1
Cancérologie
20 pages
[1]
: A
Les facteurs de risques
concernent l’adénocarcinome
du sein. Les autres histologies
sont
rares.
Facteurs de risques du cancer
du sein
- antécédents familiaux (mère,
tante, soeur)
- nulliparité - première
grossesse tardive
- absence d’allaitement
- mastopathies bénignes -
hypooestrogènie
- age supérieur à 40 ans
- ménarche précoce
- haut niveau socio-culturel
- régime riche en graisse.
[2]
: E
Le radium n’est plus utilisé, il
est remplacé par le césium, (qui
présente beaucoup moins de
problèmes de radioprotection).
Cependant, le césium comme le
radium jadis, est utilisé en
curiethérapie,non en
radiothérapie métabolique, qui
consiste à injecter un corps
radioactif dans le sang (32 p -
131 I).
[3]
: C
Incidence annuelle environ 80
pour 100.000 années femme.
Col : 170/0000 femmes/corps :
20 0/0000 femmes.
Mélanome malin : 4 0/0000
habitants.
Côlon : 50 0/0000 habitants.
[4]
: C
A - Est un poison du fuseau,
alcaloïde de la pervenche
B D - Sont des agents alkylants
E - Est un agent intercalant,
anthracyclique.
Le méthotrexate est un
antifolique. La classe des
antimétaboliques comprend : les
antipuriques, les
antipyrimidiques, les antifoliques.
[5]
: C
109 est à peu près égal à 230 (si
on considère une cellule initiale
puis les divisions de chaque
cellule fille), à partir de la
détectabilité clinique, il faut 10
temps de doublement pour
aboutir à la mort, représentant
1012 cellules soit 1 kg de tumeur.
[6]
: B
La chimiothérapie adjuvante est
débutéée après chirurgie ayant
enlevée toute masse tumorale.
[7]
: D
Adriamycine : cardiotoxique.
Cyclophosphamide : cystites
hémorragiques.
La prednisone : complications
des corticoïdes.
Alkéran : est un agent alkylants,
moutarde aromatique, dont la
toxicité est commune à tous les
alkylants: diminution de la
spermatogénèse, oncogénèse,
toxicité hématologique et
digestive.
[8]
: E
La radiothérapie est contre-
indiquée en cas d’infection, de
nécrose tumorale, et
d’épanchement pleural
volumineux.
[9]
: B D
L’incidence du cancer gastrique
diminue dans toutes les parties
du globe.!
[10]
: B
Signe classique: hématurie totale
isolée, indolore.
[11]
: D
Certains fixent à 3 le nombre
de ganglions envahis, au-
dessus duquel le pronostic
s’assombrit.
Le degré de différenciation
(classification de Scarf et
Bloom) intervient à un
moindre degré.
Les tumeurs centrales ou des
quadrants internes sont
également de plus mauvais
pronostic
du fait de renvahissement
médiastinal potentiel.
[12]
: B
40% des cas, suivis par le
cancer anaplasique à petites
cellules : 25%, tous deux liés
au tabagisme.
Puis, l’adénocarcinome :
20%, le cancer
broncholoalvéolaire: 15%.
[13]
: C
Par définition.
[14]
: D
10% en l’absence des
récepteurs.
L’hormonothérapie n’est
jamais utilisée seule en
traitement curatif.
[15]
: C
Ce risque impose: une remise
en état bucco dentaire avant
le début du traitement, et la
prescription de gel fluoré
pendant le traitement,
appliqué au moyen de
gouttières laissées en place
pendant environ 1/2 heure par
jour.
[16]
: A B C E
A - Atteinte du recurrent
gauche, par compression
ganglionnaire
B - Atteinte du nerf phrénique
C - Néoplasique ou
2
réactionnel
D - Traduit une compression
des bronches proximales
entrainant un trouble ventilatoire
E - Syndrome de Pancoast
Tobias (cancer de l’apex)
traduisant un envahissement
loco
régional
[17]
: A C
Le rôle pronostic des récepteurs
hormonaux reste discuté.
