les bêtabloquants peuvent être utiles lorsqu’il s’agit de FA d’origine catécholergique, ce qui n’est pas le cas ici. 30 [535] :B Le patient est asymptomatique bien qu’actif (arbitre de football) et présente des signes d’ischémie électrique au repos et à l’effort, dont l’origine coronarienne est attestée par la coronarographie : il s’agit donc d’une ischémie silencieuse. [536] :A La lésion sous-endocardique est un sous-décalage de ST horizontal ou descendant. Un sous- décalage oblique ascendant de ST est non spécifique d’insuffisance coronaire. [537] :ABCE Tous ces critères traduisent la sévérité de l’ischémie : apparition précoce au cours de l’effortet pour une faible accélération de la féquence cardiaque, amplitude du sousdécalage, persistance tardive lors de la récupération. [538] :ABCE Tous les anti-angineux A B et C peuvent être proposés. L’adjonction d’anti-agrégants peut être utile pour éviter la formation d’une thrombose coronaire. [539] :B Il s’agit d’un patient porteur de lésions coronaires proximales tritronculaires avec bon lit d’aval donc a priori accessibles à un geste de pontage. Dans ce cas, on préfére le pontage à une dilatation endoluminale, car il y a 3 troncs coronaires à revasculariser. [540] :C Sans commentaire. [541] :D La symptomatologie (surtout la triade : céphalée, sueurs, palpitations; plus accessoirement la gêne thoracique) associée à I’HTA, ainsi que l’augmentation de la glycémie sont en faveur d’un phéochromocytome. [542] :CE La mesure de l’excrétion urinaire des métanéphrines sur 24 H a une sensibilité proche de 100 %. Le dosage des catécholamines urinaires libres reste utile. [543] :E Parmi ces antihypertenseurs, les inhibiteurs calciques sont les moins susceptibles de perturber les résultats des tests. Parmi les autres médicaments pouvant perturber les tests, citons : les IMAO, les réserpiniques ; la guanéthidine, la phentolamine. [544] :BDE La vanille est également contreindiquée. [545] :C Le traitement médical en préopératoire repose sur l’association alpha et bêtabloquant (labetolol). [546] :A Il s’agit d’une HTA sévère associée à une hypokaliémie importante : on doit évoquer le diagnostic de syndrome de Conn, d’autant que la prise de pastis sans alcool semble occasionnelle. [547] :E Dans les Hyperaldostéronisme secondaires (B, C, D), on a classiquement un rapport Na/K urinaire inférieur à 1 en régime normosodé. L’absence de ce signe ne permet cependant pas d’éliminer formellement ces diagnostics. [548] :BCDE Au cours de C et D, l’hyperkaliémie est secondaire à l’acidose. Elle est la conséquence de la lyse cellulaire dans B. le rythme ventriculaire, mais sera inefficace pour réduire le flutter. [555] :D La stimulation électrique de l’oreillette peut se faire par voie endocavitaire (la sonde étant introduite par voie veineuse) ou par voie transoesophagienne (la sonde étant introduite par voie nasale). Le rythme [549] sinusal est obtenu dans 60 à :BCDE 70 % des cas, soit Les hypokaliémies sévères peuvent donner des constipations immédiatement, soit après un passage en FA transitoire. pouvant aller jusqu’à l’iléus Principe : capturer l’oreillette paralytique. par la stimulation de façon à [550] interrompre le circuit de la :ABE tachycardie. La stimulation Les signes ECG d’une doit se faire à une fréquence hypokaliémie sont rapparition légèrement supérieure à celle d’une onde U, rhorizontalisation de la fréquence de l’oreillette puis la dépression du segment en flutter. ST, raplatissement voire la Les formes récentes et sans négativation de l’onde T, enfin cardiopathies sous-jacentes des troubles du rythme suprasont les formes les plus ventriculaires (ESA, FA) et ventriculaires (ESV, TV, torsades accessibles à la stimulation. [556] de pointe favorisées par :BCD l’allongement du segment QT). B et C sont des facteurs de [551] risque cardiovasculaire. :C [557] Le flutter auriculaire est une tachycardie régulière à 1 5OImn, :B - Non transmural : pas d’onde à QRS fins. L’activité auriculaire est représentée par des ondes F Q. -Antéroseptal : Vi, V2, V3. à 300/mn. - Latéral: Dl, VL, V5, V6, haut: [552] Dl, VL. :B - E : Vi, V2, V3, D2, D3, VF Une régularité parfaite à une antéroseptal et inférieur. fréquence de 1 50/mn est très évocatrice de flutter. [553] [558] :B :A Les blocs des infarctus Dans 20 % des cas généralement chez les sujets de inférieurs (généralement en rapport avec une atteinte de sexe masculin, le flutter ne la coronaire droite) sont de s’accompagne pas de siège nodal : en effet, le cardiopathie décelable. noeud de Tawara est irrigué [554] par une branche de la :B coronaire droite chez 90 % En raison de risque d’embolie artérielle lors de la régularisation. des sujets. Ces lésions sont La striadyne permettra de ralentir en rapport avec l’ischémie ou 31 à la période initiale avec une hypertonie vagale. Ils sont le plus souvent régressifs sous atropine IV. [559] :D Le délai pour la mise en route d’une thrombolyse est dépassé (> 6 heures). E - Est contre-indiqué en raison du BAV. [560] :ABD - 34 à 50 % des infarctus inféropostérieurs se compliquent d’infarctus du ventricule droit. - 5 % des infarctus antérieurs se compliquent d’infarctus du VD. [561] :B L’insuffisance respiratoire chronique est suggérée par rhypercapnie (PCO2 à 55 mmHg) le faciès érythrosique et rhippocratisme digital. [562] :ABD A - L’onde P a une hauteur supérieure ou égale à 3 mm en D2 ou VF = hypertrophie auriculaire droite. B D - Signes de surcharge ventriculaire droite. [563] :E Sans commentaire. [564] :ABDE - Oxygénothérapie à faible débit (1 l/mn). - Restriction hydrique en raison de rhyponatrémie qui témoigne d’une hyperhydratation globale. [565] :BC A - Souffle d’insuffisance aortique. B - L’auscultation d’un RM comprend classiquement - éclat de Bi - B2 - claquement d’ouverture mitrale - roulement diastolique. C - Souffle d’insuffisance tricuspide = signe de Carvalho. [566] :ACE A C - Signes d’insuffisance tricuspide. B - Insuffisance aortique. D - Rétrécissement aortique. [567] :BCD Insuffisance cardiaque avec foie cardiaque (BC) et insuffisance rénale fonctionnelle (D). [568] :BD B - Signes d’insuffisance tricuspide. C - Signe de rétrécissement aortique. D - La pression capillaire pulmonaire donne indirectement la pression de loreillette gauche. Le barrage mitral crée un gradient ventricule gauche-oreillette gauche en télédiastole (25-10 = 15 mmHg). [569] :E Sans commentaire. [570] :DE Héparinothérapie à doses efficaces (300 à 500 voire 600 U/kg/24 h) administrée au mieux en perfusion ou par voie intraveineuse toutes les deux heures en doses fonctionnées. [571] :AD Les thrombopénies à l’héparine surviennent entre le 5ème et 15ème jour de traitement anticoagulant. Les précoces survenant avant le 5ème jour de traitement sont modérées et n’imposent pas l’arrêt du traitement. Celles survenant après le 5ème jour de traitement, sévères, sont souvent associées à des thromboses artérielles et/ou veineuses. [572] :E 32 Lantithrombine III diminue lors des traitements par l’héparine, car c’est un cofacteur de l’héparine. [573] :E La protéine C est un facteur vitamine K dépendant qui diminue lors des traitements par les AVK mais qui est peu affectée par l’héparine. [574] :D Sans commentaire. [575] :D L’INR est un indice permettant de normaliser le temps de Quick en fonction de la thromboplastine utilisée. [576] :ABC D E - Ne sont pas réalisées en première intention. [577] :ACD L’asthme contre-indique l’emploi des bêta-bloquants (Sectral, Ténormine). [578] :ABD L’Enalapril est un inhibiteur de l’enzyme de conversion. La baisse de I’angiotensine II se traduit pas une baisse du rétrocontrôle négatif sur la production de rénine. D - Vrai, car le diurétique augmente I’ARP. C - Faux : entraîne une baisse de l’aldostérone. [579] :E Il s’agit d’une contreindication à l’utilisation des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. [580] :D Pour affirmer le diagnostic de sténose bilatérale des artères rénales. [581] :CDE E - A la recherche d’une porte d’entrée qui est ici évidente. [582] :BDE [L’apparition du souffle diastolique témoigne d’une insuffisance aortique qui n’existait pas auparavant. L’existence d’un amaigrissement témoigne de l’atteinte de l’état général de cette endocardite sub-aiguê. [583] :ABE A - Témoin de la régurgitation aortique. E - En raison de l’insuffisance mitrale ancienne. [584] :BDE A - Peut se discuter dans des délais assez brefs si la tolérance hémodynamique reste médiocre. D - La péniciline sera associée à un aminoside. [585] :BD Les portes d’entrée stomatologiques ou ORL sont les plus fréquentes. [586] :C Association synergique Pénicilline-aminoside par voie parentérale. [587] :A Le passage en fibrillation auriculaire au cours d’un rétrécissement mitral marque un tournant évolutif dans l’évolution de la maladie. B C D - Sont également des causes déclenchantes de fibrillation auriculaire. [588] :AC A - Pour éviter une migration embolique. C - Dose de charge de Cordarone permettant des taux sériques efficaces au bout de 7 à 10 heures. D - La Cédilanide peut être utilisée mais à des posologies inférieures (1/2 ampoule 4 fois par jour). E - Anesthésique local qui ressemble à la xylocaïne. Pas d’action à rétage supraventriculaire. [589] :D La réduction par choc électrique externe a plus de chances de réussir lorsque la fibrillation est récente, à condition dans ce cas précis que l’oreillette gauche ne soit pas trop dilatée. [590] :AD Classification de VaughamWilliams. Diminue le courant sodique rapide. D - Permet seulement deux prises par jour. [591] :ABCDE La kaliémie devra être surveillée régulièrement car toute hypokaliémie favorise l’allongement de QT et la survenue de torsades de pointe et de syncope. [592] :AE L’emploi du Sérécor impose de tester la sensibilité du malade au médicament par la pratique d’un ECG, 24 heures après la première prise (réaction d’idiosyncrasie). Signes d’alerte - allongement de QRS > 25 % - allongement de QT > 0,04 sec - allongement de PR > 0,24 sec - ESV nombreuses et polymorphes. B - Signe d’imprégnation. [593] :D Une masse abdominale battante dont le caractère expansif permet 33 de la rattacher à un anévrisme. [594] :BC C - Les calcifications se voient dans 60 % des cas. [595] :B Confirme le diagnostic et permet de mesurer la taille de l’anévrisme. [596] :A Les embolies compliquent 10 % des anévrismes de l’aorte abdominale. [597] :C Embolectomie par sonde de Fogarty. [598] :ABCDE Seul rélectrocardiogramme peut faire le diagnostic précis de trouble du rythme, car tous ces diagnostics s’accompagnent dune fréquence cardiaque irrégulière. [599] :AB Le souffle systolique de pointe correspond à une insuffisance mitrale organique ou fonctionnelle. [600] :D Insuffisance cardiaque gauche déclenchée par le passage en fibrillation auriculaire. [601] :ABC A B C - Association de diurétiques (A), de vasodilatateurs (B) et de digitaliques. E - Contre-indiqué dans rinsuffisance cardiaque en raison de son effet inotrope négatif (lsoptine®). [602] l’interprétation des résultats. Dans l’adénome de Conn, I’ARP est très abaissée et peu stimulable par rorthostatisme; l’aldostérone plasmatique est le plus souvent élevée. [611] :B Si le patient a un poids stable, les sorties sodées sont égales aux apports sodés soit environ 240 mmol/jour. [612] :D Sans commentaires. [613] :AB A et B en raison de rhypokaliémie, car ce sont des diurétiques hypokaliémiants. [614] :C La clairance de la créatinine se calcule par la formule U*V/P où U et P sont les concentrations urinaire et plasmatique de créatinine et V le débit urinaire qu’il faut ici rapporter en ml/min. [615] :B Le caractère migrateur de la douleur avec irradiation dorsale et lombaire, le terrain hypertendu, et l’asymétrie tensionnelle évoque fortement le diagnostic de dissection aortique. [616] :ACD La radiographie thoracique recherchera un élargissement du médiastin. Léchocardiographie [609] recherchera une image de :BC dissection par voie On peut également rencontrer transthoracique ou mieux par des troubles de rexcitabilité voie transoesophagienne. ventriculaire à type Laortographie reste de l’examen d’extrasystoles ventriculaires, de référence et permettra de une diminution de l’amplitude voire une inversion des ondes T préciser le type exact de la dissection et son extension. et un allongement de QT. [617] [610] :E :AB L’apparition d’une dyspnée avec En effet, la plupart des médicaments antihypertenseurs turgescence des jugulaires dans ce contexte traduit un risquent d’interférer sur ces hémopéricarde compressif ( dosages et de gêner :BCD A - Contre-indiqué. B - Diminue la précharge (retour veineux) et la pression de remplissage du ventricule gauche. [603] :B Il s’agit d’un masse battante et expansive, non douloureuse, médiane ou légèrement latéralisée à gauche. [604] :B Léchotomographie permet de mesurer le diamètre de lanévrysme et de rechercher une éventuelle thrombose. [605] :A L’abolition du pouls fémoral est en faveur d’une thrombose de l’iliaque primitive ou externe. [606] :B Le risque de rupture est important dès que l’anévrysme atteint la taille de 6 cm, ce qui impose une correction chirurgicale. [607] :C Sans commentaires. [608] :BC Ce patient présente une HTA sévère et récente avec hypokaliémie importante. Il faut donc évoquer B et C. 34 tamponnade) par fissuration de la dissection dans le sac péricardique [618] :CD Les principaux facteurs étiologiques reconnus de dissection sont les maladies du tissu élastique (comme le syndrome de Marfan) et l’hypertension artérielle. [619] :A B est contre-indiqué au cours dune dissection. C et D n’apportent rien de plus. La maîtrise de la pression artérielle est fondamentale. [620] QUESTION ANNULEE [621] QUESTION ANNULEE [622] : QUESTION ANNULEE [623] : QUESTION ANNULEE [624] QUESTION ANNULEE [625] QUESTION ANNULEE [626] QUESTION ANNULEE [627] QUESTION ANNULEE [628] QUESTION ANNULEE [629] :BD B évoque la survenue d’une fibrillation auriculaire qui a pu être à l’origine d’un accident embolique. D plaide en faveur d’une embolie le début étant :D Lappréciation de l’importance des lésions sous-valvulaires QUESTION ANNULEE. est primordial dans la [637] décision thérapeutique: si :B La spironolactone (Aldactone) est elles sont peu importantes, on peut proposer une dilatation un diurétique épargneur de [630] percutanée par ballonnet ou potassium : sa structure de :ABC une comissurotomie dérivé stéroïdien proche de A B C témoignent de la préchirurgicale; dans le cas l’aldostérone en fait un existence dune artériopathie antagoniste de cette hormone au contraire, on préférera le des membres inférieurs. remplacement mitral par une niveau de son récepteur. [631] valve prothétique. [638] :D [645] :E L’existence d’une circulation :AE L’onde U témoigne de collatérale plaide en faveur A favorise la stagnation du Ihypokaliémie. dune thrombose artérielle. sang au niveau de l’oreillette [639] [632] dilatée et la formation de :B :ADE thrombus. Dans ce contexte, La réanimation post-opératoire Ce tracé montre un rythme E évoque un embol d’origine ventriculaire irrégulier et une dune intervention tardive pour auriculaire gauche. fibrillation auriculaire dite ischémie des membres [646] inférieurs surveillera l’apparition a”grosses mailles: les ondes P d’une acidose-hyperkaliémie et d’origine sinusale ont disparu et dune insuffisance rénale aiguê sont remplacées par des ondes F QUESTION ANNULEE. [647] secondaire à la rhabdomyolyse de fibrillation rapides et et la myoglobinurie. Par ailleurs, irrégulières dont l’amplitude est QUESTION ANNULEE importante en raison de la roedème de revascularisation [648] dilatation auriculaire. du membre justifie la pratique daponévrotomies de décharge. QUESTION ANNULEE [633] [640] [649] :A :ABC A parait le plus plausible en A B et C augmentent la QUESTION ANNULEE raison de la coïncidence de cet kaliurèse. D est un diurétique [650] accident avec le passage récent épargneur de potassium dit en fibrillation auriculaire. antialdostérone. E peut être QUESTION ANNULEE [641] responsable de néphropathie : intersticielle chronique, qui ne QUESTION ANNULEE. s’accompagne pas en règle [651] [642] d’hypokaliémie. QUESTION ANNULEE :A [634] A est indispensable. C est contre- [652] :ABDE indiqué. E sera donné en relais Toutes ces étiologies peuvent QUESTION ANNULEE de A. D est parfois prescrit pour s’accompagner d’un ralentir une fibrillation auriculaire. [653] hyperaldostéronisme primaire :D Dans ce cas, on préférera tenter ou 1 mg = 100 UI. une réduction du trouble du secondaire, pouvant être [654] rythme par une association responsable dune :E digitaline-cordarone. hypokaliémie. Sans commentaire. [643] [635] [655] :A :A :D A traduit le barrage entre 10G et En cas d’hyperaldostéronisme le VG. D et E peuvent être notés LINR permet une primaire, I’ARP sera basse normalisation de la valeur du mais sont des signes indirects, alors qu’elle est élevée en cas temps de Quick quelle que non spécifiques du RM. dhyperaldostéronisme soit la [644] secondaire. classiquement plus progressif en cas de thrombose aiguê. C et E plaideraient plutôt pour une thrombose. [636] 35 [667] :ABC C pouvait être dû à l’augmentation du volume d’éjection systolique lors de chaque contraction ventriculaire en raison de la bradycardie. [668] :E Sans commentaire. [669] :C Les streptocoques responsables de la maladie d’Osier n’appartiennent pas au groupe A (responsable d’infections aiguès de type septicémie, rarement d’endocardite). C - Deux groupes selon qu’ils appartiennent ou non au groupe D, a - groupables (groupeD) : entérocoques (streptocoque faecalis), non entérocoques (streptocoque bovis) b - Non groupables. [670] :AB A et B sont évidemment les examens primordiaux à effectuer. [663] E - Est un stigmate :D immunologique de l’endocardite, Une onde P sur deux est bloquée. Celle qui conduit le fait éventuellement utile pour étayer le avec un espace PR constant. diagnostic. [664] [671] :E :D Espace AH = temps de Les streptocoques n’appartenant conduction intranodale. pas au groupe D sont les plus Le trouble de conduction se fréquents. La sensibilité à la situe en aval du tronc du pénicilline y est constante et faisceau de His puisque toujours excellente. L’association l’intervalle AH est normal. à un aminoside permet une [665] action bactéricide synergique. :C Cause la plus fréquente chez les sujets de plus de 60 ans, dû [672] à des lésions dégénératives du : A E Pouvoir bactéricide du sérum : on tissu de conduction avec étudie l’effet bactéricide de atteinte des branches du différentes dilutions du sérum du faisceau de His. malade sur la souche [666] préalablement isolée, et on :CDE détermine ainsi la dilution A - Le Sectral déprime surtout la conduction nodale qui est ici maximale du sérum capable d’exercer une bactéricidie normale. thromboplastine utilisée. [656] :ACDE Sans commentaire. [657] :ABCE Le temps de Quick explore la voie tissulaire. [658] :C Sans commentaire. [659] :C Sans commentaire. [660] :ABCE Sans commentaire. [661] :BD A - Une glycémie à jeun suffit ici puisque les chiffres sont nettement supérieurs à ceux de la définition de l’OMS (> 1,20 g/l). [662] :D En raison du risque de complication. 36 (destruction bactérienne). Il y a une forte corrélation entre l’efficacité thérapeutique et un pouvoir bactéricide du sérum> ou = à la dilutionl/8. Il est mesuré au moment du pic sérique de l’antibiotique et au moment du taux résiduel. [673] :ABC A - Principale complication, conséquence des dégâts valvulaires. B - Par rupture d’anévrisme mycotique. C - Les embolies des endocardites du coeur gauche peuvent toucher tous les viscères (embolies septiques de fragments de végétation). [674] :A Peut confirmer le diagnostic en montrant un sus-décalage du segment ST contemporain de la douleur compte-tenu de la fréquence des crises. [675] :B B - Se voit dans les syndrômes de Wolf Parkinson White. A l’acmé de la crise peuvent se voir aussi une fibrillation ventriculaire, une tachycardie ventriculaire ou fonctionnelle, une dysfonction sinusale. [676] :ABCDE Le spasme peut survenir sur des artères coronaires normales ou sur une lésion athéromateuse préexistante. [677] :BCD A - A éviter car il peut aggraver le spasme. B C D - Sont des vasodilatateurs coronaires pouvant prévenir ou lever le spasme. E - Est contre-indiqué car il est utilisé pour déclencher le spasme. [678] :ABCDE A et D par trouble du rythme. [679] QUESTION ANNULEE. [680] :B La greffe bactérienne sur l’endocarde se fait en règle au cours d’une bactériémie. [681] QUESTION ANNULEE. [682] :BCDE Sans commentaire. [683] :AD Sans commentaire. [684] : QUESTION ANNULEE 37 Cardiologie 14 pages [1] :E La douleur thoracique migratrice est typique de la dissection aortique. L’HTA est un facteur de risque fréquemment retrouvé (plus de 3/4 des cas). Les autres facteurs favorisants sont classiquement: la grossesse, les maladies du tissus élastique (maladie de Marfan), la coarctation aortique, la bicuspidie aortique, les causes iatrogéniques (aorthographie, circulation extracorporelle). [2] :B Il existe un élargissement de la différentielle. [3] :D La douleur accompagnée de palpitations est plus typique dangor de Prinzmétal. Elles traduisent des troubles du rythme. On peut voir également des troubles de conduction dans rangor spastique. [4] :D Laugmentation primitive daldostérone entraîne une baisse de la rénine par feedback négatif. [5] :C Londe Q signe l’infarctus du myocarde transmural. [6] :C Sans commentaire. [7] :C Lincidence OAG ne permet pas de voir l’oreillette gauche. Celleci peut se voir sur le profil (partie supérieure du bord postérieur) et sur OAD (partie supérieure du bord postérieur). [8] :D C’est un vasodilatateur artériel utilisé dans I’HTA grave. [9] :E Territoire associant le territoire antéro-septal (Vi, V2, V3) et le territoire inférieur (D2, D3, VF). [10] :D Il traduit le caractère serré du rétrécissement aortique quand il est supérieur à 6/100ème de seconde. Le temps d’éjection corrigée est alors également augmenté, supérieur à 110% en labsence d’insuffisance ventriculaire gauche. [11] :C D et E - Donnent des 1M par rupture de cordage. A - Est rare par rupture de ranneau. B - Le mécanisme est une dilatation de ranneau. [12] :A c -Est également possible. [13] :B Le blocage de l’Atpase entraîne une hypokalicystie, une augmentation du sodium intracellulaire. Les échanges sodium-calcium sont alors augmentés et rentrée du calcium dans la cellule est responsable de linotropisme. [14] :E Sans commentaire. [15] :A Les ulcères artériels sont très douloureux. [16] :BCDE A - Permet d’apprécier la continence des perforantes. 1 C - Manoeuvre de Perthes. Physiologiquement à la marche, les veines superficielles dilatées se collabent (aspiration du sang vers le réseau profond). Si le réseau profond est thrombosé, elles restent dilatées et la marche s’accompagne de douleur. [17] :ABCE A B - Les troubles ioniques potentialisent l’action bathmotrope de la digoxine. C - La digoxine est éliminée par le rein. Le surdosage est donc possible si on ne tient pas compte de la fonction rénale. D - Le clofibrate ne donne pas d’interaction avec la digoxine. E - Les quinidiniques augmentent la digoxine. [18] :ACE B - Peut être responsable d’insuffisance cardiaque; mais le ventricule gauche n’est pas atteint, le retentissement se faisant en amont du rétrécissement. D - Au stade évolué, peut être responsable d’insuffisance ventriculaire droite E - L’insuffisance cardiaque est due à l’augmentation de l’obstruction et aux troubles de compliance. [19] :A Le souffle est typiquement holosystolique. [20] :E Le roulement télédiastolique de Flint traduit la gêne à l’ouverture mitrale par le flux de régurgitation. Le roulement protodiastolique de Flint est dû à l’affrontement entre la régurgitation aortique et le remplissage rapide ventriculaire. [21] :D Sans commentaire. [22] :D Lamiodarone bloque les canaux potassiques de la phase 3 du potentiel daction. [23] :A Chez les patients hospitalisés pour bilan d’une syncope, une cause précise n’est reconnue que dans la moitié.des cas lorsqu’une étiologie est retrouvée, le diagnostic est fait grâce à la clinique dans 50 %, puis grâce au Holter dans 30% des cas, à l’ECG de surface dans 10% des cas...une cause cardiaque est alors retrouvée dans la moitié des cas. Il s’agit, alors, aussi souvent de troubles du rythme que de bradycardie. Le Holter examen non invasif pouvant être répété, détecte et quantifie mieux les troubles du rythme que les blocs auriculoventriculaires. Le syndrome d’Adams Stockes s’accompagne le plus souvent mais pas toujours de troubles de conduction à l’ECG de surface. Dans ce cas-ci, on pourra faire dans un second temps une exploration endocavitaire si on s’oriente vers un bloc auriculoventriculaire paroxystique. [24] :E A - Les radios standards ne permettent de visualiser l’anévrisme que si les parois sont calcifiées. B.D - Les examens avec opacification sous estiment le diamètre de l’anévrisme qui est souvent le siège d’une est moins fréquent que la fibrillation auriculaire au cours des cardiothyréoses. Les complications thromboemboliques y sont également moins fréquentes. L’insuffisance cardiaque se voit en cas de cardiopathie sousjacente. Les digitaliques permettent le ralentissement de la fréquence ventriculaire ou la dégradation en fibrillation auriculaire. [30] :AE Larc moyen gauche est formé dans sa partie supérieure par l’artère pulmonaire gauche, dans la partie inférieure par l’auricule gauche. [31] :C Le Népressol® est un vasodilateur artériel musculaire qui provoque une tachycardie réflexe. [32] :D LAdalate® est plutôt tachycardisant. Cest un vasodilatateur artériel donc sans action sur la précharge. Enfin, il n’a aucune interaction avec les catécholamines. [33] :D Sans commentaire. [34] :C Le patient présente un syndrome vagal tel qu’on peut le voir dans les infarctus inférieurs. Ce syndrome vagal réagit bien à latropine. [35] :C Lembolie artérielle périphérique [28] est une complication classique, :BE la fibrillation auriculaire Lexpansion systolique signe favorisant la stase sanguine et l’insuffisance tricuspidienne. la formation de thrombus [29] auriculaire gauche. :ABCDE Le flutter peut se voir dans toutes [36] les cardiopathies (surtout mitrales : C hypertensives et ischémiques). Il La gangrène est le stade tardif thrombose pariétale. E - C’est le meilleur examen : il permet la surveillance de l’anévrisme. [25] :C Il n’y a pas d’oedème pulmonaire du fait de la prédominance de la compression sur les cavités droites avec obstacle au retour veineux. D et E - (diminution du pouls à l’inspiration). Traduisent le même phénomène : le ventricule droit comprimé ne se remplit correctement qu’à l’inspiration, avec bombement du septum interventriculaire vers le ventricule gauche gênant son remplissage et donc diminution du débit systémique. [26] :B Parmi les différentes perturbations lipidiques, l’hypercholestérolémie est un facteur de risque prouvé cardiovasculaire. Dans ce cas-ci, il s’agit très certainement d’une hypercholestérolème monogénique hétérozygote (atteinte avant 40 ans). L’hypertriglycéridémie endogène est également athérogène : les VLDL transportent aussi du cholestérol (15%). L’atteinte est tardive. [27] :A Toute manifestation fonctionnelle doit faire envisager un bilan en vue d’une chirurgie. La survenue dune syncope est une indication formelle au remplacement valvulaire. 2 après passage en fibrillation auriculaire dans 75% des cas. [42] :B C’est un bêta-bloquant non cardiosélectif avec activité sympathomimétique intrinsèque ce qui permet une absence de bradycardie et une diminution de l’effet inotrope négatif. [43] :D [38] Les accidents thrombo:AD E - Dans le cadre de rinfarctus emboliques surviennent avec une fréquence de 2,5% à 5% du myocarde récent, on penserait à une embolie à partir patientlannée, plus fréquemment en position mitrale qu’en position d’un thrombus mural. aortique. La valve de Starr en [39] position mitrale a un risque de :ABCD Les dérivés nitrés diminuent le thrombose in situ de 0,3%. La valve Bjork comporte un risque travail du coeur et donc la élevé de thrombose in situ (1,5%) consommation d’oxygène en avec une mortalité de 5 % donc diminuant la précharge. La est contre- indiquée en mitral. métabolisation est hépatique par les gluthations-transférases [44] :D en mononitrate disosortide, Sans commentaire. métabolite actif. L’élimination [45] est urinaire. :B [40] A D E - Peuvent se voir dans :ABE L’athérome est possible en cas toute artérite. [46] de dyslipidémie. :C Une anomalie d’insertion du Sans commentaire. muscle jumeau interne peut comprimer l’artère poplitée. Cliniquement, le patient se [47] :BE plaint d’une claudication intermitente et on retrouve une Les béta-bloquants et rlsoptine® sont des dépresseurs abolition du pouls à la myocardiques. L’Adalate® in vitro dorsiflexion du pied. Une phlébite poplitée peut être est inotrope négative (comme tous les la cause d’une ischémie artérielle mais par compression. anticalciques) mais in vivo raction vasodilatatrice avec tachycardie C’est une dégénérescence kystique dont l’augmentation de réflexe prédomine et donc le débit cardiaque est conservé. volume ou la rupture peut [48] donner une oblitération artérielle. Le diagnostic peut se : C D Sans commentaire. faire à l’échographie. [49] [41] :A :C La clonidine est un La stimulation électrique peut être endo-cavitaire ou bien par antihypertenseur d’action centrale pouvant donc donner voie oesophagienne. Elle une somnolence, une sécheresse permet la réduction parfois d’une ischémie aigué et une revascularisation ne peut malheureusement pas être envisagée. [37] :C Le risque est faible pour la communication inter-auriculaire car elle met en jeu des flux à basses pressions. 3 de la bouche ; l’hypertension orthostatique se voit dans la plupart des antihypertenseurs. [50] :A La clonidine est plutôt bradycardisante. [51] :C 1-3 - Traduisent une lA importante. [52] :B B - Le tronc coeliaque naît au dessus des artères rénales. A - L’ischémie aigué survient le plus souvent par embolie distale à partir du thrombus pariétal. D E - La compression urétérale et l’érosion vertébrale sont classiques mais rares. C - La rupture peut se faire en péritoine libre ou dans un organe de voisinage. [53] :D Sans commentaire. [54] :D Les digitaliques augmentent la conduction dans le système His-Purkinje d’où trouble du rythme ventriculaire. [55] :C Les bêta-bloqueurs sont inotropes négatifs. [56] :D Dans l’ordre croissant : angor, syncope, insuffisance cardiaque.gauche puis globale. En cas d’insuffisance globale, le pronostic vital est en jeu dans les 6 mois. [57] :C Sans commentaire. [58] :C Le froid est également un facteur favorisant classique de rangor. [59] :BC D - Se verrait en cas d’obstacle à l’éjection pulmonaire. E - Se verrait en cas d’insuffisance aortique. A - Se voit s’il y a insuffisance ventriculaire gauche. [60] :CD Le Sectral® est cardiosélectif, liposoluble avec activité sympathominétique intrinsèque. La Ténormine® est cardio sélectif hydrosoluble sans activité sympathomimétique intrinsèque. La prazosine est un alphabloquant périphérique à effet vasodilateur artériel par action sur les cellules musculaires. [61] :CD Llsuprel® et les amiphétamines sont tachycardisants et donc augmentent la consommation doxygène. L’Adalate® est aussi plutôt tachycardisant mais son effet sur la post-charge est prépondérant et diminue donc le travail du coeur. [62] :ABCE A B E - Sont les effets directs de la vasodilatation. C - Se voit en cas de surdosage. Cliniquement, la méthémoglobinémie se traduit par une cyanose. Le traitement consiste en une perfusion de bleu de méthylène. [63] :AD Sans commentaire. [64] :E 1 - C’est reffet chronotrope négatif. 2 - Cest reffet dromotrope négatif. 3 - L’augmentation du calcium intra-cellulaire est responsable de l’effet intrope positif. 4 - Les digitaliques provoquent une dilatation par levée du tonus sympathique. [65] :D La prescription de quinidine se fera après administration d’une dose test (un comprimé dhydroquinidine simple) avec surveillance de l’ECG à la recherche d’un allongement de l’espace PR, du QRS, de l’espace QT contre-indiquant la poursuite du traitement. [66] :B Sans commentaire. [67] :B Sans commentaire. [68] :B L’augmentation à l’inspiration est évocatrice d’une douleur pleurale ou péricardique. [69] :E Sans commentaire. [70] :E Question litigieuse: le but, bien sûr est d’obtenir si possible une revascularisation du membre mais la chirurgie n’est pas toujours possible (stade de l’ischémie) et elle ne se fera pas forcément avec une sonde de Fogarty. [71] :AB A - La douleur typique d’une péricardite est différente d’une douleur d’angor avec augmentation à l’inspiration, aux changements de positions, soulagée par la position assise. B - Le frottement est inconstant et fugace dans le temps et selon la position du sujet. Il disparaît en apnée. C - Le segment PQ est sousdécalé. D - Le sus décalage est concave vers le haut et diffus. 4 [72] :ACE A - L’ECG peut être normal dans un cas sur deux. Mais sa normalité n’élimine pas le diagnostic. Il peut montrer une tachycardie sinusale, des troubles du rythme supraventriculaire, une rotation axiale droite avec aspect classique 51Q3, un bloc de branche droite, des troubles de la repolarisation dans les précordiales droites. C - C’est un examen sensible peu spécifique. Normale, elle élimine le diagnostic, mais les faux positifs sont nombreux, toute atteinte pulmonaire pouvant la positiver. E - La gazométrie révèle une hypoxie hypocapnie. [73] :ABCE A - C’est la voie utilisée pour la crise d’angor. Elle shunte le premier passage hépatique ; l’effet est rapide. B.C - Voies utilisées pour le traitement de fond. E - C’est la voie de l’urgence. [74] :BC Les digitaliques ralentiront la fréquence cardiaque. L’indication aux anticoagulants est formelle devant ce trouble du rythme supraventriculaire sur valvulopathie mitrale. [75] :A Ces trois médicaments augmentent la durée du potentiel d’action et la période réfractaire. [76] :D Les CPK s’élèvent le plus précocement à la 6ème heure et redeviennent normales en 48 - 72 heures. Il faut faire doser la fraction MB qui est plus spécifique du myocarde. Les ASAT s’élèvent au bout de la 24ème heure et redeviennent normales en 4 à 5 jours. Les LDH s’élèvent après la 24ème heure et persistent élevées pendant une semaine. On peut doser les différentes fractions de la LDH = dans l’infarctus du myocarde la LDH est plus élevée que la LDH2. On peut enfin faire un dosage semi-quantatif de myoglobine qui s’élève à la 3ème - 4ème heure, dosage sensible mais peu spécifique. [77] :D En cas de bloc de branche gauche complet, les complexes ventriculaires prennent un aspect dans les précordiales droites.Un infarctus antéroseptal peut être soupçonné devant le signe de Cabrerra qui est un crochetage large (supérieur à 0,04 s) de la branche ascendante du QRS. [78] :D Ces nouvelles douleurs sont vraisemblables de l’angine de poitrine. L’ECG de repos peut montrer des signes d’ischémie mais peut être aussi normal (50% des cas). La scintigraphie au thallium de repos est normale sauf en cas d’infarctus passé inaperçu. Le Holter est moins sensible que l’épreuve d’effort dans le diagnostic d’insuffisance coronaire. L’ECG d’effort est le 1er examen réalisé à la recherche d’une coronaropathie. Il doit être fait dans la mesure du possible, sans traitement; l’épreuve doit être maximale, c’est à dire que le patient doit atteindre une fréquence cardiaque de 220 âge. Elle est positive quand apparaît une douleur angineuse typique, un sous décalage horizontal ou descendant ST de 1 mm au moins pendant au moins 0,08 S. L’épreuve doit se faire en milieu spécialisé avec matériel de réanimation à proximité (défibrillateur). Les contre-indications sont l’insuffisance cardiaque et I’HTA non contrôlées, l’angor instable, la sténose du tronc commun, le rétrécissement aortique serré et la cardiomyopathie obstructive, la péricardite,les troubles du rythme ventriculaires sévères le bloc auriculo-ventriculaire de haut degré (BAV Il Mobitz 2 ; BAV III). La sensibilité de l’épreuve d’effort est de 70% et sa spécificité de 80%. Son couplage à la scintigraphie myocardique améliore la sensibilité à 85% et la spécificité à 90%. [79] :C La tachycardie en elle-même augmente la consommation d’oxygène. Les dérivés nitrés diminuent le travail du coeur par diminution de la précharge (effet vasodilatateur veineux) et au total diminuent la consommation d’oxygène du myocarde. [80] :C Le renforcement présystolique correspond à la systole auriculaire qui n’existe plus en cas de fibrillation auriculaire. [81] :D L’échographie peut aider au diagnostic d’endocardite en montrant les végétations échomobiles ne gênant pas les mouvements de la valve. Elle permet un bilan précis des lésions valvulaires, une appréciation du retentissement hémodynamique. [82] :E Le bêta-bloquants ne peuvent s’utiliser seuls car ils peuvent aggraver l’hypertension artérielle. Ils doivent être associés aux 5 alpha-bloquants qui sont le traitement médical de choix en attendant la chirurgie. Les phéochromocytomes sécrétant de la dopamine sont rares ; la stimulation des récepteurs dopaminergiques ne provoque pas d’hypertension. [83] :ABCE A.B.C.E L’anévrysme de l’aorte peut tout à fait: A - Gêner le retour veineux. B - Comprimer un uretère. C - Comprimer une racine nerveuse L5 [84] :BDE Les oedèmes sont la traduction clinique dune hyperhydratation extra-cellulaire. Au niveau des capillaires, les liquides ont tendance à réintégrer le secteur plasmatique (pression hydrostatique pression oncotique). Il y aura donc oedème si la pression hydrostatique augmente (insuffisance cardiaque, obstruction veineuse), si la pression oncotique diminue (hypoprotidémie), s’il y a un trouble de perméabilité du capillaire. [85] :ACE Sans commentaire. [86] :C Sans commentaire. [87] :B Les CPK et leur fraction MB (plus spécifique du myocarde) s’élèvent dès la 6ème heure pour être maximale vers la 20ème heure et se normaliser en 48 - 72 heures. La myoglobine est la première enzyme à se positiver dès la 3ème heure. C’est un dosage semi-quantitatif, sensible mais peu spécifique. [88] Lindication bactériologique est moins fréquente (5% des cas). Elle est posée en cas dhémocultures restant positives après 8 jours de traitement ou une rechute mettant en cause le même germe, ce qui se produit le plus souvent avec le staphylocoque et les levures, surtout lorsqu’elles surviennent sur prothèse. La localisation tricuspidienne est classiquement difficilement accessible à rantibiothérapie. [92] :E Parmi les propositions données, seuls les dépôts cornéens ne contre-indiquent pas le traitement. [93] :A L’insuffisance mitrale se constitue au fil des années avec fusion commissurale, rétraction des cordages et calcification. Le traumatisme donne une désinsertion annulaire. L’endocardite bactérienne, une rupture de cordage ou une déchirure valvulaire, l’infarctus du myocarde une rupture de pillier ou de cordage par ischémie. La rupture spontanée se voit sur valve myxoïde ou chez les vieillards. [94] :D La fibrillation ventriculaire survient dans les premières heures : elle est responsable de 30 à 40% des décès. Le choc [91] cardiogénique primaire par :CD atteinte de plus de 40% de la Un retentissement masse myocardique ou par hémodynamique important est complication mécanique survient une indication formelle à la dans 15% des cas. Les ruptures chirurgie ; cest rindication la (2%) surviennent au 8ème jour. plus fréquente (90-95 % des Les blocs auriculo-ventriculaires cas). L’insuffisance cardiaque se voient dans 10% des cas. peut être en rapport avec des [95] délabrements valvulaires mais :E aussi avec d’autres Il s’agit d’un bloc auriculomécanismes (destruction par les végétations : communication ventriculaire avec dissociation des ondes P et des QRS avec anormale....). :C La rupture de cordage mitral est suggéré par le contexte “nu’ du souffle. Elle est due à une sénéscence de la valve mitrale. [89] :C Le tableau est tout à fait compatible avec une péricardite aiguê devant le caractère de la douleur (augmentant à l’inspiration). L’auscultation peut être tout à fait normale : le frottement péricardique est variable et fugace dans le temps selon la position du malade. L’électrocardiogramme ne montre pas de signe d’insuffisance coronarienne et le sous- décalage de PQ est un signe de péricardite. L’embolie pulmonaire massive est éliminée devant l’absence de signe clinique d’insuffisance ventriculaire droite. Le pneumothorax spontané ne donne pas de sous-décalage de PQ, l’auscultation et la radiographie du thorax font le diagnostic. [90] :E Ce syndrome est caractérisé par une agénésie des troncs veineux profonds. Le syndrome de Cockett est la compression de la veine iliaque gauche par l’artère iliaque primitive droite avec phlébite gauche à répétition. 6 échappement bas situé puisque les QRS sont élargis. [96] :ACE A - l’homme hypertendu est le terrain classique. L’HTA est retrouvée dans 75% des cas. C - Le souffle diastolique signe la dissection type I ou Il avec atteinte de l’aorte ascendante. E - Elle signe la dissection des branches de l’aorte. [97] :ACD L’infarctus antéroseptal est dû à l’occlusion de l’interventriculaire antérieure. La rupture myocardique survient dans 5 à 10% des cas à la fin de la 1ère semaine. Le dysfonctionnement de valve survient surtout en cas d’infarctus inférieur par rupture de cordage, ischémie ou rupture du pillier. Le syndrome péricardique tardif (après la 3ème semaine) est le classique syndrome de Dressler. [98] :ADE Les hémocultures permettent d’identifier et de tester le germe. Négatives, elles n’éliminent pas le diagnostic. Les complexes immunscirculant et l’hématurie sont les témoins des phénomènes immunologiques de l’endocardite ; l’hématurie est due à une glomérulonéphrite extramembraneuse. La radio de thorax et les ASLO ne sont d’aucune utilité pour le diagnostic. [99] :C L’HTA, la grossesse, les maladies du tissus élastique (maladie de Marfan), les causes iatrogéniques (circulation extra-corporelle aortographie), la coarctation aortique, la bicuspidie aortique sont les principaux facteurs de risque de la dissection aortique. La principale cause de décès (80% de décès spontanés à un mois) est due à une tamponnade. Les infarctus du myocarde sont vus dans 10% des cas. [100] :c Les varices sont dues à une altération de la paroi veineuse et donc évoluent pour leur propre compte. Elles imposent la contention élastique. Le stripping est possible si les troncs veineux profonds sont reperméabilisés. [101] :D La hernie hiatale est une cause classique agissant par le biais d’une anémie. La polyglobulie et le cancer du pancréas agissent par le biais dune hyperviscosité. La maladie de Behcet est une maladie inflammatoire touchant le système veineux. [102] :C Le click est méso-télésystolique et souvent suivi d’un souffle télésystolique. Les troubles du rythme sont fréquents auriculaires et ventriculaires : les extrasystoles ventriculaires fréquentes sont retrouvées dans 30 % des cas. On leur attribue les morts subites. A l’échographie, on retrouve deux aspects typiques en TM qui sont l’aspect en hamac et l’aspect en louche des valves mitrales en systole, en bidimensionel un bombement d’une ou des deux valves vers l’oreillette gauche. [103] :E Cet examen fait le diagnostic, permet d’évaluer la sévérité de l’atteinte pulmonaire : degré d’obstruction ; perfusion capillaire. La mortalité est de 0,01% à 0,2%. Les contreindications sont une hypertension artérielle pulmonaire : PAP supérieure à 60 mm Hg; une pression ventriculaire droite télédiastolique supérieure à 20 mm hg. Les autres examens proposés ne montrent pas d’anomalies spécifiques dans l’embolie pulmonaire. La scintigraphie permet cependant d’éliminer le diagnostic si elle est normale, mais les faux positifs sont fréquents. [104] :E A l’échographie TM, on peut voir: - une diminution de la pente EF - un épaississement des valves mitrales - une attraction paradoxale de la petite valve vers la grande valve qui signe la fusion commisurale - une diminution de l’amplitude des valves mitrales avec disparition de l’onde a. [105] :B Dans le syndrome d’Adams Stockes, la syncope qui est due à un trouble de conduction auriculo-ventriculaire survient à l’emporte-pièce sans facteur déclenchant. A - Au cours du myxome, la syncope survient à l’occasion de l’enclavement de la tumeur dans l’orifice mitral. C - La syncope survient au passage en orthostatique. D - Elle survient à la rotation de la tête. E - Elle survient après stimulation du sinus carotidien. [106] :D Sans commentaire. [107] :C Le territoire correspond à une atteinte antéroseptale (Vi ,V2 V3) et latérale haute (Dl,VL). [108] :ACDE 7 A - Par embolie, à partir dun thrombus auriculaire gauche surtout en cas d’arythmie. C - Par embolie, à partir du thrombus pariétal. La thrombose est rare. D - Par compression artérielle (phlegmatia coerulea). E - Par embolie septique. [109] :AC Sans commentaire. [110] :CD L’anévrisme ventriculaire apparaît à partir du iOème jour. On le suspecte devant une persistance du sus-décalage du segment ST au delà de la 3ème semaine. Il favorise la formation d’un thrombus intraventriculaire gauche et les troubles du rythme ventriculaire, l’insuffisance cardiaque gauche. [111] :A Les surcharges diastoliques se caractérisent par un indice de Sokolow supérieur à 35 mm, une onde T positive de grande amplitude. [112] :D Toutes les propositions sauf (D) sont des causes classiques de thromboses veineuses: la hernie hiatale par le biais de l’anémie, le cancer du pancréas et la polyglobulie par une hyperviscosité, le lupus par les troubles de coagulation (anticoagulant circulant). [113] :E C’est une artérite gigantocellulaire qui touche l’aorte et ses branches. Elle atteint les femmes jeunes : (maladie des femmes sans pouls”). L’atteinte histologique associe un infiltrat gigantocellulaire de la média. L’association avec la tuberculose est fréquente. [114] :C Il s’agit d’un tableau associant des signes droits et un état de choc : la compression par un épanchement prédomine en effet sur le coeur droit avec obstacle à son remplissage. [115] :ABC A - C’est l’aspect le plus typique avec lésion sous-endocardique. B - C’est l’aspect visible en cas de spasme. C - On peut voir une ischémie sous-endocardique ou sous épicardique. [116] :ABDE Sans commentaire. [117] :ADE A et E - L’anévrisme favorise souvent le développement d’un thrombus et de troubles du rythme ventriculaire. D - La partie anévrismale du muscle cardiaque n’est plus fonctionnelle. [118] :ACD A - Les embolies systémiques sont décrites (3% des prolapsus). Etant donné la rareté de ces complications en regard de la grande fréquence du prolapsus (6% de la population), la découverte de cette anomalie n’impose pas la mise sous anticoagulant. [119] :AC Il n’y a pas d’hypertrophie ventriculaire gauche (“barrage mitral”). [120] :AC La maladie d’Adams Stockes est par définition une syncope due à des troubles de conduction. Un bloc de branche gauche et un bloc auriculoventriculaire du 1er degré (E) ne peuvent être responsable d’une syncope. A - Est la conséquence d’une bradycardie associée à un QT long et à une extrasystole ventriculaire précoce. [121] :ADE A - C’est l’effet bathmotrope positif. D - Est responsable de l’effet intrope positif. E - Ce sont les premiers signes de surdosages avec nausées, vomissements. C.B - Par contre, sous l’action des digitaliques, le QT se raccourcit et le tonus sympathique diminue. [122] :BD Sans commentaire. [123] :E Sans commentaire. [124] :C Sans commentaire. [125] :B Les anomalies de la contractilité entraîne une diminution de la fraction d’éjection et une augmentation de la pression télédiastolique ventriculaire gauche. [126] :D Une valve mécanique en position aortique peut donner à rauscultation un souffle systolique. Un souffle diastolique traduit une désinsertion. [127] :C E - Le Népressol® est volontiers donné chez la femme enceinte. [128] :BC On recherche un sus-décalage convexe vers le haut de ST, des troubles du rythme et de la conduction. [129] 8 :ACE La vasodilatation artérielle est responsable des céphalées, d’une tachycardie réflexe ellemême responsable dune augmentation des besoins en oxygène du myocarde et pouvant donc provoquer un angor. Le Népressol® est donc contre-indiqué en cas de coronaropathie. [130] :ACD C D - Sont dûs à l’hypokaliémie. [131] :C Sans commentaire. [132] :E 3 - C’est le roulement présystolique de Flint. 4 - C’est un souffle systolique d’accompagnement. [133] :D Le Lopril® donne plutôt une hyperkaliémie. L’association avec les diurétiques épargneurs de potassium n’est pas conseillée. [134] :C Le tableau est typique avec notion d’HTA; douleur thoracique irradiant dans le dos, souffle d’insuffisance aortique et ECG normal. [135] :C On peut voir des hyper ou des hypothyroïdies. Il s’agit le plus souvent dune hyperthyroïdie dissociée avec élévation de la T3 et T4 normale. Enfin, il faut noter que l’imprégnation cordaronique sans dysthyroïdie donne des anomalies du bilan thyroïdien (T4 élevée, T3 normale ou basse, TSH ultra sensible normale). [136] :E Le souffle est parfois précédé d’un click mésosystolique peu intense. Les signes stéthacoustiques sont cependant variables dans le temps et avec la position du patient. [137] :A L’onde T ample, positive et symétrique est le premier signe: elle témoigne de l’ischémie sousendocardique; puis apparaît le sus-décalage de ST convexe vers le haut qui correspond à une lésion sousépicardique. Enfin ronde Q apparaît à la 6ème heure témoignant de la nécrose transmurale. Associée au sus décalage de ST, elle constitue l’onde de Pardee. L’onde T négative symétrique est un signe tardif apparaissant après la 24 ème heure. [138] :B Les rechutes sont classiquement favorisées par la corticoïdes. Les péricardites aiguês bénignes n’évoluent jamais vers la constriction et rarement vers la tamponnade. La tamponnade se voit en cas dhémopéricarde, de péricardite purulente, tuberculeuse néoplasique, chez l’insuffisant rénal chronique terminal, postradique, péricardite des maladies de système. La constriction se voit essentiellement après tuberculose parfois après péricardite purulente post radique et après hémopéricarde. [139] :ACE A - C’est un signe tardif témoin de la gravité de l’ischémie. E - Est juste mais ce n’est pas un signe majeur! [140] :ACD Elles constituent 50 % de toutes les péricardites et surviennent chez les sujets jeunes. Les rechutes sont fréquentes favorisées par la corticothérapie. L’enquête étiologique, non faite systématiquement, retrouve parfois une étiologie virale (coxsackie, grippe, MNI, hépatite virale) ou des germes atypiques (mycoplasme, chlamydiae) pouvant justifier d’un traitement spécifique (cyclines, macrolides) en plus des antiinflammatoires. B - Le pouls paradoxal est un signe de tamponnade. [141] :ABCDE Les signes digestifs (nausées, anorexie, vomissements, diarrhée) sont les premiers signes de surdosage. Est évocatrice également la dyschromatopsie. Les troubles de conduction variés peuvent apparaître. De même, les tachycardies supraventriculaires et ventriculaires, notamment l’apparition d’une tachysystolie auriculaire ou l’accélération d’une fibrillation auriculaire doit faire suspecter un surdosage. On recherchera également un facteur favorisant troubles ioniques (hypokaliémique), interactions médicamenteuses, insuffisance rénale. [142] :BCE Llsuprel® est un agoniste bêta un et bêta deux. Il a des effets chronotrope, inotrope et surtout bathmotrope positif. Il augmente donc la consommation d’oxygène du myocarde par augmentation du débit et de la fréquence. Il est par ailleurs bronchodilatateur et est utilisé en aérosol dans l’asthme. Il a enfin une action tocolytique, lipolytique et hyperglycémiante. [143] :ACE Le Népressol® est un vasodilatateur artériel d’action directe sur la cellule musculaire réflexe pouvant être responsable 9 de crise d’angor chez le coronarien. L’association aux bêtabloquants permet d’éviter les crises d’angor. Le lupus induit est rare et se voit surtout avec Ihydralazine. [144] :ABC La tachycardie est la premier signe d’insuffisance cardiaque. Le bruit diastolique B3 correspond au remplissage rapide du ventricule gauche, le souffle systolique de pointe a une insuffisance mitrale fonctionnelle par dilatation de l’anneau. [145] :ABCDE La digoxine est éliminée par le rein. Le surdosage peut être donc favorisé par l’insuffisance rénale, ainsi que par les troubles ioniques (hypokaliémie, hypercalcémie), les interactions médicamenteuses (cordarone, quinidine). Elle se manifeste par des troubles digestifs, neurosensoriels, des troubles du rythme supraventriculaires et ventriculaires, des troubles de conduction. [146] :AC L’activité rénine plasmatique est au contraire basse par rétrocontrôle négatif. La kaliémie est basse par fuite de potassium dans les urines. De même, lalcalose par fuite des ions H+ dans les urines. L’intoxication à la glycyrhizine est un diagnostic différentiel et réalise un hyperminéralocorticisme sans hyperaldostéronisme. [147] :B Le métaraminol est un bêta sympathominétique rarement utilisé actuellement.prescrit dans 1 choc cardiogénique, il accroît considérablement les résistances artérielles périphériques. [148] :C L’augmentation de volume inéluctable, répond à la loi de Laplace: la dilatation augmente la tension pariétale. [149] :E La réduction de la fibrillation auriculaire n’est pas une indication des quinidiniques. [150] :E L’extraction tissulaire myocardique en oxygène est maximale à l’état basal. [151] :C Le QT est normal ou court. [152] :C Le galop présystolique ou B4, engendré dans le ventricule par la systole auriculaire, est absent en cas de fibrillation auriculaire. [153] :D Les embolies calcaires oculaires, artérielles périphériques ou coronaires sont des complications rares du rétrécissement aortique. [154] :A L’hépatomégalie du foie cardiaque est ferme, lisse et douloureuse. [155] :E Sans commentaire. [156] :ACE Q.C.M. de pneumologie. [157] :ABDE La distance parcourue entre le démarrage et rapparition de la douleur définit le périmètre de marche. [158] :BD Lhypomagnésémie est un facteur aggravant. L’hypokaliémie est un facteur de gravité de l’intoxication digitalique. [159] :ABCE L’espace QT est normal. [160] :ABC Le cathétérisme est rarement utile au diagnostic de rétrécissement mitral. [161] :BE Le traitement classique de l’embolie pulmonaire peu importante repose sur lanticoagulation. [162] :D Il s’agit d’un signe tardif de pronostic péjoratif. [163] :E Une artériographie des membres inférieurs s’impose pour compléter le bilan. [164] :E Il s’agit d’un trouble rythmique bénin, survenant dans 15 à 20 % des infarctus, surtout inférieur et ne nécessitant pas de traitement. [165] :B Son utilisation principale est à l’étage auriculaire. [166] :E Il s’agit de vibrations induites par le jet de régurgitation sur la grande valve mitrale. [167] :B La force nécessaire à la fermeture est plus grande pour s’opposer à la pOG élevée et le remaniement de l’appareil sousvalvulaire stoppe brutalement le jeu de la valve. [168] :A Sans commentaire. 10 [169] :C Léchotomographie abdominale est l’examen le plus simple non traumatique, permettant de confirmer avec une grande sensibilité l’existence d’un anévrisme de l’aorte abdominale. L’angiographie ne permet parfois pas d’évaluer la taille avec précision lorsqu’existent des thrombus muraux non opacifiés; cependant elle participe au bilan de l’extension des lésions en préopératoire. [170] :E Tous les autres médicaments ont une action dépressive sur la conduction auriculoventriculaire. [171] :B L’élévation des CPK est la plus précoce par rapport aux SGOT et aux LDH mais elle ne se fait en règle que vers la 6ème heure. [172] :D Le bloc auriculo-ventriculaire est une contre-indication aux bêta-bloquants. [173] :ACE Les dissections aortiques de type III intéressent l’aorte descendante à partir de la naissance de l’artère sous clavière gauche. [174] :ABCDE Tous ces items doivent faire suspecter une rupture rétropéritonéale d’un anévrisme de l’aorte abdominale D et E - Sont des formes particulières traduisant une fistule aorto digestive ou aortoveineuse (VCI, veine iliaque, veine rénale gauche). [175] aboutit éluctablement à un syndrome de fissuration ou de rupture. [182] :B La localisation sous-rénale de l’anévrisme aortique épargne donc le tronc coeliaque. [176] [183] :ABCE :D Les sténoses orificielles ne La mortalité par choc s’observent pas à la phase cardiogénique et déchéance aiguê mais uniquement des myocardique majeure est en années après la crise. Par règle plus tardive. contre, des fuites valvulaires [184] peuvent se voir à la phase :ABCD aiguê. L’insuffisance cardiaque La reprise de conscience est peut être secondaire à une rapide et complète. myocardite ou une atteinte [185] valvulaire. :CD [177] Ce sont les deux cardiopathies :ABCDE ayant pour caractéristique un Un accident ischémique obstacle à l’éjection du ventricule cérébral peut être en rapport gauche. avec une embolie calcaire qui [186] reste tout de même :CD exceptionnelle. Les dérivés nitrés gardent leurs [178] places dans le traitement curatif :BD et préventif des crises Les manoeuvres vagales ne sont utiles que pour la réduction d’angor spastique. des tachycardies jonctionnelles ou le ralentissement des [187] :ACDE tachycardies supraL’insuffisance cardiaque ventriculaires. La digitaline et survenant dans l’évolution des l’isoprotérénol seront contremyocardiopathies obstructives indiqués. est marquée par une baisse de [179] débit cardiaque. :B [188] Le choc cardiogénique peut:E être primaire (en rapport avec Sans commentaire. l’étendue de la névrose [189] myocardique) ou secondaire à des complications mécaniques. : D Sans commentaire. [180] [190] :B :E Le RM constituant un barrage en amont du ventricule gauche Sans commentaire. [191] n’entraîne donc pas d’IVG. Par :D ailleurs, il se complique Le RIVA, qui a une fréquence exceptionnellement comprise entre 60 et 100/minute, d’endocardite bactérienne s’observe souvent lors d’un lorsqu’il est pur. ralentissement sinusal et peut[181] être combattu par latropine. Isolé, :C il est parfaitement toléré. Il L’augmentation de volume :ADE A et D - Sont des signes d’HVD. E - Est un signe d’HAD. Un bloc de branche droit serait également en faveur de ce diagnostic. 11 s’observe surtout dans les 1DM inférieurs. [192] :E L’efficacité de la trinitrine est un bon argument en faveur de l’origine coronarienne des douleurs mais manque parfois. [193] :B L’insuffisance aortique fait partie du tableau. [194] :B Dans le flutter auriculaire, la fréquence auriculaire se situe autour de 300/minute, la conduction se faisant souvent en 2/1 avec une cadence ventriculaire autour de 1 50/minute. [195] :ABD On trouve également une augmentation de la pression télédiastolique du ventricule gauche. [196] :BE La pression capillaire pulmonaire est le reflet des pressions de remplissage du ventricule gauche et n’est donc pas augmentée (contrairement à la pression artérielle pulmonaire) en l’absence de cardiopathie gauche. [197] :ABE Sans commentaire. [198] :CD La surveillance régulière des plaquettes est impérative lors de tout traitement héparinique afin de dépister au plus vite une éventuelle thrombopénie induite par l’héparine. [199] :E Sans commentaire. [200] :C La paraplégie peut être en rapport avec la dissection de l’artère d’Adam Kiewicz. [201] :C L’oedème des chevilles et la lourdeur des mollets sont compatibles avec des varices non compliquées. [202] :E L’espérance de vie moyenne est de 6 mois après apparition des signes d’insuffisance cardiaque. [203] :D La tachycardie réflexe induite par la dihydralazine est responsable d’une augmentation de la Mv02. [204] :C Il s’agit le plus souvent d’une nécrose apicale. [205] :BE L’indication d’interruption de la veine cave inférieure est la contre-indication absolue aux anticoagulants ou l’échec d’un traitement anticoagulant bien conduit. La pose systématique de filtre cave en cas d’embolie supérieure à 50% est une attitude discutée et non reconnue par toutes les équipes. [206] :ACD L’hypertrophie ventriculaire gauche, l’augmentation de la tension pariétale et de la durée d’éjection expliquent l’élévation de la Mv02. [207] :AC Les valvulopathies aortiques peuvent être responsables d’angor fonctionnel, en l’absence d’athérome coronarien. [208] QUESTION ANNULEE [209] :C Lautre méthode détude des veines perforantes est répreuve de Pratt utilisant une bande élastique. [210] :C Le développement de telles suppléances est progressif en cas de coronaropathie athéromateuse. [211] :B Le flux régurgitant aortique induit des vibrations de la grande valve mitrale. [212] :C Lélévation de la pression intraventriculaire gauche serait un facteur de chute du débit cardiaque, par l’intermédiaire de la stimulation des barorécepteurs. [213] :B Question non valide: la forme injectable de la cédilanide est le deslanoside, mais il existe une forme buvable de cédilanide Lanatoside® C. [214] :ABCDE Sans commentaire. [215] :ABE La survenue de douleur du membre à la marche avec garrot est en faveur dune obstruction des troncs veineux profonds. [216] :CE Sans commentaire. [217] :BD Le roulement présystolique de Flint traduit une sténose mitrale fonctionnelle en rapport avec une régurgitation aortique importante. [218] :ABCE Le flutter est néanmoins peu emboligène comparé à la fibrillation auriculaire. 12 [219] :ABE Les signes dhypertension artérielle pulmonaire avec bas débit cardiaque apparaissent en règle dans les embolies pulmonaires obstruant plus de 50% du lit vasculaire. [220] :BD La rupture en paroi libre et les embolies d’origine cardiaque sont des complications de rinfarctus du myocarde. [221] :A L’apparition dune fibrose pulmonaire fait suite aux oedèmes pulmonaires lésionnels. [222] :E L’effet hypertenseur de la réglisse vient de la glycirrhizine. [223] :E Le souffle diastolique d’insuffisance aortique siège classiquement au foyer aortique c’est-à- dire au 2ème espace intercostal droit, mais son foyer d’audibilité maximale, notamment lorsque la fuite est modérée, est plus souvent latéro-sternal gauche. [224] :D L’amiodarone ralentit la fréquence sinusale, augmente le temps de conduction nodale (BAV I) et le temps de repolarisation (espace QT) la conduction infra-nodale est en général peu modifiée, si elle est normale à l’état basal. Cette réponse est discutable car en cas d’anomalie préexistante de la conduction infra-nodale, on peut voir des élargissements de QRS sous amiodarone, mais cela reste rare. [225] :D La compression du sinus carotidien entraîne une augmentation du tonus vagal, qui va provoquer un blocage au niveau nodal et un ralentissement de la fréquence ventriculaire, mais cette manoeuvre ne peut rétablir le rythme sinusal. Par contre, la compression du sinus carotidien peut permettre la réduction d’une tachycardie jonctionnelle (Bouveret). [226] :A Le B2 correspond à la fermeture des sigmoïdes aortiques ou pulmonaires, et son dédoublement n’a rien à voir avec le claquement d’ouverture mitral. Le dédoublement de B2 est physiologique chez les sujets de moins de 50 ans à l’inspiration mais sa persistance à l’expiration est pathologique et peut se voir en cas de retard d’activation d’un ventricule par rapport à l’autre (bloc de branche), d’allongement de la durée de l’éjection du ventricule par surcharge diastolique ou systolique (CIA ou HTAP par exemple), ou d’augmentation de l’impédance à l’éjection ventriculaire. [227] :C L’endocardite d’Osier est exceptionnelle voire absente, pour certains auteurs, dans la CIA. Elle est fréquente dans la tétralogie de Fallot ou la CIV, plus rare dans le canal artériel et encore plus rare dans la coarctation de l’aorte. [228] :D Les propriétés de l’adrénaline s’opposent aux anomalies qui caractérisent le choc anaphylactique : les effets adrénergiques corrigent la vasodilatation extrême artériolaire et veinulaire, droite avancée avec souvent la coexistence d’une ascite à ce stade (tableau d’anasarque). [234] :A LHTAP de l’insuffisance [229] respiratoire chronique est dûe à :BD la vasoconstriction hypoxique et Dans la maladie de Takayashu, à une hyperviscosité sanguine l’accélération de la vitesse de secondaire à la polyglobulie. sédimentation se rencontre au [235] début de la maladie, lors de la :D phase aiguê inflammatoire. L’ischémie chronique [230] mésentérique se traduit au :AC contraire par des douleurs postUne oblitération de la lumière artérielle n’entraîne en règle pas prandiales, d’autant plus prononcées que le repos est de souffle puisque le débit est plus abondant. nul. [236] Une fistule artério-veineuse à :C haut débit se caractérise par un Chez les malades très fatigués, souffle continu une oblitération iliaque (systolodiastolique). Un souffle traduit l’existence d’un unilatérale peut être traitée, lorsque l’autre axe est bon, par écoulement de type turbulent et un pontage fémoro fémoral non laminaire. croisé (80 % de perméabilité à [231] 5 ans). Le pontage axillo:ACE fémoral peut également se B et E donnent des tableaux discuter (mais moins de 50 % d’insuffisance cardiaque droite. de perméabilité à 5 ans). [232] [237] :AB :D La digoxine provoque une augmentation du débit cardiaque Pour rappel, le stade I est dûe à son effet inotrope positif et asymptomatique et découvert à une diminution de la pré-charge par la palpation des artères ; le stade Il correspond à la et de la post-charge, une claudication intermittente et le augmentation du tonus stade Vaux troubles trophiques parasympathique et une diminution du tonus sympathique, avec douleurs permanentes et gangrène. qui est plus marqué au niveau des vaisseaux que l’effet vasoconstricteur propre des [238] :A digitaliques. D’où une diminution L’absence de modification des résistances vasculaires inspiratoire plaide contre artériolaires. La tension rinsuffisance tricuspide qui est myocardique de repos n’est par également holosystolique mais contre pas modifiée. qui augmente à rinspiration. Il [233] s’agit donc plus probablement :ABCDE de rassociation dun A B D E sont des signes rétrécissement mitral et dune classiques d’insuffisance insuffisance mitrale. cardiaque droite. C peut également se voir dans le [239] :C tableau d’insuffisance cardiaque restaurent la pression capillaire ; les effets bêta 1 renforcent l’activité cardiaque et améliorent le débit, les effets bêta 2 assurent une bronchodilatation immédiate. 13 La rupture est la complication la plus redoutable et la plus fréquente. Elle survient dans 50 % des cas d’anévismes de plus de 6cm de diamètre à 1 an, contre 15 à 20% lorsqu’ils sont dun diamètre inférieur à 6 cm. [240] :C Cette réponse est discutable dans la mesure où l’abolition du B2 traduit l’importance des calcifications des valves aortiques et non le caractère serré du rétrécissement. Il s’agit néanmoins de la réponse la plus probable. [241] :D L’embolie paradoxale est la migration d’un embol du versant veineux ou des cavités droites vers les cavités gauches et la circulation systémique par l’intermédiaire dune communication inter-auriculaire ou inter-ventriculaire. L’inversion du shunt de gauchedroit à droit-gauche peut se faire à la faveur d’une HTAP, d’un obstacle sur la voie pulmonaire ou d’un effort de toux par exemple. [242] :C Il s’agit d’un malade porteur d’un rétrécissement aortique serré symptomatique. L’indication opératoire est donc formelle et la coronarographie s’impose (d’autant qu’il présente un angor spontané), afin de dépister d’éventuelles lésions coronaires susceptibles de justifier un geste de revascularisation par pontage en même temps que le remplacement valvulaire aortique. [243] :B L’épreuve d’effort est classiquement contre-indiquée en cas de sténose aortique serrée, et également en cas de myocardiopathie obstructive. [244] :D Une insuffisance mitrale peut s’accompagner d’un bruit protodiastolique (B3) (remplissage rapide) et d’un roulement méso-diastolique de sténose fonctionnelle par hyperdébit, lorsqu’elle est volumineuse. [245] :ABE La dissection aigué de l’aorte de type Il dans la classification de De Bakey présente une porte d’entrée au niveau de la partie initiale de l’aorte ascendante, et une extension se limitant à l’aorte ascendante et épargnant la crosse et les vaisseaux à destinée encéphalique. [246] :AE La correction des facteurs de risque de l’athérome et notamment la suppression définitive du tabac, ainsi que l’exercice physique régulier (marche, bicyclette) pour développer la circulation collatérale sont les principaux éléments du traitement (avec les vasodilatateurs) chez ce patient présentant une artériopathie de classe Il peu sévère et permettant la marche. [247] : QUESTION ANNULEE [248] QUESTION ANNULEE [249] : QUESTION ANNULEE [250] :ABD Une embolie pulmonaire ne peut avoir pour point de départ la veine porte ou le tronc splénomésaraïque qui est une veine d’origine de la veine porte, en raison du barrage représenté 14 par le foie. [251] :ABCE L’altération de la fonction rénale est régressive lorsque le traitement est assez efficace et assez précoce. Il peut exister une hypervolémie comme une hypovolémie (déshydratation extra-cellulaire avec taux d’angiotensine Il très élevé). Dans ce dernier cas, le traitement vasodilatateur est logique mais pourra démasquer Ihypovolémie et devra alors s’accompagner dun remplissage. L’anémie hémolytique est de type mécanique avec présence de schizocytes. [252] :ACE Ce bilan minimum permet d’éliminer quelques grandes causes d’HTA (rénales, syndrome de Conn...). Le dosage des VMA urinaires et l’angiographie digitalisée ne sont pas faits en première intention. [253] :BD La réponse est ici discutable ; le syndrome de Raynaud n’est pas une contre-indication absolue aux bêta-bloquants mais justifie de prendre des précautions en raison de l’aggravation possible de la vasoconstriction des extrémités. Par ailleurs, les insuffisances rénale ou hépatique ne sont pas des contre-indications mais nécessitent des adaptations de posologie ou la prescription d’un bêta-bloquant à métabolisme principalement hépatique en cas d’insuffisance rénale (propranolol par exemple) et vice versa. [254] :D Les indications classiques de la dilatation endo-luminale des artères des membres inférieurs sont les sténoses isolées et courtes, de siège iliaque primitif ou externe. Actuellement, les indications sont souvent plus larges allant jusqu’aux lésions fémoropoplitées et aux recanalisations d’occlusions artérielles complètes tant aiguês que chroniques. [255] :C Le stade III de l’artérite est une indication à une revascularisation chirurgicale. [256] QUESTION ANNULEE [257] QUESTION ANNULEE [258] :E Le stade I des artériopathies des membres inférieurs est asymptomatique et caractérisé par la découverte d’une abolition ou d’une diminution d’un ou de plusieurs pouls à l’examen clinique. [259] :E Le stade IV est caractérisé par l’apparition de troubles trophiques. A noter que la question est discutable car l’altération des phanères peut s’intégrer dans les troubles trophiques. La réponse E est de toute façon plus complète et sous-entend la possibilité d’ulcération et de gangrène. [260] :D L’endocardite de la valve tricuspide est l’apanage du toxicomane (porte d’entrée veineuse) mais peut également se voir après chirurgie (utérine) ou infection cutanée (furoncle). Le germe le plus souvent en cause est le staphylocoque doré. [261] :D Une scintigraphie pulmonaire de perfusion strictement normale permet d’éliminer une embolie pulmonaire mais seule l’angiographie permettra d’affirmer le diagnostic d’embolie pulmonaire. [262] :A L’anévrisme circonscrit du ventricule gauche est classiquement de découverte plus tardive, une fois que la fibrose s’est installée dans la zone infarcie. [263] :D A B C E sont toutes des étiologies d’insuffisance cardiaque à débit élevée. L’insuffisance cardiaque au cours d’une insuffisance mitrale se caractérise en général par une baisse du débit cardiaque. [264] :C Pas de commentaire. [265] :ABD L’aspect Si Q3 en dérivations standards avec déviation axiale droite et bloc de branche incomplet droit sont les signes ECG classiques d’embolie pulmonaire, avec les troubles de la repolarisation en précordiales droites et la tachycardie sinusale. [266] :CE Pas de commentaire. [267] QUESTION ANNULEE [268] :ACE La syncope d’effort est tout à fait classique dans la cardiomyopathie obstructive et le rétrécissement aortique mais elle peut également se voir dans HTAP primitive. Les syncopes dans le myxome sont 15 classiquement posturales c’està-dire liées à un changement de position. [269] :ABE La cyanose est discutable; il s’agit plus en général d’une pâleur ou d’une lividité des téguments. Loedème peut se voir à un stade plus tardif ou lors de la revascularisation, mais il est unilatéral. [270] :ABCDE Tous ces items caractérisent l’endocardite aiguê ; comme autres germes, on trouve aussi les bacilles Gram négatif et le pneumocoque. [271] :ABE On peut trouver également des opacités floues périhilaires et non une hyperclarté ; le débord auriculaire droit n’est pas classique, au moins tant que IVG ne retentit pas sur les cavités droites. [272] :AD LHTAP post-capillaire est en rapport avec des cardiopathies gauches donc dans cette question uniquement RM et infarctus du myocarde antérieur étendu. [273] :ACD En raison de l’augmentation de la toxicomanie, on voit de plus en plus de végétations tricuspides à l’échocardiographie mais on ne peut dire que le diagnostic en est plus facile que dans les autres localisations. [274] :E Les signes périphériques d’endocardite bactérienne comprennent également les placards érythémateux palmoplantaires de Janeway, les taches de Roth et les hémorragies rétiniennes au fond d’oeil. Les adénopathies cervicales ne sont pas un signe évocateur. [275] :C Compte tenu de la fréquence de l’évolution vers la rupture des anévrismes de l’aorte abdominale dont le diamètre dépasse 6 cm, l’indication chirurgicale doit être portée à fortiori si il n’y a pas de contreindication opératoire. [276] :C La tachycardie sinusale est de loin le signe ECG le plus fréquent puisqu’il est noté dans environ 50 % des cas (pour mémoire, raspect Si Q3 environ 10 % des cas, le bloc de branche droit complet 10 %). [277] :C La possibilité de survenue d’un bloc auriculoventriculaire justifie la pratique régulière d’ECG au cours de la surveillance dun patient traité pour endocardite. Il sagit en général d’abcès annulaire de raorte s’étendant au septum inter-ventriculaire. Le diagnostic repose sur réchocardiographie et le traitement sera chirurgical. [278] :B Les signes radiologiques à connaître concernant le rein homolatéral à la sténose sur UIV sont 1) taille du rein pouvant être diminuée (différence> à 1,5 cm) 2) retard dapparition du produit de contraste sur les clichés précoces 3) hyperconcentration unilatérale sur les clichés à 10 et 15 minutes 4) retard de lavage éventuellement sensibilisé par l’injection de furosémide, mais cette épreuve tend à être abandonnée. [279] :D La palpation des artères fémorales recherchera une diminution des 2 pouls fémoraux afin de conforter le diagnostic de coarctation de l’aorte. La palpation thoracique recherche une circulation collatérale avec hyperdébit, l’ECG, des signes d’HVG et la radiographie thoracique, des érosions du bord inférieur des côtes, une cardiomégalie et une modification du bouton aortique. [280] :D La dissection aortique de l’aorte descendante (type III) épargne l’anneau aortique ; seules les dissections de type I ou Il peuvent s’accompagner d’insuffisance aortique. [281] :E Le roulement protodiastolique au cours d’une insuffisance mitrale peut traduire un hyperdébit en diastole à travers l’orifice mitral (débit cardiaque + débit régurgité dans l’oreillette gauche) et donc une fuite volumineuse. [282] :B LHTA dans la coarctation aortique est généralement rapportée à une ischémie rénale; I’ARP est le plus souvent élevée. Elle peut néanmoins être normale. La question est mal posée, mais c’est la seule réponse possible. [283] :E Se rapporter à la question 10 pour les autres signes de sténose de l’artère rénale sur l’UIV. [284] :A La prévalence d’une maladie est le nombre de sujets malades à un moment donné dans une population. L’incidence est le 16 nombre de nouveaux cas de maladie apparue pour une période donnée. [285] :C Les manoeuvres vagales diminuent la conduction nodale et par conséquent sont susceptibles de ralentir la fréquence ventriculaire sans changer la cadence auriculaire. [286] :ACDE Il faut noter que la valeur de ces signes peut être mise en échec en cas de sténose bilatérale. [287] :ABCDE L’anévrisme artériel siège en général à rextérieur du parenchyme cérébral sur une des branches du polygone de Willis. 10 à 20 % des malades ont des anévrismes multiples. 90 % siègent dans le territoire carotidien. Les anévrismes artério-veineux peuvent se calcifier et être vu à la radiographie simple et sont des malformations congénitales vraies. [288] :BCD La réponse à cette question est un peu difficile car un anévrisme peut être douloureux à la palpation mais ce n’est pas ce caractère douloureux qui évoquera le diagnostic ; d’autre part, rabolition des pouls fémoraux indique qu’il s’agit d’un patient artériel et donc que la masse abdominale pourrait être un anévrisme ; mais E n’est pas à retenir. [289] :ABD La sténose mitrale est un obstacle situé en amont du ventricule gauche et par conséquent ne retentit pas sur ce ventricule. [290] :CE On ne retient pas A B D car dans ces cas, I’HTA agit par l’intermédiaire de l’athérosclérose. [291] :C L’endactériectomie ne concerne que les sténoses athéromateuses de l’artère rénale. Les néphrectomies totales ou partielles pour rein atrophique sont devenues très rares. Enfin, les dysplasies répondent habituellement bien à la dilatation percutanée transluminale. [292] :A Le pronostic vital des patients porteurs d’une artériopathie des membres inférieurs est bien souvent lié aux autres localisations de l’athérosclérose et ces patients décèdent souvent d’infarctus. Dans une grande étude américaine, l’âge moyen des opérés de lésions aortoiliaques est de 57 ans, et ils ont une espérance de vie de 10,7 ans contre 18,6 ans chez des sujets normaux de même âge. Pour les opérés de lésions poplitées, les chiffres sont de l’ordre 62 ans d’âge moyen, 7,2 ans d’espérance de vie, contre 13,7 ans chez les sujets normaux de même âge. Il semble donc que les localisations aorto-iliaques aient un pronostic moins bon que les lésions plus distales. [293] :E La pression télédiastolique du ventricule gauche est la pression de la fin du remplissage du VG, témoignant donc directement de la précharge. [294] :C La pression artérielle diastolique est surtout fonction des résistances périphériques. [295] :B La connaissance de la valeur du débit cardiaque est impérative pour interpréter un gradient de pression : en effet, lorsque le débit est effondré, un faible gradient de pression pourra correspondre à une sténose serrée. La formule de Garlin nécessite davoir le débit cardiaque et le gradient de pression pour calculer la surface aortique. [296] :C Lhypoxie - hypocapnie - alcalose est la conséquence de l’effet shunt et de l’hyperventilation. [297] :C Il s’agit d’une symptomatologie absolument typique et même si une épreuve d’effort est demandée, la normalité de cette épreuve ne pourra écarter formellement le diagnostic d’insuffisance coronaire. [298] :E La diminution de la pente EF est un signe de sténose mitrale ou de diminution de la compliance du ventricule gauche. [299] :E On observe au contraire une augmentation de la vascularisation pulmonaire. [300] :B Pas de commentaire. [301] :D La douleur à la pression des masses musculaires traduit un stade avançé de lischémie du membre. La rigidité musculaire avec ou sans contracture traduit un stade encore plus avancé et la constatation de plages de nécrose en plus des signes précédents, une ischémie 17 dépassée. [302] :ABDE La polykystose rénale ne s’accompagne classiquement pas d’hypokaliémie, mais comporte fréquemment une HTA au cours de son évolution ; cette HTA est en général moins sévère que dans les glomérulopathies, en partie du fait de la perte sodée obligatoire. [303] :BD L’élargissement de QRS et les ondes T amples positives et pointues sont des signes dhyperkaliémie. [304] :AE Une soif anormale est souvent associée à des taux élevées de rénine et dangiotensine II. La glycirrhyzine mime un hyperaldostéronisme primaire avec des taux d’aldostérone normaux. Le diagnostic est fait par interrogatoire. [305] :ABDE LHTA est permanente dans 50 % des cas avec ou sans ‘àcoups’ et se limite à des accès hypertensifs dans les autres cas. Il existe une décharge intermittente de catécholamines qui entraîne une natriurèse accrue et une hypovolémie avec hémoconcentration, responsable des accès d’hypotension orthostatique. Lhyperglycémie est secondaire aux décharges, de catécholamines. [306] QUESTION ANNULEE [307] QUESTION ANNULEE [308] :C Si l’on dirige le faisceau le captopril et rénalapril (inhibiteur de l’enzyme de conversion) sont des vasodilatateurs mixtes (versant veineux et artériel). [314] :D La manifestation ECG la plus fréquente au cours d’une douleur angineuse à effort est la lésion sous-endocardique (sousdécalage du segment ST). [315] :D Les embolies cruoriques sont de très loin les plus fréquentes. [316] :D Langiographie pulmonaire est la méthode diagnostique la plus spécifique (absence de faux positifs) ; elle est néanmoins un peu moins sensible que la scintigraphie pulmonaire pour les embolies de faible étendue (moins de 15% d’obstruction du lit vasculaire). La scintigraphie pulmonaire est sensible (puisquune scintigraphie normale élimine le diagnostic) mais peu spécifique (nombreux faux positifs). [317] :ADE Les phlébites des membres supérieurs sont beaucoup plus rares que les phlébites des membres inférieurs et par conséquent moins souvent en cause dans l’embolie pulmonaire, mais elles sont tout aussi emboligènes. Les deux grandes causes sont dune part iatrogène (cathéter sous-clavier par exemple) et d’autre part le syndrome du défilé thoracobrachial, où les phlébites peuvent être déclenchées par un effort [313] physique. :A [318] La dihydralazine agit :BDE essentiellement sur le versant Lexpansion systolique du foie artériolaire, le dinitrate disosorbide essentiellement sur cardiaque traduit la présence dune insuffisance tricuspide. le versant veineux. [319] La prazosine (alphal bloquant) dultrasons de fréquence donnée sur un corps en mouvement, ce faisceau est réfléchi avec une fréquence différente de celle d’arrivée et la différence entre ces 2 fréquences est directement proportionnelle à la vitesse du corps étudié (vélocité sanguine). [309] :C Lhypoxie hypocapnie est secondaire à reffet shunt et à l’hyperventilation provoquées par robstruction du lit vasculaire pulmonaire. [310] :C Le syndrome de Leriche correspond à une thrombose de la bifurcation aortique et est caractérisé par une claudication haute (fesse-cuisse) et bilatérale, une impuissance et une abolition des pouls fémoraux. [311] :A Un B3 et un roulement protodiastolique sont évocateurs d’une insuffisance mitrale importante, en présence dun souffle holosystolique de pointe, irradiant dans laisselle. [312] :B Léchographie abdominale est un examen très performant pour le diagnostic et l’évaluation de la taille dun anévrisme de laorte abdominale. Cependant, elle ne définit pas bien la situation de la masse par rapport aux artères rénales, ce qui est un élément important pour le chirurgien. 18 :ABD Lactivité rénine plasmatique est habituellement très élevée avec hyperaldostéronisme secondaire. Ladministration de captopril entraîne une normalisation de la pression artérielle (caractère angiotensine dépendant de I’HTA). [320] :D La claudication intermittente caractérise le stade Il. Le stade I est asymptomatique et découvert par des signes dexamen clinique (ABC) ou para-clinique (E ou doppler systématique). [321] :D Linsuffisance aortique est la valvulopathie qui expose le plus au risque de greffe bactérienne. Par ordre de fréquence, les valvulopathies rhumatismales les plus souvent observées sont linsuffisance aortique, linsuffisance mitrale, le rétrécissement aortique et exceptionnellement le rétrécissement mitral pur. [322] :E La survenue de la fièvre au cours de l’infarctus est en général retardée et l’existence d’emblée de fièvre au cours d’une douleur thoracique orienterait plutôt vers une origine péricardique. [323] :E La cupule digitalique est simplement un signe d’imprégnation digitalique et non un signe de surdosage (zone thérapeutique pour la digoxine : 0,8 à 2 mg/ml - zone thérapeutique pour la digitoxine : 15 à 30 mg/ml). [324] :C L’apparition d’une grosse IV: gangrène distale). [337] :C La scintigraphie à la iodométhylbenzylguanidine marquée, analogue des QUESTION ANNULEE catécholamines capté par le QUESTION ANNULEE tissu tumoral, permet de [326] [332] localiser un éventuel :C phéochromocytome. L’accélération de la vitesse de QUESTION ANNULEE [338] sédimentation souvent au[333] :B dessus de 100 mm à la :ABC première heure devant une L’éclat du B2 au foyer pulmonaire Sans commentaire. [339] baisse brutale de l’acuité traduit existence d’une :ABC visuelle, évoque fortement le hypertension artérielle La radiographie simple ne diagnostic de maladie de pulmonaire qui n’est pas Horton. constante, surtout lorsque le RM mettra en évidence que les calcifications éventuelles ; [327] est peu serré. De même, une enfin, l’appréciation précise du :D insuffisance tricuspide associée La diphénylhydantoïne (E) et souvent fonctionnelle, n’est diamètre de lanévrysme par (Dihydan®), anti-arythmique de pas constante en cas de RM peu l’angiographie conventionnelle ou numérisée peut être source classe lb, est administrée en serré, car elle traduit le d’erreur en cas de thrombus perfusion intra-veineuse lente retentissement sur les cavités calcifié pouvant réduire de 100 mg toutes les 5 minutes, cardiaques droites. artificiellement la lumière. lors des arythmies ventriculaires [334] [340] de l’intoxication digitalique, :C :E jusqu’au contrôle de l’arythmie Le Doppler est un examen nonC’est la description précise de ou jusqu’à l’apparition de signes invasif à prescrire en première ce syndrome. de toxicité (par exemple intention pour apprécier la [341] nystagmus, vertiges, nausées). perméabilité des artères en aval :ABCDE On peut également utiliser la d’une sténose par Une embolie pulmonaire peut lidocaïne. renregistrement ou non d’un être responsable d’un infarctus [328] signal. pulmonaire. Une thrombose [335] veineuse peut donner QUESTION ANNULEE :C exceptionnellement des signes [329] L’oedème n’est pas d’ischémie (ex : phlegmatia :ABCE caractéristique du tableau de caerulea ou phlébite bleue des L’hémiplégie peut être la rischémie aiguê des membres membres inférieurs). conséquence d’une dissection inférieurs, mais peut se des troncs supra-aortiques à rencontrer lors de la destinée encéphalique ; la recanalisation ce qui justifie la [342] paraplégie peut résulter d’une :AD pratique des aponévrotomies de atteinte de l’artère d’Adam Les réponses B C E décharge. Kiewicz. s’appliquent à la névralgie du [336] [330] Trijumeau. :C :BE [343] Les stades de gravité de La chute avec blessure traduit :ACDE rartériopathie chronique la brutalité de la syncope, “à A C E peuvent être sources oblitérante des membres l’emporte pièce”. Un blocage inférieurs sont surtout définis par d’embols dans la circulation paroxystique de la conduction systémique. D peut se la symptomatologie ; le stade III au niveau de l’hémibranche compliquer dischémie des correspond à l’apparition de postérieure gauche entraînera douleurs lors du décubitus. (Pour membres inférieurs soit dans le un bloc auriculo-ventriculaire cadre d’une phlegmatia mémoire, le stade I : patient complet, en raison de la caerulea, soit dans le cadre asymptomatique, stade Il: coexistence d’un bloc de dune embolie paradoxale. Claudication intermittente, stade cuisse unilatérale au cours dune phlébite traduit extension de la thrombose veineuse au niveau ilio-fémoral. [325] branche droit et d’un hémibloc antérieur gauche sur l’ECG de base. [331] 19 (foramen ovale perméable). [344] :CD Les bêta-bloquants agissent dans rangor essentiellement en diminuant le travail du coeur et en ralentissant sa fréquence à l’effort. [345] :BC Seules la tétralogie de Fallot et la transposition des gros vaisseaux appartiennent au cadre classique des cardiopathies cyanogènes. On peut néanmoins observer une cyanose au cours dune CIA vieillie avec vasculopathie pulmonaire entraînant une inversion du shunt, voire au cours d’un canal artériel persistant avec élévation des résistances pulmonaires. [346] :ABD L’arc moyen gauche à double bosse est constitué d’une part par le tronc de l’artère pulmonaire en haut et la dilatation de lauricule gauche en bas. [347] :ACD Sans commentaire. [348] :D C’est une complication classique, mais en fait rare du rétrécissement aortique. [349] :C Il s’agit plus fréquemment d’un angor d’effort. L’oedème pulmonaire est rarement inaugural et est souvent précédé par une dyspnée d’effort. [350] :E L’expansion volémique permet de maintenir le remplissage du coeur. [351] :A Il s’agit d’un sus-décalage de [358] :A Le TP est à un taux efficace (entre 25 et 35 % ), donc il n’y a plus lieu de poursuivre l’héparine et le Sintrom peut être poursuivi à la même dose. [359] :E L’infarctus du ventricule droit s’associe généralement à un [353] infarctus inférieur et non :E A B D sont également des signes antérieur, car il est la conséquence de l’oblitération radiologiques rencontrés dans de la coronaire droite. rembolie pulmonaire mais E est [360] plus caractéristique de :AB l’interruption d’un gros tronc Sans commentaire. artériel pulmonaire. [361] [354] :ABCD :B Les contre-indications formelles L’ECG d’effort est le premier examen à demander en face d’un des digitaliques sont les cardiomyopathies obstructives, angor d’effort stable, d’une part les BAV de haut degré non pour conforter le diagnostic et appareillés, les troubles de la d’autre part pour apprécier le seuil d’apparition de la douleur et conduction sinusale, les troubles du rythme d’un éventuel sous-décalage de ventriculaire, et enfin les ST. flutteurs ou fibrillations [355] auriculaires survenant au cours :D Une scintigraphie pulmonaire de d’un syndrome de WolffParkinson-White. Le perfusion normale permet d’éliminer le diagnostic d’embolie rétrécissement aortique serré et les cardiothyréoses pulmonaire mais l’inverse n’est évidemment pas vrai. C’est donc représentent des contreindications plus relatives. un examen sensible mais non [362] spécifique. :ACE [356] Sans commentaire. :D Les digitaliques en diminuant la conduction nodale permettent de [363] :ABCDE ralentir la fréquence Sans commentaire. cardiaque d’une fibrillation [364] auriculaire. Ils sont contre:CD indiqués dans les cas A, B, C et Une embolie pulmonaire ne E. peut être la conséquence que [357] d’une pathologie thrombotique :C située sur le versant veineux ou Les BPCO peuvent se dans les cavités droites du compliquer d’insuffisance coeur. ventriculaire droite (coeur [365] pulmonaire :ABC chronique) lorsqu’elles évoluent Lisoprénaline est un bêta 1 et vers l’insuffisance respiratoire bêta 2 stimulant. Il provoque chronique. ST, concave vers le haut. [352] :D L’existence d’une hyperkaliémie traduit une intoxication digitalique massive dans la mesure où le blocage complet de la pompe Na/K ATPase empêche la rentrée du potassium dans la cellule. 20 donc par son action bêta 2 une vasodilatation mais la vasodilatation coronaire est également secondaire à l’augmentation de la fréquence cardiaque et de la contractilité (effet bêta I) et on sait que radénosine joue un râle local important dans l’adaptation du débit coronaire aux besoins. [366] :CE A et B allongent le QT, peuvent être à l’origine de torsades de pointe et sont donc contreindiqués. La digoxine intraveineuse va ralentir la fréquence cardiaque et se trouve donc également contreindiquée. En plus de C et E, un autre traitement possible consiste à accélérer la fréquence cardiaque en stimulant le coeur à l’aide dune sonde d’entraînement à environ 100 par minute et il faut également corriger toute hypokaliémie. [367] :C La turgescence des veines superficielles peut se rencontrer au cours d’une phlébite mais nest pas un signe d’ischémie des membres inférieurs. [368] :D Le pace-maker sentinelle prend le relais lorsque la fréquence cardiaque descend en dessous de 72/min, donc l’éventualité d’une fréquence cardiaque à 60/min ne peut se rencontrer. Par contre, toutes les autres hypothèses sont possibles si le patient est en rythme spontané à plus de 72Imin. [369] :B La constation d’une réaction péricardique à la phase aigué d’un infarctus du myocarde est une éventualité assez fréquente, qui impose en règle la diminution des doses d’héparine de façon à obtenir un TCA à environ 1 fois et demi le témoin. [370] :A Les Bêta-bloquants permettent d’être à la fois un traitement de I’HTA et de langor. Une autre éventualité aurait été les inhibiteurs calciques. [371] :E Le traitement chirurgical est le traitement le plus efficace dans ce cas et semble indiqué comptetenu de l’insuffisance ostiale et de la sévérité de la maladie veineuse (ulcère variqueux). [372] :B Le territoire Vi à V4 est caractéristique de la localisation antéro-septale. Lorsque les signes sont de VI à V6, on parle d’infarctus antérieur étendu. [373] :C Sans commentaire. [374] :C Les dérivations V3R et V4R sont les dérivations précordiales droites symétriques de V3 et V4. [375] :BDE La rupture d’un anévrysme dans la VCI entraîne une grosse fistule artério-veineuse, avec insuffisance cardiaque par augmentation brutale du débit, thrill à la palpation, souffle continu et oedèmes des membres inférieurs. Cette rupture peut également s’accompagner d’une hématurie voire d’embolie pulmonaire. [376] :AD On n’oubliera pas d’adjoindre à ce traitement des antalgiques puissants. [377] :ACD Sans commentaire. 21 [378] :AD Sans commentaire. [379] :AD LHTA, le tabac et le diabète sont des facteurs d’athérome mais ne favorisent pas les thromboses veineuses. [380] :AB La sténose mitrale peut donner des signes d’insuffisance cardiaque gauche, mais étant en amont du ventricule gauche, elle n’entraîne pas d’insuffisance ventriculaire gauche. Enfin, lIT et la CIA peuvent se compliquer d’insuffisance cardiaque droite. [381] :ABCE L’abus de glycirrhyzine peut donner ou aggraver une HTA qui s’accompagne volontiers d’une hypokaliémie. D est un antihypertenseur central. [382] :BDE Il s’agit dune HTA modérée ; il conviendra de vérifier les chiffres tensionnels lors d’une prochaine consultation. Etant donné la surcharge pondérale, un régime amaigrissant peut être d’emblée proposé et contribuera à diminuer les chiffres tensionnels. [383] :AC L’aspect en double bosse parfois réalisé correspond à la saillie du tronc de l’artère pulmonaire en haut et de rauricule gauche en bas. Le plus souvent, l’arc moyen gauche est globalement convexe. [384] :ABCD Les malaises anoxiques sont rencontrés dans la tétralogie de Fallot. La coarctation est une des causes d’insuffisance cardiaque chez le nourrisson. [385] :AD Il se différencie ainsi du choc cardiogénique où la pression capillaire est élevée. La pression capillaire et la pression veineuse sont en règle abaissées. [386] :C La phlébocavographie sera l’examen le plus performant pour faire le diagnostic de thrombose cave inférieure et pour apprécier son extension et l’aspect éventuellement flottant du caillot. [387] :D Devant ces deux syncopes d’effort, le diagnostic le plus probable est celui de myocardiopathie obstructive. On aurait pu discuter un rétrécissement aortique, mais le caractère du souffle et rimportance de l’hypertrophie, attestée par les ondes Q de V4 à V6, sont plus en faveur du premier diagnostic. [388] :D Le sous-décalage horizontal du segment ST est le critère de positivité électrique le plus spécifique d’insuffisance coronaire lors de l’épreuve d’effort. [389] :D La dihydralazine (Népressol) est un vasodilatateur artériel peu employé dans le traitement de HTA en raison notamment d’une tachycardie réflexe. Cette tachycardie le rend contreindiqué chez le coronarien. [390] :B L’existence d’un B3 au cours d’une insuffisance mitrale témoigne d’une fuite importante. De même, un bref roulement mésodiastolique d’hyperdébit réponses A et B sont ambiguès dans la mesure où elles ne sont que des indices indirects de l’importance de la fuite. [395] :ADE La tamponnade par rupture de la paroi libre du coeur au cours d’un infarctus du myocarde est responsable d’un tableau de dissociation électromécanique avec absence d’activité hémodynamique et persistance de complexes électriques normaux. C’est une complication pratiquement toujours mortelle. Le drainage péricardique associé au remplissage et une intervention chirurgicale de réparation [393] permettent dans de rares cas :D de sauver le malade. Les manoeuvres vagales [396] permettent de déprimer la :ABDE conduction nodale; ainsi, moins Le galop gauche témoigne d’influx auriculaires seront d’une dysfonction myocardique conduits aux ventricules. En cas de flutter, cela aura pour effet de et n’est donc pas entendu dans ce cas. Il faut savoir que l’ECG diminuer la fréquence peut être normal et que la ventriculaire, ce qui permettra douleur prend souvent un d’analyser plus facilement les caractère constrictif de type auriculogrammes. angineux. L’échocardiogramme [394] peut être normal en cas de :ABDE péricardite sèche. La réponse à cette question est [397] difficile : en effet, dans l’insuffisance aortique, il faut bien : C D La scintigraphie de perfusion différencier les signes qui est encore plus sensible que témoignent de l’importance du l’angiographie notamment pour volume de régurgitation de ceux les embolies pulmonaires (EP) qui rendent compte du de petite taille (<15 %), et une retentissement ventriculaire scintigraphie pulmonaire gauche. La pression diastolique suffisamment précoce normale aortique diminuée et la pression permet d’exclure une EP. Par systolique aortique augmentée témoignent de l’importance de la contre, l’angiographie est plus régurgitation, E étant secondaire spécifique puisqu’il n’y a pas de faux-positifs. à l’augmentation du volume [398] d’éjection systolique. :ACD L’augmentation de la pression Il s’agit en règle de douleurs capillaire pulmonaire et de la pression télédiastolique du VG se abdominales ou thoraciques mais pas de douleurs rencontrent à un stade tardif de lombaires, enfin la polyurie l’évolution, mais ces indices témoignent du retentissement sur n’est pas un signe classique. [399] le ventricule gauche. Donc, les peut également être entendu dans les 1M importantes. [391] :D Le refroidissement des extrémités plaide pour une phlegmatia caerulea. La phlegmatia caerulea est le tableau observé en cas de thrombose ilio-fémorale massive: c’est un tableau hyperalgique brutal avec oedème important, cyanose, et signes d’ischémie aiguê, pouvant évoluer vers la gangrène. [392] :ABCDE Sans commentaire. 22 les artères de petit et moyen calibre ainsi que les veines superficielles. Elles ne sont pas spécialement ectasiantes, et ne s’accompagnent pas fréquemment de varices. [407] :AC A et C sont les causes de loin les plus fréquentes. B, D, E sont plus rares. [408] :AD Le stade I (asymptomatique) de l’artérite relève uniquement du [401] traitement médical. Il s’agit donc :B de supprimer impérativement les Les thromboses superficielles facteurs de risque et de prescrire justifient un traitement antides marches régulières afin de inflammatoire local et général, développer la circulation ainsi qu’une éventuelle collatérale. La prescription de contention élastique, mais en vasodilatateurs au stade I n’est aucun cas un traitement en règle pas nécessaire ; il en va anticoagulant ou un alitement. de même a fortiori pour les [402] anticoagulants. E est :C évidemment exclu. L’échographie permettra non [409] seulement de mettre en :DE évidence fanévrysme et mais Il s’agit de l’épreuve de Perthesaussi d’affirmer son caractère Delbet: si lors de cette épreuve thrombosé. les veines superficielles [403] s’affaissent, le réseau profond est :E perméable et E peut être Sans commentaire. envisagé. Si les veines [404] superficielles gonflent, le réseau :D profond est obstrué et on ne peut L’état vasculaire d’aval est réaliser d’éveinage. évidemment impossible à [410] apprécier par la :ABE tomodensitométrie, On ne peut parler d’insuffisance contrairement à A, B, C et E. ventriculaire gauche au cours du [405] rétrécissement mitral, l’obstacle :ABD Avec l’hyperthermie, on observe étant situé en amont du ventricule gauche. Enfin, le coeur plus volontiers une petite pulmonaire chronique postaccélération de la fréquence embolique est responsable cardiaque. De même, il existe une augmentation de la chaleur d’insuffisance ventriculaire droite. cutanée. [406] [411] :BDE :DE La maladie de Léo Buerger est Il s’agit d’une congestion passive une artérite inflammatoire rare, et la surface du foie cardiaque reste lisse. L’aspect muscade est qui survient avec prédilection dû à la juxtaposition de zones chez l’homme jeune gros hémorragiques rougeâtres fumeur. Les lésions touchent :C Les anévrysmes de l’aorte abdominale étant le plus souvent sous-rénaux, il s’agit de la mésentérique inférieure. [400] :A Question un peu ambigue : il s’agit en fait d’une claudication haute au niveau de la fesse mais pouvant également descendre dans la cuisse. 