L’Encéphale (2008) 34, 526—533
Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com
journal homepage: www.elsevier.com/locate/encep
THÉRAPEUTIQUE
Place de l’électroconvulsivothérapie de maintenance
dans le traitement des schizophrénies résistantes
Maintenance electroconvulsive therapy and
treatment of refractory schizophrenia
M. Lévy-Rueff, A. Jurgens, H. Lôo, J.-P. Olié, I. Amado
Inserm, U796, physiopathologie des maladies psychiatriques, centre hospitalier Sainte-Anne,
faculté Paris-Descartes, université Paris-Descartes, 7, rue Cabanis, 75014 Paris, France
Rec¸u le 14 mars 2007 ; accepté le 31 aoˆ
ut 2007
Disponible sur Internet le 11 janvier 2008
MOTS CLÉS
Électroconvulsivothé-
rapie de
maintenance ;
Thérapeutique ;
Schizophrénie
résistante
Résumé L’efficacité de l’électroconvulsivothérapie (ECT) chez les sujets schizophrènes a été
établie sur les symptômes hallucinatoires, excitatoires et catatoniques mais peu de données
existent sur l’effet à long terme des cures de maintenance (ECT-M).
Nous avons étudié rétrospectivement, dans une population de 19 patients, les indications des
ECT-M, leur efficacité sur la symptomatologie et sur la qualité de vie, les conditions de rechutes
et les traitements médicamenteux associés.
Ces cures sont indiquées lors d’accélération des épisodes aigus en fréquence et en intensité,
de résistance, d’inefficacité ou de mauvaise tolérance des traitements médicamenteux, de
rechute à l’arrêt des ECT. Tous les patients avaient répondu antérieurement aux ECT en aigu et
ont rec¸u en moyenne 47 ECT-M. Tous étaient sous traitement antipsychotique, 30 % recevaient
des thymorégulateurs, 10 % des antidépresseurs.
Sous ECT-M, on observe une amélioration nette des symptômes thymiques, anxieux, des
troubles du comportement alimentaire et un enkystement ou une disparition du délire ainsi
qu’une efficacité sur le risque suicidaire. En revanche, l’ECT-M est peu efficace sur la dissocia-
tion et les symptômes négatifs.
Le temps moyen annuel d’hospitalisation et le temps moyen par hospitalisation ont diminué
parallèlement à une amélioration de la qualité de vie.
L’ECT-M en adjonction aux antipsychotiques représente donc une réelle opportunité thérapeu-
tique pour les schizophrénies résistantes et il apparaît nécessaire d’en définir plus précisément
les modalités et les indications.
© L’Encéphale, Paris, 2008.
Auteur correspondant.
Adresse e-mail : [email protected] (M. Lévy-Rueff).
0013-7006/$ — see front matter © L’Encéphale, Paris, 2008.
doi:10.1016/j.encep.2007.08.008
Electroconvulsivothérapie de maintenance et traitement des schizophrénies résistantes 527
KEYWORDS
Maintenance
electroconvulsive
therapy;
Refractory
schizophrenia;
Treatment
Summary
Background. — Electroconvulsive therapy, a standard treatment in mood disorders, is sometimes
also indicated in psychotic disorders, especially in the treatment of refractory schizophrenia.
In this instance, maintenance electroconvulsive therapy (M-ECT) can also become a long-term
treatment. This paper presents the effects of M-ECT in the treatment of refractory schizo-
phrenia using a retrospective analysis. Previous works showed that electroconvulsive therapy
is effective on catatonia, anxiety with somatisation, lack of compliance, opposition, delusions
especially with hallucinations and persecution, anorexia, agitation, carelessness, aggressive
behaviour and moral pain. It is ineffective on bewilderment, somatic complaints and negative
symptoms.
Aim of the study. A retrospective analysis of a clinical cohort of patients treated with M-ECT
was carried out to determine the specific indications of M-ECT, its effectiveness on clinical
symptoms, quality of life, relapse rates and use of medication.