Néanmoins, leur présence
permet de prévoir une réponse
à l’hormonothérapie (de 80% si
présence de récepteurs à la
progestérone et aux
oestrogènes).
[18]
: C E
Sans commentaire.
[19]
: B D E
Les cancers oesophagiens sont
des épidermoïdes sauf pour la
portion sous diaphragmatique
(adénocarcinome). Les cancers
du col utérin sont des
épidermoïdes.
[20]
: A c D E
Tout polype doit être enlevé, et
le cadre colique vérifié (polypes
sentinelles)
D - Résulte du nombre de
polypes existants chez un
patient; la probabilité de
dégénérescence est de 100%.
[21]
: A B D E
Les cancers lymphophiles
donnent donc souvent des
métastases ganglionnaires
régionales, justifiant une
radiothérapie des aires
ganglionnaires drainant le
territoire atteint.
[22]
: A
Les poisons du fuseau
empêchent la formation du
fuseau métaphasique par action
sur la
tubuline. Ils sont tous
neurotoxiques. Ce groupe
comprend
- alcaloïdes de la pervenche
(Vinblastine,
Vindésine,Vincristine)
- alcaloïdes de la podophylline :
VP16 - VM26.
[23]
: A B C D E
Le traitement dun cancer du sein
Ti NOMO est radical. Il ny a donc
plus de tissu tumoral ; il ny a
donc aucune précautions
particulières.
D - Est contre-indiqué.
[24]
: B
Facteurs de risque : bas niveau
socio-économique, vie sexuelle
précoce, nombreux part
nombreuses grossesses,
première grossesse précoce,
infections génitales répêtées.
[25]
: C
Les autres ne sont pas
héréditaires
Le xéroderma pigmentosum est
une maladie autosomique
récessive, avec défaut de
réparation des lésions de ADN
dues aux U.V.
Elle dégénère toujours en
carcinomes cutanés multiples.
[26]
: E
40%, suivis par le cancer
anaplasique à petites cellules et
dadénocarcinome (25 et 20%
respectivement). Le carcinome
épidermoïde et lanaplasique à
petites cellules sont les 2
formes liées au tabagisme, donc
susceptibles de prévention.
[27]
: D
A - Dissémmination lymphatique.
B - Dissémmination veineuse
cave inférieure.
C - Envahissement direct par
contiguité.
D - Dissémination veineuse,
suivant le drainage sanguin du
tube digestif, vers la veine.
E - Dissémination systémique
artérielle.
[28]
: C
Les colites dues aux laxatifs
ne dégénèrent pas.
La polypose familiale
dégénère dans 100% des
cas.
[29]
: C
Trois phases
1 - croissance lente
2 - croissance rapide
3 - ralentissement par
augmentation des pertes
cellulaires.
[30]
: C
Evident.
[31]
: A B D
Ce sont des facteurs de
risque du cancer du sein.
Facteurs de risque du cancer
du col
- rapports sexuels précoces
- mariage avant 20 ans,
premier enfant avant 20 ans
- partenaires multiples
- plus de 5 enfants
- bas niveau socio-
économique
- mauvaise hygiène génitale,
avec infections fréquentes.
[32]
: B C E
Touche les séreuses, avant
tout la plèvre
Lassociation amiante + tabac
multiplie par 50 le risque de
cancer bronchique.
[33]
: C D
Rectite et cystite. La vessie et
le rectum sont des facteurs
limitants les doses tolérables.
Maximum : 60 grays.
[34]
: A C E
A E - Déterminent le T de la
classification TNM, correlé au
pronostic vital.
C - Dont dépendra la réponse
3
à une hormonothérapie.
L’absence de récepteurs est de
mauvais pronostic.
[35]
: B C
C - Par augmentation du
tabagisme
Lincidence du cancer gastrique
diminue mondialement.