23 centrales et de zones périphériques jaunâtres. [412] :ABCE Au cours de l’insuffisance rénale, il est théoriquement logique de proposer des bêtabloquants liposolubles, mais en pratique, il suffit de réduire la posologie des bêta-bloquants hydrosolubles. La grossesse ne représente pas une contreindication, et leur emploi est autorisé sous réserve dune surveillance particulière (risque théorique de bradycardie néonatale et d’augmentation de la motricité utérine). [413] :AB Les bêta-bloquants sont théoriquement à éviter en raison de leur pouvoir vasoconstricteur potentiel. Le Méthergin (dérivé de l’ergot de seigle), utilisé pour déclencher les spasmes, est donc contreindiqué. E n’a aucune place ici. [414] :CDE La cordarone est efficace, mais doit être éviter en première intention chez un sujet jeune en raison des effets secondaires potentiels. Par contre, les antiarythmiques de classe lA (quinidine) et IC (cibenzoline et propafénone) sont indiqués comme traitement préventif des récidives. La mexiletine (classe lB) est surtout utile à l’étage ventriculaire. [415] :ADE Le souffle d’ lA débute dès le B2. Le roulement télédiastolique de Flint correspond aux turbulences réalisées par le flux régurgitant et le flux de remplissage sur la valve mitrale. Le claquement d’ouverture mitral fait partie de l’auscultation du RM. [416] :B La phlébite bleue ou phlegmatia caerulea correspond à une thrombose ilio-fémorale massive, avec début brutal, douleur intense, oedème volumineux et froid de l’ensemble du membre, cyanose, et abolition des pouls. Son risque est l’évolution vers la gangrène. C’est une urgence chirurgicale. [417] :C Les dimensions d’un anévrysme de l’aorte abdominale sont mal appréciées par l’aortographie en raison de la possibilité d’une thrombose à son niveau, qui déforme la lumière et gêne l’opacification de la poche. Les examens les plus performants pour évaluer sa taille sont l’échographie et la tomodensitométrie. [418] :D Le plus souvent, l’embol passe par un foramen ovale restant perméable. [419] :D En post-opératoire, une fausse reprise précoce du transit avec diarrhée traduit une colite rédactionnelle, résultant d’une ischémie colique pendant l’intervention, mais cette complication, dont D permet le diagnostic, évolue en général favorablement. [420] :D En cas de thrombose veineuse superficielle, le risque de migration embolique est très faible. A, B, C et E se rencontrent fréquemment. [421] :E L’ulcération dune plaque d’athérosclérose peut être source d’embolie systémique. [422] :D Les nodules d’Osier sont généralement fugaces et disparaissent sans laisser de trace. Ils n’évoluent jamais vers la suppuration. [423] :D Le B3 de remplissage rapide est rarement entendu au cours des RA serrés ; on entend plus volontiers un galop présystolique (B4). [424] :C L’oedème d’une phlébite surale touche uniquement la cheville. [425] :D L’apparition d’un cordon veineux sus-pubien doit faire discuter une thrombose des veines du petit bassin. [426] :ABE Toutes ces pathologies sont susceptibles d’être responsables d’une ischémie des membres inférieurs à l’effort. [427] :B Etant donné les résultats satisfaisants de la dilatation endoluminale percutanée, y compris en cas d’occlusion totale de la fémorale, E peut être proposé, même si la claudication est relativement peu invalidante. B est systématique. [428] :BDE Les claudications hautes (fesse) traduisent en général des lésions haut-situées (aorte, artère iliaque primitive, artère iliaque interne ou hypogastrique dont une des branches extrapelvienne donne l’artère fessière). [429] :ABCE La rupture de cordage est responsable de l’évolution vers l’insuffisance mitrale aiguê (E). Les troubles de la repolarisation sont souvent en postérieur. 24 [430] :ABE A est dû à l’absence de circulation collatérale, B traduit l’image de rembol, et E l’absence dartériopathie, contrairement à la thrombose artérielle aiguê. [431] :AC B est faux car le rythme auriculaire est en général à 300/min (ondes F diphasiques avec négativité prédominante en D2D3VF). Les manoeuvres vagales dépriment la conduction nodale donc C est vrai mais F est faux. Enfin les digitaliques peuvent ralentir la fréquence ventriculaire. [432] :ABC D et E ne sont pas des signes de péricardites aiguès. Par contre, une péricardite peut favoriser la survenue de C. [433] :A A est un vasodilatateur à prédominance veineuse, qui va diminuer la précharge et réaliser une sorte de ‘saignée interne’. B C D sont contreindiqués. [434] :B LHTA est un facteur important d’athérosclérose, mais ne favorise pas directement la thrombose. [435] :C Il est préconisé de débuter un traitement par un alphabloquant à de petites doses, avec une première prise au moment du coucher pour éviter une hypotension fréquente en début de traitement. [436] :C LHTA labile du sujet jeune s’accompagne souvent d’une hyperréactivité sympathique et répond donc bien à un myocarde. B - Entraîne un hémopéricarde. E - Maladie de Marfan, d’Ehler Danlos, élastorrhexie... [445] :ABE Le premier diagnostic à évoquer est celui de dissection de l’aorte. [446] :ACE A - Associée dans 70 à 90 % des cas. B - La douleur irradie le plus souvent vers le dos. Evolution descendante. C - Traduit l’atteinte du plancher sigmoïdien. [447] :ADE Les anévrysmes post-infarctus favorisent les thrombi intraventriculaires avec risque [440] d’embolies périphériques. :A A s’élève dans les 6 heures, D D E - Sont les autres complications classiques de dans les 10-12 heures, et B l’anévrysme post-infarctus. dans les 24 heures. [448] [441] :BCD :BD Sont les causes classiques d’état B par embolie systémique. E est faux, il persiste une zone de de choc associé à un tableau d’insuffisance cardiaque droite fibrose cicatricielle. Il s’agit dune thrombose coronaire dans aiguê. [449] la grande majorité des cas, :ACE mais pas dune embolie. A - Traduit en règle un infarctus [442] étendu avec un risque plus grand :CD Il doit être recherché en position d’évolution vers l’anévrisme. C - Est une complication demi-assise. C correspond à classique des anévrismes. une insuffisance tricuspide E - Surtout si le sus-décalage souvent associée. Cest un persiste au-delà de la troisième signe d’insuffisance ventriculaire droite, donc D est semaine. vrai. [443] [450] :ACE :E La régularité parfaite à 150/mn B D - Evoquent une atteinte artérielle. est très évocatrice de Flutter. Entre 130 et 210 il s’agit le plus [451] :CE souvent dune tachysystolie. A - Stade III. [444] B - Stade I. :BDE A - L’extension de la dissection D - Stade IV. aux artères efférentes de l’aorte [452] :ACDE peut atteindre les coronaires A - Un tiers des péricardites avec possibilité d’infarctus du traitement bêta-bloquant comme C. Il faut éviter de commencer par B, D ou E. [437] :E Le sous-décalage de ST correspond à une lésion sousendocardique et les grandes ondes T positives à une ischémie sous-endocardique. [438] :D C doit être évité, B est contreindiqué, et A est le traitement des péricardites rhumatismales. [439] :D Le pouls lent avec dissociation radio-jugulaire est en faveur de D. 25 aiguès. B - Le pouls petit qui diminue à l’inspiration (pouls paradoxal de Kussmaul) se voit en cas de tamponnade. D - Rechute dans 1/3 des cas, surtout en cas de traitement corticoïde qui est contreindiqué. [453] :ACD A - Durée de 0,08 à 0,10 secondes. E - Durée de QRS : 0,08 à 0,10 secondes. [454] :ACDE - Type I le plus fréquent débute au niveau de l’aorte ascendante et s’étend sur l’arc aortique et parfois sur la totalité de l’aorte. D - Extension de la dissection aux artères rénales entraînant une ischémie rénale. E - Extension aux artères à destinée médullaire. [455] :AC La maladie dAdams-Stockes correspond à des syncopes dont l’origine est le plus souvent une pause ventriculaire prolongée secondaire à un bloc auriculo-ventriculaire complet. Plus rarement, il s’agit d’une torsade de pointe. [456] :ABCDE A - 15 % des cas, survenue sur coeur normal. B - Le dosage des hormones thyroïdiennes est systématique. D - Lors d’une diastole courte, le VG n’a pas le temps de se remplir, et le pouls de la systole suivante peut ne pas être ressenti. E - “Holliday heart’. [457] :AD A et D sont dépendants de la contraction auriculaire. [458] :C L’apparition d’un déficit sensitivo-moteur traduit en règle une ischémie déjà avancée. [459] :E Sans commentaire. [460] :D Artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade III. [461] :D Par ordre de fréquence : insuffisance aortique, insuffisance mitrale, plus rarement sur un rétrécissement aortique, exceptionnellement sur un rétrécissement mitral. [462] :E Dose de charge de xylocaïne en bolus (1 mg/kg) en une minute suivie d’une perfusion continue de 1,2 à 2 g124 h. [463] :ABCD Sans commentaire. [464] :ABE Les dissections aortiques de type I ou Il de De Bakey, c’està-dire intéressant l’aorte ascendante sont des indications chirurgicales. Les types III (D) ne sont pas des indications formelles. [465] :ACD Les autres causes classiques sont la maladie de Paget, l’anémie... [466] :ABCDE D et E sont des facteurs favorisant la survenue de thromboses veineuses profondes. [467] :ABDE A - La marche est indiquée pour augmenter la circulation collatérale. [468] :ACE E - Tension artérielle plus élevée aux membres supérieurs qu’aux membres inférieurs. [469] :ABDE Sans commentaire. [470] :ABCDE Sans commentaire. [471] :ABCDE A B C E - Par compression. E - Est observé le plus souvent après chirurgie aortique. [472] :AB - La sécrétion d’érythropoïétine se fait en quelques heures expliquant la hausse retardée des réticulocytes vers le cinquième jour. On ne doit pas se fier dans les premières heures à la mesure de rhémoglobine ni de rhématocrite. - L’hyperleucocytose apparaît au deuxième ou troisième jour. [473] :ABCDE Sans commentaire. [474] :ACDE A - Après la 24ème heure. B - Lésion de tuberculose. D - Thrombus intra-cavitaire au contact de la zone infarcie. [475] :BCDE Sans commentaire. [476] :BCD D - Pouls paradoxal = diminution du pouls à l’inspiration. [477] :BE Signes en rapport avec un surdosage ou une intoxication. [478] :AE A - Signes d’une dissection de l’aorte ascendante (atteinte du plancher sigmoïdien). E - Toujours rechercher une asymétrie tensionnelle aux deux bras. 26 [479] :AE A - Les formes rhumatismales représentent encore la première cause mais les formes dystrophiques sont de plus en plus fréquentes. E - Surcharge en volume, puis en pression. [480] :B Sans commentaire. [481] :C Ce trouble de conduction répond généralement bien à latropine. [482] :B Le tronc coeliaque est situé audessous des artères rénales. [483] :ABC B - Galop. C - 1M fonctionnelle. [484] :CDE A B - Compliquent la dissection de l’aorte ascendante. [485] :ABCD D - Syndrôme de Dressler survenant à la deuxième ou troisième semaine. E - Complique les infarctus inférieurs par atteinte ischémique du pilier postérieur. [486] :CDE A - Anomalie de la relaxation des fibres myocardiques avec élévation des pressions de remplissage du ventricule gauche. B - Au contraire, production de lactates. [487] :ABE B - C’est la pancardite (endocardite, myocardite, péricardite). C - Se sont évidemment les lésions cicatricielles qui sont à l’origine des valvulopathies Le BAV paroxystique peut être évoqué sur la brutalité de la syncope, qui explique la chute et la blessure et sur la durée brève de l’épisode sans amnésie postcritique. [496] :ADE La FA post-prandiale est plutôt de mécanisme vagal. Elle est classiquement à grosses mailles au cours du rétrécissement mitral. A D E sont vraies. [497] :ABE Les douleurs angineuses spontanées sont plutôt de mécanisme spastique , ce qui doit faire éviter l’emploi des bêtabloquants; on préfère dans ce cas utiliser les inhibiteurs calciques. La myocardiopathie dilatée représente une contreindication à l’emploi des bêtabloquants en raison de la baisse de la fonction VG. [498] [492] :BCDE :B L’intensité du souffle diastolique Les bêtabloquants n’affectent n’est pas un très bon gravité pas la conduction intraventriculaire ; par contre, ils d’insuffisance aortique. Néanmoins, un souffle dépriment la fonction sinusale diastolique intense et persistant et la conduction nodale. E est longtemps dans la diastole traduit vrai, car le vérapamil est un inhibiteur calcique, qui déprime en général une fuite plus fortement la conduction nodale importante qu’un souffle minime. L’abaissement de la PAD et et qui est inotrope négatif. l’augmentation de pression [493] différentielle sont des bons :A critères de gravité. Enfin, D et E Le jeune âge d’une part et traduisent le retentissement sur l’existence d’une insuffisance les cavités gauches. coronaire sont en faveur de [499] l’utilisation des bêtabloquants. :ABDE L’utilisation d’inhibiteurs calciques aurait pu se discuter. Une diplopie isolée n’est pas un signe classique d’accident [494] ischémique transitoire. :D [500] Il existe au contraire une :B augmentation de la vitesse du Sans commentaires. L’artère flux transmitral en raison de la centrale de la rétine est une diminution de la surface de branche de l’artère ophtalmique, l’orifice fonctionnel. A B C E ellemême branche de l’artère sont vraies. carotide interne. [495] [501] :E acquises. [488] :ABC D - L’absence de modifications ECG au cours dune crise dAngor” doit faire remettre en cause ce diagnostic. [489] :ABC D - Est une branche de la veine porte. E - Se jette dans 10G. [490] :B L’évolution dune thrombose veineuse se fait soit vers la mobilisation (embolie) soit vers la fibrinolyse physiologique, soit vers une réorganisation avec reperméabilisation secondaire. La suppuration est vraiment exceptionnelle. [491] :C Sans commentaire. 27 :A L’élévation massive et précoce des CPK à la suite d’une thrombolyse dans l’infarctus du myocarde est un des signes de reperfusion. [502] :B Les syncopes à l’emporte-pièce évoquent une origine cardiaque. Etant donné leur fréquence, un enregistrement de Holter permettra d’enregistrer un éventuel trouble conductif paroxystique contemporain de la syncope. En l’absence d’une fréquence aussi élevée de ces syncopes, une épreuve électrophysiologique sera plus contributive pour révéler un trouble conductif. [503] :D La rigidité musculaire est un signe de gravité au cours d’une ischémie aigué des membres inférieurs, qui traduit une ischémie critique avancée. [504] :D La phlébocavographie permet de dépister d’éventuels caillots flottants susceptibles d’être à l’origine d’une nouvelle migration pulmonaire. [505] :ACDE A et C par l’intermédiaire d’une migration d’un embol dans la circulation systémique, à partir de l’oreillette gauche ou de la poche de l’anévrisme. D peut donner une ischémie aigué au cours dune phlébite bleue (phlegmatia caerulea), et E par migration d’une végétation. [506] :ACD Lhéparinothérapie et le traitement vasodilatateur (papavérine) sont toujours de mise, mais D représente le traitement radical devant cette :BD Le flutter auriculaire est un trouble du rythme du à une macro-réentrée au niveau auriculaire avec une activité auriculaire à environ 300/min. La fréquence ventriculaire le plus [509] souvent à 1 50/min (conduction :BC La rupture et les accidents 2/1) est ralentie par les emboliques périphériques sont manoeuvres vagales qui de loin les complications les dépriment la conduction nodale. plus fréquentes d’un anévrysme Les digitaliques peuvent être de l’aorte abdominale. indiqués car ils diminuent la [510] conduction nodale. :BCD [516] L’existence d’un souffle sur un :ABD trajet vasculaire traduit un flux La première lettre indique la turbulent en raison d’une cavité stimulée, la seconde lettre sténose, qui dans ce cas peut la cavité détectée et la troisième se situer soit sur l’artère iliaque lettre le mode de fonctionnement. externe soit sur la fémorale I signifie que le pace-maker est commune qui la prolonge. inhibé par complexes [511] ventriculaires. :ACD [517] Le stade III est caractérisé par :AB des douleurs de décubitus des La syncope à l’emporte-pièce membres inférieurs soulagées d’Adams-Stokes est une perte de par la position jambe pendante connaissance brutale sans ou par la marche autour du lit. prodromes. [518] :D [512] A - Est quasiment toujours :BCD entendu. L’infarctus pulmonaire est un D - Est pathologique sur une infarctus rouge. valve de Starr aortique car traduit [513] une fuite aortique. :ACD [519] A est très fréquente. A rECG, :E on trouve des signes de surcharge droite aiguê. C traduit 1M fonctionnelle par dilatation de l’anneau mitral. rexistence d’une hypertension [520] artérielle pulmonaire. E se :C rencontre dans les C - Le click est mésosystolique. tamponnades ou les crises D - li s’agit en règle d’ESV. d’asthmes sévères mais pas [521] dans l’embolie pulmonaire. :A [514] De façon schématique: :ADE A - Membres inférieurs. Les autres signes sont les B - Cerveau. caractères de la douleur (pouvant classiquement devenir E - Coronaires. dorsale et descendante), l’existence dune asymétrie [522] tensionnelle et d’un souffle :B diastolique. B représente 10 % des [515] cardiopathies congénitales, ischémie d’origine embolique. [507] :E Sans commentaires. [508] 28 associe - CIV - sténose pulmonaire - dextroposition de l’aorte - hypertrophie du ventricule droit. C’est une cardiopathie cyanogène qui ne s’accompagne pas d’insuffisance cardiaque. [523] QUESTION ANNULEE. [524] :ABCE D - Le rapport efficacité/prix est inacceptable pour le dépistage d’une HTA réno-vasculaire. Faire un bilan biologique minimum avec F0, électrocardiogramme, radiographie du thorax. [525] :D A B C E peuvent favoriser la survenue de thromboses veineuses. [526] :C Sans commentaires [527] :C La thrombose est la complication de loin la plus fréquente de l’athérosclérose d’une artère. [528] :B Au cours d’une HTA maligne (PAD> 130 mmHg), le fond d’oeil montre classiquement un oedème papillaire (Stade IV). [529] :E La douleur d’infarctus du myocarde résiste à la trinitrine contrairement au douleurs angineuses classiques. [530] :A La question était sans doute: quelle est la proposition inexacte? La myocardiopathie chronique obstructive est une cause d’insuffisance mitrale chronique; B C D et E peuvent être responsables d’une 1M aigué, E par rupture de pilier par exemple. [531] :B Il s’agit d’une affection congénitale héréditaire et familiale due à la dégénérescence systématisée des fibres élastiques. [532] :E Cette maladie commence dans le jeune âge et se prolonge pendant toute l’existence. [533] :D Il est important de s’assurer de la perméabilité du réseau veineux profond avant dentreprendre toute éveinage chirurgical. La sclérothérapie des crosses de saphène interne donne des résultats moins bons et moins définitifs que la chirurgie et est susceptible de gêner un éveinage ultérieur. [534] :ABCE L’apparition de troubles sensitivo-moteurs au cours dune ischémie aiguê des membres inférieurs est un signe de gravité. L’acidose hyperkaliémique est à rechercher et à traiter immédiatement. Une thrombose veineuse massive haut située peut donner des signes dischémie (phlegmatia caerulea). Le pronostic dépend du lit d’aval et sera plus grave lorsque rischémie se produit sur un réseau normal dépourvu de circulation collatérale. Au cours d’une endocardite, une végétation peut emboliser dans la circulation systémique. [535] :ABCE La thrombose aiguê est rare mais peut réaliser un véritable syndrome de Leriche. Les compressions digestives de même que les fistules digestives se font en règle au niveau duodénal. [536] :BD Il existe plus fréquemment une défense abdominale à la palpation qu’une véritable contracture. [537] :BD L’angiographie est moins fiable car la poche est souvent le siège d’une thrombose qui diminue artificiellement le calibre intraluminal. [538] :AE Un AVC de moins de 3 mois et un ulcère duodénal non cicatrisé représentent des contreindications à un traitement fibrinolytique. La streptokinase peut donner des manifestations allergiques et il peut être utile de l’associer à un corticoïde injectable. Enfin, l’utilisation de streptokinase moins de 3 mois auparavant est plus une cause d’inefficacité qu’une réelle contreindication, en raison de la présence d’anti-corps. [539] :CD Les indications chirurgicales privilégiées au cours d’une endocardite peuvent être soit d’ordre hémodynamique (insuffisance cardiaque non contrôlée par le traitement médical) soit d’ordre infectieux (impossibilité de stériliser le foyer infectieux). [540] :BE Citons également les interventions neurochirurgicales (pénétration de l’air au niveau des sinus dure-mériens favorisée par la position assise) et de nombreuses chirurgies (cervicofaciale, pulmonaire, gynécologique). On peut la rencontrer au cours 29 d’avortements clandestins mais la grossesse normale ne se complique pas d’embolie gazeuse. [541] :BCD Au cours de BCD, le ventricule gauche est soumis à une surcharge supplémentaire de volume au cours de chaque diastole. [542] :BDE La sténose mitrale pure est très rarement le siège d’une greffe bactérienne. Il n’y a pas dendocardite sur CIA. [543] :CDE Le syndrome vagal est contemporain de la phase aiguê de l’infarctus du myocarde. Il saccompagne dune bradycardie, voire de troubles de conduction et dune hypotension qui sont améliorés par ratropine. [544] :AC Linsuffisance aortique est la valvulopathie qui est le plus souvent le siège d’une endocardite. Les végétations peuvent persister sous forme d’échos denses cicatriciels après la guérison de lendocardite. Contrairement à la bicuspidie, la CIA n’est jamais le siège d’une endocardite. Dermatologie [1] :AC A - Parmi les localisations caractéristiques de la gale, les faces latérales des doigts (espaces interdigitaux) où rexamen recherche la lésion spécifique : le sillon terminé par une vésicule perlée. B C D - La gale est une dermatose très prurigineuse et très contagieuse - Le prurit généralisé respectant le visage, souvent nocturne, est un signe capital; parfois existe la notion d’un prurit familial ou collectif. - La contagiosité surtout directe par contact cutané direct prolongé avec une personne infestée (contamination familiale ou sexuelle). E - Les nodules scabieux, très évocateurs du diagnostic, présents dans la région axillaire ou génitale (chancre scabieux du fourreau de la verge). [2] :ABCD L’eczéma évolue par poussées comportant typiquement 4 stades : érythème, vésicule, suintement, desquamation. Les lésions histologiques comportent: une spongiose, une exosérose, un infiltrat lymphocytaire et polynucléaire et, à un stade tardif, une parakératose. [3] :AC La roséole (1ère floraison de la syphilis secondaire) survient 45 jours après un chancre non traité sous forme de macules rondes, rose pâle (“fleur de pêcher”), non prurigineuses, du tronc. Le THPA est positif dans un délai de 12 jours après le chancre. Cette éruption doit faire rechercher - l’éventuelle cicatrice cuivrée du chancre - son adénopathie satellite - surtout les lésions muqueuses hautement contagieuses: plaques fauchées linguales, perlèche et laryngite. [4] :BD Les lésions secondaires au prurit sont : excoriations, dyschromies, surinfection (impétigo, folliculite), usure unguéale, lichénification. [5] :ABD Les dermocorticoïdes peuvent aggraver les lésions virales (Herpès, Zona, Molluscum contagiosum). Ils sont formellement contreindiqués dans la rosacée qu’ils améliorent (malheureusement) par leur effet vasoconstricteur et anti-inflammatoire. En dehors des dermatoses infectieuses et parasitaires, une troisième contre-indication est l’érythème fessier du nouveauné. [6] :ABD Les 3 complications majeures du psoriasis sont: I) L’érythrodermie psoriasique 2) Le psoriasis pustuleux 3) Le rhumatisme psoriasique (arthrite, spondylarthrite). [7] :E La pénicilline est inactive sur les trichomonas (protozoaires flagellés) et les chlamydia. Une salpingite ne doit pas faire l’objet d’un traitement minute ! ! Au traitement antibiotique de la skénite, il faut adjoindre le traitement du (ou des) partenaire(s), des conseils d’hygiène, la déclaration obligatoire n°30 non nominative, 1 une sérologie tréponèmique à Ji, J30, J50. [8] :ABC L’ecthyma est un impétigo creusant nécrotique, recouvert dune épaisse croûte noirâtre entouré d’un halo rouge. Il laisse toujours une cicatrice. II siège surtout sur la jambe, chez renfant en mauvaises conditions d’hygiène ou chez l’adulte dénutri, éthylique, diabétique, artéritique. [9] :ABCDE Evident. [10] :CD Un ulcère veineux est typiquement malléolaire interne, de grande taille, à bords propres, à fond rouge et bourgeonnant, peu douloureux, s’accompagnant de jambes lourdes, d’un oedème, malléolaire, de capillarite ectasiante avec télangiectasies en chevelu, de capillarite purpurique et lichenoïde, d’un pseudo-Kaposi veineux, d’une dermite ocre, d’une botte sclérodermiforme rétractile, de remaniements ostéoarticulaires de voisinages, et de varices. [11] :CE Le TPHA est positif 12 jours après le chancre, le VDRL, 20 jours après; ils sont donc tous deux positifs au 45ème jour, au début de la roséole. Les tréponèmes sont absents des lésions cutanées de la roséole mais, en revanche, fourmillent sur les plaques muqueuses. [12] :BC Dans le pemphigus vulgaire, il existe un dépôt d’IgG sur la substance intercellulaire déterminant histologiquement :D Lépithélioma baso-cellulaire a une évolution strictement locale (jamais de métastase ganglionnaire ou viscérale). Les muqueuses ne sont jamais atteintes. Le problème majeur est rimportance des récidives locales après traitement insuffisant. [18] :ABCDE Les aspects cliniques de reczéma sont polymorphes. [19] :ACD L’érythème noueux est une hypodermite septale sans vascularite. Parmi ces étiologies; on trouve: streptocoque, sarcoïdose, yersiniose, PIT, RCH, Crohn, Behçet, lèpre, médicament, chlamydia pistacci. Le cancer du pancréas peut déterminer une hypodermite sans vascularite. Des infiltrats nodulaires dermohypodermiques peuvent être rencontrés au cours de LLC. [20] :C La spongiose est la lésion histologique la plus constante, résultant d’un oedème interkératinocytaire (exosérose). [21] :D Les chlamydia sont des bactéries très fragiles intracellulaires obligatoires, se développant dans les cellules épithéliales. Les prélèvements doivent être riches en cellules. Chez l’homme, le prélèvement est endo-uréthral par écouvillon ou curette, chez la femme le prélèvement est endocervical. [16] La mise en évidence du germe :ABD se fait, soit par examen direct par Dans la varicelle, le prurit est coloration par MGG, ou mieux en maximal au stade de IF directe, soit par isolement sur dessication. cultures cellulaires (Mac Cay, Lintertrigo inguinal à Hela 29). Trichophyton Rubrum est souvent férocement prurigineux, [22] :E sa bordure est vésiculeuse. La corticothérapie locale est [17] une acantholyse et à l’IF directe une fluorescence en maille. Le taux d’anticorps antisubstance intercellulaire circulant reflète la sévérité et l’étendue du pemphigus. [13] :ACE Les vaginites à trichomonas représentent 20% des vaginites. Elles sont favorisées par l’hyperoestrogénie et l’alcalinité du milieu vaginal. La trichomonase masculine s’exprime par une uréthrite aiguê ou plus souvent subaigué compliquée de cystite, hémospermie, prostatite et balanite. Le diagnostic se fait par un examen direct à l’état frais entre lame et lamelle, mettant en évidence le protozoaire flagellé se déplaçant par saccades (celui-ci ne produit jamais de kystes). Le traitement est général et peut comporter FlagyI® ou Naxogyn® ou Fasigyne®. [14] :C L’atteinte du cuir chevelu est très fréquente et peut être isolée. Le psoriasis occipital est souvent prurigineux et lichénifié. Classiquement, le psoriasis respecte le cheveu et ne donne pas d’alopécie. [15] :E La verrue séborrhéique est une tumeur épithéliale bénigne, ne dégénérant pas. 2 contre-indiquée dans les dermatoses infectieuses. La seule indication dans un ulcère de jambe serait une cicatrisation hypertrophique ou un eczéma périulcéreux. [23] :ABCE Le traitement d’un impétigo comporte une antibiothérapie locale et générale, une antisepsie, une éviction scolaire jusqu’à la cicatrisation des lésions et le traitement des gîtes et des porteurs sains dans l’entourage. [24] :ABE Des ulcérations génitales chez un Européen n’ayant jamais quitté la métropole peuvent correspondre à : syphilis, chancre mou, maladie de Nicolas Favre, gale, aphtes, ulcérations, des ammoniums quaternaires, gangrène de la verge, épithélioma spinocellulaire et mélanomes malins ulcérés. [25] :C La dermatite atopique peut s’observer à tout âge. Typiquement, elle apparait le 3ème mois (jamais avant) chez le nourrisson. Les plis de flexion sont atteints préférentiellement. Des antécédents personnels ou familiaux d’atopie sont retrouvés dans 70% des cas. L’élévation des IgE est d’autant plus importante que la dermatite atopique s’associe à des manifestations respiratoires (asthme, rhinite allergique). [26] :E Paradoxalement, le psoriasis peut siéger dans les plis et prend le nom de psoriasis inversé. L’ongle psoriasique peut être atteint au niveau de la matrice ou au niveau du lit et de rhyponychium déterminant une onycholyse ou une hyperkératose sous unguéale avec pachyonychie. [27] :B Les coiffeurs sont principalement exposés au risque des dermites par irritation (thiaglycolates des permanentes et des shampooings) qui sont beaucoup plus fréquentes que les eczémas allergiques (teinture ayant une amine en para, gants de caoutchouc, nickel). Les allergies du personnel soignant proviennent des sulfamides, des phénothiazines, des antiseptiques (mercuriels, formol, ammonium quaternaire). [28] :B La topographie aux lobules de l’oreille et la face antérieure du poignet gauche (montre) est absolument typique d’une allergie aux bijoux de fantaisie contenant du nickel, auquel environ 10 % des femmes occidentales sont allergiques. [29] :ABCD Les germes responsables de l’impétigo sont : staphylococcus aureus et streptococcus pyogènes. Le risque de glomérulonéphrite aiguê postinfectieuse serait de 3%. Il n’a jamais été observé de RAA après un impétigo streptococcique (= antigènes neutralisés par les lipides cutanés ?). [30] :ACD Les signes en faveur de l’origine artérielle d’un ulcère de jambe sont: siège à la face externe de jambe, au tiers inférieur ou suspendu en plein mollet, douleur importante, bords abrupts, fond pâle ou escarrotique, fonte musculaire, peau fine délabrée froide, symptomatologie fonctionnelle d’artérite, abolition des pouls distaux. L’association ulcère artériel et pouls distaux bien perçus doit faire rechercher: I) “Des embolies de cristaux de cholestérol” qui associent en plus: des orteils pourpres, un livedo réticularis, une gangrène des extrémités et un syndrome douloureux important. 2) Un ulcère hypertensif de Martorell. [31] :ABCE Les pédiculoses pubiennes peuvent être considérées comme une M.S.T.. Les lésions de grattage occipitales d’une phtiriase du cuir chevelu peuvent s’impétiginiser. [32] :B Lérythromycine doit être administré à raison de 2g/j pendant 15 jours. Les tétracyclines sont efficaces mais contre-indiquées chez la femme enceinte. Le Bactrim®, la rifampicine sont dénués d’activité tréponèmicide. Les aminosides n’ont qu’une faible activité inhibitrice in vitro, à de très fortes doses incompatibles avec la pratique thérapeutique. [33] :ACDE Le cytodiagnostic de TZANCK met en évidence des cellules acantholytiques caractéristiques du pemphigus. La biopsie d’une bulle jeune permet de situer le clivage. On peut mettre en évidence dans le sang des anticorps antimembrane basale (pemphigoïde bulleuse). Une immuno-électrophorèse peut être utile au diagnostic d’une amylose bulleuse associée à un myélome. [34] :AC L’arthrite gonococcique atteint surtout la femme (85%). lI s’agit 3 la plus souvent d’une oligoarthrite asymétrique touchant les genoux, les poignets, les doigts et les chevilles. Il s’ associe très fréquemment une ténosynovite des extenseurs des doigts et du poignet, (des lésions cutanéomuqueuses, larges maculopapules à centre pustuleux). [35] :D Le chancre typique est une érosion superficielle, de 5 à 10 mm, ronde ou ovalaire, à contours très réguliers, à surface lisse vernissée, indurée et indolore. [36] :E Les dermocorticoïdes sont contre-indiqués dans les dermatoses infectieuses et l’acné. [37] :BC La durée moyenne d’incubation de la syphilis est de 3 semaines (10 jours à 3 mois). Le chancre est indolore. L’adénopathie est constituée de plusieurs ganglions durs indolores dont un est plus important que les autres. Des cellules ballonisantes au cytodiagnostic correspondent à un herpès génital. La streptomycine est inactive sur le tréponème. [38] :ACD Les éléments urticariens sont fugaces. Une atteinte des paumes et des plantes peutêtre constatée au cours de l’urticaire retardée à la pression. L’urticaire hémorragique, rare, est due à l’extravasation de globules rouges. [39] :ACDE La septicémie à gonocoques (atteignant à 85% la femme) associe un syndrome fébrile, une oligo-arthrite (genoux, apparition d’un nodule, prurit, douleur, réaction inflammatoire, saignement. [45] :ABD Le pemphigus est à l’origine de lésions buccales et oesophagiennes pouvant gêner ralimentation. [46] :BDE Le prurit de la dermatite atopique détermine des lichénifications importantes, elles-mêmes prurigineuses déterminant un cercle vicieux qu’il faut briser par des dermocorticoïdes et éventuellement des goudrons. [47] :ABD Le prurit des cholestases hépatiques survient qu’il y ait ou non ictère. Le prurit serait lié à une forme moléculaire particulière d’acide biliaire. Dans la maladie de Hodgkin, un prurit sévère inaccessible aux thérapeutiques usuelles est un facteur de mauvais pronostic. [48] :B L’origine médicamenteuse des urticaires serait la plus fréquente, [42] puisqu’elle interviendrait dans 30 :B La syphilis tertiaire peut donner à 50% des cas. Les anti-Hi sont le traitement de choix. une lésion hypodermique L’association à un anti-H2 na peu généralement unique = une ou pas d’intérêt. Le traitement gomme (histologiquement = repose avant tout sur l’éviction du hypodermite lobulaire sans facteur déclenchant. vascularite). [49] [43] :D :C 3 dermatophytes anthropophiles La perle est le signe sont le plus souvent en cause : pathognomonique = ferme, à surface lisse, parfois tr. Rubrum, e. floccossum, tr. télangiectasique ou pigmentée. interdigitale. [50] [44] :D :D L’étiologie d’une angiodermite La perle est un terme nécrotique peut être: appartenant à l’épithélioma I) Hypertensive = classique baso-cellulaire. Les caractères faisant redouter ulcère hypertensif de Martorell (les pouls distaux sont la transformation sont: conservés) augmentation de taille, ou polychromie, induration, poignets, doigts, chevilles), une ténosynovite des extenseurs du poignet, et du tendon d’Achille, de larges maculo-papules cutanées à centre pustuleux ou nécrotique au voisinages des articulations. La réponse à la pénicilline est spectaculaire. [40] :B Le traitement de l’herpès circiné repose avant tout sur les imidazolés locaux. Un traitement général par griséofuline ou kétaconazole est indiqué si les poils ou les duvets sont atteints. Nystatine et amphotéricine B sont inactives sur les dermatophyties. [41] :E Un ulcère de jambe peut se compliquer d’infection, d’hémorragie, de dermoépidermite (eczéma variqueux), de phlébites superficielles, de dermites érysipélatoïdes. de tétanos, de troubles ostéoarticulaires et de cancer cutané (épithélioma spino-cellulaire). 4 2) Artéritique. [51] :B La dermatite atopique atteint typiquement les plis de flexion. Elle est aiguê, suintante, microvésiculeuse chez le nourrisson. Chez l’adulte, elle est sèche, lichénifiée. [52] :B Le chancre syphilitique est typiquement une érosion superficielle de 0,5 à 2cm, arrondie ovalaire, à fond lisse vernissé, indolore, indurée, accompagnée d’une adénopathie satellite. Non traité, le chancre cicatrise en 4 à 8 semaines en laissant parfois une petite cicatrice, cuivrée. [53] :CE Les érythèmes scarlatiniformes constituent de vastes nappes rouge vif, sans espace de peau, saine, grenus à la palpation, évoluant vers la desquamation. Les étiologies sont: scarlatine, rash scarlatiniforme médicamenteux (B lactamines, sulfamides, salicylés, AINS, tranquillisants), septicémies à méningocoque, streptocoque ou staphylocoque, fièvre typhoïde, varicelle, vaccine, maladie de Kawasaki, réaction aigué de greffon contre hôte. A noter que le classique rash “morbilliforme” de la MNI (avec ou sans ampicilline) peut être scarlatiniforme. [54] :ABC Une adénopathie inflammatoire et fistulisée évoque soit le chancre mou (fistulisation par un seul pertuis), soit la maladie de Nicolas et Favre (fistulisation par multiples pertuis en pomme darrosoir). [55] :ABCDE Les facteurs étiologiques des épithéliomas cutanés sont: les radiations solaires (UVB surtout), les radiations ionisantes, l’arsenic, les hydrocarbures polycycliques, les génodermatoses (xéroderma pigmentosum, épidermo-dysplasie vérucciforme), lupus tuberculeux, lupus chronique, ulcère de jambe, lichen érosif... et les lésions préépithéliomateuses. [56] :C L’exanthème subit ou roséole infantile atteint les enfants de 6 à 18 mois. Evolue en plusieurs stades: I) Fièvre brutale à 39 - 40°C régressant brutalement le 3ème jour. 2) Dans un délai de 24 h après la défervescence thermique = éruption fugace de macules roses pâles du tronc. 3) Disparition de l’éruption dans un délai de 24 à 48 h. [57] :ABCDE Larsenicisme chronique donne plus fréquemment des épithéliomas spino-cellulaires. Il convient de rechercher dautres signes cutanés d’intoxication à l’arsenic = kératodermie palmoplantaire, saillies verruqueuses, dyschromies. [58] :C L’urticaire cholinergique représente 5 à 10% de tous les urticaires et 10% des urticaires. Elle est constituée de petites papules entourées d’un halo érythémateux siègeant sur la moitié supérieure du tronc, à la suite d’une hypersudation. [59] :E L’érythème noueux est une dermo-hypodermite nodulaire aiguê, siègeant sur les faces antérieures de jambe, supérieure et l’aile du nez, pouvant se compliquer après traumatisme de staphylococcie maligne de la face et thrombophlébite du sinus caverneux. [65] :C LAtarax® (antihistaminique), en raison de son action anticholinergique marquée, est [60] le traitement électif de l’urticaire :ACD cholinergique. Laspirine et tous les AINS sont [66] gastrotoxiques. :E Les anticoagulants peuvent La dermatite atopique de aggraver un saignement. l’adulte est responsable [61] typiquement de lésions sèches :ABCD lichénifiées, prurigineuses, des Lérysipèle est une dermite plis de flexions. Le prurit de la oedémateuse avec participation gale est généralisé. La lymphatique, due au trichophytie atteint plutôt les streptocoque B hémolytique du espaces interorteils et les plis groupe A. La pénicilline est le inguinaux. traitement de choix. Non traité, [67] chez un sujet débilité, révolution :ABCE pourrait se faire vers la La prostatite est une redoutable cellulite nécrosante. complication de luréthrite non [62] ou mal soignée. La grosse :BD bourse Les éléments en faveur de l’origine artérielle d’un ulcère sont transilluminante est un signe dhydrocèle (et non pas : siège sur la face externe de d’épididymite). jambe, douleur (de l’ulcère, de [68] claudication intermittente ou crampes de décubitus), peau fine : C E Une fausse sérologie positive délabrée froide, abolition des peut provenir de: pouls distaux. I) Erreur de technique (25% de [63] faux-positifs) :C 2) Etats pathologiques = En France, les drogues les plus collagénoses, vaccination, souvent responsables de stupéfiants, hémopathie, syndrome de Lyell sont dans brucelloses, l’ordre décroissant: AINS, leptospiroses, viroses, sulfamides, barbituriques, mycobactéries atypiques allopurinol, carbamazépine, 3) Grossesse = les noramidopyrine. tréponématoses endémiques [64] donnent de vraies sérologies :E positives. Le furoncle est une folliculite profonde et nécrosante due au staphylocoque doré. Sa [69] :ACE fréquence est augmentée en cas Les vergetures siègent sur les de terrain débilité ou diabétique. Une topographie dangereuse (le cuisses et l’abdomen lors de la corticothérapie générale. Les furoncle de la mort !) est la lèvre comprenant environ 3 à 10 éléments chauds et douloureux, évoluant vers la régression complète en passant par les différents stades de la biligénie (donc ni ulcération, ni cicatrice). Ce tableau survient dans un contexte grippal (fièvre, arthralgies, asthénie). 5 corticoïdes locaux ne donnent de vergetures qu’au niveau des grands plis en raison de l’occlusion. [70] :ABE La dermatite atopique détermine chez le nourrisson une atteinte des zones convexes du visage. L’atteinte des plis de flexion se voit surtout chez l’adulte et le grand enfant. Parakératoses achromiantes, pâleur du visage, pigmentation de la région orbitaire, deuxième pli palpébral inférieur (signe de DennyMorgan), dermographisme blanc etc... [71] :D L’intertrigo candidosique est ici typique. Il s’oppose au A- Psoriasis inversé = bien limité, érythémateux, diffus. B- Intertrigo trichophytique = fond du pli normal, bordure bien limitée, polycyclique, saillante vésiculeuse ou squameuse. C- Erythrasma, brun chamois, rouge corail en lumière de Wood. E. Eczéma allergique = vésiculeux et suintant. [72] :A Les bijoux de fantaisie contiennent du nickel, auquel environ 10% des femmes occidentales sont allergiques [73] :D Le FTA est positif le 10ème Jour; le TPHA le 12ème jour; le VDRL le 20ème Jour; le Nelson le 30ème jour. [74] :C Les lésions syphilitiques, à tous les stades, ne grattent pas. [75] :BDE Le chancre mou est à l’origine d’une adénopathie inguinale très inflammatoire à type de bubon, 10 jours après le chancre, menaçant de fistuliser par un seul pertuis. L’adénopathie syphilitique est ferme, indolore, mobile, non inflammatoire. [76] :B L’aspirine peut entraîner une urticaire par effet immunologique ou par histaminolibération directe. La sensibilité est croisée entre les benzoates et les dérivés de l’indométacine. [77] :C Lérythrasma est causé par corynébactérium minutissimum; les lésions cutanées sont des taches brunes chamois des plis inguinaux, parfois des aisselles. La fluorescence est rouge corail en lumière de Wood. Les topiques imidazolés sont efficaces. [81] :E L’oedème de Quincke atteint l’hypoderme, n’est pas prurigineux, mais donne une sensation de tension cutanée. Ses localisations muqueuses peuvent être graves avec troubles de la parole et de la déglutition, voire asphyxie si l’oedème siège sur la glotte. [82] :B Evident. Un épithélioma spinocellulaire n’a pas une évolution aussi aiguê. [83] :C C. L’érythème noueux est une dermo-hypodermite nodulaire. [84] :ABC Pemphigus = dépôts d’lgG et C3 sur la substance intercellulaire donnant un aspect en maille. Pemphigoïde bulleuse = dépôts d’lgG et C3 homogène et linéaire le long de la membrane basale. Dermatite herpétiforme = dépôts d’lgA le plus souvent au sommet des papilles dermiques. [85] :BE Les pustules du psoriasis sont des pustules non folliculaires amicrobiennes. [86] :E Sans commentaire (connaissance). [87] :B Lépithélioma baso-cellulaire a une malignité strictement locale. Il n’atteint jamais les muqueuses. [78] :E Le mycoplasme ne donne pas d’ulcération génitale. [79] :D La maladie de Weber Christian est une hypodermite lobulaire sans vascularite, qui donc s’oppose à l’érythème noueux, qui est une hypodermite septale sans vascularite. Les causes d’érythème noueux les plus fréquentes sont = streptocoque, sarcoïdose, yersinioses, PIT, RCH, Crohn, Behçet, médicaments (sulfamides, salicylés, pyrazolés, antibiotiques). [80] :B Chlamydia trachomatis serait responsable de 30 à 50% des uréthrites non gonococciques. Les chlamydia trachomatis de sérogroupe D et K peuvent entraîner une uréthrite et une conjonctivite (agent TRIC). Une [88] :C sérologie syphilitique est systématique devant toute M.S.T. La mélanose de Dubreuilh 6 évolue vers un mélanome malin invasif; ceux ci représentent 5 à 10% des mélanomes. [89] :D Les tests épicutanés utilisent dans un premier temps “une batterie standard” puis dans un second temps “une batterie orientée”. Ceux-ci se pratiquent en dehors de toute poussée, sur peau saine (sous peine de réaction très violente: “Angry Back”). [90] :B Le diagnostic dune grosse jambe rouge douloureuse pose souvent un problème. Les arguments en faveur de l’érysipèle sont ici la fièvre et la plaque limitée. Le traitement comprendra, de toute façon, pénicilline et traitement anticoagulant efficace. [91] :D Trichophyton schoenleini est responsable des teignes faviques, fréquentes en Afrique du Nord et en Europe Centrale. La lésion caractéristique est le godet favique. La lumière de Wood montre quelques cheveux fluorescents vert pâle. [92] :D Erysipelothrix rhusopathiae est responsable du rouget du porc. Pseudomonas aéruginosa est responsable au niveau de la peau, d’ecthyma gangréneux. [93] :C Une marge d’exérèse plus importante diminue les récidives locales, mais n’améliore pas la durée de survie. [94] :ACDE La Biclinocilline® s’emploie à la dose de 1 MU/J pendant 15 jours 1M. LExtencilline®, 2,4 M U ou 2 injections 1M à 1 semaine d’intervalle semble aussi efficace pour une syphilis primaire. En cas d’allergie à la pénillicine, on peut employer - érythromycine 500 mg 4 fois par jour pendant 15 jours - chlorhydrate de Tétracycline 2 g par jour en 4 prises pendant 15 jours (contre-indiqué chez la femme enceinte). [95] :AB Cliniquement, le staphylocoque donne des bulles plus flasques, claires, à base moins érythémateuse. Le streptocoque donne des éléments plus petits, plus vite troubles, sur base érythémateuse. [96] :BC Le chancre syphilitique est typiquement une érosion superficielle, ronde ou ovalaire, à contours très réguliers, de surface vernissée, de couleur rose, indolore et indurée. [97] :D La présence des pouls distaux élimine le diagnostic d’ulcère de jambe d’origine artéritique pure. Réponse difficile: mais n’exclue pas les ulcères artériolocapillaires (collagénoses, angiodermite nécrotique). La dermite ocre traduit une capillarité habituellement associée à une insuffisance veineuse. [98] :D La guêtre sclérodermiforme est une manifestation de stase veineuse chronique au même titre que la dermite ocre. [99] :B Sans commentaire. [100] :C Le streptocoque reste localisé 7 dans l’amygdale ou le pharynx, seule la toxine érythrogène atteint la peau. [101] :ABD La syphilis connaît une phase septicémique débutant avant la séroconversion, la sérologie de dépistage dans les banques du sang peut donc méconnaître une syphilis en phase présérologique. Le traitement d’une syphilis par tétracycline doit répondre à une posologie élevée (2g par jour pendant au moins 15 jours). Un traitement trop court risque de laisser évoluer à bas bruit une syphilis qui se révèlera au stade secondaire. [102] :AC Les localisations habituelles de la dermatite atopique du nourrisson sont: le visage (joues, front), sillon sous auriculaire, cuir chevelu, face d’extension des membres et siège. L’atteinte du pouce sucé est également décrite. [103] :ABE Dans le cadre de l’eczéma, des bulles peuvent être observées en cas de dysidrose mais sont inhabituelles dans la dermatite atopique. [104] :AC La gale épargne en règle le cuir chevelu, visage, cou et la partie supérieure du dos. [105] :AC Il existe des urticaires vésiculobulleux mais il s’agit là d’un aspect exceptionnel. [106] :ABD L’épithélioma basocellulaire ne se développe jamais sur les muqueuses. Sa malignité est uniquement locorégionale en particulier au visage en zone périorificielle. [107] :D C’est l’atteinte de tous les grands plis qui évoque le psoriasis. Dans le psoriasis inversé, les lésions siègent quasi exclusivement dans les plis. [108] :A Le psoriasis réalise sur la muqueuse génitale masculine une plaque érythémateuse bien limitée pas ou peu squameuse, d’évolution chronique sans tendance à rulcération. [109] :E La durée de l’affection permet d’écarter une dermatose primitivement infectieuse. Les propositions C et D ne permettraient aucunement de relier réruption à une toxidermie bulleuse. L’item E permettra de documenter une éventuelle bullose auto-immune. [110] :B Sans commentaire. [111] :E Sans commentaire. [112] :AC La localisation aux jambes n’est pas spécifique. L’histologie des nodules d’érythème noueux ne permet habituellement pas une orientation étiologique. [113] :ABCE La période d’incubation de la syphilis est classiquement de 21 jours.; elle peut être raccourcie jusqu’à une semaine en cas d’inoculation massive sur peau lésée ; elle peut être prolongée jusqu’à trois mois par une prescription d’antibiotique concomitante. [114] :BD Le test de Nelson se positive un mois après l’apparition du chancre. La culture du tréponème est impossible. [115] :A L’anthrax comme le furoncle sont uniquement staphylococciques. L’impétigo peut être mixte. [116] :E Chez la femme, la culture est indispensable en complément de l’examen direct. Le prélèvement sera fait au niveau de lurétre et l’endocol et non pas au niveau du vagin. [117] :E La lésion élémentaire de rimpétigo est une vésiculo-bulle qui secondairement se transformera en pustule. [118] :ABCE Classiquement les ulcères veineux purs ont un siège péri ou sus-malléolaire alors que les ulcères artériels siègent sous les malléoles et sur le dos du pied. L’indolence relative et le caractère superficiel de l’ulcère sont également évocateurs. [119] :ABC Connaissances. [120] :AC La marge anale est un gîte classique mais le terme “fesses’ est trop vague. [121] :ABC L’urticaire cholinergique représente une réaction réflexe à tout facteur induisant une élévation de la température du corps. [122] :BC La rhinite allergique témoigne du terrain atopique. L’ichtyose vulgaire existe chez 10% des patients porteurs de dermatite atopique. 8 [123] :B Cette localisation représente 30 à 40% des cas chez le caucasoide. [124] :C Sans commentaire. [125] :ACD LAphtiria® constitue un des traitements des pédiculoses et des phtiriases. Le Pévaryl® appartenant à la classe des imidazolés, possède une activité anti-mycosique à large spectre et une activité anti-bactérienne sur les cocci Gram (+). [126] :ABCE Il s’agit d’un diplocoque Gram négatif. [127] :ABc Dans la syphilis secondaire, toutes les réactions sont fortement positives. En cas de fausse sérologie positive, le VDRL est faiblement positif alors que les réactions tréponèmiques sont négatives. La syphilis tertiaire s’accompagne d’une sérologie souvent dissociée (VDRL négatif) et volontiers fluctuante. [128] :BDE Les réactions tréponèmiques sont le FTA, TPHA et Nelson. Les réactions non tréponèmiques comprennent le VDRL, KLINE, Bordet Wassermann. [129] :CD Au cours du Sida, l’herpès est volontiers extensif, ulcéro nécrosant. Le danger de l’herpès dans la dermatite atopique est le risque de Kaposi Juliusberg. Chez la femme enceinte rinnocuité de raciclovir n’est pas établie formellement cependant certains auteurs commencent à l’utiliser avec succès en fin de grossesse pour la prévention de l’herpès néonatal. [130] :ABCDE Les toxidermies ont des expressions très polymorphes parfois associées chez un même malade. [131] :AD Le TPHA est constamment positif au stade de la roséole syphilitique. [132] :B Le bacille de Dôderlein, commensal vaginal, s’oppose à la colonisation par les germes pathogènes tel que le gonocoque. Le diagnostic de vulvo-vaginite gonococcique est bactériologique : prélèvement uréthral endocervical. [133] :B Le titre du V.D.R.L. quantitatif est fidèlement corrélé à l’évolutivité de la maladie: diminution voire négativation après traitement efficace, réascension en cas de recontamination. En outre, cet examen est de réalisation simple et peu coûteuse. [134] :C (question difficile) L’histiocytofibrome (bénin) est de consistance très dure ; le naevus dysplasique est de coloration hétérogène. Une poussée de folliculite peut rendre un naevus douloureux. Cependant l’infiltration profonde peut s’observer dans le basocellulaire pigmenté simulant alors le mélanome malin. [135] :B La corticothérapie peut induire globulaire. [142] :ABE Les propositions C et D se [136] rapportent respectivement au :BCDE pemphigus et à la pemphigoïde C. Peut se transformer en bulleuse. mélanome. [143] [137] :B :AD Le nickel est un composant La gale épargne le cuir chevelu et la partie supérieure du dos. Un habituel des bijoux fantaisies (boucles d’oreille, bracelet prurit de ces régions fera montre). rechercher une pédiculose [144] associée. :E [138] La récurrence d’un herpès :D La mycostatine (Nistatine®) est la labial est un fait banal et sans aucune spécificité à l’occasion seule substance de la liste de tout épisode infectieux. Elle proposée, dépourvue d’activité est classiquement décrite dans contre les dermatophytes. les méningites à [139] méningocoques et les :B pneumonies à pneumocoque. La mycologie recherchera une Cependant chez le nouveau-né, candidose ou un dermatophyte: l’isolement d’un herpès virus à causes fréquentes dintertrigo partir de lésions cutanées, inguinal. La bactériologie peut souvent disséminées, est un être utile pour le diagnostic argument de valeur pour dérythrasma. En seconde intention devant un intertrigo non l’étiologie herpétique d’une méningoencéphalite. infectieux, la biopsie cutanée [145] s’impose. :A [140] La fréquence des naevo:D carcinomes ou mélanomes Les chlamydoses, en particulier dans leurs atteintes respiratoires, malins augmente avec l’âge. Incidence: 0,4/10 exposant 5 peuvent s’accompagner avant 20 ans puis augmentation d’érythème noueux mais les jusqu’à 16,4/10 exposant 5 au principales causes de ce symptôme restent la sarcoïdose, delà de 80 ans. la tuberculose, les streptococcies, les yersinioses et [146] :A les entérocolites inflammatoires. Sans commentaire. [141] [147] :BCE :A L’hyperalgie évoque davantage Les “iodides” sont des bulles un ulcère d origine artérielle ou une angiodermite nécrotique bien claires prédominant dans la bouche et aux plis. Si le que l’ulcère veineux surinfecté médicament nest pas arrêté, soit douloureux ; la topographie les lésions deviennent juxtamalléolaire (surtout interne) purulentes voire végétantes et s’oppose à la localisation ‘suspendue” des ulcères artériels ulcérées. Laspirine peut être ou capillaritiques. La dermite ocre responsable ‘dErythème pigmenté fixe’ à centre parfois traduit la stase veineuse bulleux. chronique avec extravasation la transformation en psoriasis pustuleux ou érythodermique. 9 [148] :A Sans commentaire. [149] :BD Il existe des lgG circulantes anti-membrane basale dans 70% des pemphigoïdes bulleuses. Dans les pemphigus, les lgG anti-substance intercellulaire (de répiderme) sont observées avec une fréquence variable. L’intérêt diagnostic de ces tests est modifié : faux positifs (épidermolyse bulleuse acquise, pemphigoïde cicatricielle...) et surtout: moindre sensibilité par rapport à l’immunofluorescence cutanée directe. [150] :ABE Larthropathie s’observe plus fréquemment chez les sujets HLA B27 (rhumatisme axial) ou B13, B17, B38, DR7, (Rhumatisme périphérique). La transformation pustuleuse est parfois déclenchée par rutilisation de corticoïdes par voie générale,.danti-paludéens de synthèse ou de topiques irritants. [151] :BCD Lulcération buccale nappartient pas au tableau des candidoses. [152] :BDE Les roséoles d’origine médicamenteuse sont plus volontiers prurigineuses que les roséoles ‘infectieuses. [153] :ABCE Les propositions A, B et C caractérisent lurticaire vraie mais manquent volontiers dans la vascularité urticarienne. [154] :C La dermo-hypodermite aiguê correspond à l’érythème noueux. Il n’y a pas de nécrose de lépiderme dans un érysipèle (peut se voir dans les cellulites où les tissus cutanés et souscutanés se nécrosent). D correspond au syndrome de Lyell. [155] :D Le grattage des lésions à l’aide d’un abaisse langue (par exemple) fait se détacher des squames en lambeau. [156] :B Evident [157] :ABC Les chéloïdes surviennent plus souvent sur peau noire. Au début, il y a accumulation de fibroblastes et de néocollagène progressivement remplacés par du collagène épais hyalin dorganisation irrégulière anormale. [158] :ABD L’érysipèle de jambe récidivant survient sur le terrain suivant : femme, obésité, diabète, oedèmes chroniques avec troubles circulatoires. L’érysipèle peut entraîner une décompensation du diabète. Le traitement associe une pénicillinothérapie IV (12 millions par jour en moyenne), une anticoagulation efficace, le traitement de la porte d’entrée par des soins locaux, une surélévation des membres pour éviter la stase. Un lever précoce, une mobilisation active rapide et le port dune contention élastique constituent la prévention des séquelles : le lymphoedème chronique source de récidive. Une antibiothérapie prophylactique est indiquée dans les érysipèles récidivants, par Oracilline® par exemple. [159] :ABCD L’urticaire n’est évidemment pas 10 responsable dintertrigos. [160] :AC Fièvre et arthralgies font partie du tableau de l’érythème noueux. L’histologie des nodules retrouve des infiltrats inflammatoires périvasculaires dermohypodermiques non spécifiques. [161] :BE La vaseline salicylée a pour but de décaper les squames épaisses. [162] :ACD L’histologie n’est pas spécifique d’une étiologie, elle confirme simplement la dermohypodermite nodulaire. Le dosage de l’enzyme de conversion se fait lorsque l’on suspecte une sarcoïdose (syndrome de Lfgren : IDR négative, adénopathies médiastinales, bilatérales symétriques). [163] :B Lexérèse totale est en pratique réalisée. Il est vrai que dans un centre spécialisé, devant une lésion douteuse de grande taille, une biopsie est possible avec éventuellement examen extemporané. Les thérapeutiques étant lourdes en cas de tumeur maligne (exérèse large pouvant nécessiter une greffe), il faut avoir un diagnostic avant de prendre une décision. [164] :C Les lésions cutanées des septicémies à gonocoques sont des lésions pustuleuses sur halo purpurique siégeant principalement aux extrémités (doigts, orteils, talons), aux poignets, aux genoux, près des articulations atteintes. Les lésions peuvent avoir un aspect nécrotique. [165] :ABCDE Cette question est très difficile car mal formulée ; il manque dans l’énoncé des précisions fondamentales : degré de la brûlure et brûlure traitée ou non. S’il s’agit d’une brûlure non traitée, on observe : une hémoconcentration avec hyperprotidémie, hypernatrémie, augmentation de l’hématocrite, l’hyperglycémie est possible (sécrétion dhormones hyperglycémiantes par le stress), la tendance est à ralcalose augmentée par rhyperventilation réactionnelle à la douleur. Si la brûlure a été traitée tous les items peuvent se voir; l’hyponatrémie signifie un remplissage excessif du patient. Lacidose ne doit pas se voir avec un traitement adapté. [166] :ABCDE Les cicatrices de brûlures sont souvent érythémateuses, dysesthésiques, prurigineuses dans certains cas elles sont hypertrophiques réalisant parfois des chéloïdes. Des zones hypopigmentées et hyperpigmentées sont habituelles. La cancérisation se voit surtout sur les grandes cicatrices (épithélioma spino cellulaires). La palmure cutanée correspond aux cicatrices rétractiles des brûlures des mains que le traitement doit tenter déviter. [167] :ABCE Les kérions sont dûes à des dermatophytoses zoophiles dont: - T mentagrophytes (chevaux) - T octracum (bovidés) - T verrucosum Les lésions siègent au cuir chevelu chez les enfants, au niveau de la barbe et de la moustache chez l’homme. Les lésions débutent par des plaques érythémato-squameuses qui se tuméfient, deviennent inflammatoires ; les orifices pilaires dilatés suppurent, les cheveux (ou poils) tombent. La tendance spontanée est la guérison avec cicatrices plus ou moins alopéciques. [168] :AD Evident. [169] :E L’impétigo est constitué de bulles sans cornées, très fragiles, dont le contenu se trouble rapidement ; elles laissent place à des érosions et des croûtes jaunâtres. Il peut y avoir des adénopathies satellites ; ce n’est pas ce qui caractérise l’affection. [170] :ABC C’est une dermo-hypodermite nodulaire aiguê. Les poussées se succèdent pendant 4 à 6 semaines en moyenne. La fièvre en général modérée, est habituelle. [171] :D Le baume du pérou est contenu dans les rouges à lèvres. accélérateurs. Le chrome est retrouvé dans les peintures, les résines pour le tannage, le collage du cuir, l’eau de javel, le ciment, le matériel d’imprimerie... Les résines époxydiques sont utilisées par les cordonniers. [174] :B Le tableau est caractéristique par l’aspect en cocarde des lésions, leur topographie symétrique, l’atteinte buccale. Un syndrome de Lyell peut débuter par un érythème polymorphe avec atteinte des muqueuses oculaires, buccales, génitales, (syndrome de Stevens Johnson); l’extension de l’érythème intense avec survenue de décollements cutanés en plages, atteignant plus de 1215 % de la surface corporelle, définit le syndrome de Lyell. [175] :B Il s’agit du développement autour d’un naevus pigmenté, d’un halo achromique rond ou ovalaire d’extension centrifuge. La dépigmentation débute à l’adolescence ou à l’âge adulte ; elle ne dépasse pas 2 cm de diamètre en général. Le plus souvent le naevus central pâlit puis disparaît. Il s’agit d’un phénomène bénin. [176] [172] QUESTION ANNULEE [177] :ACE Les intertrigos candidosiques sont favorisés par l’obésité, la macération, le diabète, l’hypersudation. En cas d’intertrigo interfessier, il faut rechercher et traiter une candidose digestive associée, souvent dans les suites d’une antibiothérapie. Au niveau des mains, l’atteinte du 3ème espace interdigital est QUESTION ANNULEE [173] :C Le Nickel est run des allergènes le plus souvent responsable des eczémas de contact (bijoux, pièces, clés, poignées de porte, bouton de jean). Dans les caoutchoucs synthétiques, rallergène est représenté par des substances ajoutées antioxydants, 11 d’une toxine érythrogène par certains streptocoques A. D peut être streptococcique, staphylococcique ou mixte. E nest pas une dermatose bactérienne. [181] :D Il n’est pas possible de débuter un traitement en l’absence de diagnostic. Le risque de surinfection étant très important, il faut assurer des soins antiseptiques. Léosine est un mauvais antiseptique. [182] :B L’atteinte des ongles se voit dans 20 à 50 % des cas ; elle est rarement isolée. Latteinte du cuir chevelu est également très fréquente et peut être isolée. [183] :ABCDE Les épithéliomas baso-cellulaires sont souvent multiples, ceci de façon concomitante ou successive dans le temps (10 à 30 %). [179] [184] :BE :CD Les bulles surviennent au Les chéloïdes sont des tumeurs centre de la cocarde. cutanées fibroblastiques soit La topographie aux membres post-lésionnelles (plaies, souvent de façon bilatérale et brûlures, lésions symétrique est très évocatrice inflammatoires...), soit genoux, coudes, paumes, plantes; les lésions peuvent être spontanées, plus fréquentes chez les noirs. Il s’agit d’une sclérose plus diffuses. hyaline du derme avec collagène Les atteintes muqueuses épais, hyalin, à disposition fréquentes sont inconstantes. irrégulière l’épiderme est normal L’atteinte associée de 2 muqueuses définit cependant le et il n’y a donc pas de risques de syndrome de Stevens-Johnson. cancers épithéliaux. [185] Le caractère hémorragique de :ABC la lésion est inhabituel. L’hématome sous unguéal est un [180] diagnostic fréquent mais il faut :AD toujours se méfier du mélanome B est une lésion croûteuse acral. chronique streptococcique La pigmentation progresse avec siégeant le plus souvent aux la repousse de l’ongle et elle ne membres déborde pas sur le versant inférieurs. cutané. L’exanthème de la scarlatine est en rapport avec la sécrétion très évocatrice ; il existe souvent des facteurs favorisants (gants de caoutchouc, ménagères, plongeurs, pâtissiers (rôle du sucre)) Au niveau des pieds, les dermatophytoses sont plus fréquentes. [178] :CD La prévention des récidives se fait par désinfection des gîtes microbiens par bains antiseptiques quotidiens et antibiothérapie locale (auréomycine) : narines, conduits auditifs externes, ombilic, anus, cicatrices d’anciens furoncles. Il faut rechercher un diabète par principe mais il n’est pas habituel. Les furoncles de la face se traitent par antibiothérapie générale compte tenu du risque de staphylococcie maligne de la face. 12 Un naevus pigmentaire peut apparaître au cours de la vie. [186] :ACD La pemphigoïde bulleuse, affection du sujet âgé le plus souvent, se caractérise par la survenue dun prurit, de lésions urticariennes sur lesquelles se développent des bulles à contenu citrin. La bulle est en rapport avec un clivage au niveau de la jonction dermo-épidermique sous l’action d’anticorps antimembrane basale ; on retrouve en immunofluorescence directe des dépôts d’lgG et de C3 le long de la membrane basale. Les anticorps anti-substance intercellulaire sont retrouvés dans le pemphigus. Lhyperéosinophilie se voit dans environ 50 % des cas. Le traitement de cette affection repose sur la corticothérapie générale et les soins antiseptiques. La corticothérapie locale peut être utilisée dans certaines formes localisées. [187] :AC Le prurit de la gale à prédominance nocturne (fin de soirée, nuit) respecte en général la face, le cuir chevelu et le dos. [188] :B Il n’est pas question de pratiquer une exérèse large en l’absence de diagnostic. Si la lésion s’avère être un mélanome, on reprendra avec une marge, fonction de l’épaisseur de la lésion. En cas de lésion de grande taille de diagnostic clinique non évident, une biopsie est réalisable afin d’en confirmer la nature et de décider de la thérapeutique à adopter; ce geste n’est pas contre-indiqué ; cependant lorsque la lésion est petite, il est aussi simple de l’ôter en totalité. [189] :A Le psoriasis donne au niveau du gland des taches érythémateuses bien limitées, peu ou pas squameuses, d’évolution chronique. [190] :A On peut également faire un cytodiagnostic à la recherche de cellules ballonisées, multinuclées avec des inclusions intranucléaires (réponse en 10 mn). Une immunofluorescence peut être pratiquée ; elle détecte l’antigène viral avec des anticorps monoclonaux ; elle peut se faire sur les prélèvements ou les cultures. Elle est rapide (1 à 2 heures), spécifique et permet de différencier HSV1 et HSV2. La sérologie n’a aucune valeur dans l’herpès récidivant. [191] :ABCDE Affection très contagieuse (petites épidémies scolaires). L’impétigo est streptococcique, staphylococcique ou mixte. La bulle sous-cornée très fragile se rompt vite laissant des érosions et des croûtes jaunâtres caractéristiques. Les lésions sont localisées autour du nez et de la bouche. L’affection traitée est bénigne. La glomérulonéphrite peut compliquer les formes prolongées non traitées. [192] :ABC L’histamine est le médiateur qui joue un rôle majeur dans cette affection. Elle est apportée par l’alimentation ou fabriquée, stockée, puis libérée par les mastocytes, les polynucléaires basophiles et bien d’autres cellules. Une poussée d’urticaire se signes mineurs peuvent se voir chez l’atopique : dermatite des mains, chéilite, Pytiriasis alba, kératose pilaire, pâleur faciale, pigmentation péri-orbitaire, dermographisme blanc.... [195] :D Une fluorescence rouge corail est obtenue. [193] [196] :ABCD :BD cette affection atteint le plus souvent des sujets entre 20 et 40 Il s’agit d’un furoncle de la base d’un cil ; un oedème ans. inflammatoire de la paupière Léruption est précédée de prurit peut s’y associer. ou de sensations de brûlure ; [197] puis viennent des lésions :CD érythémateuses ou papuleuses Cette affection est une urticariennes surmontées de rickettsiose (R. conori) vésiculo-bulles. saisonnière (été - automne) Les lésions sont groupées en transmise par une piqûre de médaillon, en anneau et sont le tique. plus souvent symétriques. La Après une incubation de 4 â 10 topographie préférentielle est la jours surviennent: fièvre élevée, face d’extension des membres. céphalées, arthralgies, L’histologie montre un exanthème. décollement au niveau d’une L’escarre noirâtre est situé sur papille dermique et les parties découvertes ou aux l’immunofluorescence directe plis de flexion, sur le scrotum, retrouve des dépôts granuleux au cuir chevelu, ou rétro d’lgA et de C3 au sommet des auriculaire (enfant). papilles dermiques. L’affection est constamment associée â une La lésion unique est indolore entéropathie au gluten ; elle peut recouverte d’une croûte noire adhérente. être également associée â [198] d’autres maladies dysimmunes. :BDE Les sulfones représentent le Le purpura rhumatoïde touche traitement de choix. Le régime l’enfant et l’adolescent. sans gluten permet la correction Il s’agit d’un purpura vasculaire des désordres intestinaux et le par vascularite ; l’histologie contrôle de l’éruption avec une cutanée peut retrouver une dose moindre de sulfones. vascularite allergique avec [194] dépôts d’lgA. :BcE L’atteinte rénale (50 % des cas La peau de l’enfant atopique est très sèche (xérose voire ichtyose environ) se traduit par une hématurie, une protéinurie, vulgaire). Il n’y a pas de rarement par un syndrome kératodermie palmaire mais une néphrotique par hyperlinéarité palmaire. glomérulonéphrite segmentaire L’existence d’un ou deux plis au et focale avec dépôt d’lgA. niveau de la paupière inférieure [199] (pli de Dennée-Morgan) correspond â l’accentuation d’une : D Lorsque le psoriasis se particularité anatomique par le processus inflammatoire. D’autre manifeste comme un intertrigo traite par anti-histaminiques per os ; en topiques, ils sont inefficaces et peuvent être responsables d’une sensibilisation. La corticothérapie par voie générale est réservée aux formes graves (oedème de Quincke). 13 peuvent être disséminées ou plus localisées et ont une prédilection pour les régions palmo-plantaires et péri-orificielles. Deux caractères sont importants : induration et absence de prurit. [203] :BCD Les diabétiques sont un terrain favorisant la survenue des érysipèles, mais tous les érysipèles ne révèlent pas un diabète latent. [200] La stase lymphatique est un :ABCDE facteur de récidive. La porte La principale complication d’entrée (souvent un intertrigo, un initiale des brûlures graves ulcère) doit être traitée. étendues est l’hypovolémie. [204] Secondairement le risque :ABCDE infectieux devient majeur doù L’impétigo est une dermatose l’importance des soins locaux. streptococcique staphylococcique [201] ou mixte, très contagieuse :BCDE Les complications infectieuses (petites épidémies scolaires). L’éviction scolaire est conseillée sont fréquentes ; l’ulcère peut jusqu’à cicatrisation. être la porte d’entrée d’un L’affection débute par des bulles érysipèle, d’une gangrène à contenu clair, serties d’un halo streptococcique, dune érythémateux, sans cornées septicémie, du tétanos (vaccination indispensable). Les donc fragiles. La bulle se rompt rapidement laissant des érosions hémorragies en jet ou en et des croûtes jaunâtres nappes sont rares. La dégénérescence maligne n’est mellicériques. C’est le plus souvent à ce stade que l’on voit pas exceptionnelle et une l’enfant. biopsie s’impose devant un La localisation des lésions est ulcère dont les bords péri-orificielle (autour du nez et deviennent anormalement de la bouche) mais d’autres bourgeonnants. régions peuvent être concernées [202] par auto-inoculation (cuir :BE chevelu, pieds). L’incubation de la syphilis est Une glomérulonéphrite peut en moyenne de 3 semaines. compliquer les formes Les syphilides font partie de prolongées mal traitées ; par tableau de la phase Ilaire en contre il n’y a jamais de RAA 2ème floraison (la première dans es suites d’un impétigo. correspondant à la roséole [205] survenant 6 semaines après le :BC chancre). Ces syphilides L’agent de l’herpès circiné est un surviennent après une phase de latence, entre le 9ème mois dermatophyte ; tous peuvent être et le 12ème mois de la maladie. responsables (M.canis T.Rubrum, T.mentagrophytes, Elles peuvent prendre des E.floccosum...). La lésion initiale aspects multiples et variés : est une tache érythémateuse croûteuses, acnéiformes, séborrhéiques, psoriasiformes, prurigineuse à centre squameux, végétantes, ulcéreuses... Elles à bordure vésiculeuse et chronique, il atteint les plis interfessiers, inguinaux, la région génitale, l’ombilic, les plis sous-mammaires et éventuellement les espaces inter digito-plantaires. les creux poplités et axillaires sont rarement atteints. Les trichophyties n’atteignent pas tous les plis en même temps. 14 d’extension centrifuge. Au cours de l’évolution, le centre à tendance à pâlir prenant une teinte bistre : guérison centrale. Se traite par des imidazolés en applications locales. [206] :B Le rash de la scarlatine est une éruption rouge intense sans intervalles de peau saine, d’aspect rugueux au toucher, siégant sur le tronc, les racines et particulièrement intense au niveau des plis. Une desquamation particulière y fait suite du 8ème au 30ème jour. [207] :D Au cours de l’évolution, les lésions passent par toutes les couleurs de la biligénie locale mais n’évoluent jamais vers l’ulcération. [208] :C L’herpès circiné est dû à un dermatophyte. [209] :D La présence d’anticorps antisubstance intercellulaire est le mécanisme physiopathologique responsable des bulles du pemphigus, avec phénomène d’acantholyse. [210] :D L’incubation de la syphilis primaire est de 3 semaines. Le chancre est classiquement indolore, superficiel, induré à la palpation, à fond propre. Les adénopathies satellites sont fermes indolores et n’évoluent pas vers la fistulisation contrairement à celles qui accompagnent le chancre mou (à hémophilus Ducreyi). [211] :D Les tests épicutanés se présentent sous la forme de patch contenant les allergènes, sensibilisation à cet allergène. [219] :A Les trois premières causes sont le syndrome de Lôfgren, la primoinfection tuberculeuse, les streptococcies. Nombreux érythèmes noueux restent d’étiologie non retrouvée. [220] :C C’est à la phase suintante et croûteuse que les surinfections surviennent le plus souvent. [221] :E Les épithéliomas baso-cellulaires ne donnent pas de métastases. Certains, particulièrement agressifs, ont une extension locorégionale majeure (épithéliomas baso-cellulaires térébrant) pouvant entraîner de sévères complications voire la mort. [222] :B Par opposition au chancre syphilitique, le chancre mou du à hémophilus Ducreyi, est douloureux, à base non indurée, à fond sale, saccompagne dadénopathies inflammatoires douloureuses avec péri-adénite qui évoluent vers la fistulisation. L’incubation est de quelques jours, (2 à 5 environ). [223] :CE La trichotillomanie (tic [217] d’arrachage) se voit plutôt chez :B l’enfant et l’alopécie guérit à Les plaques de proriasis l’arrêt du tic. Les teignes érythémato-squameuses, sont très bien limitées, non infiltrées tondantes sèches (microsporiques et et épargnent le visage ; par contre l’atteinte du cuir chevelu trichophytiques) n’entraînent pas d’alopécie définitive (guérison est fréquente. avec le traitement ou [218] spontanément à la puberté). Les :A Les épidermotests (patchtests) teignes faviques (Kérion) donnent permettent de mettre la peau au des alopécies cicatricielles définitives. La pseudo-pelade contact des allergènes (quelle soit idiopathique, ou en suspectés, dobserver les rapport avec un lupus, un lichen, réactions (érythème, une sarcoïdose...) est vésicules...) à un allergène responsable dune alopécie donné, et d’affirmer une qui sont disposés en général sur le tégument du dos, laissés en place et observés à 48 et 96 heures pour dépister érythème, infiltration, papules, vésicules. [212] :E Les piqûres de puce donnent des papules ou papulovésicules des zones couvertes, de disposition linéaire. [213] :ABCD Si lacyclovir semble avoir une action sur les douleurs à la phase aigùe du zona, en revanche il n’a pas d’action préventive sur les algies postzostériennes. [214] :C L’impétigo est une dermatose streptococcique, staphylococcique ou mixte. L’impétigo, primitif chez l’enfant est le plus souvent secondaire à une dermatose prurigineuse chez l’adulte (impétiginisation). [215] :C Les hémorragies muqueuses s’observent dans les purpuras thrombopéniques. [216] :C Le rôle oncogène de certains papilloma virus est certain. 15 cicatricielle donc définitive. Par contre l’alopécie de la pelade n’est pas une alopécie cicatricielle mais certaines pelades (en particulier pelades décalvantes totales) ne guérissent pas et donc l’alopécie y est définitive (question mal posée ; cicatricielle devrait remplacer définitive). [224] :BCDE Fréquent, l’urticaire cholinergique fait de petites papules situées surtout à la partie supérieure du tronc, survient après toutes les causes d’élévation de la température interne : effort, exposition à la chaleur, prise de boissons chaudes, émotions. [225] :ACE L’éruption débute derrière les oreilles, autour de la bouche puis s’étend, descend sur le reste du tégument en 2 à 4 jours. Elle n’est pas prurigineuse, comme la majorité des éruptions virales. La desquamation importante secondaire au rash, se voit dans la scarlatine. [226] :ABCE La sérologie na d’intérêt que pour confirmer le diagnostic de primo-infection (titre multiplié par 3). Dans les récurrences le taux d’anticorps ne varie pas de façon significative. [227] :BC La gale norvégienne se développe chez les sujets immuno-déprimés ; elle se caractérise par des lésions croûteuses disséminées remplies de sarcoptes scabiei ; elle est donc très contagieuse. Elle est peu prurigineuse. [228] :ABE Le bourrelet est individualisé surtout dans les érysipèles du visage; il est rarement observé au niveau des jambes. Les hémocultures sont inconstamment positives. Les streptococcies cutanées ne se compliquent jamais de RAA. [229] :B Le candida albicans peut donner chez le petit enfant une atteinte génito-fessière à début péri- anal avec plages érythémateuses surmontées de vésicules, bordées d’une collerette desquamative. Il ne s’agit pas d’un rash scarlatiniforme. [230] :C A, B : Sont les caractères principaux du prurit de la gale. Le visage, le cuir chevelu, sont respectés. Le chancre scabieux est une localisation fréquente chez l’homme adulte, qui peut aider au diagnostic. [231] :B Lévolution des épithéliomas spino-cellulaires est lente. Les premières métastases sont ganglionnaires ; les métastases viscérales sont inconstantes et tardives. [232] :D L’agent de la gale est sarcoptes scabiei. La contamination se fait le plus souvent par contact intime (rapports sexuels), plus rarement par de la literie contaminée (draps, vêtements). [233] :CDE Le visage et le cuir chevelu sont respectés. Les paumes et les plantes également, sauf dans la gale du nourisson. [234] :ACD La gale est due à sarcoptes scabiei et non à un poux. Il existe 3 variétés de poux chez La congestion active et l’oedème initiaux, gênent plutôt la cicatrisation. [241] :E Le caractère chronique de l’éruption bulleuse fait demander un examen histologique avec immunofluorescence à la recherche d’une maladie bulleuse auto-immune (type pemphigus ou pemphigoïde bulleuse). [242] :CE Le facteur pronostic le plus [236] important est l’épaisseur; en:ABCE dessous de 0,75 mm, les Les teignes tondantes sèches métastases sont très rares. Les (microsporiques ou autres facteurs sont: niveau trichophytiques) atteignent souvent l’enfant, guérissent sous d’envahissement du derme, traitement ou spontanément à la une ulcération de la lésion, l’activité mitotique, le type puberté. L’alopécie non clinique (SSM, nodulaire...), la cicatricielle (par opposition à l’alopécie des teignes faviques et localisation (dos, bras, cou, cuir chevelu de moins bon de certaines teignes suppurées) pronostic), le sexe (survie n’est donc pas définitive. inférieure chez l’homme) et [237] bien sûr le stade clinique :E (ganglions, métastases). Le nickel est responsable d’un [243] grand nombre d’eczémas de :DE contact; on peut citer: eczéma Le mélanome malin peut être aux bijoux fantaisies (boucles d’oreilles, montre), ou bouton de achromique, est rare chez l’enfant, survient le plus Jean. souvent de novo, en peau [238] saine. Les localisations :B muqueuses, rares, sont Nombreux intertrigos inguinaux sont mycosiques : candidosiques, particulièrement graves. li semble que les expositions dermatophytiques. Le solaires intenses et non prélèvement mycologique est l’accumulation d’expositions donc le premier examen à faire. répétées soient incriminées [239] dans la genèse du mélanome. :D [244] L’acné rosacée (qui devrait :ACD d’ailleurs être appelée rosacée) est une pathologie atteignant plus Les kératoses actiniques sont susceptibles de se transformer volontiers la femme entre 30 et en épithéliomas baso ou 50 ans, associant érythrose spinocellulaires. Les cornes faciale, couperose, cutanées peuvent se papulopustules sans substrat transformer en épithélioma comédonien. spino-cellulaire. Les [240] leucoplasies évoluent le plus :ABC l’homme : pédiculus capitis, pédiculus corporis et phtirius inguinalis agent de la phtiriase pubienne. On peut trouver au niveau des cils des poux de cuir chevelu, exceptionnellement phtirius inguinalis. [235] :BCDE Lascabiol doit être utilisé avec prudence chez le petit enfant en raison de sa neurotoxicité limitation du nombre d’applications et / ou réduction du temps de pose. 16 en rabsence de signes cliniques, la biopsie intestinale montre une atrophie villositaire à divers degrés selon les patients. [245] [252] :BCE :B Les naevi congénitaux se compliquent plus fréquemment La furonculose est staphylococcique. de mélanome que les naevi [253] acquis. :ABC [246] Sans commentaire. :C [254] Les psoriasis pustuleux :ABDE localisés sont le plus souvent - La perle constitue lélément palmo-plantaines; il existe une sémiologique de base des forme généralisée grave. Les rétinoïdes ont considérablement épithéliomas baso-cellulaires. - Lextension locale peut dans amélioré le traitement de ces certains cas être très importante, formes pustuleuses. entraînant de sévères [247] complications voire la mort. :B Seul érythème pigmenté fixe est - Les deux traitements les plus souvent utilisés sont la chirurgie obligatoirement d’origine médicamenteuse (barbituriques, et la radiothérapie. paracétamol, phénacétine, AINS, sulfamides...). Il s’agit [255] :ABC d’une toxidermie faite de - D E. Orientent vers un purpura plaques peu nombreuses thrombopénique. (souvent unique) maculeuses, - La vascularite peut survenir érythémateuses bien limitées alors que le traitement est déjà qui se pigmentent surtout au arrêté ; (souvent 2 à 3 semaines cours des récidives qui après). surviennent au même endroit. [256] [248] :ABC :D C’est dans rinsuffisance rénale Il faut devant une lésion chronique que l’on retrouve un chronique de la lèvre penser avant tout à une leucoplasie ou prurit. On peut citer d’autres à un carcinome spino-cellulaire. causes : diverses hémopathies, certains cancers, l’hyperthyroïdie [249] (Basedow), une intolérance :D médicamenteuse, certaines Evident. parasitoses, Ihémochromatose... [250] [257] :D :D Les ulcères dorigine artérielle La biopsie cutanée pour examen sont suspendus (jambe) ou histologique et distaux (pied). La face interne du 1/3 inférieure de jambe est la immunofluorescence directe sont indispensables devant le localisation la plus classique des ulcères d’origine veineuse. caractère chronique de l’affection pour orienter ou affirmer le [251] diagnostic. :E [258] C’est la dermatite herpétiforme et non la pemphigoïde bulleuse : A - Lacantholyse est représentée qui est associée à une entéropathie au gluten ; même par un détachement des cellules souvent vers un épithélioma spino cellulaire. 17 épidermiques par rupture du système de cohésion. Elle se voit dans le pemphigus, bullose auto-immune due à des anticorps anti-substance intercellulaire. - B C D E. Le décollement est entre le derme et l’épiderme et non intra-épidermique. - Le pemphigus séborrhéique est une variété de pemphigus : décollements très superficiels, lésions érythémato-squamo croûteuses des zones séborrhéiques du visage et du tronc, respect habituel des muqueuses. [259] :AD La roséole survient 6-8 semaines après le chancre, se compose de macules rosées sur le tronc. Elle passe souvent innaperçue. TPHA, VDRL, FTA sont positifs. [260] :ABCD On ne donne jamais d’antiinflammatoires non stéroïdiens dans une infection cutanée (risque d’extension avec symptomatologie abatardie). L’impétigo est contagieux. [261] :ABDE L’atteinte du cuir chevelu réalise une alopécie en clairière, temporale. [262] :AC B. Est évocateur de récurrences herpétiques. [263] :ABE Question mal posée. La(les) adénopathie(s) qui accompagne(nt) le chancre sont soit unique, soit multiples, l’une étant de volume plus important (dénommée “préfet de l’aine”). Elles n’ont pas de caractère inflammatoire. [264] :A La primo-infection herpétique se fait au niveau d’un site (gingivostomatite ou aires génitales). Laphtose est buccale ou bipolaire (buccale et génitale). Le pemphigus débute souvent par des bulles puis des érosions buccales ; les localisations génitales, oculaires sont plus rares mais peuvent survenir au cours de l’évolution de la maladie. Les atteintes muqueuses de la pemphigoïde bulleuse sont rarement initiales (bouche, nez, oesophage surtout). [265] :ABCD Question mal posée. Ils sont assez souvent multiples si on suit les patients dans le temps (survenue dautres lésions). Au moment du diagnostic d’un basocellulaire, il est le plus souvent unique. [266] :ABCD Il faut le rechercher dans les sites préférentiels du psoriasis des plis (dit psoriasis inversé) plis inguinaux, inter-fessiers, région génitale, ombilic, espaces interdigitaux plantaires, plis sous-mammaires. L’atteinte des ongles peut s’observer dans tous les types de psoriasis, voire être isolée. Il existe des psoriasis palmoplantaires. [267] :ABCE Le prurit de la maladie de Vaquez est souvent un prurit à l’eau, surtout l’eau chaude. Un prurit sévère et rebelle aux antiprurigineux est un argument de mauvais pronostic dans une maladie de Hodkin. [268] :AC Sans commentaire. [269] :BD :CD Sans commentaire. La kératose du fumeur siège préférentiellement sur la lèvre inférieure. [278] :CE A B D Evoquent plutôt une origine artérielle. [279] :C Il faudra rechercher une hypertrichose malaire associée évocatrice du diagnostic. A B D - N’ont pas de localisation élective aux mains. [280] :C Langiodermite nécrotique donne des ulcères douloureux d’évolution rapide, à bordure violacée, suspendus. Elle correspond à une vascularite et se voit sur un terrain particulier (HTA, diabète). [281] :C Par argument de fréquence. [282] :AC B - Donne des sensations de [274] brûlures, voire de douleurs. :BCD [283] La surinfection peut survenir sur :ABCDE des ulcères artériels ou veineux. Il s’agit d’une vascularite avec La dermite ocre (troubles donc un purpura vasculaire : trophiques de la maladie postpalpable, infiltré. La fièvre, les phlébitique) évoque plutôt une arthralgies font fréquemment origine veineuse. associées. Le purpura siège [275] plus volontiers aux zones :ABCDE déclives (non spécifique de Le chancre scabieux est à cette affection). Les atteintes rechercher chez l’homme au extracutanées les plus niveau du gland, localisation fréquentes sont digestives et classique. rénales. [276] [284] :CD :ABCDE La lèvre inférieure est plus souvent atteinte (facteurs locaux : L’impétigo ne se complique pas de RAA mais peut se tabac). Il s’agit dans 95 % des cas de carcinomes épidermoïdes compliquer de GNA. L’isolement (spino-cellulaires). L’extension (éviction solaire) s’impose ganglionnaire inconstante n’est jusqu’à guérison des lésions en pas spécialement tardive. [277] A C - Ne sont pas efficaces sur les dermatophytes. E - Non plus, et de toute façon n’est pas absorbée. [270] :D Sans commentaire [271] :E La cause la plus fréquente est le syndrome de Lbfgren (sarcoïdose). [272] :A C’est un intertrigo le plus souvent inguinal, dû à corynebacterium minutissimum. Le pityriasis versicolor (qui atteint la partie haute du tronc) donne une fluorescence verte. [273] :A La peau devient fine, parcheminée, fragile, avec visualisation des axes vasculaires superficiels. S’y associe fréquemment un purpura ecchymotique, des télangiectasies. 18 raison de l’importante contagiosité. [285] :ABCE Les épithéliomas basacellulaires de type pagetoïde siègent essentiellement sur le tronc (plages rosées avec surface mouchetée, squames, croûtelles, de contours très nets). C Sont les épithéliomas basocellulaires tatoués. [286] :ABDE Les bulles de rimpetigo sont très superficielles, elles ne laissent pas de cicatrices. Chez radulte, un impétigo (prenant plutôt le terme d’impétigination), doit faire rechercher une dermatose prurigineuse sousjacente (gale, eczéma). [287] :C La maladie de Paget traduit un envahissement épidermique par des cellules tumorales dun epithelioma galactophorique, sous-jacent. [288] :E Une syphilis traitée très précocement ne laisse pas de cicatrice sérologique. [289] :D Il existe des formes pustuleuses de psoriasis (psoriasis pustuleux palmo-plantaire, psoriasis pustuleux généralisé) avec des pustules amicrobiennes. [290] :C Lévolution chronique, récidivante d’ulcérations buccales et génitales fait rechercher une aphtose, une maladie de Behcet. Les candidoses donnent une balanite et ne donnent pas d’ulcérations buccales. [291] :C Le favus (teigne favique) à trichophyton sévit le plus souvent en Afrique du Nord, et donne des godets (plaques croûteuses inflammatoires avec de rares cheveux grisâtres, friables). La teigne de cet enfant est surinfectée (pustules, adénopathies) et nécessite une antibiothérapie en plus du traitement spécifique. [292] :ADE La pustulose varioliforme de Kaposi-Juliusberg est une primoinfection herpétique sévère généralisée que risquent les enfants atopiques ayant des lésions d’eczéma profuses. [293] :CE Dermatose érythématosquameuse chronique, le psoriasis touche électivement les coudes, les genoux, les bords cubitaux des avant-bras, la région sacrée, le cuir chevelu, les ongles. Latteinte du visage (sauf les oreilles) est très rare. li existe des formes pustuleuses, localisées ou généralisées. [294] :AC Lérythrasma intertrigo bactérien (le plus souvent inguinal) est dû à corynebacterium minutissinum, et se traite aisément par les imidazolés locaux. [295] :E A et B sont allergisants et non nécessaires (la corticothérapie locale est antiprurigineuse). [296] :C Lurticaire cholinergique (petites papules multiples) survient après les efforts, les émotions, les boissons chaudes, à la chaleur (déclenchement par toutes les causes d’augmentation de la 19 température interne). Les lésions prédominent au tronc. [297] :ABCD L’histologie est celle d’un eczéma quelquen soit rorigine (constitutionnel ou acquis). [298] :C - B, E sont indiqués dans les acnés inflammatoires. - C se prescrit en cas de prédominance de lésions rétentionnelles, D de lésions inflammatoires. [299] :A - D et E ne donnent pas de purpura vasculaire. - B touche électivement renfant. - Les hémopathies en particulier avec gammapathie donnent des vascularites allergiques. [300] :AB Ces lésions se localisent plus particulièrement entre les doigts, à la face antérieure des poignets. [301] :ABC Un prurit entraîne des lésions de grattage qui peuvent se surinfecter; les lentes ne doivent pas être confondues avec des pellicules qui nadhèrent pas aux cheveux. [302] :ABDE Cette lésion, qui devrait d’ailleurs s’appeler mélanome (cellules mélanocytaires cantonnées à l’épiderme) est faite d’une plage pigmentée hétérochrome (allant du rose au noir) à contours très encochés, augmentant lentement de taille. Sur cette plage peuvent apparaître une lésion plus infiltrée, voire nodulaire signant l’invasion en profondeur. [303] :D Le FTA se positive en premier, :ABCE Sans commentaire. [312] :ABCDE Toutes ces régions peuvent être atteintes. [313] :B La lichénification, conséquence du prurit, n’est pas une lésion vésiculeuse (épaississement cutané, augmentation des stries, voire pigmentation). Les lésions de la pédiculose sont des macules ou papules centrées par [305] le point de piqûre. Les trichophyties dont la bordure est QUESTION ANNULEE. souvent vésiculeuse, sont [306] rarement généralisées. Le zona :B est bien sûr vésiculeux mais Les corticoïdes sont la localisé et en général non thérapeutique élective des prurigineux. poussées. Les soins antiseptiques associés essaient [314] :C d’éviter les surinfections. L’âge - Les syphilides ne sont en moyen d’apparition des symptômes est de 8 mois dans général pas prurigineuses. - B est synonyme de environ 1/3 des cas, les lichénification (zone de peau symptômes apparaissent vers rouge sombre, épaissie avec l’âge de 3 mois. surface [307] quadrillée crée par le prurit; cette :AD lésion étant elle-même B C E Sont des localisations prurigineuse). classiques. A D Peuvent être atteints dans les gales très profuses ou dans [315] :D les gales norvégiennes. Les métastases ganglionnaires [308] cervicales sont un site :A métastatique classique. D E - Orientent vers une [316] thrombopénie. Les purpuras thrombopéniques ont volontiers : E Le mélanome survient le plus une localisation initiale au souvent ‘de novo” et non sur un niveau des régions déclives. naevus pré-existant. Le SSM est Par contre, ils ne sont pas de meilleur pronostic, il est infiltrés. souvent moins épais lors de son [309] diagnostic. La jambe est la :CE localisation élective chez la A B D - Sont en général des femme, le tronc chez rhomme. régions épargnées, sauf dans [317] les gales profuses ou :D norvégiennes. Les deux examens [310] bactériologiques à la recherche du streptocoque sont le QUESTION ANNULEE. prélèvement cutané local (porte [311] avant le TPHA. Le chancre est typiquement une exulcération (caractère superficiel). [304] :C Les pustules sont amicrobiennes. L’histologie montrant les aspects de psoriasis permet de confirmer le diagnostic (hyperkératose, hyperacanthose, micro-abcès fait de polynucléaires dans l’épiderme). 20 d’entrée, ou suintement, ou liquide de bulle si érysipèle bulleux) et les hémocultures. Un examen direct immédiat du prélèvement cutané peut retrouver des cocci gram + en chaînettes et donc quasiment confirmer le diagnostic. [318] :E Il s’agit de l’herpès circiné : tâche érythémateuse à bordure plus ou moins vésiculeuse à centre squameux, d’extension centrifuge, prurigineuse, unique ou multiple. [319] :CE Question mal posée. Ce ne sont pas des lésions précancéreuses héréditaires mais des maladies héréditaires comprenant des lésions susceptibles de dégénérer (polypes pour C, tumeurs nerveuses surtout pour E). [320] :AC Sans commentaire. [1] :AE Le siège sus-malléolaire interne oriente vers une origine veineuse, de même que les plaques de dermite ocre et les quelques dilatations variqueuses. [2] :C L’abolition des pouls tibiaux postérieurs et pédieux est un signe d’artérite. [3] :A Le doppler artério-veineux est un examen simple, non invasif, permettant de mettre en évidence les freins circulatoires artériels et les incontinences ostioles. [4] :BDE En plus de la vaccination antitétanique, il faut mettre en route la première phase thérapeutique (détersion) qui sera suivie des deux suivantes: culture de bourgeon charnu et épidermisation. [5] :B L’aspect est typiquement celui d’un eczéma périulcéreux qu’il faut assécher par une pâte à reau, puis dans un second temps, en cas de non guérison, appliquer une corticothérapie locale, périulcéreuse, la plus prudente possible sur ce mauvais terrain. [6] :E L’aspect clinique est très évocateur de teignes inflammatoires = kérion du cuir chevelu. Il nexiste aucun signe général, aucune douleur et aucune réaction ganglionnaire. [7] :DE Sans commentaire. [8] :ABC L’examen direct des poils parasités montrerait: - soit un parasitisme de type microïde = correspondant à trichophyton mentagrophyte - soit un parasitisme de type mégaspore : trichophyton pchraceum. [9] :CD L’examen en lumière de Wood est négatif. Le réservoir animal est pour T. mentagrophytes : les équidés, les souris blanches et les cobayes. Ochraceum = bovidés (d’où contamination des éleveurs et des vétérinaires). [10] :BCE La teigne est une maladie à déclaration obligatoire, justiciable d’éviction scolaire. Mais les teignes à dermatophytes zoophiles n’ont pas de contagiosité interhumaine, les mesures d’éviction scolaire sont abusives. Il importe de traiter l’animal responsable. [11] :A Le périonyxis subaigué inflammatoire évoque en premier lieu une étiologie candidosique. [12] :B Le prélèvement est indispensable pour confirmer l’origine fongique. [13] :D Le traitement général est le Nizoral® (kétoconazole). [14] :A Le port de gant de protection est impératif afin de protéger l’index des détergents et savons. [19] :C La localisation est typique d’une allergie aux bijoux de fantaisie contenant du nickel auquel sont allergiques 10% environ des femmes occidentales. [20] :B Le patch-test est un examen simple et peu coûteux. [21] :BC L’éviction de l’allergène est impératif, quand il est possible. La désensibilisation des eczémas de contact n’existe pas. [22] :C L’eczéma de contact est une hypersensibilité retardée à médiation cellulaire (type IV de GelI et Coombs). 2 étapes sont envisagées I) l’étape de sensibilisation, correspondant à la migration des cellules sensibilisées de l’épiderme au relais ganglionnaire 2) l’étape de révélation avec migration des cellules réactives vis-à-vis de l’antigène, du ganglion lymphatique à l’épiderme. [23] :C Il faut y ajouter la cellule de Langerhans qui présente l’antigène au lymphocyte immunocompétent et produit l’interleukine 1. [24] :CE Le prurit, le polymorphisme des lésions, la solidité des bulles et l’absence (ou la rareté) des lésions muqueuses sont de bons éléments en faveur de la pemphigoïde bulleuse. [15] :B Le premier épisode évoquait une uréthrite gonococcique améliorée par le traitement minute. La persistante d’un écoulement doit évoquer une infection mixte, en premier lieu gonoccoque chlamydia. [16] :C L’ultramicroscopie à fond noir met en évidence des tréponèmes. L’uréthrite syphilitique est très rare. [17] :ADE Cette formule est celle d’une tréponématose ancienne (syphilitique ou endémique). Les réactions non tréponémiques (cardiolipidiques) tendent à se négativer. Les tests tréponémique persistent. [18] :E Les tétracyclines constituent le traitement de choix dune infection [25] :C à chlamydia. Les pénicillines sont inactives sur les Evident (voir cours). [26] chlamydia. 