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tumeurs germinales non
séminomateuses du testicule
sont
- le teratocarcinome, sécrétant
de lalphafoeto-proteïne
- le choriocarcinome, sécrétant
de la B-HCG.
Une tumeur testiculaire dont
l’histologie est de type
séminome, mais dont les
marqueurs alpha. FP et/ou B-
HCG sont augmentés, doit être
considérée (et traitée) comme
une tumeur non
séminomateuse.
[74]
: D
B - Au contraire, les cellules
centrales sont moins bien
oxygénées (moins bien
vascularisée.
Les pertes cellulaires sont
importantes (nécrose)
C - Courbe de Gompertz
E - Pas toujours : exemple des
cancers hormonodépendants
(prostate, sein, endomètre)
[75]
: D
La chimiothérapie se conçoit ici
dans le cadre d’un cancer
assimilé à une maladie
générale demblée. Exemple du
cancer du sein pour lequel on
considère quil existe des
micrométastases dès le
diagnostic, et ceci
fréquemment. La
chimiothérapie a pour but de
détruire les micrométastases.
C - Chimiothérapie
néoadjuvante.
[76]
: D
C’est la dose à partir de laquelle
les complications cutanées sont
importantes et laissent des
séquelles.
[77]
: C
La classification TNM est
clinique, parfois radiologique.
[78]
: A B E
Les cancers de la cavité buccale
sont le plus souvent les
carcinomes épidermoïdes. La
dose,, nécessaire est de 65 Gys.
Lhyposialie est constante, la
récupération est lente et la salive
est définitivement de mauvaise
qualité.
[79]
: B C D
Autres facteurs
Antécédents familiaux de cancer
du sein.
Antécédents de mastopathies
bénignes.
Régime riche en graisse.
Nulliparité - absence
dallaitement.
[80]
: B C E
Les métastases osseuses ont
pour origine, le plus
fréquemment: sein, prostate, rein,
thyroïde, poumon.
[81]
: C
Ladénocarcinome recto-colique
est : soit Lieberkuhnien (80%),
soit trabéculaire ou colloïde
muqueux.
Les cancers anaplasiques sont
rares, les lymphomes et les
carcinoïdes à cellules en bague à
chaton sont des cancers ovariens
secondaires à un cancer digestif
[82]
: E
En effet, l’efficacité biologique
relative est le rapport entre le
taux de survie cellulaire après
irradiation par deux
rayonnements de nature
différente (rayonnement béta,
delta, particules
delta, protons...).
La référence habituelle (EBR = 1)
est le rayonnement delta c’est-à-
dire les photons, à laquelle
sera comparée un rayonnement
béta par exemple. Ainsi, les
photons ont tous la même EBR,
quelle que soit leur énergie.
A - Le rendement en profondeur
augmente avec l’energie des
photons. Il est égal au rapport
entre la dose absorbée à
deux profondeurs différentes.
Lorsque l’énergie augmente,
les
photons parcourent une
distance plus grande dans
l’organism.
B - Plus l’énergie augmente,
plus les limites du faisceau
sont précises
C - La courbe du rendement
en profondeur d’un faisceau a
deux parties
- augmentation initiale jusqu’à
un maximum qui est d’autant
plus profond que l’énergie est
élevée, donc sous-dosage de
la peau
- puis décroissance
progressive en profondeur
D - Le risque de nécrose est
moins important quand
l’énergie augmente.
[83]
: C
Il n’est pas nécessaire de
connaître les carcinogènes,
cependant, pour certains
cancers, on les connait, et le
dépistage pourra être
intensifié dans les groupes
exposés (de même que pour
les facteurs de risque).
[84]
: D
Voir la classification TNM. T2
: tumeur comprise entre 2 et 5
cm dans sa plus grande
dimension N2 : adénopathie
homolatérale fixée. Mo : pas
de métastase décelable.
[85]
: B
Un cancer du col utérin T3
(classification FIGO) : atteinte
du 1/3 inférieur du vagin et/ou
des paramètres jusqu’à la
paroi. Le risque
d’envahissement local
antérieur vers la vessie (et les
uretères) ou postérieur vers le
rectum, justifient A.D.E. La
lymphographie est
systématique, en raison du