[36]
: C
Facteurs de risques
- gastrite de Ménétrier
- gastrectomies anciennes
(cancer sur inflammation
chronique)
- reflux biliaire
- achlorhydrie
[37]
: C
Adénocarcinome le plus
souvent différencié de type
lieberkùhnien, parfois peu
différencié de type trabéculaire
ou colloïde muqueux, rarement
anaplasique ou indifférencié,
exceptionnellement carcinoïdes,
lymphomes.
[38]
: E
Associé également au
carcinome indifférencié du
nasopharynx.
[39]
: E
Car athérogène, thrombogène.
[40]
: D
Le neuroblastome dérive des
cellules des crêtes neurales à
l’origine des médullosurrénales.
Elles sécrètent des
catécholamines. Lacide vanyl-
mandélique est un produit de
dégradation des
catécholamines.
[41]
: C
Le risque décroit lentement
après arrêt du tabac, le risque
redevient proche de celui du
non fumeur, environ 10-15 ans
après arrêt du tabac.
[42]
: B
C’est une forme clinique et non
un syndrome paranéoplasique.
[43]
: B
Mais nallonge pas la survie.
Elle est aussi efficace que la
castration chirurgicale.
La dose nécessaire est de 15-20
gys.
[44]
: B
A.E - Sont plus tardives.
C.D - Traduisent des métastases
osseuses.
La myélémie survient avant le
stade dinsuffisance médullaire.
[45]
: C E
Facteurs de risque du cancer du
sein
- ménarche tardive
- ménopause précoce
- âge supérieur à 40 ans
- haut niveau socio-économique
- nulliparité - absence
dallaitement
- obésité (hyperoestrogénie)
- mastopathies bénignes - régime
riche en graisse.
[46]
: B C
A - Basocellulaire.
[47]
: C
La dissémination veineuse se fait
par le système porte vers le foie.
Dissémination lymphatique vers
les ganglions mésentériques et le
canal thoracique (ganglion sus
claviculaire gauche de Troisier).
[48]
: E
La dose nécessaire pour stériliser
(théoriquement) un cancer
anaplasique à petites cellules est
de 55 gys. C’est un cancer
chimio et radiosensible.
Les carcinomes épidermoïdes
nécessitent des doses plus
élevées, de l’ordre de 65 gys. La
chimiothérapie est très peu
efficace.
Les mélanomes malins sont peu
sensibles.
Les glioblastomes et les
adénocarcinomes sont
intermédiaires.
[49]
: B
Métastases souvent
présentes au moment du
diagnostic. Le drainage
osseux se faisant par le
système cave inférieur, le
premier relai métastatique est
donc le poumon.
Secondairement
dissémination générale.
Latteinte médullaire est
locale.
[50]
: B
Un taux dalpha foetoprotéine
supérieur à 5000 U.l./ml est
très en faveur du diagnostic.
[51]
: E
Examen très peu sensible qui
ne détecte que des lésions
déjà importantes. Le
dépistage doit permettre de
mettre en évidence des
carcinomes in situ. Les frottis
endo et exocervicaux en sont
le principe.
[52]
: C
La courbe des Gompertz
comprend trois parties
- une phase initiale de
croissance exponentielle,
avec peu de pertes cellulaires
- une phase de croissance
rapide à vitesse constante,
résultat dun équilibre entre les
pertes
cellulaires et proliférations
cellulaires
- dernière phase de
ralentissement de la
croissance, les pertes
cellulaires devenant très
importantes (nécrose) et la
multiplication cellulaires au
centre de la tumeur faible du
fait des
mauvaises conditions de
vascularisation.
4
[53]
: A B E
Bilan
- clinique -NFS - VS -
électrophorèse des protides -
fibrinémie - phosphatases
alcalines
bilirubine - gamma GT
- biopsie médullaire
- radiographie thoracique
- scanner thoraco abdominal,
qui rend actuellement inutile la
lymphographie.