Nineteen patients with DSM-IV diagnosis of paranoid schizophrenia (n= 5), schizophrenia with
neurotic symptoms (n= 3), disorganized schizophrenia (n= 1), hebephrenia (n= 3) and schizoaf-
fective disorder (n= 8), treated in the department of the University Hospital of Sainte-Anne in
Paris, received M-ECT between 1991 and 2005. Seven patients are still under this treatment.
Their mean age at the beginning of treatment was 47.5 years with a mean duration of the
illness of 24 years.
The indication of M-ECT was the increase of acute episodes, an increase of symptoms intensity,
the inefficiency or intolerance to pharmacological treatments or an early relapse after ECT
discontinuation.
All patients had previously been successfully treated by ECT during an acute episode.
Each patient received an average of 47 bilateral M-ECT under general anaesthesia at one
to five weeks’ intervals for a mean period of 43 months. All of them were also treated by
antipsychotics; in addition, 30% received mood stabilizers and 10% antidepressants. The dosage
of antidepressants and mood stabilizers was reduced during M-ECT treatment, especially in
patients with schizoaffective disorder, probably in relation with the effectiveness of ECT on
mood symptoms.
Results. — During M-ECT, the mean duration of yearly hospitalizations was decreased by 80% and
the mean duration of each hospitalization by 40% with a better ability to take part in activities,
sometimes even to return home or go back to work.
There was also a positive effect on quality of life considering the severity of symptoms and the
long psychiatric history of these patients. The possibility to go from a full time hospitalization
to a day-care facility or to live in a halfway house can be considered as a huge progress.
M-ECT was efficient on mood symptoms, delusions, anorexia, suicidal impetus, anxiety symp-
toms and increased cooperation and treatment compliance. Efficacy on obsessive compulsive
symptoms was less obvious. There was no effect on dissociation and negative symptoms.
Relapses essentially occurred after a stressful life event, a too long interval between the
M-ECT sessions or, in 50% of the cases, without any obvious etiology. It required a revision of
the M-ECT program and, most of the time, an hospitalization for full ECT treatment.
Discussion. — There is no consensus on the rate and number of M-ECT as it varies from patient to
patient and depends upon the extent of the clinical response and side effects. The discontinua-
tion of M-ECT will depend on the clinical symptoms, compliance and tolerance to ECT. As it is
the case with ECT treatment for an acute episode, available evidence suggests that treatment
with antipsychotics should continue during the maintenance ECT course.
Conclusion. — Maintenance electroconvulsive therapy combined with medication may be an effi-
cient alternative to pharmacological treatment alone in refractory schizophrenia. Alternative
therapeutical strategies are crucial in this domain, due to the important public health problem
it raises.
There are few randomised prospective controlled clinical trials regarding this treatment and
further clinical investigations are necessary, notably to define standardized criteria for M-ECT
programs.
© L’Encéphale, Paris, 2008.
528 M. Lévy-Rueff et al.
Introduction
Malgré les progrès réalisés en psychopharmacologie,
l’électroconvulsivothérapie (ECT) reste une thérapeutique
de référence dans les troubles thymiques. C’est pourtant
dans les troubles schizophréniques qu’elle fut préconisée
pour la première fois par Ladislas Von Meduna en 1934 [13].
Les indications principales des ECT dans la pathologie schi-
zophrénique sont les suivantes :
état catatonique ;
épisode aigu non résolutif sous traitement médicamen-
teux ;
épisode psychotique associé à une dimension thymique
[2] ;
épisode marqué par une grande excitation ou une hyper-
activité ;
épisode psychotique du post-partum.
La schizophrénie est, aux États-Unis, la seconde indica-
tion de traitement par ECT [1]. Selon Fink [13], si l’ECT est
d’efficacité moindre dans le traitement des pathologies schi-
zophréniques comparativement aux désordres thymiques,
elle conserve une indication dans certaines formes, notam-
ment les schizophrénies résistantes.
L’ECT dans la schizophrénie est efficace sur la sympto-
matologie catatonique [16], l’angoisse, la non-coopération,
la symptomatologie délirante notamment les idées de per-
sécution, les éléments de dangerosité, le refus alimentaire,
l’agitation, l’incurie, l’agressivité et la douleur morale [26].