21 :BC En IF: les dépôts sur la membrane basale ont un aspect homogène et linéaire. II s’agit le plus souvent d’lgG et de C3. Dans le pemphigus, les dépôts d’anticorps, antisubstance intercellulaire, sont en maille dans l’épiderme. Ceux-ci sont présents dans le sérum, leurs taux sont un indicateur pronostique. [27] :BC Voir question précédente; léssinophilie est très fréquente au cours de la pemphigoïde bulleuse. HLA B8 est retrouvé chez 77 à 87% des malades atteints de dermatite herpétiforme. [28] :D Il est extrêmement commun que les phytiriases du cuir chevelu se compliquent dimpétiginisation au niveau des excoriations de grattage, siégeant surtout dans la région occipitale. [29] :AB Evident. [30] :D Les impétigos se compliqueraient dans 5% des cas de glomérulonéphnite aigué. [31] :ACE Il faut associer un traitement antiparasitaire à un traitement antibactérien (antisepsie et antibiothérapie). [32] :AC Une éruption roséoliforme est une éruption de macules rondes ou ovulaires de taille variable de teinte rose pâle ne faisant aucune saillie et ménageant des intervalles de peau saine. [33] :BC Il faut de principe devant toute éruption suspecte chez une femme enceinte, envisager une rubéole et pratiquer une sérologie. [34] :ACE Toute roséole doit faire systématiquement rechercher: - une cicatrice de chancre et son adénopathie satellite - des microadénopathies, évocatrices si occipitales ou épitrochléennes - et surtout les plaques muqueuses = fourmillant de tréponèmes, très contagieuses. L’absence de prurit est un argument pour l’origine syphilitique et contre l’origine médicamenteuse. [35] :CDE Les séquelles dyschromiques sont la leucomélanodermie du cou (collier de Vénus) = taches blanches arrondies, irrégulièrement réparties sur un fond bistre. [36] :AB Les deux sérologies simposent devant une éruption roséoliforme de la femme enceinte. [37] :BCD Le tabès et le signe dArgylI Robertson font partie de la syphilis neurologique tertiaire. Entre le 3e et le 6e mois après le chancre peuvent survenir deux types dalopécie 1) alopécie en clairière : aires alopéciques de la région temporo-occipitale 2) alopécie diffuse: plus rarement rencontrée Les papules inflitrées correspondent aux syphilides papuleuses de la deuxièmes floraison de la syphilis secondaire. [38] :D 22 La pénicilline est fortement contre-indiquée, les aminosides inefficaces. La seule solution thérapeutique : les macrolides. [39] :BCE La plaque psoriasique est typiquement une plaque arrondie à bord net, érythémateuse, rouge vif, surélevée et squameuse. [40] :ADE Les localisations les plus typiques sont les genoux, les coudes et la région sacrée. Les ongles doivent être systématiquement inspectés dans l’examen d’un psoriasis. Latteinte du pli interfessier fait partie du psoriasis inversé. [41] :BD Le syndrome de KaposiJuliusberg est la surinfection par le virus de l’herpès ou de la vaccine dune dermatite atopique. Les 3 grandes complications du psoriasis sont le psoriasis pustuleux, lérythodermike et le rhumatisme psoriasique (central ou périphérique) [42] :C La vaseline salicylée locale suffit à traiter ces quelques plaques de psoriasis. Les traitements généraux sont inutiles. La corticothérapie générale est interdite ; c’est à son arrêt que sont observées les complications graves du psoriasis : érythrodermie et psoriasis pustuleux. [43] :ABDE Les nodules d’érythème noueux siègent symétriquement aux membres inférieurs, Ils sont peu nombreux de 3 à 10. lIs sont chauds, dououreux, hypodermiques. L’évolution est caractéristique vers la :A Le caractère induré, indolore du chancre, les adénopathies non inflammatoires sont très [44] évocateurs de syphilis. :CD [60] Voir réponse précédente. :B [45] L’absence d’isolement de :AB tréponèmes au microscope à Les entéropathies fond noir n’a aucune inflammatoires doivent être signification, car c’est un recerchées devant tout examen difficile, à répéter 3 érythème noueux. jours de suite. La sérologie ne [46] commence à se positiver qu’au :AB delà du 10e jour après le Les autres manifestations à chancre. rechercher sont les [61] adénopathies cervicales sous:ACD angulomaxilaires et les Le test de Nelson est inutile, le [55] polyarthrites aiguès. TPHA est positif affirmant la :ABD [47] Un stress est retrouvé dans 50 % tréponématose. Il importe de :BC pratiquer un VDRL quantitatif, des cas, au cours du mois Positivité au ascension des dont on surveillera la précédant la première poussée anticorps à 3 semaines décroissance ou la négativation de psoriasis. La régression d’invervalle. (si traitement précoce avant 6 estivale témoigne de l’effet [48] semaines). Ce test n’a bénéfique des UVA. Des :AB néanmoins pas de valeur antécédents familiaux de Une antibiothérapie (monothérapie) de 15 jours à 3 psoriasis sont retrouvés 1 fois sur absolue, il existe des négativations spontanées du 3. semaines est indiquée. VDRL. [56] On utilisera : aminosides, [62] :ABCE phénicolés, cyclines, :E “A” témoigne d’un psoriasis cotrimoxazole, quinolones... L’homosexualité est un facteur inversé. Le psoriasis respecte le [49] de risque pour toutes les MST. visage, en revanche l’oreille est :BD [63] un siège fréquent de psoriasis Chlamydia trachomatis serait :CD responsable de 30 à 50 % des (replis du pavillon, conduit auditif Le chancre syphilitique est externe). Le psoriasis atteint le uréthrites non gonococciques. indolore. Les adénopathies ne cuir chevelu, sans atteindre le [50] sont pas inflammatoires. cheveu (pas d’alopécie). La :AE [64] kératodermie palmoplantaire est La gonococcie pharyngée est :A sèche et fissuraire. en général asymptomatique et Le diagnostic clinique de de guérison spontanée en 10 à [57] psoriasis est évident, rendant :E 12 semaines. Le diagnostic de psoriasis est fait inutile tout examen [51] complémentaire diagnostique. cliniquement. Une biopsie :ABD Une biopsie cutanée montrerait: cutanée peut être utile dans Les complications locoUune hyperkératose certaines formes. régionales sont la prostatite, parakératosique, une On a décrit des associations au l’épididymite (plus fréquentes hyperacanthose, une couche diabète, à Ihyperuricémie, à toutefois avec chlamydia granuleuse absente, des trachomatis). Les septicémies à l’hypertriglycéridémie. microabcès de Munrogonoccoque peuvent provoquer [58] Sabouraud et des pustules :B une polyarthrite, accompagnée spongiformes multiloculaires de Le soleil réalise une UVAde ténosynovites et de lésions Kogoj-Lapière. thérapie naturelle. maculopapuleuses à centre [59] nécrotique ou pustuleux. régression (en passant par les différents stades de la biligénie) [52] :ACDE Sans commentaire. [53] :BD Linfection chez la femme peut revêtir plusieurs formes : cervicite, uréthrite, skénite bartholinite, salpingite. [54] :AB On peut ajouter à ces deux traitements (1) procaïne-pénicilline 4,8 M Ui 1M + probénédice 1g per os ou (2) amoxicilline 3g + probénicide 1g per os. 23 [65] :BDE Les lésions buccales du psoriasis sont la langue scrotale et la glossite exfoliatrice marginée (ou langue géographique). Les aphtes n’appartiennent pas au psoriasis. Les atteintes unguéales sont: dépression en ‘dé à coudre”, onycholyse, hyperkératose sous-unguéale avec pachyonychle. Le psoriasis respecte le cheveu. Latopie nest pas associée au psoriasis. [66] :B Le psoriasis est familial dans 1/3 des cas. Les HLA plus fréquemment rencontrés sont HLA B13 - B17 - CW 6- DRW 7. Le soleil améliore la dermatose dans la majorité des cas (efficacité des UVA dans la PUVA). Toutefois, chez certains sujets, l’exposition solaire aggrave la dermatose. Lors d’une exposition trop intense, un psoriasis peut apparaître sur les zones insolées, il est alors qualifié dactinique. L’évolution est imprévisible ; trois grandes complications dominent: rérythrodermie, le psoriasis pustuleux et le rhumatisme psoriasique. [67] :C Le méthotréxate ne doit être employé que pour les psoriasis sévères, en raison de sa toxicité médullaire, hépatique et son oncogénicité chez ce sujet jeune. [68] :ADE Le caractère nodulaire infiltré et le saignement sont malheureusement des signes tardifs On peut ajouter à ces critères : bords polycycliques, taille supérieure à 1cm, contours encochés, surface irrégulière. [69] :ABCD Un halo achromique périnaevique se voit au cours des halo-naevus de Jutton. Un halo achromique peut aussi entourer un mélanome malin témoignant d’une réaction immunologique” du patient. [70] :A L’épaisseur est l’indice de Breslow. Une épaisseur inférieure à 0,76 mm permet d’espérer une survie à 5 ans de 96%. [71] :D La palpation ganglionnaire est un geste fondamental dans la surveillance d’un mélanome malin. La présence dadénopathies fait tomber l’espérance de survie à 5 ans à 25%. [72] :E Le pityriasis versicolor est dû à malassezia furfur. La peau moite ou des affections chroniques débilitantes paraissent jouer un rôle favorisant. Les lésions sont des macules pigmentées très finement squameuses. Sur peau foncée, les macules semblent dépigmentées. Les lésions sont vertes en lumière de Wood. Le pityriasis rosé de Gilbert commence par un médaillon unique, suivi de multiples éléments érythémato-squameux du tronc. Les macules de lèpre indéterminée sont hypoesthésiques. Au moindre doute avec une syphilis secondaire, une sérologie est impérative. [73] :BD Les paumes et les plantes sont toujours indemmes. 24 A. Est évocateur de syphilis. C. De vitiligo. E. De lèpre. [74] :ACD Les taches sont vertes en lumière de Wood. Le scotch-test montre des levures arrondies, groupées en amas, en grappes de raisin. Le signe du copeau est le détachement à la curette d’une fine squame non adhérente. [75] :ACDE L’affection paraît peu contagieuse (les cas conjugaux sont rares). [76] :ABDE Le traitement doit: - être appliqué à l’ensemble du revêtement cutané - être précédé d’une détersion cutanée - utiliser des antifongiques actifs sur le pytirosporum orbiculare. [77] :A - Noter que, contrairement à l’énoncé de la question C, l’Héxomédine® n’est pas un ammonium quaternaire. - Le Selsun® doit être laissé sur le tégument pendant vingt minutes. - Les imidazolés (Daktarin®, Pévaryl®, Fazol®) en applications biquotidiennes pendant 3 semaines sont actifs et bien tolérés. - Le Nizoral® (200m g15 pendant 5 à 10 jours) ne doit s’adresser qu’aux formes inaccessibles aux traitements locaux. [78] :E En particulier si sujets blonds... [79] :D A - Strictement épidermique. B - Effraction de la membrane basale. C - Envahissement de tout le derme papillaire. D - Atteinte réticulaire. E - Métastases à distance. [80] :C L’ancienneté ne joue aucun rôle, en revanche le pronostic est meilleur chez les femmes et certaines localisations sont plus péjoratives : cuir chevelu, plante du pied ou région médiothoracique. [81] :E Sans commentaire. [82] :CDE Ce tableau clinique associant syndrome général, angine, adénopathies et rash à rampicilline est très évocateur de MNI. Les manifestations cutanées de la MNI sont constituées par des exanthèmes rubéoliformes, morbilliformes, voire scarlatiniformes. Ils siègent sur le tronc et la racine des membres et dévolution fugace. Ce tableau clinique même très évocateur de MNI ne saurait éliminer une toxidermie et une rougeole. [83] :AD Sans commentaire (évident). [84] :ABC Noter la fréquence des manifestations cutanées survenant quand rampicilline est associée à une autre pathologie = MNI, infection à CMV, LLC, hyperuricémie traitée par allopurinol. [85] :E Le seul diagnostic est clinique. La réintroduction serait dangereuse. [86] rhinite allergique. [91] :ABC Les lésions muqueuses, les bulles en peau saine et le signe de Nikolsky évoquent les pemphigus. Dans la pemphigoïde bulleuse : les lésions muqueuses sont plus rares, les bulles surviennent en peau érythémateuse, il n’y a pas de signe de Nikolsky. Des antécédents digestifs (maladie coeliaque 7) orienterait vers une dermatite herpétiforme. [92] :A Evident. [93] :AB Le prélèvement doit porter sur une bulle récente. La biopsie montre un clivage intraépidermique profond au dessus de l’assise basale. Le décollement se fait par acantholyse. [94] :CDE Surveillance I) de la corticothérapie générale 2) du taux des anticorps antisubstance intercellulaire, corrélé à la sévérité et l’extension du pemphigus. [95] :A Evident. [96] :C Il s’agit d’une cellulite diffuse avec phlébite extensive. [97] :ABDE Les hémocultures sont très souvent positives. [98] :D [90] Lantibiothérapie est dont :E L’ichtyose autosomale dominante précoce adaptée au staphylocoque. dite vulgaire s’associe dans 1/3 [99] des cas à une dermatite atopique, un asthme ou une :ABCD La prise dampicilline augmente considérablement la fréquence des rash dans la MNI, qui sobservent alors dans plus de 90% des cas. [87] :C La dermatite atopique du grand enfant touche les grands plis de flexion, les plis du coude, les creux poplités et la face latérale du cou. Thorax et fesses sont aussi des locations inhabituelles : ceci rend la question difficile. [88] :ABD Les dépressions ponctiformes sont un signe de psoriasis. Les critères mineurs de la dermatite atopique sont I) terrain atopique personnel ou familial 2) positivité immédiate des tests cutanés à divers allergènes 3) dermographisme blanc, blancheur cholinergique retardée 4) xérose 5) ichtyose vulgaire, kératose pilaire, accentuation des plis palmaires 6) pâleur faciale, aspect sombre des régions sous orbitaires 7) repli sous palpébral inférieur 8) cataracte antérieure sous corpsculaire 9) kératocone 10) infections cutanées récidivantes 11) tendance aux dermatoses non spécifiques des mains 12) elévation des IgE sériques totales [89] :B Terrain atopique : rhinite, conjonctivite allergique, asthme. 25 :ABCDE Sans commentaire. dermatite atopique. D. Est un des nombreux signes mineurs caractérisant ratopique (au même titre que le 2e pli sous [100] palpébral, la kératose pilaire, :C Ihyperlinéarité palmaire...). Les caractères suspects de la [105] tumeur imposent ici une :BCD histologie, ce qui exclut les Sans commentaire. items A et [106] D. :CD La biopsie partielle ne permet La corticothérapie expose au pas une étude satisfaisante risque de corticodépendance. (infiltration en profondeur, morphologie cellulaire variable Les topiques antihistaminiques induisent des allergies de dune zone à l’autre). contact. [101] [107] :C :BCE Lépaisseur tumorale est 10 % des dermatites atopiques mesurée précisément au persistent chez l’adulte. micromètre oculaire (au L’association à l’asthme est lIlOOmm). Pour répaisseur d’autant plus à craindre que la inférieure à 0,76 mm, les dermatite atopique est sévère. chances de guérison après [108] exérèse élargies sont proches :ADE de 100 %. Les propositions B et C [102] n’orientent pas spécifiquement :BD vers le diagnostic d’eczéma. L’effet néfaste des radiations [109] solaires est à origine du siège fréquent des mélanomes sur les : C D L’anamnèse est un élément zones découvertes, de capital du diagnostic. l’augmentation de l’incidence Les items A et B se rapportent au chez les sujets à carnation terrain atopique qui ne constitue claire. La grossesse peut entraîner une poussée évolutive pas un facteur de risque d’eczéma de contact. du mélanome. [103] :CD [110] Leczéma des mains dapparition : B D Si le siège initial correspond tardive chez la mère peut toujours à la zone de contact, les témoigner dune sensibilisation lésions d’eczéma peuvent de contact. Lâge moyen du début de la dermatite atopique secondairement s’étendre à est 8 à 9 mois mais les lésions distance. [111] caractéristiques sont déjà :B notées chez 30% des patients Les cellules de Langerhans avant râge de 3 mois. La porteuses des antigènes HLA-DR bronchite asthmatiforme récidivante d’un nourrisson est captent rallergène puis le présentent aux lymphocytes T. considérée comme un La phase de sensibilisation dure équivalent d’asthme. environ une semaine. En cas de [104] nouveau contact, les :ACD lymphocytes sensibilisés affluent A. C. Appartiennent aux dans le derme dans les 48 localisations classiques de la 26 heures, responsables d’une réaction d’allergie retardée. [112] :C Le nickel est contenu dans les bijoux fantaisies, pièces métalliques de certains vêtements, matériel de cuisine, certaines lessives, amalgames dentaires. [113] :E Il s’agit de la seule méthode admise pour prouver la responsabilité d’une substance dans l’eczéma de contact. L’interprétation est cependant délicate et les discordances avec la clinique ne sont pas rares. [114] :ACE Les pièces de monnaie de 1 franc et 50 centimes contiennent du nickel et peuvent induire une sensibilisation à travers la poche du pantalon [115] :BE L’éviction du produit sensibilisant est indispensable à la guérison. Les dermocorticoïdes pendant quelques jours permettront d’accélérer la guérison de la poussée actuelle. Les antihistaminiques locaux sont à éviter car allergisants. La désensibilisation spécifique est rarement utilisée dans les eczémas de contact mais obtient parfois des résultats satisfaisants. C’est le cas des patients traités par Caryolysine® locale qui développent une allergie de contact dans un tiers des cas. [116] :BDE Le périonyxis est absent dans les infections à dermatophytes. [117] :ABE La candidose vaginale peut être le point de départ d’une localisation secondaire unguéale par autoinoculation. [118] :A Les facteurs généraux favorisant les candidoses sont: le diabète, l’immunodépression (essentiellement déficit de l’immunité cellulaire) et la corticothérapie. [119] :ABCE La glossite peut revêtir plusieurs aspects : érythémateuse, langue noire villeuse, glossite losangique médiane. [120] :C La localisation unguéale impose rutilisation d’un antifongique à diffusion systémique; le métronidazole et la griséofulvine sont inactifs sur le candida albicans. [121] :D Les transaminases sont dosées au 15e et 30e jour de traitement puis mensuellement. L’arrêt du médicament s’impose si leur taux augmente au delà de deux fois la normale. [122] :ABC Sans commentaire. [123] :E L’examen direct au microscope à fond noir, sans coloration, permet de visualiser le tréponème spiralé, de 10 mm de long environ, à mobilité “lente et majestueuse’. [124] :AB Le bacille de Ducreyi est difficile à visualiser au direct et l’examen au Giemsa est plus sensible que le Gram. La culture sur milieu spécial permet d’observer un coccobacille à coloration bipolaire, disposé en chaîne de bicyclette. [125] :CD La benzathine pénicilline est une pénicilline retard dont les injections quotidiennes sont inutiles. Les injections 1M de pénicilline étant douloureuses, l’association procaïne-pénicilline G est préférable pour un traitement de 15 jours. La spectinomycine est inactive sur le tréponème. [126] :B Une pénicillinothérapie bien conduite assure une guérion certaine qui se traduira par la négativation ou la diminution du titre du VDRL alors que le TPHA reste positif de façon prolongée. [127] :AB Au cours des récurrences herpétiques, le titre des anticorps n’augmente pas ou peu et la recherche d’lgM spécifiques est généralement négative si bien que la sérologie n’est ici d’aucun intérêt. [128] :E Chez cette patiente aux antécédents d’herpès génital on proposera une surveillance clinique virologique (immunolluorescence directe) toutes les deux semaines à partir de la 30e semaines d’aménorrhée puis hebdomadaire à partir de la 37e semaine. [129] :E En cas de récurrence herpétique génitale symptomatique du prépartum. Le risque dherpès néonatal est de 2 à 5%. Chez les patientes asymptomatique à terme mais présentant des antécédents dherpès génital, le risque n’est que de 0,1 %. 27 [130] :C L’énoncé ne précise pas les résultats de la virologie maternelle au moment de raccouchement or les récurrences prouvées virologiquement sont asymptomatiques dans un tiers des cas. [131] :CD Les pemphigus entraînent un décollement intra-épidermique : suprabasal dans le pemphigus vulgaire, sous-corné dans le pemphigus superficiel. [132] :ABCD Les érosions font suite à toute dermatose vésiculo-bulleuse sans préjuger de son étiologie. [133] :D Limmunofluorescence directe cutanée montre des dépôts linéaires le long de la jonction dermo-épidermique, en lgG et C3. La microscopie électronique permet de localiser le clivage dans la portion supérieure de la lamina lucida, mais nest pas nécessaire au diagnostic. [134] :D Des lgG circulantes antimembrane basale sont observées dans 70% des pemphigoïdes bulleuses, sans incidence pronostique. [135] :C En première intention, les corticoïdes constituent le traitement de choix. Les immunosuppresseurs ne sont pas utilisés en monothérapie car leur délai d’action est trop long. Ils sont en revanche associés avec intérêt aux corticoïdes dans les formes très sévères de pemphigoïde bulleuse et chez les sujets présentant une Au stade de syphilis secondaire, toutes les réactions sérologiques sont positives. [142] :E Devant une éruption évocatrice et un VDRL fortement positif, la confirmation par TPHA n’est pas indispensable. Pour diagnostiquer une infection à chlamydia associée, la proposition (D) risque d’être peu contributive. [143] :C La spectinomycine est prescrite en traitement minute des uréthrites gonococciques. La pénicilline est l’antibiotique de choix pour le traitement de la syphilis. En cas d’allergie, on préfèrera les cyclines aux macrolides. [144] :D Les chlamydiae sont responsables de 80% des [139] stérilités tubaires et 40% des :AE stérilités féminines globales. Lantibiothérapie est réservée Les chlamydiae peuvent être aux infections septicémiques diagnostiqués rapidement par la documentées (hémocultures, mise en évidence des antigènes cartographie bactérologique par immunofluorescence directe cutanée) et adaptée aux ou Elisa. germes isolés aux différents prélèvements. Aucun traitement Mais ces techniques sont rarement utilisées. ne permet de réduire la durée [145] de la poussée d’érythème :CDE polymorphe. Sont également actives les [140] fluoroquinolones. :AD [146] Le psoriasis en goutte :AD s’observe habituellement chez Un prélèvement à visée l’enfant ou adulte jeune, souvent précédé d’une infection mycologique est ici nécessaire. ORL, il réalise une éruption de L’évolution centrifuge des dermatophyties justifie de papules érythématosquameuses lentriculaires bien prélever sur le pourtour des lésions. limitées respectant le visage à [147] la différence de la syphilis :E secondaire qui atteint Le cuir chevelu est normal dans électivement les régions la pelade péribuccale, sillon nasogénien Les teignes trichophytiques, de paumes et plantes. transmission interhumaine, [141] réalisent de multiples plaques de :C contre-indication à l’emploi de fortes doses de corticoïdes. [136] :D Description typique d’érythème polymorphe. [137] :B Il s’agissait d’une récurrence herpétique. L’herpès est la cause la plus fréquente des érythèmes polymorphes de l’adulte jeune et les séries récentes montrent l’efficacité du Zovirax® dans la prévention des récidives d’érythème polymorphe post herpétique. [138] :ABCE Les lésions régressent habituellement sans séquelle au niveau cutané. L’atteinte oculaire constitue par contre un facteur pronostique important. 28 petite taille; les cheveux cassés très courts sont en général non visibles Lépidermophyton ne parasite jamais phanères [148] :BC La teigne à microsporum canis ne se transmet pas d’homme à homme mais l’extension des lésions par auto-inoculation est toujours possible chez le patient et fera rechercher systématiquement d’autres localisations cutanées (herpès circiné...). [149] :E Sans commentaire. [150] :ABC La maladie de Nicolas-Favre provoque un microchancre unique inconstant et fugace. L’incubation est de l’ordre de 20 jours. L’association fuso-spirillaire peut entraîner des ulcérations génitales mais le diagnostic se fait au microscope à fond noir. Il est difficile d’écarter totalement le chancre syphilique : en effet, la clinique n’est pas toujours typique; par ailleurs, il n’est pas précisé si le patient a appliqué l’antiseptique avant ou après les prélèvements bactériologiques. Enfin, le recul de 5 jours ne suffit pas pour conclure à l’inefficacité de la pénicillinothérapie. [151] :B La courte incubation (5 jours) et l’aspect des lésions évoquent fortement ce diagnostic. [152] :CDE Lhémophilus ducreyi résiste à l’Extencilline® en raison de la production d’une bêtalactamase. [153] :ABDE Sans commentaire. [154] :ABCDE Les staphylocoques blancs peuvent contaminer tout prélèvement cutané. La faible positivité du TPHA est probablement en rapport avec une cicatrice sérologique de la syphilis contractée deux ans auparavant. Mais ne permet pas d’éliminer une recontamination récente et une contrôle sérologique s’impose. [155] :B Le bacille de ducreyi est extrêmement difficile à visualiser à l’examen direct au Gram. Le diagnostic repose sur la culture sur milieu spécifique. [156] :B Le staphylocoque doré peut induire un impétigo bulleux compatible avec les lésions thoraciques. Il faudrait admettre alors la coexistence de deux dermatoses indépendantes: une staphylococcie cutanée aiguê et une éruption buccale chronique. [157] :A La photosensibilité n’est pas un caractère habituel dans le pemphigus. Le prurit manque le plus souvent. Le polymorphisme est lié à la coexistence d’éléments d’âge différent. [158] :D Les principales associations pathologiques notées dans le pemphigus vulgaire sont: - le traitements médicamenteux (D-pénicillamine surtout) - la myasthénie et le thymome. Des observations d’association à des néoplasies profondes sont décrites mais exceptionnelles et isolées. [159] :D Le décollement bulleux, dans le pemphigus, est dû à l’acantholyse (perte de cohésion entre les kératinocytes), ellemême liée au dépôt local dlgG anti-substance intercellulaire. [160] :B Ces anticorps sont décelés dans la peau par immunofluorescence directe et dans le sérum par immunofluorescence indirecte. [161] :B Le pemphigus évolutif justifie le recours à de fortes doses de corticoïdes en traitement d’attaque. Le régime sans gluten n’est indiqué que dans la dermatite herpétiforme. [162] :CE La déshydratation reflète l’étendue des lésions cutanées suintantes ; l’atteinte buccale entrave une réhydratation et un apport protido-calorique satisfaisants. [163] :C Le pemphigus est beaucoup plus rare que la pemphigoïde bulleuse, les bulles y siègent typiquement en peau saine, le prurit est absent. Les bulles fragiles se rompent rapidement et ron observe surtout des érosions post-bulleuses. La présence de lésions buccales est notée dans 10 à 40% des séries de pemphigoïdes bulleuses. L’âge de la patiente, la grande dimension des bulles, l’étendue des lésions sont des arguments contre la dermatite herpétiforme. [164] :B L’histologie typique de pemphigoïde bulleuse révèle une bulle sous épidermique riche en 29 éosinophiles, dont le toit est constitué par un épiderme non acantholytique et non nécrosé. Linfiltrat dermique sous jacent est composé en majorité de polynucléaires éosinophiles. [165] :B Limmunofluorescence directe retrouve des dépôts linéaires d’lgG le long de la jonction dermo-épidermique. Cet aspect n’est pas spécifique mais est indispensable au diagnostic de la pemphigoïde bulleuse. Les propositions (A) et (D) se rapportent au pemphigus. C - S’observe dans la dermatite herpétiforme. [166] :AB Les corticoïdes représentent le traitement de référence de la pemphigoïde bulleuse. L’utilisation des immunosuppresseurs tend à se répandre car elle permet de réduire les doses de corticoïdes et donc d’en minimiser les effets secondaires. [167] :B Les titres danticorps antimembrane basale nont aucun intérêt évolutif [168] :D Eruption caractéristique par son aspect en cocardes, sa topographie symétrique, l’atteinte muqueuse. [169] QUESTION ANNULEE [170] :B L’herpès est une cause fréquente d’érythème polymorphe. Certains patients font un érythème polymorphe à chaque récurrence herpétique. C’est le cas de cette femme qui fait une poussée d’herpès labial avec le soleil des cîmes, compliquée d’érythème polymorphe. Dans 15 % des érythèmes polymorphes récidivants on retrouve une poussée d’herpès 3 à 10 jours plus tôt. [171] :AC La fièvre est habituelle dans cette affection parfois très élevée (40). Les atteintes oculaires sévères s’accompagnent de kératite soit par érosions cornéennes soit par diminution de la sécrétion lacrymale. Ces érosions conjonctivo-palpébrales voire cornéennes peuvent laisser des séquelles sévères. [172] :E Aucun n’est indispensable. La sérologie herpétique est de peu d’intérêt dans les récurrences ; il est vrai qu’en pratique on la fait quand même. [173] :ABCDE Les plaques dues à des teignes microscopiques sont le plus souvent de grande taille (4 à 7 cm), peu nombreuses (1 à 4), à surface recouverte de squames grisâtres hérissées de cheveux cassés courts. L’alopécie n’est pas cicatricielle, les cheveux repoussent après le traitement. Ces teignes sont l’apanage de l’enfant, elles guérissent spontanément à la puberté. Microsporum canis (le plus vraisemblablement en cause ici) peut être responsable d’herpès circiné (lésion du père). [174] :C Le psoriasis ne donne jamais d’alopécie, par contre, toute lésion squameuse du cuir chevelu agace la patiente, qui touche sa lésion ; un prurit peut en résulter. [175] :BCE La lumière de wood met le plus souvent en évidence une fluorescence intense des lésions. L’examen mycologique direct montre des filaments mycéliens ; la culture sur milieu de Sabouraud permet d’identifier le dermatophyte en 10 à 30 jours. La biopsie est inutile. La numération fait partie de la surveillance d’un traitement par la griséfuline. [176] :BD Le traitement d’une teigne est double : par voie générale et locale. Lamphotéricine B et la Mycostatine® n’ont pas d’activité sur les dermatophytes. La solution de Milian® est un antiseptique coloré (vert) de toute façon non adapté pour le cuir chevelu ; les lésions ne sont pas surinfectées, c’est inutile. [177] :ABC L’enquête épidémiologique est indispensable (A et B). Il est habituel de contrôler la guérison par un examen mycologique. L’éviction scolaire est théoriquement la règle jusqu’à négativation de l’examen direct; en pratique elle se discute cas par cas. [178] :ABCD Sans commentaire. [179] :D Sans commentaire. [180] :DE Sans commentaire. [181] QUESTION ANNULEE. [182] :ABC Sans commentaire. 30 [183] :BE L’affection respecte le cuir chevelu, la face, le dos ; elle peut atteindre le cuir chevelu chez l’enfant. Le chancre scabieux correspond à cette papule excoriée, siègeant sur le pénis ou le scrotum. Le Parfénac® peut être responsable d’une eczématisation. [184] :CD Le dermographisme est rapanage de l’urticaire. La contagion et la recrudescence nocturne du prurit sont deux caractères fondamentaux. Après application d’Ascorbiol® le prurit est rapidement interrompu (24 h environ) ; il peut revenir secondairement sans pour autant signifier un échec thérapeutique ; il faut prévenir les patients afin d’éviter les applications itératives irritantes de scabicide. [185] :ABDE Le sarcopte femelle vit dans la couche cornée; après fécondation, il reste en surface mais ne saccroche pas aux poils. D et E sont des lésions induites par le grattage donc non spécifiques. La vésicule perlée contient la femelle qui pond ses oeufs. La gale se surinfecte fréquemment chez les gens à hygiène médiocre. [186] :D Le prurit cède en 24 à 48 heures ; il n’y a pas de traitement par voie orale de la gale. [187] :BC Traiter l’entourage est indispensable de même que la désinfection de la literie, des vêtements, des gants, des chaussures (poudre Aphtiria)®. La gale est une parasitose humaine, le parasite a un cycle cutané humain complet. [188] :ABCD L’éruption de rérythème noueux est accompagnée voire précédée de quelques jours par des arthralgies et une fièvre; une rhinopharyngite, des douleurs abdominales et malaise peuvent également se voir. La diarrhée n’appartient pas au syndrome mais peut être une étiologie. [189] :E La femme jeune est le terrain électif sur lequel survient l’érythème noueux. [190] :BCD Le staphylocoque et le tréponème ne sont pas responsables d’érythème noueux. C’est lors de la primo-infection tuberculeuse que l’on voit l’érythème noueux. [191] :ABE La sarcoïdose dans le cadre du syndrome de Lôfgren (érythème noueux, arthralgies, adénopathies hilaires bilatérales) est la première cause. Les maladies néoplasiques connues pour donner des érythèmes noueux sont les hémopathies (LMC, LLC, LAM). La PAN peut donner des nodules cutanés siégeant sur les trajets artériels des membres inférieurs faits d’éléments d’âges différents, douloureux avec tendance à la nécrose et à l’ulcération. [192] :BCD La biopsie montre des infiltrats inflammatoires péri-vasculaires dermo-hypodermiques n’apportant aucun élément de présomption histologique. La biopsie est justifiée en cas de doute diagnostic. [193] :D Compte tenu des antécédents de diarrhée il est nécessaire de rechercher une infection à Yersinia enterocolitica (responsable de diarrhée fébrile avec douleurs abdominales). Il faut faire une coproculture et une sérologie. [194] :B Sans commentaire. [195] :E Très souvent aucune étiologie n’est retrouvée; il n’y a donc pas de traitement étiologique. Le traitement de rérythème noueux associe le repos et les antalgiques on peut être amené à prescrire des anti-inflammatoires non stéroïdiens. [196] :C Le diagnostic est évident sur: - notion de contamination par le frère - localisation périnarinaire des lésions avec auto-inoculation sur les membres inférieurs - aspect bulleux puis croûteux des lésions - résistance évidente à des traitements non adaptés. [197] :C Il retrouve du streptocoque (environ 30 % des cas) ou du staphylocoque (environ 75 % des cas), ou une infection mixte (environ 15-20 % des cas). [198] :BC Le traitement de rimpétigo associe un traitement local et 31 général par des antibiotiques actifs sur le streptocoque et le staphylocoque. [199] :A Certains impétigos peuvent se compliquer de glomérulonéphrite aigué poststreptococcique par contre il n’y a pas de rhumatisme articulaire aigu dans les suites. [200] :ABE L’affection est contagieuse; le patient peut s’auto-inoculer à distance des lésions faciales initiales et peut transmettre l’affection à d’autres enfants. Nombreuses dermatoses peuvent simpétiginiser ; tout impétigo de l’adulte dans une localisation inhabituelle fera chercher une autre dermatose pré-éxistante (gale, eczéma, varicelle, herpès...). [201] :C Sans commentaire. [202] :ABCD Tous sont des caractéristiques des SSM. A ce stade, il est extrêmement probable s’il sagisse dun SSM et que les aires ganglionnaires soient libres. [203] :E - La plupart des mélanomes malins ne se développent pas sur naevus pré-existant. - Lors de la phase d’extension superficielle, le mélanome est une lésion plane. - Le saignement est un signe observé sur des mélanomes présentant un nodule, plus on moins ulcéré saignotant, ce qui est tardif. [204] :D La lésion est de petite taille : il est plus simple de l’ôter en totalité. D’autre part, une biopsie se ferait au centre de la lésion. Ce geste biopsique n’est pas contre-indiqué en cas de suspicion de mélanome ; on le réserve aux lésions douteuses de grande taille. [205] :ABE Le naevus jonctionnel se caractérise par des thèques mélanocytaires intraépidermiques faisant à la jonction dermo-épidermique saillie dans le derme papillaire. La présence de cellules naeviques isolées dans la moitié supérieure de l’épiderme doit être considérée comme un signe de transformation. [206] :D Le tableau est caractéristique de psoriasis. [207] :BD Le psoriasis peut atteindre les plis, se manifestant par un intertrigo chronique avec surtout atteinte des grands plis (inguinaux, sous mammaires, espace interfessier). La muqueuse conjonctivale n’est pas atteinte, contrairement aux muqueuses buccales et génitales qui peuvent présenter des lésions (plaques érythémateuses du gland, langue géographique, aspect lichénoïde des muqueuses jugales et gingivales). D peut se voir dans les arthropathies psoriasiques, plus fréquentes chez l’homme. [208] :E L’examen qui confirmerait un diagnostic cliniquement évident est l’examen histologique d’une biopsie. Il est inutile devant ce tableau. [209] :B Il s’agit d’un psoriasis étendu ; la puvathérapie est tout à fait adapté. [210] :ABCD Les localisations habituelles sont les crêtes tibiales, les faces antéro-internes et antéroexternes de jambe. [211] :E Le terrain, (femme jeune), le caractère bilatéral, l’association à un fébricule et à des arthralgies sont des caractères habituels de tout érythème noueux quelque soit la cause. [212] :BCD L’étiologie infectieuse la plus courante est le streptocoque. Les yersinioses (yersinia enterolitica, yersinia pseudo-tuberculosis) sont une étiologie rare. Seule la primo-infection tuberculeuse peut s’accompagner d’érythème noueux et elle concerne maintenant surtout les immigrés. [213] :ABE Le syndrome de Lôfgren est l’étiologie la plus fréquente d’érythème noueux. Les entéropathies chroniques (RCH, Crohn) peuvent s’accompagner d’érythème noueux (dans 1 à 10 % des cas). Dans la P.A.N. on peut observer des nodules cutanés siégeant sur les trajets artériels des membres inférieurs avec tendance à la nécrose et à l’ulcération ; il ne s’agit pas d’un érythème noueux. [214] :BD L’histologie cutanée est la plupart du temps non spécifique, montrant des infiltrats inflammatoires péri-vasculaires dermo-hypodermiques. La VS fait partie du bilan mais n’est pas spécifique évidemment d’une étiologie particulière. [215] :D 32 Il faut demander une coproculture et un sérodiagnostic des yersinioses. [216] :B La sarcoïdose peut s’accompagner d’uvéite, de paralysie faciale, d’adénopathies périphériques mais ces manifestations n’appartiennent pas au syndrome de Lfgren. [217] :E Le seul traitement de l’érythème noueux (hormis un éventuel traitement étiologique) est le repos au lit et les antalgiques si nécessaire. [218] :C Le caractère de la lésion : exulcération (caractère superficiel), à base ferme, indolore, accompagnée d’une adénopathie non inflammatoire évoque avant tout un chancre syphilitique. Le gonocoque ne donne pas de chancre. [219] :B L’incubation est de 3 semaines. [220] :BDE L’absence de traitement conduit à un tableau de syphilis secondaire 6 à 8 semaines après le chancre. [221] :B C’est le temps qu’il faut pour que les tréponèmes disparaissent du chancre. [222] :DE Le tréponème ne résiste pas à la pénicilline correctement administrée. “Empêcher” est un bien grand mot! au moins l’informer et lui donner des conseils de protection. [223] :ABCDE On peut rajouter certaines kératoses actiniques, les histiocytofibromes pigmentés. [224] :C La très forte suspicion clinique de mélanone malin autorise à une éxérèse d’emblée totale. [225] :C C’est le critère pronostic le plus important avec le chiffre de 0,75 mm en-dessous duquel les métastases sont très rares. Plus l’épaisseur est importante, plus le pronostic est défavorable. A, B, D - Sont également des facteurs pronostic mais de moindre importance. [226] :BD L’exposition solaire intense semble être un facteur de risque, et non l’accumulation d’expositions répétées (comme c’est le cas pour les épithéliomas). Le type de peau est également un facteur important. [227] :B Le furoncle est une infection staphylococcique d’un fol’icule pilo-sébacé. [228] :D Evident. [229] :D Les infections cutanées, dont les furoncles, sont plus fréquentes et volontiers récidivantes chez les sujets diabétiques. Il est important de vérifier la glycémie des patients ayant des furoncles à répétition. [230] :BD Il ne faut jamais donner d’antiinflammatoires non stéroïdiens dans une infection cutanée pour ne pas risquer une extension de l’infection avec une symptomatologie abâtardie. Une antibiothérapie générale n’est pas indiquée (pas souvent associée à une gonococcie. La spectinomycine na aucune action sur les chlamydias et les mycoplasmes. Le traitement (qui tend actuellement à être raccourci) est d’au moins 10-12 jours chez l’homme et 15 jours3 semaines chez la femme. On peut parfois mettre le micro[232] organisme en évidence par :C Les principaux gîtes à traiter sont immuno fluorescence directe, : les narines, les conduits auditifs, sur les sécrétions génitales. [238] l’ombilic, le périné, l’anus, les :CDE cicatrices danciens furoncles. Les macrolides, les [233] tétracyclines et plus récemment :AD les quinolones de nouvelle Les toxidermies ne donnent génération (fluoroquinolones) habituellement pas ce type de sont les antibiotiques actifs sur lésions maculo-papuleuses les chlamydias. squameuses éparses non [239] confluantes. L’érythrasma est un :BE intertrigo inguinal de couleur chamois. La varicelle donne une Le prurit de la gale respecte la tête, (cuir chevelu, visage), éruption vésiculeuse. souvent le dos. Les [234] localisations génitales sont :C fréquentes chez l’homme Il faut bien sur évoquer une syphilis secondaire et la séologie adulte. Une aggravation du prurit par le parfenac peut être est le premier examen à en rapport avec un eczéma de demander. contact. L’atténuation du prurit [235] après application d’un :E Il peut être intéressant de vérifier corticoïde peut s’expliquer par l’action anti-inflammatoire et la persistance de ruréthrite n’est spécifique d’aucune (leucocytes sur le gram et peutpathologie. être micro-organismes comme gonocoque, trichomonas...) et de [240] :CD retrouver le germe responsable ; Le prurit de la gale à (traitement non suivi), Il faut vérifier la sérologie HIV (terrain). recrudescence vespérale et nocturne respecte la tête Le test de Nelson, complexe, (visage, cuir chevelu) souvent coûteux, (test d’immobilisation le dos, est fréquemment des tréponèmes) na quasiment conjuguai ou familial, Il faut plus d’indications. quelques jours pour qu’il [236] disparaisse après :C traitement; (parfois plus). La trobicine (spectinomycine) donnée en traitement des uréthrites gonococciques ne peut [241] :ABDE décapiter une syphilis contactée Les sillons et vésicules perlées en même temps. ont une topographie élective au [237] niveau des espaces :D interdigitaux et des faces Au contraire, elle est assez d’adénopathie, pas de fièvre, pas de terrain particulier et le furoncle n’est pas sur la face). [231] :D Un arrêt de travail est indispensable compte-tenu de la profession du patient. 33 antérieures des poignets. Un impétigo chez l’adulte doit faire rechercher une dermatose purigineuse sous-jacente, en particulier la gale. Les sarcoptes siègent dans la couche cornée de l’épiderme. [242] :D Il n’y a pas d’anti-parasitaire par voie orale actif sur le sarcopte. Il ne faut pas répéter les applications d’ascabiol, produit pouvant être responsable de dermite irritative. [243] :BC Il faut traiter l’entourage pour éviter les recontaminations. Les vêtements seront enfermés dans un sac avec de la poudre aphtiria pour une durée de 24 heures. Les draps peuvent être lavés à 600. [244] :CDE La dermatite séborrhéique atteint le très jeune nourrisson (dès le premier mois) et siège initialement au cuir chevelu (squames grasses). L’eczéma du nourrisson, un peu plus tardif (2- 3 mois) se caractérise par des lésions vésiculeuses puis suintantes et croûteuses qui sur le visage atteignent les convexités. L’éruption est très purigineuse. N’importe quel érythème fessier peut être colonisé par e candida albicans. [245] :E Le diagnostic est clinique. Aucun examen n’est nécessaire. [246] :ABCDE Aucune de celles-ci n’est contre-indiquée chez l’atopique. [247] :C Une proportion importante d’eczémas du nourrisson disparaît spontanément vers 2 ans. Certains critères auraient une valeur péjorative (début tardif, topographie atypique en fonction de l’âge). [248] :ABD Localement il faut assurer des changes fréquents avec toilette à l’eau, bains de siège avec antiseptique dilué, et appliquer un imidazolé antimycosique. L’eczéma du visage sera traité par une corticothérapie locale, prudente, très faible (hydrocortisone, classe la plus faible) et de très courte durée en association avec une bonne antiseptie locale. Pas d’antibiothérapie en l’absence de surinfection. [249] :C Evident. [250] :BCD On peut citer d’autres caractères inquiétants : perte de la striation cutanée normale, ulcération de la lésion, saignement, nodule. [251] :E La majorité des mélanomes surviennent en peau saine et non sur naevus préexistant. [252] :D Le diagnostic de mélanone étant évoqué, la lésion étant de petite taille, il est préférable de rôter en totalité d’emblée plutôt que de faire une biopsie qui de toutes façons na aucune raison de se faire en bordure L’examen histologique est évidemment indispensable. [253] :ABE Il s’agit d’un naevus caractérisé par la présence de thèques naeviques dans les couches basales de l’épiderme faisant saillie dans le derme papillaire. Cette activité jonctionnelle témoigne d’une éventuelle activité de croissance du naevus 34 ; (cas de la quasi totalité des naevis des enfants). [254] :D L’aspect de lésions en cocardes avec bulle centrale, siégeant de façon symétrique sur les zones d’extension des membres accompagnées de lésions muqueuses, évoque avant tout l’érythème polymorphe. [255] :AD Les étiologies infectieuses (avant tout le virus de l’herpès, le mycoplasme) et médicamenteuses (pyrazolés, sulfamides, Al NS, pénicillines, barbituriques, hydantoïnes, phénothiazine), sont les principales causes. Certaines maladies générales (LEAD Behcet, Crohn certains cancers), ont été incriminées plus rarement. [256] :B La récidive au moment des expositions solaires évoque avant tout des récurrences herpétiques déclenchées par les rayons ultra violets. [257] :AC Les érythèmes polymorphes s’accompagnent souvent de signes généraux: malaise, fièvre, arthralgies. L’atteinte muqueuse touche les lèvres, la cavité buccale, les muqueuses génitales. Les érosions conjonctivo-palpébrales peuvent s’accompagner d’érosions cornéennes, imposant un avis ophtalmo urgent. [258] :E Le diagnostic se fait sur l’interrogatoire et l’aspect clinique. [259] :C La sémiologie des lésions, (transitoirement bulleuses puis croûteuses), la localisation périnarinaire, rauto-inoculation (jambes) et la contagiosité interhumaine (frère atteint) évoquent rimpétigo. [260] :C Limpétigo est streptococcique et bu staphylococcique. [261] :BC Les corticoïdes sont évidemment contre-indiqués. La possibilité dune infection streptococcique impose un traitement par voie générale pour éviter une éventuelle glomérulonéphrite poststreptococcique. [262] :A A la recherche dune atteinte rénale post-streptococcique. [263] :E Chez enfant, rimpétigo est le plus souvent primitif. Chez radulte il est souvent secondaire â une dermatose prurigineuse (gale, eczéma...) quil faut rechercher systématiquement. [264] :BCE A est la définition du purpura. Un purpura vasculaire est fait d’éléments papuleux, plus ou moins infiltrés. [265] :B Latteinte rénale (hématurie, protéinurie, syndrome néphrotique par glomérulonéphrite segmentaire et focale à dépôts dlg A) conditionne le pronostic du purpura rhumatoïde. [266] :D Lâge, le purpura vasculaire, la symptomatologie abdominale évoquent avant tout le diagnostic de purpura personne atteinte (rapports sexuels) ou encore par contacts étroits et prolongés (cas du personnel soignant) ou exceptionnellement par du linge contaminé (draps). [275] :E Evident. [276] :ABCDE Les teignes tondantes sèches microsporiques et trichophytiques atteignent les enfants de 4 à 12 ans. Les [269] teignes microsporiques donnent :BC des plaques peu nombreuses Lévolution de la dermatose en fonction des périodes de travail et de grande taille (47 cm) recouvertes de squames de vacances est un très bon grisâtres avec cheveux cassés argument. Les tests épicutanés courts; (par opposition aux fait avec les allergènes teignes trichophytiques qui manipulés lors du travail sont donnent de nombreuses petites évidemment décisifs. plaques avec cheveux ras [270] englués dans des squames). La :C Les chromates contenus dans le lésion cutané du père est un herpès circiné. Les lésions ciment, le cuir font partie des guérissent sous traitement ou allergènes les plus courant. spontanément à la puberté [271] sans alopécie séquellaire, ce :A Le médecin traitant peut très bien qui n’est pas le cas des teignes faviques et suppurées. déclarer la maladie. Il peut être [277] impossible de tester tous les :C allergènes manipulés lors du travail une forte suspicion conduit Le psoriasis du cuir chevelu n’est jamais responsable à déclarer la maladie. d’alopécie. [272] :A Labsence de lésions au niveau [278] de certaines zones prurigineuses : B C E Les teignes microsporiques (thorax, dos), le type de lésions donnent en lumière de wood des mains et des bras peuvent une fluorescence verte intense faire évoquer la gale et non un eczéma de contact à des produits comme les teignes faviques ; les teignes trichophytiques et manipulés. les teignes suppurées ne [273] donnent pas de fluorescence. :D Les sarcoptes se localisent dans Lexamen direct peut permettre un diagnostic rapide ; les la couche cornée. Il est cultures demandent environ 3 préférable de gratter la peau au semaines. niveau des sillons et vésicules. [279] [274] :BD :E Le traitement des teignes La gale se contracte soit par associe un traitement général contacts intimes avec une rhumatoïde. [267] :E La corticothérapie est indiquée dans certaines complications (rénales après PBR, testiculaires...) Il faut proposer un repos au lit. [268] :B Le type de profession, lâge et la localisation des lésions évoque une origine professionnelle. 35 par Griséofulvine ou Kétokonazole (Nizoral) et un traitement local par un imidazolé. Le traitement doit être poursuivi 6 à 8 semaines. [280] :ABCE L’éviction solaire se poursuit théoriquement jusqu’à négativation de l’examen direct et de rexamen en lumière de wood. [281] :B Le tableau clinique est typique d’impétigo: lésions bulleuses éphémères remplacées par des croûtes jaunâtres de topographie péri-buccale et péri-narinaire. [282] :BD L’affection est assez souvent mixte streptococcique et staphylococcique. [283] :BDE On associe un traitement par voie générale (érythromycine ou pénicilline V) et un traitement antiseptique local. [284] :D Il faut vérifier 3 semaines à 1 mois plus tard, l’absence d’atteinte rénale. [285] :C Le contexte (impétigo), le caractère très superficiel des décollements évoque un syndrome de Lyell staphylococcique. [286] :E Ce tableau n’est pas celui d’un impétigo qui donne des bulles éphémères vite remplacées par des croûtes jaunâtres, de topographie péri-buccale et péri-narinaire et qui touche l’enfant. Les bulles de porphyrie touchent les zones photoexposées et surtout les dos des mains et avant- bras. La topographie et l’évolution ne vont absolument pas avec le diagnostic de zona. Le début de la maladie par des érosions buccales, suivi de bulles cutanées chez un patient de 40 ans évoque un pemphigus ; certains d’entre eux sont induits par des prises médicamenteuses. [287] :AC Les bulles de pemphigus surviennent en peau saine, ne sont pas prurigineuses; l’éruption est monomorphe. Ceci par opposition à la pemphigoïde bulleuse où les bulles siègent sur des placards érythémateux ou urticariens et prurigineux. [288] :D Certains médicaments peuvent induire un pemphigus : D pénicillamine, pénicillines, lopril, thiopronine, pyritinol, rifampicine, phénylbutazone, piroxicam... Des associations de pemphigues et de néoplasie ont été rapportées, elles sont très rares et possiblement fortuites. [289] :D Le clivage est intraépidermique avec cellules acantholytiques (cellules épidermiques détachées, libres dans la cavité de la bulle). Un examen cytologique du produit de grattage du fond d’une érosion montre les cellules acantholytiques. [290] :BD La topographie des lésions prurigineuses, leur non contagiosité depuis 1 an excluent une gale. Les diagnostics de dermatite atopique et d’impétigo sont évidents. [291] :AD Les streptococcies cutanées ne se compliquent jamais de RAA. [292] 36 :AB L’affection est streptococcique et I ou staphylococcique. [293] :ABCD Le traitement associe une antibiothérapie générale active sur le streptocoque surtout, le staphylocoque et une antiseptie locale. Le traitement de choix est l’érythromycine. [294] :ABC Il existe un terrain atopique familial en faveur du diagnostic; la topographie des lésions aux plis est caractéristique de même que la fissure rétroauriculaire fréquente chez les atopiques. [295] :E Le diagnostic de dermatite atopique se fait sur l’interrogatoire et l’examen clinique. [296] :D Le diagnostic de psoriasis est évident: il s’agit d’une dermatose érythématosquameuse évoluant par poussées, rythmée par les épisodes de stress ; les localisations au niveau lombaire et au niveau du cuir chevelu sont habituelles. [297] :E - L’atteinte des plis (inguinaux, inter-fessiers, région génitale, ombilic, plis sous-mammaires) peut être la seule manifestation, rendant le diagnostic difficile. - 20 % des psoriasiques souffrent d’une atteinte articulaire (périphérique avec mono, oligo ou polyarthrites ou centrale, avec spondylarthrite de tableau voisin de la SPA). [298] :E Le diagnostic de ce psoriasis est aisé sur l’histoire, l’examen clinique. [299] :B - L’atteinte diffuse du tégument (plaques multiples) est une bonne indication à la puvathérapie. - E n’est pas dans cette forme un traitement de 1ère intention. [300] :A - Le diagnostic de syphilis est très probable : terrain, caractères de la lésion (fond propre, indolore, indurée, adénopathies non inflammatoires, non douloureuses) la différencient du chancre mou. - D ne donne pas ce type de lésion. - C donne des érosions rondes groupées en bouquets, douloureuses. - Les aphtes sont très douloureux. [301] :B Ces examens peuvent être négatifs surtout si le patient a appliqué des antiseptiques. [302] :C Une séquelle sérologique se manifeste par une positivité des réactions tréponémiques (TPHA, FTA), les réactions cardiolipidiques étant négatives (VDRL). Le TPHA se positive dans une syphilis récente vers le 8-10ème jour, le VDRL vers le 15ème jour, le FTA vers le 510ème jour. [303] :E L’ulcération du chancre mou est douloureuse de même que les adénopathies qui évoluent souvent vers la fistulisation. [304] :CD A et B définissent un “terrain à risque” pour la survenue d’une [310] :C Il faut en plus équilibrer le diabète. Le traitement per os vise à stériliser le foyer digestif éventuel. [311] :BD Le diagnostic d’impétigo est évident sur l’existence de croûtes jaunâtres de topographie péribuccale et péri-narinaire, avec auto-inoculation à distance (lésions des mains et des doigts). Les adénopathies sont en rapport. L’eczéma atopique est diagnostiqué sur le terrain atopique et les plaques lichénifiées des plis. [312] :AB L’impétigo est streptococcique et/ou staphylococcique. [313] :ABDE Le traitement associe une antibiothérapie par voie générale dirigée contre le streptocoque et accessoirement le staphylocoque et une [307] antiseptie locale. Le traitement :ACE général vise avant tout à Les intertrigos candidosiques se localisent préférentiellement dans prévenir les complications poststreptococciques (GNA). les plis interfessiers, inguinaux, [314] sous-mammaires, axillaires et :ABDE interdigitaux. Ils forment des - D et E prouvent l’existence placards rouges, à bords bien d’un terrain atopique familial. limités, avec collerette desquamative et pustules un peu - L’atteinte des plis est l’atteinte élective de l’eczéma atopique à distance ; le fond des plis peut chez l’enfant après 2-3 ans. être recouvert d’un enduit - La fissure sous et derrière le blanchâtre. lobule de l’oreille est un [308] marqueur mineur d’atopie. :ABCD [315] E - Est une dermatose bulleuse :E auto-immune atteignant Le diagnostic est clinique, préférentiellement les faces orienté par le contexte familial d’extension des membres. d’atopie. Les IgE sont [309] fréquemment augmentées. :ACDE La griséfuline n’est active que sur [316] :C les dermatophytes. autre M.S.T. [305] :AB Le diabète favorise les infections; l’obésité favorise la macération, surtout dans les plis. [306] :CDE - Candida Albicans est un saprophyte du tube digestif. - Un intertrigo à dermatophytes a une bordure active, érythémateuse, vésiculeuse, à contours plus ou moins polycycliques, et avec une tendance à la guérison centrale (centre prenant une couleur bistre). Il se localise surtout au niveau des plis inguinaux et des espaces inter-orteils. - Le psoriasis inversé (psoriasis des plis) atteint les plis inguinaux, interfessiers, la région génitale, l’ombilic, les plis sous mammaires; l’intertrigo est fait de plaques érythémateuses lisses peu squameuses à bordure bien limitée ; un intertrigo psoriasique peut se surinfecter (bactéries, mycoses) et avoir alors un aspect modifié. 37 ou d’un sillon. Il n’y a pas de sérologie (parasitisme épidermique !). [323] :CE La gale norvégienne, très croûteuse, très contagieuse (multitude de sarcoptes), souvent peu prurigineuse touche limmunodéprimé, le sujet âgé. [317] [324] :A :BE Il s’agit digA et de C3. Une antibiothérapie et des soins [318] antiseptiques locaux sont :D Une entéropathie au gluten est indispensables vu la surinfection. constamment associée. Même D est aberrant! Lascabiol est irritant et ne doit pas être en l’absence de stigmates réappliqué inutilement; les gales cliniques et biologiques de norvégiennes nécessitent des malabsorption, la biopsie intestinale montre une atrophie applications répétées, et des kératolytiques. villositaire de degré variable. [325] [319] :ABCDE :AB Les sulfones (disulone) sont le Surtout dans les gales traitement de choix ; le résultat anciennes, eczématisées, le prurit peut en effet persister rapide peut être immédiat. plusieurs jours après le [320] traitement (ou diminuer puis :AB récidiver), ce qui ne doit pas Si les contacts cutanés étroits conduire à des réapplications et prolongés avec une itératives dascabiol. L’ascabiol, personne contaminée irritant, peut aggraver certaines représentent le mode de contamination habituel (rapports lésions présentes (eczéma en phase érythémato-vésiculeuse). sexuels), la gale peut se Les nodules scabieux peuvent contracter par de la literie souillée (environ 5 % des cas). être longs à disparaître (ils représentent une réaction [321] inflammatoire cutanée aux :ABC antigènes parasitaires et ne Un mpetigo chez l’adulte doit contiennent pas de sarcoptes). A toujours faire rechercher une distance, certains peuvent dermatose prurigineuse sousjacente et en particulier la nécessiter une corticothérapie locale. gale. Les placards érythémateux et vésiculeux évoquent une [326] :AB eczématisation. Sarcoptes Scabiei est l’agent de Le sarcopte n’induit pas dimmunodépression, par contre la gale, parasite strictement humain. Les vêtements, la literie celle-ci favorise le développement des sarcoptes : seront enfermés 48 heures dans possibilité de gale norvégienne. un sac avec de la poudre Aphtiria ou lavés à 600. [322] :CE [327] On réalise le grattage au mieux : A D au niveau d’une élevure perlée Les piments, l’alcool sont Le tableau clinique (placards urticariens, bulles groupées en bouquets, âge jeune), l’histologie (bulle sous épidermique) et l’IF (dépôts granuleux au sommet des papilles dermiques) font porter ce diagnostic. 38 également des facteurs irritants. [328] :BDE Une ulcération est également évocatrice de transformation. [329] :B Le lichen plan buccal a une prédilection pour la langue et la partie postéro-inférieure des joues. [330] :CD La destruction de la lésion est impérative (cryothérapie, voire chirurgie selon les cas). A est trop agressif pour ce type de lésion. Une surveillance régulière est indispensable (possibilité de récidives, autres lésions). Il faut supprimer les facteurs de risque (traumatisme, tabac...). [331] :CD La leucokératose est employée pour une leucoplasie hyperkératosique ; leurs étiologies sont diverses (tabagisme, irritation) et leur transformation possible nest pas inéluctable. Le lichen buccal (surtout ancien, érosif, atrophique) peut se transformer en lésion maligne. [332] :BE Le mélanome malin existe également sur les muqueuses buccale, ORL, génitale. [333] :B Les naevi jonctionnels (thèques naeviques épidermiques faisant saillie dans le derme superficiel) peuvent évoluer vers un mélanome (éventualité rare), mais ne peuvent être considérés comme lésions précancéreuses. B est en fait déjà un mélanome intra-épidermique et devrait être appelé mélanome. [334] :AD B est l’indice de Breslow. La classification de Clark tient compte de l’envahissement en profondeur. Un niveau Il signifie que la membrane basale a été franchie et que le derme papillaire est envahi de façon discontinue. [335] :D Lindice de Breslow est constitué par lépaisseur de la tumeur; en dessous de 0,75 mm, les métastases sont très rares. B et E sont des facteurs de mauvais pronostic. niveau de compréhension pour le dioxyanthranol qui est irritant si mal utilisé). B et D peuvent être associés (par exemple corticothérapie locale et kératolytiques si lésions très squameuses, puis relai par Puva). [336] :A Aucun autre examen cité ne peut faire porter le diagnostic de psoriasis. Ceci dit, l’histoire de la maladie et l’examen clinique très évocateurs ne rendent pas indispensables la biopsie pour porter le diagnostic. [337] :BDE B D E sont des localisations classiques du psoriasis. [338] :B Les UVA améliorent les lésions (principe du traitement par la puvathérapie). Il existe une prédisposition familiale pour le psoriasis. L’évolution chronique est peu prévisible, rythmée souvent par les épisodes de stress qui déclenchent des poussées. [339] :CE Il n’est pas question d’utiliser des agents antimitotiques chez ce patient jeune n’ayant pas un psoriasis sévère résistant aux traitements classiques. A, B, D sont des traitements possibles; la décision dépendra de l’extension des lésions, et des possibilités du patient (disponibilité pour la Puva, 39 Endocrinologie [1] :D Il peut également entraîner: asthénie, céphalées, impuissance, alopécie, tension des seins et réaction cutanée allergique. [2] :C A - Leucémie : aucun rapport B - Wilms : néphroblastome, cancer du rein de l’enfant, non sécrétant C - Neuroblastome : sympathome, sécrétant en majorité de la noradrénaline dont les catabolites urinaires sont HVA et VMA D E - Sphingolipidoses [3] :D A - N’a jamais été prouvé pour la dose dli 31 radioactif utilisée dans le traitement de l’hyperthyroïdie B - Ou thyroïdite radique, surtout 10 à 15 jours après l’administration d’IRA, à prévenir parles antithyroïdiens de synthèse. D - Incidence maximale pendant les deux premières journées après le traitement, puis incidence annuelle d’environ 3 % ensuite, en moyenne 30 % à 5 ans. E - Rarement patente. [4] :D A - Risque d’insuffisance rénale aigué chez le non diabétique également en rapport avec rhyperviscosité urinaire. B C - Classiques. E - Le traitement par biguanides en est la cause principale. [5] :ABD A - Logique. B - La récidive est fréquente avec le traitement médical. C - Les complications sont trop fréquentes pour la poser systématiquement en première intention chez le sujet jeune. D - Logique. E - Discutable, la non adhérence à un traitement long est également à prendre en compte pour poser l’indication opératoire. [6] :ABC D - L’autonomie thyroïdienne est définie par un fonctionnement thyroïdien normal ou augmenté en l’absence de TSH ou de tout autre stimulant circulant. Elle est caractéristique du goître multinodulaire toxique ou de l’adénome toxique, mais pas de la maladie de Basedow. La réponse devrait donc être (A, B, C, D, E). [7] :ABCDE En fait, toutes les propositions peuvent se voir. A B - Sont très classiques. D’après une étude en 1983 à l’Hôtel Dieu de Paris: symptôme le plus fréquemment rencontré C -49 %. D - 0,6 %. E -29 %. [8] :A 4 - Associée à une hypothyroïdie. [9] :A A - Avec goître chez la femme de plus de 40 ans, par inhibition de la libération hormonale par la thyroïde (inhibition de l’action de l’AMPc). B - Hyperthyroïdie. C D E - Pas d’incidence sur le métabolisme thyroïdien. [10] :C A - Essentiellement le carcinome anaplasique à petites cellules. B - Les signes de catabolisme prédominent dont ramyotrophie. 1 c - Au contraire, elle est élevée, très supérieure au taux retrouvé dans une maladie de Cushing. D - L’alcalose hypokaliémique est marquée. E - Signe dautonomie de la tumeur. [11] :B A - En pratique, on préfère mélanger les insulines d’un même laboratoire. B - Généralement, elle se conserve à + 4° porte du réfrigérateur. C - Variations interindividuelles importantes. D - Agit en 30 minutes pendant 6 à 8 heures, avec un pic maximal d’effet vers 2 à 3 heures. E - C’est pourquoi elle est utilisée par voie sous-cutanée, avec une résorption lente. [12] :AC A - Risque de compression aigué à l’occasion d’une hémorragie intra-glandulaire par exemple. C - Difficulté de détecter un nodule froid, qui pourrait être malin, sur une scintigraphie hétérogène. B D E - Ne nécessitent pas une exérèse préventive. [13] :E SIADH - Hyponatrémie et hypoosmoralité par réabsorption inappropriée d’eau libre par le tube collecteur, avec sécrétion d’aldostérone normale. [14] :ABC A - MIT, DIT, T3 et T4. B - LT3 (25 pg par comprimé). C - LT3 et LT4 (20 de LT3 et 100 pg de LT4 par comprimé). D - LT4 (5 par goutte). E - LT4 (50 ou 100 pg par la conséquence du diabète mais il est vrai que l’hyperinsulinémie empêche l’amaigrissement (traitement par sulfamides ou insuline). B - L’obésité entraîne une insulino résistance, nécessitant une sécrétion accrue d’insuline et démasquant donc les patients incapables d’augmenter leur insulinémie. C - Voir réponse B. D E - Les sulfamides hypoglycémiants ne sont [16] introduits qu’après échec ou :BC A - Au contraire, intolérance aux contre-indication hydrates de carbone fréquente du régime seul puis associés aux biguanides. B - En rapport avec une [21] hypovolémie, très fréquente, :BE elle-même due à rhypertonie C - Ce sont les biguanides qui artérielle sont contre-indiqués en cas sympathique C - Conséquence de B, peut se d’insuffisance rénale en raison d’un risque d’acidose lactique voir à l’occasion d’une intervention chirurgicale ou d’un lors d’une anoxie tissulaire. D - C’est le cas des sulfamides traumatisme hypoglycémiants, et non des D - Aucun rapport. biguanides. Les biguanides E - Cette proposition devrait diminuent l’absorption digestive être retenue, puisqu’elle est du glucose, la néoglucogénèse associée à 5% des hépatique, et, augmente phéocromocytomes. l’utilisation périphérique du [17] glucose. :B C - Là encore, à cause du risque A - Survenant essentiellement après l’âge de 40 ans, 25% des d’acidose lactique. cancers thyroïdiens de l’adulte. [22] :ABCE B - Constitue la moitié des D - Au contraire, la peau est fine carcinomes de la thyroïde et survient dans la moitié des cas et fragile, les vaisseaux sont bien visibles, on note également une avant cicatrisation difficile. l’âge de 40 ans. C - Rare chez l’enfant - forme [23] familiale. :E E - Exceptionnel chez l’enfant. A - Elévation de la thyroxinémie [18] totale par augmentation de la :AE TBG. Sans commentaire. B - Fixation de ramiodarone dans [19] le tissu adipeux, doù perturbation :CDE pendant plusieurs A - Hyperfixation homogène. semaines de la fixation B - Nodule hyperfixant. thyroïdienne diode 131. C D E - Scintigraphie blanche. C - Surcharge iodée due au [20] produit de contraste, diminution :AE A - L’obésité est la cause et non de la fixation de l’Iode 131. comprimé). [15] :AD A D A - Hyperalbuminorachie classique, même dans un diabète non compliqué. D - Signe de démyélinisation avec, au contraire, respect de l’axone. E - Au contraire, diminution de la vitesse de conduction sensitive. 2 D - Baisse de la thyoroxinémie totale par diminution de la TBG. [24] :A A - Mécanisme auto-immun. B - Celles-ci ne sont que rarement symptomatiques. C - Cause la plus fréquente jusque vers 1960, plus rare maintenant chez les français “de souches’. D - Plutôt un tableau d’insuffisance surrénale aigue chez l’enfant ou de trouble des règles chez la femme adulte. E - L’hémorragie surrénalienne doit être bilatérale et si elle est symptomatique, elle entraîne le plus souvent une insuffisance surrénalienne aigue. [25] :BD A - Survenue à tout âge, mais rarement après 60 ans. B - Très évocatrice chez un hypertendu non traité, en rapport avec rhypovolémie. C - Sans rapport. D - Signe très classique lors de crises qui associent aussi HTA, céphalées, palpitations. E - Faux vertiges en rapport avec l’hypotension orthostatique. [26] :ACD A - En rapport avec l’hypercatabolisme azoté. D - Liées à l’ostéoporose. [27] :AD A - L’exérèse de l’adénome est choisie de première intention, sauf en cas de contre-indication opératoire, après une restauration de l’euthyroïdie par antithyroïdiens de synthèse. D - Il faut se méfier d’une hypothyroïdie secondaire surtout si le parenchyme thyroïdien extranodulaire n’est pas totalement éteint. B C E - Non, car le nodule est autonome. [28] :A 4 - Les béta-bloquants ne modifient pas la cartographie thyroïdienne de la maladie de Basedow, qui montre une hyperfixation bilatérale et symétrique. [29] :A 2- En rapport avec l’acidose,à moins que le pH ne soit très bas, responsable alors d’une dépression respiratoire. 3 - Signe fondamental de l’acidocétose, la phase de coma est précédée, plus ou moins longtemps auparavant, d’un syndrome polyuro-polydipsique. 4 - Absent, au contraire du coma hypoglycémique où on le retrouve souvent. [30] :D D - Cette prédominance matinale est évocatrice de psychasthénie. [31] :A A - Risque d’agranulocytose brutale, à surveiller par une NFS hebdomadaire pendant 6 semaines puis tous les 15 jours pendant 2 mois, ou en cas de fièvre, angine ou infection. Sa fréquence est de 0,7%. [32] :B B - La prolactinémie est multipliée par 4 à 6 lors d’un test à la TRH chez un sujet normal. [33] :AE A - Par augmentation de la réabsorption tubulaire du phosphore. C - Hypercalciurie par augmentation de l’absorption intestinale au calcium. E - Anomalie de la tolérance du glucose dans 50% des cas, et diabète patent dans 10%. [34] :BC Il faut utiliser des diurétiques antialdostérone. A E - Thiazidiques. D - Diurétique de l’anse. [35] :ABE E - Diminution de la tolérance au glucose dans 50% des cas. [36] :BCD A et B - Par définition, l’hypercortisolisme, quel qu’en soit l’origine, s’accompagne d’une perte.du rythme nycthéméral. C - Il est même explosif. D - Il s’agit du test de ‘freinageminute, dont la seule indication est de distinguer un syndrome de cushing d’un hypercortisolisme d’entraînement. E - Les étiologies des syndromes de Cushing se présentent comme suit: - maladie de Cushing 69 % - cortico surrénalomes malins 14 % - paranéoplasiques 5 %. [37] :ACE B - Evocatrice d’hyperaldostéronisme primaire. C - En rapport avec l’hypovolémie; très évocatrice de phéochromocytome chez un hypertendu non traité. D - Evocateur dHTA rénovasculaire. E - La neurofibromatose de Recklinghausen touche 5% des sujets porteurs de phéochromocytome. [38] :A 1- On peut observer une hyperthyroïdie transitoire au début de la maladie, la présence d’anticorps anti-thyroïdiens confirme le diagnostic. 2 - La scintigraphie est soit 3 normale, soit hétérogène avec des zones d’hypofixation. 3 - Profil de Ihypothyroïdie, usuel dans cette forme de thyroïdite. 4 - Le goître n’est pas soufflant ici, il est vasculaire dans la maladie de Basedow. [39] :B 1 - Fréquente; l’atteinte parasympathique précède l’atteinte sympathique. 2 - Signe de neuropathie périphérique. 3 - Dû à un relâchement du sphincter vésical interne durant l’éjaculation. 4 - Sans rapport. [40] :B A - Non, c’est le cas des hypoglycémies “fonctionnelles”. B - Traduit une insulinémie inadaptée à la glycémie, s’étudie au mieux lors d’une hypoglycémie. C - Au contraire, il est élevé parallèlement à la sécrétion d’insuline. Il serait abaissé en cas d’administration exogène d’insuline. D E - Au contraire, tolbutamide et glucagon masquent des hypoglycémies dans ce contexte. Le glucagon agit comme stimulant de I’insulino-sécrétion et est parfois utilisé comme test déclenchant une hypoglycémie quand l’épreuve de jeune est restée négative. [41] :B B - Utilisé comme hypoprolactinémiant et comme anti-parkinsonien. [42] :ADE A - Avec aspect de “Buffalo neck”. B - Au contraire, la peau est fine, atrophique et fragile. C - Non, amyotrophie des racines des membres. D - En rapport avec l’hyperminéralocorticisme, peut être sévère. E - Signe très précoce chez la femme. [43] :BC A - Agit au bout de 15 minutes pendant 6 heures. B - Agit en 30 minutes pendant 16 à 18heures. C - Agit en 60 minutes pendant 18 à 20 heures. D - Agit en 90 minutes pendant 24 à 30 heures. E - Agit en 120 minutes pendant 30 heures. [44] :BD A - Non, il survient progressivement, en quelques heures ou quelques jours. Par définition, l’hyperosmolarité est le reflet d’une déshydratation intra-cellulaire. Cependant la déshydratation atteint les deux secteurs, intra et extra vasculaires. C - Non, la kaliémie est artificiellement majorée par l’acidose. En fait, la déplétion potassique est importante et est encore aggravée par l’insulinothérapie qui fait rentrer le potassium dans les cellules D - La fréquence respiratoire est proportionnelle à la sévérité de l’acidose, sauf dans les cas extrême où l’acidose est majeure, responsable d’une dépression respiratoire métabolique. [45] :C 1- C’est un signe d’adénome hypophysaire et non pas d’hypersécrétion de GH. 3 - Sans rapport. [46] :B B - Ou néoplasie endocrinienne multiple de type Il, il associe: - phéochromocytome - cancer médullaire de la thyroïde E - Peut également s’observer. [52] - hyperparathyroïdie dans 50% :AC des cas. On utilise l’hydrocortisone per os, à la dose de 30 à 40 mg par [47] jour chez l’adulte. On peut :D également recourir à l’acétate L’association d’un nodule de cortisone en intrathyroïdien froid en scintigraphie et d’une diarrhée inexpliquée doit musculaire, ou à l’hémisuccinate faire évoquer le cancer d’hydrocortisone en intramédullaire de la thyroïde et faire veineuse, en cas d’urgence on doser la thyrocalcitonine et rantigène carcino-embryonnaire. adjoint également au traitement un minéralo-corticoïde, en [48] pratique la 9 :D Le C peptide est un témoin de la alphafluorohydrocortisone ou Fluorocortisone®, un comprimé sécrétion résiduelle d’insuline à 50 microgrammes par jour, ou endogène chez le diabète la désoxycortone en intrainsulino-dépendant et sa musculaire en cas d’urgence. présence serait dun meilleur Le synacthène ne peut pas être pronostic, au niveau de employé, puisque la maladie réquilibration du diabète et de ses complications dégénératives. est surrénalienne. [53] [49] :CD :E B E - C’est au contraire son Trois diagnostics sont traitement. envisageables ici - le syndrome de Turner, avec un C - Risque d’hyperkaliémie. D - Risque de décompensation caryotype 45, XO d’une insuffisance surrénale - le pseudo-hermaphrodisme féminin par bloc enzymatique en aiguê par le biais d’une déplétion 21 hydroxylase, avec virilisation sodée. et un caryotype normal A - Sans rapport. - le retard pubertaire simple. [50] [54] :A :ABDE Une coarctation de l’aorte est associée dans 10 à 20% des cas. A - Elle est le plus souvent On peut également retrouver les permanente (60 %), avec ou sans crises paroxystiques malformations suivantes - cubitus valgus, racourcissement surajoutées. du 4ème métacarpien, anomalies B - Intolérance aux hydrates de carbone par: rénales, anomalies des ongles - diminution de la libération - hypertension artérielle, d’insuline, médiée par les télangiectasies intestinales récepteurs alpha-adrénergiques responsables dhémorragies - augmentation de la production digestives. hépatique de glucose, médiée [51] par les récepteurs :ABCE bétaadrénergiques. A - Impose l’arrêt immédiat du C - Au contraire, hypovolémie traitement. souvent responsable dune B - Exceptionnellement décrite. hypotension orthostatique. C - Dans le cadre de réactions D - Divers types de troubles du allergiques, pouvant associer rythme peuvent s’observer par également fièvre ou myalgies. 4 un effet adrénergique. E - C’est le symptôme le plus fréquent, présent dans 80% des cas. [55] :A 1 - Retard de fermeture de la fontanelle postérieure responsable d’une tête augmentée de volume comparée au corps. 2 - Sa persistance doit alarmer. 3 - La peau est typiquement sèche, pâle et froide. 4 - La hernie ombilicale est évocatrice, par hypotonie musculaire, mais pas la hernie inguinale. [56] :A Sans commentaire. [57] :C 1 - Non, il faut commencer par vérifier s’il y a toujours une cétonurie sur une urine fraîche (c’est-à-dire une urine nouvellement fabriquée, et non pas une urine récemment émise !). En effet, il peut s’agir d’une cétose de jeûne, n’imposant pas de supplément d’insuline ordinaire. 2 - Il faut rechercher une modification de l’alimentation qui aurait pu entraîner une hypoglycémie. En effet celle-ci entraîne également une cétonurie, en rapport avec un déficit en glucose intra-cellulaire (comme dans le cas d’un carence en insuline). 3 - Absolument pas. 4 - Ce nouvel examen permet, outre la vérification de la présence de la cétonurie, également la mesure de la glycosurie pendant cet intervalle de temps d’une 1/2 heure. [58] :A 1 - Il existe une atteinte musculaire clinique, biologique :ABE Celles-ci se trouvent généralement sur le bord postéro-interne des lobes latéraux du corps thyroïde, audessus du point de pénétration de l’artère thyroïdienne inférieure, au contact du cartilage cricoïde. [63] :AD La sécrétion de prolactine est régulée: - principalement négativement par la dopamine et ses agonistes - mais également positivement par la TRH, le vasoactiveintestinal-peptide (VIP) sous contrôle sérotoninergique et par les endorphines - les oestrogènes ont également un rôle de sensibilisation de l’hypophyse, en multipliant le nombre de cellules à prolactine. Enfin, le réflexe de succion est un puissant stimulant de la libération de prolactine chez la femme non gestante comme chez la femme enceinte. [64] : A.B.C.D A - Directement par [61] hypersécrétion de prolactine. :D B - Soit avec D - Cette dyspnée, ample et hyperprolactinémie, par profonde, est évocatrice déconnection hypothalamod’acidose, et corrélée au degré hypophysaire et suppression de facidose. Il s’agit d’un mécanisme de l’inhibition dopaminergique de régulation visant à éliminer du de la tumeur, ou par adénome mixte à GH et prolactine. Soit C02. avec galactorrhée sans E - On parle de “cétose de hypoprolactinémie, en rapport jeûne”, en rapport avec une lipolyse, elle-même secondaire à avec l’effet lactogène de la GH. C - Par élévation de la TRH. une D - Neuroleptique, action par carence en glucose intraeffet antidopaminergique. cellulaire. Il faut donc toujours E - Au contraire, la vérifier l’existence d’une prolactinémie est basse, dans cétonurie sur le cadre d’une insuffisance des urines fraîches, avant antéhypophysaire. d’injecter un supplément [65] d’insuline ordinaire. :ABCE [62] et histologique. 2- Par déficit en vitamine B12, mais le plus souvent, l’anémie est normocytaire. 3 - Elévation également des triglycérides, par défaut de dégradation et diminution du HDL. 4 - Non, le bilan hépatique est normal. [59] :D D - L’autonomie du nodule le rend insensible à l’administration d’hormone exogène. E - Ce test, test de Querido, permet de vérifier l’existence de parenchyme thyroïdien autour du nodule et sa normalité, n écarte l’hypothèse d’une hyperthyroïdie sur lobe unique. [60] :D A - La TSH ne s’élève pas puisque l’atteinte est hypophysaire. B C - L’hyperthyroïdie empêche toute réponse de la TSH à la TRH exogène. D - Oui, la réponse est ample et prolongée, avec une TSH de base déjà élevée, par défaut de rétro-contrôle négatif. 5 A - Dans 10 à 20% des cas. B - Il s’agit d’une transformation néoplasique des cellules C de la thyroïde, sécrétrices de thyrocalcitonine. La conséquence directe de cette hypersécrétion de calcitonine est la présence d’une diarrhée dans 30% des cas. C - Il s’agit du syndrome de Sipple (ou néoplasies endocriniennes multiples de type Il) associant cancer médullaire de la thyroïde, phéochromocytome et parfois hyperparathyroïdite primaire. D - Non, la précocité du diagnostic est essentielle au pronostic, d’où la nécessité d’un dépistage dans la famille par mesure de la calcitonine plasmatique basale et sous pentagastrine. E - ACE, calcitonine et L-dopadécarboxylase sont sécrétés par les cellules C normales et néoplasiques. Ils constituent des marqueurs biologiques [66] :D D - Le but est de freiner la sécrétion de TSH afin d’éviter toute stimulation tumorale par celle ci. L’hormonothérapie est donc impérative. E - La T4 est initialement remplacée par la T3, de demivie plus courte, qui est ellemême, arrêtée douze jours avant la scintigraphie. L’hormonothérapie doit être interrompue pour cet examen. [67] :C Il s’agit d’une neuropathie périphérique, sans participation pyramidale. C.A.D. = polynévrite ou multinévrite. A cette neuropathie périphérique peut s’associer une neuropathie végétative. [68] :E Elle est habituellement bilatérale mais fréquemment asymétrique. Elle est réductible au stade d’exophtalmie simple, mais ne l’est plus au stade d’exophtalmie oedémateuse. Elle est indolore mais s’accompagne d’une sensation de corps étranger intraoculaire avec larmoiement. [69] :D A - Classiquement, la maladie de Basedow s’accompagne d’une hyperthyroïdie, mais celle-ci n’est pas systématique. B - Le test au TRH est bloqué dans une hyperthyroïdie, par un rétro-contrôle négatif par les hormones thyroïdiennes au niveau hypophysaire. C - Les anticorps thyréostimulants, autrefois appelés Long Acting Thyroid Stimulator (LATS), sont des anticorps anti-récepteurs de la TSH. Ils ont plusieurs dénominations, qui sont fonction de leur méthode de détection, et sont présents dans 75 à 95% des cas, selon le type. L’intérêt de leur dosage dans la pratique clinique est très controversé = il serait diagnostique et pronostique. D - Non, la fixation au traceur est augmentée et homogène, non influencée par l’administration de thyroxine. E - L’hypercalcémie peut se voir dans l’hyperthyroïdie quelle que soit sa cause par hyperrésorption osseuse, effet direct des hormones thyroïdiennes. [70] :C A - Evolution extrêmement rapide, décès en moins d’un an dans 90 % des cas. La survie à 10 ans pour les autres cancers cités est: 6 B - De 44 à 86% suivant la différenciation. C - De 90%. D - De 80 %. [71] :C A - L’heure du prélèvement n’est pas précisée : 5 microg/100 ml à 20 h est normal. De plus, une cortisolémie isolée ne permet pas de déterminer le niveau de l’atteinte, surrénalienne ou hypophysaire. B - Le tableau n’est pas spécifique de la maladie d’Addison. Le diagnostic ne peut être affirmé qu’avec des dosages hormonaux. C - La stimulation par le synacthène est indispensable pour affirmer le niveau surrénalien du déficit. D - Le test à la métopyrone ne permet pas de dire si l’atteinte est surrénalienne ou hypophysaire. E - Non, I’ACTH plasmatique est élevée dans la maladie d’Addison. Dans ce cas, le traitement est uniquement symptomatique. [72] :ACD B - Inhibe la synthèse des catécholamines, en bloquant l’hydroxylation de la tyrosine en Dopa, à la dose de 1 à 4g par jour E - A ne donner qu’après administration d’alpha-bloquant car il y a un risque de crise hypertensive, cela, par bloquage de la vasodilatation médiée par les récepteurs béta Les bétabloquants sont utiles contre les troubles du rythme et la tachycardie. [73] :CDE A - Ils peuvent, plus rarement, être postérieurs ou rétroviscéraux. B - Non, car les récurrents passent au niveau de l’extrémité inférieure du lobe latéral du corps thyroïde, or le goître cervical étant plus fréquent, il s’accompagne plus souvent d’une paralysie récurrentielle que le goître endothoracique qui est rare. C - La compression peut être : trachéale, veineuse, nerveuse ou oesophagienne. D - Le volume du goître et le risque compressif aigu font préférer le traitement chirurgical au traitement médical long et dont le succès est incertain. [74] :CE Il freinent la biosynthèse des hormones thyroïdiennes: C - En bloquant lorganification de l’iode. E - Et en inhibant le couplage des iodothyrosines. De plus, le propylthiouracile inhibe la conversion périphérique de T4 et T3. En revanche, ils n’ont pas d’action sur l’effet des hormones thyroïdiennes ni sur la TSH. [75] :BD A et C - Le diabète insipide est d’origine hypophysaire par carence en ADH, son administration exogène est donc efficace. B - Le lithium entraîne un diabète insipide néphrogénique, dans lequel le tube collecteur rendu insensible à l’action de I’ADH, l’administration exogène de celle-ci est donc inefficace. D - Diabète insipide néphrogénique, même commentaire que B. E - Le trouble est primitivement un trouble de la soif, avec ADH normale. L’administration exogène d’ADH ne corrige donc pas le trouble, qui est surtout d’origine psychique [76] :BCD A - Il est responsable d’une hypertriglycéridémie mais pas d’une hypercholestérolémie ; en revanche, les deux troubles sont souvent associés chez l’obèse, avec potentialisation du risque vasculaire. B - Une hypercholestérolémie peut se voir dans tous les syndromes de rétention biliaire si la fonction hépatocellulaire est conservée. La surcharge est constituée d’une lipoprotéine anormale, la lipoprotéine X. C - Cette hypercholestérolémie par surcharge en lipoprotéines normales, est due à une exagération de la synthèse hépatique de rApo B, sous la dépendance de l’hypoprotidémie, et à un catabolisme freiné des lipoprotéines VLDL et LDL. D - Les hormones thyroïdiennes ont un rôle sur la synthèse, la mobilisation et la dégradation des lipides plasmatiques. E - Au contraire, il a été signalé une diminution inconstante du cholestérol total. [77] :ABC Dans ces trois situations, le seuil rénal du glucose est abaissé A - C’est même la définition que celle du diabète rénal. B - Il est donc fondamental, pour un diabétique insuffisant rénal, de surveiller sa glycémie au bout du doigt, et non pas sa glycosurie. C - En rapport avec l’hyperfiltration glomérulaire. D - Sans rapport. [78] :CDE A - Non, c’est la TBG (thyroïd Binding Globulin) qui est 7 impliquée, la thyroglobuline est un constituant de la colloïde, et fixe toute la T4, la T3 et presque tout le MIT et DIT intrathyroïdiens. B - Au contraire, sa libération de la thyroïde est freinée par la T4 et stimulée par la TSH. C - C’est une glycoprotéine iodée de poids moléculaire d’environ 660 000, constituée de quatres chaines peptidiques. D - C’est un constituant normalement intrathyroïdien, qui apparait dans le plasma lors de divers désordres thyroïdiens, dont le cancer. Elle n’est donc pas spécifique, mais c’est un marqueur biologique du carcinome. E - En effet, c’est une molécule exclusivement thyroïdienne. [79] :E Au contraire, le régime doit être normalement salé. c’est dans le cas d’une corticothérapie à visée anti-inflammatoire que le régime doit être désodé pour éviter une rétention hydrosodée. [80] :C A - Une T4 libre abaissée ne permet pas de dire si rhypothyroïdie est centrale ou périphérique. B - Elle ne signe pas rhypothyroïdiear l’hormonémie totale diminue en cas de baisse de la TBG (syndrome néphrotique, cirrhose, androgènes, traitement corticoïde). De plus, elle ne précise pas le niveau de l’atteinte, thyroïdienneu ou hypophysaire. C - Une TSH élevée signe l’hypothyroïdie périphérique (à l’exception des rarissimes adénomes hypophysaires à TSH). D E - Sont évocateurs, mais n’affirment pas le diagnostic. [81] :B Il s’agit dune nécrose hypophysaire à l’occasion d’un accouchement hémorragique. Elle se traduit par une insuffisance anté-hypophysaire partielle ou complète, avec absence de montée laiteuse dans le post-partum et aménorrhée sans bouffées de chaleur (puisque les gonadotrphines sont basses). Cependant, la symptomatologie peut être retardée. [82] :CD C - La thyroïdectomie totale est systématique car la maladie est multicentraique dans 80 à 100 % des cas. D E - L’examen extemporané des ganglions cervicaux est systématique car ceux-ci sont préconcement envahis mais le curage jugulaire interne n’est pas obligatoire. [83] :B La demi-vie de la T3 est de deux jours, alors que celle de la T4 est de 6-8 jours. Le délai d’action de la T3 est également plus court, et l’état d’équilibre est atteint en 10 jours pour la T3, et 5 semaines pour la T4 (5 fois la demi-vie). [84] :BCD A - Ce coma est plutôt évocateur d’une acidocétose ; le coma hypoglycémique est souvent agité. C - L’alcool favorise l’hypoglycémie en bloquant la néoglucogénèse hépatique. D - L’exercice physique favorise l’hypoglycémie en augmentant la consommation périphérique de glucose. L’hypoglycémie peut survenir pendant ou après l’effort, au moment de la reconstitution des réserves musculaire en glycogène. Il faut donc diminuer la dose d’insuline avant l’effort, et absorber des hydrates de carbone en quantité suffisante. E - Les diurétiques de l’anse et les thiazidiques sont hyperglycémiants. [85] :E 1 - Ils favorisent la multiplication des cellules hypohysaires à prolactine, et donc font oître un adénome. 2 - Par leur effet antidopaminergique. D’autres médicaments peuvent être incriminés réserpine, méthyldopa, cimétidine, opiacés. 3 - Elle s’accompagne d’une élévation de la TRH, qui stimule elle-même la sécrétion de la prolactine. 4 - Les adénomes à GH s’accompagnent également d’une hyperprolactinémie dans 30 à 40 % des cas - par déconnection pypothalamohypophysaire - car l’adénome est mixte, à GH et prolactine. [86] :B 1 - Rapportées au syndrome tumoral, souvent rebelles, 2 - Au contraire, prise de pids en rapport avec la croissance osseuse et l’infiltration des tissus mous. 3 - Signe d’évolution de la maladie 4 - Au contraire, intolérance aux hydrates de carbone, voire diabète patent. [87] :E 1 - La métopyrone inhibe la 11 bêta hydroxylase qui transforme le composé S en cortisol et la costisolémie chute. 8 2 - Cette chute de la cortisolémie constitue une levée du rétro-contrôle inhibiteur sur l’hypophyse, et I’ACTH plasmatique augmente. 3 4 - L’augmentation de I’ACTH plasmatique stimule la synthse de stéroïdes par la surrénale en fait la synthèse de composé S puisque celui-ci ne peut être transformé en cortisol. La positivité de ce test est donc marquée par une élévation du composé S plasmatique, et son métabolite urinaire, les 17 OH stéroïdes (qui sont aussi les métabolites du cortisol). Ce test étudie donc la persistance d’un rétro-contrôle surrénalo-hypophysaire. [88] :D La protrusion du globe oculaire et la parésie de la convergence sont des signes d’ophtalmopathie basedowienne. Les deux autres signes peuvent exister dans toutes les thyrotoxicoses, quelle que soit leur étiologie. [89] :C Le dosage de l’insulinémie doit toujours être compaté à celui de la glycémie. [90] :C C’est une des causes classiques d’insuffisance cardiaque à débit élevé (bien que ce paramètre soit rarement étuidé en pratique courante) ; cela étant dû à l’effet chronotrope positif et inotrope positif des hormones thyroïdiennes. [91] :C Le traitement par bêtabloquants et plus spécifiquement le propanolol (ou Avlocardyl®), est presque systématiquement associé au traitement par antithyroïdiens de synthèse. Les bêtabloquants s’opposent à vite que le Néomécarzole®, ce composé possédant un effet périphérique L’ iode minéral (Lugol®) aura lui aussi un effet rapide . Par contre, la chirurgie en urgence et riode radioactif sont contre-indiqués, pouvant aggraver la crise aiguê thyréotoxique. [98] :CD Sans commentaire. [99] :ABCE Avec la classique triade associant: céphalées, palpitations, sueurs et pâleur. HTA paroxystique, douleurs thoraciques constrictives, angoisse, tremblements. [100] :A Lanaplasique étant quant à lui, [94] celui de moins bon pronostic. :BCDE [101] En l’absence d’envahissement :D ganglionnaire et de métastase, Sous traitement hormonal le traitement est chirurgical. freinateur, la TSH n’est plus Liode radioactif n’est pas indiqué dans ce type de cancer stimulable sous TRH. [102] non hormonodépendant. :A [95] Sans commentaire. :AB [103] LActrapid® agit après 15 :D minutes pendant 6 à 8 heures. FSH et LH, normalement élevées LEndopancrine® 40, après 20 minutes pendant 6 à 8 heures. chez une femme ménopausée (cas probable chez cette patient [96] de 55 à 60 ans), sont, dans le :BC Ce sont deux insulines d’action- contexte d’insuffisance antéhypophysaire, normales ou intermédiaire; la Rapitard® abaissées. contenant en plus une composante ordinaire. La [104] Rapitard® agit après 20 :D minutes, pendant 14 à 20 C’est plutôt le cancer vésiculaire heures. La Monotard® après environ une heure pendant 18 à qui provoque des métastases osseuses. 20 heures. Ce sont cependant Un cancer peut se révéler par un des données théoriques, et il nodule froid mais seulement 10 à peut exister des variations 15% des nodules froids sont individuelles. cancéreux. [97] [105] :BDE :C On utilisera de préférence le La thyroglobuline constitue un propylthiouracile qui agit plus l’hyperactivité sympathique rencontrée au cours des hyperthyroïdies. L’Avlocardyl® possède de plus une action périphérique d’inhibition de la conversion de T4 et T3 au profit de la rT3. [92] :B L’hyperglycémie est possible au cours des phéochromocytomes, mais elle s’associe à une insulinémie normale ou basse (inhibition de la sécrétion d’insuline par les catécholamines). NB: L’hypokaliémie n’est pas de règle mais est possible. [93] :C Ce n’est pas une ostéomalacie mais une ostéoporose. 9 marqueur biologique de choix d’un cancer thyroïdien différencié opéré. La présence de quantités détectables de Tg implique l’existence d’un tissu de nature thyroïdienne en activité (non fiable à 100%). [106] :BD La tuberculose était auparavant la cause la plus fréquente, actuellement, c’est la rétraction corticale auto-immune. [107] :ACDE Sans commentaire. [108] :BC Le papillaire, bien que lymphophile, donne souvent des métastases locorégionales ou pulmonaires. [109] :D Un nodule extinctif est généralement bénin (mais dans 1% des cas, on aurait trouvé un cancer). [110] :ADE Les calcifications corticosurrénaliennes sont un des signes les plus évocateurs de l’origine tuberculeuse d’une insuffisance surrénale. [111] :AD Sans commentaire. [112] :C Tout nodule non fixant doit être considéré jusqu’à preuve du contraire, comme possiblement malin. [113] :E Il existe une différence de 0,2 gIl (1,1 mm/l) entre le plasma veineux et le sang total. (Le dosage sur plasma veineux étant supérieur). [114] :C Au contraire, les sujets atteints de panhypopituitarisme ont tendance à faire des hypoglycémies. [115] :E La réactivité de la sécrétion daldostérone s’apprécie lors de la mise en orthostatisme. [116] :E Les données histologiques n’ont pas de valeur formelle. [117] :CD D’où rextrême prudence nécessaire lors d’une intervention de lobectomie ou de thyroïdectomie. [118] :ABC (Mauvaise question car la surveillance après plusieurs années ne se fait pas au même rythme!). La thyroglobuline doit rester indétectable. La fréquence des scintigraphies dépend des équipes; souvent ron effectuera une scintigraphie après la chirurgie puis à 6 mois et le rythme ultérieur sera guidé par l’évolution et les écoles, le plus souvent une fois par an pendant deux ans, puis généralement tous les cinq ans (sauf anomalie lors du dosage de thyroglobuline). [119] :ABCD L’iode radioactif constitue le traitement des métastases. [120] :ABCE Il faut savoir qu’une hypotension orthostatique peut révéler un phéochromocytome et que rhypertension artérielle paroxystique, quoique classique et évocatrice, ne constitue quun des troubles tensionnels possible. [121] :AE En cas d’insuffisance rénale, le seuil rénal du glucose est élevé, faisant de la glycosurie un mauvais moyen de surveillance chez un diabétique insuffisant rénal. [122] :ACE Sans commentaire. [123] :AB Une règle majeure: toujours corriger le déficit corticotrope avant le déficit thyréotrope (risque vital dans le cas contraire) [124] :E La durée totale du traitement doit être supérieure à 12 mois. Une dose élevée sera prescrite pendant les premiers mois avec décroissance progressive en fonction de l’évolution clinique. [125] :B Jamais de K+ au début du traitement dune insuffisance surrénalienne aiguê. Les antibiotiques peuvent être utiles dans le cas d’une éventuelle infection, responsable de la décompensation. [126] :E Sans commentaire. [127] :C Lamiodarone est contre-indiquée chez les sujets porteurs de dysthyroïdie (que ce soit une hyper ou hypothyroïdie). [128] :CE Forme rare de certains goitres basedowiens. La chirurgie est préconisée pour être sûre qu’il n’existe pas de cancer thyroïdien sur Basedow. [129] :AE Mais la migration dans le médiastin postérieur est très rare; celle-ci se fait généralement dans le médiastin antérieur. La voie 10 d’abord chirurgicale est double: cervicale et thoracique. [130] :BCE La thyroïdite subaiguê de De Quervain est une des causes classiques de scintigraphie blanche (de même que l’hyperthyroïdie par surcharge iodée, par prise d’hormones thyroïdiennes, lathyréose, l’ectopie thyroïdienne). [131] :ABCDE Dans le cadre du NEM : type lia (syndrome de Sipple) associant hyperparathyroïdie, cancer médullaire de la thyroïde, phéochromocytome ; NEM type llb associant cancer médullaire de la thyroïde, névromes muqueux, anomalies de squelette au phéochromocytome (syndrome dysmorphique). Il existe une forme associée à la maladie de Von-Lippel-Lindau. [132] :C La thyrocalcitonine constitue un marqueur de cancer médullaire à stroma amyloïde, développé à partir des cellules C sécrétrices de calcitonine. [133] :AC Il est nécessaire d’effectuer, entre autre, un bilan thyroïdien avant la mise sous Lithium. [134] :E Les anticorps antithyroïdiens (antithyroglobuline et antimicrosomes) doivent être présents à un taux significatif. [135] :B Le piège serait d’associer dans ce cas un régime hyposodé à un traitement par hydrocortisone. [136] :B Ces deux pathologies s’accompagnent d’une hypersécrétion d’ACTH, à l’origine de la mélanodermie. [137] :D Le cancer papillaire est très lymphophile, au contraire du cancer médullaire qui métastase par voie sanguine. [138] :ABE Goître ectopique correspondant au trajet embryologique de l’ébauche thyroïdienne. [139] :ABCD Les dysfonctionnements sexuels chez l’homme sont : diminution de la libido, éjaculation rétrograde, impuissance dont l’étiopathogénie est vasculaire (30 %), neurologique (30 %), psychologique (30 %). Chez la femme, il s’agit essentiellement d’une diminution de la libido. [140] :ACDE L’hyponatrémie est secondaire à une séquestration liquidienne qui entraîne une hyperhydratation intracellulaire par hypoosmolarité sanguine. L’hypercapnie est secondaire à l’hypoventilation ; l’hypoglycémie est rare, surtout présente si l’origine de l’hypothyroïdie est hypophysaire. [141] :A Il s’agit de l’hyperlipidémie de type I selon la classification de Frederickson. Il s’agit d’une affection familiale autosomique sur mode récessif. Le risque principal en est la pancréatite aiguê. [142] :ABD A - Le chylomicron est formé de TG, phospholipides, cholestérol formant des particules. E - Le test de décantation s’effectue sur du sérum conservé à 4° pendant 24 h minimum. Les CM remontent à la surface en une couche crémeuse superficielle. [143] :B Une exophtalmie pulsatile est évocatrice de fistule artérioveineuse. [144] :C Il s’agit d’un cancer sécrétant de nombreuses substances (calcitonine, prostaglandines, kinines) à l’origine de diarrhée motrice rebelle, de troubles vasomoteurs à type de flush, de variations tensionnelles brutales dhypocalcémie. [145] :E L’hypoglycémie s’accompagne de signes neurologiques et de signes catécholaminergiques (notamment tachycardie). [146] :DE Sans commentaire. [147] :BC Sans commentaire. [148] :CDE Sans commentaire. [149] :D Lhypothyroïdie médicamenteuse secondaire à une prise de produits contenant de l’iode (cordarone, produits de contraste...) s’associe à une iodémie totale élevée, des taux de T3 et T4 effondrés, une fixation nulle à la scintigraphie. [150] :C Le tonus dopaminergique provoque la synthèse et la libération de PIF. La dopamine a une action inhibitrice sur la sécrétion de prolactine.; la 11 compression de la tige pituitaire entraîne une déconnection hypothalamo-hypophysaire bloquant l’action dopaminergique. [151] :D Au cours du coma hyperosmolaire, l’hyperglycémie dépasse toujours 33 mmols/l. [152] :E Sans commentaire. [153] :BDE Chez l’homme, la symptomatologie est moins bruyante (troubles de la libido, impuissance rare, gynécomastie avec ou sans galactorrhée), le diagnostic est souvent fait au stade de microadénome. [154] QUESTION ANNULEE [155] :ABCD Sans commentaire. [156] :ADE Ces examens permettent d’établir rorigine surrénalienne ou hypophysaire [157] :CE Sans commentaire. [158] :E L’absence de surcharge liquidienne et d’oedème est un signe négatif très important dans le diagnostic d’un syndrome de Conn. [159] :E Sans commentaire. [160] :C Sans commentaire. [161] :B Il s’agit dune hypokaliémie avec alcalose métabolique. [162] :D La surveillance de la NFS doit être régulière surtout en début de traitement. [163] :C L’HTA avec hypokaliémie et alcolose métabolique doit faire évoquer un hyperaldostéronisme primaire. Le phéochromocytome peut être associé à des phacomatoses, au cancer médullaire de la thyroïde (syndrome de Sipple). [164] :B Les oestrogènes élevant la sécrétion antihypophysaire, par action antiédopaminergique. [165] :BCD Sans commentaire. [166] :C Sans commentaire. [167] :C Ce sont les sulfamides qui augmentent la sécrétion pancréatique d’insuline. [168] :B Sans commentaire. [169] :C Lhyperthyroïdie est à l’origine d’une gynécomastie par augmentation de la production hépatique d’oestrogène, par conversion accrue des stéroïdes circulants. [170] :D Sans commentaire. [171] :ABCE Sans commentaire. [172] :BCE Il existe une hypodypsie et un appétit exagéré pour le sel. [173] :D Lexérèse chirurgicale n’est souvent pas réalisable du fait de lextension locale. La cobaltothérapie cervicomédiastinale nest intéressante qu’en cas d’extension locale limitée, en labsence de métastases à distance. Les résultats du traitement demeurent mauvais. [174] :C Sans commentaire. [175] :C Sans commentaire. [176] : A ou B La sécrétion de cortisol est de lordre de 10 à 30 mg par jour. [177] :D Sans commentaire. [178] :C Les biguanides n’ont aucune action au niveau pancréatique. [179] :AC Sans commentaire. [180] :ABDE L’exopthalmie oedèmateuse maligne se caractérise par une saillie des globes oculaires, non réductible, associée à des signes inflammatoires locaux majeurs (paupières, conjonctives) et des atteintes neuromusculaires (III, IV paires crâniennes). Elle est plus fréquente chez rhomme, spontanée ou provoquée par un traitement trop brutal de la thyréotoxicose. [181] :ABCD Sans commentaire. [182] :A Le taux de C-peptide sanguin est bas en cas de diabète, par carence insulinique. 