Les autres examens seront
fonction des résultats
précédents, ou de signes
dappels.
[54]
: A B E
Facteurs favorisants les
carcinomes cutanés
- lésions cicatricielles de la
peau : cicatrices de brûlures,
radiodermites, fistules
chroniques,
kératoses arsenicales ou des
goudrons
- états précancéreux: kératoses
séniles, maladie de Bowen,
xéroderma pigmentosum,
tumeurs fibroépithéliales de
Pinkus.
[55]
: A C D
Sans commentaire.
[56]
: A B C E
L’agent pathogène modifie le
génome cellulaire ; cette
transformation aboutit aux
caractères de malignité, il n’agit
que comme promoteur du
processus.
[57]
: C
Le virus d’Epstein Barr est
retrouvé dans
- mononucléose infectieuse
- lymphone de Burkitt africain
- cancer du cavum indifférencié
(surtout fréquent en Asie du
Sud-Est et Maghreb).
[58]
: E
Seule l’anatomie pathologique
permet d’affirmer le diagnostic de
cancer du sein. L’intérêt principal
de la mammographie est le
dépistage des microlésions
infracliniques car la spécificité
des signes observés est moins
bonne dans ce cas.
La cytoponction n’a de valeur que
positive, sa négativité n’exclue
pas le diagnostic.
[59]
: B
Le Distilbène® est administré per
os à la dose de 3mg par jour et il
abaisse le testostérone
plasmatique, au taux de castrat
en 15 à 20 jours. Des doses plus
élevées (10, 20, 50,100 mg)
n’abaissent pas plus le
testostérone et augmentent le
risque cardiovasculaire.
[60]
: B
Sans commentaire.
[61]
: B
Mais il faut bien sûr rechercher
également des métastases
hépatiques et osseuses
(scintigraphie osseuse).
[62]
: E
On considère que 109 cellules
correspondent à une masse
tumorale de 1 gramme.
[63]
: D
Les pays à haut risque sont: le
Japon, le Chili, l’Autriche, la
Finlande.
[64]
: E
Elle constitue la seconde
méthode de traitement curatif.
Elle est toujours associée à un
curage ganglionnaire. Elle est
réservée aux stades A et B.
[65]
: C
Chez renfant, la principale forme
est la tumeur de Wilms.
[66]
: C
On connait en effet le rôle
favorisant de la bilharziose
dans les pays d’endémie
comme rEgypte.
[67]
: E
Lantécédent d’abcès du sein
nest pas un facteur de risque,
contrairement aux
mastopathies bénignes (ou
dystrophiques simples) ou
dysplasiques.
[68]
: C
Le ganglion de Troisier
correspond le plus souvent à
la métastase dun cancer sous
diaphragmatique. Le ganglion
de Troisier est annexé au
canal thoracique. Celui-ci se
jette 9 fois sur 10 à gauche
dans la veine sous-clavière.
[69]
: A C D
Pas de commentaire.
[70]
: A B D E
C’est faux, il s’agit le plus
souvent d’une bradypnée
inspiratoire.
[71]
: E
Le tabagisme est un facteur
de risque principalement pour
les carcinomes épidermoïdes
et les anaplasiques.
[72]
: C
Classification TNM, pour les
adénopathies
- NO: pas d’adénopathie
palpable
- Ni : adénopathie
homolatérale mobile
- Nia : non suspect .Nlb
suspect d’envahissement
- N2b: adénopathie
homolatérale fixée
- N3 : adénopathie sus ou
rétro-claviculaire homolatérale
ou oedème du bras.
[73]
: D
Le séminome pur n’a pas de
marqueurs connus. Les
5
tumeurs germinales non
séminomateuses du testicule
sont
- le teratocarcinome, sécrétant
de lalphafoeto-proteïne
- le choriocarcinome, sécrétant
de la B-HCG.