Elle serait peu efficace sur la désorientation, les préoccu-
pations somatiques, les pensées inhabituelles et inefficace,
voire délétère, sur la symptomatologie négative [18].
Certaines données démographiques et évolutives de
la maladie prédisent une meilleure réponse : jeune âge,
courte durée de la maladie, épisode actuel court, absence
d’antécédents familiaux de schizophrénie, sous-type para-
noïde, rareté des symptômes négatifs, score élevé à la
Global Assessment of Functioning Scale (GAF) et bonnes per-
formances au Mini Mental Status (MMSE) [9].
Tableau 1 Impact des ECT-M sur la qualité de vie et les symptômes.
Population Durée de l’étude et
traitements associés
Résultats principaux Auteur, année
[référence]
Bipolaires + schizophrènes 6 mois Amélioration symptomatique + pour certains
patients institutionnalisés, réinsertion
familiale voire reprise d’activité
Fink, 1998 [15]
21 schizophrènes résistants 1 an (association
ECT-M—flupenthixol)
Diminution BPRS 3 % [29] Chanpattana et
Chakrabhand, 2001 [9]
Augmentation GAF 23 % Chanpattana, 1998 [8]
Amélioration clinique chez 62 % des patients
21 patients dont
13 déprimés et
8 schizoaffectifs
ECT-M ou
antipsychotiques
Réduction temps annuels d’hospitalisation
surtout chez les déprimés
Maubert, 1990 [27]
10 schizophrènes ECT-M comparées à
groupe témoin
Pas de trouble cognitif surajouté sous ECT-M
(mémoire, attention, fonctions exécutives)
Lohr et al., 1994 [26]
BPRS : Brief Psychiatric Rating Scale.
L’électroconvulsivothérapie de maintenance (ECT-M) a
été proposée [28] dans la schizophrénie. Ce type de trai-
tement permet de prolonger sur une période allant de
quelques mois à plusieurs années l’effet d’un traitement
par ECT, la fréquence des séances pouvant être hebdoma-
daire à mensuelle, dans un but de prophylaxie des récidives
[5,12]. Une analyse des pratiques de 165 psychiatres améri-
cains [23] conclut que la schizophrénie représente moins de
10 % des indications d’ECT-M. Il s’agit alors de troubles schi-
zophréniques résistant à la pharmacothérapie et évoluant
vers une sévérité de plus en plus importante avec dans les
antécédents, une réponse favorable en phase aiguë à l’ECT.
Une revue de la littérature portant sur l’impact des
ECT-M sur la qualité de vie et sur les symptômes est
présentée sous forme de tableau (Tableau 1).
Les rechutes pendant la cure d’ECT-M (réapparition des
symptômes ayant conduit à initier le traitement) néces-
sitent la reprise des ECT de fac¸on plus rapprochée (deux
ou trois séances hebdomadaires),voire la reprise d’une cure
complète. Souvent on ne trouve pas de facteur explica-
tif à ces rechutes. On peut mettre en cause une mauvaise
observance des indications, une éventuelle consommation
de toxiques, un espacement trop important des ECT-M. Il
n’existe aucun consensus sur la durée et la fréquence des
ECT-M ; on constate 50 % de rechutes dans les trois mois
suivant l’arrêt [6].
Selon l’American Psychiatric Association (APA) Task Force
[2] l’association d’antipsychotiques aux cures d’ECT et
d’ECT-M en améliore l’efficacité, permet d’utiliser des
doses moindres de médicaments et d’accélérer leur délai
d’action. Alors que les associations ECT—olanzapine ou
ECT—rispéridone n’ont pas prouvé leur efficacité [34]
et qu’une association ECT—chlorpromazine est décon-
seillée du fait des risques hypotenseurs [16], l’association
ECT—clozapine serait justifiée [22] par un effet potentiali-
sateur [15].