12 [183] :D Sans commentaire. [184] :ABE Le test de restriction hydrique est la principale épreuve diagnostic du diabète insipide: on constate une absence de sécrétion réactionnelle dADH : la clairance de l’eau libre reste positive tout au long de l’épreuve. Le risque en est la déshydratation globale majeure. [185] :AB Sans commentaire. [186] :BDE Sans commentaire. [187] :BCD Ces trois médicaments peuvent entraîner une surcharge en iode. [188] :ACDE Les premiers signes sont l’absence de lactation, labsence de repousse des poils pubiens, rabsence de retour de couches (avec aménorrhée sans bouffée de chaleur ni sueur). [189] :B Les anticorps antimicrosomiaux sont quasiconstants, les anticorps antithyroglobuline peuvent être négatifs dans 10 à 20 % des cas histologiquement prouvés. La thyroïdite de Hashimoto prédispose au lymphome malin thyroïdien (risque relatif = 67) et nécessite une surveillance prolongée. [190] :C Le goitre de la thyroïdite autoimmune apparaît en général progressivement, sans douleur, sans signe de compression ; il est hétérogène voire multinodulaire dans 20 % des cas, de consistance ferme voire même franchement dure. Lhypothyroïdie de cette forme de thyroïdite est inévitable et progressive succédant à une phase dhyperthyroïdie fugace et transitoire puis à une phase deuthyroïdie plus ou moins prolongée. [191] :D Les antialdostérones sont les médicaments les plus adaptés pour traiter la sécrétion excessive daldostérone par un adénome de la corticosurrénale (syndrome de Conn) en règle ils sont donnés avant rintervention chirurgicale, permettant de corriger rhypokalémie et de prévoir la réussite du traitement chirurgical suivant la normalisation de la kaliémie. [192] :E Lhyperuricémie peut être due à un excès de production d’acide urique par augmentation de la purinosynthèse de novo (C, goutte primitive), par augmentation du catabolisme des acides nucléiques endogènes (B), par augmentation du catabolisme des acides nucléiques alimentaires liée à la prise excessive daliments purinofores c’est-à-dire particulièrement riches en nucléoprotéines (A). Elle peut aussi être due à une défaut d’élimination rénale (D) mais il n’y a pas de preuve que le défaut délimination intestinale soit un mécanisme de production de l’hyperuricémie. [193] :ACDE Les hématomes sous-duraux se voient surtout mais pas exclusivement chez lenfant. [194] :AD B C. Il existe une hyponatrémie avec volumes extracellulaires augmentés. E. Il existe une acidose métabolique avec trou anionique élevé. D. La déshydratation peut être hyponatrémique en particulier dans les circonstances où seules les pertes hydriques sont compensées. [195] :ACDE A D. Acidoses métaboliques par perte de bicarbonates, avec hyperchlorémie et trou anionique normal. C E. Acidoses avec trou anionique élevé. plus grande partie du cholestérol lié au LDL). [199] QUESTION ANNULEE. [200] :ACD Lors de Ihypertriglycéridémie de type IV alcoolo-dépendante, le cholestérol HDL et l’apo Al ne sont pas diminués (de même en cas destrogénothérapie) au contraire des autres formes de types IV. Les marqueurs de l’athérosclérose sont l’augmentation du cholestérol LDL, la baisse du cholestérol HDL ; l’élévation de l’apo B et la baisse de l’apo Al semblent être les marqueurs les plus fidèles. L’élévation primitive du cholestérol HDL est associé à des taux de morbidité coronarienne faibles (syndrome de longévité). [201] :BD F.S.H. est constamment élevée en raison de l’altération de la spermatogénèse. La testostéronémie est le plus souvent abaissée, parfois normale, correspondant aux cas de Klinefelter normoandres, la LH est donc le plus souvent élevée, à un degré moindre que la F.S.H.. [202] :E La clairance de l’eau libre est positive et le reste, lors de l’épreuve de restriction hydrique, mais losmolalité urinaire s’élève après l’injection en fin d’épreuve de vasopressine ou de DDAVP. [196] :BDE Sans commentaire [197] :BD L’alcool peut être responsable dune majoration de la réponse insulinique induite par rabsorption de sucre (signes de glucopénie après vodka-orange) mais ninduit pas directement de sécrétion insulinique. L’hypoglycémie postalcoolique proprement dite est plus rare s’observant surtout chez l’enfant, chez le sujet dénutri en jeûne prolongé. L’alcool bloque en effet la néoglucogénèse hépatique et la glycogénolyse est également inefficace, les réserves glycogéniques du foie étant épuisées ou très faibles (enfant). [198] :B La carence en hormones thyroïdiennes entraîne une diminution de la synthèse du cholestérol par baisse de l’activité de HMG C0A réductase mais une diminution encore plus importante de son catabolisme (les hormones thyroïdiennes [203] stimulent l’expression des :A récepteurs au LD2 en particulier Lors de rhyperparathyroïdie au niveau du foie qui est secondaire à l’insuffisance responsable de l’épuration de la 13 rénale, la phosphorémie est normale ou haute par trouble de l’excrétion des phosphates. Dans le cadre des hypercalcémies des cancers on peut distinguer deux types : le premier où l’hypercalcémie est liée à la présence de métastases osseuses, la phosphorémie est normale, rAMPc urinaire est bas; le second appelé “hypercalcémie humorale maligne” où les métastases osseuses sont absentes ou peu étendues, l’hypercalcémie s’accompagne dhypophosphorémie, d’un AMPc urinaire élevé mais il existe une alcalose hypochlorémique hypokaliémique et non l’acidose hyperchlorémique de l’hyperparathyroïdie primaire, elle est liée au PTHrp : parathormone related peptide (ou parathormone like peptide). Le granulome sarcoïdien est capable d’hydroxyler la vitamine D, l’hypercalcémie de la sarcoïdose est liée à cette hypervitaminose D et se révèle souvent à l’occasion d’une exposition solaire. [204] :ABCDE L’hyperthyroïdie fait partie des causes d’hypertension artérielle surtout systolique. Au cours des hypoglycémies on peut voir des poussées tensionnelles liées à l’élévation des catécholamines. L’hypertension du syndrome de Cushing est en partie attribuée à l’effet minéralocorticoïde propre lié à l’excès du cortisol et à un effet favorisant la sécrétion d’angiotensinogène. [205] :CDE La natrémie est le plus souvent élevée, elle peut parfois être normale voire légèrement abaissée (mais réalisant alors une hyponatrémie mesurée avec osmolarité plasmatique augmentée et donc déshydratation intra-cellulaire). Une acidose métabolique modérée avec trou anionique, expliqué par la rétention de phosphates sulfatés due à l’insuffisance rénale, par la production accrue de lactates, se rencontre dans 50 % des cas ; la réserve alcaline n’est pas effondrée comme dans l’acidocétose. Les taux d’insuline sont insuffisants pour contrôler l’hyperglycémie mais capable d’empêcher lipolyse et cétogénèse : ainsi les taux d’acides gras libres sont inférieurs à ceux constatés lors de l’acido-cétose. E. en liaison avec l’hémoconcentration. [206] :BCD Il s’agit d’une polyurie hypotonique liée à une carence vraie ou fonctionnelle en ADH ou à une insensibilité du tubule distal à I’ADH, comme on peut le voir, entre autres, dans l’hypercalcémie et l’hypokaliémie. [207] :ABCDE A. Le diabète est lié surtout à une insulinorésistance et I’HTA à l’hypervolémie circulante. C. Les catécholamines induisent I’HTA et un diabète a) par augmentation du débit glucosé hépatique par stimulation de la glycogénolyse hépatique (abéta2), du glucose par les muscles (béta2) c) pas stimulation de la glycogénolyse musculaire (béta2) et de la lipolyse (bétal) d) par inhibition de la sécrétion d’insuline et stimulation de la sécrétion de glucagon. E. Le cortisol stimule la production hépatique de glucose et induit une insulinorésistance périphérique ; son action minéralocorticoïde et favorisant la 14 sécrétion d’angiotensinogène pourrait expliquer I’HTA. D. Le syndrome de Turner fait partie des nombreux syndromes génétiques causes de diabètes secondaires ; l’hypertension artérielle est fréquente avec ou sans coarctation. B. L’intolérance aux hydrates de carbone est plus fréquente que le diabète vrai dont l’incidence est de 2 ou 3 % lors de la thyrotoxicose. L’hyperthyroïdie aggrave le diabète pré-existant, en raison de l’élévation de l’absorption glucosée et du raccourcissement de la demivie plasmatique de l’insuline. L’hyperthyroïdie entraîne une HTA systolique. [208] :CD Se souvenir que les diurétiques entraînent une hyperuricémie par hypo-uricurie. Luricémie est élevée lors de la crise de goutte, rarement elle peut être transitoirement normale lors de crises pluri-articulaires très inflammatoires. Dans 50 % des cas la localisation initiale de l’accès aigu typique est la métatarsophalangienne du gros orteil. [209] :ABCE Sans commentaire. [210] :ACD Lhypercholestérolémie essentielle, type Il A et quelle que soit sa variété polygénique, familiale avec ses trois degrés, forme mineure xanthomatose tendineuse hypercholestérolémique familiale, forme homozygote de xanthomatose cutanéotendineuse, possède la même ‘formule” biologique: - sérum clair après 12 heures [219] :C Le coma hyperosmolaire possède un début insidieux progressif sur plusieurs jours et survient dans 95 % des cas chez des diabétiques non insulinodépendants. D. cf commentaire[205]. [220] :ABC La moindre arrivée de sodium au niveau de la macula densa [215] entraîne, probablement par la :E médiation de prostaglandines, Le terme de tophus goutteux l’augmentation de la sécrétion désigne un dépôt d’urate de de rénine puis d’angiotensine Il sodium volumineux qui peut se et d’aldostérone. faire dans le rein en particulier Une restriction sodée sévère rinterstitium au même titre quau induit une inappétence. vrai siège d’élection quest le Une telle restriction sodée pavillon de roreille. Question mal posée, cependant il (environ 1,25 g de chlorure de sodium) n’est pas prescrite faut savoir que ratteinte rénale dans l’hypertension artérielle histologique est quasi constante habituellement où l’on se à rautopsie des goutteux. contente d’une restriction [216] modérée. :ABCE [221] Le déficit oculomoteur touche le :ABCDE plus souvent le droit inférieur, Le vrai type V est très rare, entraînant un défaut d’élévation beaucoup d’aspect souvent unilatéral ou électrophorétiques de type V asymétrique. (hyperchylomicronémie et Une mydriase est possible en hyperprébêta-lipoprotéinémie) particulier dans l’exophtalmie sont en fait des types IV maligne avec compression du “engorgés” où nerf optique. Ihyperchylomicronémie est liée [217] à un défaut transitoire du :ABCDE catabolisme des chylomicrons Il existe des signes liés à la en compétition avec le taux très contre-régulation (ACDE) qui élevé de VLDL. peuvent prendre raspect de Le vrai type V possède une bouffées vasomotrices souvent alternées avec une pâleur et des double dépendance aux graisses alimentaires et aux signes directs sucres. Après décantation il neuropsychiques(B). existe 2 phases : un anneau [218] crémeux lié aux chylomicrons, :ABC un aspect lactescent lié au QUESTION ANNULEE. La tuberculose surrénale n’est VLDL. [214] pas l’apanage des calcifications Les triglycérides (VLDL) sont :C surrénaliennes bilatérales. très augmentés et entraînent du Il n’y a pas d’urgence à une L’atteinte médullosurrénale se fait de leur contenu en éventuelle insulinothérapie car il manifeste par l’absence de n’y a pas de cétonurie. réponse hyperadrénalurique lors cholestérol une petite augmentation du cholestérol La première mesure de l’épreuve au 2. (en pratique quand le rapport thérapeutique est désoxyglucose. de jeûne - augmentation du cholestérol total du cholestérol LDL et de l’apo B - triglycérides normaux - cholestérol HDL et sa principale apo protéine Al normaux ou diminués - augmentation des béta-lipo protéines (LDL) en électrophorèse. [211] :B Le signe le plus précoce de glomérulopathie diabétique est l’apparition d’une microalbuminurie couplée à une augmentation de la filtration glomérulaire et du volume rénal. La microalbuminurie est détectée par une méthode radio-immunologique ; elle n’est pas détectée par les bandelettes urinaires dont le seuil est de 300 mg protéines par litre. [212] :C La thyroglobuline est le marqueur des épithéliomas différenciés thyroïdiens après le traitement, indétectable après destruction totale du tissu thyroïdien. En l’absence de reliquat thyroïdien le dosage de thyroglobuline pendant le traitement par T4 permet de suspecter une rechute, la sensibilité diagnostique est accrue par une stimulation par TSH préalable au dosage. En présence de reliquats thyroïdiens, les résultats sont moins satisfaisants. [213] l’amaigrissement, donc régime hypolipidique car le plus hypocalorique. Question mal posée car un régime purement hypolipidique serait hyperglucidique et risquerait de faire rentrer le sujet dans une zone à risque de pancréatite aigué (triglycérides>15 g/l). Ici le régime doit être sévère et “hypo-tout”. 15 l’épreuve, le régime doit apporter au moins 300 g de glucides - l’activité physique doit être normale pendant la période précédant l’épreuve - aucune affection aiguê ne doit être survenue dans les 15 jours [222] précédant l’examen :ABCDE Lors de l’hypoglycémie il existe - pas de prise de médicament modifiant la tolérance glucidique des signes dhyperadrénergie en particulier au niveau de roeil, - à jeun depuis 12 heures au des signes de neuroglucopénie moins et 18 heures au plus - pendant l’épreuve le malade avec possibilités dirritation peut boire de l’eau mais pas de pyramidale. thé ou café et il ne doit pas [223] fumer. :C - examen réalisé au repos dans L’oedème maculaire pose de une ambiance calme. délicats problèmes [228] thérapeutiques, des études :D récentes sont en faveur du Il faut se rappeler que le 99 mTc traitement laser précoce dans n’est pas organifié par la thyroïde ce cas, qu’il y ait ou non une contrairement à l’iode radioactif baisse d’acuité visuelle. 131 ou 123. [224] [229] :C QUESTION ANNULEE L’hypothyroïdie primaire peut [225] s’accompagner de troubles :C menstruels en particulier par le Les hypoparathyroïdies et pseudohypoparathyroïdies sont biais d’une hyperprolactinémie associée. d’autres causes endocriniennes. La cataracte au La plupart des femmes cours du diabète est volontiers hyperthyroïdiennes ont des cycles normaux. sous capsulaire postérieur. [230] [226] :E :A Cf commentaire [207] L’arrhénoblastome ou androblastome est la forme la [231] plus fréquente des tumeurs virilisantes de l’ovaire à l’origine : D On n’observe pas habituellement d’un hirsutisme. danticorps anti-microsomiaux C. Donne un syndrome d’hyperoestrogénie, cependant marquant ainsi une différence avec la thyroïdite auto-immune. il existe quelques cas de Cependant dans 50 %, on tumeurs virilisantes à cellules observe transitoirement la de la granulosa. présence danticorps [227] antithyroglobuline à des taux peu :B significatifs. Un certain nombre de [232] conditions doit être respecté :C pour la validité de l’HGPO: - absorption de 75 g de glucose Les bandelettes Keto-diastix® et dilué dans 200 à 300 ml d’eau, Keto-diabur® détectent le glucose à conditions que les en moins de 5 minutes corps cétoniques, acétone et - les 3 jours précédents triglycérides sur cholestérol (en g/l) est voisin de 5, on peut penser que l’augmentation du cholestérol est liée à celle des triglycérides). 16 acétoacétate, ne soient pas très positifs ; elles ne détectent pas le béta hydroxybutarate pourtant produit préférentiellement lors de l’acido-cétose. [233] :C Evident. [234] :ACD Lhyperlipoprotéinémie de type III est caractérisée par: - un sérum opalescent à jeun - une augmentation importante et très équilibrée du cholestérol total et des triglycérides (de rordre de 4 à 5 g/l le plus souvent) - une broad-bêta lipoprotéine lors de l’électrophorèse des lipides - une “VLDL” anormalement riche en cholestérol en ultra centrifugation - une grande fréquence du phénotype homozygote E2/E2 de rapo E. Le type III peut se voir dans rhypothyroïdie qui donne principalement des types Il a. [235] :DE Les acides gras essentiels sont: acides linolénique, linoléique et arachidonique. [236] :D Lorsque la glycémie est élevée lors du début de l’exercice à fortiori s’il existe une cétose, rexercice aggrave les perturbations métaboliques: le débit glucosé hépatique s’exagère considérablement, la captation du glucose est faible, la lipolyse et la cétogénèse s’emballent. Il faut savoir que la période “à risque’ pour rhypoglycémie se situe lors de la phase de récupération, phase qui peut durer jusqu’à 10 heures lors d’efforts intenses et prolongés et qui est celle où le muscle reconstitue ses Le risque d’hyperthyroïdie des sujets porteurs d’un goitre simple est accru. [240] :A La carence en minéralocorticoïdes et en glucocorticoïdes explique la fuite urinaire de sodium, de chlore et d’une quantité d’eau proportionnellement moins importante dans l’insuffisance surrénale primaire décompensée. Il en résulte une hyponatrémie, une déshydratation extracellulaire et un transfert d’eau du secteur extracellulaire vers le secteur intracellulaire, expliquant les troubles de conscience et les crampes. [241] :D La potomanie suscite après un certain temps d’évolution un diabète insipide induit par mise au repos de l’appareil neurohypophysaire sous l’effet d’une hypotonie plasmatique. Le principe de l’épreuve de déconditionnement est l’emploi initial d’extraits posthypophysaires et la substitution progressive de placébo : si la polyurie disparaît, le diagnostic de potomanie est posé ; si la polyurie ne se modifie pas du tout, il s’agit d’un diabète insipide organique vrai si la polyurie s’améliore incomplètement, il peut s’agir d’un diabète insipide vrai partiel ou avec composante de potomanie. [242] [239] :D :E Le goitre simple caractérisé par Une partie des acides aminés l’existence d’un goitre associé à provenant du catabolisme est utilisée telle quelle pour la une euthyroïdie clinique et resynthèse de protéines, une biologique doit être différencié autre partie est transaminée pour du goitre endémique qui apparait chez des sujets le plus former d’autres acides aminés utilisables pour la synthèse. souvent en carence iodée. L’opothérapie thyroïdienne peut [243] faire régresser le volume du goitre et doit être poursuivie au QUESTION ANNULEE. [244] moins un an. réserves de glycogène à partir du glucose : la prise de suppléments de sucres complexes, à la fin de l’exercice et répétée quelques heures plus tard, est indispensable. [237] :B La macroangiopathie est la cause principale de décès chez le diabétique : en particulier par sa localisation coronarienne. S’il n’existe pas de différence histologique entre athérosclérose du sujet non diabétique et macroangiopathie diabétique, cette dernière se caractérise par sa topographie distale artériolaire. Dans l’artérite des membres inférieurs, on note une atteinte quasi-constante des axes des jambes, le tronc tibiopéronien en étant la zone d’élection. La fémorale profonde est touchée plus tôt et plus intensément que dans l’athérome banal. [238] :B En cas d’hyperhydratation globale, le débit urinaire est faible, car cette situation est en général conséquence chez un malade oedémateux d’une surcharge hydrique entraînant soit un bas débit cardiaque (insuffisance cardiaque) soit une hypovolémie circulante (cirrhose décompensée, syndrome néphrotique). 17 :E Le diagnostic de S.I.A.D.H. repose sur l’association des critères biologiques suivants: hyponatrémie avec hypoosmolalité plasmatique ; natriurie importante en phase de constitution de l’hyponatrémie puis en régime stable, natriurèse adaptée aux apports ; urines plus concentrées que le plasma (elles devraient être à dilution maximale) ; fonction rénale normale, fonctions surrénale thyroïdienne hypophysaire normales ; et absence de signes cliniques d’hypovolémie ou d’inflation hydrosodée. L’uricémie est le plus souvent abaissée tandis qu’en règle la kalémie et le ph sont normaux. [245] :ADE L’insuffisance rénale fonctionnelle c’est-à-dire consécutive à une réduction de la pression de perfusion rénale et, en conséquence, de la filtration glomérulaire peut s’observer en cas d’hypovolémie vraie (A) ou en cas d’hypovolémie “efficace” (D E). Les urines sont concentrées, riches en créatinine et en urée avec en particulier un rapport U/P de l’urée> 8 ; la concentration en sodium des urines est basse (sauf en cas de perte rénale de sodium où sa concentration reste > 20 meq/l) et inférieur à celle du potassium du fait de l’hyperaldostéronisme réactionnel à la baisse de perfusion rénale. [246] :BCDE L’hyperkaliémie peut être secondaire à un défaut d’excrétion rénale (D), à un transfert du potassium cellulaire vers le secteur extracellulaire lors des acidoses (E), ou des lyses cellulaires (BC). Lors de l’acido-cétose diabétique, la kaliémie peut être haute, normale ou basse, mais il y a toujours un déficit potassique qui va se révéler pendant les premières heures du traitement et que l’on peut apprécier à environ 5 mEqlkg. [247] :BD Une hyperphosphorémie existe dans 20 % des cas, l’anomalie la plus fréquente du métabolisme phosphocalcique est l’hypercalcémie (50 % des cas). Le plus souvent il n’existe qu’une formation partielle de la G.H. lors de I’H.G.P.O., parfois on retrouve une ascension paradoxale. L’hyperprolactinémie peut s’expliquer par un adénome mixte ou par la compression de la tige pituitaire qui lève l’inhibition hypothalamique des cellules prolactiniques. Le “bec acromégalique” désigne la saillie du tubercule de la selle turcique. [248] :ABCD Chez l’homme, l’apport de vitamine K est assuré par l’alimentation et surtout par la synthèse de la flore intestinale. La vitamine K nécessite pour son absorption intestinale une sécrétion biliaire normale. En cas d’insuffisance hépatique sévère la synthèse des facteurs de la coagulation vitamine K dépendants, entre autres, n’est plus assurée. [249] :BD Il s’agit d’un traitement substitutif à vie et non d’une corticothérapie au long cours Le traitement doit prescrire tout diurétique, laxatif et apport de potassium. [250] :BDE L’insulinopénie, au moins relative, est le point de départ d’une séquence logique qui mène à l’acidocétose. B. Cf commentaire [236]. D E. Erreur habituelle de raisonnement des diabétiques qui savent que s’ils injectent leur dose habituelle d’insuline tout en mangeant moins, ils feront une hypoglycémie : survient alors une infection ou des troubles digestifs, le malade n’a pas faim et mange moins ; en conséquence il diminue sa dose d’insuline, alors même que l’infection entraîne une augmentation importante des besoins en insuline ; apparaît alors une hyperglycémie et une cétose, responsable de nausées qui pousse le malade à moins manger et donc à encore diminuer son insuline... jusqu’à l’arrivée à l’hôpital en acidocétose. Les vomissements font aussi partie du tableau clinique de l’acidocétose. [251] :B A C D E sont des polyuries osmotiques entraînant une déshydratation intra et extracellulaire. Le diabète insipide entraîne une polyurie hypotonique avec perte prédominante de l’eau intracellulaire. [252] :E Cf commentaire [237] [253] :E On parle de diabète si par la technique à la glucose oxydase sur plasma veineux on obtient deux glycémies à jeun > 7,7 mmoles/l ou si lors de rHGPO, la glycémie à jeun est < 7 mmole/l mais> à 11 mmoles/l à la deuxième heure. Lintolérance aux hydrates de 18 carbone est définie par une glycémie entre 7,7 et 11 mmoles/l à la deuxième heure de rHGPO. [254] :C C. Cela entraîne une alimentation hyperlipidique favorisant l’athérosclérose. Lalimentation du diabétique (qui est en fait à recommander à tous) comporte 50 à 60 % dhydrates de carbone. [255] :D Lhypercalcémie de la maladie de Basedow peut être parfois très sévère et constituer un risque vital, en règle elle reste modérée (< 110 mg/I) et est observée dans 25 % des cas environ. [256] :D Lhypercalcémie de Ihyperparathyroïdie primaire explique ce diabète insipide néphrogénique secondaire. [257] :B Les protéines contiennent 16 % dazote. [258] :D La créatininurie reflète rimportance de la masse musculaire ; souvent l’indice utilisé la rapporte à la taille et exprime en mg/cm/jour. La 3-méthylhistidinurie rapportée à la créatininurie reflète le pourcentage de masse musculaire catabolisée. [259] :B hyperoxie = hyperoxémie = hypoventilation alvéolaire = PaCO2 augmentée = ph diminué. [260] :DE Les maux perforants plantaires comme lostéoarthropathie diabétique sont insensibles. La survenue de la microangiopathie diabétique est bien corrélée à léquilibre glycémique. Léjaculation rétrograde est liée à une atteinte sympathique du sphincter interne. La nécrose papillaire est la séquestration ischémique en règle de papille rénale en aval de la jonction cortico-médullaire ; elle est associée dans la moitié des cas à une glomérulosclérose, et est favorisée par linfection, lischémie rénale et l’obstruction. [261] :BC Le siège d’élection est le pavillon de l’oreille : hélix ou anthélix ; un tophus est indolore recouvert d’une peau saine qui permet de voir par transparence la taille blanchâtre du dépôt uratique. [262] QUESTION ANNULEE. [263] :ABCDE L’éthylisme aigu peut induire aussi des hyperuricémies transitoires importantes. E. Par le biais dune hyperlactacidémie qui baisse rélimination rénale dans la cirrhose en particulier alcoolique. [264] :ACDE Les douleurs abdominales peuvent faire suspecter un tableau chirurgical mais le ventre reste souple. [265] :ACDE Sans commentaire. [266] :ABCD Latteinte des nerfs crâniens touche surtout le VII et les oculomoteurs VI et III; épargnant en régie le III intrinsèque. Les douleurs se voient ainsi [276] :BCDE La maladie d’Addison induit une opsiurie. Il existe des cas QUESTION ANNULEE d’hypoaldostéronisme isolé, par [268] exemple par anomalie :D enzymatique de la voie de Il s’agit d’un hypogonadisme synthèse de l’aldostérone, qui hypogonadotrope isolé avec se traduisent chez l’enfant par anosmie. une déshydratation. [269] [277] :B :ABCDE C D. analysent cétonurie et Il faut noter que la pression glycosurie. artérielle est le plus souvent A analyse la glycosurie. E permet l’analyse de la glycémie abaissée. [278] avec un lecteur de glycémie. :DE [270] Pour retenir le diagnostic :B d’hypoglycémie fonctionnelle, Dans cette circonstance, il est contre-indiqué d’avoir recours au lors de I’HGPO, il faut une glycémie inférieure à 2,2 mmol/l test d’hypoglycémie (O,4g1I) concomitante d’un insulinique pour faire la preuve de la carence en ACTH, cortisol malaise. et GN. Une glycémie inférieur à 2,2 [271] mmol/l concomitante d’une :C insulinémie supérieure à 8 En particulier on note une plus pU/ml est évocatrice de grande consommation de sucres l’insulinome. rapides. Une glycémie inférieur à 1,65 mmol/l (O,3g11) affirme une [272] :B hypoglycémie organique. B est une insuline rapide, 2 Lors des glycogénoses, il existe injections ne couvrent pas la un stockage excessif du période du nycthémère. glycogène non mobilisable, dû à des déficits des enzymes de la glycogénolyse. [273] [279] :A :D A: par le biais d’une A - Hyperthyroïdie avec goitre. hyperlactacidémie (liée à B, E - Euthyroïdie. l’augmentation du NAD réduit C - Hyperthyroïdie. dans la cellule hépatique, du fait [280] du métabolisme de l’éthanol) qui :A induit une baisse d’excrétion A - Conséquence du volume rénale de l’acide urique. tumoral et non de l’action de [274] l’hormone de croissance. B, C, :C Il existe au niveau du tubule rénal D, E - Signes radiologiques un antagonisme cortisol-ADH qui classiques de lacromégalie, liés à l’excès d’hormone de ne fonctionne plus lors dune croissance. insuffisance corticotrope. [281] [275] :D :CD A, E - Font partie des L’alcool induit des types IV manifestations vasomotrices parfois V. bien dans les mono-multinévrites que dans la polynévrite. [267] 19 :ABDE B - Acidose tubulaire distale. C - Au contraire hypercalciurie (lithiase). E - Bien visible sur la 2ème phalange des mains. Référence - “Néphrologie’ par M. LEGRAIN (Abrégés, Masson). [288] :AC B - Hypothyroïdie [282] E - Peut être une complication :A A - L’obésité est présente dans des hypertriglycéridémies. [289] 60 à 80% des diabètes non :D insulino-dépendants. Par liaison au récepteur des C - Représente 15% des androgènes (Flutamide et diabétiques en France. Nilutamide). [283] [290] :AE :B A, E - Signes classiques de A - Augmentation des thyroïdite de De Quervain. chylomicoses. B - Thyroïdite aiguê. B - Bande bêta à lélectrophorèse. C - Classiquement C - Augmentation des VLDL hyperthyroïdie transitoire, Ihypothyroïdie est rare (10%) et (bande pré-bêta). D - Augmentation des VLDL et survient à une LDL. phase tardive. E - Augmentation des LDL ou D - Scintigraphie blanche. remnants (bande broad-bêta). [284] :AD E - Item litigieux, raugmentation [291] :C de la fréquence des Augmentation de la masse hypoglycémies lors des grasse et non de l’eau totale. traitements par insuline [292] humaine a été évoquée mais :B aucune étude na pu confirmer cette hypothèse. Référence - E. B - En milieu hospitalier en GALE, LANCET, 25 nov. 1989, rabsence d’insuffisance surrénale, avec dosage glycémie, page 1264. peptide [285] C et insulinémie. :BC B - Leucopénie, agranulocytose D - Sur 5 heures, pour les hypoglycémies fonctionnelles. ou aplasie médullaire (0,7%). C - Surdosage avec passage en [293] :C hypothyroïdie. Evident, mains moites et [286] chaudes. :BD [294] C - Amaigrissement par :E hypermétabolisme avec Inhibiteur de la xanthine-oxydase. polyphagie. [295] D - Classique mais inconstant :B (50%). En l’absence d’hypercatabolisme E - Goitre diffus, élastique et chez un sujet absorbant une battant. ration protidique suffisante - 1g [287] (60%). B - Manifestation psychologique de la ménopause où les symptômes dépressifs sont fréquents (40%). C - Conséquence de l’hypoestrogénie. D - Se voit dans le syndrome prémenstruel. 20 de protéines ingérées entraîne rélimination urinaire denviron 016g d’azote. [296] :B A - Alcalose métabolique. C, D - Hypokaliémie avec acidose sans trou anionique. E - Hypokaliémie avec les diurétiques de l’anse et thiazidiques mais acidose avec hyperkaliémie avec les diurétiques inhibiteurs du tube contourné distal (spironolactone). Question litigieuse. [297] :ABDE Les effets de l’administration continue sont différents de l’administration pulsatile stimulation initiale des hormones gonadotropes (FSH, LH) puis en 2 à 4 semaines inhibition aboutissant à un hypogonadisme. [298] :BCE A, B - La masse grasse représente 10 à 15% de la masse corporelle chez un adulte jeune de sexe masculin et 20 à 25% chez une jeune femme. [299] :ACE A - Action intermédiaire (12 heures). B - Complication des biguanides. C - Les biguanides ne jouent pas sur linsulinosécrétion. D - Association parfois proscrite si échec d’une monothérapie. E - Tératogènes chez l’animal. [300] :ACD A - Stimulent rinsulinosécrétion de la cellule bêta. B - Les biguanides ne sont pas hypoglycémiants et diminuent la néoglucogénèse hépatique, rabsorption digestive du glucose et augmentent l’utilisation périphérique du glucose. D - Arrêt des biguanides deux jours avant un examen avec injection de produit de contraste. E - Au contraire, association médicamenteuse risquée avec miconazole, anti-inflammatoires non stéroïdiens, antivitamines k... [301] :DE B - Régime normo-salé. C, E - 2 à 3 prises quotidiennes (20 à 6omgljour). D - 25 à 1 00mg/jour. [302] :ABCDE Toute agression (infection, stress...) ou déperdition sodée (sudation, perte digestive...) doit faire doubler la dose d’hydrocortisone et de 9 alphafluorocortisone. [303] :ABE A - Localisés aux tendons d’achille (90%), tendons extenseurs des mains et des quadriceps. B - De valeur avant 40 ans. C, D - Hypertriglycéridémie. E - Dépôt à l’angle interne des paupières. [304] :ABE B - Surcharge iodée possible, la thyroïde est fonctionnelle à 12 semaines de vie foetale. C - Lamiodarone a une forte affinité tissulaire et son élimination peut demander plusieurs mois. (Référence - Guide pratique des médicaments Ph. DOROZ, éditeur Maloine). [305] :D A, B, C - Pathologie autoimmune avec prévalence accru du HLA DR5, à l’histologie infiltration lymphocytaire diffuse, destruction des follicules et fibrose, élévation franche des anticorps antimicrosomes et antithyréoglobuline dans le sérum des patients. D - Biopsie parfois nécessaire pour le diagnostic différentiel. E - Hypothyroïdie fréquente à la phase tardive. [306] :D A - La cellule bêta produit la proinsuline qui est clivée dans le granule sécrétoire en une molécule d’insuline et une molécule de peptide C. B, C - Moyen classique d’évaluer l’insulinosécrétion endogène chez un patient insulino-traité ou non. D - Le peptide C semble inactif et ne pas se lier à un récepteur. E - Insulinosécrétion résiduelle effondrée. [307] :D A - Plus de 80% des cas surviennent chez la femme. C - A la phase initiale. D - Sont au contraire fortement élevés. Antithyréoglobuline - 55% des cas. Antimicrosomes 93% des cas. [308] :C B, C - Hypoglycémie “réactive” avec hypersécrétion d’insuline en réponse aux repas. D - Survenue de symptômes évocateurs lors d’une baisse de la glycémie. E - Suppression des sucres rapides, de l’alcool et du café, fractionnement des repas. [309] :ABC A, B, C - Par crainte de la redoutable acidose lactique (mortalité de 50%). Autres contre- indications - insuffisance cardiaque, respiratoires, grossesse, déshydratation, opacification intravasculaire, 21 chirurgie... [310] :ABCDE A - Par compression chiasmatique. B - Par compression du chiasma, du nerf optique ou du tractus optique. C - Par compression du chiasma et/ou du nerf optique, par exemple lors d’une nécrose hémorragique (rare). E - Syndrome tumoral. [311] :BE A - Malaise à distance des repas. B - Tumeur bénigne le plus souvent (91%), à croissance lente. C - Prise de poids (20%) par hyperinsulinisme. D - Au contraire, aggravation avec exercice, jeûne, alcool, sulfamides... E - A distance d’un repas. [312] :BCE A - Déficit sodé avec hyponatrémie, hypernatriurèse. B, C - Par déficit en gluco et minéralo-corticoïdes. D, E - Déshydratation avec hyperprotidémie et hémoconcentration. [313] :ABE B, D - La glycosylation de l’hémoglobine A est un phénomène non enzymatique et donc essentiellement irréversible. Elle se produit dans l’érythrocyte en proportion directe de la glycémie. E - Traduit la glycémie moyenne des 8 semaines précédentes de prélèvement. [314] :D La T3 libre est augmentée dans la maladie de Basedow. Le dosage des hormones T3 et T4 libres est fiable car n’interfère pas avec les protéines porteuses comme le dosage microadénome (diamètre inférieur à lOmm). B, D - L’érosion de la selle turcique est rare dans les microadénomes. C - Examen de choix. [320] :D A - Pas très fréquent lors des interventions par voie transphénoïdale et alors généralement transitoire. B - Représente 25 à 50% des diabètes insipides acquis. C - Crâniopharyngiome. D - Le diabète insipide néphrogénique congénital est par contre plus fréquent (par insensibilité [317] du tubule rénal à I’ADH). :C E - Le diabète insipide est A - Entraîne une acidose par exceptionnel dans les adénomes perte de bicarbonate. non opérés. B - Variété dhyperplasie [321] surrénale congénitale avec :C insuffisance surrénale B - Fonction de la FSH. entraînant une C - Lovulation survient 24 à 36 perte de sel majeure à la heures après le pic de LH et naissance ou dans les dépend autant de ramplitude du premières semaine et une pic que de la fréquence de hyperkaliémie. libération de la LH qui est C - Perte d’ions H+ par pulsatile. vomissement. E - L’estradiol sélève en fin de E - Entraîne une acidose avec au maximum le tableau dacido- phase folliculaire 8 jours environ avant le pic de LH. cétose. [322] [318] :C :B La natriurèse dépend directement A - Infiltration lymhocytaire de lapport sodé. diffuse à rhistologie. B - Evolution fréquente vers une [323] :B hypothyroïdie à la phase A - Analogue retard permettant tardive. de baisser voir normaliser les C - Thyroïdite inflammatoire. D - Evolution possible vers des taux plasmatiques de LH et dans certains cas de réduire le volume troubles de compression tumoral. imposant l’intervention. B - Traitement de Ihyperplasie E - Pas d’anomalie biologique congénitale des surrénales. notable dans la thyroïdite de C - Moins souvent efficace que Riedel. les analogues de la [319] somatostatine. :C [324] A - Pas d’anomalie visuelle :C habituellement avec un des hormones T3 et T4 totales. [315] :B A, B, E - Ce sont les 3 voies du métabolisme hépatique de l’éthanol, elles aboutissent à la production d’acétaldéhyde. [316] :B B - Dans le syndrome de Conn la natriurèse est avant tout fonction des apports en sel. La natrémie est le plus souvent normale ou parfois discrètement élevée. A, C - L’hypokaliémie avec alcalose métabolique est classique avec élévation de la kaliurèse. 22 B - On prescrit parfois des hormones thyroïdiennes pour freiner la TSH. C - La fiabilité de la scintigraphie à li 123 est meilleure pour les nodules froids. D - Goitre homogène et diffus. E - La TSH est basse, voire indorable. [325] :C En l’absence de trouble d’hydratation extracellulaire Ihypernatrémie est secondaire à une perte deau pure. [326] :BCD B - Evaluation de la maturité osseuse (ossification du sésamoïde du pouce). C - Recherche dune dysgénésie gonadique XC (Turner). D - Avec un bilan hormonal à la recherche dune pathologie hypothalamohypohysaire (crâniopharyngiome, adénome...). [327] :D B - Utilisé dans la crise aigué thyrotoxique. C, E - Hormonothérapie inadaptée (qualité) et à une dose beaucoup trop élevée pour un traitement initial. D - Faible dose très progressivement augmentée pour éviter une décompensation de rangor. [328] :C A - Hypercalcémie avec hypercalciurie. B - Calcium et phosphore sanguins et urinaires normaux. C - Lhypocalciurie (< lOOmg/24 heures) est très évocatrice. D - Calcémie habituellement normale. E - Dans les cancers osseux avec ostéolyse on note une hypercalcémie. [329] :B B - Alcalose métabolique avec augmentation des bicarbonates. C, D - Dans les hypokaliémies majeures. [330] :B A - Complication de Ihypercholestérolémie. B - La dyslipidémie de type IV est une hypertriglycéridémie pure (‘endogène’) avec augmentation des VLDL. Risque de pancréatite aiguê surtout si triglycéridémie > 20g/l. [331] :E E - Fait partie du bilan ophtalmologique de tout patient diabétique, à la recherche ici d’une rétinopathie diabétique non proliférative. [332] :AC A,C - Calcémie et phosphorémie sont normales ou basses. B - Elévation modérée des phosphatases alcalines par Ihyperostéoblastose. D - Tendance à lacidose métabolique parfois observée. E - Au contraire, hyperaminoacidurie. [333] :BDE A - Parfois hyperphosphorémie par augmentation de réabsorption tubulaire du phosphore. B - La GH stimule l’insulinosécrétion et diminue reffet de rinsuline sur le tissu musculaire et adipeux. C - Contrairement au sujet normal chez qui HGPO baisse le taux plasmatique de GH, chez racromégale, la GH reste élevée lors du test. D - Par compression des cellules gonadotropes par radénome à GH. E - Tumeur mixte (GH et prolactine) ou levée du tonus inhibiteur dopaminergique par compression de la tige pituitaire. [334] :ABDE A - Parfois jusqu’à 12 cp/jour. B, D - Traitement symptomatique important avant normalisation des hormones thyroïdiennes. E - Risque d’hypothyroïdie néonatale. [335] :BDE A - L’hyponatrémie de dilution est la plus fréquente. C - Au contraire, nausée, dégoût de l’eau. [336] :D A, B - Le diabète insipide néphrogénique peut s’observer dans les hypercalcémies et es hypokaliémies importantes par néphropathies secondaires. C - Non, à la différence de certaines néphropathies interstitielles chroniques. D - Central par localisation hypothalamo-hypophysaire ou néphrogénique par hypercalcémie. [337] :AC A, C - D’où l’intérêt du dosage des hormones libres dans ces situations. La TBG est augmentée par les estrogènes, le clofibrate, le 5-fluorouracile, le myélome, les carcinomes hépatobiliaire... D - La TBG est diminuée par les androgènes, les stéroïdes, le syndrome néphrotique, la cirrhose hépatique, la malnutrition protéique... [338] :D A, C - Utile dans le cancer à stroma amyloïde ou cancer médullaire de la thyroïde. D - Doit être indétectable en 23 l’absence de reliquat thyroïdien. [339] :ABCD A, B - Contenu liquide à l’échographie. C, D - Tumeur solide à l’échographie que seule l’histologie peut différencier avec certitude. E - Scintigraphie blanche ou fixation hétérogène diffuse sur l’ensemble de la glande. [340] :CDE A - Natrémie normale ou discrètement élevée. B - Elle est basse. C, D, E - Sous l’action tubulaire distale de l’aldostérone échange accru d’ions potassium excrétés (hyperkaliémie-hypokaliémie) contre des ions sodium réabsorbés. L’échange des ions sodium se fait de façon compétitive contre des ions K+ et H+, d’où l’alcalose métabolique. [341] :C A, B, E - Se rencontre dans rhypothyroïdie. Erreur probable dans l’énoncé de ce QCM à compléments multiples, le terme hypothyroïdie devrait sans doute remplacer celui d’hyperthyroïdie. [342] :ACE A - Thyroïdectomie totale extracapsulaire, première étape du traitement. B - Moins efficace que C dans un cancer différencié qui capte bien l’iode. E - Pour freiner totalement le TSH, toujours indiqué. [343] :E A - Aménorrhée primaire. B - Pas d’anomalie du caryotype, le mécanisme est une insensibilité périphérique aux andogènes. c - Pas d’organes génitaux internes (reliquats Wolffiens uniquement). D - Les seins sont présents. [344] :E A, B, c - chez le diabétique l’artériosclérose est précoce et multifocale. Elle réalise la macroangiopathie. D - L’HTA atteint 60% des diabétiques de plus de 40 ans et l’infarctus du myocarde représente 50% des causes de mort vasculaire chez le diabétique. [345] :AD Tableau d’acidose respiratoire aigué (hypoxie, hypercapnie non encore corrigée par une élévation des bicarbonates) avec hyperventilation alvéolaire (PCO2 + P02> 120). [346] :ABD A, D - D’où le dépistage systématique. E - Les étiologies sont agénésie de la glande thyroïde (3/4), trouble congénital de l’hormonogénèse (1/5), origine iatrogène. [347] :BE A - Fonction minéralocorticoïde normale. c - Traduit une élévation de I’ACTH. D - L’ACTH ne répond pas lors du test. [348] :BE 95 % des sujets diabétiques de type I sont HLA DR3 ou DR4. L’association HLA B8 est liée à l’association DR3 et HLA B8. [349] :ACD B, C, D - Lésions pouvant directement entraîner la cécité. [350] :AC A, C - L’hypocalcémie avec hypocalciurie est constante dans l’hypoparathyroïdie. Le but du traitement est une normocalcémie. B, D - On retrouve une hyperphosphorémie avec hypophosphaturie, mais sa surveillance ne fait pas partie du suivi thérapeutique. [351] :BE B, E - Les ostéoblastes produisent la phosphatase alcaline et l’ostéocalcine. C - Reflète l’activité ostéoclastique. [352] :ACE A - Permanente, vive, irradiant vers les mâchoires. C - Hyperthyroïdie modérée et transitoire. D - Thyroïdite aigué. E - Goitre diffus, ferme, douloureux avec adénopathies satellites. [353] :BD A - Apparaît pour des taux d’hémoglobine réduite supérieurs à 5g/dl. Traduit donc rhypoxie. B, D - Baisse de la vigilance, flapping, sueurs, HTA sont les signes d’hypercapnie. C - Signes d’insuffisance cardiaque droite. [354] :ABCDE L’ensemble des lésions citées sont acquises, ont une traduction radiologique et contribuent à donner au visage du patient le classique aspect chevalin du visage à l’inspection. [355] :BD A - L’hyperpigmentation des plis palmaires est caractéristique. B - La pigmentation des cicatrices postérieures au début de la maladie est beaucoup plus nette. 24 C - Le vitiligo peut être présent et traduit une destruction immunitaire des mélanocytes. E - Ongles et dents striés de noir. [356] :BDE A - Les affections digestives sont avant tout responsables d’hypokaliémie par fuite digestive. B, D - Augmentation de l’amplitude des ondes T, allongement de PR, élargissements de QRS, bloc auriculo-ventriculaire partiel ou complet voire tachycardie ventriculaire et fibrillation ventriculaire. C - A une acidose métabolique. E - Peut être utilisé pour corriger une hyperkaliémie sévère constituant une urgence (risque d’arrêt cardiaque si kaliémie > 7mM/l). [357] :E Sans commentaire. [358] :D Tous les médicaments proposés peuvent être utilisés pour traiter une hypercalcémie sauf les digitaliques. La digitaline est au contraire contre-indiquée dans les hypercalcémies comme dans les hypokaliémies. [359] :E Les résines type cholestyramine abaissent la cholestérolémie de 15 à 25 % par inhibition du cycle entérohépatique des acides biliaires. Elles sont les médicaments de première intention après échec du régime dans les dyslipidémies type lia. [360] :D A la recherche d’un prolactinome qui pourrait avoir été favorisé par les oestroprogestatifs. L’autre contrôle indispensable est celui des bétaHCG. [361] :AD La diminution du pooi glucidique intracellulaire entraîne une lipolyse avec production d’acides gras libres qui nourrit le cycle de Krebs. Il se produit alors une augmentation de la cétogenèse hépatique secondaire à la bétaoxydation des acides gras libres. [362] :ACE A - Lorsque la dénervation cardiaque (para et orthosympathique) est très évoluée, il existe une tachycardie de repos avec possibilité d’arythmie paroxystique et mort subite. B - Dans la neuropathie périphérique. C - Par lésion du système orthosympathique. E - Classique, avec diarrhée nocturne. [363] :ABCE A - Les hypoglycémies fonctionnelles entraînent des accidents mineurs. B - Par rhyperinsulinisme chronique. C - Orientent vers une tumeur pancréatique. [364] :AD B E - Physiopathologie pour l’instant mal comprise. [365] :E C - Peut correspondre à une localisation multiple d’une phéochromocytome bénin. D - Peut correspondre à une localisation ectopique (paragangliome). E - Le seul critère est la présence de métastase dans un tissu où il n’y a pas de tissu sympathique. Référence : Abrégé d’Endocrinologie par J. Hazard chez Masson. [366] :ABD Signes d’hyperthyroïdie. [367] :C La glycémie à jeun doit être retrouvée à deux reprises > ou = 7,7 mmol/l pour affirmer le diabète. Dans le cas présent, seul l’HGPO permettra d’affirmer le diagnostic. [368] :E Sans commentaire. [369] :D Les antidiabétiques oraux sont contre-indiqués durant la grossesse. E - Item mal formulé car un régime seul peut être préconisé si le diabète est modéré; mais il faut exiger un équilibre glycémique strict sinon l’insulinothérapie s’impose. [370] :B Pour cette raison, les biguanides doivent être interrompus deux jours avant et après opacification intravasculaire. [371] :E B - Malgré les métastases, la thyroïdectomie permet une réduction tumorale et conduit à une hypothyroïdie favorisant la captation d’iode radioactif par les métastases et donc un traitement par iode 131. [372] :ACD Sans commentaire. [373] :AC D - Apparaît plus tard car nécessite une imprégnation androgénique qui est secondaire à 25 raugmentation de volume gonadique. E - 13 ans. [374] :ABDE B - Les signes de thyrotoxicose pure sont habituels. E - Zone hypofixante avec extinction du parenchyme adjacent. Référence : ‘Abrégé d’endocrinologie’ par Hajard et Masson. [375] :AC B - Prognathisme... C - Par adénome mixte ou compression de la tige pituitaire. D - Lhypercalciurie est classique et peut entraîner des lithiases. E - L’hyperglycémie provoquée peut être utile en montrant si lacromégalie persiste une absence de freination de la GH. [376] :ACD B - Une glycosurie aussi massive évoque plutôt un coma hyperosmolaire. E - PaCO2 basse car hyperventilation. [377] :B Sans commentaire. [378] :C ABE - Signes de neuropathie autonome. [379] :A Représente environ 50 % des hypothyroïdies congénitale suivi par rathyréose (30 %) et les troubles de Ihormonogenèse (15 %). [380] :E Sans commentaire. [381] :D Sans commentaire. [382] :D Au contraire on observe une polyphagie contrastant avec l’amaigrissement. [383] :BE B - Surtout observée dans l’insuffisance surrénale aiguê avec troubles ioniques. D - Des troubles génitaux avec aménorrhée peuvent être observés. E - Typiquement, il s’agit d’une asthénie physique mais on peut observer des épisodes dépressifs alternant avec une irritabilité [384] :ABCD Sans commentaire. [385] :ACD A D - Traitement symptomatique utile avant obtention de reuthyroïde. C - Risque dhypothyroïdie néonatale faisant prescrire une contraception avec le Néomercazole. E - Item litigieux, la posologie initiale étant de 8 à 12 cp, mais la prise se faisant habituellement en 3 à 4 fois par jour et non en deux prises matin et soir. [386] :ADE Sans commentaire. [387] :E Le signe du tabouret traduit une faiblesse musculaire. L’amyotrophie portant sur les racines peut parfois être très importante. [388] :B A - Etiologie rare (3 %). B - Représente de loin la lésion la plus fréquente (82,5 %). C - Dans le cadre d’une NEM type I. D - Seconde étiologie en fréquence (14,5 %). Références: endocrinology, volume 2 par De Groot édité chez : B E C - Le goitre est en règle W.B.SAUNDERS. absent. [395] [389] :CD :ABCE A, B - Entraîne une Sans commentaire. hypokaliémie avec HTA mais la [390] rénine est basse. :ABC [396] A - Systolo-diastolique en règle :ABCD modérée. B - La neuropathie diabétique B - Avec une séborrhée. atteint surtout les 11Ième, D - Le test de freinage est indispensable pour le diagnostic. Vlème et VIlème paires De plus la cortisolémie à 8 heure crâniennes. D - Signe peu spécifique. peut parfois être normale et la perte du rythme circadien a alors Références : Abrégé de Neurologie par J. Cambier chez une grande valeur. Masson. E - L’ACTH peut être normal [397] dans une véritable maladie de :ADE Cushing. Un taux dACTH non effondré alors que la cortisolémie A - Syndrome polyuropolydipsique fréquent mais en est élevée indique un général modéré. dysfonctionnement B, D - Anorexie, nausées, hypothalamohypophysaire. constipation et vomissements Références : Abrégé sont fréquents. d’Endocrinologie par J.Hazard [398] édité chez Masson. :CE [391] C, E - S’accompagnent d’une :AE hypercalcémie avec D - La scintigraphie blanche et hypercalciurie par rhyperthyroïde clinique et hyperabsorption biologique sont classiques dans intestinale du calcium. la thyroïte subaiguê mais il nest pas [399] alors observé d’arrêt de la :DE synthèse des hormones B - Au contraire thyroïdienne. hémoconcentration avec E - Thyrotoxicose factive de deshydratation intracellulaire diagnostic parfois délicat. par perte du pouvoir de [392] concentration des urines. :BC D - A la différence du diabète L’hyperplasie bilatérale est secondaire à une hypersécrétion insipide néphrogénique. [400] d’ACTH d’origine hypophysaire :B (70 % des syndromes de La colchicine doit Cushing) ou ectopique. systématiquement être [393] prescrite jusquà la disparition :BCE des tophis (1 à 6 mois). A, D - En rapport avec le [401] syndrome tumoral et non :C Ihypersécrétion de G.H. C - Aucune raison de suspecter C - Par augmentation de la une hypoparathyroïdie avant réabsorption tubulaire du l’intervention. Il faudra par phosphore. contre surveiller la calcémie en [394] 26 post-opératoire. [402] :E Référence : Abrégé de Néphrologie par M. Legrain édité chez Masson. [403] :C D, E - Complication des hypertriglycéridémies. [404] :D Sans commentaire. [405] :C Les taux de gonadotrophines sont très élevés (FSH > 20 mUI/ml et LH > 10 mUl/ml) et correspondent à des taux de post-ménopause. [406] :BC Sans commentaire. [407] :ACDE B - Les thiazidiques sont anticalciuriques par augmentation de la réabsorption tubulaire du calcium. [408] :CD A - Le potassium extra cellulaire représente 2 % du capital potassique total de l’organisme. B - Une élévation du PH artériel de 0,1 u entraîne une baisse de 1 mM de la kaliémie. [409] :ABCD C - Par la constitution dun troisième secteur. D - Entraînant une polyurie omotique. E - Perte d’eau hypotonique entraînant une déshydratation intracellulaire avec hypernatrémie. [410] :BCD Sans commentaire. [411] :BD Le tableau associe soif avec sécheresse de la langue, parfois des troubles neurologiques (somnolence, agitation, crampes voir coma) et une hyperthermie. L’hyperomolarité extracellulaire est un élément fondamental et est en général reflétée par rhypernatrémie. [412] :ABCD Le diagnostic du diabète noninsulino dépendant est souvent tardif par rapport au début de rhyperglycémie chronique. Ceci explique la présence possible de complications du diabète lors de sa découverte. [413] :ABDE A - Surtout dans le diabète de type I. B - Insulinorésistance. D, E - Anomalies clairement démontrées dans le diabète de type Il. [414] :ABC D - Une faim impérieuse et non une soif peut être observée. [415] :ADE A - Lié à l’accès de catécholamines, hormones hyperglycémiantes. B - L’hyperparathyroïdie n’est pas associé au diabète. Cependant un hyperinsulinisme secondaire à l’hypercalcémie peut s’observer chez ces patients. D - S’accompagne dans 60 à 70 % des cas d’un trouble de la tolérance glucidique et dans 6 à 25 % des cas d’un diabète. Références : Diabetes Mellitus par H. Rifkin chez Elsevier. [416] :ABCE Ces accidents surviennent surtout chez les diabétiques âgés prenant des sulfamides à longue demi-vie et sont favorisés par l’insuffisance rénale ou hépatique sévère et certains médicaments : Salicylés, AINS, IMAC non 27 sélectifs, Perhexilline... [417] :E A - Aménorrhée primaire. B - Le génotype est masculin (46, XY) et le morphotype extérieur féminin. C - La sécrétion de facteurs anti-mulhérien est responsable de l’absence d’utérus et de trompe. D - Dans la forme complète la morphologie est féminine avec un développement mammaire. Références : Abrégé d’Encrinologie par J. Hazard chez Masson. [418] :ACD Le régime doit être pauvre en cholestérol (<300 mglj), en graisses saturées d’origine animale et riche en graisses polyinsaturées à longue chaine. E - La suppression des sucres simples est surtout préconisée dans le traitement des hypertriglycéridémies de type IV. [419] :ABE Sans commentaire. [420] :ABD C’est inutile en l’absence d’autres signes associés [421] :ABCE Sans commentaire. [422] :E Sans commentaire. [423] :E Sans commentaire. [424] :ABD Les signes dhyperthyroïdie pure sont généralement importants dans l’adénome toxique. [425] :BC B - Recherche d’une leucopénie, voire dune agranulocytose. C - Si surdosage, risque d’hypothyroïdie avec élévation de la TSH et augmentation du goître. [426] :BCE A - Au contraire, hypokaliémie. B - Souvent importante avec hypochiorémie. C - Secondaire à la déshydratation. D - Acidose tubulaire par défaut de régénération des bicarbonates. [427] :ACDE Sans commentaire. [428] :ABDE B - 1 cas pour 15000 naissances. C - Au contraire le déficit enzymatique dans la forme classique porte sur la phénylalanine hydroxylase qui catalyse la transformation de la phénylalanine en thyrosine. La phénylalanine saccumule (d’où la réponse D) et la thyroxine est à la limite inférieure de la normale. E - Les acides phénylcétoniques s’accumulent dans les urines. [429] :AE A - L’hyponatrémie est observée en cas de déshydratation intracellulaire mais est parfois faussement abaissée par rhyperglycémie ou une hypertriglycéridémie. B - La kaliémie est souvent élevée (acidose) malgré une baisse du stock potassique global. D - Au contraire, acidose métabolique. [430] :CDE La thyroglobuline est élevée dans les cancers différenciés de la thyroïde, la maladie de Basedow active, la thyroïdite subaiguê, l’adénome, le goître endémique et durant la grossesse. La thyroglobuline est normale dans le cancer médullaire. Références : Diagnostic Endocrinologique par Moore et Eastman chez B.L. Decker. [431] :E C - Ces anticorps sont en faveur d’une rétraction corticale des surrénales et sont en principe négatifs dans une tuberculose. D - L’atteinte est globale. E - Des antécédents de tuberculose ou une autre localisation de la tuberculose et la présence de calcification surrénaliennes à I’ASP seraient en faveur de cette étiologie. [432] :E Chez ce patient la part des glucides doit représenter 50 % de la ration énergétique globale d’un régime normocalorique. [433] :D Sans commentaire. [434] :D Sans commentaire. [435] :ABCD A - Avec natriurèse élevée et hypochlorémie. B - Lié à la déshydration souvent majeure de ces patients. [436] :ACDE B - N’est pas un facteur de risque cardio-vasculaire bien que souvent présent chez le DNID en surpoids. [437] :A B, C, D - Sont incriminés dans le diabète insulino-dépendant. 28 [438] :C A - Au contraire, chute de la pilosité et des cheveux. B - Infiltration bilatéral et symétrique du tissu sous cutané prétibial observée dans la maladie de Basedow. C - Bien visible à l’échographie qui distingue dans l’élargissement de la silhouette cardiaque visible sur la radiographie thoracique l’épanchement péricardique de l’épaississement du myocarde et l’élargissement des cavités. [439] :BC C : est le plus fréquent B : L’imipramine [440] :ABD A, B, D - Signes d’hyperthyroïdie. C, E - S’observent dans la maladie de Bosedow. [441] :B A, B - Hyperinsulinisme que reflète l’élévation du peptide C. C, D - On peut observer chez le sujet obèse une élévation de la cortisolémie sans perte du rythme circadien. E - Les taux de T3 dépendent plus des apports nutritifs que du poids de l’individu. Chez les sujets suralimentés la T3 sérique s’élève et baisse lors du jeûne. [1] :C L’élément évocateur d’une origine iatrogène est la prise de Cordarone® (permet d’évoquer le diagnostic mais non de le confirmer). [2] :ABCD La cholestérolémie est élevée en cas d’hypothyroïdie. L’ECG sert de référence; avant le [8] :AC La question est mal posée. On ne sait de quel type de coma il s’agit. Vu le cas clinique, on considérera qu’il s’agit d’un coma acidocétosique. [9] :BE Ce sont deux causes de fausse hyponatrémie. La natrémie peut sembler basse si le plasma contient une grande quantité de substances qui prennent la place de l’eau (car les concentrations en Na+ sont exprimées en mmol/litre de plasma). [10] :C Sans commentaire [11] :ABD Sans commentaire. [12] :BDE Sans commentaire. [13] :AC A - En cas d’hyperprolactinémie de déconnexion hypothalamohypophysaire (voir plus loin). C - Aspect au maximum en ‘polichinelle’, il faut, bien entendu, préciser le caractère acquis.de [6] ces troubles. :BD Le diagnostic probable est celui [14] :BC d’une acido-cétose diabétique La radiographie de la selle survenue après une turcique mettra en évidence: pyélonéphrite. - des éléments en faveur de la [7] tumeur de la selle turcique :BDE - des éléments en faveur de B - Hémocultures recherchant l’acromégalie. une septicémie. D - LECBU sera pratiqué avant [15] :ACE le début de l’antibiothérapie. E - La kaliémie permet d’ajuster L’hyperprolactinémie peut avoir deux origines la rééquilibration hydroélectrolytique, en sachant - par déconnexion hypothalamohypophysaire (en qu’il peut cas d’adénome comprimant la exister une fausse tige pituitaire hyperkaliémie chez un patient et empêchant le passage du en acidose. L’ECG est donc PIF), levant donc le tonus important pour inhibiteur normalement exercé apprécier la kaliémie. traitement il met souvent en évidence une bradycardie sinusale, et apprécie le retentissement cardiaque. [3] :AE L’échographie recherche une éventuelle péricardite. CPK: peuvent être élevés en cas d’atteinte musculaire associée à Ihypothyroïdie. Chez cette patiente coronarienne, il peut être intéressant de demander les CPK-MM (musculaires) et les CPK-MB (myocardiques) en cas de doute. [4] :D Le traitement sera débuté, à faible posologie, en milieu hospitalier chez cette patiente coronarienne, en augmentant très progressivement les doses avec surveillance clinique et ECG. 1 comprimé Levothyrox® = 50 g dose de départ = 1/4 de comprimé. [5] :ACDE Sans commentaire. 29 par le PIF sur les cellules à prolactine - par adénome mixte (sécrétion de GH et de prolactine). [16] :E Sans commentaire. [17] :C Le régime désodé est formellement contre-indiqué chez les insuffisants surrénaliens. Les minéralocorticoïdes sont nécessaires en cas dinsuffisance surrénalienne d’origine basse, mais non en cas d’insuffisance corticotrope. [18] :BC Sans commentaire. [19] :E Limpubérisme est exclu, car quil s’agit d’une aménorrhée secondaire. [20] :D Une seule réponse est demandée : test de grossesse. Mais les deux diagnostics à évoquer en premier dans ce contexte sont la grossesse et rhyperprolactinémie. [21] :A Sans commentaire. [22] :B C D E Il existe des cas dinsuffisance antéhypohysaire associé à une hyperprolactinémie (ex: macroadénome non sécrétant), mais, dans ce cas, lexamen clinique ne serait pas normal. [23] :ABDE De nombreux médicaments sont responsables dune hyperprolactinémie, d’où la nécessité de toujours pratiquer un interrogatoire précis pour s’enquérir des médicaments absorbés. Le Parlodel® est par glycémie capillaire. [40] :ABCDE Lhyperglycémie peut donner un tableau très polymorphe et notamment se présenter sous un tableau neurologique ou psychiatrique. [41] :BD Ces crises typiques sont présentes dans 30 à 50 % des cas. Le jeune âge du malade est évocateur, mais peut-on dire que cest un élément particulièrement évocateur [42] :BDE [27] Il est responsable dune :D hyperleucocytose à Ce trouble visuel est le plus polynucléaires. classique, lié à une [43] compression du chiasma :D optique par tumeur, mais de Sans commentaire. nombreux autres troubles [44] visuels peuvent se rencontrer. :C [28] Sans commentaire :ADE [45] Lacromégalie est souvent :BD associée à un macroadénome, Ces tumeurs dérivent toutes du expliquant ainsi l’augmentation système APUD. fréquente de volume de la selle [46] [37] turcique. :ACD :C [29] Lintervention sur un Tout coma chez un diabétique :C phéochromocytome, très doit être considéré comme un Sans commentaire. délicate, doit être effectuée coma hypoglycémique jusquà [30] dans un service spécialisé preuve du contraire et doit donc :A (préparation préopératoire nécessiter une injection de Sans commentaire. précautions anesthésiques glucose hypertonique en IV. [31] réanimation postopératoire). [38] :AD [47] :C Il peut, dans certains cas de Les biguanides sont formellement : E coma hyperosmolaire, exister une petite cétonurie (se limitant contre-indiqués en raison de râge Valeur de l’OMS = 8 mmol/litre et de l’insuffisance rénale (risque à jeun. à dacidose lactique). Cependant. traces ou +). [48] les sulfamides hypoglycémiants De même, possibilité d’une :ABD ne sont pas particulièrement petite acidose, mais mineure. Théoriquement, I’HGPO de la recommandés en cas La glycémie est généralement femme enceinte s’effectue avec dinsuffisance rénale. supérieure à 20 mmol/litre. 100 g de glucose (mais pour [39] [32] dautres auteurs 75 g sont :B :DE suffisants). Donc: La cause la plus probable est [49] - la glycosurie est un mauvais cependant l’acidocétose :D diabétique en elle-même (mais paramètre de surveillance complément multiple, mettre les - apprendre rautosurveillance par Valeur de l’OMS est supérieure contre le traitement médical de premier choix dune hyperprolactinémie. [24] :C Tableau en faveur d’une acromégalie. [25] :E Labsence de freinage de la GH sous HGPO est actuellement le test le plus fiable. [26] :C Mais la phosphorémie est aussi un bon élément. deux réponses). [33] :B La polydipsie est un très bon signe dacidose dans ce contexte. [34] :CD (car nécessité de deux réponses). L’indication de sérum bicarbonaté isotonique étant limite dans cette indication ; en effet, en cas dacidose diabétique ; celui-ci est généralement préconisé pour une acidose sévère avec pH< 7,10 et bicarbonates effondrés. [35] :BC Certains préconisent des injections 1M toutes les heures de petites doses d’insuline, mais cette méthode me semble moins intéressante. [36] :C Faire une glycémie capillaire et prélever glycémie Labo (mais ne pas attendre les résultats de la glycémie Labo pour débuter le resucrage). 30 ou égale à 11 mmol/l. [50] :C Cet hypercorticisme d’entraînement est lié à l’obésité. [51] :BCE Sans commentaire. [52] :D La thyroxine et les dérivés amphétaminiques sont fort nettement contre-indiqués dans ce type de pathologie. [53] :BCE L’antécédent d’irradiation cervicale dans l’enfance est un facteur de risque de cancer thyroïdien. [54] :BD Sans commentaire. [55] :D Tout nodule thyroïdien froid doit être exploré chirurgicalement (certaines équipes cependant pratiquent actuellement une cytoponction à aiguille) par des gens entraînés, mais seul un résultat positif (malignité) est significatif. Cependant, l’existence dans ce contexte dadénopathies cervicales justifie sans aucun doute la chirurgie. [56] :CE Si l’on administre de l’iode 131, il faut attendre l’augmentation de la TSH (mais ce traitement n’est pas systématique, notamment dépend des écoles). [57] :BCD Bien que cela puisse sembler surprenant, l’envahissement ganglionnaire n’est pas un élément pronostic du cancer papillaire. [58] :ABCD L’indication et la fréquence de la scintigraphie dépendent des équipes. Dans l’item, le rythme de surveillance n’est pas précisé, il semble cependant justifié de le cocher dans la surveillance. [59] :C Sans commentaire. [60] :B Sans commentaire. [61] :BD Le propranolol possède, en plus de son effet béta bloquant, un effet d’inhibition de la conversion périphérique de T4 en T3 au profit de la RT3 (reverse T3). L’amélioration ressentie les premiers jours chez les hyperthyroïdiens traités, est due au béta- et non aux antithyroïdiens de synthèse dont le délai d’action est plus long. [62] :E Une origine immunologie est évoquée dans la pathogénie de la maladie de Basedow. [63] :ABC Sans commentaire. [64] :BC La NFS doit être pratiquée - de façon urgente en cas de fièvre (prévenir le patient) - toutes les une à deux semaines pendant les trois premiers mois puis tous les mois, en raison du risque grave dagranulocytose aiguê - avant traitement, pour ne pas imputer à tort aux ATS une éventuelle granulopénie antérieure. [65] :C Il semble que la malade soit passée en hypothyroïdie : certains diminuent le traitement. Par la suite, certains adjoignent des hormones thyroïdiennes, le Néomercazole® ayant peut-être 31 une action immunosuppressive. [66] :ABCD L’évolution la plus classique est l’évolution sur le plan oculaire, l’exophtalmie pouvant d’ailleurs évoluer de façon totalement indépendante de l’hyperthyroïdie. Toutes les autres évolutions sont cependant possibles bien que l’insuffisance thyroïdienne et Ihypoparathyroïdie doivent être rares en cas de thyroïdectomie subtotale. [67] :C Cynomel® = LT3 = hormone pure. [68] :A Euthyrol® = LT3 et LT4. Sous Euthyrol®, FT3 et FT4 sont en rapport avec l’état fonctionnel. [69] :C Sans commentaire. [70] :AC Le Cynomel® = LT3. Le Lévothyrox® = LT4. Thyroxine = D-LT4. [71] :BD Une pathologie digestive ne peut être éliminée, bien que peu évocatrice dans ce contexte. On peut bien entendu évoquer un processus inflammatoire, bien que ce ne soit pas spécifiquement l’anorexie et l’amaigrissement qui l’évoque mais le reste de rexamen. [72] :BDE Il peut exister une poussée d’hyperthyroïdie dans la maladie de Hashimoto : cependant celleci, à long terme, évolue généralement vers Ihypothyroïdie. [73] chirurgie, on peut aussi ajouter de l’hémisuccinate IV). [80] :C L’insuffisance surrénalienne aigué doit être évoquée de première intention chez tout insuffisant surrénalien “allant mal”. Les signes digestifs, fréquents, peuvent faire errer le diagnostic vers une pathologie chirurgicale (une telle pathologie peut d’ailleurs exister et décompenser secondairement une insuffisance surrénalienne). [81] :D Le goître n’est pas un élément en faveur d’une thyrotoxicose, mais de son étiologie. Le goître dans ce contexte est évocateur d’une hyperthyroïdie liée à une maladie de Basedow, mais il n’est pas dû à l’hypersécrétion isolée d’hormones thyroïdiennes. [82] :E L’aspect scintigraphique décrit est celui d’une maladie de Basedow. Pour certains, il existe des cas typiques de maladie de Basedow où l’on peut éventuellement se passer de la scintigraphie. [83] :A A - La tachycardie est un très bon élément de diagnostic, de surveillance. Elle est permanente, persiste au repos, augmente à l’effort, est généralement sinusale à l’ECG. [84] :D [79] D - Les antithyroïdiens de :BCD La préparation pré, per et post- synthèse seront associés aux béta bloquants, aux sédatifs et au opératoire est indispensable, notamment en raison du risque repos. [85] d’insuffisance surrénalienne aigué. Ce protocole cité est peu : E Sans commentaire. satisfaisant. La veille [86] notamment, on utilise plutôt de :C l’acétate de cortisone 1M, de En cas d’hypoglycémie, il existe même que le jour de des signes liés: l’intervention (lors de la :BCD Pour le diagnostic d’hyperthyroïdie en 85, on utilisait essentiellement T3 et T4 libres, mais actuellement, la TSH ultrasensible est très intéressante (étant diminuée avant l’augmentation de T3 et T4). [74] :C Sans commentaire. [75] :AD Les rechutes sont généralement liées à un arrêt prématuré de traitement (ce qui est fréquent! [76] :ABCE Sans commentaire. [77] :CE La perte du cycle nycthéméral du cortisol est un signe biologique majeur en faveur d’un hypercortisolisme. [78] :DE Un examen surrénalien et hypophysaire permettent d’orienter vers une pathologie surrénalienne primitive ou hypophysaire. NB : C’est une mauvaise question car l’exploration d’un hypercortisolisme se fait en plusieurs étapes: I) Confirmer l’hypercortisolisme. 2) Et après, préciser son origine, c’est au niveau de cette deuxième étape que se situent ces deux examens. 32 - à la carence cellulaire en glucose, pouvant donner des signes neurologiques ou psychiatriques ; les crises convulsives sont plus volontiers généralisées, mais une crise localisée n’exclue absolument pas le diagnostic - à la réaction de système sympathique --> A.D. et bien d’autres signes. [87] :AD Le Daonil® est un sulfamide hypoglycémiant puissant de courte durée d’action, qui n’aurait pas du être prescrit chez cette patiente obèse et insuffisante rénale. [88] :C En cas d’hypog!ycémie, il existe une réaction adrénergique compensatrice, masquée ici par la prise de béta- (Avlocardyl®). [89] :AB L’insuffisance rénale contreindique généralement la prise de Daonil®; éventuellement, on peut diminuer la dose de ce médicament à demi-vie courte et à élimination rénale. [90] :D Il faut toujours prescrire en premier un régime hypocalorique assez strict, avant l’utilisation dantidiabétiques oraux, dautant que cette patiente est obèse et que le Daonil® nest pas une bonne indication. [91] :ABDE Sans commentaire [92] :CD L’élargissement de la silhouette cardiaque peut exister en dehors de toute insuffisance cardiaque et être liée au coeur “myxoedémateux’. [93] :D Le test au TRH a actuellement de moins en moins d’intérêt depuis l’utilisation de la TSH ultrasensible. [94] :AE Lhypothyroïdie peut en effet entraîner un léger retentissement surrénalien, biologique mais avec cortisol normal. Cependant, il peut exister une véritable maladie d’Addison associée à une hypothyroïdie dans le cadre d’une pathologie endocrinienne autoimmune,.mais dans ce cas ce n’est pas une association fréquente et le mot, souvent, de l’item élimine cette possibilité. [95] :BC Une fréquence cardiaque à 70 par minute au repos est une fréquence cardiaque normale. [96] :B Sans commentaire. [97] :D Les critères OMS permettant de porter le diagnostic de diabète sucré sont: - glycémie à jeun supérieure ou égale à 7,7 mmol/l (1,4 g/l) ou post prandiale supérieure ou égale 11,1 mol/I (2 g/l) sur plasma veineux. [98] :E Sans commentaire. [99] :C Connaissance. [100] :E Connaissance. [101] :C Connaissance. [102] :E Connaissance. [103] :ABCDE Le syndrome de Cushing constitue l’une des étiologies de retard pubertaire chez renfant. [104] :E Le cycle du cortisol, le C.L.U. des 24 heures avec dosage de la créatininurie, l’absence de freinage au test de Nugent, sont des éléments pour le diagnostic dhypercortisolisme, mais non des éléments orientant vers une étiologie. ACTH bas oriente vers une origine basse. [105] :E Sans commentaire. [106] :C Les deux causes possibles sont l’adénome surrénalien bénin et le corticosurrénalome. Bien qu’il n’y ait pas d’élément clinique permettant d’infirmer le corticosurrénalome, celui-ci semble peu probable dans ce contexte. De toute façon, la chirurgie sera nécessaire dans les deux cas (sauf cas particulier). [107] :D En cas de nodule autonome extinctif, celui-ci serait hyperfixant avec extension au parenchyme adjacent. [108] :ABE La ponction dune thyroïde nodulaire est négative (ou blanche). [109] :BC Le refoulement trachéal est uniquement dû à la taille de la tumeur. [110] :D Sans commentaire. [111] :BCD Sans commentaire. 33 [112] :D Le tableau évoque une hypothyroïdie. La TSH est le paramètre le plus précocement touché (s’élève en cas d’hypothyroïdie d’origine basse). [113] :D Sans commentaire. [114] :C Mauvaise question, il ne faut jamais prescrire un antidiabétique oral avant d’avoir prescrit un régime hypocalorique pondéral(car surcharge) adapté. [115] :E On n’institue jamais un traitement antihypertenseur sur un seul chiffre tensionnel non menaçant. [116] :E Soit: - Lévothyrox® LT4 (un comprimé = 50 ou 100 .ig). - Thyroxine DLT4. [117] :ADE Sans commentaire. [118] :B Le malade fait des malaises hypoglycémiques car il est surdosé en insuline, mais au lieu de diminuer sa dose d’insuline, il prend du sucre, ce qui de plus le fait grossir. [119] :CD Ce sont deux insulines semilentes, la Rapitard® contenant en plus une composante ordinaire. [120] :D Connaissance. [121] :A L’hémoglobine glycosylée A1C reflète l’équilibre glycémique des deux à trois mois précédents. Il est souhaitable den pratiquer le dosage dans le même laboratoire. [122] :ABCDE Sans commentaire. [123] :ABCE Sans commentaire. [124] :ACE La réponse de la GH sous TRH constitue une réponse paradoxale de la GH. [125] :ABDE D E - Est litigieux car ces deux signes ne sont pas présents dans rénoncé, mais il semble prudent de les mettre. [126] :AB Le Parlodel® marche mal. La somatostatine en cours d’étude donne des résultats encourageants, mais ne constitue pas un traitement de fond. [127] :BC Au cours de I’ ISA., une perte de connaissance peut être due à une hypoTA s’aggravant en orthostatique, à une hypoglycémie, à une hyponatrémie. La tachycardie est un mécanisme de compensation de l’état de choc. [128] :ABCD Dans IISA, peuvent se voir soit une fièvre soit une hypothermie, soit une température normale. Le bronzage important, en rapport avec une mélanodermie, est un signe d’hypersécrétion. [129] :B A - Une IS d’origine hypophysaire s’accompagne d’un taux d’ACTH bas. A E - Existent vraisemblablement chez ce patient pléthorique. [135] :BC Le régime et l’exercice physique sont les bases du traitement du DNID. [136] :BC Il faut aussi conseiller au [130] patient de surveiller ses :CE Il faut apporter du sérum glucosé glycémies capillaires. [137] isotonique, associé à 12 :ABCD grammes de sel par litre, sans La question est mal posée, car potassium (hyperkaliémie). Des transfusions c’est l’élévation des hormones qui entraîne les manifestations de GR ou de macromolécules cliniques. L’exophtalmie n’est sont nécessaires en cas de pas une conséquence de collapsus. l’élévation des H thyroïdiennes, [131] mais est en rapport avec les :BD désordres auto-immuns. Le traitement subtitutif doit [138] compenser le déficit en :AB glucocorticoïdes et en Dans ce contexte minéralcorticoïdes. d’hyperthyroïdie, la TSH basse [132] oriente vers deux étiologies de :ABCD l’hyperthyroïdie primitive. Le Catapressan®, ainsi que les [139] autres antihypertenseurs :ABD centraux, ne modifie pas Le vitiligo, comme d’autres l’équilibre glycémique, au maladies auto-immunes peut contraire des diurétiques (Lasilix®-thiazidiques). Les béta- être associé à la maladie de Basedow, mais n’est pas un bloquants ne déséquilibrent pas signe clinique de la maladie. un diabète mais doivent être employés avec prudence (béta[140] bloquants cardiosélectifs) car ils :BDE masquent les signes Le Lugol® fort est actuellement d’hypoglycémie. peu utilisé. Il peut être utile pour [133] la préparation à un traitement :ABC chirurgical. B C - Sont effectués dans le [141] cadre de la surveillance des :BCD complications du diabète. Les complications oculaires A - Dosage apportant peu de (exophtalmie oedémateuse) renseignements, car il ne sont susceptibles dêtre présente pas de signes de aggravées par les traitements carence en radicaux, notamment une insuline = réponse litigieuse. thyroïdectomie subtotale. [134] [142] :ADE :D D - L’hypertriglycéridémie est en Sans commentaire. rapport avec l’hyperglycémie [143] prolongée. E - La principale origine iatrogène est le sevrage, brutal, total ou relatif, au cours ou au décours d’une corticothérapie d’autant qu’elle a été plus intense et plus prolongée. Chez elle, on élimine dans le texte une prise médicamenteuse, un acte chirurgical. 34 potentialisation de l’inhibition de la néoglycogénèse hépatique. [152] :B Il faut choisir un sulfamide, de métabolisme rénal, de demi-vie courte ou intermédiaire, en débutant le traitement par une posologie modérée, afin d’éviter les hypoglycémies des sulfamides hypoglycémiants. [153] :BCD Sans commentaire. [154] :BDE L’adénome toxique s’accompagne en sus d’hyperthyroïdie. Lors de la thyroïdite de De Quervain, la thyroïde est typiquement douloureuse, augmentée de volume de façon diffuse, avec diminution de la mobilité par rapport à la trachée. Parfois il existe une hypertrophie isolée d’un lobe, douloureuse ou un nodule mal limité, douloureux. [155] :CE Sans commentaire. [156] :E Sans commentaire. [157] :D Sans commentaire. [158] :C Sans commentaire. [159] :D Sans commentaire. [160] [151] :C :ABDE Sans commentaire. Les hypoglycémies ne se rencontrent en principe pas car [161] :E les biguanides ne sont pas insulinosécrétants, néanmoins il Sans commentaire. y a potentialisation de reffet [162] lorsque cette médication est :ABC associée aux sulfamides et Sans commentaire. surtout lorsqu’ils sont pris à [163] jeun, associés à de l’alcool. Il y :E a en effet dans ce cas là une :ABCD Sans commentaire. [144] :AB Sans commentaire. [145] :B Sans commentaire. [146] :BE Sans commentaire. [147] :E Sans commentaire. [148] :B Le Clomid® (clomifène) a une action d’inhibition compétitive du rétro-contrôle des oestrogènes au niveau hypothalamique, ce qui entra;ne une élévation de FSH responsable de la maturation folliculaire, qui elle-même favorise Ihypersécrétion d’oestradiol, et ainsi la survenue d’un pic de LH, déclenchant l’ovulation. [149] :CD Sans commentaire. [150] :ABD Le régime doit apporter une quantité suffisante de glucides d’absorption lente (55 % de la ration calorique globale). Le son permet de diminuer le pic hyperglycémique post-prandial. Le régime doit apporter des lipides, tels que l’huile de tournesol, polyinsaturés. 35 La mélanodermie est témoin dune hypersécrétion d’ACTH, témoin elle-même dune IS primitive. [164] :ABE Les principales étiologies de lS primitive sont la tuberculose surrénale et la rétraction corticale dorigine auto-immune. [165] :ABD Le régime doit être normosodé. En cas de régime hyposodé, il y a risque dIS, aiguê. [166] :ABC La surveillance a pour but de vérifier l’effet strictement substitutif du traitement. [167] :BD Sans commentaire. [168] :ABE Les trois signes spécifiques dune maladie de Basedow sont exophtalmie, goître diffus vasculaire, et myxoedème prétibial (rare). Le vitiligo est en faveur d’une pathologie autoimmune, comme le Basedow. [169] :BCDE Sans commentaire. [170] :BCE La surveillance du traitement doit comporter un dosage de T4 libre pour évaluer leffet du traitement, une NFS car il existe un risque dagranulocytose aigué sous .Néomercazole®, et un ECG (dysthyroïdie, prise de bétabloquant). [171] :BD Sans commentaire. [172] :B Devant un nodule froid, surtout avec antécédents dirradiation cervicale, présence dadénopathies, l’attitude est l’exploration chirurgicale avec extemporané. [173] :BD Devant un nodule froid en scintigraphie, ranatomopathologie retrouve 90 % d’adénomes bénins et 10 % de cancers. [174] :D Une biopsie thyroïdienne à l’aiguille négative n’élimine pas le diagnostic. [175] :ADE Lorsqu’il y a association papillovésiculaire, le pronostic est celui du cancer papillaire. Le cancer papillaire dissémine par voie lymphatique. [176] :ACD Sans commentaire. [177] :E Sans commentaire. [178] :ABCD Les antihypertenseurs (réserpine et méthyldopa). Les antidépresseurs tricycliques agissent en diminuant le stock ou en inhibant la synthèse des catécholamines. Les neuroleptiques agissent en bloquant les récepteurs dopaminergiques. [179] :ABC Le test à pratiquer devant une hyperprolactinémie est le test au TRH : en cas d’hypersécrétion tumorale, la prolactine s’élève peu ou pas. [180] :C Sans commentaire. [181] :BE Pendant la grossesse, il y a risque de poussée congestive avec nécrose hémorragique de l’adénome, ainsi qu’une possibilité de croissance progressive de l’adénome (rôle des oestrogènes). [182] :AD L’ECG et le taux des transaminases permettent d’éliminer un 1DM. Lors d’une hypothyroïdie, le myocarde est infiltré et il existe souvent un épanchement péricardique riche en albumine et en cholestérol. [183] :D Cet examen permet de diagnostiquer l’origine haute ou basse de l’hypothyroïdie. [184] :D Le traitement de rhypothyroïdie doit être très progressif, avec surveillance journalière de rECG, d’autant plus que le sujet est âgé et qu’il existe une symptomatologie cardiaque (la prise de béta-bloquants est conseillée en cas dangor). Une insuffisance surrénalienne fonctionnelle peut se démasquer brutalement en début de traitement, d’autant plus que rhypothyroïdie est ancienne. [185] :ABE Sans commentaire. [186] :CE L’arythmie complète peut survenir en cas de surdosage. [187] :ABCD La pilule peut, par stimulation de la synthèse de CBG, augmenter la cortisolémie. [188] :AD Les vergetures de l’hypercortisolisme sont ciassiquement larges, pourpres, horizontales, occupant la racine des membres, l’abdomen. Par ailleurs, il existe une amyotrophie des racines des membres. 36 [189] :D L’hypercortisolisme secondaire à l’obésité répond aux freinages rapides et faibles. Le cycle nycthéméral est le plus souvent non aboli. [190] :ABE La métopirone, par inhibition de la 11 béta hydroxylase, bloque la synthèse de cortisol. La chute de la cortisolémie entraîne une stimulation de la sécrétion d’ACTH et une élévation des hydroxystéroïdes urinaires et des désoxycorticostéroïdes sanguins. [191] :AD Après surrénalectomie locale unilatérale, un traitement supplétif est nécessaire en raison d’une insuffisance voir ed’une atrophie de la surrénale contralatérale. L’apparition d’un adénome hypophysaire corticotrope après surrénalectomie bilatérale pour maladie de Cushing réalise le syndrome de Nelson (ACTH élevée, non freinable, hyperstimulable par le LVP). [192] :A Sans commentaire. [193] :BD Sans commentaire. [194] :D Sans commentaire. [195] :D Sans commentaire. [196] :BCE Jusqu’à 50% des exophtalmies bilatérales seraient d’origine basedowienne. Elle est fréquemment asynergie, parfois unilatérale en particulier au bromocriptine freine l’hypersécrétion de GH chez nombre dacromégales en test aigu. Elle peut constituer un traitement chez les sujets répondeurs, très rarement en première intention. Elle serait plus active dans les cas d’adénome mixte GH prolactine. [207] :ABD Sans commentaire. [208] :A La chirurgie de première intention, par voie transphénoïdale est le plus souvent le traitement de racromégalie. QUESTION ANNULEE. Les analogues retard de la [199] somatostatine constitue un :CD traitement prometteur. Ils Il s’agit d’une exophtalmie s’administrent par vois sousmodérée sans complication cutanée. Ils sont parfois visuelle qui ne nécessite qu’un [203] emplyoyés en courtes cures traitement local par collyre pour : B C préchirurgicales. éviter le risque cornéen et une II existe une hypovolémie, une [209] surveillance ophtalmologique déshydratation globale qui :C régulière. La thyrotoxicose doit nécessite une expansion être traitée, le traitement volémique. Lapport de potassium Sans commentaire. [210] médical chez cette femme est d’emblé est contre-indiqué adapté. Les antithyroïdiens de compte tenu de l’hyperkaliémie, il : C Il est de bon usage de mesurer synthèse ne semblent pas faudra dans la suite compenser modifier le cours de le déficit du stock potassique qui la glycémie capillaire, de prélever un tube pour dosage l’ophtalmopathie. existe toujours dans de glycémie au laboratoire puis [200] lacidocétose. de “resucrer”. :ABE [204] [211] A. Visée diagnostic, acidose :C :BCE dont témoigne la baisse des Dans un tiers des cas L’hypoglycémie peut favoriser A bicarbonates, la cétonurie. Il d’acromégalie, il existe une et D. faut aussi rechercher une cause hypersécrétion de prolactine : [212] précipitante, en particulier adénome mixte ou compression infection d’autant que de la tige pituitaire entraînant une : A D E La recherche dune insuffisance l’acidocétose, en soit, peut libération du frein rénale hépatique, d’interactions entraîner une hyperleucocytose. hypothalamique. médicamenteuses ou L’hypothermie étant fréquente [205] d’erreurs de régime est dans l’acidocétose, toute fièvre :BD fondamentale. incite à la recherche d’une La GH n’est pas freinée lors de infection I’HGPQ chez racromégale. On BE. Sont les examens dont il [213] note une diminution aurait fallu impérativement les :C paradoxale de la GH sous Lrésultats avant l’intervention. Il faut ensuite prendre le relai, dOPA chez lacromégale. [201] en hospitalisant, par une [206] :AE perfusion de G 10% et dès que :B A. Par déshydratation. La 2 bromo alpha-ergocriptine ou possible par un apport oral de début. L’asymétrie oculopalpébrale se recherche dans le regard vers le bas. La rétraction de la paupière supérieure peut s’intégrer dans l’effet sympatomimétique lié à la thyrotoxicose. [197] :AB L’exophtalmie est classée en trois grades selon la mesure de l’index oculo-orbitaire. Les muscles oculomoteurs sont épaissis du fait de la réaction inflammatoire et de l’oedème à la phase initiale, dont ils sont le siège. [198] D. Provoquée par l’acidose lors de cette décompensation diabétique. [202] :DE Il existe au cours de l’acidocétose une fuite urinaire de sodium que l’on peut apprécier à 10 meq/kg liée en particulier à l’élimination des corps cétoniques sous forme de sel de sodium, à la diurèse amniotique. La carence en insuline entraîne un dysfonctionnement de la lipoprotéine lipase avec défaut du catabolisme des VLDL et des chylomicrons avec possibilité de type I ou V, sérum lactescent, ceci rajoute une composante de fausse hyponatrémie à cette hyponatrémie avec osmolarité élevée et donc déshydratation intracellulaire. 37 glucides. Il faut arrêter les hypoglycémiants oraux et apporter 400 g de glucose per os ÷ 400 g de glucose IV par 24 heures. [214] :C On est en présence d’une hypothyroïdie primaire avec des anticorps antimicrosomes positifs, thyroïdite autoimmune à la phase involutive. Les anticorps antithyroglobuline sont négatifs dans 10 à 20% des thyroïdites de Hashimoto prouvé histologiquement. [215] :B LECG est aussi un examen à pratiquer régulièrement dans la surveillance de lopothérapie substitutive. [216] :A Dans les formes importantes d’hypothyroïdie chez le sujet âgé, il ne faut pas hésiter à commencer par une posologie de 12,5 mg de T4 (Lévothyrox® 50 : 1/4 cp) et à faire des paliers longs (4 à 8 semaines). [217] :CDE Les extraits thyroïdiens ne doivent plus être employés. La T3 est réservée à des indications particulières tenant compte de sa 1/2 vie courte de 24 heures. [218] :D Sans commentaire. [219] :D Le traitement substitutif doit être poursuivi à vie. [220] :ACDE La thyroïdite lymphocytaire peut survenir à tout âge, elle est plus fréquente dans les 4ème et 5ème décades. Elle affecte surtout le sexe féminin (9/10). La thyroïdite peut être découverte au stade courbe de taille, l’âge osseux et l’âge des premières règles de la mère sont en faveur de ce diagnostic. B - Absence de développement des testicules et grande taille. c, D - Pas de signe d’hypogonadisme. [226] :A A - Age osseux en rapport avec la taille des testicules (2 à 3,2 [222] cm à 12 ans). :D [227] Il existe un nombre considérable :E de médicaments contenant de S’assurer de la progression de l’iode. L’enquête anamnestique la puberté et de la croissance. oriente, mais ne permet pas [228] d’écarter une pathologie induite :A par l’iode. La captation iodée est augmentée, normale ou abaissée c - Proposé dans les cryptorchidies (1000 à 1500 dans le Hashimoto. Dans l’hyperthyroïdie induite par l’iode, unités par semaine pendant 3 semaines). D - Entraîne une la captation reste paradoxalement satisfaisante, du maturation osseuse et limite la taille finale. fait d’un défaut d’organification [229] (fixation de l’iodure sur la thyroglobuline de l’iodure présent : A C - Dans la puberté retardée en excès dans la thyroïde) et simple la taille finale est d’une augmentation de la TSH. normale. En effet le taux d’organification D - Syndrome de Klinefelter est un des régulateurs de la (XXY). captation de l’iodure. [230] [223] :BDE :AB A - S’observe dans la gigantoOn peut voir apparaître d’autres acromégalie en cas d’adénome endocrinopathies auto-immunes somatotrope chez l’enfant. et d’autres malades autoB - Caractère bilatéral très immunes non endocriniennes évocateur. L’hypothyroïdie est en soi D - Diabète présent dans 1/3 semblable aux autres formes des cas. d’hypothyroïdie, mais son E - Syndrome tumoral. association au goitre ferme la rend caractéristique. On ne voit pas d’évolution vers la [231] :AC cancérisation, le Hashimoto A - Adénome mixte (GH + prédispose au lymphome malin prolactine) ou compression de thyroïdien. la tige pituitaire. [224] B - Hémianopsie bitemporale dans les tumeurs QUESTION ANNULEE. hypophysaires. [225] C - Spondylose d’Erdheim. :A D - Signe d’hypercorticisme. A - Le bon état général, le E - La voix bitonale se voit dans volume testiculaire, l’infléchissement progressif de la les compressions du nerf dhyperthyroïdie de réserve (T4 T3 normales, TSH augmentée). [221] :D Il existe un syndrome inflammatoire dans la thyroïdite de De Quervain. Les anticorps antimicrosomiaux sont les plus spécifiques du Hashimoto. 38 récurrent [232] :BC B, C - Signes radiologiques classiques dacromégalie. La selle turcique pouvant présenter un épaississement et une condensation de la paroi sellaire (bec acromégale) sous l’effet de la GH et/ou un agrandissement voire une destruction du plancher sous l’effet du volume tumoral. [233] :BCE A - Item discutable : adénome mixte et compression de la tige pituitaire pouvant causer une hyperprolactinémie mais il ne s’agit plus d’une acromégalie au sens restrictif. B - Augmentation réabsorption tubulaire du phosphore. C - Elévation ‘paradoxale” alors que le test est négatif chez le sujet normal. E - Très évocateur. [234] :AE A, E - Classique avec les dépôt durate dans la goutte, d’amylose dans le méome. [235] :C A - Régime normosalé. B - Inadapté. C - Est parfois donné systématiquement après l’intervention à titre préventif. D - Dans les insuffisances corticotrope (central) il n’y a pas de déficit minéralocorticoïde. [236] :BCE B - Classique. C - Signe la persistance de tissus adénomateux échappant aux mécanismes de régulations normaux (voir QCM 9). D - La bromocriptine baisse la GH et est parfois utilisée dans le traitement de l’acromégalie. E - Un traitement efficace normalise IGF 1 (très bon témoin). [237] :BCD A - Polyphagie. B. C, D - Classique. E - Diarrhée. [238] :ABE A - Le goitre se voit dans 90 à 99% des cas. B, E - Goitre diffus, homogène, élastique ou ferme et vasculaire. [239] :ABCD B - Rare, mais possible. D - Par atteinte oculomotrice. [240] :ABcD c - Justifiant un traitement anticoagulant. D, E - Répond très bien aux Bêta-bloquants (traitement de choix) et mal aux digitaliques. [241] :CD A - Patiente trop jeune. B - Geste insuffisant. E - Traitement symptomatique d’appoint. [242] :ABCE A - Signe une hypothyroïdie par surdosage. B - Allergie médicamenteuse. C - Hépatite cytolitique, cholestase et stéatose sont rares mais ont été décrites (Réf. : J. Frexinos, Hépato-gastroentérologie clinique, Simep). E - Trouble hématologique dans 0,7% des cas. [243] :ABDE A - Surveillance des troubles hématologiques. B - Surveillance hépatite cytolytique (rare). D, E - Surveillance efficacité et surdosage (hypothyroïdie avec élévation de la TSH et augmentation du goitre). [244] :B B - Contrairement à la maladie de Basedow (stress, épisode de la 39 vie génitale...). C - S’applique parfois à la maladie de Basedow sur goitre pré-existant. D - C’est l’inverse : adénome hypophysaire à TSH en réponse à une hypothyroïdie périphérique (rare). E - Syndrome de Gorlin (Il B) : phéochomcytome, cancer médullaire de la thyroïde et névromes muqueux. [245] :ADE A - Car apportant le caractère hypofixant du nodule avec extinction du reste du parenchyme. C - Le parenchyme sain est réactivé par la TSH et devient visible à la scintigraphie (test de Querido). E - Le terme “toujours” prête à discussion mais l’échographie apporte des renseignements (taille, nature) sur le nodule. [246] :ABC A, B, C - Hyperthyroïdie périphérique avec rétrocontrôle négatif de la TSH. D - Maladie de Basedow. E - Maladie de Basedow, thyroïdite chronique de Hashimoto. [247] :BE A - Dans les nodules “compensés” où la production d’hormones thyroïdiennes est insuffisante pour entraîner une hyperthyroïdie. B - Traitement de choix. Possibilité de traitement complémentaire par Iode 131 après administration d’hormone thyroïdienne pour préserver le tissu sain. E - Fréquents troubles du rythme. [248] :D A - La cytoponction à l’aiguille fine n’a pas sa place dans diagnostic. B - Difficile à différencier dune autre tumeur solide. D - La scintigraphie est l’examen de choix. E - Pathologie bénigne. [249] :AC C - Avec alcalose métabolique dans le tableau complet. D - Hyperkaliémie avec acidose hyperchlorémique. E - Hyperkaliémie. [250] :A A - Effondrée dans les hyperaldostéronismes primaires. B - Anomalie de la tolérance aux sucres fréquente dans l’adénome de Conn. C - Elevée dans les deux cas, mais Na/K urinaire> 1 dans Ihyperaldostéronisme primaire uniquement. D, E - Elevé dans les deux cas. [251] :BCE A - Effondrée dans les deux cas. B - Gradiant daldostérone latéralisé du côté de l’adénome. C - Freination en cas d’hyperplasie uniquement. D - Hyperfixation latéralisée du côté de l’adénome. [252] :AE A, E - Bonne résolution. B - Phlébographie des veines surrénales. C, D - Résolution insuffisante. [253] :E E - 3 à 5mg/kg/jour, constitue le traitement de première intention, la surrénalectémie bilatérale subtotale ne normalisant le plus souvent pas la pression artérielle. [254] :E A, B, C, D - Signes cliniques A, B - La patiente n’étant pas en surcharge pondérale, doit suivre un régime normocalorique (1600 à 2000 cal/jour). La ration glucidique est donc insuffisante au profit des graisses (viande, oeuf). C - Non, glycémie à jeun : 2g11 et HbA1 = 13%. D, E - Mauvais équilibre glycémique justifiant une insulinothérapie reposant sur 2 voire 3 injections par jour dune insuline semi-lente et/ou rapide. [261] :E A, B - Pas d’arguments dans l’observation. C - Le fond d’oeil montre quelques anomalies pouvant au plus correspondre à une rétinopathie non-proliférante. D - Glomérulopathie à forme [257] nodulaire s’observant à un :ACDE stade de lésions diffuses A - L’insuffisance surrénale avancées. survient habituellement 10 à 15 jours après l’atteinte tuberculeuse E - HTA à traiter impérativement chez une initiale. diabétique présentant un début C, D - Signes classiques. de rétinopathie et [258] néphropathie. :BDE [262] A - Dangereux, au contraire :ADE régime normosalé. A - Voir question [246]. B, D - Déficit gluco et B - Inefficace dans le diabète minéralocorticoïde à corriger. de type I où linsulinotsécrétion C - Inadapté. endogène est nulle. E - Traitement étiologique. C - Inefficace voire dangereux [259] (hypoglycémie). :C D - Indispensable pour une A - Le diabète gestationnel bonne prise en charge. survient chez la mère durant la E - Un équilibre glycémique grossesse. optimum doit être obtenu avant B - Le diabète “M.O.D.Y.” le début de la grossesse. survient plus tard et n’est pas [263] insulino-dépendant d’emblée. :AE C - Tableau typique. A - Aggravation des D - Ne donne pas un diabète complications chroniques du d’emblée insulino-dépendant. diabète par déséquilibre E - Habituellement non insulinoglycémique, dépendant et tableau différent. hypertension artérielle... [260] :A classiques d’insuffisance surrénale basse. [255] :B A - Hyponatrémie par fuite urinaire de sodium. C, D - Déficit glucocorticoïde et minéralocorticoïde. E - Elévation de I’ACTH pour levée du rétrocontrôle négatif par les glucocorticoïdes. [256] :A A - A réaliser en milieu hospitalier sous surveillance étroite. Confirme l’origine basse du déficit (absence de réponse). B - Surtout utilisé dans les hypercorticismes. D - Dans la maladie d’Addison on réalise au contraire une épreuve de diurèse provoquée (test de Robinson). 40 Médecine, Flammarion. [269] :D A - Inutile, compte-tenu de [264] l’ancienneté des troubles et de la :D bonne tolérance de A - Paralysie flasque touchant Ihypokaliémie. D - Bananes, initialement les jambes. B - Pouvant entraîner une mort abricots secs, lentilles, levure, pommes... subite. [270] C - Attente de la musculature :C lisse, iléus paralytique. A - Signes apparus trop D - Dans rapidement (6 mois). Ihyperminéralocorticisme B - Déficit thyréotrope rarement intolérance aux hydrates de aussi complet et isolé, sans carbone voire diabète dans atteinte des autres fonctions plus de la moitié des cas. antihypophysaires. E - Exceptionnel. C - La rapidité d’installation des [265] troubles et la prise de cordarone :B sont en faveur d’une A - Au contraire, hypothèse iatrogénique chez hyperprotidémie par cette patiente sans goitre. déshydratation. D - Age trop tardif. B - Avec les diurétiques de E - Absence de goitre. l’anse et les thiazidiques. c, E - Avec les antialdostérones [271] :ABCD qui sont hyperkalémiants. D - Au contraire, hyponatrémie. A - Hypercholestérolémie. B - Signes d’hypothyroïdie [266] (bradycardie sinusale, bloc :C auriculo-ventriculaire, bloc de C - Par perte extrarénale de branche, bicarbonate. troubles de la repolarisation diffus A - Item litigieux car une hypoprotidémie pourrait se voir avec microvoltage) et signes d’insuffisance coronarienne. en cas de malabsorption C - Effondrée. secondaire à D - Elevée par levée du un abus prolongé de laxatif. rétrocontrôle négatif par les [267] hormones thyroïdiennes. :A E - Montrerait une scintigraphie A - Kaliurèse élevée si perte blanche ou une diminution réna’e (diurétique) et basse si globule de la fixation de l’iode, perte extra-rénale (digestive). mais B - Item litigieux car les examen non indispensable. diurétiques thiazidiques et de l’anse inhibent la réabsorption [272] du chlore :A et augmentent la chlorurie. Dans ce contexte, et compte-tenu [268] des antécédents dangor, on :ABCD recherchera une insuffisance A, B - Protéinurie modérée cardiaque avec des zones possible. hypokinétiques (ischémie) et un D - Présente précocement avec, à un stade avancé, perte épanchement péricardique (hypothyroïdie). Un bilan du pouvoir de dilution des cardiaque soigneux est urines. indispensable avant toute Réf. : P. Godeau, Traité de B, C, E - Evident. D - Insuffisante. 41 opothérapie substitutive. [273] :D A DEFINIR PUISQUE NON PRECISE A, B - Inadapté et posologie trop élevée. C - Absurde. D - On peut débuter le traitement par LT4 à dose plus élevée compte-tenu des antécédents dangor et de râge de la patiente. On augmentera ensuite par palier de 10 jours minimum sous stricte surveillance cardiologique. [274] :ACDE A, D - Surveillance de la tolérance cardiaque, la survenue de signes dangor devant éventuellement faire interrompre le traitement substitutif. E - Abaissement puis normalisation de la TSH, du cholestérol et des CPK (musculaires). [275] :AE A, E - Clairance de ‘eau libre positive. B - Diabète sucré. C - Néphropathie calcique. D - Natriurèse fonction des apports. [276] :ADE A- Densité 1005 C - Utile pour les pathologies parathyroïdiennes (PTH). D - Osmolarité urinaire < 300mom/l ; osmolarité plasmatique le plus souvent normale. E - Fortement positive (perte du pouvoir de concentration des urines). [277] :BD A - Perte de poids plus importante (polyurie). B - Absence de concentration doser avant de réaliser la radio de crâne. E - Etudie l’ovulation et la qualité du corps jaune. [282] :ABCDE A - En règle modérée et répondant amplement au TRH. Représente la majorité des hyperprolactinémies. C - Rare. D - Prolactinémie environ lOOmg/ml dans les microadénomes et> 200mg/ml dans les macroadénomes. Réponse nulle ou diminuée au TRH. [283] :CDE A - Pas d’indication devant une hyperprolactinémie chez l’adulte. B - Pas de première intention pour l’instant. C, D - Recherche d’un processus tumoral. E - La réponse normale est une stimulation de la prolactine. Cette réponse est ample dans les étiologie iatrogènes et rhyperprolactinémie fonctionnelle, elle est diminuée dans les adénomes. [280] [284] :BCDE :C A - Pas de galactorrhée (pas A - Pas d’anomalie radiologique. d’hyperprolactinémie). B - Item litigieux, car une image B - Premier diagnostic à similaire pourrait être observée évoquer. avec un macroadénome C - Les oestrogènes contenus dans la pilule contraceptive sont (diamètre> lOmm) peu important. D, E - Atteinte de l’ensemble de alors incriminés. D - S’accompagnant dans 25% la selle turcique. [285] des cas d’une :B hyperprolactinémie mais A - Non, car risque de croissance rarement d’une tumorale et désir de grossesse. galactorrhée. E - Neuroleptiques, tricycliques, B - Sera alors poursuivi ou arrêté alpha-métyl-dopa, cimétidine... (selon les écoles) lors de la grossesse. donnent une D, E - La radiothérapie, avec le hypoprolactinémie en règle risque majeur d’insuffisance modéré (<200mg/ml). antéhypohysaire qu’elle [281] comporte, :ABCD risque de compromettre une A - Ovaire polykystique. B - Grossesse, indispensable à grossesse ultérieure. des urines. D - Déshydratation par polyurie doù hyperthermie. Surveillance hospitalière indispensable. [278] :E A - Ne permet pas de différencier un diabète insipide central et néphrogénique. B - Stimule I’ADH (test de Cortes et Ganod) et réduit la diurèse (diagnostic différentiel avec la potomanie). C - Inhibe I’ADH : utilisé dans le syndrome de sécrétion inapproprié dADH. D - Augmente losmolarité plasmatique et donc losmolarité urinaire chez le sujet normal. E - Négativation de la clairance de leau libre dans le diabète insipide central, pas deffet dans le diabète insipide néphrogénique. [279] :BCE B, C, E - Connaissances. D - Hypogonadisme hypognadotrope avec anosmie par agénésie du diencéphale. 