J’ai remarqué qu’il fallait remercier les hommes le
moins possible, parce que la reconnaissance qu’on leur
témoigne les persuade aisément qu’ils en font trop.
Benjamin Constant.
Mes trois années en tant que doctorant au Laboratoire d’Astrophysique de Toulouse–
Tarbes arrivent à leur terme. Elles ont été riches d’apprentissages et de nouvelles expé-
riences. La présente thèse en représente la conclusion, et c’est avec plaisir que je vous
propose ce document rédigé en français. Je tiens, avant d’entrer de le vif du sujet, à remer-
cier toutes les personnes qui ont contribué à ce travail, et qui m’ont apporté leur soutien
tout au long de ces trois ans.
Tout d’abord je voudrais remercier mon directeur de thèse Jean-François Donati de
m’avoir proposé de ce passionnant sujet ; de m’avoir initié aux arcanes de la spectropola-
rimétrie (vous pouvez respirer) et de l’imagerie Zeeman-Doppler. J’ai énormément appris
à son contact et ai beaucoup apprécié sa grande disponibilité. Je voudrais également ex-
primer ma gratitude à Boris Dintrans, avec qui j’ai eu le plaisir de travailler sur les
aspects simulations numériques de ma thèse, ainsi qu’à Pascal Petit qui m’a guidé lors
de mes premiers pas dans l’étude des champs magnétiques stellaires. Je voudrais égale-
ment remercier Xavier Delfosse, Thierry Forveille et Moira Jardine, avec qui j’ai eu
l’opportunité de travailler pendant ma thèse.
Je tiens à exprimer ma reconnaissance à John Landstreet et Jean-Paul Zahn d’avoir
accepté d’être rapporteurs du présent document ; ainsi qu’à Jérôme Bouvier, Gilles Cha-
brier et Michel Rieutord pour leur participation à mon jury de thèse.
J’adresse un chaleureux merci aux membres des équipes DFA et MSS, j’ai eu plaisir à
passer ces trois ans en leur compagnie, et je les remercie de leur soutien et de leur aide.
Pour ceux que je n’ai pas encore cités, et par ordre d’apparition, merci à Frédéric (bien
qu’il introduise de dangereux serpents dans le laboratoire), François, Torsten, François,
Thierry, Katia, Geneviève, Michel et Jérôme.
C’est à ce stade qu’il me revient de remercier Thomas, mon camarade de bureau, qui
a toujours su maintenir une atmosphère de saine émulation. Nous avons ainsi pu étendre
conjointement nos compétences dans le domaine des probabilités, ainsi qu’en en zoologie
(virtualisée ou non). J’en profite pour lui faire mes plus plates excuses pour le racket
organisé dont il a été régulièrement la victime, en dépit de ses penchants malthusiens.
Merci à Sylvain, autre éminent membre de notre groupe d’archerie, ainsi que de la confrérie
du L
A
T
EXet du GNU. Mes remerciements vont aussi à l’ensemble des (ex-)doctorants du
LATT, et même à Guilhem (c’est dire) malgré son insolence. Merci également à tous les
personnels du LATT, de L’OMP, du TBL et du CFHT pour leur aide et leur accueil.
Les thésards semblent aussi avoir une vie en dehors du laboratoire (« c’est une honte
mais c’est ainsi », les taupins trouverons la référence), et je veux ici remercier ceux qui
me sont chers. Je veux les remercier pour leur soutien, pour leur présence, pour ce qu’ils
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