Objectifs
Les dossiers cliniques de 19 patients schizophrènes selon
le DSM-IV du service hospitalo-universitaire de santé
Electroconvulsivothérapie de maintenance et traitement des schizophrénies résistantes 529
mentale et thérapeutique de l’hôpital Sainte-Anne à Paris
ayant bénéficié d’ECT-M ont été analysés afin d’évaluer les
éléments suivants :
les indications des ECT-M dans notre pratique ;
l’efficacité des ECT-M sur la symptomatologie et sur la
qualité de vie des patients ;
la fréquence de survenue des rechutes et leurs possibles
facteurs déclenchants ;
les traitements médicamenteux associés.
Méthode
Il s’agit d’une étude rétrospective concernant une popula-
tion de 19 patients souffrant d’un trouble schizophrénique
ou schizoaffectif, ayant bénéficié d’ECT de maintenance
entre 1991 et 2005. Sept sujets, inclus après 1997, béné-
ficient encore du traitement par ECT-M. Tous les dossiers
de patients répondant à ces critères diagnostiques et sous
ECT-M dans notre département ont été inclus dans l’analyse.
Résultats
Données cliniques et démographiques
Notre population est composée de 11 femmes et huit
hommes. L’âge de début de la maladie s’étend de 12 à
38 ans, avec un âge moyen de 23,2 ans. Au début des ECT-M,
l’âge moyen est de 47,5 ans (±12,75) et l’ancienneté de
la maladie de 24 ans (±6). Sept patients (37 %) ont des
antécédents familiaux psychiatriques au premier degré, en
majorité de troubles thymiques (70 %). Au vu de la sévérité
de la symptomatologie clinique des patients, de leur degré
de handicap fonctionnel et de leur résistance aux traite-
ments successifs, l’ensemble des patients analysés répond
aux critères de schizophrénie résistante de Kane et al. [20].
Les diagnostics de sous-type de schizophrénie (DSM-IV)
portés au moment de l’étude sont répartis en dysthy-
mique (n= 8), hébéphrénique ou résiduel (n= 3), paranoïde
(n= 5), pseudonévrotique ou indifférencié (n= 3), désorga-
nisé (n= 1).
Symptomatologie
Les 19 sujets présentent des antécédents psychiatriques
personnels de symptômes délirants, dissociatifs, thymiques
de type maniaque (au moins cinq d’entre eux) ou dépressif
(tous).
Les symptômes décrits au long de l’histoire de la maladie,
avant ECT-M sont les suivants :
les symptômes délirants (n= 19), à thèmes persécutifs
et mécanismes interprétatifs et hallucinatoires de type
acousticoverbal :
automatisme mental (n= 5),
hallucinations visuelles et cénesthésiques (n= 3),
idées délirantes à thèmes mystiques avec refus de boire
(n=1);
les symptômes dissociatifs (n= 19) ;
les symptômes thymiques (n= 19) :
maniaques (n= 5),
dépressifs (n= 19) ;
les symptômes anxieux (n= 19) ;
les symptômes obsessionnels compulsifs avec rituels de
lavage et phobie de contamination (n= 2), rituels de véri-
fication (n=1);
le trouble du comportement alimentaire à type de res-
triction (n=1);
les symptômes d’allure catatonique (n=2);
les préoccupations somatiques (délirantes ou anxieuses) à
type de céphalées, vomissements, fourmillements, prurit
(n=7);
les impulsions suicidaires fortes et quasi permanentes
(n= 1) avec antécédent de passage à l’acte autoagressif
dans le service (n= 1).
Neuf patients avaient fait des tentatives de suicide, sur-
tout médicamenteuses, avec une moyenne de 1,3 tentative
(±3,3) par patient avant le début des ECT-M dont deux par
défenestration et une par arme blanche.
Indications des ECT de maintenance
L’analyse rétrospective des dossiers cliniques montre que la
décision d’instauration d’ECT-M ne repose pas sur l’intensité
ou la sévérité des symptômes cliniques mais sur une conjonc-
tion des critères que sont l’augmentation des épisodes en
fréquence et en intensité, l’échec total ou partiel des
traitements neuroleptiques, l’intolérance aux traitements
médicamenteux (neutropénie sous clozapine, allergie à la
carbamazépine, intolérance au lithium), les rechutes pré-
coces à l’arrêt des cures d’ECT.