42 [286] :B Une kaliémie > 7mM/l représente un risque majeur de trouble du rythme ou de la conduction cardiaque pouvant entraîner à tout moment une mort subite. [287] :C Secondaire à la compression du membre inférieur droit avec lyse musculaire. [288] :DE D, E - Libérées par la lyse musculaire. [289] :E A - Traitement d’urgence des hyperkaliémies menaçantes, moins efficace que rhémodialyse cependant. C - Traitement de rhyperkaliémie, mais insuffisant ici. E - Moyen le plus efficace et le plus rapide de corriger l’ensemble des troubles associés à l’insuffisance rénale aiguê. [290] :A Par déshydratation secondaire à la polyurie survenant lors de la reprise de la diurèse et pouvant être aggravée par une compensation excessive des pertes urinaires. [291] :C C - On peut aussi observer des troubles digestifs (dégoût de l’eau, anorexie, nausée, vomissement), des troubles nerveux (céphalées, crampes, convulsion voire coma), une asthénie et parfois une hypothermie. [292] :ADE A - Oedèmes généralisés, blancs, mous, indolores, déclives, prenant le godet. [293] :C B, D - Peuvent être observées dans les hémodilutions importantes (hyperhydratation extracellulaire). C - La natrémie reflète l’hydratation intracellulaire. [294] :ABE Signes cliniques d’hyperhydratation intracellulaire. [295] :C 40% du calcium est lié aux protéines plasmatiques (albumine) et l’interprétation de la calcémie doit toujours tenir compte de la protidémie. B, E - Répétition. [296] :B A - Acidose métabolique. B - Par perte d’ion H+. E - Les hypercalcémies peuvent s’accompagner d’une alcalose métabolique (cancer, vitamine D, Sarcoïdose) Réf. : P. Godeau, Traité de Médecine, Flammarion. [297] :BC A - Hyperkaliémie. B - Sobserve dans les aspirations prolongées mal compensées. C - C’est le mécanisme principal par transfert intracellulaire du K+. [298] :E A - Aggravation de l’hyperhydratation globale. B, C - Aggravation de l’hyperhydratation extracellulaire. D - Inadapté. E - Corrigera rapidement l’ensemble des troubles hydroélectriques associés. [299] :D Les critères de diabètes retenus sur une HGPO (75g de glucose, dosage glycémie sur plasma veineux) ont: - deux glycémies à jeun > 7,7mM/l. - et/ou glycémie à 120 minutes 11,1 mM/l deux fois ou avec une valeur intermédiaire 11,lmM/l (OMS, 1979). [300] :D Dans un premier temps, on conseille un régime apportant les 2/3 des apports antérieurs. La moitié de cette ration doit être composée de glucides. [301] :CD B - Au contraire, c’est l’indication de choix. C - Contre-indication relative en l’absence d’insuffisance hépatique mais association à l’alcool déconseillée. D - Contre-indication absolue car risque d’acidose classique. [302] :D A, B, C, E - Sulfamides hypoglycémiants. D - Biguanides. [303] :BE A - Non, cependant ils peuvent aggraver l’hyperinsulinisme et on préfère les biguanides chez le diabétique avec surpoids. B - Contrairement aux biguanides où l’insuffisance rénale même modérée est une contreindication absolue, avec les sulfamides, seule l’insuffisance rénale sévère est une contreindication. D - A priori non, tant que le patient est en surpoids majeur, mais il serait utile d’évaluer l’insulinothérapie. E - Comme pour la rétinopathie. [304] :BC B - Hypertriglycéridémie endogène souvent associée au 43 diabète (glucido-dépendante). C - Oui, car deux glycémies à jeun > 7,7mM/l (critère OMS, 1979). [305] :ABCD A, B, C, D - Font partie du bilan du diabète. E - Inutile, le diagnostic de diabète étant déjà porté. Aucun intérêt dans la surveillance dun diabète. [306] :D D - Traitement de première intention du diabète de type Il et de la dyslipidémie de ce patient. Si échec, on introduira des hypoglycémiants oraux (biguanides) dans un deuxième temps. [307] :ABCE A - Une perte de poids est indispensable. B - Reflet de la glycémie de 6 à 8 semaines précédentes. C - Doit se normaliser sous régime bien suivi. D - Aucun intérêt ici (hyperinsulinisme). E - Doivent être inférieurs à 7,7mM/l. [308] :E Tableau clinique très évocateur dun hypercorticisme. A - Ne pourrait expliquer que HTA et donne un intolérance aux hydrates de carbone plus qu’un diabète franc. [309] :CE A - Au contraire, peau mince et fragile résistant mal aux traumatismes. B - Se voit dans certaines insuffisances surrénales lentes. D - Hyperthyroïdie. [310] :D Fréquente intolérance aux hydrates de carbone voire diabète franc. Ces troubles sont liés à une stimulation de la néoglucogenèse et une insulinorésistance périphérique avec hyperinsulinisme induit par les glucocorticoïdes. [311] :A En règle générale, les 17 OHstéroïdes urinaires sont élevés (> 8mg/24 heures) mais ne sont pas fiables. On préfère le dosage du Cortisol libre urinaire qui est le critère le plus fiable et est retrouvé élevé sur les urines de 24 heures (> lOOmg/24 heures). [312] :A A - Freinage faible qui doit abaisser les 17 OH-stéroïdes urinaires et le cortisol libre urinaire chez le sujet normal (test positif) et pas dans les véritables hypercorticismes (test négatif). B - Test de freination utilisé dans le phéochromocytome. C - Diagnostic des hyperaldortéronismes. D - Freinage fort permettant de différencier une maladie de Cushng (freinage positif) d’une sécrétion ectopique (freinage négatif). [313] :A A - Associé à l’hydrocortisone (2Omgljour) pour prévenir une insuffisance surrénale. [314] :DE D, E - Traduisent une atteinte des fibres myélinisées de gros diamètre, témoin classique de la polynévrite diabétique. [315] :ABD A, B - Le terme indispensable de l’énoncer peut prêter à discussion, si l’examen clinique est complet il peut suffire pour le diagnostic de neuropathie diabétique. D - L’association d’une macroangiopathie avec artérite des membres inférieurs et d’une neuropathie périphérique et végétative est classique dans le mal perforant plantaire. [316] :BCDE B - La polynéphrite est avant tout sensitive mais une atteinte motrice est possible, notamment dans la forme cachectique avec amyotrophie proximale (cuisses). C - Les douleurs disparaissent souvent après un certain temps d’évolution de la neuropathie. D - On ne dispose que de traitements symptomatiques mais non curatifs. E - Permettant de la stabiliser ou de ralentir la dégradation des paramètres cliniques et électrophysiologiques. [317] :BCD B - D’origine souvent mixte (vasculaire et nerveuse) chez le diabétique. C - Témoin de l’atteinte de l’ensemble du système cardiovasculaire. D - Mise en évidence par un test au carmin. On observe aussi : gastroparésie, anhydrose, troubles de la motricité pupillaire... [318] :BC D, E - Port de chaussures larges ne comprimant pas les pieds et n’entraînant pas de macération. [319] :C A - Aucun élément clinique ni paraclinique. B - La glycémie normale, l’absence d’hypertriglycéridémie associée sont contre ce diagnostic. C - Diagnostic le plus probable, compte-tenu des antécédents familiaux et du chiffre très élevé de la cholestérolémie chez un sujet jeune. 44 D - Pas de signe clinique, donne des hypercholestérolémies moins importantes. E - Cholestérolémie trop élevée. [320] :E A - Hypertriglycéridémie (L IV) : surcharge en VLDL ou chylomicron. B - Dyslipidémie mixte avec surcharge en VLDL (llb, III). C - Chylomicron. E - Surcharge pure en LDL (lia). [321] :B A - L’apo A est la fraction soluble des HDL et des chylomicrons. B - L’apo B est la fraction soluble des VLDL et LDL, elle est élevée (> O,9g/l) dans les hypercholestérolémies de type lia et llb. [322] :AE A - Atteinte précoce faisant la gravité du pronostic. Lartérite des membres inférieurs est plus tardive. D - Dans les hypertriglycéridémie importantes (> 20g/l). E - Siège le plus souvent aux tendons d’Achille (90%). [323] :AE A - La ration lipidique doit représenter 1/3 de la ration calorique. B, E - Régime pauvre en cholestérol (oeuf, abats...) et riche en graisses polyinsaturées (poisson, huile végétale...). C - Régime normocalorique. D - Apport de 50% de la ration calorique sous forme de glucide dont 60 à 80% de sucres dabsorption lente. [324] :A A - Traitement de première intention des hypercholestérolémies. Abaisse la cholestérolémie de 20 à 25% par inhibition du cycle entérohépatique des acides biliaires. Réduction de 19% des accidents coronariens chez les sujets traités. B, C, E - Traitement de rhypertriglycéridémie. Abaissent de 25 à 50% la triglycéridémie. D - Entraîne une réduction indésirable de 20 à 30% du HDL Cholestérol. Réf. : Ph. Doroz, Guide Pratique des Médicaments, Maloine. [325] :AC C - Il faut deux glycémies à jeun > ou = 7,7 mmol/l pour affirmer le diabète. Chez ce patient dont la glycémie à jeun nest pas normale, HGPO est nécessaire pour pouvoir affirmer le diagnostic. [326] :ABE Dyslipidémie liée à la consommation dalcool, de sucre et la ration calorique. [327] :AD A - Triade métabolique: hypertriglycéridémie, diabète, hyperuricémie. E - En rabsence d’anomalie clinique évocatrice d’acromégalie autre que IHTA et une intolérance aux hydrates de carbone, il n’est pas recommandé de doser le GH. [328] :B A - Pas dans un DNID. D - La lithiase unique est possible sur ce terrain. [329] :DE A - Le régime de l’intolérance aux hydrates de carbone ou d’un diabète et de Ihypertriglycéridémie doit écarter les glucides simples mais les glucides complexes doivent représenter 50 % de la ration calorique. C - Inefficace dans ce type de dyslipidémie qui dépendent du sucre et de lalcool. [330] :E Pas de médicament hypolipémiants ni antidiabétiques oraux en première intention. [340] :E Un hypolipémiant ou un antidiabétique ne sera préconisé quaprès échec du régime bien suivi. [341] :B Les biguanides sont contreindiqués en cas d’insuffisance cardiaque, respiratoire, hépatique ou rénale. [331] :C B - Type IIB C - Type IV D - Type III (Broad béta) [332] :E Hypertriglycéridémie pure. [333] :B Sans commentaire. [334] :B A C - Agissent sur le cholestérol. E - Rien à voir, il s’agit d’un psychostimulant. [335] :ACE Sans commentaire. [336] :ABCDE C - Cardiopathie ischémique liée à la macroangiopathie. D - Myocardiopathie. [337] :BD B - On dispose de deux glycémies à jeun > ou = 7,7 mmom/l, ce qui suffit au diagnostic de diabète sucré. D - Elévation du cholestérol et des triglycérides avec CT/GT < 2,5. [338] :ABC Sans commentaire. [339] :DE B - 200 g de glucide sont conseillés en écartant les sucres simples. [342] :D FSH et LH faible répondent au LHRH. [343] :B A la recherche dun retard de lâge osseux. [344] :C Tableau évocateur avec antécédent familial probable de retard pubertaire simple, tableau clinique dimpubérisme, FSH et LH basse avec réponse préférentielle de la FSH au LHRH. Référence : Médecin de la reproduction par MauraisJavis chez Flammarion. [345] :A Sans commentaire. [346] :C D E - Seraient nuisibles en bloquant la croissance. [347] :ABCE La mélanodermie touche aussi les zones découvertes, points de frottement (coudes, genoux), les plis de flexion palmaires. C - Orthostatique initialement qui aussi observée en décubitus par la suite. E - Observée chez 1/5 des patients. [348] :BC Sans commentaire. [349] :D 45 C, D, E - Les examens seront à réaliser dans un deuxième temps. [354] :AD L’augmentation du LDL cholestérol (dont la fraction soluble est l’apo B) est athérogène. Les VLDL sont peu athérogènes. [355] :ABC Sans commentaire. [356] :ABCE C, E - Trouble de la tolérance glucidique et hyperuricémie sont souvent présent sur ce terrain. [357] :ACE B - Ne peut pas être préconisé en l’absence d’une enquête alimentaire précisant la part des lipides dans la ration calorique globale et le niveau de cette dernière. [358] :ADE B - Surtout pas. D - Le tabac est un facteur de risque majeur de l’athérome. Se [352] méfier cependant d’une prise :ADE de poids à l’arrêt du tabac. Les éléments de surveillance [359] sont le poids, la pression :D artérielle et les inogrammes Un litre de vin rouge à 100 sanguins et urinaires. La contient 80 grammes d’alcool. persistance d’un [360] amaigrissement, de :D l’hypotension artérielle et de Dyslipidémie avec élévation l’asthénie s’observe en cas de franche des triglycérides et sous dosage. Le surdosage entraîne une prise de poids trop moindre du cholestérol. TG/CT supérieur à 2,5 mais inférieur à rapide, une élévation de la 10 (sinon on aurait pu envisager tension artérielle et une un type V). Le contexte éthylique hypokaliémie. est habituellement retrouvé dans Références : Abrégé d’Endocrinologie par J. Hazard ce type de dyslipidémie. [361] chez Masson. :D [353] “Fausse” hyponatrémie due à la :A présence en grande quantité de Le dosage du cholestérol total et des triglycérides associé à un triglycérides. Ceci s’observe aussi dans les grandes aspect du sérum permet en hyperglycémies, les perfusions général de classer la plupart de mannitol, le myélome à forte des dyslipoprotéinémie. A - Une élévation franche de la kaliémie serait cependant en faveur dun déficit primitif car le déficit minéralocorticoïde est absent ou modéré dans les insuffisances secondaires. D - La mélanodermie est liée à laugmentation de synthèse de ACTH et ne s’observe pas dans les déficits surrénaliens secondaires. [350] :ABE A - Calcifications surrénaliennes bilatérales dans la tuberculose. E - En faveur dune rétraction corticale des surrénales si taux élevés. [351] :AD B - La posologie habituelle est de 25 à 100 microgrammes par jour et la dose préconisée ici est donc beaucoup trop élevée. C - Corticothérapie inadaptée. D - Rôle fondamental de léducation. E - Régime impérativement normosalé. 46 concentration de protides plasmatiques. [362] :AE A - Mesure essentielle chez ce patient. B - Ce sont les glucides simples qu’il faut supprimer dans la dyslipidémie type IV. E - Les dérivés du clofibrate. C, D - La réduction des apports lipidiques est peu efficace dans ce type de dyslipidémie. Lapport lipidique doit cependant être équilibré. [363] :ABDE Sans commentaire. [364] :ABCDE A - Explique rallongement du temps de déconcentration sur le réflexogramme achilléen. E Thyroïdite de Hashimoto ou traitement par iode ou chirurgie d’une maladie de Basedow. [365] :D Peut s’observer dans de nombreuses pathologies (syndrome de base T3) en l’absence dhypothyroïde véritable. De plus un taux abaissé de T3 peut se voir dans les hypothyroïdes centrales comme périphériques. C - L’élévation de la TSH est très précoce mais peut manquer en cas de dysfonctionnement hypothalamo-hypophysaire associé. D - Effet stimulant du TRH sur la sécrétion de prolactine. [366] :ABCD Sans commentaire. [367] :B Compte-tenu de l’âge de la patiente et du risque cardiaque que représente le traitement substitutif on débutera à une faible posologie à augmenter :A C - Aldostérone et rénine ne sont pas modifiées. D - Au contraire, il est retrouvé une hyperosmolarité urinaire avec clearance de l’eau libre négative. Référence : Traité de Médecine par P. Godeau chez Flammarion. [377] :BD Sans commentaire. [378] :C E - Peut être parfois proposé pour son action inhibitrice de I’ADH sur le tube contourné distal. [379] :C Sans commentaire. [380] :ABC A - La kaliurie devrait être nulle. [372] [381] :C :D C - Calculé à partir de la Acidose métabolique sans trou formule V = 0,6 x poids x (f(Na;140) - 1), urinaire en faveur d’une fuite de le déficit hydrique (V) est ici de bicarbonate tubulaire. Dans lacidose tubulaire proximale, le 5,4 I. Il se situe donc entre 3 et 7 litre mais la réponse la plus pH urinaire devient inférieur à 5,8 dès que les bicarbonates proche est 7 litres. plasmatiques sont inférieurs au [373] seuil de réabsorption tubulaire. :ACD Ce patient garde un pH urinaire B - Signe d’hyperhydratation élevé malgré des bicarbonates cellulaire. D - Surtout chez le nourrisson. plasmatiques effondrés à 14 mmom/l, ce qui est en faveur [374] d’un acidose tubulaire distale. :ACE A - Fausse hyponatrémie liée à [382] la présence en excès d’une :BC substance occupant un grand Lapport de chlorure de potassium volume plasmatique. C - Fausse hyponatrémie liée à est urgent. La dose de 2 g en 8 h (réponse B) est la présence en excès d’une insuffisante et la réponse C exclu substance osmotiquement le potassium. Il est possible de active. E - Hyponatrémie de déplétion. perfuser jusqu’à 20 mmol/h (1,5 g) de chlorure de potassium [375] à la concentration de 75 mmol/l :A (5,7 g). Tableau très évocateur avec hypo-osmolarité plasmatique et Référence : Guide pratique des médicaments par Pb. Doroz chez osmolarité urinaire élevée. Maloine. Pathologie pulmonaire. [383] [376] progressivement par palier de 10 à 15 jours. [368] :A B - La persistance d’une TSH élevée signe un sous-dosage. [369] :A B - La persistance d’une TSH élevée signe un sous-dosage. [370] :B Tableau clinique et biologique de coma hyperosmolaire ou déshydratation globale. [371] :D Le traitement repose sur la réhydratation qui doit être faite initialement avec des solutés hypotoniques (glucosé à 25 g/l puis glucosé à 50 gIl). 47 :ABC B - Si topographie évocatrice rechercher un symtôme de canal carpien bilatéral. [384] :ABD Sans commentaire. [385] :A C - Le test au TRH est interressant dans les déficits thyréotropes. [386] :AB A - L’anémie est habituellement micro ou macrocytaire. Son caractère macrocytaire doit faire rechercher une maladie de Biermer associée. B - L’hypercalcémie sobserve dans l’hyperthyroïdie mais pas l’hypothyroïdie. D - Taux correspondant à la ménopause. E - Le TRH est élevé dans Ihypothyroïdie basse et son action stimulante de la sécrétion de prolactine peut entraîner une hyperprolactinémie modérée (normale chez la femme < ou = 20 nglml). [387] :A Sans commentaire. [388] :E Basedow et thyroïdite de Hashimoto sont deux pathologies auto-immunes parfois difficiles à différencier. Gastro-entérologie [1] :B Toutes les autres propositions sont exactes. Il faut se souvenir que dans 2/3 des cas, le siège initial de la douleur est épigastrique et non au niveau de rhypochondre droit. [2] :E Proposition évidente. [3] :D Habituellement en France, l’hépatite alcoolique aiguê (HAA) survient sur des lésions de cirrhose ; cependant I’HAA peut survenir à tous les stades de foie alcoolique. Dans les pays anglo-saxons, HAA sur foie sain (stéatome) est fréquente. [4] :C Le traitement immédiat habituel de la crise de colique hépatique repose sur la prescription dun antispasmodique ; les morphiniques, qui augmentent la tension des voies biliaires, sont à éviter. [5] :B Affection fréquente autosomique dominante, la maladie de Gilbert est responsable d’ictère à bilirubine non conjuguée. En dehors d’une anomalie possible de la clearance de la BSP, le reste du bilan hépatique est strictement normal. [6] :ABCD Evident non commenté. [7] :AB Lhémicolectomie gauche, théoriquement plus satisfaisante sur le plan carcinologique, donne en fait exactement les mêmes taux de survie et de récidive que la colectomie segmentaire. Celle-ci à l’avantage d’éviter un décrochement de l’angle gauche. [8] :AD Evident. [9] :BC L’hépatite A peut exceptionnellement être responsable d’hépatite fulminante mais jamais d’hépatites chroniques.Les anomalies biologiques hépatiques observées au cours des infections à CMV et à EBV sont en règles modérées et toujours transitoires. [10] :B La persistance de l’antigène HBe dans le sérum au delà de 10 semaines fait craindre une évolution vers la chronicité. [11] :C Organe fragile, particulièrement exposé. [12] :B Langiocholite se définit comme une infection bactérienne de la voie biliaire principale. Sa cause majeure est la lithiase de la voie biliaire principale. [13] Réponse? Le Questran®, chélateur des sels biliaires, aggraverait la stéatorrhée en diminuant encore les possibilités réduites du ‘cycle entérohépatique. [14] :C Lantigène de surface du virus HB, ou enveloppe, est une partie non infectante du virus. [15] :BD A - L’absence de parallélisme anatomo-clinique est classique 1 en matière d’appendicite aigué. [16] :ABDE C - C’est le cas de la hernie crurale. [17] :BDE A - L’apparition récente des troubles même fonctionnels invite à pousser les investigations surtout passé l’âge de 40 ans. [18] :ABE Sans commentaire. [19] :AD C - Le cholestérol synthétisé par le foie est diminué en cas d’insuffisance hépatocellulaire. [20] :BE C - La survenue dune fièvre au cours de l’amibiase doit faire rechercher une atteinte hépatique (abcès amibien du foie). [21] :ABCE C - En cas de surdosage. E - Epithélium à renouvellement rapide (48 h pour la muqueuse intestinale). [22] :D Au cours de l’angiocholite l’origine, de l’ictère peut être mixte 1 - n est essentiellement lié à robstacle responsable dune cholestase. Le facteur V, témoin de rinsuffisance hépatique, est normal même si le TP est abaissé. L’injection lente (perfusion) de vitamines K (20 mg) normalise en règle le TP. 2 - Le sepsis peut être directement responsable dictère (septicémie à gram -). [23] :C E - La douleur post prandiale immédiate évoque soit une gastrite soit une colopathie fonctionnelle (l’item E est donc inexact et la correction discutable). [24] :B A - Elle est toujours surestimée. [25] :A La recherche dun astérixis nécessite un état de conscience incompatible avec la définition du coma stade III. [26] :ABE Ce sont les causes les plus fréquentes de pancréatite aiguê sous nos climats B D - Peuvent donner des pancréatites aiguês. Pour l’ascaris, en cas de localisation, dans le Wirsung et non dans la VBP. [27] :BC Par argument de fréquence devant le tableau, la diverticulite doit être évoquée en premier lieu mais la crainte du cancer impose des explorations complémentaires en commençant, compte tenu du contexte infectieux, par un lavement aux hydrosolubles. [28] :AD A - Il s’agit d’un signe tardif, le transit baryté n’est plus guère utilisé dans le cadre du bilan dune pancréatite chronique. B - Li L2 et non L4 E - N’a aucune signification pathologique. [29] :AC Vise à créer un gradient de pression entre la cavité péritonéale et le milieu intérieur, afin que l’ascite se draine. C’est le type danastomose qu’il faut utiliser si l’on réalise une anastomose portocave pour jamais observée (pas d’atteinte du grêle) dans la RCH. [37] :B D - Cela se voit en règle dans les occlusions incomplètes réalisées habituellement par les obstructions terminales. [38] :D Il s’agit d’un complication rare des fistules cholécystoduodénales ; cliniquement elle réalise une occlusion évoluant par accès [31] avec migration des douleurs. :ABE Radiologiquement, le signe Le diagnostic de hernie pathognomonique de la fistule diaphragmatique postest la présence d’air dans les traumatique est voies biliaires (aérobilie). vraisemblable.Elle peut livrer passage à l’estomac (A) à la rate [39] :ABD (E) ou au colon (B), au grêle et L’intervention s’impose (A); au grand épiploon. l’amputation abdominopérinéale [32] est indispensable (B) compte :ADE tenu de la proximité du pôle A - L’échographie est en règle inférieur de la tumeur par suffisante. D - Elle est réalisée dans le cadre rapport à la marge anale. [40] du bilan pré-opératoire pour :ACD rechercher des lésions B E - Sont des conséquences associées (rein gauche). possibles. [33] A - Impose la recherche par :BD NFS et toucher Rectal au E - L’angiome stellaire au cours minimum. dune maladie hépatique est un C - La décompensation ictérosigne d’insuffisance ascitique d’une cirrhose bien hépatocellulaire et non compensée jusqu’alors peut hypertension portale. révéler un carcinome [34] hépatocellulaire (le terme :D d’adéno cancer est imprécis) La gamma glutamyl transférase est un test sensible de dépistage dune anomalie hépatique. [41] Cependant elle n’a aucune valeur : C D E E - Les ascites infectées du étiologique. cirrhotique sont en règle plus [35] pauvres en protides que les :A Latrophie villositaire n’est jamais ascites non infectées . Une modérée au cours d’une maladie ascite riche en protides (>20 g/P) doit faire rechercher une coeliaque. pathologie maligne ou une [36] tuberculose. :D [42] L’hyperoxalémie responsable :CDE d’une lithiase nécessite une D - Cette indication est atteinte iléale. Celle-ci n’est ascite réfractaire. Les anastomoses termino-latérales s’accompagnent au contraire d’une ascite. B D E - Sont des traitements préventifs des récidives hémorragiques liées à l’hypertension portale. [30] :ACE C - Elle se traduit, sur la radiologie de face, par un pneumopéritoine. 2 actuellement en plein essor. La sphinctérotomie endoscopique permet alors souvent, en permettant un bon drainage des voies biliaires, de refroidir’ le malade en vue d’une chirurgie secondaire éventuelle. [43] :BD A - L’atrophie villositaire totale est en règle prédominante au niveau duodénojéjunale. Latteinte iléale traduit rextension de la maladie. C - Il témoigne alors d’une atteinte idéale. D - Conséquence de la malabsorption de la vitamine D E - La réintroduction du gluten entraîne en règle une rechute clinique et histologique. La durée du traite-ment est controversée. [44] :BE Douleur, fièvre, ictère. [45] :A Réponse évidente. C, D, E - Sont des traitements envisagés pour les ascites réfractaires au traitement. Actuellement les larges ponctions suivies de perfusion dalbumine ont un regain dintérêt, leur tolérance est bonne et elles diminuent la durée dhospitalisation. [46] :C Quelle que soit leur taille, les varices oesophagiennes n’entrainent jamais de dysphagie. [47] :A Réponse évidente (connaissance pure) [48] :D Au cours d’une hépatite fulminante, mortelle dans 80 à 90 % des cas, le TP est toujours inférieur à 20 %, traduisant une grande insuffisance hépatocellulaire. [49] :E (Connaissance pure). [50] :BCE En cas doubli, refaites un rapide schéma et la réponse devient évidente. [51] :ABE D - La hernie de “cloquet” est lié à la présence dintestin dans la gaine de muscle périné. [52] :AD Sans commentaire. [53] :CD Ces signes traduisent une fistule colovésicale dont il faut retrouver la cause. E - Fissure anale [54] :ABCE D - Il sagit dune cause d’anémie hémolytique chronique qui peut se compliquer de lithiase pigmentaire. On peut donc rarement observer un ictère biliaire à bilirubine mixte. [55] :BCD Evident. [56] :A La fièvre doit faire rechercher une localisation hépatique ou une surinfection bactérienne. [57] :D Il n’y a pas dulcère duodénal sans acide. [58] :C En réalité devant un tableau typique D et E sont totalement illogiques. Q C M mal posé. [59] :B Il existe au cours de la maladie 3 de Gilbert un défaut partiel en en glutamyl transférase qui diminue la conjugaison de la Bilirubine. [60] :E Evident. [61] :A Le duodénum et le jéjunum sont atteints préférentiellement. Liléon peut être touché, le colon jamais. [62] :B Sans commentaire. [63] :BD A C - Sont en faveur d’une obstruction. D - Lexistence d’interventions antérieures favorise la formation de brides sur lesquelles les anses grêles se volvulent. [64] :ACD B, E - Au niveau de l’isthme du pancréas, il n’y a pas de voies biliaires au contact. [65] :ABCE Voir corrections antérieures. [66] :D Sans commentaire. [67] :B 4 - Le test au D-xylose témoigne d’une atteinte duodéno-jéjunale. [68] :D En cas de métastase unique, la résection du colon gauche est nécessaire, associée à une résection pulmonaire. A - La chimiothérapie donne un taux de réponse de 20 % environ et son efficacité n’est pas démontrée en dehors des métastases hépatiques. [69] :E Seul I’lgM anti-HA permet d’affirmer le diagnostic d’hépatite virale A récente. D - 70% des patients de plus de 40 ans ont en France des anti HA lgG témoignant d’une infection ancienne. [70] :D Lorsque le processus tumoral (en règle pancréatique) ne peut être enlevé, il est indispensable de réaliser une chirurgie gastrique qui enlève l’organe cible dont une gastrectomie totale. Actuellement l’efficacité des nouveaux antisécrétoires (Oméprazole) a réduit considérablement la nécessité d’une gastrectomie totale. [71] :BCD Ces lésions exposent à un risque de dégénérescence, peut être liée à la survenue de dysplasie épithéliale sévère. [72] :ABCD D - La grosse vésicule au cours d’un ictère témoigne d’un obstacle complet situé en amont de runion du cystique et du cholédoque. Il s’agit donc en règle dun cancer de la tête du pancréas. [73] :DE La grosse vésicule au cours de la pancréatite chronique est exceptionnelle. B - Le hile est en aval de l’embranchement du cystique et la vésicule est donc normale. C - La vésicule est en règle atrophique donc non palpable. [74] :ABC En l’absence de ces causes, 10 à 15% des vagotomies suprasélectives peuvent s’accompagner de récidives ulcéreuses après 1 à 10 ans. [75] :BCD E - La vagotomie suprasélective respecte les branches motrices destinées à la région antrale et ne nécessitent aucune intervention de vidange. [76] :ABE Non évident. [77] :C 1 - Il faut néanmoins savoir que la pancréatite chronique s’accompagne, dans 15 à 20 % des cas, de lithiase vésiculaire [78] :A 3 - Trypanosomiase SudAméricaine, la maladie de Chagas entraîne une destruction du système nerveux intrinsèque de l’oesophage aboutissant à une achalasie, source de stase puis de dilatation. [79] :C Par ordre de fréquence ; le trouble du transit 44%, rectorragie 10%, douleurs abdominales 14%, AEG 13%, syndrome occlusif 16% [80] :E Maladie autosomale dominante touchant environ 4% de la population, liée à un déficit en glutamyl-transférase d’où ralentissement de la conjugaison. Les inducteurs enzymatiques diminuent l’importance de l’ictère, le bilan hépatique est normal. [81] :B La PH métrie oesophagienne est positive chez 85 à 95% des patients ayant un RGO. Il quantifie le nombre, la durée des reflux, les reflux alcalins. Son intérêt réside dans la mise en évidence d’un RGO dans les pathologies intriquées (asthme, douleur thoracique) et dans l’évaluation de médicaments sur le nombre et l’intensité des reflux. 4 [82] :ABC Afin de retrouver un tonus correct du SIC. [83] :BDE Le traitement supprime le réservoir de lithiase (vésicule), sassure de la liberté du cholédoque, la radiomonométrie per-opératoire vise à sassurer de la liberté de la voie biliaire principale en fin dintervention afin de ne pas méconnaître un calcul résiduel. Actuellement, l’exploration se fait surtout par cholédoscopie. [84] :BD Cliniquement sont aussi une valeur pronostic. Age 55 ans. Biologiquement, ont une valeur pronostique péjorative : leucocytose> 16000/, glycémie> 12/mmol/l à l’admission, LDH <35, ASAT < 25. Dans les 48 premières heures, diminution de rhématocrite de plus de 10 %, urée sanguine >8 mmol/l, Pa 02 <60 mm Hg. Bicarbonate diminué de 4mmol, volume de séquestration liquidienne supérieure à 6 I. Le scanner permet également de classer la gravité de la pancréatite en appréciant la nécrose. [85] :ACE Le virus A est un virus à ARN à transfusion orofécale, incubation 30 à 60 jours, virémie courte 2 à 3 semaines, virus dans les selles 1 semaine avant et quelques jours après l’hépatite clinique. [86] :ACD Le retentissement sur le tube digestif sous forme de compression, ou de sténose duodénale est appréciée par un T.O.G.D. ou une fibroscopie. [87] E - Plus longues que hautes dans les occlusions du grêle. [95] :BD Connaissance pure. [96] :ABD B - Par inhibition enzymatique hépatique. C - Non, on peut même observer une bradycardie, voire un BAV. [97] :AC B - Au contraire, entraîne une lutte avec augmentation des bruits hydroaériques. E - Au contraire, déshydratation et choc sont précoces par création d’un troisième secteur. [98] :ABCDE A - Liée à la malabsorption en vitamine D. B - Témoignant de lostéomalacie. C - Par maldigestion lipidique ou perturbation du cycle entérohépatique. D - Par carence en vitamine K (vitamines liposolubles A D E K). E - Par carence en folate, en règle réserves hépatiques de folates (3 mois). [91] [99] :D :B Au niveau du 1/3 inférieur de 1 et 3 Peuvent donner des l’oesophage, on peut avoir un hépatites chroniques actives. adénocarcinome. 2 Responsable d’hépatite [92] cholestatique. :ABDE [100] A - Il sagit d’une complication des diverticules du colon droit et : A C du coecum. Si l’hémorragie est A - Par bloc intra hépatique (dans le monde, c’est la bilharziose qui importante ou se reproduit, arrive largement en tête). indication chirurgicale. D - Non, mortalité à 50% à 40 E -Il faut ici surtout traiter le ans. cancer. E - Permet de diminuer la [93] prévalence de certaines :ACE complications. A - Mésentérium commune responsable de volvulus total du nouveau-né et du nourrisson. [101] Le maximum des lésions siège : B D à ce niveau où se situe le sillon Sans commentaire. [102] d’étranglement. :A [94] La mode de contamination :ABE :ABD Association d’un cancer ORL dans 15% des cas environ. B - En raison du croisement de l’aorte et de l’oesophage C - C’est le gauche et non le droit D - Plus d’1/3 des patients ont une contre indication opératoire. [88] :ABCDE D - Lié à un pseudokyste E - Hypertension portale segmentaire par compression, sténose ou thrombose de l’axe veineux. [89] :D Le traitement médical de l’achalasie utilise les dérivés nitrés retard ou ladalate, diminue la contractilité musculaire lisse et en particulier la pression du SlO. [90] :C La contracture signerait une perforation d’une anse sphacèle et témoignerait d’un retard considérable au diagnostic. 5 majeure actuelle pour l’hépatite virale B est la transmission pour voie sexuelle. [103] :C Celle-ci peut être liée à un cancer pylorique ou à un ulcère. [104] :A En revanche, le cancer rectosigmoïdien peut bénéficier dun traitement radiochirurgical (surtout pour le rectum). [105] :BCD A - L’hépatite A ne donne jamais d’hépatite chronique. E - 10 % des hépatites B évoluent vers la chronicité, 30 à 40 % des hépatites non A non B évoluent vers la chronicité. [106] :CDE Maladie autosomique dominante évoluant toujours vers la cancérisation. Une colectomie totale s’impose dès le diagnostic posé. C - Il existe souvent des malabsorptions. [107] :B La vagotomie de l’antre ne nécessite pas de pyloroplastie. [108] :ABCDE A - la molécule n’arrivera pas in situ. B - L’ursolvan est inefficace sur les lithiases pigmentaires. C - Risque d’hépatotoxicité foetale. D E - Echec et taux de récidive important dans ces indications. [109] :A La douleur est typiquement une crampe avec sensation de faim douloureuse. [110] :C La pHmétrie des 24 h serait encore plus sensible. [111] :D Question d’anatomie, viennent ensuite B et E. [112] :ABCD Sont aussi à évoquer: infection du liquide d’ascite, pneumopathie, abcès dentaire, infection urinaire. [113] :BD Sont des antiacides A - Action anticholinergique. C - Inhibiteur spécifique des récepteurs H2, empêche la rétrodiffusion des ions H+. [114] :ABCD D - L’endobrachyoesophage est une lésion acquise secondaire à la cicatrisation d’une oesophagite ulcérée avec remplacement de la muqueuse oesophagienne détruite par la muqueuse gastrique Le risque de dégénérescence est de 10% à type d’adénocarcinome. [115] :ACD E C’est le contraire, les niveaux sont plus larges que haut. [116] :ABCD L’item B est discutable car la douleur au toucher rectal est en faveur d’une péritonite et non de son étiologie... [117] :D La plupart des cancers se développent à partir d’un polype, la coexistence d’un cancer et de polypes encore bénins n’est donc pas exceptionnelle. [118] :E Annulée car pas de question posée. [119] :A Connaissance. [120] :D Elle supprime la sécrétion acidogastrique nerveuse (vague) et humorale (gastrine antrale); viennent ensuite ACB E - N’est pas un traitement de l’ulcère duodénal. [121] :C Car la vésicule ne peut concentrer le médicament. [122] :AB Le signe de VON WAHL est le météorisme abdominal immobile, rénitent, tympanique par distension de l’anse sus-jacente à la strangulation. [123] :AD Connaissance. [124] :ABCDE Connaissance. [125] :BC B - Traduit rocclusion du grêle. C - Affirme l’existence d’une communication biliodigestive. [126] :ACD A - Déchirure longitudinale de la muqueuse de la jonction oesogastrique lors d’efforts de vomissements. D - Par bloc intrahépatique et hypertension portale. [127] :BC D - Il s’agit de protection passive par immunoglobulines. [128] :D 1 et 3 Traitement d’insuffisance pancréatique exocrine. [129] :B Il peut s’accompagner d’un iléus réflexe et d’un état de choc hypovolémique. [130] :B A - Poly A Billroth 2. B - Finsterer Billroth 2. 6 D - Péan Billroth 1. [131] :D En dedans des vaisseaux fémoraux au-dessus de la ligne de Malgaigne (épine iliaque antérosupérieure épine du pubis), la hernie crurale est audessus de la ligne de Malgaigne. [132] :A B C - C’est ce qu’on observe dans les occlusions coliques. [133] :DE Voir commentaires antérieurs [134] :AB Non commentée, connaissance. [135] :BCE B - En rapport avec l’épanchement intrapéritonéal. C - Signe rhémopéritoine. E - Est en faveur dune rupture de rate. [136] :ACD B - Evoque la leptospirose. E - Signerait une péritonite par perforation. [137] :BCE D - Rien à voir, non commentée. A - Terrain plus âgé, siège de la douleur, touchers en règle normaux. [138] :ABC D - Evoque plutôt une pércardite. [139] :ABCDE E - En règle paranéoplasique. [140] :ABC Sans commentaire. [141] :BCDE D - Tumeur endocrine sécrétant de la gastrine entraînant une hypersécrétion gastrique acide. E - Quand le débit acide basal > ou égal à 15 mol/h et lorsque la concentration acide basal est supérieure à 100 mgIl, le diagnostic est très probable. [142] :D Connaissance non commentée. [143] :B Le début est progressif, le météorisme est diffus immobile et silencieux. Il existe une distension du grêle et du colon. [144] :C Il existe un envahissement ganglionnaire et/ou une atteinte lymphatique ou vasculaire. La radiothérapie pelvienne diminue dans ce groupe de patients, la fréquence des récidives. [145] :D Voir question n° : 143. [146] :D Certains auteurs préfèrent la vagotomie avec antrectomie débordant l’ulcère. [147] :A En l’absence de contre indications opératoires, la chirurgie s’impose jusqu’à 7 cm de la marge l’amputation abdominopérinéale est la règle au-delà de 11 cm (jusqu’à 14 cm); on réalise une résection antérieure avec rétablissement de la continuité entre 7 et 11 cm. Tout est affaire d’école. [148] :E Les indications du traitement chirurgical au cours de la pancréatite chronique sont: - douleurs résistantes au sevrage et à un traitement médical prolongé - ictère rétentionnel avec dilatation des voies biliaires - sténoses digestives - Hypertension portale segmentaire - faux kystes - complications aiguès nécessitant un traitement d’urgence. [149] :ABCDE Sans commentaire. [150] :BCE B - La contracture permanente est pathognomonique. C - L’ulcération a une forme de raquette à grosse extrémité externe. E - La douleur est déclenchée par la selle et prolongée. [151] :BD Sans commentaire. [152] :C Le polype juvénile peut être classé dans le groupe des hamarthomes ; il a une tendance à l’auto élimination dans les selles. La dégénérescence du Peutz-Jegher est rare [153] :ACE Seuls les obstacles situés sur le trajet de bile, entre la vésicule et le duodénum, peuvent être responsables d’une grosse vésicule. [154] :D Cette vaccination est bien tolérée. Elle est conseillée mais non obligatoire pour le personnel hospitalier. [155] :AC L’hyperamylasénie a une valeur diagnostique mais non pronostique. [156] :ABD Le cancer muco-érosif est un cancer superficiel dont le diagnostic, difficile, repose sur rendoscopie avec biopsies (parfois simple dépoli de la 7 muqueuse). Il est rare en France mais fréquent au Japon. [157] :ACD Il existe typiquement un intervalle libre entre le repos et la douleur. Toutefois la douleur ulcéreuse peut être atypique, voire absente. [158] :CDE Le cancer de roesophage touche surtout rhomme alcoolotabagique. [159] :B Un cancer peut avoir un aspect endoscopiquement bénin. Les biopsies sont donc indispensables. [160] :AB Question un peu intriguante car le polype hyperplasique est classiquement considéré comme non néoplasique. Toutefois, un développement dadénocarcinome à partir de polypes hyperplasiques a été signalé et le polype hyperplasique peut être associé à des polyadénomes. [161] :C Le D-xylose explore l’absorption jéjunale. Le Schilling explore l’absorption iléale Les résultats de IHGPO sont trop dépendants de la fonction pancréatique endocrine. [162] :A Comme dans tout coma métabolique, il n’existe pas de signes de localisation. [163] :ABCE L’hyperamylasémie a une valeur diagnostique. L’hypoglycémie et Ihypocalcémie ont une valeur pronostique (signe de gravité). L’hypertriglycéridémie est une étiologie possible. [164] :ACD La question est mal posée car les réponses mélangent une lésion susceptible de se cancériser (loesophagite), des facteurs carcinogènes (alcoolotabagisme) et une association pathologique fréquente (cancer du pharynx). [165] :BDE Le Shilling explore l’absorption de l’iléon et le D xylose explore l’absorption du jéjunum. [166] :ABCDE Sans commentaire. [167] :CE Les éventuelles rèctorragies accompagnant les thromboses hémorroïdaires ne sont pas absorbantes [168] :B En fait la réponse complète serait la ligature de la gastroduodénale + vagotomie pour traiter rhémorragie et l’ulcère. [169] :D Le monomère de chlorure de vinyle comme le thorostrat expose au risque d’angiosarcome alors que la cirrhose alcoolique et rhémochromatose exposent au risque de carcinome hépatocellulaire. [170] :D Cette complication limite les indications de la dérivation porto-cave qui est pourtant très efficace dans le prévention des récidives d’hémorragie digestive. [171] :D La VSS ou vagotomie fundique ne sectionne que les fibres sécrétoires fundiques et respecte les matrices destinées à l’antre, ce qui rend inutile un geste de drainage. [172] :D La définition de la gastrite est histologique. Il faut refuser les diagnostics radiologiques de “gastrite à gros plis”. [173] :ABDE Idéalement, le traitement chirurgical rétablit les processus antireflux physiologiques. [174] :ABD La vitamine B12 (Schilling) est absorbée au niveau de l’iléon. [175] :D La migration se fait à la faveur d’une fistule cholécystoduodénale ou cholécysto gastrique. Le blocage du calcul survient plus souvent dans l’iléon que dans le jéjunum. [176] :D L’endoscopie, en période hémorragique, montre un écoulement de sang par la papille (hémobilie ou wirsungorragie) mais ne permet pas d’en préciser l’origine. [177] :A L’iléus biliaire est la complication la plus rare. [178] :A Les brûlures de l’oesophage sont essentiellement dues à l’absorption d’alcalins. [179] :B Lexulcération respecte la musculaire muqueuse . L’ulcère intéresse la musculeuse. [180] :C La dysphagie sidéropénique ou syndrome de Plummer-Vinson est rare en France. Un haut risque de survenue de cancers 8 du tractus digestif supérieur y est associé. [181] :CDE En cas de liquide rosé, la ponction lavage est à refaire. [182] :CE La gastrine est sécrétée par l’antre. Seules les interventions comportant l’ablation de l’antre peuvent faire baisser la gastrinémie. La vagotomie isolée fait augmenter la gastrinémie. [183] :A L’impulsivité à la toux suppose une communication avec l’abdomen (hernie). [184] :DE Dans le syndrome de ZollingerEllison, cette étude doit être complétée par un test à la sécrétine. Dans la maladie de Biermer il existe classiquement une achlorhydrie résistante à la stimulation. [185] :AE Le caractère transfixiant dorsale est très évocateur. [186] :CD Les pullulations agissent sur le contenu intra luminal (sels biliaires, lipides, protides, glucides, Vit B12). L’action sur la muqueuse est beaucoup plus inconstante. [187] :BE La question est intriguante car toutes les réponses proposées peuvent évoluer vers une occlusion fébrile. Mais ce sont essentiellement B et E qui sont révélée par une occlusion fébrile. [188] :B Il s’agit d’un carcinome épidermoïde. La question est ambiguê car la sensibilité à la radiothérapie n’est pas nulle. Toutefois, la radiothérapie seule n’est pas habituelle. [189] :A La thrombopénie est habituellement due à l’hyperplénisme( pancytopénie à moelle riche) [190] :C Quelque soit le niveau de l’oesophage, la tumeur la plus fréquente est l’épithélioma malpighien. [191] :A LIgA est au contraire augmentée. [192] :D Lérythrose palmaire est un signe d’insuffisance hépatocellulaire. [193] :E Aucun de ces items n’est utile puisque le sujet a déjà l’hépatite. Par contre des gamma globulines non spécifiques pourraient être indiquées pour l’entourage. [194] :AE La question est ambiguê car l’arrêt du tabac est conseillé ou du moins une diminution de la consommation vespérale. [195] :CD Une oesophagectomie partielle avec gastrectomie polaire supérieure peut également être proposée. [196] :AD Une rectosigmoïdectomie est réalisée en cas de cancer de la charnière rectosigmoïdienne. [197] :C Lhypocalcémie est un critère de gravité. [198] :C La douleur du coté droit au TR est l’élément clé du diagnostic. [199] :C L’ictère de la cirrhose est habituellement dû à l’insuffisance hépato cellulaire. [200] :E On distingue les hématomes sous-capsulaires avec parfois ruptures en 2 temps et les ruptures constituées d’emblée, très hémorragiques. [201] :C La polypose familiale adénomateuse a le risque le plus élevé (proche de 100%) et une colectomie préventive est indiquée. [202] :C La réalisation d’une anastomose bilio-digestive suppose une voie biliaire large. [203] :ABCDE La question est difficile. L’entéropathie exsudative des cirrhoses est habituellement modérée et intervient peu dans Ihypoprotidémie. [204] :ABCE Typiquement, l’alimentation calme la douleur. [205] :BDE Les diverticules peuvent se rompre, s’infecter ou saigner. [206] :C Schématiquement, la sécrétion acide est normale ou élevée dans l’ulcère duodénal et faible ou moyenne dans l’ulcère gastrique. [207] :ACD L’hypertension portale segmentaire et la cholestase sont dues à la compression des axes 9 vasculobiliaires. [208] :ABCDE Une cholécystite aiguê nécessite un traitement précoce. [209] :D La question est mal rédigée car la réponse la plus juste serait: il peut exister des intervalles de muqueuse saine. En effet il existe des Crohn coliques sans intervalles de muqueuse saine. [210] :B Plus rarement, il peut s’agir d’une fistule cholécystogastrique. [211] :D Le drain de Kehr réalise un drainage biliaire externe. Il est mis en place après cholédocotomie. [212] :B La hernie hiatale par roulement peut s’étrangler. [213] :D La fièvre et Ihyperleucocytose suggèrent un processus infectieux. L’apparition de glaires rectales et les signes urinaires évoquent une infection. [214] :E Lhépatocyte synthétise tous les facteurs de la coagulation (sauf le facteur de Willebrand). [215] :CD L’ hémicolectomie gauche comporte la ligature de l’artère mésentérique inférieure au ras de l’aorte. [216] :BE Le vaccin est préparé à partir de l’Ag de surface (Ag HBs). Les particules virales complètes sont éliminées. la paroi vésiculaire, par des germes d’origine digestive. [223] :B Un ictère douloureux et fébrile doit faire évoquer en premier chef une angiocholite. L’examen complémentaire le plus simple et le plus rentable pour établir le diagnostic est l’échographie, à la recherche d’une dilatation des voies biliaires témoignant d’un obstacle incomplet sur les voies biliaires. L’échographie permet aussi au mieux d’objectiver la présence d’une lithiase vésiculaire volontiers associée. [224] :E Sans commentaire. [225] :BD Les bactériémies sont probablement dues au passage de germes d’origine digestive de [221] la bile vers le sang. Ces germes :C sont donc souvent des bacilles L’abstention thérapeutique ou aérobies gram négatif: un traitement médical sont Escherischia ccli, Klebsiella, contre-indiqués en raison des Enterobacter; mais aussi des risques d’angiocholite. Streptocoques faecalis ou plus Chez un sujet en bon état rarement des anaérobies : général, la chirurgie est Bactéroïdes fragilis ou indiquée ; elle permet Clostridium perfringens. rextraction des calculs de la En l’absence d’un traitement VBP par cholédocotomie, et la urgent, une septicémie peut cholécystectomie. survenir, compliquée elle-même La sphinctérotomie de collapsus et/ou d’insuffisance endoscopique est indiquée chez les patients présentant un rénale. risque anesthésique et dans les [226] :BCE cas de lithiase résiduelle. L’appendicite méso-coeliaque se [222] révèle habituellement par une :C L’obstruction du canal cystique occlusion fébrile avec douleur provoquée proche de l’ombilic. par un calcul est à l’origine d’une distension de la vésicule. L’appendicite pelvienne peut être révélée par des signes urinaires L’augmentation de pression et et/ou simuler une salpingite aiguê l’effet toxique du contenu notamment. vésiculaire (acides biliaires, phospholipides) entraînent une Le toucher rectal n’est pas douloureux près d’une fois sur inflammation et un oedème de deux, mais il est indispensable à la paroi vésiculaire. l’examen clinique. Secondairement, il se produit [227] une infection du contenu et de [217] :ABCD La maladie de Dubin Jonhson est due à un trouble de la sécrétion biliaire de la bilirubine conjuguée. L’étude de la clearance de la BSP montre 2 pentes. [218] :AC La céphalopancréatectomie gauche n’a ici aucun intérêt puisqu’il s’agit d’une compression duodénale. [219] :C La question est ambiguê car si l’hémorragie est abondante, il s’agit souvent d’un polype déjà transformé. [220] :CE En fait la douleur peut être très atypique, voire absente. 10 :BD Diverses catégories de laxatifs peuvent être responsables de la maladie des laxatifs: les dérivés du diphénylméthane (phénolphtaléine, bisacodyl), les anthraquinoniques végétaux (comme le séné) ou de synthèse, les agents surfactants (dioctylsulfosuccinate, acides biliaires), les laxatifs salins. Par contre, les mucilages, les huiles minérales, les laxatifs sucrés (lactulose, sorbitol) ne sont pas en cause. [228] :D Les lésions d’oesophagite par reflux sont facilement traitées par les inhibiteurs des récepteurs H2 ou roméprazole ; les sténoses peptiques par dilatation endoscopique. Les indications opératoires du reflux gastro-oesophagien sont donc surtout : la persistance dune symptomatologie gênante pour le malade sans traitement médical et surtout les récidives symptomatiques et endoscopiques à chaque essai d’arrêt du traitement par les inhibiteurs des récepteurs H2. [229] :AB L’association dune douleur provoquée de la région vésiculaire et d’une inhibition respiratoire constitue le signe de Murphy; ce signe, très évocateur, nest cependant pas spécifique d’une douleur vésiculaire. [230] :BD Les mécanismes de la toxicité gastrique de l’aspirine et des AINS sont multiples. Ils inhibent la synthèse locale de prostaglandines, doù hypersécrétion acide et hypoxie relative sensibilisant la barrière gastrique à cette agression. [231] :AB Les hernies hiatales par roulement représentent 5 à 10% des hernies hiatales. Le cardia et l’oesophage restent en place et la hernie est paraoesophagienne, contenue dans un sac péritonéal. Elles ne s’accompagnent généralement pas de reflux gastro-oesophagien. [232] :CD Il faut préciser que seulement 30 à 50% des ulcéreux duodénaux sont hypersécréteurs, les autres étant normosécréteurs. A noter par ailleurs qu’un débit acide basal supérieur à 30 mEq/h (en fait, 26 mEq/h) est quasiment spécifique du syndrome de Zollinger-Ellison. [233] :E Une rupture de tous les plans de la paroi abdominale est une éviscération. [234] :BE Le sphincter inférieur de l’oesophage joue vraisemblablement le rôle le plus important dans les mécanismes anti-reflux ; il est caractérisé par l’existence dune zone de haute pression basale par rapport à la pression de l’estomac et du reste de l’oesophage. [235] :BCDE L’occlusion sur bride est une complication tardive. [236] :ABC En cas de forte suspicion clinique de cancer du pancréas, l’examen complémentaire le plus rentable est le scanner abdominal. L’échographie abdominale a plus d’intérêt comme examen de “débrouillage diagnostique” d’un ictère. Il est rare que l’on ait besoin de faire appel à la cholangiopancréatographie rétrograde par voie endoscopique (en cas de normalité de l’échographie et du scanner). [237] :B La sténose du pylore sur ulcère bulbaire reste une des rares indications chirurgicales au cours de la maladie ulcéreuse duodénale. [238] :D Le traitement du mégaoesophage idiopathique ou achalasie oesophagienne est au mieux réalisé par roesocardiomyotomie de Heller qui concerne les 2 couches musculaires de roesophage et respecte la sous muqueuse et la muqueuse. Une autre possibilité thérapeutique est réalisée par les dilatations endoscopiques. [239] :ABCD Une compression du cholédoque peut donner lieu à un ictère rétentionnel, une compresssion du duodénum entraîne des vomissements répétés postprandiaux, une compression de raxe spléno-portal peut être à l’origine d’une hypertension portale segmentaire. Une ascite peut être chyleuse, conséquence d’une compression lymphatique ; plus souvent elle est liée à la pancréatite chronique et est riche en amylase (de même que l’épanchement pleural). [240] QUESTION ANNULEE. [241] :BCDE Liléus biliaire est la conséquence, rare, d’une fistule cholécystoduodénale avec migration dans la lumière intestinale d’un volumineux calcul qui se bloque 11 dans l’iléon, provoquant ainsi une occlusion intestinale. A noter par ailleurs le problème de diagnostic différentiel posé au cours dune poussée de sigmoïdite entre une occlusion inflammatoire et une occlusion mécanique sur sigmoïdite pseudo-tumorale. [242] :BCDE La diminution ou l’arrêt de la sécrétion biliaire, en cas de cholestase prolongée, entraîne une malabsorption des vitamines liposolubles, dont la vitamine K. Il en résulte une baisse du TP avec maintien du facteur V (vitamine K indépendant). Par ailleurs, sous l’influence de la cholestase, l’hépatocyte fabrique en excès : phosphatases alcalines, gamma GT, 5’nucléotidase. [243] :ABCD Une activité gamma GT existe dans plusieurs organes : foie, reins, pancréas, intestin grêle, cerveau. Une élévation de la gamma GT sérique peut s’observer au cours des maladies hépatobiliaires, de l’alcoolisme, de certaines prises médicamenteuses (notamment inducteurs enzymatiques), et d’autres maladies, dont les néphropathies (élévation modérée et non constante), l’hyperthyroïdie, le diabète, etc... [244] :D Une lithiase vésiculaire symptomatique chez une femme jeune, un bon état général, est une indication à la cholécystectomie. L’abstention thérapeutique ne se discute qu’en cas de lithiase vésiculaire strictement asymptomatique, de découverte fortuite. [245] :C L’érosion de l’artère gastroduodénale par l’ulcère est en effet le risque important des ulcères de la face postérieure du premier duodénum, mais il s’agit là d’une éventualité rare. [246] :C Ll.l.A. s’observe essentiellement chez le nourrisson. Elle réalise une occlusion grave, par strangulation. Les invaginations à point de départ dans la région iléocaecale sont les plus fréquentes. Il est exceptionnel que le boudin d’invagination descende jusque dans le côlon gauche (défaut d’accolement des segments en cause). Chez le grand enfant ou l’adulte, il existe en général un obstacle organique (Meckel, polype chez l’enfant ; tumeur chez l’adulte). [247] :B Toute altération de l’état général doit inviter, chez le colopathe, à une révision du diagnostic ou à la recherche d’une maladie associée. [248] :D On dispose de deux méthodes de traitement du mégaoesophage idiopathique : la myotomie de Heller et les dilatations pneumatiques ou hydrostatiques du cardia. Les résultats à long terme de la myotomie de Heller sont bons dans la très grande majorité des cas. L’inconvénient majeur de cette technique est roesophagite post-opératoire ; c’est pourquoi une intervention anti-reflux est volontiers associée à ce geste. [249] :ABCD Les complications de la diverticulose colique sont les cholestase, la malabsorption de la vitamine K n’affecte pas la synthèse du facteur V, qui est donc conservé. [254] :AE La constipation résulte d’un retard à l’évacuation des matières associé à une surdigestion : le poids sec des selles est alors supérieur à 22 % du poids total de celle-ci. Chimiquement, il est possible de considérer comme constipé un sujet ayant moins de 3 selles par semaine ou moins de 35 g de selles par jour. [255] :D Réponse discutable. S’il s’agit d’une anémie par saignement (ce qui nest pas précisé), on peut penser à un ampullome vatérien malgré la relative rareté de cette QUESTION ANNULEE. pathologie. [252] [256] :BDE :C La gamma GT sérique est un Toute péritonite aigué index de dépistage très sensible généralisée (s’accompagnant d’alcoolisme chronique etJou de habituellement chez le sujet pathologie hépato-biliaire. jeune, sans antécédents Son taux élevé permet de particuliers, dune contracture rattacher une augmentation des abdominale) est une indication phosphatases alcalines à une opératoire formelle et urgente. cholestase. [257] L’intérêt de son dosage est :ABCE tempéré par son absence de La cholécystectomie est spécificité : élévation de la gamma GT par des médicaments efficace sur les complications directement reliées à la lithiase inducteurs enzymatiques vésiculaire ; troubles notamment, le diabète, la larva dyspeptiques et migraines sont migrans viscérale, la parfois associés à la lithiase distomatose, les vésiculaire mais nen sont pas hyperthyroïdies... des complications reconnues. La cholécystectomie a une [253] mortalité globale de 0,25 à 1%, :D et, après 60 ans, d’environ 3%. Le foie est responsable de la synthèse des facteurs I, Il, V, VII, [258] :BCE et X de la coagulation. En cas Toute fissure d’aspect d’insuffisance hépato-cellulaire, inhabituel ou d’autres on observe un allongement du localisations que 6 et 12 heures TP avec abaissement de ces doit faire facteurs de coagulation. craindre une affection En revanche, en cas de hémorragies et les complications inflammatoires. Les complications inflammatoires comportent : les crises de sigmoïdites aiguês, les abcès péri-sigmoïdiens, les fistules, les péritonites, les occlusions intestinales, et les sigmoïdites chroniques pseudo-tumorales qui posent parfois un problème difficile de diagnostic différentiel avec un cancer... [250] :BCDE Les gastrites chroniques s’accompagnent volontiers d’atrophie muqueuse, de polypes adénomateux, de métaplasies intestinales , de dysplasies muqueuses, toutes ces anomalies prédisposant au cancer. [251] 12 vénérienne ou néoplasique, ou une localisation de la maladie de Crohn. [259] :AB La douleur typique de l’ulcère duodénal est post-prandiale tardive ; calmée par l’alimentation, elle reprend 2 à 3 heures après. [260] :ABCE Le caractère essentiel de la douleur ulcéreuse est d’être rythmée par les repas, postprandiale tardive. [261] :ABCDE Les formes mineures d’hépatites alcooliques sont les plus fréquentes; les symptômes associés à la forme majeur y sont réduits voire absents. [262] :C Lexistence d’un pneumopéritoine, témoignant dune perforation digestive dans la cavité péritonéale, est une contre-indication à la fibroscopie gastrique en raison des risques daggravation de la perforation liés à l’insufflation d’air par le fibroscope. [263] :D C’est une affection congénitale qui peut être reconnue tardivement, chez le grand enfant ou radulte, caractérisée par une absence de cellules ganglionnaires dans les plexus de Messner et Auerbach dans le rectum (et la partie basse du sigmoïde chez l’adulte) avec mégacôlon prédominant sur le côlon gauche. [264] :ACD Le traitement de la cholécystite aiguê est la cholécystectomie, effectuée après une réanimation de quelques heures s’il existe des signes de gravité, ou, dans les autres cas, au mieux dans les 24 à 48 heures. [265] :ABE Il est important de faire le diagnostic de tumeur villeuse (diagnostic histologique) en raison des risques de cancérisation de cette lésion, qui doit être enlevée en totalité par voie endoscopique ou par intervention chirurgicale. [266] :ABCD Il faut parfois également suspecter un reflux gastrooesophagien devant des manifestations atypiques : ORL, dysphoniques, pharyngiennes, douloureuses thoraciques, respiratoires (asthme et toux) et le confirmer par la P-métrie. [267] :AE Les principales causes des diarrhées motrices sont: - des troubles fonctionnels (horaire matinal et post-prandial des selles) - les causes hormonales: hyperthyroïdie, tumeurs carcinoïdes neuropathies : diabète, vagotomie - certaines allergies ou intolérances alimentaires. [268] :BCDE Les anticholinergiques sont contre-indiqués car ils diminuent la pression de repos du sphincter inférieur de l’oesophage. A noter qu’il y a discussion sur l’intérêt de la position ventrale ou dorsale du décubitus en inclinaison, chez le nourrisson. [269] :ABCE Dans les cas où il existe un facteur déclenchant de l’encéphalopathie hépatique, le traitement de ce facteur déclenchant entraîne la disparition de l’encéphalopathie : 13 désordres hydroélectrolytiques, hémorragie digestive, infections notamment du liquide d’ascite. Le lactulose semble le traitement associé le plus utile... [270] :ABCD L’association d’une maladie ulcéreuse bulbaire à une pancréatite chronique, invite à rechercher l’éventualité d’une hyperparathyroïdie primitive. [271] :ABCD Il faut redouter cette complication grave lorsque, au cours d’un syndrome occlusif bas, la largeur du caecum mesurée sur I’ASP est supérieure à 12 cm. [272] :B La cardiomyotomie est le traitement donnant les meilleurs résultats à long terme. [273] :C Les ulcéreux gastriques sont volontiers hypo ou normosécréteurs acides. [274] :B L’échographie peut méconnaître une lithiase de la VBP qui n’est formellement éliminée que par opacification directe des voies biliaires. [275] :CE Les autres causes d’atrophie villositaire totale sont: les carences globales en immunoglobulines, d’exceptionnelles lambliases, la sprue tropicale. Les duodéno-jejuno-iléites ulcéreuses chroniques non spécifiques, le syndrome de ZollingerEllison les pullulations bactériennes de l’intestin grêle peuvent également s’accompagner dune atrophie villositaire qui est cependant chez renfant. Les hernies inguinales sont des hernies de rhomme ; les hernies crurales, des hernies de la femme. [283] :ABC La suture immédiate ne peut être pratiquée qu’exceptionnellement en cas de plaie colique par arme blanche. [284] :ABCDE Sans commentaire. [285] :ACE B - La fistule colique est une complication, en fait indirecte, qui ne se voit plus, conséquence dune nécrose colique dans la hernie avec phlegmon pyostucoral et pistulisation à la peau. [286] :ABCDE La forme la plus fréquente n’est pas mentionnée ; c’est la forme latéro-caecale gauche. [287] :A L’anémie et le cancer oesophagien sont en fait la conséquence de l’oesophagite par reflux, et non du reflux QUESTION ANNULEE. gastro-oesophagien lui-même. [279] [288] :C :ABE L’ictère témoigne d’une A - La douleur survient en fait obstruction de la voie biliaire typiquement 5 à 15 minutes principale. après une selle plus ou moins [280] pénible. :D E - Les excellents résultats Il s’agit bien sûr d’une thérapeutiques de la pneumopathie d’inhalation. sphinctérotomie latérale témoignent du rôle [281] important de l’hypertonie du :ABE Sphincter anal interne. Dans de rares cas, un hémangiome hépatique peut se [289] :D calcifier partiellement. La tomodensitométrie est un Cependant, il ne se révèle presque jamais par une douleur examen clé du pronostic d’une pancréatite aiguê grave ; cet abdominale. examen, répété au besoin, [282] apporte des critères pronostiques :ABDE morphologiques précis. C’est toujours une hernie acquise ; hernie de faiblesse ce [290] :C qui explique son inexistence toujours très hétérogène, en plages. [276] :BE Le caecum est normalement non accolé. En cas de défaut daccolement du côlon ascendant, il peut se produire un volvulus du caecoascendant, donnant lieu à une occlusion intestinale aigué de début brutal, très douloureuse, avec un niveau hydro-aérique siégeant en regard de l’hypochondre gauche. [277] :AC Les spironolactones sont contre-indiquées en cas d’insuffisance rénale ou d’hyponatrémie chez le cirrhotique en raison des risques d’aggravation de l’hyponatrémie, d’hypovolémie efficace et surtout de syndrome hépato-rénal. Ces risques sont majorés par l’importance de l’insuffisance hépato-cellulaire. [278] 14 Le campylobacter pylori est maintenant appellé hélicobacter pylori. La présence de cette bactérie dans l’autre est quasiment constante en cas d’ulcère duodénal (95 % des cas). [291] :A D, C - Sont des signes de péritonite. E - Est un signe de pneumopéritoine. [292] :ABD C - La présence d’une adénopathie satellite doit faire évoquer un cancer anal ou un chancre syphilitique. [293] :C C - Typiquement, il s’agit d’une augmentation du nombre de selles, essentiellement postprandiales. [294] :BD Il n’y a aucune indication à l’utilisation de corticoïdes au cours d’hépatites virales aiguès. [295] Sans commentaire [296] :C Le syndrome hépato-rénal peut être provoqué par une infection bactérienne, mais il n’est pas cause de fièvre. C’est une insuffisance rénale fonctionnelle grave, témoignant toujours d’une insuffisance hépato-cellulaire sévère. [297] :C La prévalence des ulcères gastro-duodénaux est augmentée en cas de cirrhose. Une anémie macrocytaire ou hormocytaire n’exclut pas un saignement digestif. [298] :CD :ABCD E - Une résection iléale peut favoriser la survenue d’une lithiase vésiculaire. [306] :D D - La radiothérapie comporterait des risques d’aggravation d’une fistule oeso-bronchique. [307] :BCDE D, E - L’administration prolongée de stéroïdes androgéniques ou anabolisants, ou de contraceptifs oraux peuvent donner lieu à la formation d’adénomes ; mais le développement de véritables carcinomes hépatocellulaires est controversée. [308] :ABDE C - Une caractéristique biologique de l’hépatite alcoolique est justement une élévation des ASAT supérieure à celle des ALAT. E - C’est une éventualité très rare [302] ; beaucoup plus fréquente en cas :ABCD de survenue sur foie En cas d’ictère, réchographie montre une dilatation des voies cirrhotique. biliaires intrahépatiques et de la [309] voie biliaire principale dans 80 à : A B C L’enzyme de cholestase la plus 90 % des cas : la constatation sensible est la Gamma-GT, la de voies biliaires de calibre plus spécifique la 5’ normal ne permet donc pas Nucléotidase. d’écarter le diagnostic. [310] [303] :BCDE :ABDE B - Imprévisible, en cas A - Par hypoalbuminémie. d’hépatite immuno-allergique. B - Par hypocalcémie. C - Pour certains médicaments, il E - Par déficit en vitamine K. peut même y avoir une évolution [304] cirrhogène. :B La pathogénie des diverticules D - Par définition d’une hépatite cytolytique. coliques fait intervenir une E - C’est assez évocateur élévation de pression intraluminale engendrée par les d’hépatite médicamenteuse. [311] contractions péristaltiques. La :ABD prise de fibres alimentaires C - Peut témoigner d’une régularise le transit intestinal, hépatopathie chronique, non diminue le temps de transit, et obligatoirement cholestatique. diminue la pression E - Est un signe d’hémolyse intraluminale. intratissulaire. [305] Aucun traitement médical n’est efficace en cas d’adénocarcinome gastrique. Cependant un traitement par inhibiteur sécrétoire gastrique instauré devant une ulcération gastrique peut en masquer les symptômes initialement; d’où l’importance des biopsies en cas de lésion ulcérée gastrique. [299] :BE En fait, la tomodensitométrie est l’examen le plus utile et le plus performant. [300] :ABDE Une hernie étranglée est par définition, irréductible. [301] :ABCD E - Liléus biliaire est une occlusion intestinale par blocage d’un volumineux calcul dans l’iléon, conséquence d’une fistule cholécysto-duodénale. 15 [312] :E Les métastases osseuses des adénocarcinomes rectaux sont exceptionnelles. [313] :B Q.C.M. discutable ; une bonne réponse serait: la coloscopie. La recherche du sang dans les selles n’est en fait quun moyen de dépistage de masse, bien imparfait. [314] :ACDE Cette hernie comporte en fait un risque relativement faible d’étranglement. [315] :ACD Une septicémie à Gram - peut être un mode révélateur d’une appendicite aiguê chez un sujet débilité ou sous corticothérapie. [316] :D Lhyperamylasémie est un critère diagnostique de pancréatite aigué, qui peut d’ailleurs manquer dans certains cas. [317] :ACD A - L’épreuve à la BSP n’est pas nécessaire au diagnostic. C - li s’agit d’un déficit partiel en glucuromyl transférase. E - L’administration de phénobarbital entraîne une diminution de la bilirubine sérique. [318] :ACE B - Est le fait des foies secondaires. D - Est le fait des foies cardiaques. [319] :ABCE L’efficacité des traitements antiulcéreux est telle que l’on répugne à faire opérer un patient pour une première manifestation ulcéreuse. [320] [328] :ABCDE A - L’étiologie de la pancréatite chronique est alcoolique dans 85 à 90 % des cas en France. C - Un amaigrissement rapide doit cependant faire rechercher un diabète associé. E - Il s’agit d’un diabète sans particularité propre, évolutive ou thérapeutique. [329] :ABCD B - Sans traitement, la mortalité du delirium tremens est de 20 %. E - Une réhydratation est indispensable. [330] :CE C, E - Ces causes, évidentes dès l’inspection, ne doivent pas faire [323] méconnaître une lésion rectale :BE notamment. En fait, il faut évoquer ce [331] diagnostic de principe devant tout abdomen aigu et demander : A C D Le nombre d’éléments/mm3 est un cliché en position debout un paramètre capital : en cas centré sur les coupoles à la d’infection du liquide d’ascite, le recherche dun pourcentage des polynucléaires pneumopéritoine. est généralement supérieur à 50 [324] %. Plus de 250 :ACDE polynucléaires/mm3 doivent faire Q.C.M. difficile, et en fait sans considérer que l’ascite est intérêt clinique car les formes infectée. topographiques de hernies [332] peuvent être nombreuses. :BCD [325] B - Cause la plus fréquente chez :ABCDE B est la circonstance de loin la l’enfant. plus fréquente ; la rupture intra- C - Dû à un topique, à certains tissus synthétiques... abdominale dune suppuration, plus rare, définit la péritonite en D - Par l’intermédiaire d’une mycose périnéale, ou d’une deux temps. allergie locale. [326] :BDE Ce sont des éventualités [333] :ACE exceptionnelles. A et C - Contre-indication de la [327] spironolactone (risque :AE d’aggravation de l’insuffisance D - Témoigne d’un déficit en rénale vitamine K. La diminution du taux de facteur ou de l’hyperkaliémie). E - Contre-indication des V (dont la synthèse est indépendante de la vitamine K) diurétiques en général. reflète assez bien la sévérité de [334] :ABCDE l’insuffisance hépato-cellulaire. :C A, B, E - Ne donneraient pas d’ictère. D - Donnerait une péritonite par cholépéritoine. L’hémorragie digestive en cas de traumatisme du foie est due à une hémobilie. [321] :B A - L’alcool est le plus souvent responsable de pancréatite chronique. C et D : N’est pas une cause de pancréatite. [322] :ABDE C - Caractérise une hernie inguinale 16 En fait, les douleurs représentent la symptomatologie la plus fréquente. [335] :CE A - L’absorption des sels biliaires n’est pas dépendante de l’absorption lipidique, mais l’inverse est vrai. C - Vitamine liposoluble, ainsi que les vitamines A, E, K. E - Diarrhée osmotique. [336] :DE D - Pouvant témoigner d’une chute du taux de prothrombine. E - Témoignant d’une encéphalopathie hépatique. [337] :ABCDE A - C’est la méthode la plus efficace si les conditions techniques la permettent. B - Affirmation en fait discutable: l’arlocardyl permet la prophylaxie primaire de la rupture de VO. ; la prophylaxie secondaire n’est en fait effective que dans une certaine mesure, pour les Child A, et en tous cas a des résultats inférieurs à ceux obtenus par les scléroses de VO. C - Mais le pourcentage de récidives est important à distance... [338] :ABCD La vagotomie tronculaire diminuerait la vidange gastrique. [339] :D Exceptionnellement réalisée... [340] :C C - Dans la hernie par roulement, le cardia est intrabdominal. [341] :D La fibroscopie est indispensable pour affirmer une oesophagite par reflux; mais le diagnostic de reflux gastrooesophagien, surtout s’il n’existe pas d’oesophagite associée, ne peut être établi que par une pH métrie. [342] :ABCDE A - Une microlithiase symptomatique est habituellement une indication à la cholécystectomie. Le traitement médical n’est proposé qu’en cas de contreindication chirurgicale, à condition que les calculs vésiculaires soient non calcifiés, de petite taille (L 15 mm) et que la vésicule soit fonctionnelle. [343] :ABE A et B - Indications possibles limites. E - Habituellement, en cas de contre indication ou de refus de la chirurgie, à condition que la vésicule soit fonctionnelle et qu’il y ait au plus 3 calculs. [344] :ABCDE B, C, D, E - Complications exceptionnelles. [345] :ABCE Le pronostic global très défavorable, même après chirurgie dexérèse, est lié à la difficulté de détection des tumeurs de petites tailles. [346] :ABDE C - La cage thoracique est bien protégée par la ceinture de sécurité. A, B, D, E - Sont exceptionnels et ne doivent pas occulter rintérêt majeur du port de la ceinture de sécurité. [347] :DE A - Volontiers associé à la cirrhose éthylique. B - Témoigne dune insuffisance hépato cellulaire plus ou moins marquée associée ou non à une anastomose porto-cave. C - Témoigne habituellement d’une insuffisance hépatocellulaire. [348] :ABE A - Possible, mais peu fréquent. D - Le T.R est souvent douloureux à droite. [349] :CD C et D sont en compétition ; les dilatations pneumatiques ont volontiers la préférence de la plupart des équipes dans le traitement, au moins initial, du mégaoesophage idiopathique. [350] :ABCD E - La R.C.H peut s’accompagner de lésions hépatiques ; essentiellement stéatose, cholangite sclérosante, péricholangite, hépatites chroniques, voire cirrhoses. Mais on ne pourrait pas affirmer que la RCH soit à l’origine d’une ascite. [351] :ABD Les dumping syndromes sont traités et/ou prévenus par des mesures diététiques représentées par la limitation de la quantité de liquides et de solides contenant des sucres simples, la suppression des liquides au moment du repas, et la multiplication des petits repas. [352] :A B, C - Une diarrhée sanglante ou glaireuse témoigne d’ulcérations de la muqueuse digestive. D, E Un poids des selles à 150 g/jour et une quantité de graisses fécales à 2 g/jour sont des valeurs normales. On ne parle de stéatorrhée que lorsque la quantité de graisses fécales est supérieure à 6 g/jour. [353] :AD 17 A et D - Ce sont des aliments riches en fibres alimentaires. Les fibres, et notamment le sont, peuvent cependant être utiles dans le traitement de troubles fonctionnels intestinaux avec constipation ; le son doit alors être introduit très progressivement. [354] :ABC A - Il peut s’agir de douleurs atypiques, et il existe des formes indolores. B - Anémie par saignement, présente plus de 2 fois sur 3. C - Témoignant d’une extension métastatique, de très mauvais pronostic. [355] :ACE B - Chez les sujets en mauvais état général, âgés, ou sous corticothérapie, la sémiologie des péritonites aiguès peut être trompeuse. D - Le pneumopéritoine n’existe qu’en cas de péritonite aigué par perforation en péritoine libre d’un organe creux. [356] :ABCE Les manifestations ORL du reflux gastro-oesophagien sont fréquentes (34 % pour une série) et atypiques. Elles peuvent comporter: une paresthésie pharyngée (plus qu’une pharyngite chronique), des “fausses angines”, des manifestations laryngées (dysphonie), et des rhénopharyngites (mais pas de rhinites chroniques isolées). [357] :ABCD Une intervention urgente n’est pas indispensable; les patients porteurs d’un plastron appendiculaires sont volontiers opérés après traitement médical antibiotique intensif. [358] :B due à une lithiase biliaire. Les causes principales sont les traumatismes, les interventions chirurgicales, certaines maladies infectieuses, notamment la fièvre thypoïde, ou le CMV ou les cryptosporidies au cours du SIDA, la périartérite noueuse. [363] :AD B - Le contraire est bien démontré. C - Les AINS présentent le risque de récidive ulcéreuse et de complications hémorragiques ils ne seront donc prescrits qu’en cas de nécessité absolue, après fibroscopie de contrôle et sous traitement anti-ulcéreux. D - Après cicatrisation, l’ulcère duodénal récidive avec une fréquence de 60 à 90 % au cours de la première année. Sous traitement d’entretien, les rechutes cliniques sont prévenues tant que dure le traitement. Toutefois, la fréquence réelle des récurrences est sous-estimée du fait du caractère asymptomatique de la majorité des rechutes sous anti[360] H2. Le taux réel des récidives :ABE endoscopiques sous traitement A - Les conséquences d’entretien est de l’ordre de 20 à anatomiques les plus 35 %, toutefois sans fréquentes d’une brûlure complication. caustique de [364] roesophage peuvent :ABDE être : la sténose à brève C - Peut s’observer dans 2,5 à 12 échéance, la cancérisation à % des cas. longue échéance. [365] C - Il est dangereux de :ABCDE pratiquer un lavage A - Diarrhée grasse ou diarrhée oesophagien et gastrique, de aqueuse, qui peut en fait faire vomir les manquer dans 3 à 10 % des cas. malades, de leur faire avaler B - 75 % des cas. des produites neutralisant le C - 70 % des cas. caustique. D - L’atrophie villositaire peut [361] également être subtotale, mais :BC elle fait partie de la définition de Voir commentaires de la la maladie coeliaque. question n° 48. E - Critère de définition de la [362] maladie. :ADE D - Dans environ 10 % des cas, [366] :ABD la cholécystite aiguê n’est pas La dilatation des voies biliaires intra-hépatiques élimine une cholestase intra-hépatique (A, C). L’absence de dilatation du cholédoque ne fait pas évoquer le diagnostic d’ictère par cancer du pancréas ou par pancréatite chronique (D, E). [359] :ABD La dysphagie est presque toujours observée. Elle est sélective pour les solides dans 2/3 des cas, elle est mixte dans les autres cas. Variable initialement, elle tend à s’accentuer. Certaines particularités peuvent exister: l’intolérance aux liquides chauds ou glacés, le soulagement par l’ingestion d’un volume important de liquide ; la progression des aliments est parfois favorisée par la position debout, bras élevés, ou par une manoeuvre de Valsalva. Enfin parfois, la dysphagie est une déglutition douloureuse (odynophagie). 18 C - L’irradiation scapulaire est le fait d’une irritation phrénique, ce qui ne peut pas être le cas au cours d’une ulcération bulbaire. E - Un ulcère bulbaire, et non une ulcération superficielle, peut se compliquer d’une sténose pylorique, qui ne donne en fait pas un tableau de syndrome occlusif. [367] :ACE A - Ce sont des images d’addition (exoluminales). C - Rectorragies abondantes, par érosion vasculaire, ou plus souvent minimes, au cours dune poussée inflammatoire. E - Un polype pédiculé peut en effet se “coucher” et se cacher ainsi dans un diverticule. [368] :ABCD E - Les selles décolorées témoignent d’un ictère, lié à une lithiase choledocienne et non à la cholécystite. [369] :AC Il est inutile de demander les sérologies dEBV ou d’hépatite A au cours du bilan étiologique dune hépatite chronique. [370] :B Chez un patient splénectomisé, toute fièvre doit faire redouter une pneumococcie aiguê, fréquente et grave sur ce terrain. [371] :E A - Un polype hyperplasique n’est pas une lésion précancéreuse ; cependant on a montré que la présence de polypes hyperplasiques dans un colon rendait plus probable l’existence de polypes adénomateux coexistants. [372] :C C - La pHmétrie de 24 heures étant elle-même plus sensible que la pHmétrie de 3 heures. D - Ne peut objectiver qu’une oesophagite peptique, éventuellement associée au reflux GO. B - Peut objectiver une hypotonie du sphincter inférieur de l’oesophage associée au R.G.O., mais non le R.G.O. lui-même. [373] :AD Le terme de d’endobrachyoesophage ( ou oesophage de Barett) est employé pour désigner un état dans lequel la muqueuse tapissant la partie inférieure de l’oesophage est cylindrique de type cardial, conséquence d’une métaplasie liée à un reflux gastro-oesophagien. [374] :AC A - C’est une méthode de dépistage de masse, présentant de nombreux faux positifs et faux négatifs, elle est sans valeur à l’échelle d’un indinvidu donné. C - C’est la seule méthode de dépistage complétement fiable [375] :ABCDE Toutes ces étiologies sont possibles, c’est tout l’intérêt de la fibroscopie oesogastroduodénale au cours des hématémèses. L’étiologie cependant la plus fréquente est la rupture de varices oesophagiennes ; en sachant que la prévalence des ulcères duodénaux est augmentée chez les cirrhotiques. [376] :CE A B - Sont des signes de reflux gastro-oesophagien. [377] :BDE Pour que les calculs biliaires puissent être dissous par traitement médical, il faut: - que les calculs soient radiotransparents, - que la vésicule biliaire soit fonctionnelle, et donc opacifiée par cholécystographie orale. Enfin, il est recommandé de ne pas traiter les calculs de plus de 15 mm de diamètre. E - Est une indication opératoire formelle. [378] :BD B - C’est une intervention lourde et mutilatrice, surtout réalisée en cas doute avec un cancer de la tête du pancréas. [379] :BCD Manquent dans la grille de réponse comme thérapeutiques possibles - le laser, pour vaporiser la tumeur (palliatif), - la chimiothérapie, utilisant le cisplatine (+ 5FU ou vindésine bléomycine) qui, associée à la radiothérapie externe, augmente le taux de résécabilité de la tumeur. [380] :AB Le caractère le plus typique de la douleur ulcéreuse est son horaire post-prandial, douleur rythmée par les repas. [381] :BE Les agents infectieux pouvant causer une diarrhée sanglante sont: - Shigelloses +++ - Salmonelloses (rarement) - Campylobacter fetus - Amibiase - Clostridium difficile - Escherichia Ccli entéroimasif Virus: CMV, herpès. [382] :DE La gamma GT peut parfaitement être normale chez un éthylique chronique. Son élévation isolée peut par ailleurs être due à de 19 nombreuses causes en dehors de l’alcoolisme et de toute lésion hépatique : prise médicamenteuse prolongée, diabète, obésité, hyperthyroïdie, larva migrans... [383] :BC A - Peut occasionner (rarement) une occlusion par sténose iléale. D - Occlusion par obstruction de liléon par un calcul biliaire. [384] :ACDE E - Ce dosage n’est pas réalisé en pratique. La concentration sérique des acides biliaires est élevée également en cas d’insuffisance hépato-cellulaire. [385] :D Le meilleur test biologique diagnostiqué de maladie coeliaque est le test au D. Xylose, anormal dans 90 à 95 % des cas de maladie coeliaque de radulte. C’est un test très sensible, mais bien sûr peu spécifique. [386] :AD A et D sont les seules causes importantes d’ictère à bilirubine non conjuguée chez l’adulte. Une autre cause d’élévation de la bilirubine libre chez l’adulte est la résorbtion de volumineux hématomes. Les maladies de Criggler-Najjar de type Il et de Dubin-Johnson sont exceptionnelles. [387] :CD A - Au début d’une hémorragie, les pertes de globules rouges et de plasma étant parallèles, rhématocrite se modifie peu. B - Son appréciation est souvent très subjective. C - C’est le reflet le plus précis de la volémie. [388] :ABD A et D sont les caractéristiques typiques de la douleur ulcéreuse. Il faut souligner cependant la fréquence des atypies et surtout des ulcères asymptomatiques. [389] :E A - Est typique d’une fissure anale : douleur intense survenant 5 à 15 minutes après une selle plus ou moins pénible, rapidement croissante et durant 2 à 3 heures. E - La douleur d’une thrombose hémorroïdaire externe est en fait volontiers très modérée. [390] :CDE A B - Peuvent accompagner une hépatite aiguê banale. C D E - Témoignent de l’insuffisance hépatocellulaire. [391] :ABC A - Classique “décompensation oedémato-ascitique’. B - Une ascite de 300 ml n’est objectivée généralement qu’à l’aide de l’échographie. D - Le signe du glaçon nécessite pour être obtenu une ascite abondante en péritoine libre et une hépatomégalie. E - Risque de perforation du ccum. [392] :ADE E - Par hypoalbuminémie. [393] :BE A - Son siège le plus fréquent est épigastrique. Elle peut également siéger à l’hypocondre droit, voire plus rarement en arrière, dans l’épaule droite, ou dans l’hypocondre gauche. B - Elle atteint son intensité maximale d’emblée ou très rapidement. C - Elle dure de 15 minutes à quelques heures. plus fréquente, à rechercher systématiquement. D n’est déclenchant qu’en cas de grande insuffisance hépatocellulaire ou d’anastomose porto[394] cave. :D [400] C’est le tableau clinique typique du cancer de la tête du pancréas, : A B C D en fait très inconstant. La douleur Le R.G.O. peut également être responsable d’autres est présente à un moment manifestations, moins typiques; quelconque de l’évolution dans douleurs thoraciques d’origine 75 à 90 % des cas. Une grosse oesophagienne ou vésicule n’est palpée que dans manifestations oto-rhino15 à 40 % des cas. laryngologiques. [395] [401] :D :ABD L’encéphalopathie hépatique La pathogénie de s’accompagne d’un déséquilibre l’endobrachyoesophage n’est plasmatique des acides aminés en fait pas unique, mais le rôle avec une baisse du rapport du R.G.O. semble acquis, bien molaire plasmatique : acides que l’on ne sache pas pourquoi aminés ramifiés/acides aminés seulement 10 % des patients aromatiques, à l’origine d’une atteints de R.G.O. ont un accumulation intra-cérébrale de endobrachyoesophage. faux neurotransmetteurs. [402] Cependant, 7 études contrôlées :ABC prospectives nont pu montrer un D - Teste surtout la réponse intérêt clinique formel à la insulinique, E est un examen perfusion d’acides aminés bactériologique (à ne pas aromatiques. confondre [396] avec un examen coprologique :D fonctionnel). En fait, souvent chez l’enfant A - Teste l’absorption jéjunale aucune cause n’est retrouvée. essentiellement. [397] B - Teste l’absorption de la :C vitamine B12, donc reflète A - Témoigne de l’alcoolisme chronique, mais non de l’hépatite. l’absorption iléale. D - Témoigne d’une hépatopathie alcoolique chronique (cirrhose). [403] :AE E - N’est pas assez spécifique B - Est plutôt constipant. pour être évocateur d’hépatite alcoolique aiguê. C - N’est pas efficace à long [398] terme. :BCD D - Est un laxatif irritant. Une fièvre chez un cirrhotique [404] doit faire rechercher ces causes :B de parti pris ; cependant il faut Une dilatation des voies savoir que B, C et même D biliaires intrahépatiques peuvent survenir sans aucune témoigne d’un obstacle sur la fièvre chez le cirrhotique. voie biliaire principale, A et C [399] sont donc exclus. :ABCDE [405] A est la cause déclenchante la :DE D - C’est plus volontiers une crampe douloureuse. E - A l’origine du signe de Murphy. 20 Le reste de l’examen clinique doit être normal. D - Est le signe d’un sigmoïde spasmé. [406] :ACDE A - Au cours d’une poussée de sigmoïdite aiguê. C - li sagit alors en général dune hémorragie artérielle au contact d’un diverticule. Lartériographie en urgence est l’examen de choix. D - Sigmoïdite aiguê, abcès péri-sigmoïdien. E - Par fistule colo-vésicale. B - Les troubles du transit sont plus à type de constipation ou d’alternance diarrhéeconstipation. [407] :A B - Ceci est faux si l’on se réfère à l’échographie, exact si l’on se réfère à la cholangiographie rétrograde. Enoncée telle quelle, B est une assertion fausse. D - Le foie de cholestase est ferme à bord inférieur mousse. E - Ceci n’est vrai qu’en cas d’ictère cholestatique, ce qui n’est pas précisé dans l’énoncé. [408] :C A B E - Indiscutables. D - Les risques de cancer rectocolique sont majorés en cas de pancolite et/ou d’âge jeune au moment du diagnostic, Ils sont négligeables en cas de forme localisée au rectum. [409] :DE La vagotomie hypersélective donne par ailleurs peu d’effets indésirables, contrairement aux autres vagotomies (dumpingsyndromes, diarrhée...). [410] :ABDE A - Survie globale à 5 ans de l’ordre de 5 %. C - La fibroscopie oesophagienne est l’examen de détection le plus sensible. D - L’exérèse à visée curative n’est réalisable que dans 10% des cas...Ce taux pourrait être augmenté par une radiochimiothérapie pré-opératoire. E - 95 % : épidermoïde, 5 % : adénocarcinome. [411] :ABDE La lithiase vésiculaire asymptomatique a en fait généralement un évolution bénigne. La probabilité de survenue d’une douleur biliaire sur une période de 10 à 20 ans est d’environ 20 % et la probabilité d’une complication d’environ 5 %. Il n’est pas justifié de proposer systématiquement une cholécystectomie aux patients asymptomatiques porteurs d’une lithiase vésiculaire. [412] :ABC Des manifestations ORL peuvent également s’observer. [413] :ABDE A - Les rectorragies sont souvent minimes et accompagnent une poussée inflammatoire, mais elles peuvent être abondantes par hémorragie artérielle au contact d’un diverticule. [414] :AD A - Poussées de pancréatites aiguès. D - Signe quasi constant. [415] :ABCD A - Epanchement pleural transsudatif, volontiers droit, communiquant avec l’ascite. B - Il est de règle de doser l’amylopleurie devant tout épanchement pleural qui ne fait pas sa preuve. C - Epanchement pleural réactionnel. 21 D - Classique syndrome de Demons-Meigs, avec ascite et épanchement pleural intarissables disparaissant spectaculairement à l’ablation d’une tumeur bénigne de l’ovaire (fibrome, thécome, tumeur de Brenner). [416] :E Si l’on prend en compte les récidives asymptomatiques, 90 % environ des ulcéreux duodénaux rechutent dans l’année suivant leur cicatrisation. [417] :C C’est le critère essentiel, utilisé pour poser l’indication opératoire. [418] :A Aucun commentaire, réponse indiscutable. [419] :B Le clostridium difficile agit en fait par l’intermédiaire de deux toxines, une entérotoxine (toxine A) et une cytotoxine (toxine B). Clostridium difficile est également responsable du quart des diarrhées simples postantibiotiques, et il est présent chez 1 % de la population en moyenne. [420] :D Il est inutile de demander une sérologie d’hépatite A dans le bilan étiologique d’une hépatite chronique. [421] :ABCDE Les causes principales sont l’alcoolisme et la lithiase de la voie biliaire principale. D’autres causes sont possibles : postopératoire, post cholangiographie rétrograde, infections virales notamment oreillons et CMV, médicaments (corticoïdes, azathioprine, diurétiques, L asparaginase), angéite nécrosante, sans oublier l’ulcère perforé bouché dans le pancréas... E - Il s’agit d’une hypertriglycéridémie de type I. [422] :CD C D - Sténoses de la voie biliaire principale et duodénum, accessibles à une chirurgie. Les autres indications sont essentiellement les faux kystes pancréatiques. [423] :BDE Il est important d’insister sur le fait qu’une voie biliaire principale normale en échographie n’élimine pas une lithiase du cholédoque (A). [424] :AE Le taux de récidive ulcéreuse est plus élevé après vagotomie hypersélective (VHS), qu’après vagotomie tronculaire (VT); (au long cours, 28 % versus 39 % pour une étude danoise), cependant les séquelles fonctionnelles (diarrhées, dyspepsie, dumping syndrome) sont beaucoup moins marqués pour la VHS. [425] :D La coloscopie est le seul examen utile au diagnostic de cancer du côlon droit chez un sujet à haut risque. [426] :AB C D - Signes d’insuffisance hépato-cellulaire. E - N’est pas assez spécifique pour permettre d’évoquer une hypertension portale. [427] :B La dysphagie du cancer de l’oesophage est habituellement marquée pour les solides, dévolution progressive, A - Est un signe fréquent au cours de l’encéphalopathie hépatique. B et D - Spécifique et peut se rencontrer dans les encéphalopathies métaboliques et rénales. [8] :C Seule la présence d’un germe affirme l’infection, cependant un taux de polynucléaires supérieur ou égal à 250 mm3 chez un patient présentant une suspicion d’infection du liquide d’ascite suffit à faire débuter le [2] traitement antibiotique. :E [9] E - Retrouvé exclusivement :A (quasi) dans les hépatites B - La patiente ne prend pas de alcooliques aiguès, savoir médicament qui peut par cependant que les lésions de l’Amiodarone® ailleurs entraîner des hépatites peuvent s’accompagner de corps cytolitiques d’évolution cirrhogène. de Mallory. B D - Ces signes sont évocateurs C - Seul l’oxyphénacétine et la phénolphtaline sont des laxatifs dune atteinte médicamenteuse. responsables d’hépatites [3] chroniques. :B D - La sensibilité hépatique A - Il y a un risque dans ce type féminine à l’alcool est plus d’hépatite fulminante mortelle. faible que celle de l’homme D - De rares médicaments mais la peuvent être responsables dose 20 g124 h est très faible. d’hépatite chronique cirrhogène E - L’hémocromatose peut être citons éliminée sur la normalité de la Aldomet®, Oxyphénicétine®, ferritine. lsoniazide®, Amiodarone®, [10] Dupéran®. :BD [4] L’antigène HB5 est :A nécessairement négatif en cas D - Est au contraire un de guérison. “inhibiteur”. D - LAC HBc de type lgG peut [5] être le seul marqueur d’une :E infection ancienne car lAC Hbs Le retrait du médicament en cause amènerait la normalisation peut disparaître. des troubles dans la majorité des cas. [11] D - La prescription d’inducteurs :CE est interdite car dangereuse. Réponse fausse (C D E) [6] A.B.D - Sont des Inducteurs :CE enzymatiques et doivent être A.B.D - Signes d’hypertension évités chez cette patiente portale. E - N’est pas hépatotoxique. [7] C - L’érythrocine est :ABD hépatotoxique ( cholestase et d’apparition récente. En fait, tout signe d’appel oesophagien peut révéler un cancer. [1] :C C E - Sont les seuls médicaments que le patienta pu prendre logiquement pour ces lombalgies. Les salicylés donnent très rarement des hépatites cytolytiques. B - Donnent surtout des cholestases D - Inducteur enzymatique pur. 22 peut être utilisé si nécessaire sous surveillance). [12] :BD Après restriction hydrosalée. D - L’insuffisance rénale majore Ihyponatrémie. [13] :ABDE A B D - Par malabsorption du fer, de la vitamine K et de la vitamine D. E - Test d’exploration dune malabsorption duodénojéjunale [14] :BE Sans commentaire. [15] :D Par fuite digestive d’albumine. [16] :E E - Lié à l’atrophie villositaire totale duodénojéjunale, parfois étendue à l’ensemble du grêle. [17] :A B - Cf Question précédente. C - Le transit peut montrer des signes évocateurs : fractionnement de la baryte, dilatation jéjunale, rareté des plis muqueux, voire absence de ces plis. [18] :ACD A - Précise l’extension en hauteur du processus terminal. C et D - Recherche une atteinte métastatique et pour C un deuxième cancer. Nb: Des radios de rachis lombaire une scintigraphie osseuse sont nécessaires dans ce contexte. [19] :C La normalité des gamma GT permet de rattacher l’élévation des phosphatases alcalines à une ou des métastases osseuses. [20] :AB Sans commentaire. [21] :CE Au niveau du 1/3 inférieur on peut avoir un adénocarcinome non radiosensible ou une tumeur épidermoïde qui, elle, est radiosensible. B D - Chimiothérapie en règle inefficace dans les cancers de l’oesophage. [22] :BC En fait seul la PHmétrie peut quantifier un reflux oesophagien acide. La scintigraphie ne permet pas de différencier reflux acide et alcalin. A et D - Peuvent visualiser des conséquences du reflux acide (oesophagite). E - Permet de visualiser des circonstances favorisantes : hypotonie du sphincter inférieur de roesophage. [23] :ABD Dans de très rares cas (estomacs opérés), on observe des reflux alcalins très toxiques pour la muqueuse oesophagienne. [24] :ADE Sans commentaire. [25] :A Evident, non commentée. [26] :AE Sans commentaire. [27] :DE Une surveillance endoscopique s’impose avec biopsies. [28] :AB A - Transforme l’acidité du contenu gastrique. B - Tarit la sécrétion gastrique acide. 23 D - N’est indiqué qu’en cas doesophagite peptique. [29] :B A - Traitement du mégaoesophage idiopathique. B - Fundoplicature et gastropexie. C E - Traitement de l’ulcère gastro-duodénal. D - Traitement d’un cancer du bas oesophage ou du cardia. [30] :BD Connaissance. [31] :D Hors programme, il y a aussi les dérivés nitrés. [32] :AE Voir cas clinique précédent [33] :C A - La recherche d’un cancer de roesophage, complication du mégaoesophage. [34] :D A - L’évolution chronique est peu en faveur de ce diagnostic. B - L’absence de fièvre élimine langiocholite. D - Les calcifications pancréatiques et le terrain font que ce diagnostic est le premier à évoquer. [35] :B B - En rapport avec l’oedème de la tête du pancréas et/ou la sclérose qui comprime la voie biliaire intra-pancréatique. D - On ne nous donne aucune donnée sur les transaminases, une hépatite chronique aiguê ne peut être éliminée. Labsence de fièvre et l’élévation des phosphatases alcalines à 4 fois la valeur normale sont peu en faveur de ce diagnostic. [36] [44] :A B - Diagnostic rendu très probable par la négativité de l’antigène Hbs. Néanmoins, seul la négativité de l’lgM HBc éliminera définitivement ce diagnostic. C D - Ne donnent jamais une telle cytolyse. [45] :B Sans commentaire. [46] :E Seuls les lgM-HAV sont élevés à un stade précoce de la maladie. [47] :BD En fait, on ne fait jamais de PBH au cours d’une hépatite virale A banale (ce qui est la règle). [48] :A Mode de contamination fécoorale. [49] :AE L’absence d’antigène HB5, l’existence d’anti HBe 50 est en [41] faveur d’une guérison proche, on :D attend la montée des anticorps C - La cholangiographie est antiHbs. inutile au cas dictère. [50] L’échographie permet de :B visualiser le parenchyme La mère n’est plus antigène HB5 hépatique (recherche de métastase), la vésicule biliaire, et est anticorps anti-E, le foetus ne court aucun risque. En cas de la voie biliaire extrahépatique (dilatation), la tête du pancréas. contamination par le virus B, le risque au 3e trimestre est celui [42] d’accouchement prématuré, de :BC mort in utero et surtout de C Est plus vraisemblable par transmission au nouveau né de argument de fréquence l’antigène HB5 surtout si la mère A D E - Ne donnent jamais de est antigène HBe (+). grosse vésicule. [43] :E [51] :ACDE Le malade étant inopérable et Evident. en l’absence de sténose [52] digestive, la pose dune prothèse transtumérale par voie : A C E endoscopique (ou radiologique A - Le virus B n’est pas transpariétale) peut amener un directement cytopathogène. B - Les lésions hépatiques aiguès certain confort à ce type de sont moins sévères chez les malade. :D La dérivation de la voie biliaire est rendue par la distension des voies biliaires qui exposent au risque de cirrhose biliaire secondaire. B - C’est le traitement de certaines lithiases cholédociennes. [37] :C Compression de la veine splénique par le parenchyme pancréatique calcifié. [38] :C Le Questran® (cholestyramine) permet de chélater les acides biliaires et de les éliminer. [39] :C (sociologie élémentaire). [40] :A Cette triade n’est présente que dans 40 à 50 % des lithiases cholédociennes symptomatiques. 24 immunodéprimés. [53] :ABC Evident. [54] :AE A - Une porte d’entrée serait en faveur dune adénopathie inflammatoire (E), en cas de doute, rexploration chirurgicale s’impose. [55] :C Mise en évidence de niveaux hydroaériques. [56] :B Risque de sphacèle intestinale à rechercher lors de rexploration chirurgicale et imposant une résection partielle. [57] :BC A E - Sont des occlusions par obstacle. D - Est une occlusion fonctionnelle par ischémie. [58] :C Toute occlusion fébrile impose la recherche dune appendicite méso-coeliaque [59] :ABE Evident. [60] :D Confirmé par une échographie, indispensable pour localiser le siège de cette suppuration profonde. [61] : AB Evident. [62] :ABDE Voir corrections autres interrégions même sujet [63] :BE Sans commentaire [64] :D Lhypoalbuminémie entraîne une baisse de pression oncotique vasculaire, une fuite du liquide vers le milieu extracellulaire et oedème. [65] :BCE Voir corrections autres interrégions sur le même sujet. [66] :BD B - Prédominant point de Mac Burney. [67] :B A - Les conditions d’examen de ASP ne permettent pas d’éliminer un pneumopéritoine. [68] :C (Connaissance non commentée) [69] :DE D - La flore aérobie est dominée par E.coli. E - Bacteroide fragilis est un anaérobie non sporulé responsable d’état septicémique et de suppuration. [70] :BE Le Flagyl® diminuerait la fréquence des abcès de paroi. [71] :E B - N’a rien à voir avec la question. A C D - Ne donne de rectorragie qu’en cas d’hémorragie importante avec accélération du transit. [72] :C Recherche dune cause locale par TR, examen protologique avec anuscopie, rectoscopie. [73] :AB Sont les causes prédominantes d’hépatopathie chez l’homme. [74] :D A B E - Ne peuvent être éliminé que par un examen anuscopie + restocospie. [75] :AD A - Le traitement réduit la fréquence des récidives tant qu’il est administré, cependant le taux de récidive à l’arrêt du traitement d’entretien est identique à celui des patients n’ayant eu qu’un traitement d’attaque. D - Complication fréquente de la cimétidine exceptionnelle avec la ranitidine. [76] :BCE Le tableau abdominal évoque un syndrome abdominal aigu avec irritation péritonéale. Ceci est compatible avec l’atteinte de ces 3 organes. [77] :ABE B - L’échographie simple rapide a une grande valeur d’orientation. A - La ponction lavage pourrait être réalisée, en fait la laparotomie en urgence s’impose devant ce tableau. En pratique on fera - échographie immédiate - ponction dialyse - la paratomie exploratrice. [78] :B Déjà commentée. [79] :ADE (Idem 59). [80] :AE Sans commentaire. [81] :DE Lendobrachyoesophage est une lésion acquise secondaire à la cicatrisation d’une oesophagite ulcérée. Cette cicatrisation se fait par extension de la muqueuse gastrique qui remplace la muqueuse oesophagienne détruite. Le diagnostic est endoscopique avec biopsie, le 25 risque de dégénescence à type dadénocarcinome du bas oesophage est de 10 %. [82] :ABC Le but du traitement est double ; améliorer les mécanismes antireflux - règle Hygiénodiététiques - métoclopranide - éviction des médicaments diminuant le tonus du SIC. Réduire raggressivité pour roesophage du liquide de reflux en utilisant des alginates isolées ou associée aux anti-acides et aux anti-sécrétoires lorsqu’il existe (pour ces derniers) une oesophagite. [83] :AB B - Les colopathes présentent souvent une intolérance importante à la distension colique. [84] :ABCD Seule la coloscopie sera effectuée afin d’éliminer une pathologie associée surtout s’il existe des modifications de la syptomatologie. [85] :C Cette patiente étant obèse et asymptomatique , il n’est pas déraisonnable de proposer une abstention thérapeutique. [86] :CD On conseille également des boissons abondantes, un régime riche en fibre, l’exclusion des excès de graisses, de viande et alcool et si possible des défécations régulières. [87] :ACE Connaisssance [88] :B La lipase est une enzyme dont contraceptifs oraux et le caractère très cytolytique de l’hépatite permettent d’éliminer cette hypothèse.Les ostroprogestatifs donnent des hépatites cholestatiques. B - L’hépatite “épidémique à l’âge de 12 ans” doit certainement être une hépatite A. Celle-ci ne donne jamais de forme chronique. C - En faveur, la profession et le changement récent d’affectation. [94] :B Connaissance. [95] :D L’apparition de troubles de la conscience, des manifestations hémorragiques, la diminution de la taille du foie font craindre une évolution défavorable traduite sur le plan biologique par une chute des facteurs de coagulation. [96] :B La transmission du virus B se fait par voie parentérale ou par les sécrétions humaines. Les sujets à haut risque sont les personnels du centre d’hémodialyse, des centres de transfusions sanguines, les dentistes, les homosexuels, les toxicomanes, les cirrhotiques alcooliques, les conjoints et les enfants de [91] porteurs chroniques de l’antigène :B Hbs. L’ensemble des personnels Les risques de compression sont un risque de compression médicaux et paramédicaux en gastroduodénale, biliaire (ictère contact potentiel avec le sang des malades. avec dilatation des voies [97] biliaires), colique (lavement :AE baryté de la veine splénique, A - Témoignant du HTP segmentaire). C’est la développement d’une persistance d’une hyperamylasémie qui évoque le hypertension portale en rapport avec une hépatite diagnostic. chronique active. [92] E - Témoignant d’une réplication :D virale persistante. La DNA Sans commentaire polymérase et l’HBV-DNA [93] sérique :C sont des marqueurs de A - La prise au long cours des l’origine est (quasi) exlusivement pancréatique en cas de maladie évoluée du pancréas, il existe une diminution de la sécrétion du suc pancréatique avec une maldigestion lipidique (stéatorrhée > ou égal à 6g/24 h 3 jours de suite) et protidique (créatorhée). [89] :C B - Explore une malabsorption proximale (duodénojéjunale). E - Elevée en cas de poussée na aucune valeur. D - L’augmentation du taux de lactoferrine est en faveur d’une pancréatite chronique. C - Après stimulation par sécrétine et pancréozymine retrouvant une augmentation de la concentration du suc pancréatique en protéine et une baisse du pH par diminution de la sécrétion d’eau et de bicarbonate et diminution de la concentration d’enzyme. [90] :C Survenant dans les semaines suivant une poussée aigué, les faux kystes sont visualisés au mieux par l’échographie. 