Une tumeur testiculaire dont
l’histologie est de type
séminome, mais dont les
marqueurs alpha. FP et/ou B-
HCG sont augmentés, doit être
considérée (et traitée) comme
une tumeur non
séminomateuse.
[74]
: D
B - Au contraire, les cellules
centrales sont moins bien
oxygénées (moins bien
vascularisée.
Les pertes cellulaires sont
importantes (nécrose)
C - Courbe de Gompertz
E - Pas toujours : exemple des
cancers hormonodépendants
(prostate, sein, endomètre)
[75]
: D
La chimiothérapie se conçoit ici
dans le cadre d’un cancer
assimilé à une maladie
générale demblée. Exemple du
cancer du sein pour lequel on
considère quil existe des
micrométastases dès le
diagnostic, et ceci
fréquemment. La
chimiothérapie a pour but de
détruire les micrométastases.
C - Chimiothérapie
néoadjuvante.
[76]
: D
C’est la dose à partir de laquelle
les complications cutanées sont
importantes et laissent des
séquelles.
[77]
: C
La classification TNM est
clinique, parfois radiologique.
[78]
: A B E
Les cancers de la cavité buccale
sont le plus souvent les
carcinomes épidermoïdes. La
dose,, nécessaire est de 65 Gys.
Lhyposialie est constante, la
récupération est lente et la salive
est définitivement de mauvaise
qualité.
[79]
: B C D
Autres facteurs
Antécédents familiaux de cancer
du sein.
Antécédents de mastopathies
bénignes.
Régime riche en graisse.
Nulliparité - absence
dallaitement.
[80]
: B C E
Les métastases osseuses ont
pour origine, le plus
fréquemment: sein, prostate, rein,
thyroïde, poumon.
[81]
: C
Ladénocarcinome recto-colique
est : soit Lieberkuhnien (80%),
soit trabéculaire ou colloïde
muqueux.
Les cancers anaplasiques sont
rares, les lymphomes et les
carcinoïdes à cellules en bague à
chaton sont des cancers ovariens
secondaires à un cancer digestif
[82]
: E
En effet, l’efficacité biologique
relative est le rapport entre le
taux de survie cellulaire après
irradiation par deux
rayonnements de nature
différente (rayonnement béta,
delta, particules
delta, protons...).
La référence habituelle (EBR = 1)
est le rayonnement delta c’est-à-
dire les photons, à laquelle
sera comparée un rayonnement
béta par exemple. Ainsi, les
photons ont tous la même EBR,
quelle que soit leur énergie.
A - Le rendement en profondeur
augmente avec l’energie des
photons. Il est égal au rapport
entre la dose absorbée à
deux profondeurs différentes.
Lorsque l’énergie augmente,
les
photons parcourent une
distance plus grande dans
l’organism.
B - Plus l’énergie augmente,
plus les limites du faisceau
sont précises
C - La courbe du rendement
en profondeur d’un faisceau a
deux parties
- augmentation initiale jusqu’à
un maximum qui est d’autant
plus profond que l’énergie est
élevée, donc sous-dosage de
la peau
- puis décroissance
progressive en profondeur
D - Le risque de nécrose est
moins important quand
l’énergie augmente.
[83]
: C
Il n’est pas nécessaire de
connaître les carcinogènes,
cependant, pour certains
cancers, on les connait, et le
dépistage pourra être
intensifié dans les groupes
exposés (de même que pour
les facteurs de risque).
[84]
: D
Voir la classification TNM. T2
: tumeur comprise entre 2 et 5
cm dans sa plus grande
dimension N2 : adénopathie
homolatérale fixée. Mo : pas
de métastase décelable.
[85]
: B
Un cancer du col utérin T3
(classification FIGO) : atteinte
du 1/3 inférieur du vagin et/ou
des paramètres jusqu’à la
paroi. Le risque
d’envahissement local
antérieur vers la vessie (et les
uretères) ou postérieur vers le
rectum, justifient A.D.E. La
lymphographie est
systématique, en raison du
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