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renseignements sur vos possibili-
tés de trajets domicile/travail.
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sible et des avantages vous seront
proposés.
Si les offres vous intéressent, vous
pourrez acquérir sur place un
abonnement et bénéficier d’offres
découvertes. Pensez à vous munir
de votre chéquier ou CB.
Nous
vous remercions de vous identifier
auprès des personnes qui tien-
dront ces stands.
Par ailleurs, dans certains cas, une
prise en charge à hauteur de 50%
sera possible par l’employeur sur
présentation de justificatifs.
Pour plus de détails,
nous vous donnons RDV
le 16 et 30 mai prochain
de 10h à 16h
au RDC du bâtiment médico-
chirurgical (près du patio).
CHV
CHV.
.COM
COM
Journal d’information du personnel du centre hospitalier de valence
Un moment de valse dans une
salle d’attente « Quand je dirai
à mon mari que j’ai dansé à
l’hôpital, avec un jeune en plus,
il va halluciner ! »
Une dame assise attend son
tour : « caressez mon genou, il
me fait mal ! ».
Une autre, bien apprêtée, glisse
un œil dubitatif sur les deux ar-
tistes installés dans des
positions renversantes, tour-
billonnant entre les chaises. Ses
yeux ne suivent pas les mouve-
ments quelque peu déplacés en
ces lieux… cependant quelques
instants plus tard « Il est passé
le Docteur ? je ne l’ai pas vu…
Si si il est déjà passé 2 fois de-
vant vous ! ».
Heureusement l’affichette qui
annonce l’intervention dansée
rassure, recadre, soulage :
Ah ce ne sont donc pas deux
patients qui ont « pété un
câble » !
Un jeune garçon s’élance avec
un beau naturel dans les pas de
la danseuse qui l’invite le long
des couloirs, rythme électro et
sourires se propagent…
Parfois juste une douce danse
au violon, ensemble du bout
des bras… une plume offerte du
bout du souffle.
Quand la salle est invitée à
fermer les yeux pour écou-
ter le son du Udu de Ma-
thieu, le marchand de
sable, Anne-Cécile Chane-
Tune dépose quelques
plumes sur le sommet des
crânes, glisse une légère ca-
resse, un contact amical…
quand les yeux se rouvrent, un
cercle insolite de patients en
consultation se révèle sous les
plumes rouges et blanches, le
regard rêveur. Une émotion
palpable aussi en ces lieux
d’inquiétude.
Dans le grand hall en bas 8
danseurs et danseuses ont
préparé avec Lise Casazza
des séquences marchées et
dansées. La musique com-
mence et ils se lèvent aux qua-
tre coins, déposent leurs
chaussures, marchent, s’élan-
cent, croisent et recroisent les
gens qui attendent ou passent,
entrent, sortent de l’hôpital, un
curieux sourire aux lèvres.
Chassés-croisés de jambes, de
bras et de regards, le hall se co-
lore d’une vie corporelle nou-
velle, un élan de permissivité !
Il y a ceux qui regardent ailleurs
avec concentration, ceux qui
applaudissent, « Excellent ! »
« Trop bien ! ». Et même un
tour dehors pour tous ceux qui
prennent le frais soleil du jour.
L’idée même de cette invasion
de vie dansée et de musique
surprend et réjouit, tout en dé-
routant un peu l’itinéraire habi-
tuel.
L’analyse des circonstances des AES montre que le
collecteur est absent ou inaccessible dans 24% des
cas.
Il s’agit d’un dispositif de sécurité qui doit être ac-
cessible au plus près de l’IDE, à portée de mains (50
cm), dans la chambre du patient pour une élimination
immédiate de tout objet piquant, coupant ou tran-
chant.
L’analyse des circonstances des AES montre que les
IDE ne portent pas de gants dans 34% des cas.
Le port de gants est obligatoire s qu’il y a un
risque de contact avec du sang ou un liquide biolo-
gique (hémoculture, prélèvement sanguin, pose et
dépose de voie veineuse, injection sous-cutanée,…).
Lors d’une piqûre, les gants retiennent 30 à 60% du
volume sanguin contenu dans l’aiguille.
patients hospitalisés
: âge moyen des patients
: durée moyenne de séjour
interventions au CHV par l’ELSA*
consultations tabacologie par les mé-
decins et par les IDE
consultations médicales d’addicto
Les comportements d’abus et de dépendance à une
ou plusieurs substances psychoactives, les addic-
tions comportementales qui comprennent le jeu pa-
thologique, les troubles des conduites alimentaires,
les cyberaddictions, l’addiction sexuelle, l’addiction
aux sports.
Le Dr Joly,chef de service, est accom-
pagnée d’une équipe pluridisciplinaire
avec 4 praticiens addictologues, taba-
cologues Dr Fauriel, Dr Tromp, Dr
Crespy, d’un cadre de Santé, Cécile Ro-
bert, d’infirmières (10.8 ETP), d’aides
soignants (6.2 ETP), 2 psychologues,
1assistante sociale (0.8 ETP), un ani-
mateur en art thérapie (0.4 ETP), un
psychomotricien (0.1 ETP). 2 secré-
taires (1.5 ETP) complètent le service.
Les équipes transversales (kinésithéra-
peutes, diététiciens…) participent éga-
lement aux soins.
L’équipe médicale du CHV a mis en
place une ELSA aux HOPITAUX DROME
Nord en 2006 et une consultation de ta-
bacologie en 2002 au CH de Die
.
Elle intervient en amont ou en aval d’une hospita-
lisation pour sevrage ou prise en charge de plusieurs addic-
tions souvent en lien avec une pathologie somatique et
psychiatrique induite par les produits psychoactifs.
.
pour sevrage simple ou com-
plexe et prise en charge plus longue si besoin.
alternative à l’hospitalisation complète,
qui permet une prise en charge de proximité sans rompre le
lien avec l’entourage et facilite la réinsertion par la suite.
pour une évaluation, bilan, orien-
tation, suivi post hospitalisation, ou se mettre en lien avec
les structures ambulatoires d’addictologie ou psychiatrique.
IIs
seront pris en charge
aussi bien sur le plan
médical (sauf si leur
état somatique relève
d’un service spécialisé
(réanimation, gas-
troentérologie, car-
diologie, neurologie,
autres …), psycholo-
gique et social.
)
permettant la prise
en charge des toxicomanies et de l’alcool, du tabac, abus des
médicaments et autres. Elle a été mise en place en 2008, pré-
cédée en 2002 de consultations de tabacologie internes et
externes.
- former, assister et conseiller les soignants des différents
services de l’établissement de santé sur les questions de dé-
pistage, de diagnostic, de prise en charge et d’orientation
des patients ;
- intervenir auprès des patients aux urgences et pendant
l’hospitalisation en appui des équipes soignantes.
Cette équipe réalise des évaluations auprès des patients et
forme les équipes soignantes à une approche de l’addictolo-
gie.
- développer des liens avec les différents acteurs intra et
extra hospitaliers pour améliorer la qualité de la prise en
charge des patients et leur suivi.
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