26 réplication plus sensible que l’antigène HBe. [98] :ABD A - Témoigne d’une occlusion d’origine basse. B - Le météorisme est plus important en cas d’occlusion colique, il est volontiers oblique. D - Est en faveur d’une occlusion mécanique (volvulus du côlon pubien). [99] :AD Connaissance. [100] :AD B C - En rapport avec des occlusions coliques par obstruction, par sténose sur sigmoïdite diverticulaire. [101] :C La coloscopie dans un premier temps permet souvent de “passer le pied de l’Anse” et de dévolvuler le colon. En cas déchec ou de suspicion de sphacèle, la chirurgie s’impose. [102] :D Cf Autres interrégions. [103] :E La maladie de Gilbert donne un ictère à bilirubine libre par anomalie de la conjugaison. Les malades en dehors de rictère sont asymptomatiques. [104] :E Seul le taux de bilirubine libre est augmenté. [105] :C La PBH n’est jamais indiquée dans la maladie de Gilbert. [106] :C L’association, chez un alcoolique ictérique, d’une fièvre avec foie sensible augmenté de volume avec élévation des ASAT supérieurs à l’élévation des ALAT est en faveur du diagnostic d’hépatite alcoolique aiguê. [107] :C Celles-ci montrent: 1 - Une nécrose hépatocytaire, des corps de Malory évocateurs 2 - Un infiltrat inflammatoire portaI 3 - Une fibrose Les lésions prédominent dans la région centroglobulaire. [108] :D Sans commentaire. [109] :A A En l’absence de toute anomalie nutritionnelle. Rôle direct de l’alcool. [110] :A Le contexte épidémiologique et le tableau sont très en faveur d’une hépatite aiguê débutante. [111] :BCD Ces trois virus ont un mode de contamination parentérale prédominant et sexuel pour les virus B et le LAV. Le virus delta est un virus à ARN qui nécessite la présence d’antigène HB5 (qui lui sert de manteau) pour se développer. [112] :E A - Témoin d’une surinfection pour le virus Delta. B - Signe de guérison C - Témoin d’une réplication virale intense toujours associée à l’antigène HBs. D - Témoin d’une réplication virale arbotive. [113] :C 10 % des hépatites virales B évoluent vers la chronicité (0 % des HVA et 30 à 40 % des hépatites non A non B). [114] :A Connaissance. [115] :BDE Sans commentaire. [116] :A Sans commentaire. [117] :A Le vaccin est préparé à partir seulement de l’antigène HB5. [118] :BE Témoignant d’une mauvaise tolérance de l’ascite. La hernie risque d’entraîner une rupture ombilicale avec risque majeur de porte d’entrée infectieuse péritonéale. [119] :CDE Sans commentaire. [120] :B D E - Ont un intérêt pour traiter l’encéphalopathie hépatique qui peut survenir après infection du liquide d’ascite. [121] :A - Restriction des apports sodés. - Restriction modérée des apports hydriques. - Diurétique si la natrémie le permet en l’absence d’insuffisance rénale. [122] :AB B - La normalité de ralfa foetoprotéine n’élimine pas formellement le diagnostic. [123] :ACD B - Est un signe d’hypertension portale. [124] :AE E - N’est pas contre indiqué car il s’agit d’un épargneur potassique. [125] :ABC Sans commentaire. [126] :D 27 Sans commentaire. [127] :ACE La question est mal posée car la colique hépatique, qui est une douleur biliaire, a plusieurs étiologies dont la cholécystite aiguê. [128] :ACE La cholécystographie n’est pas demandée dans ce contexte d’urgence. [129] :C L’échographie peut montrer, outre la lithiase, une vésicule distendue, douloureuse au passage de la sonde, à paroi épaisse. [130] :B Le traitement de la cholécystite aiguê lithiasique est chirurgical. L’intervention est souvent effectuée vers la 48ème heure, après antibiothérapie. [131] :ABCE Le cancer de la vésicule est associé à une lithiase dans 80 à 90 % des cas. [132] :C Liléus biliaire est une complication rare de la lithiase biliaire. Il est observé après fistule bilio digestive. [133] :ABC L’ASP peut montrer le calcul, des signes d’occlusion et/ou une aérobilie. Les renseignements supplémentaires apportés par un ASP en position couché sont discutés et une réponse BC ne serait pas criminelle Enfin, il s’agit d’une échographie hépatobiliaire et pas seulement hépatique. [134] :AD Ces 2 éléments sont la base du traitement médical de toute occlusion. [135] :B Le geste essentiel est la levée de l’occlusion, donc l’ablation du calcul après sphinctérotomie. [136] :B Il s’agit d’une occlusion. Le risque est donc celui d’une perforation intestinale. [137] :C Le degré alcoolique d’une boisson exprime le volume d’alcool pur qu’elle contient. 11 g d’alcool pur, dont la densité est de 0,8, contient: 11 x 0,8 = 88 g d’alcool pur. [138] :ABCE Les arthralgies s’observent au cours des hépatites virales. [139] :ABCDE Une hépatomégalie douloureuse avec fièvre et hyperleucocytose n’est pas toujours une angiocholite! [140] :BCD La cholestase intrahépatique (responsable d’une dilatation des voies biliaires intrahépatiques) est une contre indication car elle accroît le risque de cholépéritoine. [141] :E Les corps de Mallory (hépatocyte transformé en un corps hyalin acidophile) s’observent en cours des hépatites virales aiguês. [142] :D La poussée modérée de sigmoïdite réalise classiquement un tableau “d’appendicite à gauche”. [143] :CE En cas de volvulus du côlon pelvien, il existe à I’ASP une volumineuse image hydroaérique. [144] :C Le lavement baryté est formellement contre-indiqué car la perforation est à craindre en permanence. La question est un peu ambiguê car une échographie peut aider au diagnostic dabcès. [145] :ABCD La question est mal posée car la malade semble déjà en occlusion (vomissements ; arrêt des gaz). [146] :ABCE Il peut s’agir d’une colostomie terminale mais transitoire, (rétablissement secondaire de la continuité). Prévenir le malade est indispensable. [147] :BE Le repos est conseillé mais il parait inutile qu’il soit strict et prolongé. [148] :CE La recommandation essentielle est E car la transmission, du VHB est surtout parentérale. [149] :C Il s’agit en fait dune réponse incomplète car la meilleure proposition serait d’associer la vaccination et une sérothérapie par immoglobulines spécifiques anti-hépatite B. [150] :E Une élévation importante des transaminases n’a pas de valeur pronostique. [151] :CE La question est ambiguê car le diagnostic d’insuffisance hépato cellulaire ne peut pas être porté devant des oedèmes isolés des membres inférieurs. Cependant, 28 l’insuffisance hépatocellulaire peut être responsable d’une rétention hydrosodée se traduisant par des oedèmes. La réponse pourrait donc être CDE. [152] :ABD La question est encore mal posée car il faudrait préciser Babinski bilatéral. La réponse pourrait donc être AB. [153] :C Le taux de protides peut être très variable au cours d’une infection d’ascite, mais ce sont les ascites avec faible taux de protides qui sont particulièrement sujettes au risque d’infection. [154] :ABD La question est difficile car la prise d’Aldomet® est relativement courte. La consommation d’alcool est faible mais, chez la femme, dès 20 glj, le risque d’hépatopathie n’est pas nulle. De plus, rexistence dun bloc bêta des IgA est en faveur de l’étiologie alcoolique traduisant une élévation. [155] :ABCDE Aucun médicament n’est formellement contre-indiqué mais il vaudrait mieux éviter le diazépam qui peut éventuellement entraîner des troubles de la conscience sur ce terrain ainsi que rérythromycine et la glafénine qui peuvent causer des hépatites allergiques. [156] :BD L’hyperkaliémie et non Ihypokaliémie est une contreindication. [157] :BD Une dysphagie chez un alcoo- lotabagique doit faire systématiquement évoquer un cancer de roesophage et donc faire pratiquer une endoscopie. Toutefois ici, les caractères de la dysphagie, la notion de reflux et l’aspect endoscopique sont très évocateurs dune sténose peptique. [158] :B La diverticule de Zencker, ou diverticule pharyngo oesophagien s’observe surtout chez rhomme après 60 ans. [159] :C Léthylo-tabagisme est en France le principal facteur étiopathogénique. [160] :C Le récurrent droit ne descend pas en-dessous de la sous clavière. Par contre, une paralysie récurrentielle gauche peut s’observer dans le cancer de l’oesophage thoracique car le récurrent G a un trajet thoracique (il passe sous la crosse de l’aorte). [161] :C La triade douleur-fièvre-ictère est évocatrice de lithiase de la voie biliaire principale. [162] :B L’échographie est le premier examen radiologique à demander en cas de suspicion de pathologie biliaire. [163] :ABCDE L’ictère peut être hémolytique, en particulier lors d’une infection à clostridium perfringens. [164] :C Les morphiniques sont contre- indiqués car ils entraînent un spasme du sphincter d’Oddi. [165] :AC Les tubages gastriques après stimulation (y compris à la pentagastrine) du Zollinges Ellison(ZE). Le test à l’insuline emploie la stimulation vagale. [166] :C La composante hydroélectrolytique de la diarrhée du ZE est toutefois prédominante. [167] :AC La fibroscopie gastroduodénale (et pas seulement gastrique) est réalisée de toute façon dans le bilan (recherche) d’ulcères mais seule une éventuelle tumeur pancréatique développée dans la paroi duodénale serait ainsi visualisée. En préopératoire, la tumeur n’est localisée que dans 30 à 50 %. [168] :BDE Le but du traitement est de faire diminuer la sécrétion acide soit par diminution de la libération de gastrine (somatostatine) soit par action sur la cellule pariétale (anti-H2). [169] :BCE L’association entre cancer de l’oesophage et cancer ORL est statistiquement significative. [170] :ACD La dysphagie “paradoxale” évoque plutôt un trouble moteur de l’oesophage. [171] :AC Les diverticules épiphréniques sont habituellement asymptomatiques. [172] :D L’endoscopie oesophagienne est indispensable devant toute dysphagie. 29 [173] :C Typiquement, la sténose peptique est centrée, régulière, courte et bas située. [174] :C La question est mal posée car B est aussi une réponse possible. [175] :D La fibroscopie avec biopsies est rélément clé de la démarche diagnostique. [176] :A Le bilan d’extension comprend la recherche de métastases hépatiques. [177] :C La dégastrogastrectomie peut être un geste techniquement difficile. [178] :B Cette forme représente environ 80 % des cancers du rectum. [179] :ABC La coloscopie totale recherche un autre cancer et/ou un polype. [180] :B Il s’agit d’une tumeur du 1/3 supérieur du rectum, l’amputation abdominopérinéale serait donc inutilement mutilante. [181] :ACE Le dosage de l’alpha foetoprotéine est demandé dans la surveillance des carcinomes hépatocellualires et des cancers du testicule. [182] :BCE Le risque de cancérisation est maximal avec la polypose familiale diffuse. [183] adénocarcinomes. [192] :ABC La question pourrait être indiquée dans un reflux alcalin (rôle des sels biliaires). [193] :B L’intervention de Nissen réalise une fundoplicature (la grosse tubérosité est entourée autour de l’oesophage). [194] :BC Ces 2 examens s’imposent [186] puisqu’il existe un syndrome :ABC infectieux et un syndrome Lexistence d’un bon état subocclusif. général (malade jeune) peut [195] être retenue en faveur du :ACD Taylor. Ici cependant, l’échec Le Dolosal® est contre-indiqué du traitement antiulcéreux initialement car il risque de antérieur est un très fort majorer le syndrome occlusif argument en faveur de (favorise la constipation). rintervention. [196] [187] :ABC :B La question est mauvaise car le Cette question aurait du être placée en dernier car le caractère acide ne peut être traitement est bien sûr adapté au démontré que par la pHmétrie diagnostic retenu. mais TOGD et scintigraphie permettent la mise en évidence des reflux sans préjuger de son [197] :B pH. L’endoscopie ne met pas Le lavement baryté est contreen évidence le reflux. indiqué en raison du risque de [188] perforation. :ABDE [198] Les anticholinergiques en :C particulier diminuent sa Un cancer du sigmoïde pression. compliqué est également un [189] diagnostic possible. :AD [199] L’endoscopie est le meilleur examen et doit être demandée : B C D L’érythrose palmaire et les d’emblée. angiomes stellaires sont des [190] signes d’insuffisance hépato:AE Ulcère et sténose sont souvent cellulaire. [200] associés. L’ulcère peut se :C perforer mais il ne sagit pas véritablement d’une ‘rupture” de Le rapport ASAT/ALAT élevé est en faveur de l’étiologie alcoolique l’oesophage. de rhépatopathie. [191] [201] :DE :ABC Les cancers développés sur endobrachyoesophage sont des L’ascite est habituellement un :ACD Les vomissements sont très peu spécifiques. [184] :C LASP peut visualiser le pneumopéritoine qui signe la perforation d’un organe creux. [185] :AC Les irrigations gastriques antiacides sont indiquées en cas d’hémorragie. 30 signe d’hypertension portale et d’insuffisance hépatocellulaire. [202] :B La présence de 3000 polynucléaires/mm3 dans le liquide d’ascite doit faire porter le diagnostic d’infection d’ascite même en l’absence de germes au début. [203] :D La maladie coeliaque est définie par: 1) un syndrome de malabsorption 2) une lésion histologique caractéristique, mais non spécifique de l’intestin grêle proximale: l’atrophie villositaire totale ou subtotale 3) une amélioration clinique et histologique sous régime sans gluten. [204] :AD L’ensemble de ces résultats est évocateur d’une malabsorption ; néanmoins, pour mettre directement en évidence celleci, il conviendrait de réaliser un test au D-xylose (grêle proximal) et un test de Schilling avec facteur intrinsèque (absorption de la vitamine B12 dans l’iléon). [205] :D La carence en vitamine D et calcium explique les douleurs osseuses. Le tableau biologique le plus habituel est celui de l’ostéomalacie : hypocalcémie, hypophosphorémie, hypocalciurie, augmentation des phosphatases alcalines. [206] :C Un régime sans gluten strict amène habituellement une amélioration clinique spectaculaire en quelques semaines. Le traitement diurétique d’entretien peut très bien comporter un diurétique antialdostérone (Aldactone®) à doses réduites. [212] :D [207] Il ne faut pas confondre ascite :BCE récidivante du fait dune erreur En cas de résistance (rare) au thérapeutique (arrêt du régime régime sans gluten, il faut sans sel ou des diurétiques) et rechercher avant tout des ascite réfractaire, rebelle au erreurs diététiques. traitement médical bien conduit, Un lymphome ou des qui pourrait nécessiter d’autres ulcérations intestinales thérapeutiques (ponctions constituent des causes itératives, ponctionclassiques de résistance clinique au régime sans gluten concentrationréinjection, valve de Le Veen) au cours de la maladie [213] coeliaque. Enfin, il existe de rares patients : B Chez ce patient éthylique intolérants non seulement au gluten mais à dautres protéines, chronique, une cirrhose est probable: hépatomégalie ferme, des oeufs ou du poisson. circulation veineuse collatérale. [208] La cause principale :BE Le rpose au lit et le régime sans dhématémèse chez le cirrhotique est la rupture de varices sel sont le traitement de base oesophagiennes. Il nen demeure dune poussée ascitique. Il est pas moins qu’une hémorragie parfois suffisant, notamment d’un ulcère gastroduodénal est lors d’une première possible seule une endoscopie décompensation ascitique. haute permettra d’établir avec [209] certitude l’origine de :ABCE l’hémorragie. L’efficacité de ce traitement [214] sera jugé sur l’obtention dune :D bonne natriurèse, précédant la La mise en place d’une bonne diminution du poirds et du voie d’abord veineux est le geste périmètre ombilical. le plus urgent chez un patient [210] présentant une hémorragie :AC digestive. La transfusion Ce traitement diurétique doit s’impose d’emblée chez ce être arrêté si la natrémie est patient récidivant une inférieure à 130 mEq/l ou s’il hémorragie, avec une apparaît une insuffisance hémoglobine à 7 g. rénale. Le ionogramme sanguin doit être surveillé de façon [215] :C rapprochée au début du La fibroscopie traitement diurétique chez un patient cirrhotique décompensé. oesogastroduodénale doit être réalisée pour établir l’origine de [211] I’hématémèse; il faut la pratiquer :BD au mieux sur un estomac Le régime sans sel doit être préparé, lavé à l’eau glacée à bien expliqué au patient: il est l’aide d’une sonde gastrique. très important. La normalisation du test au Dxylose demande plusieurs mois. La réparation histologique est en règle générale, confirmée au bout d’un an. 31 [216] :BE Le traitement par sclérose des varices oesophagiennes est en général entrepris de prime abord. Il a une efficacité rapide pour une faible morbidité. [217] :AC L’encéphalopathie hépatique doit être prévenue dans la mesure du possible par du lactulose ou de la néomycine, introduits de façon systématique. [218] :BD Une cirrhose peut être réalisée chez la femme avec des prises alcooliques de l’ordre de 20 g/jour durant plusieurs années. Le syndrome d’alcoolisme foetal est dautant plus marqué que la consommation alcoolique est importante est quelle a lieu durant le 1er trimestre de la grossesse. [219] :BCDE La gamma G.T. a une sensibilité de 75% dans le dépistage de l’alcoolisme chronique. Elle peut s’élever après 2 à 3 semaines d’intoxication éthylique et diminuer 10 jours environ à l’arrêt de cette intoxication. [220] :AC Les manifestations de sevrage témoignent de la dépendance à l’alcool ; elles peuvent réaliser un delirium tremens à prévenir par une bonne hydratation associée à des tranquillisants et une vitaminothérapie parentérale Bi. [221] :ABCDE Le disulfirame est une inhibiteur de l’acétaldéhyde déshydrogénase; l’ingestion d’alcool durant un traitement par disulfirame donne lieu à des manifestations liées à la toxicité de lacétaldéhyde, produit de l’oxydation de l’éthanol. Ces manifestations comportent: nausées, vomissements, flush vasomoteur, hypotension artérielle ; d’où sa contreindication chez le patient de plus de 60 ans, chez l’insuffisant cardiaque. Il est également contre-indiqué en cas de troubles neurologiques. [222] :C Il s’agit d’un prurit lié à la cholestase. [223] :C Les douleurs de Ihypochondre droit irradiant en hémiceinture droite sont le plus souvent biliaires ou pancréatiques. [224] :C La cholestase clinique et biologique existant chez ce patient incitent à explorer avant tout les voies biliaires, le foie et le pancréas, et donc à demander une échographie abdominale. [225] :C Le prurit précédant l’ictère - la grosse vésicule palpable - le foie de surface irrégulière (métastases?) évoquent au premier chef le diagnostic de cancer de la tête du pancréas. [226] :A C’est la cause la plus fréquente des rectorragies ; qui ne doit pas faire méconnaître une cause sus-jacente, en particulier tumorale. [227] :C La coloscopie est impérative, à la recherche de polypes ou de tumeurs coliques. [228] :AB L’ancienneté de la constipation et des douleurs abdominales sont en faveur d’un trouble fonctionnel, mais ne permettent pas d’éliminer une tumeur associée, responsable des rectorragies. [229] :CD Une régularisation du transit par des fibres alimentaires ou des mucilages est utile, et pourrait permettre l’arrêt des laxatifs dont on connaît les risques à long terme. Des antispasmodiques sont utiles pour combattre les phénomènes douloureux. [230] :E Seule une coloscopie totale normale (ou un lavement baryté en double contraste de bonne qualité) permet d’éliminer le diagnostic de cancer colique. [231] :B Un taux de polynucléaires supérieur à 2501mm3 dans l’ascite doit faire considérer cette ascite comme étant infectée. Un seuil de sensibilité plus grand est obtenu dans le diagnostic d’infection du liquide d’ascite si l’on utilise 75/mm3 comme valeur limite supérieure du nombre de polynucléaires. [232] :B Des hémocultures sont justifiées même en l’absence de fièvre, ce qui est fréquent. Une coproculture est également justifiée. [233] :A Le traitement diurétique n’est pas impératif; il peut être inutile notamment en cas de 1ère poussée ascitique. [234] :A Lastérixis n’est pas spécifique de rencéphalopathie hépatique ; il peut être observé au cours des 32 encéphalopathies hypoxiques, toxiques, et l’insuffisance rénale notamment. [235] :ABD L’insuffisance hépatocellulaire se traduit par une diminution des synthèses protéiques hépatiques et notamment des facteurs de la coagulation et de l’albumine. [236] :ABCD En fait, les manifestations d’un carcinome hépatocellulaire greffé sur cirrhose peuvent être très réduites ou absentes : dans de tels cas, le diagnostic repose sur 2 examens effectués systématiquement chez tout patient porteur d’une cirrhose : l’échographie et le dosage de lalphafoetoprotéine. [237] QUESTION ANNULEE. [238] QUESTION ANNULEE. [239] :BDE Les autres causes déclenchantes (en dehors de l’hémorragie digestive) sont: les infections, les déosrdres hydroélectrolytiques provoqués par les diurétiques. Lorsqu’aucun facteur déclenchant n’a pu être mis en évidence, le pronostic est sombre. [240] :AC Lartériographie est en fait rarement utile, essentiellement demandée si une intervention chirurgicale est envisageable ; l’échographie et le dosage de lalphafoetoprotéine suffisent généralement, avec une ponction biopsie guidée sous échographie si l’hémostase le permet et si une histologie est nécessaire. [241] :B La récidive fait partie de l’histoire naturelle de la maladie ulcéreuse. [242] :CD Les médicaments antisécrétoires gastriques sont: les inhibiteurs des récepteurs H2 de l’histamine, les anticholinergiques, l’oméprazole (inhibiteur de la pompe à proton). [243] :CE Le mécanisme de cette gastrotoxicité fait appel essentiellement à une inhibition de la synthèse des prostaglandines. [244] :ACE L’arrêt du tabac est essentielle pour diminuer l’incidence des récidives de la maladie ulcéreuse. [245] :BC Un débit acide basal supérieur à 26 mEq/h et une gastrinémie basale supérieur à 221 pg/ml sont quasi spécifiques dun syndrome de Zollinger-Ellison. Un débit acide basal inférieur à 11 mEq/h et une gastrinémie basale inférieure à 93 pg/ml permettent d’exclure raisonnablement un ZollingerEllison. En cas de suspicion clinique, des valeurs intermédiaires sont une indication du test à la sécrétine. [246] :A Cette séquence caractérise les formes typiques. Un autre élément sémiologique important est l’existence de frissons. [247] :B L’élévation de la gamma G.T. permet, en pratique courante, de rattacher une élévation des phosphatases alcalines à une cholestase. [248] :B L’échographie abdominale montre typiquement une dilatation de la voie biliaire principale, une vésicule lithiasique. [249] :E Une lithiase cholédocienne réalise un obstacle intermittent à l’écoulement biliaire ; il en résulte une stase biliaire et une contamination par les germes intestinaux; d’où l’infection de la voie biliaire principale ou angiocholite. [250] :ABDE Ces anomalies sont le reflet du syndrome de malabsorption. Le test au D-xylose (sucre à absorption duodéno-jéjunale) est anormal dans 90 à 95% des maladies coeliaques de l’adulte. [251] :BE Le régime sans gluten permet habituellement une amélioration rapide: réduction de la diarrhée et reprise pondérale en quelques semaines. [252] :D L’hypoalbuminémie reflète à la fois la réduction des ingesta, la malabsorption protéique et lentéropathie exsudative ; elle est présente dans près de 40% des cas chez l’adulte. [253] :B Une malabsorption peut entraîner une insuffisance pancréatique exocrine fonctionnelle, par atteinte de la phase intestinale de la sécrétion pancréatique. [254] :B Seules des biopsies duodénales 33 ou jéjunales permettent d’affirmer une atrophie villositaire totale ou subtotale du grêle proximal, condition nécessaire (mais non suffisante) au diagnostic de maladie coeliaque. [255] QUESTION ANNULEE. [256] QUESTION ANNULEE. [257] QUESTION ANNULEE. [258] QUESTION ANNULEE. [259] QUESTION ANNULEE. [260] QUESTION ANNULEE. [261] :B La pH-métrie oesophagienne est le seul examen posant avec certitude le diagnostic d’un reflux gastro-oesophagien acide. [262] :AB En cas de reflux gastrooesophagien (RGO) acide, le rôle majeur toxique pour la muqueuse oesophagienne est tenu par la pepsine (en milieu acide). En cas de reflux alcalin (reflux duodéno-gastrique) ce rôle est tenu par les sels biliaires déconjugués et en particulier les acides biliaires secondaires tels le désoxycholate. [263] :ADE Le SlO est une entité physiologique, identifiable par la manométrie qui découvre sur 2 à 4 cm une zone de haute pression généralement comprise entre +20 et +40 cm d’eau par rapport à la pression gastrique. Le Sl0 possède 2 propriétés essentielles 1)11 est le siège d’un tonus permanent. 2)11 se relaxe lors de la déglutition et de la distension oesophagienne, pendant toute la durée du parcours de l’onde péristaltique. [264] :A La fibroscopie oesogastrique est le seul examen qui permette la mise en évidence dune oesophagite peptique, l’appréciation de son stade de gravité, et la pratique de biopsies. [265] :AE Les oesophagites peptiques superficielles sont de loin les plus fréquentes, d’évolution habituellement bénigne. Ce n’est que dans environ 3 % des cas que roesophagite érosive se complique, complications qui surviennent d’ailleurs plutôt d’emblée quau cours du suivi des patients. [266] :DE Lendobrachyoesophage (EBO) ou oesophage de Barrett est caractérisé par le remplacement de la muqueuse malpighienne normale du bas oesophage par une muqueuse glandulaire. Cette métaplasie est généralement acquise et résulte d’agressions répétées de la muqueuse malpighienne par un RGO pathologique. La prévalence de radénocarcinome lié à l’EBO est de rordre de 10 à 15%, par contre son incidence est beaucoup plus faible, de l’ordre de 2 à 20 pour 1000 patients/année. [267] :ABD Ces moyens sont relativement efficaces sur la symptomatologie du RGO ; mais en ce qui concerne les lésions doesophagite peptique, seuls les anti H2 et l’oméprazole ont démontré leur efficacité. [268] :B Une autre intervention est possible ; il s’agit de la diversion duodénale totale qui comporte a) une vagotomie tronculair b) une antrectomie c) une anastomose gastrojéjunale termino-latérale sur une anse en Y de 70 cm. Cette intervention supprime la possibilité de RGO acide ou alcalin. [269] :C Les formes subaiguès de carcinose péritonéale peuvent simuler une urgence chirurgicale. Lancienneté des troubles, l’amaigrissement, les données de l’examen clinique (zones mates et zones sonores, palpation de masses tumorales épiploïques) permettent d’évoquer le diagnostic. [270] :C L’ASP peut permettre de révéler, outre des aspects non spécifiques de niveaux hydroaériques, des signes en rapport avec la carcinose péritonéale, infiltrant ou comprimant les anses intestinales (aspect figé et irrégulier, segmentaire et plurifocal). [271] :BC Dans ce contexte, il faut éviter d’opérer d’emblée et sans diagnostic. L’aspiration gastrique et la réhydratation permettent le plus souvent de passer un cap critique, avec retour à un transit intestinal quasi normal. En fonction du cancer primitif en cause, un traitement chimiothérapique pourra être instauré. 34 [272] :C Ces zones de matité pourraient également correspondre à des masses tumorales épiploïques. [273] :D L’intoxication éthylique chronique, mais surtout la présence sur l’aire pancréatique de calcifications à I’ASP sont fortement évocatrices de pancréatite chronique. [274] :B L’augmentation de volume de la tête du pancréas est vraissemblablement à l’origine d’une compression du bas cholédoque. Une lithiase de la voie biliaire principale ne peut cependant être formellement exclue que par une cholangiographie rétrograde. [275] QUESTION ANNULEE. [276] :C Ce patient a plusieurs raisons pour présenter une hypertension portale responsable dune splénomégalie: - une compression du tronc porte par le pancréas augmenté de volume (hypertension portale segmentaire) - une possible cirrhose alcoolique associée - une possible thrombose portale ou de la veine splénique. [277] :ADE L’absence de contracture abdominale et la baisse de la TA peuvent parfaitement accompagner un infarctus mésentérique ou un infarctus du myocarde qui sont des diagnostics différentiels importants. l’hépatite alcoolique comporte typiquement: - des altérations hépatocytaires - des corps de Mallory - une infiltration à polynucléaires neutrophiles - une fibrose péricellulaire. Ces lésions tendant à être maximales dans la région centrolobulaire. [287] :ABDE Les formes majeures d’hépatites alcooliques peuvent entraîner la mort par insuffisance hépatocellulaire. En cas d’évolution favorable, le foie peut redevenir normal ou présenter une fibrose ou une cirrhose à distance de l’épisode d’hépatite. Les formes mineures, plus fréquentes, ont un potentiel QUESTION ANNULEE. évolutif immédiat beaucoup moins grave. [282] [288] :ABC QUESTION ANNULEE. La cholécystographie per os ne [283] garde pour seule indication que la vérification du caractère QUESTION ANNULEE. fonctionnel de la vésicule biliaire. [284] [289] :ACDE :C La valeur énergétique de l’alcool est de 7,1 kcallg ; 1 litre L’épaississement de la paroi vésiculaire peut également de vin à 100 apporte 80 g s’observer en cas d’alcool, soit 560 kcal. d’hypoalbuminémie importante, En faite, cette valeur n’est que par oedème de la paroi théorique, l’utilisation (diagnostic différentiel entre énergétique de l’alcool étant cholécystite aigué et hépatite bien moindre. alcoolique aigué avec [285] hypoalbuminémie). :ACE La carence en folates constatée [290] :B chez de nombreux alcooliques La cholécystectomie est est liée au défaut d’apport impérative, elle peut se réaliser secondaire au régime, et à après quelques heures de l’action directe de l’alcool qui traitement antibiotique et inhibe l’absorption intestinale antispasmodique. des folates. Cette carence en folates n’est cependant pas toujours en cause dans la [291] :C macrocytose observée. La péritonite biliaire est due à [286] une perforation de la vésicule :ADE dans la cavité péritonéale. Elle se Les lésions histologiques de [278] :AC Sur le plan morphologique, le scanner abdominal est également un examen utile, qui permet la classification des lésions observées en stades de gravité. [279] :BCD Sur le plan biologique, ne pas omettre la surveillance de l’amylasémie, de l’amylasurie, éventuellement de la lipasémie. [280] :BCD Il s’agit de traiter et de surveiller au mieux ce patient en état de choc, en milieu de réanimation chirurgicale. [281] 35 traduit par une contracture abdominale et des signes généraux sévères. [292] :C La malabsoption porte sur les trois principaux macronutriments: - protides: créatorrhée à 3 g124 heures (N < 1,8 g) - lipides: stéatorrhée à 15 g/24 heures (N <3 g) - glucides : existence de glucides dans les selles, en dehors des fibres alimentaires. NB : Le patient ne suit vraisemblablement pas son régime sans gluten, mais on ne peut raffirmer avec certitude sur les données de l’observation. [293] :D Calories glucidiques : 250x4 Kcal = 1000. Calories lipidiques : 81 x 9 Kcal = 729. Calories protidiques: 60 x 4 Kcal = 240. Total calorique : 1969 Kcal/jour. [294] :B La déperdition énergétique fécale est de 3X4 + 15X9 + 40X4 = 12 + 135 + 160 = 307 KcaI et 1969 (entrées) -307 (sorties) = 1662 Kcal [295] :C B et E - Il n’y a pas de relation de cause à effet. D - La déperdiiton énergétique fécale est de 307 Kcal, et suggère fortement (mais ne prouve pas) que le malade ne suit pas son régime. [296] :AE A - Exact, si l’on considère les poids et tailles des parents. B - NB : Si ron utilise les équations de Harris et Benedict (dépense de repos pour un homme = 66,47 + 13,75 x P + 5 X T6,67 A; P = Poids en kg, T = taille en cm, A = âge en années) en multipliant par 1,6 pour une activité modérée, on a 961 Kc/jour. C - NB : Il est exceptionnel pour un sujet ayant une activité modérée d’avoir une dépense globale de 3 400 Kc/jour. D - Une ingestion de 1900 Kcal/jour est normale, voire un peu basse. [297] :BE A - La protidémie est trop dépendante de l’état d’hydratation. B - Exact, avec les restrictions suivantes - l’albuminémie dépend de l’hydratation, de l’existence d’un 3e secteur - il peu exister une fuite protidique notamment par entéropathie exsudative en cas de maladie coeliague, rendant ce marqueur inopérant. C - RBP : courte demi-vie. [298] :B L’infection bactérienne de la voie bilaire principale est une angiocholite et se traduit principalement par la fièvre et les frissons (qui ne sont pas mentionnés dans l’observation). Une angiocholite peut se commliquer comme c’est le cas dans l’observation, d’insuffisance rénale. Il peut y avoir une élévation de l’amylasémie, voire une pancréatite aigué clinique, lorsque le calcul détermine une obstruction du canal de Wirshung. [299] :ADE Phosphatases alcalines et gamma GT sont augmentées en cas de cholestase. En cas d’ictère cholestatique, il y a une élévation de la bilirubine directe ou conjuguée. [300] :E Le diagnostic, apporté ici par les éléments cliniques, biologiques, et échographiques est formel ; il ny a pas de diagnostic différentiel. [301] :CD C et D - Témoignent d’une insuffisance rénale aigué, de mauvais pronostic dans ce contexte. [302] :ABE La septicémie peut également se compliquer de choc septique. [303] :C A - Il ny a pas d’indication de dialyse rénale à 250 p mol/i de créatininémie. D - La sphinctérotomie endoscopique, pourrait permettre un drainage biliaire et une intervention ultérieure (s elle est possible) en cas de terrain à risque opératoire important (mais ce nest pas le cas ici). [304] :ADE Après cholédocotomie et extraction des calculs de la voie biliaire principale, le cholédoque est habituellement refermé et un drainage biliaire externe (drain de Kehr) est réalisé. Une anastomose biliodigestive, en général cholédocoduodénale, nest justifiée que s’il existe de très nombreux calculs dans une voie biliaire large, chez un malade âgé. [305] :C Le tableau clinique présenté par cette patiente est une occlusion intestinale aiguê. Létranglement herniaire en est la cause (tuméfaction douloureuse irréductible située sous la ligne 36 de Malgaigne). [306] :ACE Sans commentaire. [307] :BC C - En arrière. B - En dehors ; veine, puis artère. - en dedans : le ligament de Gimbernat au bord tranchant - en avant: l’arcade crurale. [308] :C C - Ce fait explique que lindication opératoire d’une hernie crurale soit formelle. [309] :B C’est une urgence chirurgicale, expliquée par le risque de nécrose du grêle étranglé. [310] :D Il s’agit dune hernie crurale étranglée habituelle, justifiant d’un traitement classique. [311] :D Le caractère sémiologique le plus typique de douleurs pancréatiques est l’irradiation transfixiante dans le dos. [312] :E L’échographie hépatobiliaire permet de distinguer les ictères avec voie biliaire principale dilatée (obstacle biliaire extrahépatique) et les ictères avec voie biliaire principale non dilatée (en général, ictère dont l’origine est une maladie hépatique). [313] :E L’ictère cholestatique explique la diminution du stercobilinogène fécal en raison de l’absence de bilirubine dans la lumière ntestinale. [314] :E Le mécanisme en est une malabsorption de vitamine K en raison de la carence d’acides biliaires dans la lumière digestive. [315] :BC Les tumeurs carcinoïdes se caractérisent par des taux de 5 HIAA urinaires (métabolite terminal de la sérotonine) supérieurs à 10 mg124 heures (52 p mo1124 heures), de sérotonine sanguine supérieurs à 0,25 mg/l (1,42 p molli). Le dosage de la sérotonine sanguine est d’un meilleur apport diagnostique ; il existe en effet des tumeurs carcinoïdes, souvent débutantes, où seule la sérotonine sanguine est élevée. [316] :C Les carcinoïdes appendiculaires sont les plus fréquents et sont découverts au cours de 0,6 p100 des appendicectomies, mais ils ne s’associent qu’exceptionnellement à un syndrome carcinoïde. L’intestin grêle représente la localisation principale de la tumeur associée au syndrome carcinoïde. [317] :D L’échographie et la tomodensitométrie sont les méthodes de choix pour la recherche de métastases. Le premier examen à réaliser, du fait de sa simplicité, est l’échographie. [318] :CD L’élévation du taux de Gamma GT et des phosphatases alcalines sont, dans l’ordre, les anomalies biologiques les plus sensibles évocatrices de métastases hépatiques. [319] :BCE Les principaux caractères des diarrhées motrices sont: le nombre élevé démissions contrastant avec un volume fécal quotidien modéré ; l’horaire matinal et post prandial précoce des selles ; leur caractère souvent impérieux précédé par des coliques ; la présence dans les selles de débris végétaux ; refficacité des ralentisseurs du transit; l’absence habituelle de retentissement sur l’état général. [320] :ABDE La principale étiologie des diarrhées d’origine endocrinienne est l’hyperthyroïdie. Plus rarement en cause sont les tumeurs carcinoïdes (sécrétion de sérotonine) et le syndrome de Zollinger-Ellison (hypersécrétion de gastrine). Le syndrome de Verner-Morrisson (sécrétion de VIP) et le cancer médullaire de la thyroïde (thyrocalcitonine) sont exceptionnels. [321] :CE L’attitude thérapeutique à la phase initiale, dépend du degré de gravité, la constatation - d’une absorption d’un verre (150 ml) ou davantage d’acide fort ou de Destop® - de troubles psychiques confusionnels - de troubles de l’hémostase avec CIVD - dune dyspnée liée à une acidose (voir la radio-pulmonaire) - d’une perforation de l’oesophage (pneumomédiastin) ou de l’estomac (pneumopéritoine). amènent rapidement le patient en salle d’opération. [322] :ABCDE Tous gestes susceptibles d’aggraver les lésions ou de gêner l’exploration endoscopique. [323] :ABDE A - Témoin d’un pneumomédiastin par perforation 37 oesophagienne. B - Témoin d’une perforation gastrique. D - Témoins d’une pneumopathie d’inhalation associée, ou d’une fistule trachéo-bronchique. E - Le simple oedème laryngé répondra aux corticoïdes ; une destruction du carrefour obligera à une trachéotomie difficile. [324] :AE L’endoscopie haute est indispensable et doit être réalisée en urgence. Elle permet l’évaluation des lésions : de l’érythème et des pétéchies, à la nécrose, en passant par les ulcérations (et peut servir à évacuer le produit caustique restant le cas échéant dans l’estomac). [325] :E E - Est de toute façon indispensable, qu’une indication opératoire soit posée ou non, mais elle pourra être remplacée par une nutrition entérale par jéjunostomie. [326] :ABC Une corticothérapie parentale administrée d’emblée semble utile pour prévenir les sténoses sauf dans les brûlures graves ; où elle majore les risques de perforation et d’infection. [327] :AB Au début d’une hémorragie, les pertes de globules rouges et de plasma étant parallèles, rhématocrite se modifie peu ; et le taux de l’hémoglobine ou de l’hématocrite sous-estime donc l’anémie. Ultérieurement, rhémodilution compensatrice se produisant, il y a chute progressive de ces chiffres. Cela explique que la gravité d’une hémorragie se détermine initialement, essentiellement sur des critères cliniques. [328] :CD En vue d’une transfusion. [329] :C A partir du moment où la volémie est assurée, il faut compenser le déficit en globules rouges. [330] :E Une incompatibilité ABO se manifesterait plutôt par une hypotension accompagnée d’un saignement anormal du champ opératoire (CIVD). [331] :BC Tout incident au cours dune transfusion impose, de toutes façons, l’arrêt immédiat de celle-ci et le contrôle de la compatibilité transfusionnelle. [332] :ACE B - La CTF est élevée en cas de saignement chronqiue D - La réticulocytose, initialement élevée au début d’un saignement s’abaisse avec l’épuisement des réserves en fer. [333] :ABC A,B,C - Diminuent la pression du sphincter de l’oesophage, de même que les repas gras, l’alcool, le tabac, la théophylline, la nifédipine, les alpha-bloquants, les bêta sitmulants, les prostaglandines, la progestérone... D - Augmente, au contraire la pression du SlO. [334] :ABE - Ulcère oesophagien (à la jonction muqueuse malpighienne - muqueuse cylindrique) et sténose peptique sont les conséquences rares mais graves du reflux gastrooesophagien en fait de peu d’intérêt pour le diagnostic de greffe d’un hépatocarcinome sur cirrhose, sauf lorsqu’elle révèle un liquide hémorragique. [340] :C L’anémie étant bien tolérée, transfuser cette jeune femme serait une faute professionnelle. [341] :AcD Ces conseils, notamment la suppression de l’aspirine et l’arrêt du tabac, sont essentiels pour éviter les récidives ulcéreuses après traitement. [342] :ADE L’oméprazole est également un [336] traitement dont l’efficacité est :A remarquable ; aux doses de 40 Il ne faut pas confondre mg/jour ou 20 mg/jour, en décompensation (ictérocomparaison avec 150 mg x ascitique) d’une cirrhose et 2/jour de ranitidine ; on a les encéphalopathie hépatique. La pourcentages respectifs de cause la plus probable de décompensation est une poussée cicatrisation suivants d’hépatite alcoolique aigué ; une - à 4 semaines: 80 %, 69 %, 59 autre cause possible pourrait être % - à 8 semaines: 96 %, 89 %, 85 un carcinome hépato-cellulaire %. ou une thrombose portale. [343] C et D - Ne peuvent être :C responsable que d’une Une fibroscopie de contrôle est aggravation clinique aiguê ; et indispensable après traitement notamment d’une d’un ulcère gastrique, pour ne encéphalopathie hépatique. pas méconnaître un cancer à [337] forme ulcéreuse. :D [344] L’encéphalopathie hépatique :ABC ayant pour cause déclenchante B et C - L’indication opératoire une hémorragie digestive est évidente. (méléna) et vraisemblablement une infection (37°8) (infection du A - L’indication est posée en liquide d’ascite au premier chef). raison de l’échec du traitement médical, et pour ne pas laisser [338] évoluer une éventuelle lésion :C dysplasique. Le méléna témoigne d’une hémorragie digestive ; la fibroscopie oeso-gastro[345] :CD duodénale doit en déterminer l’origine (la rupture de VO. est la Plusieurs études ont montré la prévalence familiale des plus probable). cancers du colon et du rectum. [339] Une étude américaine a montré :D notamment que le risque de L’analyse du liquide d’ascite est (RGO). - Le RGO joue un rôle pathogénique dans la survenue d’un endobrachy-oesophage, mais on ne sait pas pourquoi seulement 10 % des patients atteints de RGO ont un endobrachyoesophage et si le RGO est initiateur ou seulement révélateur d’une anomalie préexistante. [335] :E A, B, C - La vagotomie ne règle en aucun cas le problème du reflux gastro-oesophagien, et elle risque d’altérer la vidange gastrique. 38 polype était de 21 % dans la fratrie des cancers coliques (étude faite sur trois générations) contre 9 % dans le groupe témoin. [346] :D Après détection et exérèse de polypes coliques, une coloscopie doit être prévue tous les ans, et ceci tant que des polypes sont retrouvés. Après la première coloscopie de contrôle normale, les coloscopies suivantes sont faites tous les 3, puis tous les 5 ans, à condition de ne pas retrouver de nouveaux polypes. [347] :D A - Dukes A. B - Dukes B ; Bi dAstler Coller. C - Dukes B; B2 dAstler Coller. [348] :C Une étude publiée récemment, portant sur 1296 patients opérés d’un cancer du colon au stade B2 ou C, a montré qu’un traitement chimiothérapique associant 5 EU et Lévamisole pendant i an diminuait la mortalité de 33 % et le taux de récidives de 41 % avec une médiane de survie de 3 ans, pour les stades C. [349] :A Ce traitement augmente en effet la médiane de survie, de façon significative. [350] :AB C’est surtout l’ancienneté de ces troubles qui fait évoquer ce diagnostic. [351] :ABC Le polype rectal, quant à lui, est trop petit (5 mm), pour se compliquer de rectorragies. Les causes les plus probables sont A ou LB ; les diverticules sigmoïdiens sont très rarement à l’origine de rectorragies qui sont alors très abondantes. [352] :C La coloscopie est indispensable pour rechercher une cause aux rectorragies (cancer colique ?) et pour dépister et enlever d’autres polypes. [353] :CD Cette régularisation du transit, très importante à obtenir dans les colopathies fonctionnelles avec constipation, doit exclure l’utilisation par la patiente de laxatifs agressifs pour la muqueuse colique. [354] :ABE Sans commentaire. [355] :E Chez cette patiente, il faut considérer qu’il existe un cancer colique jusqu’à preuve du contraire [356] :A Sans commentaire. [357] :D Sans commentaire. [358] :B Sans commentaire. [359] :C Sans commentaire. [360] :A Sans commentaire. [361] :ABC Le syndrome occlusif avec vomissements, arrêt des matières et des gaz, complète le tableau clinique. [362] :AC Il s’agit ici d’une forme habituelle où la hernie est engagée dans l’anneau crural, entre l’arcade crurale en avant, le ligament de Gimbernat en dedans, le 39 ligament de Cooper en arrière et les vaisseaux fémoraux en dehors. Le sac herniaire est alors situé en-dessous de l’arcade crurale. [363] :A Une hernie étranglée est une urgence chirurgicale. [364] :ABD A - Si le grêle contenu dans la hernie est indemne. B - Si le grêle est nécrotique ou reste douteux. C - A ne jamais pratiquer... D - En cas de fragment épiploïque contenu dans la hernie. E - Inutile, car le diagnostic est certain. [365] :ABE C et D - Ne sont pas des arguments car ils manquent trop de spécificité. [366] :BC E - Une vitaminothérapie K n’a pas d’indication en l’absence de déficit en vitamine K; cependant elle peut être réalisée de principe, en attendant les résultats de l’hémostase complète. [367] :ABC La sclérose de varices oesophagismes en urgence est la méthode la plus efficace. Si elle ne peut être réalisée en urgence dans de bonnes conditions, on a le choix entre sonde de Blakemore, ou selon les équipes, somatostatine ou vasopressine. [368] :C En fait, le traitement prophylactique des secondes récidives d’hémorragies digestives par rupture de varices oesophagisme est au mieux représenté par les scléroses endoscopiques des varices oesophagiennes. Le propranolol a montré une efficacité supérieure au traitement par scléroses endoscopiques seulement en prophylaxie primaire. [369] :BCD La sévérité et le pronostic d’une cirrhose est grossièrement évaluée à l’aide de la classification de Child-Pugh prenant en compte la bilirubine, l’albumine, la présence d’une ascite, d’une encéphalopathie et le T.P. [370] :AB La résection iléale entraîne une rupture du cycle entérohépatique des sels biliaires. Les sels biliaires non réabsorbés par liléon réséqué exercent une action irritante” au niveau du colon. Par ailleurs, la suppression de la valvule iléocaecale perturbe les conditions normales d’évacuation du grêle. On observe une accélération du transit global (et non uniquement colique, réponse D) ; de plus, la colonisation bactérienne rétrograde du grêle a des conséquences propres sur les sels biliaires. [371] :A La cholestyramine, administrée avant les repas, peut absorber les sels biliaires, dès leur arrivée en excès dans la dernière colique ; elle représente ainsi un moyen thérapeutique parfaitement adapté. [372] :AB C - Le toucher rectal permet parfois de palper des nodules de carcinose péritonéale, mais ce n’est en aucun cas un moyen de la rechercher. D - Le toucher rectal n’est A - Une cirrhose n’est à l’origine d’un ictère que si elle est compliquée (hépatite alcoolique ou virale, greffe carcinomateuse, infection...). B - La prise de Pexid a été brève, et elle est ancienne. C - Les métastases hépatiques donnent le plus souvent une cholestase anictérique, mais ce tableau est possible. D - Une hépatite B donnerait plus volontiers un ictère cytolytique que cholestatique. E - Une grosse vésicule n’est pas indispensable au diagnostic de cancer du pancréas, qui resterait le diagnostic le plus [374] probable. :CD [379] C - Coloscopie à la recherche :ABDE d’une récidive tumorale ou d’un A B D - Sont des signes nouveau cancer. biologiques habituels de D - Le dosage de l’ACE ne l’hépatite alcoolique. s’impose quen raison de C - Signerait une hépatite l’antécédent de cancer colique. alcoolique majeure, évoluant en [375] général vers la mort. :B E - Peut se voir en raison d’une Un ictère apparaissant fréquente baisse de progressivement et sans rémission, sans douleur ni fièvre, l’albuminémie. [380] avec une altération de rétat :BD général, une anorexie marquée, A - Parmi les anticoagulants un prurit et une vésicule augmentée de volume évoque au oraux, c’est la phénindione premier chef un cancer de la tête (pindione) qui est le plus souvent du pancréas. responsable d’hépatite. [376] B - Hépatites cholestatiques, :A avec manifestations L’échographie abdominale doit allergiques. être rexamen demandé de C - Peut en fait donner une première intention devant un cytolyse discrète ± cholestase. ictère cholestatique, afin de D - Hépatites cytolytiques déterminer si les voies biliaires sévères en cas d’intoxications sont dilatées. aiguês. [377] [381] :B :CE La cholestase, du fait de Les classes de laxatifs l’absence d’acides biliaires dans exposant à la maladie des la lumière intestinale, entraîne laxatifs sont: les une malabsorption des graisses anthraquinones bourdaine, et des vitamines liposolubles, séné, aloès, rhubarbe..., les dont la vitamine K. laxatifs issus du diphényl[378] méthane : à base de :E d’aucune utilité pour le diagnostic dhémoroïdes. [373] :D Le test au carmin évalue grossièrement la durée du transit intestinal. Après ingestion de deux comprimés de carmin à 0,50 g, une coloration rouge des selles apparaît normalement au bout de 20-24 heures et disparaît au bout de 48 heures. Ce test est utile pour confirmer une accélération du transit, en cas de diarrhée motrice, où la coloration rouge des selles apparaît en moins de 18 heures. 40 phénophtaléine ou de bisacodyl. [382] :C A - L’hypokaliémie constitue un signe éventuel de la maladie des laxatifs. B - Sont plus en rapport avec râge de la patiente et son statut hormonal. C - En raison de rhypokaliémie. D - Trop peu spécifique pour être évocatrice. [383] :ABD Au cours des constipations terminales, les patients éprouvent le besoin d’aller à la selle, mais ne peuvent évacuer ou évacuent avec difficulté. A l’opposé, au cours des constipations par inertie colique, les patients n’éprouvent pas le besoin d’aller à la selle pendant plusieurs jours. [384] :ABCD E - Les pansements gastriques à base de gel de magnésium, tendent plutôt à donner une diarrhée, à fortes doses. [385] :ACDE Le syndrome du périnée descendant est un trouble de la statique rectale caractérisé par la descente de l’angle anorectal à plus de 2 cm audessous de la ligne pubococcygienne. Il est responsable essentiellement d’une incontinence anale (C). Fréquemment, il est associé à d’autres troubles de la statique rectale: prolapsus rectal (E), procidence interne du rectum ou rectocèle à l’origine de constipation terminale (D) ou d’ulcère solitaire du rectum responsable de rectorragies (A). [386] :ABD La mélanose recto-colique réalise un aspect cuivré de la muqueuse, en plages plus ou moins confluentes et témoigne de la prise régulière d’anthraquinone. Sur le plan histologique, le chorion comporte des histiocytes contenant des pigments mélaniques et lipofuschinique. Cet aspect peut régresser à l’arrêt de l’intoxication. [387] :DE Examen de la marge anale et toucher rectal sont les gestes indispensables de l’examen clinique à la recherche d’une lésion locale ayant saigné. [388] :ABD L’échographie endorectale est l’examen le plus performant pour objectiver une atteinte des différentes couches de la paroi rectale, un envahissement de la graisse périrectale ainsi que des ganglions ou des organes de voisinage. C’est un temps essentiel du bilan des cancers du rectum. Le toucher rectal n’en donne pas moins limportants renseignements : degré de mobilité de la tumeur, existence d’une infiltration de la graisse avec induration périrectale... [389] :B Question un peu discutable Lorsque le pôle inférieur de la tumeur est situé à plus de 8 cm de la marge anale, une résection antérieure avec rétablissement de la continuité peut être réalisée. Lorsque le pôle inférieur de la tumeur est situé à moins de 6 cm, l’amputation abdominopérinéale s’impose. Entre 6 et 8 cm, en fait, on peut envisager une résection rectale suivie d’anastomose très basse à la pince ou suivie d’anastomose colo-anale transanale (Parks), sauf si la tumeur est trop volumineuse (mais la radiothérapie pré-opératoire peut permettre de la réduire). 41 [390] :A A - Le cancer ne dépasse pas la musculeuse. Il ny a pas d’envahissement ganglionnaire. B - Le cancer s’étend au-delà de la musculeuse, sans envahir les ganglions. C - Envahissement ganglionnaire. [391] :ACD A - A évoquer de principe. C - Affection rare, autosomale récessive, liée à un trouble de l’excrétion biliaire de bilirubine conjuguée. La proportion de bilirubine conjuguée varie entre 40 et 80 %. D - Type I : maladie des premiers jours de la vie (déficit total en glucuronyl transférase). Type Il: affection rare, autosomale dominante due à un déficit profond en glucuronyl transférase (en quelque sorte, forme très sévère de maladie de Gilbert). E - Rare, ictère à bilirubine conjuguée (défaut de captation et de stockage de la bilirubine dans rhépatocyte). [392] :B Le jeûne entraîne une élévation de la bilirubine sérique (épreuve de provocation). L’administration d’un inducteur enzymatique comme le phénobarbital (mais aussi à un moindre degré le méprobamate) entraîne une diminution de la bilirubine sérique en augmentant l’activité de la glucuronyl transférase existante. [393] :AD A - Maladie hémolytique (sphérocytose). B C E - Elévation de la bilirubine conjuguée. [394] :AE A - Les ictères à bilirubine non conjuguée n’entraînent jamais de bilirubinurie. L’urobilirubinurie est augmentée en cas d’hémolyse pouvant donner des urines oranges ; elle est normale en cas d’anomalie de la glucuronyl transférase. B - La bilirubine peut passer la barrière méningée, et du fait de sa liposolubilité, pénétrer dans les cellules cérébrales du nouveau-né exclusivement, et être ainsi à l’origine de l’ictère nucléaire. E - La bilirubine sérique est normalement de 5 à 17 mmol/l, presque entièrement sous forme non conjuguée. [395] :DE A - Le retentissement de la maladie de Gilbert est trop minime pour justifier ce traitement. D - Le diagnostic est clinique et biologique : élévation isolée de la bilirubine libre sans stigmates d’hémolyse. E - Transmission autosomale dominante. [396] :ACD B - Signe une cytolyse hépatique. E - Signe habituellement une insuffisance hépato-cellulaire. [397] :C L’échographie hépatique et des voies biliaires est l’examen le plus simple et le plus utile, il répondra d’abord à une question simple : les voies biliaires sont-elles dilatées? [398] :BC A - Non, car il s’agit d’un ictère cholestatique. D - Non, car le foie est de consistance normale et car un tel ictère est rare dans ces cas. E - Non, car la patiente a été cholecystectomisée il y a plusieurs années. [399] :C C est le seul moyen de confirmer un éventuel ampulome vatérien, en le visualisant et en effectuant des biopsies. [400] :AE En fait cette patiente présente déjà très vraisemblablement une angiocholite (infection des voies biliaires). Il est à craindre une septicémie à colibacille et un choc septique. [401] :AD A - Signe d’une polynévrite éthylique. B E - Non spécifique. C - La dyschromatopsie dune névrite optique rétro-bulbaire, est en fait plus liée au tabac qu’à ralcool. [402] :D Il s’agit d’une hyperlipidémie de type IV (triglycérides VLDL) liée à l’alcoolisme. L’alcool inhibe l’oxygénation des acides gras, qui sont donc formés en excès et estérifiés pour former des triglycérides. L’arrêt de l’intoxication éthylique doit permettre de normaliser le bilan lipidique; il n’y a pas d’autre mesure à prendre. [403] :D La constatation d’une tension artérielle élevée à une prise tensionnelle n’est pas suffisante pour débuter un traitement antihypertenseur. Il faudra contrôler la tension artérielle à plusieurs reprises. [404] :A Cette grille comporte 12 cases disposées sur 2 lignes. La première regroupe 6 signes objectifs : aspect du visage, conjonctive, langue, signes du tremblement (bouche, langue, 42 extrémités). La deuxième ligne estime les troubles subjectifs intéressant l’appareil nerveux (insomnie, cauchemar...), les troubles digestifs (soif, brûlures gastriques...), l’appareil moteur (crampes...). Les trois autres cases permettent de noter l’état du foie, de la T.A., du poids. L’évolution dans le temps permet de fixer un certain nombre de stades de dépendance. [405] :D Il s’agit d’une anémie de Biermer typique : anémie macrocytaire arégénérative (VGM en p3 = Uf(Ht;GR en millions) x 10 = 122 j3) avec baisse des autres lignées sanguines. La vitamine B12 est basse. De plus, on a une clinique évocatrice avec une vraisemblable glossite de Hunter et des signes neurologiques sensitifs. [406] :BDE D - Les mégaloblastes peuvent disparaître en moins de 48 heures. Les myélocytes et métamyélocytes géants persistent. E - Le test de Schilling est faussé en raison du cycle entéro-hépatique de la vitamine B12 injectée, qui est excrétée par la bile et qui se trouve ensuite en compétition avec la vitamine B12 marquée dans riléon. [407] :E Il s’agit d’un traitement à vie ; on pourrait rédiger l’ordonnance ainsi Vitamine B12, 1000 gamma 1M tous les jours pendant 10 jours puis une injection tous les mois de 1000 gamma 1M (en fait 100 gamma suffiraient). [408] :BC A E - Ne sont pas modifiés par le traitement. D - Les signes neurologiques régressent très lentement. [409] :B Une fibroscopie gastrique devra être faite régulièrement tous les 6 mois à 1 an pour dépister un cancer gastrique favorisé par la gastrite atrophique fundique. 43 Hématologie [1] :C Sans commentaire. [2] :E Transformation presque inévitable, avec survie brève. [3] :D Il s’agit de la voie exogène de la coagulation. [4] :ACE B - Purpura secondaire à la thrombopénie D - Purpura très rare, secondaire aux troubles de l’hémostase. [5] :BDE B - Signe dhyperviscosité. D - Par hyperviscosité. E - Par thrombopathie. [6] :C 2 - Il s’agit d’un trouble de l’agrégation plaquettaire (nombre de plaquette normal). 4 - Il s’agit d’un purpura vasculaire à hémostase primaire normale. [7] :D Il s’agit d’une polyglobulie avec signes fonctionnels indiquant un traitement d’urgence par saignée, d’autant que le chiffre des plaquettes est < à 800 000 (thrombocytose post saignée, facteur de thrombose). [8] :A Les localisations les plus fréquentes sont ORL et digestives (fonction de la richesse en éléments lymphoïdes). [9] :C A - Les leucémies aiguès lymphoïdes et non myéloblastiques sont plus fréquentes. B - C’est une caractéristique des leucémies aiguês lymphoblastiques. C - Complication de pronostic très sombre, très peu sensible aux traitements. D - Faux; caractéristiques des LAM1, LAM2, LAM3. [10] :B A - Surveillance du traitement par AVK (peu utilisé). B - Doit être compris entre 1,5 et 2,5 fois le témoin. C - Surveillance du traitement par AVK. D - Concerne les traitements antiagrégants. Non utilisé couramment. E - Etudie la formation des caillots. [11] :CE C - Argument diagnostique majeur mais inconstant. D - Oriente vers une cause secondaire de purpura (et non vers un purpura thrombopénique idiopathique). E - Signe classique des anémies hémolytiques. [12] :ABE A - Classique. B - Idem. C - Donne une anémie et non une aplasie. D - Ne donne pas d’aplasie, mais une insuffisance médullaire par envahissement. E - Complication gravissime des hépatites virales B ou non A non B. [13] :A 1 - Allonge le TT, le TP et le TCA (touche la phase finale, commune). 2 - Déficit en facteur VIII et IX touchant la voie endogène. 3 - Oui, mais ne sert pas de surveillance. 1 4 - Concerne l’hémostase primaire. [14] :B A - Diminue l’action des AVK par hypercatabolisme B - Par perturbation de l’hémostase primaire et déplacement des AVK liés aux protéines plasmatiques. [15] :B Sans commentaire. [16] :B Oriente vers une cause secondaire. [17] :BDE A - Non, anémie normo ou macrocytaire (par régénération). B - Permet le diagnostic différentiel avec les anémies immuno allergiques. C - Anémies par carence martiale et inflammatoire. D - Caractérise la régénération présente dans I’AHAI. E - Conséquence de l’hémolyse extra-vasculaire. [18] :ACE B - Au contraire, persiste à la vitropression. D - Sans relation. [19] :ADE Le VII et le X peuvent être abaissés dans la CIVD, mais ne permettent pas de la différencier de la fibrinolyse. [20] :C 1 - Entraîne une hyperleucocytose. 2 - Classique. 3 - Classique. [21] :D Etiologie des carences en vitamine B12 - Malabsorption prolongée: * Biermer, * Gastrite atrophique, * Gastrectomie totale, * Résection iléale, * Pullulation microbienne intestinale, * Consommation par Bothriocéphales, - Carence dapport: *régime végétarien strict pendant des armées (rare). [22] :D A - TS augmenté, TCA augmenté. B - TCA augmenté. C - TCA augmenté. D - TCA augmenté, TP augmenté (facteurs communs aux deux voies). [23] :C L’immunisation rhésus résulte du contact d’hématies foetales rhésus positif avec le sang dune mère rhésus négatif. [24] :D VGM = Ht/GR = 120 p3. CCMH = Hb/Ht = 0,33. [25] :AD Sans commentaire. [26] :BD A - Pas d’anomalie de l’hémostase. B - TS allongé par déficit en facteur Willebrand. C - Pas d’atteinte de l’hémostase primaire. D - Régressive après dialyse. E - Hypovitaminose K. Pas d’atteinte de l’hémostase primaire. [27] :BCDE A - Plus fréquente chez le sujet âgé. B - Témoin d’une insuffisance médullaire. C - Contrairement aux L.A. lymphocytaires. D - Evocateur de promyélocytes (association avec CIVD). E - PAS (LAL = PAS +, peroxydase -). [28] :B Sans commentaire. [29] :D Sans commentaire. [30] :C Le TCA doit être maintenu entre 1,5 et 2,5 fois le témoin pour obtenir une hypocoagulabilité satisfaisante. [31] :E Se normalise en 3 mois environ, sinon impose la poursuite pendant un mois du traitement martial. [32] :BD Facteurs vitamino K dépendants = Il, VII, IX, X. [33] :CE A - N’est pas un argument d’orientation. B - Idem (signe fonctionnel de PG). C - Argument clinique majeur mais non constant. D - N’est pas un argument d’orientation. E - Elément du syndrome myéloprolifératif, peut s’accompagner d’une hyperleucocytose, avec myélémie discrète, basophilie modérée possible. [34] :ABCE D - Affecte l’hémostase primaire et non la voie intrinsèque de coagulation. [35] :D 1-Sans rapport. 2 - Peut donner des déficits en facteurs de la coagulation mais ne concerne pas l’hémostase primaire. 2 3 - Sans rapport. 4 - L’aspirine est antiagrégant plaquettaire. [36] :A 4 - Définit l’hémophilie mineure (5 - 25 %), hémophilie majeure: taux de facteur < 1%. [37] :E Ils sont présents essentiellement dans les types Ml, M2 et M3 en fagots (leucémies aiguès promyélocytaires). Ils sont absents des myéloblastes normaux. [38] :ABC Ainsi qu’au cours des infections bactériennes, des inflammations, lors de toutes régénérations médullaires, des métastases médullaires de cancer, des syndromes myéloprolifératifs avec de la myélofibrose. D - Stade III : Pas datteinte médullaire. [39] :AE A - Coagulopathie de consommation, entre autres des plaquettes. B - Pathologie de l’agrégation plaquettaire. C - Pas d’atteinte de l’hémostase primaire, thrombose en rapport avec un déficit génétique. D - Hémostase primaire normale. E - Thrombopénie avec plaquettes géantes, conséquence du défaut de synthèse d’ADN.. [40] :BD A - Traitement des leucémies myéloblastiques et non lymphoblastiques. B - Est obligatoire pour obtenir une rémission complète. C - Le jeune age est un facteur de bon pronostic et permet dobtenir jusqu’à 80 % de rémission. D - Nécessite un recul de 5 ans. [41] :ACD La thrombocytose lors de rhémorragie aigué témoigne de rhyperactivité médullaire. [42] :ABDE C - Est observé habituellement dans les splénomégalies myéloïdes. [43] :A 4 - Fait partie de la voie extrinsèque, explorée par le temps de Quick, les autres font partie de la voie intrinsèque de la coagulation. [44] :D Il s’agit d’un déficit constitutionnel qualitatif ou quantitatif en facteur Willebrand, qui permet l’adhésion des plaquettes au sous-endothélium. La ristocétine mime le sous endothélium et permet de mesurer l’activité biologique du facteur Willebrand. [45] :A La LLC touche de façon prédominante les hommes de plus de 50 ans, avec une altération de l’état général modérée, des polyadénopathies diffuses, une moelle riche avec infiltration lymphocytaire, et comporte des complications infectieuses liées au déficit immunitaire cellulaire et humoral. [46] :C Variable de 1 à 10 ans, en moyenne 4 ans. [47] :D Réversible en général en 10 jours, mais parfois mortelle. Mécanisme immunoallergique: Avafortan, Baralgine, Algobuscopan, Viscéralgine forte. [48] :BC A - Sans rapport. B - Lieu cUabsorption de la vitamine B 12 et du facteur intrinsèque. C - Par défaut de sécrétion du facteur intrinsèque. D - Sans rapport. E - Non, mais rinfestation par le Bothriocéphale est une cause. [49] :CE A.B. - Se voient dans la maladie de Willebrand C - Le déficit en facteur VIII n’affecte pas la voie exogène D - Explore la fibrinoformation E - Déficit en facteur VIII retentit sur la voie endogène et allonge le TCA. [50] :E A - Pas d’atteinte préférentielle des sexes. B - Il s’agit d’un purpura déclive, touchant les membres inférieurs, pétéchial, symétrique, favorisé par l’orthostatisme avec éléments d’âges différents, parfois associé à de l’oedème. C - Non, favorisé. D - Non, il s’agit d’un purpura vasculaire. E - Oui, et se compliquer d’hémorragies digestives. [51] :AB A - Ou purpura thrombotique thrombocytopénique chez l’adulte (SHU chez l’enfant. n s’agit d’une microangiopathie thrombotique. B - Le purpura vasculaire est un des symptômes les plus fréquents. C - Pas de modification de l’hémostase primaire. D - S’accompagne de télangiectasies et non de purpura. E - Pas de modifications de 3 l’hémostase primaire. [52] :D C’est aussi un co-facteur de l’héparine. [53] :C Par perte des fonctions de stockage essentiellement plaquettaires. [54] :C Polyglobulie primitive appartenant aux syndromes myéloprolifératifs. Les complications propres à la maladie sont les thromboses par hyperviscosité sanguine 1) Artérielles (cérébrales, coronaires, rétiniennes, membres inférieurs). 2) Veineuses (mésentériques, rénales, membres inférieurs, Budd-Chiari) - hémorragies muqueuses ou viscérales - complication de l’hyperuricémie - HTA - l’ulcère gastroduodénal est plutôt une association qu’une complication. Les deux grands risques évolutifs sont I) L’acutisation (favorisée par le Phosphore 32). 2) La myélofibrose avec métaplasie hépato-splénique. [55] :D Ponction iliaque chez l’enfant, sternale chez l’adulte, montre un frottis très riche avec infiltration majeure par prolifération homogène de blastes. Le reste des lignées est en faible pourcentage. La L.A est affirmée pour une valeur de 30% de blastes. Si le frottis est pauvre, la BM est parfois nécessaire. Elle permet en outre un caryotype, et de préciser le type cytologique en cause. [56] :C Définition des stades topographiques de gravité croissante ayant un intérêt pronostique thérapeutique. - Un territoire ganglionnaire atteint Il - Deux territoires ou plus, d’un même coté du diaphragme; 11(2) : deux territoires. 11(3+): trois ou plus. III - Atteinte sus et sous diaphragmatique limitée au tissu lymphoïde (amygdale et rate en font partie). IV - Atteinte viscérale (extralymphoïde) poumon, foie, moelle, os. [57] :C A - Atteinte osseuse nécessitant une laminectomie en urgence. B - Dépression de l’immunité cellulaire, l’immunité humorale est conservée, mais il existe complications auto-immunes. C - Fait partie du tableau des L.A. à promyélocytes. D - Complications infectieuses ou atteinte tumorale. E - Participe aux critères d’évolutivité de la maladie. [58] :C Répartition dans l’organisme I) Fer héminique - hémoglobine (75% du fer total), 1 litre de sang = 0,5 gr de fer - myoglobine 5% - enzyme = 0,5%. 2) Fer non héminique, Fer de réserve: - hémosidérine (lentement disponible) - ferritine (rapidement disponible en fonction des réserves) contenue dans le foie, la rate, la moelle) - fer plasmatique: 0,1% lié à la transferrine. [59] :C Agranulocytose par mécanisme immunoallergique. [60] :E Les anticorps présents dans le plasma d’un sujet sont ceux qui correspondent aux antigènes que ne possèdent pas l’hématie. Par ailleurs, il n’existe pas d’anticorps anti-O. La substance H est régulée par un système génétique indépendant (précurseur intermédiaire). [61] :ABC Acutisation progressive ou brutale, évoquée devant une fièvre, une altération de l’état général, un prurit, une augmentation de volume de la rate ou du foie, des signes évocateurs de localisation blastique (douleurs osseuses, adénopathies, nodules cutanés). L’affirmation du diagnostic est biologique, définie par la présence de plus de 30% de blastes dans le sang ou dans la moelle. B - Fait partie du syndrome tumoral. D - Dépend de l’insuffisance médullaire liée à l’envahissement blastique. E - Complication métabolique liée à toute hypercellularité. [64] :E A - Argument clinique majeur en faveur du Vaquez devant une polyglobulie. B - Permet le diagnostic de polyglobulie vraie si supérieur à 32m1/cg chez la femme, 36m1 chez l’homme. C - Fréquente dans ce syndrome myéloprolifératif. D - Par impossibilité de formation de rouleaux érythrocytaires responsables de la sédimentation. E - Evocateur dune polyglobulie secondaire. [65] :E A - Envahissement blastique. B - Anomalie de synthèse et de maturation des précurseurs (moelle riche). C - Envahissement [62] métastatique. :C 1) Temps d’lvy allongé, par déficit D - Anomalie de synthèse et de qualitatif ou quantitatif en facteur maturation avec moelle riche, possibilité d’évolution vers Willebrand, jouant un rôle l’envahissement blastique. dans l’adhésion des plaquettes E - Anémie hémolytique au sous-endothélium. constitutionnelle corpusculaire, 2) TCA peut être normal en cas autres lignées non touchées. de déficit qualitatif. [66] 3) Agrégation anormale à la :AC ristocétine (qui mime le sous A - Syndrome tumoral endothélium). Quantité blastique. quantifiable B - Reflète l’hypercellularité, en pourcentage. L’agrégabilité non spécifique de l’acutisation. est normale avec les autres C - Signe évocateur de agents (ADL, collagène). transformation. 4)11 est normal s’il s’agit d’un D - L’acutisation est définie par déficit qualitatif. l’augmentation des blastes (et [63] non des myélocytes). :C E - Complication évolutive de la La L.A. est définie par une prolifération blastique médullaire L.M.C. en phase chronique. [67] supérieure à 30 %. :E A - N’est pas constant. 4 Le temps de saignement explore l’hémostase primaire, il est influencé par la quantité (I) et, qualité (2) des plaquettes, leur agrégabilité(3) (modifiée par les traitements par aspirine), l’état du sousendothélium, deux protéines plasmatiques, le facteur Willebrand et le fibrinogène (4). [68] :E A - Non, hématocrite normal. B - Non, hématocrite normal. C - Non, taux d’hémoglobine normal. E - Le calcul du VGM HE/GR permet de mettre en évidence une pseudopolyglobulie microcytaire. évocatrice de thalassémie hétérozygote ou mineure. A - Donne des thrombocytoses Principales étiologies des myélémies - polynucléoses neutrophiles réactionnelles (infection, inflammation), - régénération médullaire, - métastase médullaire de cancer, - syndrome myéloprolifératif, - myélofibrose. [74] :ABC Les adénopathies n’existent que lors de l’acutisation. Les autres complications sont la rupture de la rate, les thromboses artérielles ou veineuses, les hémorragies, l’insuffisance médullaire, la myélofibrose, et enfin, l’acutisation et les complications liées au traitement. [75] :ABC [69] Ainsi que les infections :A bactériennes, le tabac, les Besoins quotidiens: 2 à 4 corticoïdes, le lithium, microg/jour, couverts par l’adrénaline, la splénectomie, les régime équilibré. Lieu de régénérations médullaires, les réserve: le foie. cancers profonds, Hodgkin et [70] LNH, les maladies métaboliques :E et inflammations, les nécroses A C - Macrocytose associée à tissulaires, les syndromes une anémie. myéloprolifératifs et chez le B - Anémie microcytaire. nouveau-né. D - Non nécessaire dans ce [76] contexte clinique évocateur. :BD [71] A - Uniquement si thrombopénie :D Diagnostic le plus vraisemblable profonde et/ou symptomatique. B - Permet d’apprécier le risque en raison de l’âge, de la de saignement méningé Doit diffusion des lésions, de l’absence cUaltération de l’état s’associer à la recherche de bulles intra buccales général. hémorragiques pour apprécier la [72] gravité. :E A - Evocateur d’anémie quelque C - Uniquement en fonction de l’étiologie. soit la cause. D - Premier geste à visée B - Sans rapport. C - Anémie macrocytaire et non diagnostique (permet de différencier les atteintes centrales microcytaire comme au cours et des carences martiales.. périphériques). D - Taux normal. E - Valeur normale = 30 à 40%. E - Uniquement si origine périphérique (après avoir fait D). [73] :BCD 5 [77] :D 1- Lieu de synthèse inconnu, parfois augmenté dans les grandes insuffisances hépatiques. 2 - Vitamine K dépendant. 3 - Vitamine K dépendant I synthétisés dans le foie. 4 - Non Vitamine K dépendant [78] :C A - Fait partie du tableau initial. B - Argument du diagnostic initia.l C - Spécifique de la maladie, l’apparition de nouvelles anomalies fait craindre racutisation. E - Non évocateur. [79] :E A - Insuffisance médullaire avec anémie. B - Ainsi que les lymphomes ou la maladie de Waldenstrôm. C - Anémie peu fréquente dans le tableau initia.l D - Atteinte de I’érythropoïèse. E - A rechercher systématiquement devant D AHAI. [80] :CE A - Pas de régénération, micro ou normocytose. B - Pas de régénération, normocytose, normochromie. D - Anémies normocytaires ou macrocytaires arégénératives (hypophyse, thyroïde). [81] :BD A - Anémie modérée, hyperleucocytose, plaquettes normales ou augmentées (en phase chronique). C - Anémie microcytaire, GB normaux, thrombocytose. E - Anémie discrète, hyperleucocytose modérée, thrombocytose modérée possible. [82] :BCD Ainsi que les infections, maladies inflammatoires, le lithium, l’adrénaline, la splénectomie, les régénérations médullaires, les cancers, les lymphomes, les maladies métaboliques, les nécroses tissulaires, les syndromes myéloprolifératifs, chez les nouveaux-nés ; au cours de la grossesse et des règles. [89] :ABE A - Il s’agit de 2 gènes différents (synthèse du facteur vm et IX). B - Les femmes ayant un enfant atteint (male) peuvent être hétérozygotes (XXh) ou malades (XhXh). C - Si, si la femme est conductrice ou malade. D - Pas d’explication actuellement à l’apparition d’hémophiles dans des familles sans antécédents hémorragiques. E - L’expressivité de l’affection est très variable, et parfois indétectable. [90] :ABDE A - Signe presque constant. B - A évoquer devant une splénomégalie, une pancytopénie [86] et des adénopathies au même :E Par définition. Pour la femme, la titre qu’une hémopathie. maligne chez les sujets issus de zones valeur est de 32 mI/kg. géographiques concernées.. [87] C - Au contraire, oriente vers une :B A - Insuffisant en cas d’accident cause secondaire de purpura. D - Qui peut elle-même être la grave. cause d’anémie, de leucopénie et B - Apporte tous les facteurs vitamino K dépendants. Dose = de thrombopénie par hypersplénisme. 0,15 à 1 ml/kg. Correction E - Peut exceptionnellement presque immédiate du TP. On donner lieu à des ruptures de peut utiliser du plasma frais congelé en deuxième intention rate atraumatique. [91] (absence du premier). :BCDE C - Voie incontre-indiquée. B - Purpura pétéchial souvent en Patient sous anticoagulant. relief. Existence d’éléments D - Non, administration IV. Ne d’âges différents, d’érythème, corrige le TP que de façon d’urticaire, d’oedème retardée. inflammatoire. Pas d’hémorragies E - Antidote de l’héparine. muqueuses associées.. [88] :BCD A - Permet d’éviter le désamorçage de la pompe cardiaque dans les grands hypovolémies B - Solutés macromoléculaires puis sang groupé. C - En raison de la perte parallèle globules/plasma. D - En raison du stress. E - Non, environ 500 mg soit 0,5 g. [83] :ABC Ainsi que la carence martiale, les cancers, les régénérations médullaires, le stress, l’exercice les maladies inflammatoires ou infectieuses. [84] :C A - Pas de purpura. B - Purpura extrêmement rare. [85] :D Il s’agit d’une anémie (Hb = 7,7 gr/DL) normochrome car CCMH = Hb/HT = 0,33, macrocytaire car VGM = HtIGR>100 ; arégénérative car les réticulocytes sont < 150 000/mm3. 6 C - Définition du purpura. D - Proche des grosses articulations des membres inférieurs, bilatéral, grossièrement symétrique, évoluant par poussées favorisées par l’orthostatisme. E - Gonflement et arthralgies des grosses articulations des membres inférieurs, mobiles et fugaces. [92] :BCD A - Tableau de polyadénopathies dans un contexte infectieux avec asthénie et douleurs diffuses. B - A évoquer chez tout sujet transplanté. C - Mode de découverte fréquent. D - Moins fréquent que le Hodgkin. E - Polyadénopathies, fièvre et asthénie. [93] :BD En premier lieu : tube digestif puis sphère ORL, puis viennent la peau, les testicules, la thyroïde, le cerveau, les glandes salivaires. [94] :A La polyglobulie est secondaire à rhypoxie tissulaire corrigeable par oxygénothérapie. Les saignées ne sont qu’exceptionnellement utilisées (en cas d’hyperviscosité menaçante). [95] :A Par définition, ragranulocytose médicamenteuse est une atteinte de la lignée granuleuse par toxicité et expose le sujet à toutes les atteintes bactériennes en raison du type de cellule concernée. [96] :D Devant un TCA allongé avec TP normal, évoque un déficit en facteur VIII (hémophilie A) puis, si le VIII est normal, en facteur IX (hémophilie B). [97] :B A - Avec immunité humorale conservée, cellulaire déprimée. B - La plus fréquente, parfois associée à une thrombopénie immunologique. CDE - Ne fait pas partie des complications de ces affections. [98] :ABD A - Apparaît après baisse de la ferritinémie. B - Après baisse du fer sérique. C - Anémies inflammatoires. D - Première anomalie dans la constitution de l’anémie. E - Pas de rapport. [99] :AD A - Purpura pétéchial, parfois maculopapuleux,déclive, parfois associé à des érythèmes, plaques urticariennes, oedèmes inflammatoires. B - Peut s’accompagner d’arthralgies ou d’oedèmes articulaires et non d’hémarthrose. C - Pas d’anomalie de l’hémostase. D - Fait évoquer une invagination intestinale aiguê, une sténose duodénale, une perforation intestinale. [100] :D La macrocytose isolée ne nécessite aucune exploration complémentaire et se traite par sevrage alcoolique en quelques mois. [101] :E Lachlorhydrie gastrique est la cause et non la conséquence de la carence en vitamine B12 observée au cours du Biermer, ceci par le biais du défaut de sécrétion de facteur intrinsèque consécutif à la gastrite. L’anomalie de l’hémogramme qui disparait le plus tardivement est la polysegmentation des leucocytes. [102] :C L’anémie inflammatoire est initialement normochrome, normocytaire, arégénérative. Elle devient ensuite microcytaire (le diagnostic différentiel avec l’anémie par carence martiale se fait alors à l’aide du coefficient de saturation de la sidérophilline et le dosage de la férritinémie). [103] :C Régénération si réticulocytes > ou égal à 120 à 150 000/mm3 [104] :ABE A - Touche les paumes, les muqueuses, le visage. B - Classiquement déclenché par l’eau. C - Ne fait pas partie du tableau. D - Evoque un polyglobulie secondaire. E - Elément clinique majeur du diagnostic, mais inconstante. [105] :D Sans commentaire. Définition. [106] : BE A - Normo ou microcytaire. B - Dysmyélopoïèse par défaut de synthèse de l’ADN. Diminution des mitoses et macrocytoses. C - La baisse de l’érythopoïétine entraîne une anémie normocytaire normochrome arégénératrice. D - Polyglobulie normocytaire. E - Macrocytose associée à une augmentation des Gamma GT. [107] :CD A - Microcytaire. B - Normo ou microcytaire. C - Défaut de synthèse de l’ADN. 7 D - Associée à une augmentation des Gamma GT. E - Normocytose. [108] :BE Les cinq antigènes principaux du système rhésus sont D C, c, E, e. Il n’y a pas d’anticorps anti d (d signifie = absence de D). Le sujet s’immunise contre les antigènes qu’il ne possède pas. [109] :C I) Thrombopénie immunoallergique. 2) Granulopénie. 3) Antiagrégant plaquettaire. 4) Granulopénie.. [110] :E L’hyperleucocytose modérée avec inversion de la formule sanguine et hyperlymphocytose composée de lymphocytes normaux, de grands mononucléaires bleutés (hyperbasophiles), avec hémoglobine et plaquettes normales font évoquer le diagnostic de mononucléose infectieuse (sans complication auto-immune). La MNI peut parfois simuler une leucémie aiguê (angine, adénopathies, hyperleucocytose avec cellules d’allure blastique ; prennent alors toute leur valeur, la qualité du cytologiste et le respect des autres lignées. En cas de doute persistant, un myélogramme est nécessaire. [111] :E c’est un symptôme fréquent, le plus souvent bien toléré car d’installation progressive, lié à plusieurs mécanismes: - diminution de synthèse de l’érythropoïétine - hémolyse extra-corpusculaire par accumulation de produits toxiques normalement épurés par le rein - peuvent aussi intervenir: carence en folates, carence en fer. [112] :B La grossesse peut entraîner deux types principaux d’anémie: 1) Hypochrome et hyposidérémique par carence en fer. 2) Mégaloblastique, par carence en acide folique. Elle ne donne pas de carence en vitamine B12. [113] :E Il s’agit d’une pseudopolyglobulie microcytaire hypochrome évoquant une thalassémie mineure (ou “trait thalassémique”) dont le diagnostic se fait sur l’électrophorèse de l’hémoglobine. A - La définition est donnée par la mesure de la masse globulaire totale: > 36m1/kg chez l’homme, >32m1/kg chez la femme. B - Donne une augmentation de l’hémoglobine, du nombre de globules rouges, sans variation du VGM. c - Sans rapport. D - Donne une anémie normochrome, normocytaire, (VGM normal) régénérative. [114] :C En dehors des étiologies ne nécessitant pas de ponction sternale (alcoolisme chronique, insuffisance thyroïdienne ou antéhypophysaire), la découverte d’une anémie macrocytaire non régénérative impose la pratique d’un myélogramme à la recherche d’une étiologie carentielle (folates ou B12) ou non (anémies réfractaires, chimiothérapies, congénitales). [115] :ABCDE :C Il est donc nécessaire d’effectuer une injection toutes les 8 heures, lors des traitements curatifs. [118] :D VGM = HtINb GR = 120 i• CCMH = Hb/Hte= 0,33. Il s’agit donc d’une anémie normochrome (CCMH entre 30 et 36%) et macrocytaire (VGM > 100 p3). [119] :C C Les sources alimentaires sont les légumes verts, les fruits, le foie. Le stock hépatique est épuisable en quelques mois. Les apports alimentaires couvrent largement les besoins [116] quotidiens (50 à 100 pgr) mais :A la croissance, la grossesse, la 1 - C’est une maladie “de la retraite” touchant l’adulte de plus lactation les majorent. [120] de 50 ans le plus souvent, :ABD n’existant pas chez l’enfant. A - A partir du 2ème trimestre, 2 - C’est un syndrome lymphoprolifératif par prolifération le volume plasmatique et le volume globulaire augmentent, monoclonale des lymphocytes mais le premier plus vite que le matures de type le plus souvent second, entraînant une B. “anémie” fausse, physiologique. 3 - Ce sont des éléments de B - Etiologie classique avec mauvais pronostic. augmentation du volume 4 - Les complications possibles plasmatique et une baisse du sont: - avant tout, les infections (cause taux première de la mortalité), liées au d’hémoglobine sans anémie vraie, liés à Ihyperprotidémie déficit immunitaire de la importante (immunoglobuline maladie et à l’insuffisance monoclonale). médullaire C - Au contraire, risque - les infiltrations tumorales d’hémoconcentration par - les complications de déshydratation extracellulaire. l’insuffisance médullaire D - Par augmentation parfois - rhypersplénisme - les complications auto-immunes considérable du volume plasmatique. - l’apparition d’une autre pathologie maligne: syndrome de E - Ne comporte généralement pas d’hémodilution en raison du Richter (survenue d’un faible taux de chaînes légères lymphome), dans le sang (pas cancers, la transformation en d’hyperprotidémie, leucémie aiguê est hypogammaglobulinémie exceptionnelle. franche). [117] Elle s’accompagne d’une positivité du test de Coombs direct de type “complément” (l’lgM est souvent difficile à détecter à la surface des hématies, car elle ne se fixe qu’à 4°C), les lgM dirigées contre les antigènes du groupe li. Elle peut s’observer chez l’adulte, au cours de la maladie des agglutinines froides (idiopathique, lgM souvent monoclonale de titre élevé) ou des hémopathies malignes (LLc, Waldenstrôm, lymphome), ou chez l’enfant, au décours d’infections (virales: MNI, grippe, oreillons, hépatite, rougeole, CMV, etc...; des pneumonies atypiques à mycoplasme, des rhinopharyngite)s. 8 E - Non, pour les mêmes raisons que D, s’accompagnerait par ailleurs, plutôt d’une macrocytose. [124] :CE A - Evocateur de polyglobulie quelle qu’elle soit. B - Signe d’hyperviscosité non spécifique. c - Argument fondamental du diagnostic, mais inconstant. D - La seule définition de la polyglobulie vraie repose sur la mesure de la masse globulaire, et n’est, de toute façon, pas un élément d’orientation. E - Augmentation des autres lignées avec parfois myélémie [122] discrète due au syndrome. :BE [125] A - Il existe une spiénomégalie inconstante, mais orientant vers : B 1 - Concerne les facteurs le diagnostic. vitamino K dépendants (Il, VII, IX; B - Parfois mode de X), qui entrent dans la voie découverte, classiquement extrinsèque de la coagulation unilatérales ou bilatérales, explorée par le TQ. asymétriques mais 2 - Non, comporte le plus souvent hautes (latérotrachéales avec un allongement du TS à nombre médiastin en cheminée). normal de plaquettes, C - Ne font pas partie du allongement du TCK à TQ tableau. D - Il existe une splénomégalie normal. 3 - Retentissement sur les voies sans adénopathies intrinsèques et extrinsèques de la E - Le fort syndrome tumoral, coagulation. en particulier médiastinal, est 4 - Ne concerne que la voie une particularité de cette intrinsèque de la coagulation. affection. [126] [123] :A :C B - Posologie insuffisante (100 à A - Non, hématocrite normal. 250 mg/jour). B - Non, il n’y a pas d’anémie. c - Oui, ou “pseudopolyglobulie C - Indication exceptionnelle (grande malabsorption). microcytaire’ avec environ, 6 D - Contrôle exact des apports millions de GR et taux d’Hb impossible. normal, fer sérique normal, E - L’acide folique est indiqué caractéristique de la dans les anémies par hémolyse thalassémie mineure (ou trait chronique. thalassémique). [127] D - Non, la définition de la :B polyglobulie repose sur la mesure de la masse globulaire Le volume sanguin total est abaissé (N = 60 à 80 ml/kg),avec totale. un volume érythrocytaire normal D’autre part, il existerait une (25-35 ml/kg) et un volume normocytose. [121] :ACD A - Myélémie des grandes polynucléoses réactionnelles. B - Pas de splénomégalie, myélémie uniquement lors de la régénération.. C - Myélémie parfois importante, constituée des précurseurs granuleux à tous les stades de la maturation. D - Idem, item C (syndrome myéloprolifératif). E - Pas de splénomégalie, leuconeutropénie avec polynucléaires grands et hypersegmentés. 9 plasmatique diminué (N = 4050 ml/kg). Il s’agit donc dune hémoconcentration consécutive au traitement diurétique sans polyglobulie vraie. [128] :BC A - Non, les plaquettes sont normales. B - Oui, avec thrombopénie, baisse du fibrinogène, allongement du TT, TCK, TP, augmentation des PDF et présence de complexes solubles (test à réthanol), test de Von Kaulla normal ou peu raccourci. C - Oui, la thrombopénie est expliquée par l’hypersplénisme D - Non, nentraîne ni thrombopénie, ni baisse du fibrinogène ou du facteur V. E - Non, la thrombopénie pourrait être auto-immune, mais pas d’explication pour rhypofibrinogénémie. [129] :BD Les facteurs vitamino K dépendants sont les facteurs Il, VII, IX et X. [130] :BC A - Donne un allongement isolé du TQ. B - Touche la voie intrinsèque et extrinsèque de la coagulation. C - Idem, item B. Le diagnostic différentiel se fait sur la correction (hypovitaminose K) ou non des anomalies après injection de vitamine K (test de Kohler).. D - N’allongent pas le TQ (voie intrinsèque uniquement concernée). E - Idem item D. [131] :BC Les étiologies de thrombocytoses sont: 1- Secondaires: splénectomie, cancers (paranéoplasiques) - carence martiale, régénération médullaire - maladie infectieuse ou inflammatoire - stress, exercice, grossesse. 2 - Primitives: syndromes myéloprolifératifs (LMC, Vaquez, splénomégalie myéloïde primitive, thrombocytémie essentielle). [132] :C A - Non, l’aplasie comporte par définition une atteinte des trois lignées B - Non, comporte une hyperlymphocytose avec polynucléaires normaux en chiffres absolus C - Etiologie la plus probable, respect des deux autres lignées. D - Moins probable en raison du respect des deux autres lignées. [133] :D Le saignement chronique est la cause de 90% environ des anémies ferriprives en France. L’inflammation n’est pas responsable d’une anémie ‘ferriprive”. [134] :E La correction des anomalies se fait dans le sens inverse de leur constitution: hypochromie, microcytose, fer sérique, sidérophilline, ferritine. [135] :B A - Diagnostic clinique et sérologique. B - Geste indispensable pour affiner le diagnostic, permet la mise en évidence des cellules de Steinberg et la classification histologique. C - Diagnostic sur la NFS et la ponction sternale. D - Diagnostic clinique et sérologique E - Diagnostic clinique, sur la NFS et le myélogramme. [136] :AB A - Donne une thrombopénie périphérique par excès de consommation. B - Purpura par vascularite nécrosante. C - Donne un syndrome hémorragique sans purpura. D - Il existe des ecchymoses, mais classiquement pas de purpura pétéchial. E - Ne donne pas de purpura. [137] :BDE A - Non, la voie endogène B - Touche la voie endogène par déficit en facteur IX. C - Concerne la voie exogène, explorée par le TQ. D - Par défaut de synthèse des facteurs V, X, Il, du fibrinogène. E - Ne retentit que sur l’hémostase primaire, explorée par le temps de saignement. [138] :B Les facteurs vitamino K dépendants sont les facteurs Il, VII, IX, X. La vitamine K est souvent en quantité insuffisante chez le nouveau-né en raison de l’immaturité hépatique et du retard du développement de la flore intestinale. Le traitement curatif se fait par voie veineuse sauf en cas (rare) de carence dapport. [139] :C C’est une maladie “de la retraite” qui touche le sujet de la soixantaine, et ne touche jamais renfant. [140] :C Les anomalies s’installent dans rordre suivant: baisse de la ferritine, augmentation de la transferrine, baisse du fer sérique, microcytose, hypochromie. 10 [141] :B A - Donne des thrombopénies immuno-allergiques. B - Etiologie classique et la plus ‘courante” (Avafortan, salgydal, optalidon, baralgine...). C - Donne des anémies hémolytiques à Coombs positif, des leucopénies, des thrombopénies. D - Donne des anémies mégaloblastiques par carence en acide folique, thrombopénies, granulopénies, agranulocytoses, pancytopénies. E - Donne exceptionnellement un purpura thrombopénique une anémie hémolytique. [142] :A Besoins quotidiens = 2 à 4 pgr, couverts par un régime équilibré (sources alimentaires: viandes, poissons, foie, fruits de mer); réserves hépatiques importantes (3 à 5 mg), suffisantes pour 3 à 4 ans au moins. [143] :BCD B - Les hématies sédimentent plus vite car elles sont moins freinées par le plasma (augmentation de la VS). C - Mécanisme inverse (baisse de la VS). D - Augmentation de la VS par formation de rouleaux érythocytaires. [144] :C A - Anémie normochrome normocytaire arégénérative avec hématies en rouleaux (liée en partie à l’hémodilution). B - Non, plutôt tumeurs ovariennes. C - Complications classiques, anémie hémolytique à Coombs positif type lgG, traitement: corticothérapie. D - Association non classique. E - Association non classique. [145] :ADE A - A évoquer devant tout purpura fébrile, ainsi que l’Osier, les syndromes malins des maladies infectieuses éruptives. B - Non, purpura thrombopénique. C - Ne donne pas de purpura. D - Par vascularite nécrosante. E - Vascularite par immuns complexes à IgA [146] :AD B - Non, anomalie acquise, spécifique, présente dès le début de la maladie. Lors de racutisation, de nouvelles anomalies chromosomiques peuvent s’associer. C - La myélémie est une caractéristique du tableau biologique chronique lorsque les éléments granuleux sont présents en même pourcentage que dans la moelle, à tous les stades de maturation. D - Le pourcentage de blastes est normalement inférieur à 10% dans le myélogramme. Lacutisation est affirmée à plus de 30 % de blastes dans la moelle. E - Fait partie du tableau biologique chronique typique. [147] :ABD A - Fait partie du trisyndrome des anémies par hyperhémolyse donnant anémie, ictère, splénomégalie B - Présente à la période d’état au deuxième septennaire. C - Ne fait pas partie du tableau. D - Splénomégalie de surcharge par dyslipidose. E - La splénomégalie est exceptionnelle. [148] :B A - Non, donne un allongement du TT, du TQ, du TCA. B - Oui, TCA allongé, TQ normal, TT normal, TS normal. C - Non, TCA allongé, TQ normal, TT normal, TS allongé. D - Non, allonge le TCA, le TT, TQ, TS normal. E - Non, allonge le TCA, le TQ, TT normal, TS normal. [149] :A Il s’agit d’une lyse intratissulaire prédominant dans la rate, le second organe concerné est le foie. - cancers - régénération médullaire - maladies infectieuses et inflammatoires - stress, exercice, grossesse - syndromes myéloprolifératifs. [153] supprimée. [154] :ABc A - Oui, il existe au sein des deux classes, des produits de délai et de durée d’action différents. B - L’action étant indirecte, empêchant la “finition” hépatique des facteurs Il, VII, IX, X. c - Au contraire de l’héparine. [150] Extrêmes de délai d’action: 1 à :B A - Il s’agit d’un purpura pétéchial 3 jours, de durée :1 à 6 jours. D - Au contraire, donc contrevasculaire sans hémorragie indiqués lors de la grossesse. muqueuse. E - Le sulfate de protamine est B - Purpura pétéchial, cutanéol’antidote de l’héparine. En cas muqueux parfois ecchymotique, de surdosage par AVK, on avec bulles hémorragiques et utilise le PP5B ou la vitamine K hémorragies muqueuses en intra-veineuse. associés. c - syndrome hémorragique sans [155] :B purpura. D - syndrome hémorragique sans Les étiologies sont: - infections bactériennes purpura. - tabac E - Purpura exceptionnel. - corticoïdes, lithium, adrénaline [151] - splénectomie :E - régénération médullaire La maladie de Biermer est une - cancer maladie auto-immune - hodgkin et LNH caractérisée par une - maladies inflammatoires malabsorption de B12 par - nécroses tissulaires tarissement de la sécrétion en facteur intrinsèque. Le traitement - syndromes myéloprolifératifs - nouveau-né, stress, se fait donc par voie parentérale grossesse, effort. (attaque: 1000 kg/jour pendant La typhoïde est une maladie 10 jours pour reconstituer les infectieuse leucopéniante et réserves, puis entretien par une neutropéniante. injection de 1000 kg/mois), et à vie. [152] [156] :A :ABcE Les étiologies des syndromes D - II existe au contraire une thrombopénie par consommation. mononucléosiques sont: - la mononucléose infectieuse Les étiologies sont: (virus EBV) - splénectomie - les infections à CMV - carence martiale 11 - la toxoplasmose - infections virales: rubéole, hépatite virale, varicelle, herpès - infections bactériennes: typhoïde brucellose, rickettsiose, syphilis - allergies médicamenteuses: hydantoïnes, phénylbutazone, pénicilline. La coqueluche donne une hyperlymphocytose. [157] :B Le traitement est: - causal si possible (arrêt d’un médicament, intervention si kyste de l’ovaire) - corticothérapie à la dose de 1 à 2 mglkg pendant quelques semaines avec baisse progressive à la normalisation de l’hémoglobine, puis entretien à faible dose - en cas de corticorésistance: splénectomie (si destruction splénique pure ou prédominante à l’épreuve isotopique) - sinon: discussion dimmunosuppresseurs = chloraminophène, endoxan. [158] :D Lors du traitement par vitaminothérapie B12, la mégaloblastose disparait en quelques heures, et la crise réticulocytaire dure du 6ème jour au deuxième mois. [159] :B A - Il s’agit d’une anémie arégénérative par carence martiale. B - La plus fréquente des anémies héréditaires (corpusculaire) avec hyperhémolyse régénérative. C - Non, bien sur, insuffisance médullaire sans possibilité de régénération par envahissement blastique. D - Il s’agit d’une anémie normochrome macrocytaire arégénérative (avec érythropoïèse inefficace). E - Il s’agit d’une anémie normochrome normocytaire arégénérative, due principalement à la baisse de synthèse de l’érythropoïétine et à une hémolyse extracorpusculaire par accumulation. [160] :ABCDE A - Thrombopénie avec plaquettes géantes par défaut de synthèse d’ADN et asynchronisme nucléocytoplasmique. B - Par consommation plaquettaire périphérique. C - Par hémodilution. D - Par insuffisance médullaire ou dysimmunité. E - Par consommation périphérique. [161] :BCDE A - Non, au contraire de l’anémie. B - L’infection est la cause première d’augmentation de la VS. C - Oui, avec hématies en rouleaux sur le frottis. D - Oui, au 2ème trimestre, puis se normalise quelques semaines après l’accouchement (liée à l’anémie par hémodilution). E - Oui, les deux peuvent être associés (inflammation). La question est mal posée, il n’existe pas d’hyperfibrinogénémies “autonomes”. [162] :ABD A - Les LNH s’étendent par voie sanguine au contraire des Hodgkin qui se propagent de proche en proche, par voie lymphatique B - Cette localisation est évocatrice de lymphome lymphoblastique T de haute malignité. 12 C - Atteinte fréquente au cours des Hodgkin et des LNH. D - Atteinte pleurale rare dans le Hodgkin, plus fréquente dans les LNH. E - Mode de découverte fréquent de l’une et l’autre affection. [163] :ACDE A - Le traitement est bien sûr, l’arrêt du médicament. B - Il s’agit d’anémie hémolytique à lgM froides fixant le complément. C - Est d’évolution chronique, de bon pronostic (corticosensibilité, amélioration par splénectomie). D - Type LLC. E - Ainsi qu’au cours de la PR. [164] :D Sans commentaire. [165] :B Evident. [166] :ACDE Evident. [167] :CDE La médiane de survie d’une LMC est de rordre de 3 -4 ans ; tous les traitements, en rabsence d’allogreffe de moelle ne modifient pas cette évolution naturelle. Lallogreffe osseuse à partir dun donneur familial HLA compatible doit être réalisée de préférence en phase chronique. C’est la seule approche thérapeutique susceptible de guérir le patient. La greffe peut être réalisée actuellement jusqu’à un âge limite de 50 ans. La survie à 4 ans pour les patients greffés, en phase chronique est de 60 % alors qu’elle n’est que de 15- 30 % dans les greffes réalisées plus tardivement. [168] :C cependant, il est possible d’avoir une thrombocytose modérée symptomatique en cas de carence martiale dans moins de 20 % des cas. E. La carence martiale entraîne parfois une leuconeutropénie. [171] :AcD A. L’anémie hémolytique est fréquente dans la LLC, 6 % au moment du diagnostic et plus de 7 % en cours de maladie. Dans les 2/3 des cas, le Coombs est positif ly GG+C ou complément seul. B. Il n’intègre pas le cancer de l’estomac comme une des causes à rechercher devant une AHAI, cependant il existe dans la littérature quelques observations de cancers épithéliaux ou d’autres types associés à une AH à coombs positif. c. Le LED est une cause classique d’AHAI, s’intégrant parfois en cas de thrombopénie associée dans un tableau de syndrome d’Evans (thrombopénie [170] immunologique . Le test de :B coombs est généralement de A. L’anémie par carence type complément ou 1gO martiale est arégénérative. +complément et B. L’anémie ferriprive est exceptionnellement lgG-’-lgM-’microcytaire (la concentration complément. en hémoglobine des D. L’Aldomet® donne des tests érythroblastes augmente trop de coombs positifs dans 20 % lentement) et à un degré de des cas mais seuls 3 % plus devient hypochrome. Elle développent une véritable est la plupart du temps anémie hémolytique. Le arégénérative car due à un médicament induit un anticorps défaut de synthèse de qui se pose sur le OR. Il s’agit l’hémoglobine et donc à un d’une véritable AHAI et non d’une défaut de production des OR anémie immunoallergique. dans la moelle. c. Les sidéroblastes médullaires L’anticorps responsable dans les cas hémolysants est une 1g M sont des érythroblastes médullaires contenant du fer et chaude non agglutinante fixant le complément. leur nombre est bien sur E. Il y a dans la littérature diminué en cas de carence quelques observations d’AHAI au martiale par baisse des cours de LMc. Il faut le savoir réserves. mais il s’agit d’une situation D. La question étant posée: exceptionnelle. “Une carence en fer engendre [172] habituellement”, je répond non :A à l’item D. Question de connaissance générale. [169] :AC A. Il est indispensable devant toute thrombopénie <ou égale à 100 000/mm3. Il permet dorienter rapidement le diagnostic du mécanisme selon la présence ou l’absence de mégacaryocytes (en fait leur diminution) en cause périphérique ou centrale. B. Aucun intérêt en première intention pour orienter le diagnostic. C. Intérêt moyen, indispensable devant toute thrombopénie isolée: recherche d’une coagulopathie de consommation pour étude : TP, TCK, temps de thrombine, fibrine, complexes solubles, D dimères, facteur V. D. Aucun intérêt. E. Aucune indication avant le myélogramme. 