Dans tous les cas, il avait été constaté au moins un anté-
cédent de réponse positive au traitement par ECT en phase
aiguë de la maladie. En revanche, le nombre de séances lors
de cures d’ECT antérieures n’a pas constitué un critère de
décision d’instauration des ECT-M.
Durée et nombre des hospitalisations
Un critère essentiel pour mesurer l’efficacité de cette
modalité thérapeutique est la mesure du nombre
d’hospitalisations, de la durée de celles-ci et du temps
passé à l’hôpital, relevées respectivement dans les trois
années précédant les ECT-M, la dernière année avant et
après leur instauration. Ces chiffres sont présentés dans le
Tableau 2
Traitements rec¸us avant et après ECT-M
Le Tableau 3 détaille, pour chaque patient inclus, le nombre
total de séances d’ECT avant l’instauration des ECT-M et leur
répartition par cure ainsi que la périodicité des ECT-M.
Tous les patients ont bénéficié de cures d’ECT avant la
décision de débuter des ECT-M, en moyenne deux cures
et 24 séances au total. Les ECT-M ont été en moyenne de
47 séances espacées d’un à cinq semaines sur une période
moyenne de 43 mois.
Les médicaments administrés avant la cure d’ECT, entraî-
nant la décision d’instaurer les ECT-M, et pendant les ECT-M
530 M. Lévy-Rueff et al.
Tableau 2 Temps, nombre et durée annuels moyens des hospitalisations avant et après ECT-M.
Avant ECT-M (depuis
début de la maladie)
Trois années avant
ECT-M
Année avant
ECT-M
Depuis le début des
ECT-M (recul : 43 mois)
Temps annuels moyens
d’hospitalisation (mois) ;
moyenne (écart-type)
1,63 (2,99) 4,46 (2,98) 10,53 (17) 2,09 (2,04)
Nombre annuel moyen
d’hospitalisations ; moyenne
(écart-type)
0,40 (0,34) 0,89 (0,41) 1,84 (0,96) 0,88a(0,93)
Temps moyen par
hospitalisation (mois) ;
moyenne (écart-type)
2,29 (3,26) 6 (9,9) 4,13 (4) 2,53 (3,47)
aHospitalisations brèves pour ECT-M programmées exclues.
Tableau 3 Répartition des cures d’ECT avant l’instauration des ECT-M et espacement des ECT-M (n= 19).
Patient Nombre total de séances
d’ECT avant ECT-M
Nombre de cure avant ECT-M
(nombre d’ECT à chaque cure)
Périodicité des ECT-M
1 6 1 (6) 7 jours
2 61 5 (15/7/10/19/10) Mensuel, puis espacement
progressif jusqu’à 5 semaines
3 9 1 (9) 3 semaines
4 9 1 (9) Mensuel
5 16 3 (7,7, 2) 3 semaines
6 27 2 (10/17) Mensuel
7 14 1 (14) Bimensuel, puis mensuel
8 15 1 (15) Mensuel
9 24 2 (12/12) Bimensuel (1988), puis
étalement progressif jusqu’à
5 semaines (1990) en 2 ans
10 27 2 (15/12) Mensuel
11 49 5 (16/17/16/17/18) Mensuel
12 20 1 (20) Mensuel
13 47 4 (12/11/13/11) 10 jours
14 28 2 (14/14) Mensuel
15 25 2 (15/10) 12 jours
16 37 2 (25/12) Mensuel
17 23 2 (11/12) Mensuel
18 11 1 (11) Mensuel
19 20 2 (10/10) 3 semaines
Tableau 4 Nombre de patients (%) ayant rec¸u des traitements psychotropes avant et pendant les ECT-M.
Prescription avant la cure d’ECT
précédant l’instauration des ECT-M
Pendant les ECT-M
Thymorégulateurs 12 (63) 6 (30)
Antidépresseurs 16 (84) 2(10)
Antipsychotiques classiques et atypiques 18 (95) 20 (100)
Neuroleptiques classiques 16 (84) 5 (25)
Antipsychotiques atypiques 7 (37) 18 (95)
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