13 Les déficits acquis ou constitutionnels en facteurs de la coagulation ne donnent pas une symptomatologie clinique de purpura pétéchial et ecchymotique. ce type depurpura est évocateur de thrombopénie. [173] :D Evident, connaissances de base. [174] :C La diminution du VOM ou microcytose traduit constamment une diminution de l’hémoglobino synthèse.. Les anomalies de la synthèse de l’hémoglobine peuvent être dues à une hyposidérémie, une anomalie rare de la synthèse de l’hème ou à un défaut de synthèse de la globine (surtout thalassémies). Dans tous les cas, la concentration corpusculaire en hémoglobine normale n’est pas atteinte au terme du nombre normal de mitoses avec donc augmentation du nombre de mitoses pour permettre aux érythroblastes d’atteindre une concentration corpusculaire en hémoglobine normale, aboutissant à une microcytose sans toujours empêcher l’hypochromie. Ainsi, la microcytose est toujours le premier symptôme de ce type d’anomalie. [175] :C QCM de connaissance générale. [176] :CE QCM évident. [177] :BD La spiénomégalie est un des critères majeurs qui devant une polyglobulie vraie permet dévoquer le diagnostic de polyglobulie primitive. La thrombocytose > 400 000/mm3 est également un des éléments retenus. C’est Ihyperleucocytose> 12 000 mm3 (en rabsence dinformation) qui est évocatrice de polyglobulie primitive (item très discutable). Lérythrose faciale importante n’est que la conséquence de la polyglobulie et noriente pas le diagnostic. [178] :B Sans commentaire. [179] :A Réserves en B12. [180] :C Sans commentaire. [181] :E Sans commentaire. [182] :B Sans commentaire. [183] :A Par vascularite. [184] :D Elle est alors inférieure à la normale. [185] :CD Le PPSB est contre indiqué en cas de CIVD par apports de facteurs de la coagulation activés. Le traitement de la maladie de Willebrand est substitutif par apport de sang ou de PFC mais surtout par les concentrés ou les fractions antihémophiliques A lyophilisées utilisées pour obtenir un taux de facteurs VIII entre 30 et 40 %. Les surdosages en AVK, l’hémophilie B, peuvent être traités par PPSB. [186] :BE L’administration de vitamine K corrige l’allongement du TP lorsque celui-ci est lié à une carence en vitamine K agissant sur les facteurs Il, VII + IX et X. Les causes de carence en vitamine K sont schématiquement : les carences d’apport en vitamine K, les défauts d’absorption de la vitamine K et l’utilisation des Antagonistes de la vitamine K. [187] :C Il n’y a pas de purpura pétéchial au cours des déficits acquis ou congénitaux en facteurs de la coagulation. Le purpura pétéchial doit faire rechercher une pathologie de la lignée plaquettaire et en premier lieu une thrombopénie. [188] :ACDE A. Dans la maladie de Vaquez, les taux de plaquettes sont augmentés, supérieurs à 400.000/mm3 chez 60 % des malades. Les taux plus élevés (>1 .000.000/mm3) s’observent surtout chez les patients traités par saignées (du fait de la carence martiale induite). C. Des thrombocytoses chroniques (augmentation modérée du taux de plaquettes) peuvent s’observer en cas de sidéropénie. Elles se corrigent sous traitement de la carence martiale. D. La thrombocytose est fréquente dans tous les cancers, essentiellement ceux affectant les bronches, reins, les seins. E. Après une Splénectomie, les plaquettes augmentent dans 40 % des cas entre 400.000 à 1 000.000/mm3 (exceptionnellement plus), ceci dans les jours qui suivent pour revenir à la normale en quelques semaines. La menace de thrombose, quoique faible, existe et peut conduire à la mise sous antiagrégants plaquettaires. Exceptionnellement. des 14 thrombocytoses modérées peuvent persister des années. [189] :AB A. Voir commentaire de la question précédente. B. Idem. C. La carence en acide folique donne essentiellement des signes hématologiques, de pancytopénie avec thrombopénie modérée entre 50.000 à 100.000/ml. Le mécanisme essentiel est celui de séquestration plaquettaire splénique. E. La LLC s’accompagne parfois de thrombopénie dont le mécanisme n’est pas univoque : lié au traitement, par insuffisance médullaire, hypersplénisme, exceptionnellement mécanisme auto-immun. [190] :ABE A. La thrombopénie est fréquente, en général modérée aux alentours de 1 00.000/mm3. B L’anémie est macrocytaire. Cette macrocytose (augmentation du VGM) est en général franche supérieure à 120 mm3. Elle explique que les sujets ayant déjà un taux abaissé de GR tolèrent encore bien leur anémie. C. Il existe une leucopénie modérée. D. Le taux de réticulocytes est normal ou même légèrement augmenté en pourcentage. En valeur absolue, il est normal, inférieur à 1 00.000/mm3. E. Les granulocytes sont de grande taille et leurs noyaux sont hypersegmentés. Cette anomalie est précoce et c’est la dernière à disparaître sous traitement. [191] :ABE A. L’hémoglobinémie est instantanée et traduit la libération d’hémoglobine dans la circulation. Elle signe l’hémolyse intravasculaire. B. L’hémoglobinurie est la conséquence de l’hémoglobinémie et signe une hémolyse intravasculaire grave car elle n’est détectée que si l’hémoglobinémie est supérieure à 150 mg/ml. Elle apparaît très rapidement après l’accident. c. L’augmentation des réticulocytes est un phénomène secondaire, maximum 6 à 8 jours après l’accident hémolytique aigu. D. L’augmentation de la bilirubine libre survient dans un second temps et reste souvent très modérée. une bilirubinémie normale n’élimine pas le diagnostic d’anémie hémolytique. E. L’hémoglobine libérée dans la circulation est immédiatement captée par l’haptoglobine qui la transforme en cellules macrophagiques. La baisse de rhaptoglobine est donc un phénomène précoce et constant. Elle est très vite consommée et l’hémoglobine passe alors dans le plasma puis essentiellement dans les urines. [192] :B L’ankylostomiase entraîne une anémie par carence martiale, liée à la consommation intraluminale de fer. C’est le bothriocéphale qui est responsable de carence en vitamine B12 et d’anémie macrocytaire par consommation par le taenia. La gastrectomie donne une carence en vitamine B12 obligatoire en 2 à 9 ans et est donc cause d’anémie mégaloblastique. La maladie coeliaque entraîne une carence en folates isolée par malabsorption digestive. Les anses borgnes jéjunales entraînent une carence en folates. Les myélodysplasies type anémie réfractaire donnent souvent une macrocytose. [193] :B La leucémie aiguê à promyélocyte (M3) est associée à une CIVD, dans plus de 95 % des cas. Celle-ci doit être obligatoirement recherchée avant mise en route du traitement d’induction qui risque de l’aggraver. Elle est même le plus souvent prévenue avant le début de la chimiothérapie par un traitement de CIVD permettant le maintien des plaquettes à un chiffre constamment> 50 000/mm3 (par transfusions plaquettaires multiples) et héparinothérapie (1 mg/kg à 4 mglkg de façon à obtenir un temps de thrombine> 1 minute) et apport de fibrinogène sous forme de PFC ou de concentrés de fibrinogène pour le maintien à distance à des taux> 1,5 g/l. [194] :A Evident. [195] :C Evident. [196] :D Une hématurie microscopique n’est jamais à retenir comme cause de carence martiale car les pertes de fer sont alors très inférieures aux apports et incapables de provoquer une hypersidérémie. [197] :E Evident. L’hémarthrose est une des manifestations cliniques que l’on retrouve associées aux déficits en facteurs de la coagulation et plus particulièrement au cours des hémophilies. 15 [198] :BD Une thrombopénie < 80 000/mm3 entraîne une augmentation du TS. Les déficits en facteur VIII et IX nentraînent pas d’augmentation du TS puisqu’il n’y a pas d’atteinte de l’hémostase primaire. Toute thrombopathie se caractérise entre autre anomalie par un allongement du TS. La protéine C activée a pour rôle essentiel l’inhibition de l’activité procoagulante des facteurs Va et Villa. Il n’y a pas d’atteinte de l’hématose primaire. [199] :ABCD Le test de Schilling consiste à faire absorber une dose de vitamine B12 minime radiomarquée et à injecter en 1M de la vitamine B12 non radioactive de façon à saturer l’organisme en vitamine B12 et à entraîner une élimination de la vitamine B12 urinaire importante, normalement> à 10 à 15% de la vitamine B12 radioactive injectée. Dans la maladie de Biermer, ce taux est < 5 %. Le test est constamment perturbé. Le test de shilling est corrigé par l’adjonction de FI. Le FI est absent dans le liquide gastrique ce qui est à l’origine du défaut de l’absorption de la vitamine B12. [200] :BE Les facteurs de la coagulation vitamine K dépendants sont Il, VII et X, IX. [201] :A La fréquence des leucémies dans la population est d’environ 9/100.000/an. L’incidence annuelle rapportée à l’âge de la leucémie dans la population d’âge supérieur à 60 ans est d’environ 69/1 00.000. L’incidence et la prévalence de la leucémie continuent à augmenter après 60 ans. L’incidence est égale chez l’homme et la femme en fonction de l’âge. La leucémie la plus fréquente à cet âge est la leucémie aiguê myéloblastique dont l’incidence est d’environ 7 fois supérieure à celle de la leucémie aiguê lymphoblastique. [202] :C Il s’agit d’un syndrome de coagulation intravasculaire disséminée (connaissance de base, définition ). [203] :C L’insuffisance rénale chronique s’accompagne de complications hémorragiques. Les troubles de l’hémostase primaires y sont déterminants et intéressent les différentes fonctions plaquettaires, le facteur Vlll/Willebrand et le vaisseau. L’allongement du temps de saignement est le signe le plus fréquent. On peut également, beaucoup plus rarement, observer une thrombopénie modérée. Un certain nombre d’anomalies sont décrites : hypoagrégabilité plaquettaire à I’ADP et à la thrombine, diminution de la disponibilité du facteur III, élévation du facteur Vlllcoagulant mais diminution du facteur Willebrand, augmentation de la synthèse par la cellule endothéliale de la prostaglandine ou PG 12 (puissant antiagrégant plaquettaire). [204] :C Les microangiopathies thrombolytiques désignent des affections caractérisées par une hémolyse par fragmentation liée à des lésions anatomiques des petits vaisseaux, s’y associe souvent une thrombopénie. Ces microangiopathies thrombotiques s’observent dans : le purpura thrombotique thrombocytopénique, le syndrome hémolytique et urémique, I’HTA maligne, la grossesse, les microangiopathies des cancers. Elles associent classiquement : une anémie hémolytique mécanique avec schisocytose, une thrombopénie, parfois des signes de CIVD. [205] :C Les anémies hémolytiques liées à des anticorps reconnaissants les antigènes du système ABO sont liés aux accidents transfusionnels. Les anticorps (ac anti A, ac anti B ) sont des ac “naturels”, “réguliers” et “agglutinants”. Cette dernière propriété est liée à leur appartenance à la classe des lgM. Ils sont responsables d’anémies hémolytiques intravasculaires. Dans les AHAI à autoanticorps chauds, lAC est de type lgG appartenant dans 80 % des cas à la sous classe des IgGi et fixe généralement le complément. L’hémolyse est intratissulaire. Le test de Coombs direct est positif traduisant la présence de lAC sur les globules rouges. Les antigènes reconnus par les autoanticorps chauds font généralement partie du système Rhésus. Le traitement initial est la corticothérapie à doses initiales de 1 à 1,5 mg/kg/j voire 2 mg/kg/j avec une efficacité jugée après 3 semaines à 1 mois de traitement. [206] :B Les leucémies aiguês les plus fréquentes dans la population générale sont les leucémies myéloblastiques. Les LAL sont moins fréquentes que les LAM 16 sauf chez l’enfant de moins de 15 ans. [207] :BDE A. Il s’agit d’un tableau de carence martiale qui donnera au maximum : une anémie normochrome normocytaire arégénérative ou hypochrome microcytaire arégénérative, une thrombocytose modérée, une leuconeutropénie modérée. B.E. Le tableau hématologique est celui d’une pancytopénie avec anémie macrocytaire arégénérative avec taux de réticulocytes bas. Les carences en vitamine B12 et en folates peuvent donner un tableau hématologique de pancytopénie. Ces deux diagnostics sont à évoquer dans ce cas. Cependant, en général il faut noter que le VGM est plus augmenté qu’ici, supérieur à l2Op3 et que le taux de réticulocytes en valeur absolue est en général normal aux alentour de 80 à 1 00.000/mm3, exceptionnellement abaissé. D. Le tableau est compatible avec une AREB. Le tableau hématologique périphérique associe - L’anémie est modérée ou franche normocytaire ou macrocytaire avec une réticulocytose en générale normale ou basse mais parfois augmentée. Sur lames, existence de macrocytes, schizocytes, microcytes, hématies hypochromes. - La thrombopénie est fréquente et s’aggrave avec l’évolution. Il existe souvent des anomalies cytologiques des plaquettes (micromégacaryocytes ou plaquettes géantes) avec trouble des fonctions plaquettaires. - Il existe dans 2/3 des cas une leuconeutropénie avec souvent vitro montrent des anomalies identiques à celles de l’hémophilie sévère. Cette anomalie est découverte par la constatation d’un allongement important du temps de coagulation. Elle ne nécessite pas de traitement même en situation chirurgicale. [211] :BCD A - Il s’agit d’une fausse plyglobulie donc avec un hématocrite normal. B - Le taux d’hémoglobine est normal grâce à la polyglobulie compensant la microcytose. C - li y a une microcytose par définition. D - Le nombre de globules rouges est élevé dou le terme de polyglobulie. E - Il s’agit d’une fausse polyglobulie avec un volume normal, c’est-à-dire inférieur à 36 ml/kg chez l’homme, 32 ml/kg chez la femme. [212] :BC [209] Il s’agit d’anticorps dont l’action :D D - La capacité de saturation de inhibitrice s’exerce sur les facteurs plasmatiques de la la sidérophiline se normalise coagulation. On le retrouve lorsque les réserves en fer se surtout dans le lupus et quelques sont reconstituées. A - Habituellement le traitement observations ont été faites dans est de un mois à pleine dose et les PR. C’est le plus souvent une lgG, dirigée contre la partie de 2 à 3 mois à demi-dose. B, C - Le taux d’hémoglobine se phospholipidique du complexe normalise plus rapidement que prothrombinase. Il n’est pratiquement jamais responsable la CTS, ainsi que le taux de de manifestations fer sérique. hémorragiques. Il ne nécessite E - Les troubles digestifs pas de traitement particulier. On sobservent lors du traitement a remarqué une plus grande initial mais ne constituent pas fréquence des thromboses un artérielles ou veineuses lorsque critère d’arrêt du traitement. cet anti-coagulant est présent. [210] Par ailleurs on retrouve cet :E anticorps dans le syndrome des Le déficit en facteur XII ainsi avortements répétés, associés ou qu’en prékallicréine et en non à des thromboses, sans que kininogène de haut poids le mécanisme des troubles de la moléculaire nentraîne aucune grossesse lié à cet tendance hémorragique anormale alors que les tests in antiphospholipide soit connu. une Monocytose modérée. Il existe plus souvent des formes hyperleucocytaires avec myélémie et quelques blastes circulants. [208] :ABC Le diagnostic biologique de CIVD repose sur l’association - thrombopénie vraie - allongement du TCK - allongement du TP - facteurs V et VIII constamment diminués - facteurs Il, VII, X faiblement diminués - baisse du Fibrinogène - baisse du Plasminogène - baisse de l’Antithrombine 3 - augmentation des PDF (D Dimères) - présence de complexes Solubles - temps de lyse des Euglobulines normal au diminué - temps de thrombine modérément augmenté par Hypofibrinémie. 17 [213] :ACE B - L’aplasie médullaire correspond par définition à une moelle pauvre en cellules. D - Le stade III de l’ostéomyélofibrose primitive correspond à une quasi disparition du tissu hématopoïétique hormis quelques mégacacyorytes dystrophiques l’ostéosclérose prédomine. A - Il s’agit d’une cytopénie centrale à moelle riche (troubles qualitatifs des cellules myéloïdes avec des avortements intramédullaire). C - La moelle est riche avec des signes de dysérythropoïèse (mégaloblastes). E - La moelle est envahie par une prolifération blastique. [214] :D D - Il s’agit d’une splénomégalie accompagnée d’une anémie très régénérative. La macrocytose est probablement en rapport avec la réticulocytose abondante, le volume des réticulocytes étant plus important que les globules rouges matures. On évoque en premier lieu une hémolyse. A - L’anémie inflammatoire n’est pas régénérative (Réticulocytes < 150 000 / mm3). B - On ne trouve pas non plus d’anémie régénérative dans l’hypertension portale. C - L’item est discutable en raison d’une possible anémie hémolytique auto-immune pouvant compliquer un syndrome lymphoprolyfératif. Mais ce n’est pas ce que l’on évoquera “en premier”. D - L’anémie de Biermer n’est pas régénérative. [215] :BD A - Faux. Sa fréquence s’accroit avec l’âge (3 % après 70 ans ; 6 % après 80 ans). B - L’absence de lyse osseuse est un des critères de bénignité. C - Faux. Le taux d’lgG doit être inférieur à 20 g/l (et 10 g/l pour une IgA). D - Il s’agit d’une complication classique. La substance amyloïde est de type AL. E - La normalité de la calcémie ne fait pas partie de la définition de la bénignité. Une gammapathie monoclonales peut s’observer chez des sujets ayant un adénome prothyroïdien responsable d’une hypercalcémie. L’association hypercalcémie et immunoglobuline monoclonale ne signifie donc pas toujours myélome multiple ou lymphome. [216] :AD A - Le TCK doit être compris entre 2 et 3 fois le temps du témoin, Il explore tous les facteurs inhibés par le complexe héparine AT III. B - Sert pour la surveillance des traitements par anti-vitamine K. C - Sans objet. D - A ne pas oublier. La surveillance doit être hebdomadaire voire bihebdomadaire afin de dépister l’apparition d’une thrombopénie à l’héparine. E - Ce dosage n’a pas d’utilité en routine, Il peut être indiqué lors d’une inefficacité de l’héparine pour rechercher un déficit congénital en antithrombine III. [217] :ABCDE Il faut rechercher toute cause de saignement chronique. Item C - Il faut rechercher une hémosidérinurie chronique dans le cadre d’hémolyse intravasculaire (prothèses cardiaques, microangiopathie, maladie de Marchia Faver Micheli). [218] :BDE Sémiologie classique. A - L’insuffisance respiratoire chronique peut entraîner une polyglobulie secondaire. [219] :CD A et B - Anémie normochrome normocytaire le plus souvent, parfois hypochrome et/ou microcytaire. D - li s’agit dune anémie arégénérative. E - La capacité totale de saturation est abaissée avec un fer sérique abaissé. Le coefficient de saturation est normal. [220] :ABCDE Tous ces facteurs subissent une activation avant de développer leur action sur les différentes étapes de la coagulation. [221] :ACE Cette triade correspond à la définition du syndrome de Felty. On peut observer en outre, des adénopathies, une anémie, une thrombopénie, des ulcérations cutanées des jambes, une pigmentation brune des parties découvertes. [222] :C C - La présence d’une anémie (Hb < 10 g/dl) traduit un envahissement médullaire important. Il s’agit alors d’un stade C de la maladie. (Hb < 10 g/dl et/ou plaquettes < 100 000/mm3). C’est un élément de très mauvais pronostic. 18 [223] :C A - Une élévation de la basophilie peut accompagner la transformation aiguê. B - Elément de mauvais pronostic. D - Dans la forme chronique, ils sont inférieurs à 5 %. Leur élévation traduit une transformation aiguê ou subaiguê. E - Traduit un envahissement médullaire important, lors d’une TA. C - li s’agit d’une anomalie constitutive de la maladie qui persiste tout au long de son évolution. Il faut noter que l’on a observé quelques cas de disparition du chromosome Ph sous traitement par Interféron. Cette notion rend la QCM discutable. [224] :D La transférase est le reflet des réserves en fer. C’est le dernier paramètre à se normaliser avec la ferritine. [225] :CD A, B et E - Stade Il. La définition du stade III correspond à une atteinte de territoires ganglionnaires de part et d’autre du diaphragme, éventuellement associé à une atteinte splénique (III S). [226] :CE A - Explore la fibinoformation. La synthèse du fibrinogène n’est pas vitamine K dépendante. B - Il n’y a pas de thrombopénie induite par les AVK comme pour l’héparine. C - Le TCA explore le X, IX et le li, vitamine K dépendant. D - Le V n’est pas vitamine K dépendant. E - Le TQ explore en plus le VII (voie extrinsèque). [227] :ACDE A - A partir du 2ème trimestre, le volume globulaire et le volume plasmatique augmentent mais le volume plasmatique augmente plus vite que le volume globulaire d’où anémie par hémodilution. B - Il s’agit d’une véritable anémie. C et D - Certaines immunoglobulines monoclonales en particulier les lgM de la maladie de Waldenstrôm peuvent entraîner une augmentation du volume plasmatique et une baisse de taux d’hémoglobine sans anémie vraie. C - Le volume plasmatique augmente de façon parfois considérable sans doute par augmentation de la sécrétion daldostérone. [228] :ABC A - Possible mais tout à fait exceptionnel, les localisations extraganglionnaires étant essentiellement médullaire, pulmonaire, pleuropéricardique, hépatique et osseuse. B - Des adénopathies rétropéritonéales peuvent comprimer les artères et entraîner une stase en amont. On a pu aussi constater des dilatations calicielles liées à l’existence d’une fibrose rétropéritonéale parfois apparemment primitive. C - Ce phénomène rare a été observé, précédent ou accompagnent les poussées de MDH et cédant avec le traitement de la maladie même si le seul traitement utilisé est une radiothérapie sur les aires ganglionnaires (rôle possible des complexes communs circulants). D et E - Non décrits. [229] :E Dans les grandes séries publiées dAHAI, l’association à un LED est retrouvée dans 1,6 à 24,4 % des cas. La présence de l’hémolyse chronique dans le lupus (8 %) est inférieure à celle du Coombs positif (43 %). [230] Réponse impossible. Face à une anémie très régénérative évoquent une hémolyse chez un enfant de 2 ans, plusieurs diagnostics peuvent être retenus. A - Le diagnostic se fait habituellement entre 3 et 18 mois. B - Révélation de l’affection entre 3 mois et 3 ans (en règle entre 6 et 18 mois). C - Non, car pas de régénération du fait de l’envahissement médullaire. D - Maladie surtout du nourrisson (82 % des cas avant 2 ans et demi, 55 % entre 3 et 9 mois) chez le grand enfant le début peut être insidieux révélé par l’anémie. E - Maladie néonatale. [231] :A La ferritine est le reflet direct des réserves en fer. c’est le premier facteur à diminuer lors dune carence martiale. [232] :ACDE A - Il s’agit de la première cause de mortalité. B - N’existe pas. C - Anémie hémolytique sont des complications classiques. D - Signe de gravité de la maladie (Stade C). E - Il s’agit du syndrome de Richter à suspecter devant une aggravation brutale (altération de l’état général, ganglion 19 grossissant et comprimant). [233] :ACD A et C - Sont des facteurs intervenant au niveau du tronc commun de la coagulation. D - Le facteur XII intervient dans la voie intrinsèque qui est explorée par le TCK (voir N° : 2). B - Même si un facteur plaquettaire est nécessaire à la coagulation, dans le TCK il est remplacé par la céphaline. E - Le VII n’intervient que dans la voie extrinsèque qui n’est pas explorée par le TCK. [234] :BCE A - La thrombopénie est habituellement par envahissement médullaire. B - Même s’il y a une anomalie de l’hémostase primaire, le nombre de plaquettes est normal dans la forme “typique”. Il existe en effet une forme particulière de maladie de Willehand qui peut comporter une thrombopénie (pseudo maladie de Willebrand ou Willebrand de type plaquettaire). C - II s’agit d’une thrombopathie mais le chiffre des plaquettes est normal. Il se caractérise par l’absence d’agrégation des plaquettes. D - Une thrombopénie est retrouvée dans 95 % des cas du fait d’une coagulation intravasculaire. E - Il s’agit d’une purpura vasculaire. [235] :ABD Question de sémiologie simple. Pas d’autres commentaires. [236] :BCE A - Pas d’influence sur le fer sérique de façon directe. B - Entraîne une élévation du fer sérique (cellules hépatiques :BCDE A - Non. Par exemple anémie hémolytique déclenchée par certains médicaments dans les déficits en G6PD. B - Oui, l’hémolyse étant provoquée par un anticorps dirigé contre un antigène médicamenteux fixé sur l’hématie ou par un complexe antigène médicamenteux - anticorps se fixant sur l’hématie et activant le complément. C et D - Le traitement par ALDOMET peut induire des lgG antirhésus (dans 10 % des cas après 6 mois de traitement à 1 glj). [237] E - Hémolyse à Coombs de type :E anti lgG. Anticorps dirigé contre Les phasmaphérèses ou échanges pharmatiques visent un antigène médicamenteux fixé sur l’hématie, liée à la dose, à faire diminuer rapidement le progressive et extra-vasculaire. taux du pic monoclonal. Leur efficacité est passagère et sont [241] :ABCE proposées dans l’attente de l’efficacité de la chimiothérapie. (Ou A C E). A - Polyglobulie secondaire par [238] hypersécrétion appropriée :C d’érythropoïétine par hypoxie A - Expose à un risque de tissulaire : désaturation en 02 du rechute rapide. sang artériel. La silicose par B - Le sujet est trop âgé pour troubles de la diffusion une allogreffe qui n’est plus (pneumopathie interstitielle indiqué après l’âge de 50 ans diffuse). du fait B - Peut être proposé comme un taux de complications cause d’anomalie du transport de extrêmement élevé. l’oxygène en tant que cause D - Contre-indiqué. E - Pas dans le traitement d’une d’insuffisance cardiaque chronique acquise. (Voir Abrégé leucémie aigué, traitement d’Hématologie MASSON classique de la LMC. d’Hémote J.BERNARD, LEVY, [239] VARET). :E (Item discutable). E - L’association d’une C et E - Causes classiques splénomégalie qui est le plus d’hypersécrétion inappropriée souvent majeure à une d’érythropoïétine par le tissu érythromyélémie tumoral. (érythroblastose + myélémie) fait évoquer en premier lieu une D - Le cancer ne fait pas partie des causes tumorales classiques myélofibrose. A, C et E - Pas de myélémie ni que sont les tumeurs du foie (hépatome, adénocarcinome, érythroblastose. harmartomes), du rein, des B - Pas de splénomégalie. carcinomes gastriques, [240] riches en fer). C - Hypersidérémie par libération du fer des globules rouges dans la circulation dans les hémolyses aigués ou lors d’une insuffisance médullaire associée à une hémolyse chronique. D - Au contraire, on constate une hyposidérémie par stockage anormal du fer dans les macrophages. E - Apport exogène de fer, qui peut aboutir à l’hémochromatose si fréquentes et répétées. 20 bronchiques, prostatiques et ovariens, les leiomyocarcinomes de l’utérus, les myxomes de l’oreillette, les phéochromocytomes. [242] :BE Il s’agit des deux sanctuaires leucémiques classiques de la LAL. Les localisations testiculaires sont traitées par la chimiothérapie générale. Les localisations méningées nécessitent des traitements par voie intrathécale. [243] :BD A et c - Le fibrinogène et le facteur V font partie du tronc commun de la coagulation. Leur déficit affecte les deux voies de la coagulation. E - Affecte les deux tests car la diminution du VII vitmino-K dépendant, allonge le temps de Quick. B et D - Le VIII c et le XII font partie uniquement de la voie intrinsèque explorée spécifiquement par le TCK. [244] :CE A - Non. Il &agit le plus souvent d’un sujet âgé (50 à 70 ans). B - Non. les lésions osseuses sont rares (2 % des observations). Il s’agit de lésions ostéolytiques de fractures spontanées pathologiques, ou de d’éminéralisation diffuse. D - Non. Complication très rare. C - Plusieurs mécanismes peuvent expliquer l’anémie : saignements, dilution due au taux élevé digM monoclonale sériques, hémolyse, hypersplénisme, insuffisance médullaire. E - Les anomalies de l’hémostase sont liées pour la plupart au pic d’lgM (thrombopathie, inhibiteur de la coagulation...). [245] :B B - Mesure le taux de prothrombine résiduel du sérum après coagulation, n’a donc pas d’intérêt chez un sujet sous héparine. A - Le temps d’HoweIl est utile mais nest plus utilisé car peu fiable. C - TCK test essentiel dans la surveillance du traitement par héparine. D - Nécessaire pour dépister la survenue d’une thrombopénie à l’héparine E - Très utile pour équilibrer un traitement par héparine. [246] :D A et B - Les transfusions dans le traitement des anémies ferriprives ne sont réalisées quen cas d’anémie très sévère et surtout mal supportées cliniquement (angor) ce que l’on ne craint pas chez une femme jeune avec une anémie qui n’est pas majeure. C - Thérapeutique agressive, qui peut laisser des tatouages aux points d’injections. La voie orale lui est bien préférable. E - Le traitement d’une carence martiale est prolongé (supérieur ou égale à 3 mois). [247] :B C’est l’examen indispensable pour affirmer l’aplasie montrant une moelle hypocellulaire, voire désertique, avec de rares zones cellulaires entre les adipocytes et parfois des anomalies de la trame de soutien. A - Un myélogramme pauvre isolé n’est pas suffisant pour affirmer l’aplasie. [248] :C Les présentations isoniazide. Coombs de type complément. C - Anémie hémolytique autoimmune induite par ALDOMET (lgG antirhésus). D - Exemple : hémolyse par antipaludéens dans les déficits en G6PD. E - Non. N’intervient que dans les immunisations transfusionnelles. [254] :DE A et B - TCK et temps de Quick sont allongés dans les deux. C - Le fibrinogène est abaissé dans les deux. D - Les plaquettes sont normales dans la fibrinolyse primitive et abaissées par [250] consommation :D dans la CIVD. A et E - Exposent à un risque E - Les complexes solubles thrombotique. sont présents dans la CIVD et B et C - Exposent à un risque absents dans la fibrinolyse hémorragique par surdosage en aiguê. AVK. [255] [251] :C :ABC Une thalassémie entraîne une A - Myélémie réactionnelle par anémie microcytaire avec un fer régénération médullaire. Sortie sérique augmenté ou normal. daplasie. A, D, E - Anémies B - Par myélofibrose secondaire à un envahissement de la moelle normocytaires normochromes. B - Anémie macrocytaire. (érythromyélémie). [256] C - Myélémie réactionnelle dans :B une anémie régénérative. Une grossesse extra-utérine D et E - Absence de myélémie entraîne une anémie aiguê par réactionnelle, ou associée à un hémorragie importante et syndrome myéloprolifératif ou à rapidement évolutive. On une myélofibrose. n’entre pas dans le cadre des [252] saignements chroniques qui :B déplétent progressivement le C’est le seul diagnostic à évoquer. Une hyperlymphocytose capital martial. majeure associé à une polyadénopathie fait rechercher [257] :ABCD en première intention une LLC. A - Hyperhémoglobinémie. [253] Libération d’hémoglobine dans :ABCD le plasma par lyse aiguê des A - Hémolyse de type pénicilline globules rouges. (antigène médicamenteux fixé B - La bilirubine libre (ou sur l’hématie, Coombs de type indirecte) est augmentée dans lgG). B - Hémolyse de type rifampicine, l’hémolyse dans les heures qui quinine, sulfacides, phénacétine, suivent. extraganglionnaires des LNH sont surtout des tumeurs digestives, en particulier l’estomac ou des tumeurs de la sphère ORL. [249] :CD C - Peut entraîner une anémie hémolytique anté-immune vraie (lgG anti Rhésus). D - Anémie hémolytique antéimmune fréquente au cours de la LLC. A, B et E - Sont des causes d’anémies hémolytiques congénitales corpusculaires. Test de Coombs négatif. 21 C - Les réticulocytes augmentent fortement dans les heures qui suivent. D - L’haptoglobine est effondrée dans l’hémolyse intravasculaire car elle capte l’hémoglobine libre. A et D - Sont des signes très précoces d’hémolyse aigué. B et C - Apparaissent dans les heures qui suivent (ici après 6 heures). E - Les hémolyses par incompatibilités transfusionnelles ABC chez un sujet non immunisé sont médiées par les hémolysines régulières, prééxistantes à l’immunisation de type lgM. [258] :ACDE A - La carence martiale quelle qu’en soit la cause peut être accompagnée de thrombocytose. C - Thrombocytose possible. D - Apparait dans les premières 48 heures avec un maximum en 7 à 15 jours. E - Dans le cadre d’un syndrome myéloprolifératif. B - Des thrombopénies sont possibles, avec plaquettes géantes. [259] :AC A - Signe caractéristiques, rares hiatus. B - Au contraire, elles sont nulles ou très diminuées. C - Accompagne une myéloprolifération. donc une augmentation du métabolisme des acides nucléiques. D - li n’y a pas de syndrome inflammatoire associé. E - Une anémie normochrome normocytaire arégénérative est très inconstante. [260] :AE Il n’y a aucune modification de l’hémostase primaire. B et C - Augmentation importante du VIII (facteur Willebrand) ainsi que le VII, X et V. D - L’activité fibrinolytique est fortement diminuée surtout au 3ème trimestre. [261] :BD A - Est en faveur de la malignité. C - Il s’agit d’immunoglobulines de type lgG ou IgA. E - N’intervient pas dans les caractères bénins ou malins. [262] :ABDE 4 apects peuvent être pris par les lésions osseuses dans la maladie de Kahler: - Aucune lésion. - Diminution diffuse de la densité osseuse (A). - Une tumeur osseuse lytique (D). - Des lésions ostéolytiques multiples à l’emporte-pièce sans liseré de limitation ni ostéocondensation. [263] :ACDE B - Ce sont plutôt les chirurgies thoraciques avec CEC, pelvienne (utérine), hépatobiliaire (anastomoses portocave) qui se compliquent de CIVD. Les autres causes sont classiques. D - La CIVD est constante dans la LAM3. [264] :D Devant une thrombopénie isolée modérée sans signe clinique hémorragique, il conviendra déliminer les fausses thrombopénies à EDTA liées à une hyperagrégabilité des plaquettes (probablement par un mécanisme immunologique) en présence dEDTA. [265] :C Sans commentaire. [266] :ACD Sans commentaire. [267] 22 :BCD Ce QCM est mal posé car nous navons aucune notion de l’ancienneté du trouble hémorragique, ce qui serait très important pour évoquer le diagnostic de thrombopathie congénitale où les signes cliniques hémorragiques sont en général très précoces. [268] :ABD La transferrine est la protéine qui fixe le fer au pôle sanguin de la cellule intestinale. En cas de carence martiale, c’est le pourcentage de saturation de la transferrine et le coefficient de saturation qui sont modifiés et pas le taux de transferrine sérique. [269] :BE Sans commentaire. [270] :ABDE Sans commentaire. [271] :E Pour retenir le diagnostic des maladies de Vaquez, il faut les critères suivants : Al + A2 + A3 ou Al + A2 + 2 critères du groupe B. Groupe A: Ai = volume globulaire total >ou = 36 ml/kg chez Ihomme et> ou = 32 ml/kg chez la femme. A2 = saturation artérielle en oxygène > 92 %. A3 = splénomégalie. Groupe B: Bi = plaquettes > 4000001mm3. B2 = GB> 120001mm3. B3 = score des PAL> 100. B4 = vitamine Bi2 sérique > ou = 900 pg/ml. [272] :D La VGM est ici à plus de 120 p3. On rappelle que le VGM se calcule selon la formule Uf(Ht;nbre de GR) [273] :C Sans commentaire. [274] :B On rappelle que dans rinfection par le virus EBV, la cible cellulaire du virus est représentée par les lymphocytes B du sujet qui contiennent intégré dans leur génome le virus. Le virus EBV pénètre dans la cellule B par l’intermédiaire d’un récepteur spécifique et peut entraîner une immortalisation des lymphocytes B. Ce que l’on appelle réaction mononucléosique caractérisée par la présence dans le sang périphérique des malades de grands lymphocytes bleutés hyperbasophiles est en fait, la réaction des lymphocytes T circulants du patient, le plus souvent CD8+, cytotoxiques, reconnaissant à la membrane du ly B infectée par EBV, des déterminants antigéniques du virus présentés dans le contexte des molécules HLA de l’hôte. [275] :AC Le risque d’infection par le virus HIV des hémophiles à l’occasion des traitements substitutifs a disparu totalement depuis 1985 avec la mise au point de nouvelles techniques de préparation du F VIII. [276] :BE On rappelle que l’Aldomet® est responsable d’anémies hémolytiques auto-immunes à test de coombs positif lgG antirhésus. [277] :BE L’anémie inflammatoire est normochrome normocytaire arégénérative ou modérément hypochrome microcytaire arégénérative. Le taux de saturation de la sidérophiline est normal ou modérément diminué. Le fer sérique est bas mais les réserves en fer sont normales. [278] :D Sans commentaire. [279] :D Sans commentaire. [280] :D Le risque d’évolution de la maladie de Vaquez vers une leucémie aigué est de 10 % après traitement par phosphore 32 radioactif. Ce risque de leucémie aiguê est très faible en cas de traitement par les seules saignées. [281] :C Sans commentaire. [282] :D Sans commentaire. [283] :A Sans commentaire. [284] :A Sans commentaire. [285] :D Le temps de Quick explore VII X V accessoirement fibrinogène. [286] :AD Sans commentaire. [287] :AB Sans commentaire. [288] :ABD Sans commentaire. [289] :CDE Sans commentaire. [290] :C Sans commentaire. 23 [291] :B Sans commentaire. [292] :D Sans commentaire. [293] :AC On rappelle les causes de polynucléoses neutrophiles psysiologiques: - nouveau-né, - exercice violent, - menstruations, - grossesse. Il y a donc ici deux réponses exactes à un Q.C.M. à complément simple. Q.C.M. à annuler dans la forme présentée! [294] :C Les complications de la Maladie de Vaquez sont: - Complications thromboemboliques veineuses et artérielles cause du décès dans 10 à 40% des cas. - Hémorragies cause du décès de 6 à 30% des patients. - Maladie ulcéreuse gastroduodénale. - Evolution secondaire vers une myélofibrose médullaire avec métaplasie médullaire chez 3 à 10% des sujets. - Leucémies aiguês dont rincidence est de 1% si le traitement a été constitué de saignées, et de 10 à 13% en cas de traitement du Vaquez par chlorambucil au phosphore radioactif (P32). Il s’agit en général de LA myéloblastiques. - Autres maladies malignes : les traitements par chlorambucil au P32 exposent au risque accru de tumeurs du tractus gastro-intestinal et de la peau. [295] :A La réponse est A. Il existe fréquemment une baisse des taux des immunoglobulines polyclonales de mécanisme non élucidé, en partie responsable des complications infectieuses plus fréquentes rencontrées dans le myélome avec un risque accru d’infections bactériennes à germes encapsulés et notamment à pneumocoque. N.B. : Les lésions habituelles radiologiques osseuses du myélome sont: aspect “oestéoporotique”, lésions lytiques à remporte pièce”, fractures. Il existe cependant des myélomes à lésions osseuses ostéocondensantes. Ces myélomes sont rares, parfois associés à d’autres signes cliniques très inhabituels : neuropathies périphériques, troubles endocriniens, organomégalie. [296] :ACDE Les signes et symptômes des anémies hémolytiques immunologiques par incompatibilité ABO incluents : fièvre, frissons, douleur thoracique, hypotension, nausées, dyspnées, douleur au site d’infusion et dans la région lombaire, hémoglobinurie et choc. Chez le sujet anesthésié, les seuls signes peuvent consister en agitation, hypotension artérielle, saignement généralisé ou au point de ponction lié à une CIVD. L’oligurie s’installe plus tardivement. [297] :ACDE Ce Q.C.M. a peu d’intérêt. Devant des ganglions de ce type chez un patient de 50 ans, on évoquera en premier lieu : D, C puis E et A en dernier. On rappelle que les adénopathies des leucémies aiguès sont fréquentes dans les formes lymphoblastiques, rares dans les formes myéloblastiques. [298] :E Sans commentaire. [299] :ABCDE On précisera que: - L’absorption de l’acide folique se fait tout au long de l’intestin grêle mais principalement au niveau du jejunum sous forme de monoglutamates par un mécanisme actif. - Parmi les causes médicamenteuses, on rappellera : toutes les classes d’anticonvulsivants probablement par un mécanisme de malabsorption des folates alimentaires, les inhibiteurs de la DHFR: Méthotrexate, trimethoprim (Bactrim®), triamtérène (Tériam®), Pentamidine et Pyriméthamine. [300] :AB On notera que - La consommation chronique de cigarettes est responsable de polyglobulie secondaire par l’intermédiaire d’une maladie pulmonaire secondaire avec hypoxémie artérielle liée à l’hypoventilation artérielle. - La polynucléose neutrophile est fréquente, modérée, réversible. [301] :AD On notera que: - L’afibrogénémie congénitale comme l’hypofibrinogénémie et les dysfibrinémies se caractérisent par un allongement du temps de thrombine. - L’intoxication aux AVK entraine une baisse des facteurs de coagulation Il, VII, IX, X et des anticoagulants physiologiques : protéine C et protéine S. - On retiendra que le facteur V est soit normal soit modérément diminué dans les fibrinolyses aigués primitives isolées. 24 [302] :ABE - La thrombopénie est modérée de l’odre de 50 à 100.000/mm3 proportionnelle au volume de la rate avec une durée de vie des plaquettes normale en général. - L’hypervolémie plasmatique est liée à l’hémodilution par dérivation vers la rate d’une fraction élevée du débit cardiaque et pouvant s’accompagner d’une augmentation du débit cardiaque à 4-8 l/min/m2 avec risque de retentissement cardiaque. - Les anémies de l’hypersplénisme sont liées à : l’hémodilution, la séquestration splénique avec destruction des globules rouges dans les cordons de la pulpe rouge avec signes d’hémolyse biologiques, de rares crises d’anémie aiguê dans certaines étiologies (crises drépanocytaires, accès aigù de paludisme) - La neutropénie est modérée liée à une margination augmentée des polynucléaires dans la rate. [303] :BCD Les causes de polynucléoses neutrophiles sont: - Les infections, les syndromes inflammatoires, les hémopathies : causes fréquentes. - Des anomalies métaboliques: insuffisance rénale, Maladie de Cushing, acidose diabétique. - Des produits chimiques et médicaments: histamine, héparine, benzène, plomb, mercure. - Les corticoïdes, l’adrénaline, le tabac. - Des augmentations éphémères liées à : émotion, thalassémies hétérozygotes associée: - Une psuedopolyglobulie ou une anémie discrète (110g ± 10g Hb les femmes, 130 ± 10g hommes) - Une microcytose (65 ± 5 FI) - Une hypochromie avec taux de méticuloytes normal ou peu augmenté - Un taux d’HbA2 supérieur à 3,5%, parfois un taux d’HbF supérieur à 1% et inférieur à 3% - Le bilan du fer sérique est normal. En cas de sidéropénie associée, il peut y avoir normalisation du taux d’HbA2. [307] :ABDE Il n’y a jamais de splénomégalie dans le PTL [308] :BD La conduite à tenir est: - Examen clinique complet à la [305] recherche d’un foyer infectieux :BCE ou d’une porte d’entrée Les signes cliniques associés - Bilan infectieux complet avec: sont hémocultures multiples, - Pâleur cutanée et muqueuse prélèvement gorge, prélèvement - Polypnée d’effort cutané s’il y a lieu, coproculture... - Tachycardie d’effort, - Bilan bio standard, radio de tachycardie de repos ou au thorax, isolement en chambre moindre effort seule essentiellement en milieu - Crampes nocturnes, claudication intermittente selon stérile - Mise en route du ABiothérpie à le terrain large spectre immédiate : - Crise d’angor pouvant disparaître avec la correction de habituellement association céphalosporine + aminoside et l’anémie mais témoignant le éventuellement traitement antiplus staphylococcique souvent d’une insuffisance - Eventuellement AB per os pour circulatoire cardiaque - Souffles systoliques à l’axe ou décontamination du tube digestif - Surveillance clinique toutes les à l’origine pulmonaire avec heures: pouls, antibiothérapie, orthopnée, oedèmes des tension artérielle, fréquence membres respiratoire, diurèse, inférieurs, cardiomégalie, bruit température. de galop [309] - Fatigue, céphalées, :ABCDE bourdonnements d’oreilles, Sans commentaire. vertiges, rarement oedème [310] papillaire au F0. :C [306] Sans commentaire. :ABE [311] Le tableau des bêta douleur, traumatismes, interventions chirurgicales, convulsions choc électrique, exercice physique intense. [304] :BCD - Les infections bactériennes aiguès sévères s’accompagnent d’hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles avec parfois myélémie. - Dans les métastases médullaires de cancer, il s’agit le plus souvent d’une érythromyélémie avec présence d’érythroblastes circulants. Le tableau hématologique se complète dans les formes typiques d’anémie hémolytique mécanique avec schizocytose, de thrombopénie et parfois de signes de CIVD. 25 :C Sans commentaire. [312] :D La rate est considérée comme un organe lymphoïde. [313] :ABE Sans commentaire. [314] :BCD Sans commentaire. [315] :BE Lanémie de rinsuffisance rénale chronique est typiquement normochrome normocytaire et arégénérative. [316] :BC La maladie de Mosckowitz est une microangiopathie thrombotique de l’enfant avec atteinte rénale prédominante. Il existe à la fois des signes hémorragiques et thrombotiques. Il n’y a pas de troubles hémorragiques classiquement dans le scorbut mais une anémie normochrome qui se corrige sous vitamine C. [317] QUESTION ANNULEE. [318] :ACD Sans commentaire. [319] :BDE Sans commentaire. [320] :B Sans commentaire. [321] :A Sans commentaire. [322] :D Sans commentaire. [323] :C Sans commentaire. [324] :CE On rappelle que: Catégorie A: absence de signes systémiques Catégorie B : un signe parmi les suivants - fièvre inexpliquée à plus de 38°C depuis plus de 8 jours - Présence de sueurs nocturnes - Perte de poids supérieures à 10% du poids du corps dans les 6 mois précédents. [325] :ABC Sans commentaire. [326] :AE Sans commentaire. [327] :CE Sans commentaire. [1] :B VGM = Ht/Gr = 77 micron3. CCMH = Hb/Ht = 0,33. Réticulocytes = 42 000 < 120 000 donc absence de régénération. [2] :AC A - Microcytose par ralentissement de production de Hb et CCMH atteint une mitose plus tard (permet la libération de rhématie). B - Macrocytose. C - Microcytose idem A. DE - Ecartés devant l’absence de réticulocytose. [3] :B La carence en fer entraîne un défaut de synthèse de l’hémoglobine. [4] :C A - Anémie normo ou macrocytaire. B - Anémie macrocytaire. D - Anémie normo ou macrocytaire (régénération). E - VS élevée normo puis macrocytaire. [5] :E Il n’y a pas de signe de mauvaise tolérance de l’anémie, le traitement martial per os n’est pas urgent et sera démarré après enquête étiologique complète. [6] :B - VGM = Ht/Gr = 108 i• - CCMH = Hb/Ht = 0,33.. - PN = 1000 donc neutropénie. [7] :B La macrocytose est la conséquence d’un asynchronisme de synthèse hémoglobine/ADN. [8] :A Permet d’apprécier la richesse médullaire et la qualité des constituants. [9] :BE A - Anémie normo ou macrocytaire. C - Anémie microcytaire. D - Anémie normo ou macrocytaire sans neutropénie. [10] :B A - Peu évocateur en raison de l’âge, de l’importance de l’altération de l’état général, de l’absence de lymphocytose. C - Probable, découverte le plus souvent devant des adénopathies profondes thoraciques ou abdominales, ou une localisation ORL. D - Pas dadénopathies périphériques (sauf si acutisation), hémogramme peu évocateur. [11] :A A - Permet de stadifier la maladie sur le plan topographique et de suivre I évolution de façon simple (cliché de contrôle). B - Inutile si radiographie de thorax normale. C - Permet d’apprécier 26 l’envahissement médullaire et le mode d’extension topographique. D - Uniquement si hépatomégalie ou anomalies du bilan hépatique. E - Sans intérêt. [12] :B L’envahissement médullaire impose une chimiothérapie. [13] :D Atteinte ganglionnaire de part et d’autre du diaphragme et présence de signes d’évolutivité clinique (amaigrissement de 10 % du poids en 6 mois). [14] :BC A - Définition du purpura. D.E - En faveur d’une autre cause (par exemple : thrombopénie). [15] :D A - Doit être normal en ce qui concerne l’hémostase primaire. B - Normal dans les purpuras vasculaires. D - Permet la caractérisation histologique des lésions des petits vaisseaux. [16] :C Facteur pronostique de la plupart des vascularites. Le degré d’atteinte est apprécié à l’histologie (PBR). [17] :BC Les autres causes ne sont pas des vascularites. [18] :BD Sans commentaire, évident. [19] :D L’âge du patient, l’existence d’une altération modérée de l’état général, d’une splénomégalie et de polyadénopathies orientent vers ce diagnostic. [20] :B A - Pas au stade de début. C - Myélome. D - Leucémie myélocytaire. E - Métastases médullaires, leucémies aiguès. [21] :BD A - Sans rapport. B - Recherche d’une gammapathie monoclonale ou hypogammoglobulinémie. C - Sans rapport. D - L’anémie hémolytique autoimmune est une complication classique. E - Sans intérêt. [22] :CE Caractérisent toutes deux la dysimmunité cellulaire et humorale. [23] :B A - Cellules de Steinberg rares (type I). B - Lymphocytes et cellules de Steinberg en quantité importante, ainsi que des polynucléaires neutrophiles et éosinophiles et des histiocytes et plasmocytes (Type III). C - Type Il = nodules + travées de collagène. D - Type IV, de type fibreux ou réticulaire. [24] :B Fait partie du bilan d’extension. Sa positivité implique un stade IV (topographique). Les autres examens précisent l’évolutivité biologique. [25] :D Le traitement repose sur ralternance chimio et radiothérapie. [26] :ABD C - Anthracyclines (Adriamycine®). E - Methrotrexate®, Purinéthol®. [27] :D Diagnostic évoqué sur l’âge, le caractère des polyadénopathies, la spiénomégalie, la conservation de l’état général, les données de l’hémogramme. [28] :C Qui montre un envahissement lymphocytaire de la moelle. La biopsie du ganglion est non spécifique. [29] :B A - Conséquence du renouvellement cellulaire rapide. B - Fait passer la classification au stade C. Médiane de survie 20 mois (stade le plus évolué dans classification de Binet). C.D.E - Montrent une évolutivité, moins préoccupante que B. [30] :C Les attitudes possibles sont Abstention (stade A) et surveillance ; monochimiothérapie (chloraminophène) stade B. protocole thérapeutique plus lourd (stade C). [31] :C VGM = Ht/Gr = 58 p3. CCMH = Hb/Ht est normale. [32] :BE Taux de fer sérique = 50 à 150 pour 100 ml. CTS = 150 à 450. CTS élevée si anémie ferriprive, basse en cas d’inflammation (catabolisme). [33] :B La carence martiale est une étiologie classique des thrombocytoses. [34] :A A - Dans le cadre d’une anémie sidéroblastique congénitale microcytaire, transmission 27 récessive liée au sexe. B - Macrocytose. C - Normocytose. D - Donne une insuffisance médullaire avec normocytose et atteinte des autres lignées. E - Anémie normochrome normocytaire ou macrocytaire (hémolyse chronique ou en poussée). [35] :BE A - Pratiquement jamais en cause. B - Cause fréquente (100 ml = 50 mg de perte de fer). C - Peut aggraver mais non expliquer. D - Serait régénérative avec restauration du chiffre dHb. E - Cause classique à rechercher systématiquement chez la femme. [36] :ABE A - Mieux tolérés mais moins bien absorbés. B - Non, sauf malabsorption ou troubles digestifs majeurs. C - Ce dont il faut prévenir le patient. D - 100 mg à 250 mg par jour dont 20% seulement sont absorbés. E - Non, au minimum 3 mois sont nécessaires. [37] :BC B - Fait partie du syndrome d’hyperviscosité sanguine. C - Conséquence de la polyglobulie. [38] :E Seul cet examen permet d’affirmer la polyglobulie vraie, définie par : VG > 36 ml/kg chez rhomme, VG > 32 ml/kg chez la femme. [39] :BC Permettent d’éliminer les polyglobulies secondaires: B - A une désaturation du sang transmission récessive liée au sexe (prouvée par rX). [45] :ABDE C - Trouble de l’hémostase primaire non concernée par l’hémophilie A. [46] :ACE B - Au contraire, en raison des risque transfusionnels. D - Sans risque hémorragique. [47] :CDE A - L’âge est davantage un argument d’orientation. B - Non spécifique. C - Argument clinique majeur, mais inconstant. DE - En relation avec le syndrome myéloprolifératif. [48] :E Permet seule le diagnostic de syndrome myéloprolifératif et au contraire du myélogramme permet d’apprécier l’architecture de la moelle. [49] :ABC Le traitement dépend de l’âge du patient, du taux de plaquettes et du degré d’urgence (hyperviscosité imposant les saignées). [50] :C Les saignées répétées nécessitent une surveillance régulière de l’hématocrite et des plaquettes. [51] [43] :AC :C Permettent d’éliminer les Le cryoprécipité apporte le polyglobulies secondaires à une facteur VIII manquant et du hypoxie tissulaire (A) ou à une fibrinogène. Doses : 20 à 40 hypersécrétion d’érythropoïétine U/kg toutes les 8 heures. (B = cancer du rein, kyste rénal, La ponction évacuatrice est sténose de l’artère rénale). nécessaire ainsi que [52] l’immobilisation et la :E rééducation pour prévenir les complications rhumatologiques. ABC - Signes de polyglobulie non spécifiques. [44] D - Plutôt en défaveur. :C Maladie héréditaire avec artériel en oxygène (causes respiratoires ou cardiaques). C - A une cause tumorale rénale (cancer ou kyste du rein). Il faut en outre rechercher une hémoglobinopathie, un hémangioblastome du cervelet, un hépatome, un fibrome utérin et un cancer ovarien (chez la femme), un syndrome de Cushing. [40] :C En raison de l’existence dune splénomégalie, et de signes d’atteinte des trois lignées sanguines (hyperleucocytose, thrombocytose). [41] :E A - Entraîne un allongement du temps de saignement. B - Idem. C - N’est révélée que lors d’interventions chirurgicales. D - Seulement avec un temps de Quick allongé, un temps de thrombine normal et un taux de facteur Il, V, VII, X normal. [42] :A L’hémophilie B (déficit en facteur IX) est six fois moins fréquente. Les déficits en facteurs Xl et XII sont rares et le plus souvent sans traduction clinique. 28 E - Argument majeur mais inconstant. [53] :B Seul test diagnostic permettant d’affirmer la polyglobulie vraie et d’éliminer hémoconcentration et pseudo-polyglobulie. [54] :CD La saignée entraîne une hyperpiaquettose, source ellemême de thrombose. Elle n’est dont pratiquée que si les plaquettes sont inférieures à 800 000 par mm3. Pas de prescription de chimiothérapie sans diagnostic de certitude. [55] :A VGM = HtIGR = 90 p3 = normocytaire. CCMH = Hb/Ht = 0,33 = normochrome. Réticulocytes < 120000 par mm3 = arégénérative. [56] :A Il s’agit dune leucémie aiguê lymphoblastique. Luricémie augmente en raison de rhypercatabolisme des nucléoprotéines cellulaires secondaires à la maladie et au traitement. [57] :AB Permettent de prévenir les lithiases uriques. C - Pas d’indication, pas de voie 1M (thrombopénie). D.E - Pas d’indication (cf: hémogramme). [58] :BCD A - Concerne le Cisplatyl®. B - Risque de syndrome pseudo-occlusif parfois prévenu par l’adjonction de Prostigmine®. C - Complication classique D - Transitoire E - Concerne les anthracyclines (Adriamycine®). d’éléments du dossier en faveur d’une majoration des besoins en fer. [64] :B La correction se fait par voie orale, sauf dans des circonstances exceptionnelles (voie per os impossible, intolérance absolue). La dose quotidienne nécessaire est de 50 mg. 20 % seulement sont absorbes. Il faut donc 250 mg par jour en 2 ou 3 prises, mieux tolérés au moment des repas. [65] :E Durée de correction des paramètres: B - 2 mois. c - Quelques semaines. D - Quelques semaines. E - Plusieurs mois (dernier élément à se normaliser). [66] :AcDE Par définition. [67] :ABCDE Ainsi qu’au cours des régénérations médullaires après hémorragie ou hémolyse, des stress, de l’exercice ou de la grossesse. [68] :BE L’association d’une [62] splénomégalie avec myélose, :AB thrombocytose et anémie oriente Orientation sur les données cliniques. Les autres étiologies vers un syndrome myéloprolifératif dont la nature sont gynécologiques, liées à l’absorption (gastrectomie, pica, exacte sera précisée par la biopsie osseuse. maladie coeliaque), ou à une [69] majoration des besoins :BCE (nourrisson, croissance, Dans la LMC, les PAL sont grossesse). effondrées (sauf en cas [63] d’acutisation), le chromosome :A Philadelphie est présent, la En l’absence de pertes de fer digestives ou gynécologiques, il moelle est hyperplasique (lignée granuleuse surtout) et équilibrée. faut rechercher un trouble de La fibrose ne survient qu’en fin l’absorption, évoqué ici sur d’évolution. Dans la l’association à des lipothymies avec sueurs pouvant être liées splénomégalie myéloïde, les PAL à une hypoglycémie. Il n’y a pas ne sont pas effondrées, il n’existe [59] :C Sans commentaire. [60] :BC La carence martiale entraîne une microcytose, définie par un VGM <85 p3 et est fréquemment associée à une thrombocytose. Les leucocytes sont en nombre normal. [61] :A A - Dosage indirect de fer sérique (lié à la transferrine ou sidérophilline) lors de la constitution la déplétion se fait aux dépens de la ferritine puis on observe une augmentation réactionnelle du taux de sidérophilline. B - Utilisé dans le diagnostic des anémies hémolytiques (alors effondrée). C - Protéine porteuse du cuivre, non concernée. D - Présente dans les hémolyses intravasculaires. E - La coloration de Perls met en évidence la présence d’hémosidérine (sidéroblastes), fer de réserve insoluble lentement disponible. Cet examen est inutile au diagnostic. 29 pas de chromosome Philadelphie et l’architecture de la moelle est modifiée (fibrose classée en 3 stades). [70] :AB En cas d’anémie d’installation rapide, on note un pouls rapide et une hypotension qui peut aller jusqu’au choc (TA < 80 mm Hg). L’hémogramme est un mauvais reflet dans les premières heures, l’anémie étant initialement sous estimée (perte de globules et de plasma) puis surestimée (hémodilution par afflux de liquide extracellulaire). L’anémie n’est régénérative qu’autour de 48 heures. [71] :CD D - N’est à pratiquer qu’en cas de stimulations antigéniques nombreuses (grossesses, transfusions multiples) et se fait en dehors de l’urgence. [72] :B A - Le groupe O renferme les “donneurs universels dangeureux”, comportant des sujets avec hémolysines immunes, anti A. Ils sont donc réservés aux sujets O sauf extrême nécessité. B - Réponse la plus adaptée C - Non, patiente rhésus +. D - La patiente possède des anticorps anti-B. E - La patiente possède des anticorps anti-B. [73] :C Survenue d’un syndrome frisson-hyperthermie (sans choc) évocateur d’immunisation antiHLA. [74] :AB A.B - Sont systématiques devant tout accident transfusionnel, ainsi que la pratique d’un test de Coombs direct, la recherche d’une contamination bactérienne (culot, hémoculture), de signes de CIVD. [75] :E A - Fibrinogène normal (abaissé dans CIVD). B - TP abaissé (normal dans le Willebrand). C - Pas de modification aussi importante du TP et du TCA. D - Fibrinogène normal (abaissé dans l’insuffisance hépatique majeure avec TP à 5 %) et TT normal. E - Allonge le TP et le TCA. [76] :B A - Non, facteur V serait effondré. B - Les facteurs Il, VII, IX et X sont vitaminoK-dépendants. C - Donne des déficits en facteur X. D - Donne des thromboses. E - Non, le facteur V serait très bas. [77] :C A - Contient du facteur VIII. B - Uniquement en l’absence de PPSB. C - Apporte tous les facteurs vitamino K dépendant. D - Hémostatique d’indication rare, agit sur tous les temps de l’hémostase. E - Pas de chute du taux d’hémoglobine. [78] :C A - Troubles de l’hémostase primaire, allongement du temps de saignement. B - Allongerait le temps de thrombine ici normal. C - Tableau éloquent. D - Pas de troubles de l’hémostase. E - Pas de troubles de l’hémostase. [79] :B VGM = Ht/nbGr = 52,5 p3 (N = 85-100). CCMH = Hb/Ht = 0,35 (N = 3036%). Fer sérique normal (N = 12-24 pmol/litre). [80] :E Parmi les origines des pertes sanguines, il faut rechercher une cause digestive en priorité chez rhomme, gynécologique en priorité chez la femme. Ces deux étiologies sont les plus fréquentes. On pensera ensuite aux troubles de rabsorption puis aux augmentations des besoins. [81] :B Démarche diagnostique = fibroscopie, puis coloscopie, puis transit du grêle (si les examens précédents n’apportent pas la réponse). [82] :BCDE A - Conséquence de l’anémie. B - Troubles des phanères liés à la carence martiale. C - Retentit sur tous les métabolismes de rorganisme. D - Atrophie des muqueuse digestives liées à la carence martiale. E - Une des plus fréquentes cause de thrombocytose. [83] :C Soit 200 mg de fer par jour pendant deux mois puis deux mois, à demi-dose pour reconstituer les réserves. [84] :C Donne un tableau multicarentiel associant entre autres, carence martiale et en folates. [85] :E VGM = Ht/Gr, CCMH = Hb/Ht. VGM = 117 p3 = macrocytose, CCMH = 0,33 normale. Réticulocytes < 150 000/mm3 30 donc arégénérative. [86] :B Cette anomalie entraîne, en l’absence d’anomalie de synthèse de l’Hb associée, un asynchronisme entre la maturation nucléocytoplasmique et une macrocytose. Il existe une insuffisance médullaire qualitative, car une grande partie des cellules souches mégaloblastiques narrive pas à terme (hémolyse intramédullaire). Toutes les cellules à renouvellement rapide sont touchées par les défauts de maturation. [87] :BD Les deux étiologies les plus fréquentes sont les carences en vitamine B12 et en folates. Les dosages doivent être effectués avant tout traitement, ainsi que le myélogramme, la mégaloblastose médullaire disparaissant en 24 à 48 heures après apport de vitamine B12. [88] :CD Le régime pratiqué par le patient est riche en B12 (viande, poisson) mais pauvre en folates (absence de légumes verts, de fruits). La normalité du test de Schilling élimine un trouble d’absorption de la vitamine B12. Les troubles d’utilisation des folates sont extrêmement rares. [89] :D Les doses exactes sont de 3 x 5 mg (3 comprimés de Foldine®) par jour jusqu’à disparition totale des troubles hématologiques et tant que la cause persiste. Il n’y a pas d’effets secondaires. La voie parentérale est réservée aux traitements par médicaments antifoliques et aux grandes malabsorptions. [90] :D Durée = environ 2 mois. [91] :C La définition de la polyglobulie est donnée par le volume globulaire> 36 mlIg chez les hommes et> 32 ml/kg chez les femmes. Permet d’éliminer I’hémoconcentration. [92] :ABC A - Hb> 13 g/100 ml, absence de microcytose, VGM = Ht/Gr = 87 B - Il s’agit d’une polyglobulie vraie (VG > 36 ml/kg). C - Non, car Sa02 est normale. D - L’UIV est l’examen indispensable pour diagnostiquer une polyglobulie secondaire (+ écho, scanner) par sécrétion inappropriée d’érythropoïétine. Les gaz du sang sont de même pratiqués de façon systématique. E - Diagnostic le plus probable. [93] :D Il s’agit d’un syndrome myéloprolifératif avec atteinte de toutes les lignées (hyperleucocytose, thrombocytose). La valeur du volume globulaire total définit la polyglobulie vraie mais ne donne aucune orientation étiologique. La VS est basse, mais ce n’est pas un signe spécifique. [94] :E A - Uniquement chez les sujet âgés avec facteurs de risque vasculaire. Risque leucémigène. B - Associée aux saignées chez le sujet jeune. C - Sujet âgé, facteurs de risque vasculaire. D - Chélateur du fer :ADE A - Toxicité médullaire réversible en 10 à 20 jours. B - Concerne la vincristine. C - Concerne les anthracyclines (Adriamycine®). D - Complication de la corticothérapie. E - Complication des alkylants (mélphalan). [100] :ACDE B - Il existerait plutôt une hyperleucocytose avec myélémie (sans hiatus entre les formes jeunes) avec un [96] pourcentage modéré de blastes :AD et une thrombocytose. Chez un sujet âgé bien portant, les arguments en faveur d’une 1g [101] :BD monoclonale bénigne sont une B - Permet de définir si ranémie VS peu accélérée, un pic < 20 est régénérative si g/litre, l’absence de lésions réticulocytes> 150 000 par osseuses, une plasmocytose médullaire < 5 %, la conservation mm3 (Ccomme dans des autres 1g, l’absence rhyperhémolyse). d’anémie et d’hypercalcémie, D - Le troisième dosage utilisé l’absence de P.B.J et surtout est celui de l’haptoglobine l’évolution (surveillance+++). effondrée dans [97] l’hyperhémolyse. :ABCD Ne font pas partie des arguments [102] :C de diagnostic différentiel La fibroscopie permet de mettre (appartiennent à tous les en évidence les varices tableaux de dysglobulinémie oesophagiennes ou monoclonale). cardiotubérositaires, signant E - Il s’agit d’une immunoglobuline monoclonale de l’hypertension portale. [103] type lgM. :BDE [98] A - Voir question [100]. :AE B - Syndrome lymphoprolifératif Les critères diagnostiques sont constitué de cellules à les suivants cytoplasme chevelu. - radiologiques (présence de C - Argument en faveur d’une géodes) thrombopénie secondaire. - protidiques (1g monoclonale, D - Type amylose, Nieman baisse des autres 1g, PBJ) - médullaire (plasmocytes> 15%). Pick, Gaucher. B - Non spécifique. C - Non, hypercalcémie (n’est [104] pas un critère diagnostique, mais : C D A.B - Si suspicion de pronostique). destruction ou de D - La PBJ est formée de séquestration. chaînes légères à C - Diagnostic de syndrome l’électrophorèse. Iymphoprolifératif. [99] (thalassémie). E - Est un des signes d’hyperviscosité. [95] :CE Le dosage de la ferritinémie et du coefficient de saturation de la sidérophilline permettent de différencier anémies inflammatoires et ferriprives, où le fer sérique est chaque fois bas. Le fibrinogène est normal et non augmenté comme lors de syndromes inflammatoires. 31 D - Diagnostic de maladie de surcharge. E - Recherche du chromosome Philadelphia (LMC). [105] :ABE A - Apparait au décours (48 heures), maximum 10 jours puis régression (environ 600 000/mm3). B - Témoins dune asthénie fonctionnelle. C - Sans rapport. D - Sans rapport. E - Dans les suites immédiates. [106] :D Premier geste permettant de différencier atteintes centrales et périphériques, mais ne permet pas de faire la différence entre les diverses étiologies d’atteinte périphérique. C’est l’examen le plus utile, mais il est insuffisant. [107] :ACD A - Thrombopénie auto immune secondaire (syndrome d’Evans). B - Pas d’effet secondaire de ce type décrit. C - Thrombopénie virale classique. D - Thrombopénie virale classique. E - S’accompagne parfois d’une thrombopénie modérée. [108] :A A - A la dose dl mg/kg/jour. B - Efficacité transitoire. C - Si échec de A. D - Si risque hémorragique aigu. E - Pas d’utilisation classique. [109] :ABC PTI corticosensible ou dépendant. Les rechutes à distance sont rares mais possibles. [110] :B A - Pas de pancytopénie; n’expliquerait pas le tableau. B - Correspond au tableau, contexte évocateur de néoprostatique. C - Dans l’insuffisance hépatique, le test à l’éthanol est négatif, la thrombopénie est modérée, les facteurs VII et X sont diminués de façon prédominante par rapport aux facteurs Il et V. D - Pas de thrombopénie, pas de complexes solubles ni de PDF. E - Pas de thrombopénie, fibrine normale, pas de PDF ni de complexes solubles. [111] :E Activation de la voie exogène de la coagulation par les thromboplastines tissulaires libérées par destruction des cellules par la tumeur. [112] :A Le PFC apporte tous les facteurs de la coagulation sauf les plaquettes. Le PPSB est formellement contre-indiqué (apportant des facteurs activés entretenant la CIVD). Doit être complété par apport de plaquettes (> 50 000Imm3). [113] :E Traitement palliatif d’un cancer de la prostate probablement disséminé (LIND). [114] :E Les quatre premières données sont normales ou subnormales. [115] :BC Ce déficit peut être congénital ou acquis (héparine, oestroprogestatif, syndrome néphrotique lasparaginase, CIVD, insuffisance hépatique). [116] :ABC Transmission autosomique dominante. Correction du déficit par injection de PFC ou dAT III concentré. 32 [117] :C Etiologie des maladie thromboemboliques familiales: - déficit en protéine C - déficit en protéine S - déficit en antithrombine III. [118] :D Permet de mettre en évidence soit une absence totale de granulocytes, soit un début de régénération médullaire. [119] :C A - La prise remonte à 3 semaines (trop ancienne). B - Anémie immunoallergique. C - Interrogatoire policier nécessaire. E.D. - Ne provoquent pas dagranulocytose. [120] :B Antibiothérapie par voie parentérale à large spectre après prélèvement (hémoculture). [121] :B Permettant d’isoler éventuellement le germe en cause, mais ne doivent pas retarder le traitement (ne pas attendre le résultat). [122] :C Le risque majeur est l’infection pendant la période dagranulocytose. [123] :E La réintroduction est bien sûr formellement contre-indiquée. [124] :ADE A - Signe datrophie des muqueuses digestives (glossite, dysphagie, brûlures oesophagiennes ou épigastriques). B - Sans rapport. C - L’hyposidérémie peut donner les troubles digestifs cités à l’item A, mais est sans relation avec la constipation. D - Les ongles sont mous, cassants, concaves (koïnolychie). E - Fréquemment associée. [125] :E Les étiologies des anémies ferriprives sont: - perte de fer: d’origine digestive ou gynécologique (90 % des cas) essentiellement - plus rarement: prélèvements de sang répétés, saignements provoqués, le contexte implique des examens mettant en évidence une perte de fer en particulier examen gynécologique - troubles de l’absorption: résection digestive, maladie coeliaque, pica - majorations des besoins: nourrisson, croissance, règles abondantes, grossesses répétées et rapprochées. [126] :ACD En période d’activité génitale, environ 40% des femmes ont un bilan de fer négatif et8 à 10% une anémie ferriprive. Les grossesses surtout répétées, accentuent le risque de carence. Les hémorragies liées au stérilet et les dons de sang participent à la genèse de l’anémie. D.E - Sans rapport. [127] :D Un adulte de 70 kg a environ 4 gr de fer dans l’organisme, répartis en - fer héminique : hémoglobine (75 % du total), myoglobine (5 %), enzyme (0,5) - fer non héminique : de réserve (25 %) foie, rate, moelle, hémosidérine, ferritine - fer plasmatique (0,1 %). [128] un sérum à étudier. La recherche d’anticorps anti-H LA et d’anticorps anti-plaquettes se fait en cas de nécessité de transfusions de leucocytes ou de plaquettes. [133] :C Il s’agit de culots érythrocytaires phénotypés compatibles avec le sang de la patiente permettant d’éviter les accidents d’hémolyse mineurs. [134] :E A - Eliminé en raison de la durée d’incubation. B - Non, absence de fièvre ou de signes infectieux. [130] C - N’apportant pas d’éléments :A d’orientation thérapeutique. Il faut prévenir le patient des D - Elle est indispensable, le effets secondaires: taux des anticorps étant parfois - coloration des selles en noir, trop faible pour une détection constipation, diarrhée, nausées, précoce. brûlures abdominales E - Il s’agit d’une intervention à - céphalées, vertiges La pigmentation cutanée au point risque hémorragique chez une de piqûre peut survenir en cas de patiente anémique. Il est donc indispensable de déterminer la traitement parentéral, cause de l’hémolyse afin de dindication exceptionnelle (inefficacité du fer per os dans les transfuser des culots compatibles phénotypés (risque grandes malabsorptions). d’accidents plus graves dans le [131] cas contraire). L’intervention :D doit donc Il s’agit très probablement d’un être, repoussée. accident transfusionnel minime, Un délai de 34 jours est soit dans le système rhésus suffisant pour la positivation (anticorps acquis lors de des tests immunologiques. transfusion antérieures ou de Commentaires: grossesses), soit dans d’autres Question litigieuse, E et D sont systèmes (Keli, P, Duffy...). indispensables, mais par ordre L’hémolyse est intratissulaire, pratique, E plus que D. plus rarement intravasculaire. [135] [132] :B :BCD Il faut recharger en fer la Ces déterminations permettent patiente, per os, bien sûr. d’éviter les accidents [136] transfusionnels ultérieurs en :BC sélectionnant les sangs B - En relation avec compatibles. Le test de Coombs direct permet l’hyperviscosité. de rechercher les anticorps fixés C - Signe de polyglobulie. sur les globules rouges du sujet. D - Sans rapport. Le test indirect permet de mettre E - Sans rapport. [137] en évidence des anticorps dans :E Soit 100 à 250 mg par jour pendant deux mois, puis deux mois à demi dose pour reconstituer les réserves. [129] :E 100 mg par jour sont nécessaires pour corriger le déficit, certains préconisent même des doses plus fortes pour la raison suivante : 50 mg est la dose nécessaire pour obtenir une réponse médullaire optimale, mais comme 20 % du fer per os au plus est absorbé, 250 mg/jour est la dose à prescrire par jour. 33 :E La mesure de la masse globulaire totale par isotopes (CRS I) fait seule le diagnostic de polyglobulie vraie. splénomégalie avec prolifération sanguine de tricholeucocytes. [141] :D A - Montre une moelle riche constituée à 80-90 % de cellules de la lignée granuleuse à tous [138] les stades de la maturation. :BC Permet l’étude cytogénétique. A - N’est pas un examen suffisant pour faire le diagnostic B - Sans intérêt diagnostic. D - Met en évidence le de polyglobulie secondaire à chromosome Philadelphie, une anomalie acquise, spécifique, cause respiratoire. présente dès B - Examen indispensable le début de la maladie devant toute polyglobulie (translocation réciproque (diagnostic des causes chromosomes 22/9) et à tous les respiratoires). stades, dans C - Idem B. Causes 90 % des cas, permet un urologiques. diagnostic précoce. D - L’hyperuricémie fait partie E - Sans intérêt diagnostic. du tableau de maladie de [142] Vaquez. E - L’hypertrophie splénique Médiane de survie: 3 ans (peut constatée dans la maladie de aller jusqu’à 10 ans). Vaquez est un argument [143] important :ABCE mais non constant. A - Par hyperuricémie. [139] B - Par thrombose veineuse. :C C - Parfois annonciateur A - N’explique pas la d’acutisation. splénomégalie. D - Ne fait pas partie des B - Idem item A. complications. C - En raison de la E - Par thrombose artérielle. Les splénomégalie, de autres complications sont les l’hyperleucocytose, de la hémorragies, de rares thrombocytose. infections, l’insuffisance D - N’explique pas la médullaire celles du traitement, la splénomégalie. myélofibrose. Les deux E - Idem item D. principales [140] causes de décès sont les :B thromboses ou les hémorragies, A - Non, ce n’est ni le terrain en dehors de l’acutisation. (plutôt homme de la [144] soixantaine), ni la présentation :ABD clinique A.B. - Acutisation suspectée (polyadénopathie +). devant une altération de l’état B - Tableau caractéristique : général une fièvre isolée, des altération de l’état général, sueurs, un prurit, une splénomégalie, augmentation rapide de la rate et hyperleucocytose avec du foie, l’apparition de foyers myélémie, thrombocytose. blastiques; confirmée par la C - Non, pourcentage de présence de plus de 30 % de blastes < 30 %. blastes dans le sang ou la D - Non, idem item C. moelle. E - Non. il s’agit d’une 34 Le type est précisé par l’étude cytologique et cytochimique. C - Sans rapport. D - Complication classique. E - Sans rapport. [145] :BC Les sujets exposés sont ceux qui sont confrontés au benzène et aux radiations. A - Risque de silicose et danthracose. B - Exposition aux radiations. C - Exposition au plomb, mais utilisation parfois de diluants benzéniques. D - Exposition aux colorants aromatiques. E - Exposition au plomb. [146] :B A - Antiagrégant plaquettaire. B - Etiologie classique (Avafortan®, Baralgine®, Salgydall®, Optalidon®...). C - Néphrotoxicité. D - Hépatotoxicité à forte dose. E - Hépato et néphrotoxicité. [147] :D A - N’entraîne pas d’agranulocytose. B - Donnerait plutôt une hyperleucocytose modérée avec inversion de la formule, neutropénie absolue modérée et lymphocytes normaux cotoyant de grands mononucléaires bleutés. C - Ne donne pas d’angine. D - Diagnostic à confirmer ou écarter par myélogramme (si oui, présence de plus de 30 % de blastes). E - Ne touche pas la lignée granuleuse. [148] :E En cas dagranulocytose toxique, après arrêt du médicament responsable, la guérison est obtenue en 5 à 15 jours sous traitement symptomatique, parfois trois semaines. Le myélogramme initial peut montrer soit une absence totale de précurseur granuleux, soit un aspect de “pseudo blocage de maturation. La guérison est marquée, au niveau médullaire, par l’enrichissement en petits lymphocytes. La plasmocytose médullaire est fréquente. [149] :E Les deux mécanismes en cause sont la toxicité (cytotoxicité directe sur la lignée granuleuse) et l’immuno-allergie (fixation du complexe antigène-médicament sur la surface des cellules de la lignée granuleuse et destruction). [150] :D Le traitement symptomatique est indispensable avec isolement et précautions d’asepsie majeure, antibiothérapie à large spectre en cas de fièvre, après les prélèvements d’usage. Les décès sont le plus souvent liés à des complications infectieuses. Lorsque celles-ci sont soigneusement prévenues, la guérison s’obtient en 6 à 15 jours, parfois 3 semaines. [151] :B C Le tableau associant une anémie hémolytique (subictère conjonctival, splénomégalie, anémie régénérative, bilirubine non conjuguée augmentée) avec notion d’hérédité (atteinte familiale), test de Coombs négatif, résistance osmotique diminuée et présence de microsphérocytes oriente vers la plus fréquente des anémies hémolytiques constitutionnelles, la sphérocytose héréditaire. [152] :C A - Concerne l’hémoglobinurie paroxystique nocturne (maladie de Marchiafava-Micheli). B - Tableau clinique et biologique non évocateur dhémoglobinopathie. Doit toutefois être faite en complément. C - Elle est augmentée à 37° avec correction par le glucose, n’est pas spécifique (existe dans les anémies hémolytiques autoimmunes). D - N’est pas un argument diagnostique d’orientation. E - A faire pour éliminer une anomalie enzymatique. [153] :E Les complications sont: - aiguês : crises de déglobulisation périphérique ou centrale, complication de la lithiase (calcul du cholédoque) - chroniques: retard de croissance saturo pondérale dans les formes sévères à début précoce, ulcère de jambes (exceptionnels). Carence en folates par hyperérythropoïèse. [154] :B C’est la seule thérapeutique efficace, faisable après 5 ans d’âge, avec vaccination antipneumococcique, vérification manométrique des voies biliaires per opératoire et surveillance des plaquettes au décours de l’intervention. [155] :D Il s’agit de calculs pigmentaires qui ne sont pas dissous par l’acide ursodésoxycholique (efficace sur les lithiases cholestéroliques). [156] :B C’est une maladie à transmission autosomique dominante (avec cas sporadiques fréquents). [157] :BE 35 A - CCMH = Hb/Ht = 0,33 (N = 0,30 à 0,36) soit normochromie. B - PN = 1080/mm3 (N = 1800 à 7000). C - PE = 160/mm3 (N = 50 à 500). D - Lymphocytes = 2160 (N = 1000 à 4000). E - Normale = 150 à 400 000Imm3. [158] :BC A - Non, donne une anémie normochrome normo ou microcytaire avec thrombocytose. B - A évoquer devant les signes d’insuffisance médullaire, donnerait plutôt une anémie normocytaire ; diagnostic: myélogramme. C - Anémie normo ou macrocytaire, arégénérative avec parfois leucopénie, thrombopénie. D - Donne des anémies macrocytaires ou normocytaires normochromes isolées. E - Il s’agit d’un déficit quantitatif isolé en érythroblastes. [159] :ABC Ainsi que les barbituriques, les hydantoïnes, les contraceptifs oraux. [160] :A Permet l’étude de l’absorption de la vitamine B12 marquée. L’adjonction de facteur intrinsèque, normalisant l’absorption dans la maladie de Biermer confirme l’existence du déficit de cette substance. Ce test est à faire après prelèvement pour dosage vitaminique. [161] :B L’indication d’une transfusion en urgence est posée devant l’existence de douleurs angineuses chez une patiente aux antécédents d’infarctus du myocarde. [162] :B La gastrite biermérienne est un terrain à haut risque carcinologique et nécessite une surveillance fibroscopique annuelle. [163] :ABE Le purpura thrombopénique est diffus, cutanéomuqueux, pétéchial et/ou ecchymotique. A - Oui, il s’agit d’un syndrome hémorragique diffus. B - La surveillance du fond d’oeil permet d’évaluer le risque hémorragique cérébroméningé. C - Hémorragie muqueuse (atteinte de l’arbre urinaire). D - Emaille l’évolution de l’hémophilie. E - Survenue fréquente ainsi que les gingivorragies. [164] :AB A - Systématique devant tout syndrome hémorragique. B - Indispensable, les hémorragies rétiniennes peuvent être annonciatrices d’hémorragies cérébrales ou méningées. C - Pas en urgence, surtout si thrombopénie profonde mais suspecter l’hémorragie méningée, si signes hémorragiques au F0, en raison des céphalées et des signes de gravité (profondeur de la thrombopénie, présence de bulles hémorragiques), la PL est contre-indiquée en raison de la thrombopénie. D - Sans intérêt diagnostique ou pronostique en urgence. E - Sans intérêt. Le diagnostic de purpura thrombopénique idiopathique est un diagnostic d’élimination. Il nécessite les éléments suivants - Absence de prise médicamenteuse, de transfusion récente méningococciques foudroyantes pouvant se déclarer chez le sujet splénectomisé (idem sensibilité des splénectomisés au pneumocoque). E - Non, une splénomégalie peut entraîner en revanche une lymphopénie par hémodilution. [169] :C Seule la mesure isotopique du volume globulaire total peut affirmer la polyglobulie, définie pour VGT> 32 ml/kg chez la femme, > 36 ml/kg chez l’homme. [170] :BCE Les causes tumorales susceptibles de donner une polyglobulie secondaire sont les cancers ou kyste du rein, les hémangio-blastomes du [167] cervelet, les hépatomes, :A fibromes utérins, cancers A - Nécessaire, pour prévenir la sensibilité des spiénectomisés au ovariens, syndrome de cushing. [171] pneumocoque. :C B - Non, mais à discuter en pré L’étiologie la plus probable est opératoire immédiat, efficacité une carence martiale en extrêmement transitoire (pour relation avec une perte de sang assurer une hémostase très chronique occulte. temporaire). [172] C - Effectués en troisième :ACD intention, après échec de la A - Elément fondamental du splénectomie et de la diagnostic, mais inconstant. corticothérapie. B - Ne permet ni d’affirmer la D - Sans intérêt. polyglobulie, ni d’orienter vers E - Seul le marquage isotopique une cause primitive ou permet la localisation du lieu de secondaire. séquestration. C - Il s’agit d’un syndrome [168] myéloprolifératif. :ACD D - Idem item C. A - Ordinairement détruits par la E - Signe clinique de rate, leur présence témoigne polyglobulie sans valeur d’une atrophie splénique ou d’orientation. d’une asthénie. [173] B - Sans rapport ; étiologies: :B syndromes myéloprolifératifs, L’hémogramme estime mal le grands hypercipémies, degré de spoliation sanguine hypothyroïdie. dans les premières heures, par C - Entraîne une augmentation perte parallèle d’hématies et de immédiate des plaquettes qui plasma (sous-estimation de régresse en quelques mois. l’anémie), puis par hémodilution D - Les infections - Biologie négative: FAN, MNI test, sérologie HbS, HIV, CMV, rubéole.... - Coagulation normale (pas de CIVD) - Coombs globulaire négatif. [165] :BD B - Est obligatoire. D - Recherchera des anticorps anti-ADN. [166] :C A - N’apporte pas de plaquettes. B - 1M formellement contre indiquées. C - Traitement symptomatique permettant de passer un cap (peu efficace) hémorragique inutile en dehors de l’urgence. E - Pas en première intention, efficacité transitoire. 36 hypersplénisme, modifications corpusculaires acquises). B - Item discutable. L’anémie mégaloblastique de l’éthylique est due à une carence en folates avec défaut d’apport et troubles d’utilisation. L’éthylisme n’est pas une étiologie des carences en vitamines B12 (carence d’apport exceptionnelle), mais certains citent la possibilité de troubles de l’absorption entraînant des carences multi-vitaminiques, dont en B12. [179] :BD B - Donne des anémies macrocytaires par carence en [175] acide folique. :D Il s’agit d’un syndrome frissons- D - Association 1) triméthoprime: donnes des hyperthermie consécutif à une leucopénies, thrombopénies, auto-immunisation par incompatibilité leucoplaquettaire anémies-mégaloblastiques. 2) sulfamide: agranulocytose. (HLA) des cellules résiduelles pancytopénie toxique, du culot avec celles du leucopénie, anémie hémolytique. receveur, Il se combat par antihistaminiques et corticoïdes [180] IV, et se prévient par l’utilisation : B C D E Les modifications de l’hémostase de culots déleucocytéschez les insuffisants hépatiques déplaquettés. sont dues au défaut de [176] production des facteurs :CD synthétisés dans le foie: Il, VII, Une fois le cap de l’urgence IX, X, Ifibrinogène, protéine C, passé (ici présence de signes antithrombine III, antiplasmines. cliniques de gravité), l’apport martial est nécessaire et il n’y a BCDE.- Influencent le TQ. [181] plus d’indication à la :C transfusion. L’éviction de A - Sans rapport, diminue la l’aspirine va de soi. perméabilité vasculaire. [177] B - Sans influence sur le TQ. :BCD C - Apporte tous les facteurs de A-VGM = Ht/nbGR= lllp3. la coagulation, présents à un taux B - Réticulocytes < 150 supérieur à 70. 000/mm3. C - PN = 1280/mm3 (N = 1800- D - Inefficace (diagnostic différentiel avec les carences en 7000/mm3). vitamine K). D - Plaquettes :120 000/mm3 E - N’influence pas le TP. (N = 150 à 400 000/mm3). [182] E - PE = 256/mm3 (N = 50 à :ABE 500/mm3). Sans commentaire. [178] :BDE A - Il existe des hémolyses au [183] cours de l’alcoolisme, mais non : C Sans commentaire. auto-immunes (par (afflux de liquide extracellulaire avec surestimation de l’anémie). [174] :E Les accidents transfusionnels majeurs sont la conséquence de la destruction des globules rouges du donneur par les anticorps du receveur. Le sang phénotypé doit respecter la compatibilité des systèmes les plus immunogènes (D, KelI, E, C, Kidd, Duffy, S) responsables des auto-immunisations tranfusionnelles. 37 [184] :ABCD Pas de transfusion de culots globulaires avant détermination du groupe sanguin. On utilise, en attendant pour le remplissage, des solutés macromoléculaires. [185] :BDE A - La mesure de la NFS apprécie très mal la perte sanguine en raison de la perte initiale parallèle de sang et de plasma. B - Reflet direct de rhémodynamique. C - Idem item A. D - Le choc hypovolémique se traduit par un pouls petit et rapide, une tension basse et imprenable. E - Idem Item D. [186] :E Le traitement étiologique est bien sûr le seul capable d’interrompre rhémorragie. [187] Supprimée. [188] :ABCD L’augmentation des LDL et une bilirubine libre modérément augmentée font partie du tableau d’hémolyse intramédullaire toujours présent. Lhypersegmentation des polynucléaires neutrophiles en attachant de l’importance au fait que Ion retrouve plus de 3 % des polynucléaires avec 5 lobes ou plus est classique. C’est un élément très évocateur dans les maladies de Biermer à expression hématologique atténuée. Lanémie est classiquement normochrome macrocytaire avec des réticulocytes normaux ou même légèrement augmentés en pourcentage mais inférieurs à 100 000/mm3 en valeur absolue. [189] :BCD Il s’agit d’un tableau de sclérose combinée de la moelle avec atteinte de fibres longues avec douleurs, paresthésies, troubles de la marche et signe de Romberg, perte du sens de positionnement des orteils et anomalie au test du Diapason et d’autre part un syndrome pyramidal pouvant se limiter à un signe de Babinski mais avec potentiellement une diminution de la force musculaire. [190] :CD Le diagnostic de maladie de Biermer repose sur: - abaissement du taux sérique de vit B12 - maladie de l’estomac avec achlorhydrie histaminorésistante au tubage gastrique - absence de facteur intrinsèque par dosage direct du FI dans le liquide gastrique ou preuve indirecte par réalisation d’un test de Shilling avec et sans FI - présence d’ac anti FI semblant spécifiques de la maladie mais absents dans au moins 30 % des cas. [193] :B On a un diagnostic d’anémie macrocytaire régénérative. Dans les examens proposés, le premier à réaliser est un dosage de bilirubine totale et libre qui peut orienter vers un mécanisme d’hémolyse. [194] :CE On rappellera quand même: - que l’anémie de Biermer est classiquement macrocytaire et arégénératire - que le syndrome de Mosckowitz entre dans le cadre des microangiopathies thrombotiques et donne un tableau d’anémie hémolytique de type microangiopathique avec schizocytose et coombs négatif direct. [195] :C Il s’agit d’une anémie hémolytique auto immuneprobable qui doit être traitée par corticothérapie. [196] :B Une fois le diagnostic porté d’AHAI à auto ac chauds, une corticothérapie doit être débutée. En cas d’échec ou d’intolérance [191] aux corticoïdes, la splénectomie :ABE doit être réalisée. Le recours aux La mégaloblastose, la glossite immunosuppresseurs n’est de Hunter, la thrombopénie classiquement retenu qu’après fréquente et souvent aux alentours de 100 0001m3 sont échec ou rechute après toutes des conséquences de la splénectomie. [197] carence en B12 et seront très :A rapidement corrigées en Une thrombocytose > 400 quelques jours. La malabsorption de la vitamine 000/mm3 est évocatrice du B12 va persister car elle est liée diagnostic de maladie de Vaquez. L’hyperleucocytose> à un déficit en FI qui n’est pas 120 000/mm3 (en l’absence corrigée de même que d’infection) est également un des fachlorhydrie histaminocritères retenus par le groupe résistante. d’étude des polyglobulies [192] primitives. :C QCM évident de connaissances Quelque soit l’étiologie d’une polyglobulie vraie, la VS est générales. 38 diminuée. Ni l’importance de l’hypovolémie ni l’augmentation importante de l’hématocrite ne sont des éléments orientant vers le diagnostic de la maladie de Vaquez. On retiendra cependant que la moyenne du VGT dans la maladie de Vaquez est de 49 ml/kg. [198] :ACDE A) Evident (clinique, scintigraphique ou échographique), - la saturation artérielle en 02 doit être strictement> 92 % pour affiner le diagnostic de maladie de Vaquez. - La myélofibrose réticulinique à la BM est compatible, en général absente aux stades précoces de la maladie. - La baisse du taux d’EP plasmatique par dosage radioimmunologique n’est pas de pratique courante mais pourrait être très sensible pour différencier polyglobulies primitives et secondaires. - Le caryotype médullaire peut être normal. Il existe cependant des anomalies fréquentes non spécifiques récemment décrites. [199] Attention : il est impossible de répondre à ce QCM avec les données en notre possession car si on retient les données du QCM n°20 et notamment une saturation à 72 % (il y a un gribouillage), il faut alors chez ce patient avoir comme critères pour retenir le diagnostic de polyglobulie primitive un VGMO> 30m1/g (critère présent ici), une splénomégalie (critère présent ici) et 2 critères parmi - thrombocytose > 400 000mm3 (présent ici) - score des PAL> 100 - vitamine B12 sérique > 900pg/ml ou capacité de liaison de la vitamine B12 > 2 200 pq/ml. Aucun de ces deux critères n’est prépondérant sur l’autre et on ne peut donc répondre par un QCM simple. [200] :B Les saignées sont le traitement d’urgence chez ce patient de 50 ans avec augmentation très importante du VGT et des risques hémorragiques, thrombotiques et cardiovasculaires non négligeables. L’hydréa est le traitement de choix (agent non radiomimétique non mutagène) et sera préféré à cet âge au P 32. lI doit être associé d’emblée, du fait du risque de thrombocytose, potentialisée par la carence martiale induite par les saignées seules. [201] :B La réponse est évidente. L’augmentation des LDL permet de retenir comme très probable une hémolyse à prédominance intra vasculaire. Les LDL érythrocytaires sont augmentées car libérées dans le plasma lors de l’éclatement intravasculaire du GR. [202] :A Les hémolyses immunologiques ont en commun la fixation d’un anticorps sur le globule rouge entraînant sa destruction et se répartissant en catégories qui en l’absence d’anamnèse supplémentaire ne peuvent être différenciées : hémolyse iso immune, auto-immune, immunoallergique. [203] :D Les hémolyses à l’Aldomet® sont liées à une lgM chaude non agglutinante fixant le complément. Un test de Coombs positif de type lgG antirhésus peut être observé dchez 10 % des consommateurs d’Aldomet® mais en l’absence d’hémolyse. Certaines observations de cancers épithéliaux profonds ont été rapportées en association avec des AHAI mais sont rarissimes. Les AHAI liées à une infection aiguê sont le plus souvent de type lgM. Le myélome peut rarement être associé à une AHAI à lgM. Le diagnostic le plus probable est celui de LEAD. [204] :B Sans commentaire. [205] :B La corticothérapie est le traitement dattaque à instituer en cas dAHAI à Ac chauds. [206] : QUESTION ANNULEE. [207] :BE Le myélogramme est indispensable pour préciser le mécanisme périphérique ou central de la thrombopénie ici très profonde. Létude de la coagulation est également à réaliser en urgence avec recherche de signes de CIVD en demandant TP, TCK, temps de thrombine, fibrinogène, facteur V, complexes solubles, temps de lyse des euglobulines, PDF. [208] :D La séropositivité HIV est une cause reconnue de purpura thrombopénique immunologique. Aucune des autres infections citées n’est responsable de thrombopénie. [209] :B Il faut réaliser un bilan 39 immunologique minimum et notamment rechercher une connectivite (LEAD etc...). Les autres examens non aucun intérêt. [210] :C Le premier traitement est la corticothérapie per os à dose minimale initiale de 1 mg/kg/jour pour une durée de 3 semaines à 1 mois pour juger de l’efficacité. Chez cette patiente, étant donné les risques hémorragiques graves, le seul traitement d’urgence qui aurait pu être proposé, permettant une augmentation rapide du taux de plaquette est un traitement par a globulines : 40 mg/kg/jour ou 1 g/kg/jour x 2 jours avec une efficacité en 48 à 72 heures. [211] :E Il faut attendre 3 semaines à 1 mois de corticothérapie à 1-2 mg/kg/jour pour juger de l’efficacité de traitement. [212] :C Une surveillance simple espacée est indispensable pour détecter les rechutes qui sont fréquentes. La guérison sous corticoïdes, sans rechute, est estimée à 2030 % des cas traités. [213] :E Evident. [214] :D Le VGM et la CCMH sont définis par les supports suivants : VGM = Ht mb de GR = 70m3 CCMH = Hb/Ht = 0,30. Les réticulocytes sont à 30 000/mm3. Il sagit donc dune anémie hypochrome microcytaire arégénérative. [215] :C La microcytose signe une anomalie de la synthèse de l’hémoglobine. [216] :B C’est la cause de carence martiale la plus fréquente chez l’homme adulte. [217] :D Seul le traitement par fer est nécessaire. Le taux d’Hb étant> 8g % et le patient présentant une dyspnée modérée bien tolérée, il n’y a aucune indication transfusionnelle. [218] :ACD Sans commentaire. [219] :C Le traitement repose bien sur la prescription de fer par voie orale sous forme de sels divers dont les avantages respectifs sont peu évidents. L’important est de prescrire une dose suffisante de 100 à 200 mg/jour de fer métal. [220] :E Le seul élément simple du bilan biologique qui permet d’affirmer que la compensation en fer de la carence est suffisante est la détermination de la capacité totale de fixation de fer. Toutes les autres propositions ici sont inutiles. Au bout de trois mois, si la capacité totale de saturation reste élevée, il faut poursuivre le traitement un mois de plus. [221] :BCD Le traitement par fer oral entraîne une coloration noire non malodorante des selles et des troubles digestifs variés (nausées, constipation, douleurs épigastriques, diarrhées) qui peuvent être diminués en cas de prise des comprimés au moment des repas. [222] :BD - Pancytonénie d’hypersplénisme sur cirrhose alcoolique probable avec carence en folates expliquant la macrocytose. - Le myélogramme, non systématique, montrerait un tableau de mégaloblastose médullaire (en pratique ne se fait jamais). [223] :B Aggravant l’anémie d’hypersplénisme et lui donnant son caractère macrocytaire. [224] :BE B - La carence en folates freine également la production granuleuse et plaquettaire au niveau de la moelle osseuse. E - Séquestration splénique des trois lignées sanguines. [225] :C Fréquente chez le cirrhotique avec bloc Bêta et Gamma. [226] :B Sans commentaire. [227] :C Il s’agit d’une anémie régénérative avec hyperbilirubinémie libre stigmates dune hyperhémolyse: probable microsphérocytose héréditaire ou maladie de MinkowskyChauffard. [228] :D Témoignant d’une hémolyse chronique. [229] :E Reflet de Ihypercatabolisme de l’hémoglobine. [230] :E 40 - Diminution de la résistance à l’hypotonie in vitro traduisant la microsphérocytose. - Le meilleur test diagnostic de la maladie de MinkowskyChauffard est l’étude de l’autohémolyse in vitro qui est augmentée, corrigée par le glucose mais non par I’ATP. [231] :E (Une seule réponse est correcte dans cette question à compléments multiples). E - Migration d’une lithiase pigmentaire. [232] :AD A - Systématique dans ces états d’hyper-réactivté médullaire peuvent entraîner une carence. D - Indiquée à partir de 5 ans donc traitement de choix chez ce garçon. [233] :C Permettra d’affirmer le diagnostic de maladie de Hodgkin et d’en préciser le type. [234] :AD A - Systématique à la recherche d’une atteinte abdominale. D - Non systématique. Seulement en cas de stade> Il ou de signes ethniques ou biologiques d’évolutivité. [235] :B Deux sites ganglionnaires atteints dun même côté du diaphragme sans signes cliniques ou biologiques d’évolutivité. [236] :ABE A - Liée à l’Oncovin. [237] :B 40 Gy est la dose tumoricide nécessaire et suffisante, 2 Gy par séance à raison de 5 séances par semaine. [238] :E Sans commentaire. [239] :ABCD A - Secondaire à la radiothérapie en mantelet. B - Secondaire à la radiothérapie en mantelet. C - Secondaire à rimmunosuppression résiduelle diminuant avec le temps. D - Effets leucémogènes des agents alkylants (Méthochlormétine et Procarbozine) associés à la radiothérapie. [240] :E Sans commentaire. [241] :BC Stratégie systématique devant une neutropénie fébrile. [242] :B Sans commentaire. [243] :ACE - Lhyperleucocytose et le syndrome tumoral sont des facteurs de mauvais pronostic. - Lexistence d’une tuméfaction médiastinale est liée au type T de la prolifération et ne retentit sur le pronostic que par ce caractère immunologique et non par sa présence en elle-même. [244] :BCD Sans commentaire. [245] :AD A - Liée à la Vincristine. D - Liée aux anthracyclines. [246] :ACDE E - Témoin d’un certain degré d’hémolyse et de ravortement médullaire érythoblastique. [247] :DE D - Apporte la preuve dune malabsoption de vitamines B12 par déficit en facteur intrinsèque. E - Recherche d’une achlorhydrie. [248] :CD C - L’lléon distal est le siège de rabsorption de la vitamine B12. D - Maladie de Biermer avec atrophie gastrique à l’origine du défaut de sécrétion de FI. [249] :BE B - 5 % des cas imposant une surveillance stricte endoscopique. E - Association fréquente du Biermer à d’autres maladies auto-immunes. [250] :D Latrophie gastrique persiste. [251] :AB Sans commentaire. [252] :A Sans commentaire. [253] :C Lallongement concomitant du TS témoin d’une anomalie de l’hémostase primaire, et du TCA est très évocateur d’une maladie de Willebrand. [254] :AD D - Mesure l’activité du facteur Willebrand. [255] :C Sans commentaire. [256] :B B - A la recherche de lacunes osseuses ou de fractures pathologiques (tassements vertébraux). [257] :C Anémie non régénérative centrale avec hémodilution par la globuline monoclonale abaissant 41 artificiellement le chiffre dHb. [258] :CDE Sans commentaire [259] :A A - Reflet le plus fidèle de la masse tumorale. [260] :ABC Sans commentaire. [261] :B Sans commentaire. [262] :ABC Sans commentaire. [263] :D D - En trois jours la vitamine K a le temps d’agir par la synthèse des facteurs vitamines K dépendants. [264] :C Sans commentaire. [265] :AE A - L’héparine interfère avec AT III et diminue son taux circulant. D - Non, car le TQ s’est normalisé (la protéine C se corrige le plus précocement). La protéine C malgré un traitement par vitamine K et la levée de l’ictère reste basse. Ceci confronté aux antécédents familiaux et personnels est très en faveur d’un déficit constitutionnel. [266] :D Sans commentaire. [267] :E Les AVK sont le traitement de choix des anticoagulations au long cours à titre préventif. [268] :BC B - A la recherche d’hémorragies rétiniennes. C - Dans le but de préciser la nature centrale ou périphérique de la thrombopénie. [269] :ABC La coagulation n’est pas perturbée. Seule l’hémostase primaire sera altérée. [270] :B C’est le traitement de première intervention de choix. [271] :ACD A - Les PTI sont parfois révélateurs de maladies autoimmunes et notamment LEAD. C - Dans le cadre d’une MNI. D - La première cause actuelle des PTI est devenue l’infection VIH. [272] :BD Sans commentaire. [273] :E E - Après s’être éventuellement garantie d’une séquestration splénique prédominante par plaquettes marquées au C51. [274] :BC Sans commentaire. [275] :A Sans commentaire. [276] :AB Il n’y a pas de point d’appel gynécologique, la première cause à rechercher est un saignement d’origine digestive. [277] :A Sans commentaire. [278] :B Sans commentaire. [279] :E E - Meilleur reflet de l’état des réserves qui est en fait mieux apprécié par la Ferritine. [280] :C Sans commentaire. [281] :CE Sans commentaire. [282] :BE On attend ni les résultats ni le délai de 48 heures pour débuter l’antibiothérapie. [283] :AD Sans commentaire. [284] :E Les mécanismes des agranulocytoses ne sont pas univoques - Toxicité directe - Mécanisme immuno-allergique. [285] :BCE Sans commentaire. [286] :C Sans commentaire. [287] :C Sans commentaire. [288] :ACD Sans commentaire. [289] :B Sans commentaire. [290] :ADE Sans commentaire. [291] :ABE Sans commentaire. [292] :ACD Sans commentaire. [293] :ACD Sans commentaire. [294] :ACDE Sans commentaire. [295] : CD B - Toxicité hématologique de la chimiothérapie au long cours. C - Liée à la Vincristine. D - Liée à l’endoxan. 42 [296] :A Tous les signes du diagnostic biologique dune avitaminose K sont réunis: - temps de Quick allongé - TCK allongé - facteur li, VII, X et IX diminués - facteur V normal - fibrinogène normal. On aurait aussi : plaquettes normales. [297] :CE L’allongement du TCA est lié à l’avitaminose K par le biais du déficit en F IX qui est un facteur vitamine K dépendant synthétisé au niveau du foie. [298] :A Sans commentaire. [299] :BC La vitamine K sera injectée idéalement en perfusion intraveineuse courte de 100 à 150 mg à répéter 24 heures après. L’injection intraveineuse sous forme de Bolus est à prescrire car elle peut s’associer à des réactions de type choc anaphylactique. [300] :A B C D L’hyperuricémie est expliquée par les signes d’hémolyse intramédullaire. On pourrait aussi observer une augmentation des LDH et du fer sérique. Il s’agit d’une anémie macrocytaire arégénérative. Les granulocytes sont de grande taille avec des noyaux hypersegmentés et cette anomalie est à la fois la plus précoce et la dernière à disparaître. [301] :ABCD Sans commentaire. [302] :CD Sans commentaire. [303] :ABE Sans commentaire. [304] :DE A, C et D sont des complications observées classiquement à l’occasion des pathologies constitutionnelles de la coagulation. [305] :AB Sans commentaire. [306] :BCD Sans commentaire. [307] :C Il s’agit dune forme grave. Il serait logique d’associer à la corticothérapie d’emblée un traitement pur gammaglobulines polyvalentes intraveineuse à la dose de 400 mg/kg/jour, 4 jours de suite. [308] :AC La splénectomie s’accompagne d’hyperlymphocytose. [309] :E Il s’agit probablement d’une maladie de Willebrand étant donné le tableau d’hémostase avec baisse modérée du F VIII coagulant, allongement du TCK avec un temps de Quick normal, allongement du TS en ivy. La transmission autosomique dominante probable va aussi en faveur de ce diagnostic. On rappelle qu’il existe cependant des formes autosomiques récessives de la maladie. [310] :BD Sans commentaire. [311] :C Il s’agit de cryoprécipité lyophilisé qui apporte le facteur Willehand à raison d’environ 900 UI de VIII : AG. L’action sur le temps de saignement étant brève, il faudra renouveler les injections toutes les huit heures. Elle est obtenue avec 30 U/kg au moins. [312] :BE II s’agit des causes étiologiques d’hyperleucocytose avec myélémie. La LMC n’est pas à retenir ici car le tableau typique n’a aucune raison de comporter une anémie régénérative. [313] : QUESTION ANNULEE. [314] :C Sans commentaire. [315] :BC On peut observer lors des carences martiales une tendance à la leuconeutropénie modérée. Il peut y avoir également soit thrombopénie, soit plus souvent thrombocytose. [316] :A Sans commentaire. [317] :AB A cet âge, la première cause de carence martiale est gynécologique. Cependant, en l’absence d’un interrogatoire précis orientant vers une cause gynécologique et en présence d’un examen gynécologique normal, il faut envisager ensuite les causes digestives qui seront au mieux initialement explorées par la fibroscopie gastrique et la coloscopie. Les causes rares seront recherchées ensuite seulement. [318] :A Sans commentaire. [319] :B Sans commentaire. [320] :E 43 Sans commentaire. [321] :B Sans commentaire. [322] :D Sans commentaire. [323] :D Sans commentaire. [324] :ABE Sans commentaire. [325] :ABD La myélofibrose se voit dans les formes évoluées souvent en association à la transformation aigue. La transformation se fait essentiellement sur le mode myéloblastique 2 à 3 ans après le diagnostic de LMC. Ces formes sont chimiorésistantes et de très mauvais pronostic. [326] QUESTION ANNULEE. [327] :CE Sans commentaire. [328] QUESTION ANNULEE. [329] :E La maladie de Waldenstrôm est une affection caractérisée par la présence dune immunoglobuline M monoclonale à un taux supérieur à 5 gIl et dune infiltration lymphoïde médullaire le plus souvent polymorphe lymphoplasmocytaire. [330] :AE Sans commentaire. [331] :ADE Les complications du Melphalan sont: - hématologiques touchant toutes les lignées - gastro-intestinales à type de nausées, vomissements, mucites, diarrhées - alopécie - rénales rares à type d’augmentation de l’urée - pulmonaires avec des cas de fibrose pulmonaire extensive - des réactions d’hypersensibilité au Melphalan IV sont décrites - risque de leucémies aigues secondaires. [332] :D Il existe une très importante hyperleucocytose à 86000/mm3 faite de lymphocytes. La thrombopénie et l’anémie modérée entrant bien dans le tableau de LLC. Il s’agirait d’un stade C de la classification de Binet. [333] :CD - Le myélogramme va mettre en évidence une infiltration par des petits lymphocytes. La biopsie médullaire sera cependant réalisée, confirmant le diagnostic mais aussi apportant un élément pronostic en montrant le caractère local ou diffus de l’infiltration lymphocytaire. Ce dernier caractère étant associé à un pronostic plus défavorable. - L’électrophorèse des protéines sériques est indispensable devant un tableau de LCC pour apprécier le déficit immunitaire humoral souvent associé à type le plus souvent d’hypogammaglobulinémie. On pourra parfois observer cependant un petit pic monoclonal. [334] :ACD - Syndrome hémorragique en cas de stade C très évolutif avec thrombopénie profonde ou thrombopénie d’autre cause (Cf commentaire de la question suivante). - Anémies hémolytiques à test de Coombs positif le plus souvent lgG + complément. [335] :ABD On pourrait rajouter dans les causes de thrombopénies au cours de la LLC les thrombopénies iatrogènes liées aux traitements chimiothérapiques. [336] :B Sans commentaire. [337] :C Sans commentaire. [338] :B Il s’agit d’une anémie macrocytaire régénérative (taux de méticulocytes à 300.000Imm3). Le premier diagnostic à évoquer est une origine hémolytique. [339] :CE Sans commentaire. [340] :C Sans commentaire. [341] :B Comme autre possibilité thérapeutique d’une anémie hémolytique auto-immune aurait pu figurer un essai de traitement par gammaglobulines polyvalentes intraveineuses à forte dose. [342] [343] [344] [345] : [346] : [347] :E Sans commentaire. 44 [348] :BCE - Lantibiothérapie en cas de neutrogénie fébrile, quelque soit son étiologie, sera immédiate (à débuter dans les 3 heures au maximum), à large spectre et adaptée si besoin (systématiquement une céphalosporine de 3ème génération associé à un aminocide avec, suivant le terrain ou la gravité initiale, un traitement anti-staphylococique par vancomycine), intraveineuse. - Il ny a pas d’indication évidente d’emblée aux transfusions de plasma frais en l’absence de signes de choc ou de CIVD associé avec baisse du fibrinogène. - Les transfusions de concentrés plaquettaires doivent être immédiats, s’agissant idéalement de CUP (Concentrés Unitaires de Plaquettes) en situation de malade hématologique mais le plus souvent de plaquettes de Pool. [349] :B Toutes les autres propositions caractérisent ici les leucémies aiguès myéloblastiques. A et C s’observent essentiellement dans les formes M4 et M5 des LAM, dans la classification cytologique FAb (FrancoAméricano-britanique). [350] :ACDE Rappelons les facteurs de mauvais pronostic des LAL de l’enfant au diagnostic - l’âge inférieur à 1 an et supérieur à 10 ans, - la race noire, - le sexe masculin, - rhyperleuccocytose supérieure à l0.0001m3 et très défavorable au dessus de 100.000/m3, - le syndrome tumoral avec grosse rate, hépatomégalie, adénopathies volumineuses, masse médiastinale, - un taux d’hémoglobine supérieur à lOg/100 est de mauvais pronostic, - une atteinte du SNC initiale, - la cytologie appréciée par la classification FAb avec surtout le type L3 ou leucémie de type burkitt de mauvais pronostic, - l’immunologie avec un pronostic bon pour le formes pré-pré B (calla positives, CD1O positives), des formes T et pré B de moins bon pronostic, - la cytogénétique avec dans l’ordre allant dans le sens d’un pronostic, de plus en plus défavorable : les hyperdiploidies supérieures à 56 de très bon pronostic, hyperdiploidies entre 47 et 50, caryotypes normal, les déletions et translocations de très mauvaix pronostic notamment les t (9, 22) t (8, 14) t (8, 22). [351] :CD Sans commentaire. [352] :AD - La vincristine est un alcaloïde de la pervenche qui bloque les mitoses avec arrêt en métaphase. Les complications en sont: hématologiques avec leucopénie et thrombogénie neurologiques avec dysesthésies et paresthésies, perte des réflexes, fatigue musculaire, céphalées, ptosis, diplopie ; digestives avec constipation sévère pouvant aller jusqu’à l’iléus réflexe ; également nausées, alopécie, fièvre, fatigue, polyurie, douleurs diffuses, thrombophlébite au point d’injection, nécrose cutanée grave en cas d’extravasation. - La daunorubicine est une anthracycline. La toxicité principale est cardiaque allant des troubles ECG transitoires à la cardiomyopathie grave en passant par les myocardites aigués avec péricardite. Les anomalies apparaissent dès la dose cumulative de 180 mg/m2 obtenus mais le risque est majeur à 600 mg/m2. Les autres effets secondaires sont : alopécie, troubles digestifs, mucite et myélosuppression. [353] :ABc Sans commentaire. [354] :E Sans commentaire. [355] :ABCD A, B, C et D s’accompagnent d’un allongement du temps de Quick. [356] :E Les déficits en facteur XII comme les déficits en prékallicrénine et en kininogène de haut poids moléculaire sont des découvertes fortuites par la constatation d’un allongement important du temps de coagulation, lors d’un examen systématique. Le diagnostic précis repose sur le dosage spécifique du facteur. Il n’y a aucun signe hémorragique et ces déficits ne nécessitent pas de traitement, même en situation chirurgicale. [357] :ABDE - Le temps de saignement dans la Maladie de Willebrand est augmenté en raison de la diminution du taux du facteur Willebrand ou à des anomalies qualitatives de ce facteur. - II existe des formes de maladie de Willebrand avec thrombopénie notamment dans les formes Il B de la maladie, caractérisées par une augmentation de l’aggrégation plaquettaire 45 induite à la ristocétine. - Le taux du F VIII est diminué dans la maladie de Willebrand mais en général en 10 et 40%. - Le taux du Facteur Willebrand est normal dans l’hémophilie A. Cependant, il peut être également normal dans les formes Il A, Il B et Il C de la maladie de Willebrand ou l’anomalie est qualitative. [358] :ABCE Sans commentaire. [359] :BE Sans commentaire. [360] :BC - L’anémie du myxoedème est normochrome normocytaire ou macrocytaire avec une réticulocytose normale ou abaissée et les globules blancs et les plaquettes sont en nombre normal. - L’érythroblastopénie ne touche par définition que la lignée rouge. - L’inflammation entranerait essentiellement une thrombocytose et une hyperleucocytose. [361] :ABC A, B et C sont des médicaments à action antifolique qui pourraient être responsables d’un tableau de pancytopénie avec anémie mégaloblastique. [362] :AE C et D ne font pas partie des examens permettant de confirmer le diagnostic de Maladie de Biermer. Ils entrent dans les examens à pratiquer devant une anémie mégaloblastique par carence en vitamine B12 à la recherche d’une cause autre que le Biermer. [363] :B Sans commentaire. [364] :D Sans commentaire. 46 Infectiologie [1] :C A, B - Sont des caractéristiques de la coqueluche. Dans les coqueluches de gravité moyenne, le nombre de quintes est de 20 à 30 par jour E - Peut survenir lors d’efforts de toux. La coqueluche du nourrisson de moins de 6 mois expose aux apnées et aux quintes asphyxiantes [2] :C B - Le vaccin tué n’est plus utilisé. c - La vaccination n’est efficace qu’après l’âge de 1 an (persistance des Anticorps maternels) D - L’immunisation passive par gammaphobilines est une prévention efficace jusqu’à 5 jours après le contage c - Est plus efficace que D dans les 3 jours suivant le contage. [3] :E L’érysipèle est dû au streptocoque B hémolytique du groupe A. [4] :B L’ampicilline est l’antibiotique de choix. La dose proposée en A est insuffisante. On associe généralement B + E malgré la mauvaise diffusion méningée de l’aminoside [5] :C On mesure aussi habituellement l’activité bactéricide du sérum au taux résiduel des antibiotiques. [6] :ABDE c’est un polypeptide actif sur les bacilles gram négatif. Il y a actuellement globalement plus de 30 % de staphylocoques pathogènes résistants à ces différents antibiotiques. [7] :AcE La diphtérie est due au corynebacterium diphtérie ; elle réalise une angine pseudomembraneuse et un syndrome toxique général lié à la diffusion d’une toxine protéique sécrétée par les germes au niveau du pharynx. Le germe pousse en 18 h sur milieu de Lbffler. La sérothérapie est urgente afin de neutraliser la toxine avant sa fixation. [8] :A B - Le premier prélèvement doit être réalisé le plus tôt possible c - Il faut une variation du taux d’anticorps d’au moins un à quatre D - Il n’y a pas toujours d’ascension du taux d’Ac dans les herpès récurrents E - Le diagnostic d’infection à rotavirus se fait au mieux par la détection du virus dans les selles par méthodes d’l.F directe, microscopique électronique, E.L.I.SA [9] :A La gravité et la fréquence des complications avant l’âge de 6 mois justifient cette vaccination, malgré une efficacité imparfaite. Dès l’age de 3 mois, elle est associée aux vaccins diphtérie + polio + tétanos : 3 injections + rappels 1 an et 5 ans après. Contre-indications : antécédents d’encéphalopathie ou de convulsions, et autres problèmes neurologiques. [10] :C A - La fièvre est modérée dans les oreillons. C’est le signe le plus évocateur du diagnostic 1 avant rapparition de la parotidite [11] :A Après pénétration cutanée (excoriation) ou muqueuse (digestive), les germes gagnent le relais ganglionnaire où ils se multiplient avant de diffuser par voie lymphatique puis hématogène. [12] :C D - Aucun signe n’est constant même rangine qui est souvent précoce. B - La splénomégalie existe dans 50 % des cas. A - Une anémie hémolytique auto-immune peut se voir. C - La M.N.I. touche le plus souvent radulte jeune. E - Le virus persiste sous forme de génome dans quelques lymphocytes B du sang, des ganglions ou de la moelle. [13] :ABD A - La splénomégalie est presque toujours présente lors du 2e septénaire de la fièvre typhoïde C - Les épisodes de falciformations répétitifs dans la drépanocytose créent des infarctus spléniques et donc une atrophie de la rate. D - La maladie de GAUCHER est une sphingolipidose, maladie de surcharge. [14] :BCE C - On observe rarement une réaction post vaccinale (rash, fébricule). A - Chez l’adolescente, elle n’est réalisée que sous couvert d’une contraception efficace 1 mois avant, 2 mois après. [15] :A Le dosage sérique de l’aminoside est indispensable pour contrôler l’efficacité du traitement et diminuer sa néphro et oto-toxicité. On pense que les phénomènes de toxicité des aminosides sont le plus souvent liés à un surdosage. 1 - En cas de traitement prolongé, on pratique une mesure des potentiels évoqués auditifs, plus sensible que l’audiogramme. [16] :D Leuconeutropénie plutôt. [17] :D C’est l’antibiotique de la liste le plus actif contre le staphylocoque, germe le plus souvent responsable de l’anthrax chez le diabétique. [18] :BC Clostridium perfringens, bacille gram +, anaérobie strict, possède une hémolysine, toxine enzymatique responsable du syndrome clinique. On peut discuter A car une C.I.V.D. est fréquente après quelques heures d’évolution. [19] :AD Les réponses B,C et E correspondent à des réactions immunitaires cutanées, et non des localisations cutanées d’infections à pyogènes. [20] :BCE A - La diarrhée est inconstante. B - En rabsence de complication, on observe une leuconeutropénie. E - Malgré la bonne résorption digestive de ramoxicilline, une posologie de 50 à 100 mg/jour est recommandée. Certains préconisent un traitement intraveineux les 48 premières heures. [21] :DE La lymphoréticulose bénigne d’inoculation (ou maladies des griffes du chat ) est due à une chlamydiae. La sérologie chlamydiae ( cf ornithose ) pourra donc être positive. [22] :A Définition du syndrome mononucléosique: plus de 50 % des leucocytes sont des cellules mononuclées, et surtout on note sur le frottis sanguin la présence de lymphocytes hyperstimulés (grands, bleutés ou hyperbasophiles). On le trouve également dans la M.N.I, la rubéole, les infections à adénovirus [23] :A L’aspect de ce bacille gram positif est très évocateur mais insuffisant pour sa différenciation avec dautres corynebactéries. Il se multiplie localement au niveau amygdalien et seul sa toxine diffuse par voie générale. [24] :B Classiquement irréductible. Retenir les diagnostics différentiels du trismus. Les autres signes sont plus tardifs ou moins spécifiques. [25] :ABCD E - Est une complication. [26] :ABCE Ce sont les caractères d’une infection digestive à germes invasifs, c’est-à-dire qu’il y a effraction de la muqueuse digestive. [27] :BCE D - Le vaccin (souche SCHWARTZ) entraîne après une injection sous-cutanée une séroconversion de 25 % des sujets avec une protection définitive probablement grâce aux rappels ultérieurs du virus 2 sauvage. E - Avant 1 an, la présence d’anticorps maternels empêche une bonne immunisation. C - Association courante = R.O.R. = rubéole + oreillons + rougeole. [28] :A Définition de la septicémie. Ne pas confondre avec clostridium botulinum, ni avec les clostridi commensaux du tube digestif. [29] :BC Sans commentaire. [30] :BCD C - Il existe des souches résistantes par acquisition de plasmides (1967). Le thiamphénicol a moins d’effets secondaires que le chloramphénicol (utilisation néanmoins historique). [31] :ABD Sans commentaire. [32] :BD Le chloramphénicol a la meilleure diffusion méningée de tous les antibiotiques (30 à 50 % des concentrations sériques). C - Lamikacine, du fait de sa très faible diffusion, sera plutôt utilisée par voie intraventriculaire. [33] :CE La colistine n’est plus utilisée par voie générale du fait de sa toxicité rénale et nerveuse. Elle est utilisée seulement par voie orale pour traitement d’une infection digestive, ou parfois pour lavages vésicaux [34] :A Le staphylocoque (aureus et autres) est responsable dans 40 à 60 % des cas selon les septal ou myocardique (au niveau du faisceau de H.I.S.S) obligent parfois à un traitement chirurgical en urgence. [50] :ACD Il faut rester prudent sur l’interprétation des résultats de l’examen du L.C.R. avant Le qualificatif de la fièvre est mal d’éliminer sa nature bactérienne, quand il y a eu choisi ; on ne remploie que pour administration d’un antibiotique le paludisme. Il n’y a aucune au préalable. bonne réponse. [51] [44] :B :D Tous les signes sont secondaires Sans commentaire. [52] à une déshydratation majeure. :CE Ne pas confondre avec les Sans commentaire. signes du choc endotoxinique [53] des salmonelles, l’anamnèse, :CE l’examen des selles et le peu de Ce sont les deux plus utilisés. signes physiques font la La toxicité de la gentamicine différence diagnostique. est supérieur à l’amikacine. la [45] gentimicine a une meilleure :BDE activité sur les streptocoques. A - L’ampicilline n’est active que L’amikicine a une meilleure sur les staphylocoques ne activité sur les bacilles gram produisant pas de B lactamase négatif. (10%). [54] C - La colistine n’est active que sur certains bacilles gram négatif. : C Sans commentaire. [46] [55] :BD B - Un vaccin contre le paludisme : D [38] Pour cette raison, le traitement est en cours d’expérimentation. :BCD Le syndrome dysentérique, par D - La prophylaxie de l’hépatite A antibiotique est classiquement donné à doses progressives, se fait par injection de définition provoqué par surtout en France. Cette gammaglobulines polyvalentes. Schigelle dysenteriae, précaution est actuellement correspond à une invasion de la Un discutée à cause de nouveaux vaccin est à l’étude. muqueuse digestive par des schémas thérapeutiques [47] micro-organismes. efficaces :B [39] ex : ceftriaxone 4g x 5 jours, Sans commentaire. :D péfloxacine 800 mg x 10 jours La pénicilline G na pas d’activité [48] [56] :A sur les bacilles gram négatif. :D Ce sont des germes [40] A E - Sont résistantes à la commensaux de la cavité :AE pénicillinase mais elles ne sont Elles sont souvent associées à buccale. utilisables que par voie la vaccination contre la diphtérie parentérale. également obligatoire. B - La [49] [57] :ABE vaccination contre la rougeole :C Tableau de septicémie avec est fortement recommandée Dûe à l’association d’un embois septiques. après 12 mois. fusobactérium et d’un Les délabrements valvulaires [41] spirochète. ainsi que la constitution d’abcès :E études. Dans les endocardites tardives sur prothèse valvulaire, la distribution bactériologique rejoint celle des endocardites sur valves natives [35] :B Connaissances. [36] :E Il correspond à une résurgence locale du virus herpès hominis indépendante d’une autre manifestation herpétique. L’encéphalite est également due à une résurgence du H.S.V.I. [37] :ACE A - Les méningites à Escherichia coli, très fréquentes chez le prématuré, semblent être plus tardives. Classiquement découvertes au 8e jour de vie, elles existent néanmoins à la première semaine. Elles résulteraient de la colonisation du nouveau-né par E. Coli (surtout porteur de l’antigène KI) en l’absence d’anticorps maternels opsonisants. Les germes anaérobies oropharyngés sont tous très sensibles à la pénicilline G. [42] :A Caractéristique de la fièvre typhoïde. [43] 3 [58] :ABDE Une série d’hémocultures (3) est souvent utile pour s’assurer de l’efficacité du traitement. [59] :ABE B - C’est un critère d’identification du groupe proteus au laboratoire. D- 10 à 20% des souches sont productrices de B lactamase donc R à lampicilline. E - Seulement 0,5 % des souches ont une sensibilité diminuée à la pénicilline G. Il s’agit le plus souvent de tolérance. [60] :BDE C - Le M.N.I test dorme très rapidement et facilement le diagnostic D - L’administration d’ampicilline est vivement déconseillée B - Il y a élévation des transaminases dans 100 % des cas mais existence d’un subictère dans seulement 5% des cas. [61] :D Le vaccin inactivé (type S.A.L.K.) donne une bonne immunité générale. Le vaccin vivant atténué (type S.A.B.I.N) donne une immunité locale prédominante. Il semble que la meilleure immunisation soit obtenue par primovaccination avec vaccins inactivés et rappels avec le vaccin vivant. [62] :B L’endocardite oslérienne est due aux streptocoques viridans. Le traitement antibiotique est au minimum dune durée de 4 semaines (en France plutôt 6 semaines). [63] :ACDE Ne pas oublier que la scarlatine est due à la diffusion dune toxine érythrogène sécrétée par le streptocoque A. [64] :BD A - Le V.D.R.L est une réaction faite avec un anticorps cardiolipidique non tréponémique. E - La déclaration obligatoire est anonyme. C- N’est pas obligatoire. [65] :ADE Tous les aminosides sont inactifs. Les pénicillines sont toutes inactivées par une pénicillinase sauf les uréidopénicillines (surtout pipéracilline) et la carbénicilline. [66] :BD Leur bactéricidie est remarquable. La fixation des B lactamines (par analogie de structure) sur les P.L.P (protéines de liaison des pénicillines) les enzymes (transpeptidase et carboxylase) responsable de la synthèse du peptidoglycane, les inactivent. [67] :AC A - Comme toute vaccination. C - Le virus est cultivé et conservé sur oeuf de poule embryonné. [68] :AE La recherche de la porte d’entrée est primordiale. Lexistence d’un foyer cutané n’est souvent retrouvé que par l’interrogatoire. Des microcoupures et surinfections des extrémités (main, pied) sont parfois suffisantes. [69] :AE Sans commentaire [70] :E Infection des tissus lymphoïdes 4 par le virus Epstein-BARR. Le diagnostic positif repose sur la vision sur le frottis sanguin de ymphocytes hyperactivés grands et hyperbasophiles, ainsi que le M.N.I test, rapide et sensible. [71] :D Mêmes contre-indications que tout vaccin vivant atténué. [72] :ABCD A - Shunt artérioveineux provoquant une diminution de l’oxygénation. Il survient le plus souvent lors de septicémie à gram négatif par libération dendotoxines contenue dans la paroi (L.P.S) des gram négatif Choc toxinique de certains staphylocoques, hémolysine sécrétée par les clostridii. [73] :DE Il ne faut jamais suturer. Il faut nettoyer la plaie à l’eau et au savon de Marseille. La décision vaccinale est prise par le centre antirabique. [74] :BCDE Correspond à une infection par germes invasifs de la muqueuse digestive [75] :BE Le sérum antitétanique est toujours préparé à partir de sérum de chevaux hyperimmuns [76] :C Les anticorps n’apparaissent qu’au 12ème jour. Les hémocultures sont souvent positives les dix premiers jours. La pousse est lente, il faut donc conserver les flacons plus longtemps ( 30 jours). Donc prévenir le laboratoire de la suspicion de brucellose. [77] Ne pas oublier les formes graves du zona ophtalmique ou cochléovestibulaire surtout du sujet age. [78] [85] :ABC :D Le traitement anticoagulant est Enanthème buccal discuté du fait de l’existence d’anévrismes surtout cérébraux. pathognomonique de la phase d’invasion, précède l’exanthème. La chirurgie, si elle est nécessaire, peut être faite après [86] :A 3 semaines de traitement. La bactériémie résulte du [79] passage lors de la ponction :ABCD veineuse du staphylocoque Sans commentaire. commensal de la peau ou [80] saprophyte présent sur l’aiguille. :B [87] Les céphalosporines de 1ère :B génération ont une meilleure Les rickettsies sont des germes activité antistaphylococcique que celles de la 3e génération. intracellulaires obligatoires. L’antibiotique choisi doit avoir La céfalotine peut être active une bonne pénétration sur certains staphylocoques intracellulaire type cycline. épidermidis méthi-R. La diffusion méningée est sans doute moindre par rapport aux [88] :E autres bêta lactamines. Le diagnostic est fait sur la [81] positivité des hémocultures à :CDE Salmonella typhi ou paratyphi. L’aspect de l’angine même s’il [89] est évocateur ne prédit pas la :B responsabilité virale ou La coproculture est souvent utile bactérienne. pour étayer le diagnostic. 75% des angines sont virales. [90] [82] :D :C Dans 65% des cas des Classiquement fièvre en endocardites globalement, aiguès plateau. ou lentes. [83] Le traitement de 1ère intention :D est donc pénicilline G + Les aminopénicillines gentamicine. provoquent une réaction cutanée d’hypersensibilité chez [91] 50 % des sujets présentant une : C M.N.I. Paradoxalement c’est un Par définition plus de 50% des antibiotique souvent prescrit en leucocytes sont des cellules mononuclées. Mais on entend 1ère intention devant une par syndrome mononucléosique angine. La présence la présence de plus de 10% de d’adénopathies cervicales lymphocytes hyperactivés d’où postérieures, d’une éventuelle hyperbasophiles ou grands et splénomégalie peut orienter le bleutés. Le diagnostic est donné diagnostic. par la lecture d’un frottis sanguin. [84] [92] :DE D - Toute immunodépression en : B C La résurgence de l’infection se général. :BD Sans commentaire. 5 fait sur le trajet du nerf où le virus était en phase latente au niveau de son ganglion (relais ganglionnaire). [93] :D Sans commentaire. [94] :C Le plus souvent néphropathie glomérulaire ou infarctus secondaire à embo septique. [95] :ACE transmission fécale-orale directe et indirecte par l’eau. Le pouvoir pathogène dépend de la taille de linoculum Le risque est donc accru par la consommation de coquillages où il y a concentration de bactéries. [96] :AE Sans commentaire. [97] :DE D - Toutes les aminosides. E - Toutes les pénicillines sauf les uréipénicillines et la carbénicilline (présence d’une pénicilase). [98] :AD Séméiologie des éruptions. [99] :CD La transmission est aérienne. La vaccination entre 12 et 15 mois est recommandée dans toutes les collectivités denfants. [100] :C C - Non spécifique du virus EPSTEIN-BARR. Les anticorps hétérophiles sont des lgM. Il existe une réaction croisée avec les A.C. antiFORSSMAN donnant une fausse positivité de ragglutination. La réaction de référence de PAULBUNUEL-DAVIDSON réalise donc une adsorption préalable sur extrait tissulaire riche en antigènes de FORSSMAN (rein de cobaye). B - Spécifique de E.B ; par technique d’lmmunofluorescence, on recherche les anticorps V.C.A., E.B.N.A., E.A.. [101] :C Macules rouges avec centre blanchâtre à la face interne des joues en regard des prémolaires. Pathognomonique de la phase d’invasion de la rougeole. [102] :B B - N’est pas différent selon les streptocoques C - Streptocoque du groupe A principalement Exceptionnellement groupe C ou G, D. L’Hémolyse est de 3 types: - gamma ou pas d’hémolyse - alpha ou hémolyse incomplète (halo verdâtre autour de la colonie) - bêta ou hémolyse complète (transparence autour de la colonie). E - Déterminent les streptocoques groupables : A,B,C,D,F,G et ingroupables ou viridans (ex mitis, sanguis, salivarius). Le groupe D comprend les entérocoques et le streptocoque D Bovis. [103] :E Le pouvoir pathogène est dû à une entéro-toxine produite par le staphylocoque doré dans l’aliment ingéré. L’absorption du germe en même temps que sa toxine est inconstante. Surtout aliments de type crèmes, laitages, pâtisseries, charcuterie. [104] :B Peut exister exceptionnellement. [105] :C Prépondérance des staphylocoques: 40 à 60%. Les streptocoques sont présents dans 65% des E.l. mais seulement 20% des E.l. aigués. [106] :E Séméiologie des éruptions. [107] :D 1, 3 - Rarement. 4-Dans 100% des cas. [108] :C Toutes les aminopénicillines augmentent la probabilité dapparition dun rash maculopapulaire = 50% des malades sur 10% des malades ne recevant pas dampicilline. [109] :A 4 - Faux, débutent par les masséters donnant le premier signe clinique = trismus. [110] :A 4 - La fièvre existe (syndrome invasif) mais reste modérée. [111] :C C - Vidarabine ou (Vira-A®), agit par inhibition de la DNA. polymérase virale, comme racyclovir, mais en plus sincorpore dans le génome viral et cellulaire. [112] :BD A - Antiviral. B - A fortes doses 100 mg/kg/j dont 20 mg de trimétoprime et 80 mg de sulfaméthoxazole. C - A.T.B. non actif. D - Par voie intraveineuse ou mieux par aérosol (Lomidine®). On utilise actuellement B en première intention. G - Est utilisé en traitement d’entretien, ou en 2e intention si B est insuffisant ou mal toléré. [113] :ABCD 6 D - Peu observé, moins de 10% des cas, et seulement si évolution très prolongée. E - Plutôt anévrismes mycotiques périphériques que des gros troncs artériels. [114] :ABD B - Aspect évocateur en microscopie optique. D -17 facteurs toxiniques différents dont des hémolysines importantes. [115] :ABCE A - Fait aux U.S.A. pour les enfants des deux sexes et tend à être pratiqué en France associé à la rougeole entre 12 et 15 mois (R.O.R.). B - Fillette de 11 à 13 ans. C - Attitude adoptée classiquement en France, sous contraception 1 mois avant et 2 mois après. D - Contre-indication formelle mais la tératogénicité na pas été démontrée. E - Eventuellement dans les mêmes conditions quen C, sous contraception. [116] :CE A, B - sont des anatoxines. C - Type SABIN. D - Virus inactivé. [117] :ABD A - Poliovirus 1,2 et 3 inactivés. B - Anatoxine. D - Borderella pertussis tué en phase 1. E - Bacille de Calmette et Guérin. [118] :C A - 50% des cas maximum. B - Variable ; dans 40% des cas. C - Fièvre dans plus de 95% des cas et souffle > 85% des cas, définition clinique de rendocardite infectieuse. D - 10% des cas. [119] :B L’érysipèle est par définition streptococcique. Néanmoins, il y a souvent surinfection par le staphylocoque et association des deux. [120] :BCD - 200 000 U.l/KG/j minimum. [121] :ABC A - Entérotoxine responsable de toxi-infection alimentaire, toxine T.S.S 1 élaborée dans le ‘TOXIC-SHOCK-Syndrome”. D - Sensibilité de quelques % des souches à la pénicilline G., sensibilité de 70% des souches aux pénicillines M. E - Peut être commensal provisoire ; son habitat est alors: peau, fosses nasales, gorge ,tube digestif. [122] :AC A - Tétanospasmine et tétanolysine. B - Non, la vaccination est impérative après un tétanos. D - Non, révolution peut toujours se compliquer soit par la maladie elle-même,soit secondairement à la réanimation. [123] :AD B, C - Font partie des signes d’invasion de la muqueuse. D - Est la principale complication. Ceci explique la forte mortalité infantile. [124] :A 40 à 60% des cas sont dûs aux staphylocoques coagulase + et - confondus. Elles résultent d’une contamination peropératoire ou postopératoire précoce en réanimation. [125] :D B - Non, disparaissent en 3 mois; C - Les anticorps apparaissent dès les premiers signes cliniques. D - Réponse humorale non spécifique d’anticorps de type lgM hémagglutinants. E - Le taux n’est pas un critère pronostique. [126] [132] :D :BDE C’est une préparation de Sans commentaire. fractions antigéniques. La seule [133] réaction défavorable observée a :ACE lieu si le sujet est atteint de A - Vaccin vivant atténué = voie brucellose. intra dermique ou nasal. [127] C - Vaccin vivant atténué. :ABCE E - Fraction antigénique A - Activité in vitro bien que capsulaire de sérotypes moins importante que sur les pneumococciques différents. autres herpès virus, pas B, D - Sont en cours d’efficacité d’expérimentation. clinique. B - Indirectement par inhibition de [134] :B la DNA polymérase. L’infection à partir d’un cathéter C - Utilisation clinique courante. veineux est le plus souvent due D - Non. pas de prévention des à un staphylocoque coagulase récidives. + ou, d’où aspect de cocci gram [128] + en amas dans les :DB hémocultures aéro et Est un signe de gravité , pas de anaérobies. choc. [129] :ABCD [135] :D Affirmation B mal formulée = la phase contagieuse (présence de Chlorurorachie normale ou plutôt augmentée. Elle peut être virus dans la gorge et transmission aérienne) est de 5 à diminuée en cas de méningite 8 jours avant, à 5 à 8 jours après tuberculeuse. réruption. L’éruption pouvant être [136] :B fugace ou même inexistante, B On constate que 45% de peut être considéré comme vrai. malades atteints de P.A.N. sont [130] porteurs de rAg HBs. :CD [137] Activité in vitro seulement sur :E herpès virus. In vivo, résultats D - La sérothérapie nest cliniques seulement pour H. instituée que si le rappela été Virus Hominis et Varicelle-Zona. fait il y a plus de 10 ans. B, E - Pas d’action sur les virus [138] A.R.N.. :D [131] Séméiologie éruptive. :D A - 90% des cas peut être négatif [139] :ABC chez les enfants de moins de 5 D - Evident parasite = ans. La concurrence entre les deux vaccins s’effectue au détriement de la fièvre jaune dont l’immunité normalement est quasiment obtenue à 100% et peut être diminuée à 30% des cas. Il est préférable d’attendre 1 mois entre les deux. 7 toxoplasma gondii. E - Bactérie = streptocoque A. [140] :AE B - Résistance naturelle des streptocoques. C et D - Pourcentage croissant de souches résistantes. A - La Pénicilline V est plus utilisée en pratique, mais la pharmacologie de l’Oracilline® est insatisfaisante. [141] :ABCDE A - 4 g X 5 jours. B -100 mg/kg/j X 2 semaines. C - Plutôt thiamphénicol 2 glj X 2 semaines, il existe quelques % de souches R. D -2 glj X 2 semaines. E-800 mg/j X 10 jours. [142] :BCE A - Diarrhée non fébrile. B - Invasion de la muqueuse digestive. C - Fièvre souvent peu élevée. E - Fièvre avec vomissements. [143] :AE B - Virus inactivé. C - Anatoxine. D - Bactérie tuée; [144] :A Sans commentaire. [145] Sans commentaire [146] :C Chez radolescent, pneumocoque (diplocoque gram +) et méningocoque (diplocoque gram -) se partagent la responsabilité des méningites purulentes aiguès spontanées. B - Nourrisson et petit enfant petit bacille gram-. D - Nosocomial. E - Nouveau-né et terrain débilité. [147] :A Complication d’endocardites du coeur droit, tricuspidiennes plutôt. [148] :BCE A - Entérotoxine agissant sur système sympathique. D - Entérotoxine activant radénylcyclase membranaire d’où augmentation de I’AMP cyclique et transfert massif d’électrolytes et d’eau dans la lumière digestive. [149] :ACDE Plasmide le plus fréquent T.E.M 1, gouverne la production dune pénicillinase inactivant les pénicillines. [150] :ABCE A - 3 à 5 % des cas, Haemophilus pneumocoques responsables. B - Laryngite striduleuse précoce et virale. Les laryngites bactériennes sont plus tardives, plus rares, mais asphyxiantes. C - Virale précoce. D - Il peut exister des hémorragies buccales, nasales ou intestinales secondaires à une thrombopénie E -1/1 000 des cas survenant 4 jours après réruption grave dans 50% des cas. [151] :B La vésicule biliaire est un gite microbien habituel de Salmonella typhi, d’où la nécessité d’utiliser dans le traitement, des antibiotiques assurant une bonne concentration dans la bile. [152] :D Question litigieuse (un peu) Le traitement par Fandisar® est contre-indiqué durant la grossesse (et surtout en fin de grossesse) . La spiramycine peut en revanche être prescrite sans inconvénient chez la femme 8 enceinte. Mais la réponse D n’est qu’incomplètement exacte car la Rovamycine® est présentée en comprimés dosés à 1,5 million d’unités internationnales et non plus en gramme. La posologie chez l’adulte est de 4 à 6 comprimés par jour soit 6 à 8 millions/j. Pour mémoire, la contamination placentaire du foetus est favorisée par des lésions placentaires, par le travail et surtout au moment du décollement du placenta. [153] :C La spiénomégalie est due à la destruction intraspiénique par phagocytose des débris libérés par réclatement des rosaces (qui libèrent dans la circulation des substances pyogènes et des mérozoïtes capables de parasiter de nouvelles hématies). [154] :E L’homme est rhôte définitif. Le boeuf n’est qu’un hôte intermédiaire. [155] :E Le brossage trop prononcé n’est pas souhaitable car il crée de petites lésions cutanées qui peuvent être des gîtes microbiens particulièrement peuplés. [156] :ACE La transmission manuportée est directe. L’eau et les objets souillés (linge, literie) assurent une transmission indirecte. [157] :BDE L’exanthème subit frappe les nourrissons entre 6 mois et 2 ans. La fièvre est habituellement bien tolérée, mais des convulsions hyperpyrétiques sont possibles. La leuconeutropénie est constante. [158] :D L’hydrosadénite est une infection staphylococcique des glandes sudoripares dont l’accès tubéreux de l’aisselle est la forme la plus fréquente. [159] :D La leucoencéphalite périveineuse est la complication neurologique la plus redoutable de la varicelle, et se caractérise par une ataxie cérébelleuse dont l’évolution est en règle favorable. [160] :C Les entérocoques sont souvent à l’origine d’infections urinaires. [161] :D L’endocardite aigùe se développe sur endocarde sain. [162] :C L’Amazonie héberge des Plasmodium falciparum chloroquinorésistants, apparus initialement aux confins du Brésil, de la Colombie et du Vénézuela et qui se sont étendus vers toute l’Amazonie. Actuellement, l’extension vers le nord s’arrête au canal de Panama. A noter, les foyers de résistance africains s’étendent vers l’ouest et des cas, encore peu fréquents, ont été notés au Mali et tout autour du Golfe de Guinée. Quelques cas sont vraissemblables au Sénégal. Rappel : la nivaquino-résistance et la polychimiorésistance ne concernent que le seul plasmodium falciparum. [163] :D L’échocardiographie est un examen indispensable dès lors qu’il existe suffisamment d’arguments cliniques pour redouter une endocardite. La présence de végétations signe, en contexte compatible, l’endocardite infectueuse. Mais leur absence ne l’élimine pas. On peut donc être amené à recontrôler rapidement réchocardiographie. [164] :B Il existe une anémie, leucocytose, granulocytose et éoninophilie modérée transitoire (3 à 5 %) dans la scarlatine. [165] :A La fièvre typhoïde est humaine, le réservoir de germe est l’homme malade ou le porteur sain. Les sérotypes de salmonelles rencontrés chez les animaux n’appartiennent pas aux sérotypes responsables de la typhoïde. [166] :ABC La varicelle se caractérise par des éléments éruptifs, d’âge différent, apparus en 2 ou 3 poussées. La fièvre boutonneuse méditerranéénne donne des poussées successives d’érythème papulonodulaire du tronc, de la face, des membres avec atteinte des paumes et des plantes. [167] :ABCDE La prépondérance masculine est liée à la plus grande fréquence de l’urétrite gonococcique chez l’homme. Les signes articulaires sont extrêmement fréquents. [168] :ABD Il n’y a pas d’atteinte du testicule dans les urétrites à chlamydia. [169] :ACE La prostatite, prostatovésiculite, épididymite compliquent 9 rapidement l’uréthrite gonococcique. [170] :AB La porte d’entrée dentaire évoque la responsabilité d’un streptocoque, germe fréquemment en cause à ce niveau, et connu pour son “affinité” pour les valves cardiaques autant que pour la grande fréquence des glomérulonéphrites des infections non traitées. [171] :ABC Le tétanos n’est pas une maladie fébrile (la fièvre n’existe que lorsque les crises paroxystiques sont très nombreuses et incontrôlées, où elle est liée à la déshydradation). Il n’y a pas de signe de Babinski. L’efficacité de la vaccination est absolue : aucun cas de tétanos n’a été observé chez des sujets correctement vaccinés. Les ROT. sont vifs, et l’hypertonie globale. [172] :AD Les aminosides passent très peu la barrière hémoméningée. Lérythromycine et les macrolides, s’ils donnent des concentrations tissulaires le plus souvent très supérieures aux concentrations sériques, ne donnent que des concentrations extrêmement faibles dans le LCR. Péfloxacine (Quinolone) et chloramphénicol passent bien dans le LCR. Le cotrimoxazole ne passe quasiment pas dans le LCR. [173] :ABCD - Les anguilluloses flambent sous corticoïdes. - Pneumocystis, crystosporidies, toxoplasme surinfectent volontiers les patients infectés par le V. I .H. [174] :ABCDE Limpétigo est contagieux, dorigine streptococcique ou staphylococcique. Une glomérulonéphrite est possible après un impétigo streptococcique doù la nécessité de contrôler la protéinurie à la guérison de tout impétigo. En revanche, l’impétigo streptococcique ne se complique jamais de maladie de Bouillaud. [175] :ACD Lincubation est de 14 j pour la rubéole et de 7 à 8 semaines pour la M.N.I. [176] :ABCE Les premières résistances aux amino-4-quinoléines sont apparues dans le sud-est asiatique et en amérique du sud dès les années 64. On a vu depuis, une expansion géographique de la résistance du falciparum à partir de foyers africains de lest et du centre du continent (région de plateaux et des lacs : Kénya, Ouganda, Zaïre, Ruanda, Burundi) qui s’est étendue vers le sud et rouest. Actuellement, les cas de Nivaquino-résistance sont nombreux au Cameroun, Gabon et en augmentation dans tous les pays riverains du golfe de Guinée et jusqu’au Mali. La Guyanne française est touchée depuis peu par la nivaquino-résistance dans les zones non urbanisées. [177] :ACE Les conjonctivites sont volontiers bilatérales, congestives ou folliculaires. Lassociation à une pharyngite donne la classique fièvre pharmaco-conjonctivale. La kératite est presque toujours une infection de sérotype 8. Les pneumopathies peuvent avoir une évolution mortelle. [178] :E Le paludisme ne donne pas dhyperéosinophilie, mais donne volontiers une anémie avec ou sans thrombocytopénie et granulopénie. Une éosinophilie normale n’évoque pas à priori un paludisme Retenir cependant que la paludisme ne donne pas dhyperéosinophilie. [179] :D La coqueluche donne une hyperleucocytose avec hyperlymphocytose. [180] :B Les morsures de chien et les griffures de chat sont fréquemment à l’origine d’une pasteurellose les signes inflammatoires apparaissant très précocément. [181] :A La simple association coma+hyperthermie doit faire évoquer le paludisme (et surtout l’accès pernicieux) à fortiori s’il s’y ajoutent les convulsions. En cas d’hémolyse massive, on peut observer une hémoglobinurie et non une hématurie. L’accès pernicieux palustre est une encéphalite aigùe et peut s’accompagner de nombreux signes neurologiques. [182] :E Il s’agit d’un entérocoque qui ne donne pas d’érysipèle de la face. [183] :ABDE C’est de plus une maladie à déclaration obligatoire. La mise au repos ne se justifie 10 que durant les premiers mois de traitement. [184] :D Le trichomomas ne s’enkyste pas. [185] :ABCD L’évolution est brève, la fièvre tombant en 2 à 4 jours, réalisant le V grippal (avant réascension passagère) mais l’évolution peut cependant être plus prolongée. [186] :AD La paralysie faciale périphérique siège du côté de la plaie faciale. Le pronostic du tétanos de Rose (de même que celui du tétanos ophtalmoplégique de Worms) est identique à celui d’un tétanos généralisé dans la mesure où la contracture touche habituellement le tronc. N.B. Déclaration obligatoire du tétanos. [187] :BCD Il s’agit d’une toxine protéique faite de plusieurs fractions : tétanolysine (hémolytique, cardiotoxique et nécrosante), tétanospasmine (responsable de la contracture) et fraction NSP (responsable des effets périphériques). Le neurotropisme s’exprime cliniquement par le déficit moteur lié à la fixation de la toxine au niveau des centres moteurs de la moelle épinière. La toxine tétanique respecte l’arc réflexe monosynaptique mais pas les réflexes polysynaptiques. La toxine n’est pas antigénique : le tétanos n’immunise pas. [188] :B L’amibiase est rare en France. Cette fièvre désarticulée sans point d’appel clinique doit être considérée comme une endocardite jusqu’à preuve du contraire. [189] :D Au delà de 8 semaines, il n’existe plus de risque d’accès pernicieux car le Plasmodium falciparum ne persiste pas (au niveau hépatique) dans l’organisme au-delà de cette durée. Les autres plasmodiums, eux, persistent et peuvent donner des accès tardifs imprévisibles mais qui ne seront jamais des accès pernicieux, car la chimioprophylaxie n’empêche pas d’être impaludé. [190] :C La splénectomie impose donc la vaccination antipneumococcique peu de temps après le geste chirurgical. [191] :ACD La pénicilline G est toujours active sur le clostridium. Loxygénothérapie hyperbare peut permettre de diminuer l’étendue des incisions souscutanées. [192] :ABCDE L’incubation courte est rare (plus l’incubation est courte, plus la maladie est grave). En moyenne, l’incubation est d’environ 10 jours. Le diagnostic du tétanos doit être systématiquement évoqué devant tout trismus, ce qui ne dispense pas de rechercher une cause ORL ou stomato, dont l’absence est un argument diagnostique de valeur. La revaccination tous les 10 ans est rarement respectée ce qui explique la persistance de cas de tétanos alors que la vaccination est obligatoire et d’une efficacité absolue. [193] :ABD Actuellement, la recherche systématique du virus B sur les échantillons de sang donné a considérablement réduit les risques d’hépatite B. En revanche, on ne dispose pas encore de dépistage systématique efficace contre l’hépatite non A non B. De ce fait, tous les produits préparés à partir de nombreux donneurs et concentrés ensuite laissent un risque important de contamination non A non B. Les facteurs anti-hémophiliques en sont l’illustration. [194] :AD L’isolement du virus est possible à partir de tout matériel (frottis, biopsie....). La sérologie est fiable et précoce. [195] :AB L’origine streptococcique ou staphylococcique rend compte de la haute contagiosité de l’impétigo. [196] :ABCD Lantiobiothérapie repose sur les macrolides ou les tétracyclines. [197] :ABC La chirurgie digestive et pelvienne reste une circonstance étiologique non exceptionnelle (une gangrène/5000 interventions). [198] :B Sans commentaire. [199] :E Listeria pomona est responsable de la maladie des porchers. [200] :BCDE Le caséum ne se résorbe pas sous l’effet des antituberculeux. [201] :CE La grippe et mycoplasme donnent des pneumopathies non 11 supppurées. Linfection à pneumocystis ne survient pas chez un adulte antérieurement sain. [202] :AB Il existe habituellement une thrombopénie dans l’accès pernicieux. La splénomégalie témoigne dune importante activité de phagocytose locale. [203] :BD Le bacille pyocyanique est souvent considéré comme responsable de méningite d’innoculation. La méningite à pneumocope reste fréquente. [204] :D La réaction lymphocytaire dans le LCR se voit à la phase préictérique. Dans le sang périphérique, il existe une hyperleucytose à polynucléaires neutrophiles. [205] :D Le tétanos n’est pas une maladie fébrile. N.B. Déclaration obligatoire. [206] :C Il n’y a pas dhématurie dans l’accès palustre qu’il sorte de primo-invasion ou de reviviscence. Les autres éléments font en revanche partie du diagnostic de l’accès palustre (quelle que soit lespèce plasmodiale). Le paludisme (autochtone ou d’importation) est une maladie à déclaration obligatoire. [207] PAS DE REPONSES POSSIBLES [208] :DE Listeria pomona est généralement isolée chez le porc. Lornithose est transmise par les oiseaux. Une griffure ne peut donner de toxi-infection salmonellienne. En revanche, la transmission du tétanos ou d’une pasteurellose est une éventualité non rare. [209] :ABE Le caractère pénicillinase (+) du staphylocoque le rend résistant à la pénicilline V et à rampicilline. Les bêta-lactamines semisynthétiques sont en revanche insensibles à l’action de la pénicillinase staphylococcique et donc actives sur le staphylocoque. La Pyostacine® est également active sur ces germes (antiobiotique appartenant aux synergistines, apparentées aux macrolides). [210] :ABCDE Toutes les propositions sont vraies. Les récidives viennent de l’épidémiologie même de la maladie, survenant par épidémies dans les collectivités d’enfants. Lorsqu’il est d’origine streptococcique, l’impétigo peut se compliquer de glomérulonéphrite. Le traitement, local et général, diminue le partage et donc la dissémination du streptocoque. (La contagion disparaît 48 heures après le début de l’antiobiothérapie). [211] :ABE La contamination transplacentaire se fait lors de la phase de diffusion ou lors du travail. Les viandes crues ou mal cuites peuvent contenir des formes kystiques contaminantes. La transmission par les mains après contact avec un chat est possible, le chat étant un réservoir principal du parasite. [212] :BC L’hémoculture est rarement positive dans les toxi-infections alimentaires à Salmonella. La coproculture sur milieux sélectifs et enrichis permet d’isoler la souche, d’établir son sérotype et son antiobiogramme. [213] :ABC Les oeufs de l’ankylostome duodénale sont éliminés dans les selles dès le quatrième jour de l’infection. Les oeufs d’ascaris sont nombreux dans les selles dès que le ver est adulte. Lhypodermose est une myase cutanée. Trichuris trichura vit dans la muqueuse caecale et pond des oeufs éliminés en grand nombre dans les selles. La base est une filariose sans élimination digestive. [214] :AC La toxicomanie à l’héroïne (par voie intraveineuse) expose aux infections staphylococciques à point de départ cutané. Les candidoses sont fréquentes chez l’héroïnomane. [215] :BE La baryte est contre-indiquée car l’existence possible d’une perforation digestive fait courir un risque de passage intrapéritonéal du produit de contraste qui menacerait à très court terme le pronostic vital. L’opacification aux produits hydrosolubles ne fait pas courir ce risque. La clinique est souvent pauvre, le début insidieux. [216] :AC NFS et radiographie du thorax sont bien sûr indispensables car orientent rapidement, facilement, 12 et à moindre frais le diagnostic. Léchographie abdominale, facile et peu coûteuse, trouve sa place immédiatement après si la clinique est compatible avec une origine biliaire. [217] :ADE La fièvre entraîne vite une hyperventilation et une déshydratation par augmentation de pertes insensibles. La tachycardie est quasi constante, mais le plus souvent bien tolérée. [218] :BD La fièvre typhoïde est une septicémie à point de départ lymphatique doublée d’une toxiinfection. La brucellose est aussi à point de départ lymphatique : Brucella se multiplie dans les relais ganglionnaires avant la phase de dissémination septicémique qui constitue la primo-invasion brucellienne. [219] :A Les macrolides sont bien tolérés (index thérapeutique élevé) et possèdent un spectre incluant une grande partie de germes habituellement responsables de surinfections bronchopulmonaires. Le caractère systématique de l’antibiothérapie dans le cas cité n’est pas admis par tous les auteurs. [220] :D Il y a pas d’éruption dans les oreillons. [221] :ADE Le diagnostic d’urgence repose sur le frottis dont on peut avoir le résultat en quelques minutes. L’intérêt de la sérologie est rétrospectif ou épidémiologique. Le paludisme transfusionnel, possible, est exceptionnel. De plus, le sang peut être contaminé alors que la sérologie est encore négative chez le donneur. Maladie à déclaration obligatoire. [222] :BD Les adénopathies sont à prédominance cervicale postérieure. La plasmocytose ne s’accompagne pas de leucopénie. Tout au plus observe-t-on un catarrhe pharyngé mais pas oculo-nasal. Les douleurs articulaires sont fréquentes chez l’adulte jeune. [223] :ABCDE La sérologie palustre est précocément positive et le reste longtemps, à des taux progressivement décroissants. Les formes bilieuses regroupent les manifestations ictériques marquées. Mais la fièvre bilieuse hémoglobinurique n’est pas un accès pernicieux. Chez la femme enceinte, l’accès palustre se complique souvent d’une fausse couche, d’où la nécessité d’un traitement précoce (Fansidar® contre-indiqué). Le polyparasitisme est relativement fréquent. [224] :BC Les tétracyclines sont, avec les macrolides, régulièrement actives sur Mycoplasma pneumoniae. [225] :ADE La fièvre en plateau se voit à la période d’état. Des taches rosées lenticulaires ne sont jamais vésiculaires. La splénomégalie est quasi constante. Larthro-typhus réalise un tableau de rhumatisme infectieux, parfois inaugural, à type de mono- arthrites suppurées touchant préférentiellement les grosses articulations. [226] :C La chimioprophylaxie n’empêche pas l’impaludation. elle ne constitue quun traitement préventif des accès cliniques,pas toujours efficace, même en l’absence de chimiorésistance. [227] :C Le patient est contagieux des quelques jours qui précèdent réruption, jusqu’à la disparition des vésicules et des croûtes. [228] :E On peut observer au cours du premier septennaire (période d’invasion) : céphalées, insomnie, vertiges, épitaxies, troubles digestifs (CIVET) sassociant à une fièvre délévation progressive sans accélération du pouls et à une prostration annonciatrice du tuphos de la période d’état. [229] :B A - Fièvre tierce bénigne. C - Fièvre tierce bénigne. D - Fièvre quarte. E - Pas pathogène pour rhomme. [230] :D Les anneaux sont le plus souvent retrouvés dans les sousvêtements. [231] :AD Le traitement par lacyclovir est uniquement suspensif. [232] :ABCE La lyse des germes libère une endotoxine qui agit sur les centres végétatifs diencéphaliques et abdominaux, expliquant le tuphos, le collapsus cardio-vasculaire, le dérèglement thermique et les complications 13 digestives. La splénomégalie témoigne de la septicémie. [233] :ABDE B - 50 à 60 % des patients présentent une pneumopathie à P. Carinii. C - seul le stade SIDA doit être déclaré (maladie du 1er groupe). E - le sarcome de Kaposi affecte particulièrement les homosexuels masculins. [234] :A A - Exceptionnellement, de même que les arthrites; ces manifestations réagissent aux antiinflammatoires. C - Les déficits en C6, C7 et C8 favorisent les infections à méningocoques set en augmentent la gravité. D - Favorise surtout les méningites à pneumocoque. [235] :ABC E - L’intérêt de rexamen microbiologique des selles est prépondérant. [236] :C La varicelle est extrêmement contagieuse. Le virus très fragile ne peut se transmettre par les objets. Il existe des formes congénitales de la maladie; les embryopathies sont exceptionnelles. [237] :B Lhomme sinfeste en consommant de la viande de bovidé crue ou mal cuite. [238] :B Létiologie à envisager en priorité est celle dune pneumopathie à pneumocystis carinii. [239] :E Chez le grand enfant et l’adulte la primo-infection herpétique se traduit plus fréquemment par une méningite lymphocytaire ou surtout une méningoencéphalite aigué (HVH1). HVH2 est responsable de méningo-encéphalites néonatales. [240] :E Aucun autre antibiotique ne se justifie bactériologiquement. [241] :E A - HPV 6. B - HPV 6 et HPV 11. C - HPV 6 et HPV 11. D - HPV 11. E - Infection bactérienne. [242] :A Le chlamydiae trachomatis est responsable de: - le trachome - la lymphogranulomatose vénérienne avec ses deux variétés cliniques principales: poradémie inguinale et lymphogranulomatose rectale - Infections uro-génitales et leurs complications : uréthrite subaigùe, prostatite, épididymite, balanite, cervicite, salpingite, stérilité, péritonite, périhépatite, syndrome de FiessingerLeroyReiter, rectites, endocardites, conjonctivites néonatales. [243] :D Ce germe est également sensible au triméthoprime. [244] :C Les oeufs pondus sont embolisés dans les capillaires, migrent dans les tissus et se constitue un granulome bilharzien ou une fibrose. [245] :D Les anneaux sont retrouvés dans le slip. [246] :D Ce sont des entérovirus. [247] :D Sans commentaire. [248] :A Il s’agit de la toxine tétanique, détoxifiée, mais qui conserve ses propriétés antigéniques. [249] :B Les principaux antibiotiques antipyocyamiques sont : azlocilline, piperacilline, ceftazidine, cefsulodine, aztréonam, imipenem, ciprofloxacine en association. [250] :A L’incubation est le plus souvent courte (2 à 5 jours) mais peut être prolongée (15 à 20 jours). [251] :B La tachycardie avec pouls filout, rapide, incomptable est un signe majeur du choc septique. [252] : B C D (E) A - Syndrome cholériferme. B - Le syndrome dysentérique peut s’associer au syndrome toxique. C - ‘Dysenterie bacillaire’. D - “Dysenterie amilienne”. E - L’entérite staphylococcique post-antibiothérapie peut se traduire par un syndrome dysentérique. [253] :AB Mieux toléré et plus efficace, le Zovirax est le produit le plus employé. [254] :CD A - Diagnostic au microscope. B - La certitude diagnostique est apporté par la découverte des larves dans la biopsie 14 musculaire. C - La sérologie, très sensible et très spécifique, est un élément diagnostique de certitude. D - Le diagnostic parastologique direct est exceptionnellment réalisé. E - Emmission danneaux dans le slip. [255] :CDE A - Contamination interhumaine directe (mains sales) ou indirecte (eaux de boisson, aliments crus, mouches). B - Contamination par ingestion d’oeufs avec les aliments ou les eaux de boisson. C D E - Pénétration transcutanée active. [256] :CD B - Les virus B et C sont responsables de cas sporadiques ou de petites épidémies locales. C - Virus A2 depuis 1957. E - La variation antigénique entre sous-type correspond à une cassure (modification de rhémagglutinine ou de la neuraminidose de surface). Dans chaque sous-type, des variations antigéniques modérées sont dues à des mutations ou des recombinaisons (“glissement). [257] :AD Voir question [242] A - La stérilité tubaire par obstruction peut régresser sous antibiothérapie. [258] :AC B - Le vaccin coquelucheux n’est pas obligatoire. Les vaccinations obligatoires sont : tétanos, poliomyélite, diphtérie et BCG. [259] :BDE A - L’impatigo peut être streptococcique ou staphylococcique. D, E - sont des pathologies streptococciques non suppuratives. [260] :AD B - Anatoxine C - Vaccin vivant E - Anatoxine [261] :ACD La pénicillinase du staphylocoque hydrolyse la pénicilline 4, la pénicilline V, la pénicilline A, les carbénicillines et les uréidopénicillines, et leurs dérivés. [262] :ABC C - Les virus B et C sont responsables de cas sporadiques ou de petites épidémies. D - Les mutations ponctuelles de l’ARN correspondent à des glissements” au sein d’un même sous-type. E - Le virus A2 sévit depuis 1957. [263] :ABCD A - Certaines souches virales déficientes en thymidine kinase sont insensibles à racyclovir. B, E - Lacyclovir triphosphate inhibe sélectivement ADN polynérase virale. C - Cet effet est uniquement suspensif (nouvelles récurrences à l’arrêt du traitement). [264] : Voir: Question [262] [265] :D D - 18 à 21 jours. [266] :D Le diagnostic de choléra doit être retenu devant l’association de : incubation brève, absence de prodrome, diarrhée cholériforme afécale, vomissements, hypothermie ++, collapsus avec oligo/anurie, séjour en pays d’endémie. [267] :B L’érysipèle est une dermoépidermîte aiguê localisée dont e caractère inflammatoire et la fréquence des récidives évoquent une hypersensibilité locale aux antigènes streptococciques. [268] :C Les angines virales s’associent souvent à une atteinte plus diffuse de l’appareil respiratoire avec coryza, laryngite, touximitative, réaction conjonctivale. [269] :AD B - Vecteur de trypanosomia gambienne. C - Vecteurs du paludisme. E - Vecteur de leishmanies. [270] :AE On pourrait également citer l’infection à VIH. [271] :AB L’invasion par les trypanosomes détermine une hyperplasie du tissu lymphoïde avec une infiltration lymphoplasmocytaire de la trame nésenchymateuse du diencéphale. Après une longue latence apparaissent des phénomènes auto-immuns irréversibles, avec une leucoencéphalite démyélinisante. [272] :E Le métronidazole est l’antibiotique de choix dans le traitement des infections à bactéroïdes. La pénicilline 4 est également active sur les bactéroïdes, sauf le B. fragilis. [273] :A Plus précisément, à la périphérie des fausses membranes. 15 B - La diphtérie est une toxiinfection. C - C’est un bacille gram positif. D - Le bacille pousse en 16 à 18H sur du sérum de boeuf coagulé, puis est identifié par ses caractères norphologiques et culturaux. [274] :D On observe dan les sinusites aiguês par ordre de fréquence : pneumocoque, haemophilus, streptocoques, staphylocoques, anaérobies. [275] :C Le tolnaftate nest actif que sur les dermatophytes. [276] :D Les lymphocytes T4 sont une cible élective du VIH. [277] :ABCDE A C - Le VIH présente un tropisme net pour les lymphocytes CD4. B - De type purpura thrombopénique auto-immun. D E - L’augmentation de la b2 microglobuline sérique et des 1g4 traduit une activation polyclonale des lymphocytes B secondaire ou déficit en lymphocytes T4. [278] :D La classification est la suivante Groupe I : primo-infection Groupe Il: infection asymptomatique Groupe III : lymphadémopathie généralisée persistante Sous-groupe A et B pour les groupes Il et III A - Sans anomalie biologique. B - Avec anomalie biologique. Groupe IVA : signes généraux Groupe IVB : maladie neurologique Groupe IVC : infection opportuniste Groupe IVD : canar secondaire :E L’homme élimine des anneaux contenant des embryophores. [288] :B La rage humaine déclarée est toujours mortelle. QLS difficile: C se discute en fonction de l’importance de l’enzootie rabique. [289] :D L’élévation de la PVC peut s’observer au cours de la phase secondaire du choc infectieux (phase hypokinétique). [290] [281] :D :BC A - Contamination par ingestion Sans commentaire. [291] d’oeufs embryonnés avec les :C aliments ou l’eau de boisson. Les complications rénales B - Viande de boeuf (T. saginata) ou de porc (T. solium) possibles des endocardites sont: infarctus rénal, insuffisance mal cuite. rénale par glomérulopathie, C - Viande de porc ou de pyélonéphrite, insuffisance rénale sanglier mal cuite. D - Ingestion de poisson cru ou secondaire à l’insuffisance cardiaque, néphropathie mal cuit. interstitielle médicamenteuse. E - Pénétration transcutanée active. [282] [292] :E :BCDE A - Contamination par ingestion La prise d’amoxicilline s’effectue de métacercaires libres sur les 1 H avant et 8 H après les soins. [293] végétaux aquatiques ou :A enkystés dans de la viande de L’encéphalite herpétique est plus poisson mal cuite. fréquente au cours de la primo[283] infection chez le grand enfant et :ABCE chez l’adulte. A B C - Le syndrome [294] mononucléosique peut s’observer au cours de la primo- : B C D A - Les formes inapparentes sont infection à ces agents très fréquentes. pathogènes. B - Le virus est présent dans le [284] pharynx pendant la semaine qui :ABCDE précède l’éruption et celle qui [285] la suit. :ABCE [295] [286] :AB :A B - l’intensité du frottement est Certaines formes majeures de extrêmement variable pneumopathie varicelleuse C - exceptionnelle peuvent nécessiter une D - raspirine peut suffire assistance ventilatoire. [296] [287] Groupe IVE : autres [279] :BD A - 30 à 50 % des nouveaux nés de mère séropositive sont contaminés. D - Elle peut être due à la transmission d’anticorps maternels. [280] :BD La toxicité de la lomidine par voie générale fait préférer dans certains cas son utilisation en aérosols. 16 :ABE C - L’herpangine est due à des virus coxsackie A. D - Le réservoir est exclusivement humain. [297] :CDE A - Les frissons peuvent accompagner une décharge bactérienne. C - La chute des la diurèse est souvent plus franche, inférieure à 20 ml/heure. [298] :CD A - Le test PBD est négatif dans 20 % des MNI. Il faut alors pratiquer une recherche d’lgM anti-VCA. B - Le test PBD reste positif 3 semaines (parfois 3 mois au maximum). C - Le test se positive au cours de la première semaine. D - Le test met en évidence des lgM agglutinant des hématies de mouton. [299] :A L’incubation est brève (12 à 72 H) au cours d’épidémie mais peut atteindre 3 à 7 jours en période d’endémie. [300] :BCE A - L’agent est un arbovirus. B - Le vecteur contaminant l’homme est Aedes aegypti. C - La fièvre jaune est naturellement une zoonose du singe. [301] :ABCE Lanatoxine protège des manifestations dues à la toxine. Elle ne peut éviter la contamination pharyngée de manière absolue ; cette éventualité est néanmoins exceptionnelle. [302] :AD A - Les cas chez l’adulte sont néanmoins exceptionnels. Il s’agit du phlébotome. [315] :E Au cours de la rubéole congénitale évolutive, l’enfant est habituellement contagieux pendant environ 6 mois, mais la période de contagiosité peut atteindre 15 mois. [316] :B Sans commentaire. [317] :ABCDE D - Les pandémies sont dues à des “cassures” du virus A, se traduisant par des modifications importantes de la Sans commentaire [311] neuraminidose ou de [304] :C :ADE L’utilisation d’une céphalosporine Ihémogglutinine. E - Les mutations affectent les B - Les séquelles sont de 3ème génération permet de virus A B et C et se traduisent fréquentes. couvrir les haemophilus par de faibles modifications E - HSV 2 est responsable plus résistants à rampicilline. antigéniques appelées souvent d’encéphalite néoLassociation dun aminoside “glissement”. natale. augmente la vitesse de [318] [305] bactéricidie. A nest pas faux. :CD [312] A - Transmis par les anophèles. On ne peut répondre A B C et D : D B - Transmis par le chrysops sont vrais (mauvaise A - Les staphylocoques sont (taon). formulation de E ?). rarement incriminés dans les C - Le typhus exanthématique [306] angines. du à Rickettsia prowasekii est :B B - Les méningites à transmis par les déjections des Il n’existe pas de vaccin antistaphylocoques sont poux du corps (pediculus méningocoque B. habituellement des méningites hum=anus corporis). [307] purulentes postneurochirurgie. D - Trypanosoma cruzi est :E [313] transmis par les déjections des A - Tâches de Roth. :B B - Les anomalies rénales sont A - Les oocytes sont éliminés par réduves. inconstantes. les chats, et sont contaminant par E - Transmis par Glossina palpalis ou Glossina norsitans. C - 30 % des malades ingestion pour l’homme. [319] présentent un purpura pétéchial B - Les tachyzoïtes (ou :AB évoluant par poussées sur les trophozoïtes) sont les formes C D E sont des infections conjonctives, les muqueuses végétatives endocelluaires, non bactériennes. buccales set les membres enkystées. inférieurs. Au cours d’une primo-infection, D - C’est un minimum. les trophozoïtes traversent le [320] E - L’hépatomégalie est rare :CD placenta chez une femme mais la splénomégalie Sans commentaire. enceinte. s’observe dans 40 % des cas. [321] C - Formes végétatives [308] :AB contenues dans les kystes, qui :C B - Wuchereria bancrofti peut contaminent l’homme lors de la On doit également, si possible, consommation de viande mal être transmis par les mettre en culture l’aliment anophèles. cuite. suspect. [322] [314] [309] :ABE :C B - La coqueluche est une toxiinfection. Le bacille peut être isolé à partir des sécrétions nasopharyngées. C - L’absence de transfert passif d’immunité de la mère au foetus explique la grande sensibilité des nourrissons nonvaccinés. D - L’immunité acquise peut s’amoindrir avec le temps. E - Au contraire, on note une hyperlymphocytose majeure (parfois > 40.000/mm3), évocatrice. [303] :B La pénicilline G est l’antibiotique de choix des infections à streptocoques. L’héparine à dose efficace traite la phlébite souvent associée (dans certains cas l’héparine à dose préventive se justifie). [310] :C A - La méningite brucellienne est une méningite à liquide clair, survenant au cours de la phase tardive de la maladie. B D E - sont des méningites purulentes. 17 A - Tout syndrome pseudogrippal chez une femme enceinte doit conduire à un traitement par ampicilline, après prélèvements bactériologiques. B - On observe moins de 20 % de naissances à terme au cours des listérioses survenant chez les femmes enceintes. E - Et résistant aux céphalosporines de 3ème génération. [323] :ABD E - Les tétracyclines sont un bon traitement des infections à chlamydiae. [324] :A Au cours du tétanos, la fièvre est souvent la conséquence de complications infectieuses. [325] :C A - Loque à Gram positif. B D - Bacille à Gram négatif. E - Coccobacille à Gram positif. [326] :D Sans commentaire. [327] :ABCDE D - Le muguet buccal débute par un érythème diffus. [328] :ACE Et tous les orifices. [329] :BCE Elles précèdent l’éruption de 3 ou 4 jours et peuvent persister longtemps de façon intense. [330] :ABC A B C - Ont une bonne diffusion prostatique. D - Se discute en association à A pendant quelques jours. E - Nécessite une administration parentérale. [331] :ABDE C’est un vaccin vivant atténué. [332] :A Pour poser le diagnostic de SIDA, la tuberculose doit avoir une localisation extrapulmonaire. [333] :BC A - 72 heures. [334] :AC B D E - Nécessitent 2 ou 3 injections à un mois d’intervalle. [335] :ABCDE Sans commentaire. [336] :E Le test de Nelson ne se positive au plus tôt qu’à la fin de la période primaire (6 semaines après l’apparition du chancre). [337] :C Le F.T.A. se positive quelques jours après l’apparition du chancre. [338] :D Au cours de la tularémie, l’adénopathie est satellite de l’escarre d’inoculation. [339] :ADE A - Exanthème et énanthème. B - Une seule poussée continue débutant à la tête et descendant progressivement. [340] :BCDE A: 15 à 20%. [341] :AE B - Evoque une pie-mérite basillaire (tuberculose, listériose). C - Germes des otites moyennes (Pneumocoque, Haemophilus...). D - En faveur d’un pneumocoque. [342] :BCDE Cf Question 329 II peut exister une hypo ou une anesthésie, et avant l’éruption, une hyperesthésie. [343] 18 :CD A - Vaccin vivant atténué. B - Vaccin tué. E - Vaccin vivant atténué (oral) ou vaccin tué (injectable). [344] :ABCD Sans commentaire. [345] : QUESTION ANNULEE. [346] : QUESTION ANNULEE. [347] :ABCE A - Peut persister 20 ans. B - Répartition très limitée, en foyers. C - Fièvre quarte. [348] :B La pénicillinase des staphylocoques inactivent la pénicilline G et es pénicillines A. [349] :A Sans commentaire. [350] :B La certitude dune vaccination antérieure complète conduit à pratiquer un rappel danatoxine auquel on ajoute une séroprévention en cas de plantes importantes. [351] QUESTION ANNULEE. [352] :A Les anticorps détectés par inhibition de Ihémagglutination apparaissent au moment de léruption, soit 15 jours après le contage. Leur présence, trois jours après le contage, témoigne dune rubéole antérieure. [353] :CDE Sans commentaire. [354] :D Les dermatophytes ninfectent pas les muqueuses. [355] :BD C - Les aminosides sont inactifs sur les streptocoques en monothérapie. E - Les anaérobies stricts et aéro-tolérants sont résistants aux aminosides. [356] :ACD B et E ne diffusent pas dans le LCR. [357] :E A - L’incubation de la rougeole est de 10 à 11 jours. B - Il est quasiment constant. C - C’est un semis de granulation blanc-bleuâtre, sur fond érythémateux à la face interne des joues. D - Les convulsions de la période d’invasion sont rares, parfois liées à l’hyperthermie. E - Elle débute le 4ème ou 5ème jour après l’éruption, parfois plus tard. [358] :AC A - Les résistances des streptocoques à la pénicilline sont exceptionnelles. B - 90 % des staphylocoques sécrètent une pénicillinase. C - C’est un streptocoque. D - Germe sans paroi. E - Sécrète une bêtalactamase. [359] :ABCDE C - Syndrome de Lôeffier. [360] :AB Sans commentaire. [361] :ACE Les protozooses ne provoquent pas d’hyperéosinophilie. Seuls les parasites dont le cycle comporte une phase tissulaire définitive ou transitoire viande. E - Cysticerque dans la viande de bovidés. [369] :AB A - La toxoplasmose ganglionnaire est la plus fréquente des formes [363] apparentes de l’infection :D toxoplasmique. - L’antibiotique de choix est l’érythromycine par voie veineuse B - La phase lymphaticosanguine fait suite au chancre (3 gr/j). - Légionella pneumophila est une d’inoculation. [370] bactéie à multiplication :BCD intracellulaire facultative A - Les bêtas-lactamines sont sécrétrice inactives sur les mycoplasmes. de bêta lactamase. B - Pneumonie atypique, de [364] type viral. :D Les anophèles piquent à partir de C - Anémie hémolytique à 18 h en Afrique et à partir de 22 h agglutinines froides. D - La toux est particulièrement en Asie. tenace. [365] E - Exceptionnel (surinfection). :E [371] Les animaux domestiques et d’élevage constituent le réservoir : C E B - Leuconeutropénie. du germe. La transmission C - 30 % des cas. s’effectue le plus souvent par E - Les agglutinines TO rintermédiaire des aliments. La apparaissent vers le 8ème jour contamination est per-annuelle. (TH vers le 12ème jour) et n’ont [366] de :E valeur qu’à un taux supérieur La négativité des sérologies ou égal à 1/100ème. spécifiques témoigne de l’absence de contact antérieur avec un tréponème. [372] :BCE [367] A - Le zona est métamérique :ABCDE mais récidive A - 90 % des primo-infections à exceptionnellement. HSV1 et 60 % des primo[373] infections à HSV2 sont asymptomatiques. Pas de réponse possible (D?). B - HSV1. A - Fréquemment à l’origine de C - HSV2. syndromes grippaux chez D - HSV1 surtout. radulte jeune. E - Méningo-encéphalite néoB - Réalise un tableau voisin de natale à HSV2 ou de l’adulte à la grippe. HSV1. C - Tableau de pneumopathie [368] atypique. :ADE D - Les diarrhées à Rotavirus A - Viande de porc. peuvent s’accompagner d’une B - Au contact d’un chien infection des voies parasité. C - Ingestion de poisson mal cuit. respiratoires. E - Grippe d’été, grippe des D - Formes kystiques dans la provoquent une hyperéosinophilie importante. [362] :C Le zona est une ganglioradiculite postérieure aigué. 19 champs. [374] :B Souvent d’origine staphylococcique, I’OMA de l’adolescent gagne par voie hématogène la métaphyse d’un os long. L’infection est arrêté par le cartilage de conjugaison. [375] QUESTION ANNULEE. [376] :E Seule une sérologie antérieure positive permettrait de dispenser de pratiquer une sérologie de la rubéole. [377] :C A, C, E - La seule contreindication à ce vaccin est l’allergie vraie aux protéines de l’oeuf. B - C’est un vaccin à virus tué. D - L’immunité dure 6 à 12 mois. [378] :C L’homme constitue le réservoir unique de méningocoques dans la nature. La transmission se fait par les gouttelettes de mucus naso-pharyngé. [379] :ABCE A - A éviter, se justifierait dans un contexte épidémique. D - Les déficits immunitaires congénitaux ou acquis sont une contre-indication aux vaccins par virus vivants atténués. E - Les antécédents de convulsion non liés à une encéphalopathie évolutive ou à une vaccination ne sont pas une contre-indication aux vaccinations. On peut associer un traitement anticonvulsivant de quelques jours. [380] :AD La sérologie herpétique n’est utile que pour confirmer une primo-infection. Elle n’est d’aucune aide au cours de l’herpès récurrent. [381] :A A - Les antigènes viraux peuvent être détectés par méthode immuno-enzymatique dans un prélèvement vésiculaire. B - La suspicion du diagnostic d’encéphalite herpétique impose de débuter le traitement. C - La synthèse locale d’interféron témoigne d’un processus infectieux viral non spécifique. E - Le taux dlgM peut augmenter au cours des récurrences. [382] nourrissons n’est pas bonne. Il faut vacciner après 12 mois d’âge. D - La prévention après un contage repose sur les gammaglobulines standard. [390] :ACD B - Doit être traitée par Pénicilline G. E - Le plus souvent traitée par Pénicilline V. [391] :ABC B - L’éruption est précédée par la période d’invasion qui dure 3 à 4 jours. D - Le catarrhe oculo-nasal traduit la période d’invasion qui précède l’éruption. E - Il existe des intervalles de peau saine. QUESTION ANNULEE. [392] [383] : :ABDE QUESTION ANNULEE. Sans commentaire. [393] [384] :ACE :C A - “Pneumonie aux yeux d’or” C - Est évocateur d’érysipèle de fréquente chez les patients la face. africains. [385] C - Hépatite granulomateuse. :D [394] A B - Inactivées par la :C pénicillinase staphylococcique. A - Une parasitémie supérieure C - Pas en monothérapie. E - Non absorbée per os. Inactive à 2 % serait un critère de gravité. sur les Gram +. C - Surtout chez l’enfant. [386] D - Peut survenir jusqu’à 6 à 8 :E semaines après le retour(voire Legionella pneumophila sécrète 12 mois, exceptionnellement). une céphalosporinase. E - Les souches [387] chloroquinorésistantes sont de :D plus en plus fréquentes. Sans commentaire. [395] [388] :B :C Le BCG provient d’une souche A - N’existe pas. L’angine de Vincent est due à une association de M. Bovis obtenu après 230 passages en 12 ans sur fuso-spirilliare (Fusobacterium pomme de terre biliée + spirochète). glycérinée. La virulence s’est C - Chancre syphilitique de probablement atténuée par l’amygdale. sélection d’un mutant avirulent. [389] [396] :AE :B C - La réponse sérologique des 20 C’est la toxine détoxifiée mais ayant conservé son pouvoir antigénique. [397] :BDE A - Les streptocoques sont plus souvent en cause. B - Injection intraveineuse souillée, manoeuvre instrumentale, plaies... C - La température atteint fréquemment 39°. D - Surtout les endocardites à levures. [398] :ACDE B - Affecte surtout l’enfant jusqu’à 4 ans. D-3 à 8jours. [399] :E Sans commentaire. [400] :ACD B et E justifient un traitement local. aérobies, sauf les proteus et les serratia. D - Le métronidazole est l’antibiotique de choix du traitement d’une infection à bactéroïdes fragilis. [404] :ACD A, C - Ou macrolides. D - Macrolides avant 8 ans. [405] :ABDE A - L’antigène est, pour mémoire, obtenu à partir de coeur de boeuf (cardio-Iipide). B - Le test de Nelson est au plus tôt positif à la fin de la période primaire (6 semaines après l’apparition du chancre). D - Le TPHA se positive 10 à 12 jours après l’apparition du chancre ; le FTA, 5 à 8 jours après l’apparition du chancre. E - Le VORL se positive une vingtaine de jours après l’apparition du chancre. [406] [410] :CDE A, B - Origine streptococcique. [411] QUESTION ANNULEE. [412] :ACD A - L’incubation peut durer plus de 6 semaines. B - C’est une ulcération à base indurée. E - Le VDRL se positive 20 jours après l’apparition du chancre. [1] :ABD En France, 80% de transmissions par ovins et caprins, 15% par bovins, quelques % par porcins, exceptionnellement par cheval, chien, lièvre, chat, pigeon. [2] :BC Brucella est un petit bacille gram négatif. Le sérodiagnostic de WRIGHT [401] met en évidence la présence QUESTION ANNULEE. :BD d’anticorps de type lgm. li n’est A, C et E peuvent s’observer au [407] positif entre le 10e et le 15e :ABC cours d’une septicémie sans complication hémodynamique. C - Gélose enrichie avec du sang jour. En pratique, la réaction d’agglutination au rose bengale cuit. B - Est un excellent signe D - Certaines souches produisent permet un dépistage précoce et clinique de défaillance une pénicillinase plasmidique qui très rapide, avec une très hémodynamique dont D est la bonne sensibilité. inactive la péni G et traduction d’une conséquence [3] l’ampicilline. rénale. E - La variation antigénique de N. : B C E [402] Sans commentaire. gonorrhoeae est un obstacle à : [4] l’élaboration d’un vaccin. QUESTION ANNULEE. :DE [408] [403] Brucella est un germe :CE :BD intracellulaire obligatoire. Les A - Le vecteur est le chrysops A - Les anaérobies stricts sont antibiotiques utilisés doivent (taon). naturellement résistants aux avoir une B - Le vecteur est la simulie aminosides. très bonne pénétration (mouche hématophage). B, E - Les bactéroïdes du intracellulaire soit C - Anophèle ou Culex. groupe fragilis possèdent une - cycline D - Contamination par ingestion bêta lactamase active sur les de viande de porc ou de sanglier. - rifampicine céphalosporines de 1ère - fluroquinolons, type E - Mansonia. génération, la péni G et les pefloxacine. [409] aminopénicillines ; l’action de [5] cette pénicillinase est inhibée :A QUESTION ANNULEE. par l’acide clavulanique. Sans commentaire. C - La colistine n’est active que [6] sur les bacilles à Gram négatif 21 [15] :D Comme la majorité des infections virales, une sérologie systématique est donc nécessaire chez toute femme enceinte pour connaître son immunité face à la maladie. [16] :C L’immunisation passive est efficace jusqu’à 5 jours après le contage. Le délai d’apparition des anticorps est d’environ 16 jours après le contage, mais très [8] vanable :C Ces deux antibiotiques sont les d’un sujet à l’autre. plus actifs sur le streptocoque, Le titre maximal peut être présent 3 jours à 3 semaines après cette bactéricides et synergiques. date. [9] [17] :D :B Seul examen pouvant affirmer C’est une maladie bénigne. le diagnostic d’endocardite, Les complications à type réchographie uni et d’encéphalite ou purpura bidimensionnelle visualise des végétations supérieur ou égal à thrombopénique sont rares. [18] 3 mm dans 60% des cas. :C [10] Vibramycine 100 mg x 21j. :ABCDE Les abcès septaux atteignant le Rifampicine 450 mg x 2/j. faisceau de Hiss sont exceptionnels dans les [19] endocardites à streptocoque :B viridans. C’est plutôt le cas des En pratique, bithérapie pendant 4 endocardites semaines et 2 semaines de staphylococciques. Les cycline seule. anévrismes sont plus fréquents. [20] [11] :B :A Brucella est une bactérie La chirurgie est évitée au intracellulaire obligatoire comme maximum en phase infectieuse. les rickettsies. Elle peut être réalisée après 3 [21] semaines de traitement si :E nécessaire. Il y a rarement stérilisation [12] complète des foyers et les :E rechutes sont fréquentes. Il Description séméologique d’une nexiste aucun argument objectif rubéole. formel de la guérison d’une [13] brucella. :D [22] Incubation de 3 à 5 jours. :ABCE [14] Les mesures sanitaires prises par :D rapport au bétail contaminé sont Souvent microadénopathies. primordiales. :ABE L’existence d’une insuffisance cardiaque est le principal signe de gravité. [7] :C 50% des cas d’endocardites sur valves natives. Le streptocoque alpha (ou viridans plutôt) est un germe commensal de la cavité buccale et la dissémination est souvent secondaire à des soins dentaires. 22 La vaccination humaine est efficace pendant 2 ans après 1 injection de fraction antigénique. [23] :B La toux sèche et non productive fait éliminer le diagnostic de bronchopneumonie. [24] :B Le plus souvent responsable d’un tableau de pneumopathie atypique. Une élévation significative des agglutinations froides est retrouvée dans 50% des cas. [25] :B Mycoplasma pneumoniae peut être retrouvé à lexamen bactériologique du LBA ou de rexpectoration. Sa culture est lente sur milieux spéciaux. [26] :B La maladie évolue favorablement même sans traitement. Le traitement antibiotique à visée intracellulaire de préférence (germe intracellulaire facultatif) hâte la guérison. Cyclines ou macrolides sont très actifs. [27] :A Localisation la plus fréquente après les glandes sahvaires. La stérilité et l’atrophie testiculaire sont absolument exceptionnelles. [28] :CE Lovarite et la mammite sont plus rares. [29] :ABE Localisation très rares ainsi qu’oculaires, endocardiques, hépatiques ou rénales. [30] :A Exceptionnellement pratiqué; Le diagnostic est généralement clinique; [31] :CD Lacyclovir est inactif sur les virus à ARN. [32] :ADE Il existe 3 types de vaccins : 2 vivants atténués et 1 vaccin inactivé. Très employé aux EtatsUnis, la vaccination reste discutée en France. Elle peut être administrée chez renfant en association avec la rougeole et la rubéole (R.O.R) après 1 an. [33] :E C’est un énanthème buccal. Classiquement tâches ardoisées en regard des prémolaires. [34] :D Sans commentaire. [35] :BD D - Dans les pays en voie de développement les complications de la rougeole sont une des principales causes de mortalité des enfants de 1 à 4 ans. La mortalité est 100 fois plus élevée que dans les pays développés = 10% des cas. Les kératites de surinfections sont redoutables également. C - L’encéphalite postéruptive apparait 1 à 15 jours après l’exanthème. [36] :CD Germes responsables de la majorité des infections des voies aériennes chez le nourrisson et l’enfant. [37] :B Réponse discutée car actuellement il existe 10 à 20% des souches d’hémophiles produisant une bêta lactamase donc ampicilline - R -. On pourrait proposer l’association Ampicilline + acide clavulanique (Augmentin®) ou alfatil (Cefaclor®). [38] :C L’injection de 30 à 50 mg/kg de gammaglobulines standards réalise une séroprévention si elle est faite avant le 6e jour. Le 6e ou 7e jour, elle n’induira qu’une séroatténuation. [39] :B Principal diagnostic différentiel de la diphtérie, plus fréquent. La fausse membrane correspond à un exsudat inflammatoire important. [40] :BE Nécessaires et suffisants, le MNI test ou recherche d’anticorps hétérophiles par agglutination est rapide,facile. Il y a quelques faux positifs; Pour le prélèvement de gorge, préciser la recherche de corynebactériae diphtériae pour ensemencement sur milieux spéciaux, et IF directe sur lame. [41] :CD A.B.E - Sont en faveur de la MNI (A - 50% des cas). La diphtérie correspond à une multiplication locale pharyncolaryngée et à une dissémination toxinique secondaire. [42] :BE La sérothérapie par antitoxine nest efficace qu’administrée précocement avant les premiers signes de diffusion toxinique : 40 à 100 000 UI dans les cas graves. La vaccination est obligatoire et les rappels doivent être faits tous les 5 ans. [43] :BC Elle n’immunise pas complètement mais diminue les formes graves. 23 Elle permet une diminution de la prévalence de l’infection. [44] :C Sans commentaire. [45] :C Bacille gram négatif capsulé, pathogène strict de l’homme, retrouvé dans les voies respiratoires supérieures. [46] :AD A - Leucocytose pouvant aller jusqu’à 50 gIl. D - Après étalement du prélèvement sur lame, des anticorps marqués à la fluorescéine révèle la présence de bordetella pertussis. Technique rapide mais de nombreux faux +. Le prélèvement est mis en culture également sur milieu de Bordet-Gengou. [47] :ABC La pneumonie peut être une surinfection bactérienne ou une pneumocoqueluche alvéolaire moins grave. [48] :D Le but du traitement antibiotique est la prévention des surinfections respiratoires fréquentes les germes habituellement responsables sont les streptocoques et haemophilus. [49] :BCD B - Gamma - globulines humaines spécifiques : 200 mg en 1M. Son efficacité est discutée C - L’éviction scolaire est de 20 jours après le début des quintes pour les frères et soeurs D - La vaccination le plus fréquemment associée à diphtérie ÷ tétanos ÷ polio, recommandée dès l’âge de 3 mois, 3 injections + rappels 1 an et 5 ans après. [50] :ABDE Sans commentaire. [51] :B L’arrêt de la prophylaxie antipaludéenne au retour de France permet d’évoquer le diagnostic. On aurait pu discuter une amibiase hépatique mais elle n’est pas contemporaine d’amibiase digestive et donc de diarrhée. [52] :B Réalisés aux pics fébriles, ils recherchent la présence de plasmodium au sein des hématies la lecture du frottis après coloration au M.G.G est immédiate, rapide et décèle une parasitémie de l’ordre de 250 parasites/microl. La goutte épaisse contient 12 à 244 parasites/microl. C’est une technique d’enrichissement: elle détecte une parasitémie plus faible de 50/microl. [53] :ABCD Le vede CAYOR est répandu en Afrique. Il vit sur le sol des cases ou dans le linge. Il pénètre activement la peau pour former une tuméfaction furonculoïde. [54] :ABCDE A - Evite les bilharsioses. B - Prévention de l’ankylostomose. C - Prévention de l’amibiase, la filariose de Medine. D - Prévention de l’amibiase. E - Prévention des myases. [55] :AD La principale complication est une surinfection des lésions par grattage. La gamma-thérapie préventive est indiquée pour les femmes enceintes, les immunodéprimées et les [63] :CE C - Evident lors dune infection cutanée. E - Inutile, antifungique. A - L’héparinate de calcium a également un effet antiinflammatoire. [64] :CE Effraction de la barrière cutanée, quelle que soit sa taille, sa profondeur, ou son origine. [65] :D C - Lantibiothérapie continue préventive na pas dindication. Les récidives sont fréquentes (40 à 50%). Le traitement de la première poussée par la pénicilline G intraveineuse, 10 millions UI, diminuerait les récidives à 20% des cas. [66] [58] :AD :ABCD B E- Sont anti candidosiques et A - Complication la plus anti-trychophytiques. fréquente en dehors de la forme C - Est seulement antide rimmunodéprimé. C - Purpura trombopénique bénin trichophytique. [67] le plus souvent. :C [59] Les staphylocoques non :BE aureus, DNase et coagulase ne B - Le zona correspond à une peuvent être pathogènes que résurgence du virus varicelle lors dinfections nocosomiales. zona (VZV) Seuls les staphylocoques C D - Réalisent des bulles. saprophyticus seraient [60] responsables dinfections :AB urinaires de la femme jeune. Il faut toujours penser à la responsabilité du streptocoque devant ce tableau clinique, [68] :BCD généralement du groupe A. II y a souvent céphalées et [61] vomissements. :A On pourrait discuter remploi dune [69] :B pénicilline M ou dune Exotoxine découverte en 1981 synergistine en raison de rassociation fréquente, peut être appelée TSST. Sa production serait transmise par un secondaire, du staphylocoque. bactériophage et varie selon les [62] souches. :B [70] Les macrolides ont la meilleure activité sur le streptocoque après : E B - Actuellement environ 40% les Blactamines. nouveaux-nés. [56] :DE D - Forme maligne de l’immunodéprimé : varicelle bulleuse ou hémorragique avec dissémination à tous les organes et mortalité de 8 à 15% des cas. E - Jusqu’au 6e mois de grossesse, risque d’embryopathie foetopathie ; forme grave du nouveau- né si varicelle perpartum. [57] :B 90% des femmes sont immunisées à l’âge de procréer Les immunoglobulines sont des lgG de convalescent de zona (ZIG) et doivent être injectées moins de 72 heures après le contage. Protection pendant 4 semaines. 24 des souches sont résistantes à la méticilline. Le traitement de 1ère intention comprend toujours la vancomycine, antibiotique actif sur 100% des staphylocoques dorés. Dans ces cas-là, il sera associé parfois à un autre antistaphylococcique majeur: fosfomycine, rifampicine ou pefloxacine. [71] :D Frottis goutte-épaisse. [72] :ACD Sans commentaire. [73] :E Du fait du tableau clinique. [74] :ACE Sans commentaire. [75] :ABCE Piège ; résistance alachimioprophylaxie par nivaquine. [76] :ABD A - Réponse en 24 à 48 h. B - En théorie possible par IF avec anticorps monoclonaux, en pratique uniquement pour diagnostic urgent. On observe des faux négatifs. C - Peu sensible, ne fait pas la distinction entre HSV 1/HSV 2 ni lgM/lgG. D - Comme toute virose. E - En cas de réactivation, ils peuvent manquer. Il sagit en principe dlgG dont le titre varie. On peut parfois détecter des lgM persistants (ELISA ou IFI). [77] :C La contamination se fait en perpartum. Laciclovir diminue seulement l’excrétion virale, ne prévient pas les récidives, Il y a dautre part un risque de foetotoxicité et de mutagénèse. D - Si pratiquée juste avant l’accouchement, sa négativité staphylocoques ne produisant pas de pénicillinase = exceptionnels en milieu hospitalier. [78] B - Le Métronidazole n’a pas :E d’activité anti-staphylococcique. Egal 1/1 000 C - Activité médiocre sur - Une primo infection à staphylocoque phase +. l’accouchement donne 75% de risques. Une récurrence génitale D - 50% des souches hospitalières de seulement 5%. staphylocoques sont [79] résistantes à la méticilline, 40% :E sont résistantes aux Pas d’électrode sur le scalp. Bétadine® dans le vagin et soins aminosides. En 1987, en première intention, on utilise du nouveau-né. toujours la Recherche d’isolement viral au Vancomycine en IV. Dans ce niveau des voies génitales maternelles pendant le travail. Si cas précis (insuffisance rénale modérée) 500 mg X 2/j à examen positif, discussion du traitement de l’enfant par aciclovir adapter selon les dosages sériques au pic et en résiduel. (600 mg/m2/jour en 4 prises [84] pendant 10 jours). :D A - Valeur discutée. Seule utilisable dans le cas c - Infection exceptionnelle à clinique. partir de gingivostomatite plutôt Surveillance de la fonction que d’herpès labial. rénale et du dosage sérique de [80] l’amikacine = risque de :C néphrotoxicité et A - Surtout si intubation + d’accumulation secondaire à ventilation. l’insuffisance rénale modérée B - Possible. du patient. D - Possible mais l’absence de [85] suppuration est précise dans le :A texte. B D - Anaérobies stricts. E - Possible mais pas de E - Aérobie strict. surinfection cutanée notée. c A - Sont des entérobactéries [81] aéro-anaérobies mais on ne :BC retrouve C que dans un Par rupture d’un abcès dans la contexte plèvre. d’infection ou de portage E - Rarement à ce stade. digestif. [82] :BCDE A - On observe plutôt des abcès [86] :ABD cérébraux; une méningite C - II existe souvent un secondaire à la rupture d’un bronchogramme aérique. abcès [87] éventuellement pourrait être :ABCD envisageable. A - 30% d’hémocultures D - Secondaire à l’existence positives, argument d’abcès intrarénaux. pronostique. [83] B - Positif dans 75% des cas. :D C - La C réactive protéine est Bien que Q.C.M. à réactualiser. A, E - N’ont d’activité que sur les par définition une protéine pourrait permettre un accouchement par voie basse. 25 précipitant avec le polysaccharide C de paroi du pneumocoque et dont l’augmentation a été rapportée dans les cas de pneumococcies. D - syndrome inflammatoire. [88] :BE A - Non, 20% des souches résistantes. B - Posologie discutée 4 à 12 millions dUI/j (70 à 200 000 Ul/kg/j) mais reste le meilleur traitement de la pneumococcie. C - Non, plus de 40% des souches R. D - Naturellement résistant. [89] :C La guérison radiologique est toujours différée. [90] :B A - Principalement infection nosocomiale. C - Surtout chez l’éthylique ou sur terrain débilité. D - Donne un tableau de pneumonie atypique. [91] :E Sans commentaire. [92] :E En faveur = association pharyngo-conjonctivite et bronchite aigué. A - Pneumopathie atypique. B - Pas d’adénopathie, d’hyperthémie conjonctivale. C D - Idem C comprend les cocksackies, les échovirus, les poliovirus et les entérovirus 6871, surtout infections infantiles avec peu de conjonctivite. [93] :C Séméiologie radiologique. [94] :E Par réaction de fixation du complément couramment. Les anticorps augmentent à partir du 6e jour, maximum en 15 à 20 jours, et restent élevés 2 mois. Les titres résiduels sont faibles d’où un titre supérieur à 1/64e est en faveur d’une infection récente. Positivité d’isolement du virus sur prélèvement de gorge, conjonctival et diagnostic rapide par ME. IF. ELISA fait uniquement dans les cas graves ou douteux. [95] :C On ne peut être sur que rangine ne soit dûe aussi à une participation de streptocoque bêta, qu’il faut traiter pour prévenir le risque de RAA. [96] :D Sans commentaire. [97] :BE Sans commentaire. [98] :C A - Agent de la fièvre Q. D - Agent de la fièvre vésiculeuse ou varicelliforme. E - Infection secondaire à la morsure de rat associant fièvre + éruption morbilliforme + arthrites des grosses articulations + pharyngo-laryngite. [99] :AD A - Comme Brucella D - Provoquent une vascularite oblitérante au niveau de petits vaisseaux: peau, SNC, myocarde surtout. [100] :C Rhipicéphalus sanguineux (tique du chien), réservoir autonome de rickettsie. Contamination par la salive de la tique au cours de la piqûre ou par l’intermédiaire des doigts souillés mis en contact avec la conjonctive oculaire. [101] :ABC Macules, papules, nodules rosés parfois pupuriques. 26 Débute aux membres inférieurs et aux avant-bras. Latteinte des paumes et plantes est évocatrice. [102] :B Tache noire ulcérée avec zone inflammatoire, située aux membres inférieurs avec adénopathie satellite = témoin de la piqûre de la tique. [103] :E A - Ne pousse pas en milieu dhémoculture, nécessite des cultures spéciales sur oeuf embryonné E - Plus banalement par réaction de fixation du complément, moins spécifique. L’IF. indirecte est spécifique de R.Conori. [104] :A Sans commentaire. [105] :C 25 à 50 mg/10 g/j de doxycycline. Il faut un ATB à visée intracellulaire d’où cyclines ou phénicolés. Remarque : maladie à déclaration obligatoire. [106] :A Sans commentaire. [107] :E A B - Peuvent sobserver aussi bien dans les pneumococcies que dans les méningoccies. C Le purpura est un signe de ménigococcémie fulminante. [108] :ABCD C - Parfois pneumopathie primitive ou non. A - Phase septicémique fréquente. [109] :B La Pénicilline G à fortes doses est suffisante car grande sensibilité du pneumocoque C.M.i. = 0,03 micro gIml). Seuls 0,5% des souches seraient tolérantes ou résistantes, c’està-dire que leur CMI. serait plus élevée. Dans ce cas on utiliserait du céfotaxime. [110] :B Les parasitoses existant dans les Antilles et donnant une hyperéosinophilie sont - anguilullose - ankylostomose - bilharziose digestive - ascaridiose [111] :E A - La recherche d’une fracture de l’étage antérieur de la base de crâne La communication entre le L.C.R. et les fosses sinusiennes explique la survenue de méningites récidivantes à pneumocoque. [112] :D Devant une réponse fébrile, il faut ne penser qu’en premier au cloisonnement méningé. La pénicilline peut donner de nombreuses manifestations d’allergie cest-à-dire anaphylaxie, oedème de Quincke, éruption cutanée, fièvre, hyperleucocytose neutrophile. [113] :A Les diarrhées des toxiinfections alimentaires à salmonelles sont fébriles et ont une incubation de 12 à 48 heures. La charcuterie pourrait être responsable. Les toxi-infections à clostridium ont une incubation de 8 à 12 heures ; le tableau comprend diarrhée et douleurs abdominales ; les vomissements et la fièvre sont rares (plats en sauce, plats cuisinés à lavance). La polyadénopathie, l’alopécie, les lésions linguales (lésions érosives appelées plaques fauchées) appartiennent au tableau de syphilis secondaire. Les orchiépididymites syphilitiques sont [114] exceptionnelles. :C [120] sans commentaire. :B [115] Les tréponèmes disparaissent :BCDE des lésions en 24 à 48 heures. Enquête alimentaire et [121] déclaration sont obligatoires La :D visite des locaux parait Il n’y a pas de résistance du importante pour vérifier les tréponème à la pénicilline si le conditions de conservation de traitement est bien conduit. stockage des aliments. Les [122] salmonelles doivent être :A recherchées dans les aliments, Ces manifestations font partie chez le personnel du restaurant et chez les malades.Le personnel du tableau de syphilis secondaire. de cuisine ne pourra reprendre [123] son travail qu’après deux :BC coprocultures négatives à une Les traitements par semaine d’intervalle. érythromycine et tétracyclines [116] doivent être poursuivis pendant :A 15 jours. La demie-vie de la Le traitement antiobiotique pénicilline G est trop courte ; il (amoxicilline) est réservé aux formes graves, ou chez les sujets faudrait l’administrer toutes les 6 heures pour obtenir des taux débilités. sériques tréponémicides. [117] On choisit des pénicillines :C retard (Extencilline®) au semiL’érosion est indolore à base retard (Biclinocilline®, ferme accompagnée d’une Bipénicilline®). Le traitement adénopathie non inflammatoire. préconisé actuellement pour les Le chancre mou s’accompagne syphilis primaire et secondaire d’adénopathies inflammatoires est l’Extencilline®, à la dose de douloureuses ayant tendance à se fertiliser; il nest pas induré à la 2,4 millions d’unités. base. Ce diagnostic doit être de toutes [124] :B façons confirmé par des prélèvements bactériologiques et En cas dallergie à la pénicilline, le choix se porte sur une sérologie. La recherche de rérythromycine ou sur les chancre mou doit être tétracyclines. systématique (direct + mise en [125] culture). :D [118] Il est normal que les réactions :B utilisant des antigènes L’incubation de la syphilis tréponèmiques restent positives primaire est de 3 semaines plus longtemps surtout lorsque environ. le traitement a été tardif. [119] Il peut dailleurs persister une :BDE Lincubation des toxi-infections à staphylocoques est de 2 à 4 heures; l’affection nest pas fébrile. Le tableau associé diarrhée et vomissements 27 assurent le plus souvent la protection des jeunes et des sujets d’âge moyen. [142] :AB Le rinçage de la plaie est très [134] important visant à éliminer le :AE Le tétanos n’est pas une affection virus (rinçage abondant) ; on fébrile. Les contractures intenses applique ensuite un antiseptique. Il ne faut pas douloureuses permanentes sont suturer la plaie. Les plaies exagérées au moment des importantes peuvent être paroxysmes spontanés ou infiltrées avec du sérum déclenchés par la moindre antirabique. excitation. [143] [135] :ABE :BCE Les vêtements non déchirés Dans les incidents des dents de constituent une barrière. sagesse, les phlegmons de Le début de l’infection est l’amygdale, le trismus est d’autant plus rapide que la unilatéral, le patient est fébrile. porte d’entrée est proche du L’arthrite temporo-mandibulaire SNC (face) post-sérique survient 9 jours ou située sur une zone après l’injection de sérum et est associée aux autres signes de la richement innervée (extrémités). maladie s