Premiers Sauts et Perfectionnement

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SOMMAIRE
PAgE
PAgE
BIENVENUE
2
LA NAVIGATION
38
COMMENT DÉBUTER ?
3
L’ATTERRISSAGE
44
LE PREMIER JOUR
4
LES RÈGLES DE PRIORITÉ
46
LE PARACHUTE
5
ATTERRIR EN DEHORS DE LA ZONE PRÉVUE
48
LES SYSTÈMES D’OUVERTURE
6
LES OBSTACLES
49
LE DÉPLOIEMENT DE LA VOILURE
8
LES INCIDENTS D’OUVERTURE
50
L’OUVERTURE DE LA VOILURE EN OA
9
LA PROCÉDURE DE SECOURS
51
LA VOILURE PRINCIPALE
10
LES INCIDENTS : TABLEAU DE SYNTHÈSE
52
LE PRINCIPE DE VOL DE L’AILE
11
REMARQUES SUR LES CAS PARTICULIERS
54
LES ÉLÉMENTS DE SÉCURITÉ
12
QUESTIONNAIRE POUR LE PREMIER SAUT
59
L’OUVERTURE DU PARACHUTE DE SECOURS
14
RÉPONSES AU QUESTIONNAIRE POUR LE PREMIER SAUT 65
LE LOR ET LE STEVENS
15
LES DIFFÉRENTES PROGRESSIONS
67
LES DÉCLENCHEURS AUTOMATIQUES
16
LA POIGNÉE TÉMOIN
68
LA TENUE DE SAUT
18
LE PREMIER COMMANDÉ
70
COMMENT S’ÉQUIPER ?
19
LES PREMIÈRES CHUTES PROLONGÉES
74
LA POSITION DE CHUTE
20
LES TOURS
76
LES DÉFAUTS À ÉVITER
21
LA DÉRIVE
78
LA SORTIE D’AVION EN OA
22
UTILISATION DU HAND DEPLOY
79
LE PREMIER SAUT PAC
24
NOTIONS DE LARGAGE
80
LA SORTIE D’AVION EN PAC
25
NOTIONS DE MÉTÉO
92
LES SIGNES DE COMMUNICATION EN PAC
26
ALTIMÉTRIE
114
LES ACTIONS À L’OUVERTURE
27
SÉCURITÉ
118
LES IMPERFECTIONS D’OUVERTURE
31
120 QUESTIONS SUR L’OUVERTURE ET LES INCIDENTS
128
L’OUVERTURE
32
QUESTIONNAIRE POUR LE BREVET B
138
LA DESCENTE PARACHUTE OUVERT
34
RÉPONSES AU QUESTIONNAIRE POUR LE BREVET B
148
LES PERFORMANCES DE L’AILE
35
TECHNIQUE DE PILOTAGE
36
BIENVENUE
Bienvenue dans le monde de la chute libre.
-
Le saut en parachute est un acte individuel et volontaire. Vos moniteurs sont
-
que vous aborderez un exercice nouveau. Ne laissez rien au hasard : soyez
Le saut en tandem.
Le tandem permet de découvrir la chute libre
sauts ont généralement lieu entre 3000 et 4000
mètres de hauteur. Le harnais du passager est
secondes, le moniteur déploie un parachute raune vitesse de l’ordre de 180 km/h ; la descente
-
La progression en ouverture automa-
poignée témoin ; le parachute s’ouvre toujours
saut en chute libre.
La progression accompagnée en
La PAC permet de débuter directement en
accompagné par deux moniteurs pour le premier saut, puis par un seul pour les suivants.
Le temps de chute avant l’ouverture du paraLes moniteurs communiquent avec vous par
(en moyenne entre 6 et 10), vous pourrez chuter seul.
Page 3
LE PREMIER JOUR
deux techniques.
suivant :
Le parachute.
Les éléments de sécurité.
Le premier saut PAC.
Les incidents et la procédure de secours.
Il peut simplement servir de
-
sentez prêt.
Page 4
Le parachute.
C’est un ensemble qui comporte un sac-harnais, une voilure principale, une voilure de secours et un
déclencheur de sécurité. Un parachute pour débutant pèse environ une douzaine de kilos. On le saisit
par les sangles principales du harnais, pas par les poignées. La voilure principale est située en bas et la
voilure de secours en haut.
Le sac.
Le sac comprend :
Un conteneur pour la voilure de secours, situé en haut.
Un conteneur pour la voilure principale, situé en bas.
cun des conteneurs.
Le harnais.
empêche le basculement
quand on s’équipe.
se prolongent par deux
que
Page 5
accroche dans l’avion. La SOA est lovée sur le sac. Quand on saute, la SOA se délove et extrait l’aiguille
ou le jonc, provoquant l’ouverture du conteneur de la voilure principale.
sure le déploiement de la voilure.
Mousqueton d’accrochage
SOA.
ment mais diminue le temps de chute.
Page 6
poignée
s’ouvre.
et assure le déploiement de la voilure.
mières chutes libres en ouverture commandée, après les sauts en
C’est un
(sans ressort) plié dans une po-
Un embout de préhension
teur. Quand le parachute est plié, le hand deploy se trouve
Pour ouvrir, on place soi-même le hand deploy (qui n’a pas de
le tenir longtemps.
au sommet comme pour le hand deploy.
Page 7
suspentes.
extrait le sac de déploiement, provoquant le délovage
et la mise en tension des suspentes.
Après la mise en tension des suspentes, la voilure sort
du
Le
temporise l’ouverture. Les groupes de
suspentes le traversent ; on le remonte sous la voile
descente du glisseur, empêchant ainsi un épanouisrepose sur les élévateurs.
Les suspentes relient la voile au harnais, par l’intermédiaire de quatre sangles : les
.
Les deux commandes de manoeuvre se trouvent sur
les élévateurs arrière.
Elles sont accessibles dès que les suspentes sont en
tension.
Le temps que met la voilure pour s’ouvrir (se déployer et s’épanouir) est variable ; généralement entre
2 et 4 secondes.
Page 8
) est le vent que vous créez par votre
Le
(
propre déplacement dans l’air.
zontale : 130 km/h environ).
-
SOA
assure le
sort
suspentes.
de la
La perte de hauteur est de l’ordre de 100 mètres.
Page 9
-
Un caisson est composé de deux
deux alignements de suspentes.
est la
Le
est
le bord avant de l’aile.
Il est ouvert.
de l’aile.
Les suspentes
relient la voile aux
élévateurs.
Le bord de fuite est
le bord arrière de
Les commandes de manœuvre :
deux poignées, situées sur les élévateurs arrière, sont reliées par une
suspente principale et plusieurs susTirer sur une commande provoque
Le
. Après l’ouverture, il repose
sur les élévateurs. Il est en général de
Les
, au nombre de 4,
sont des sangles qui relient la voilure (voile + suspentes) au harnais.
Les poignées de commandes
de manœuvre. Elles se
trouvent sur les élévateurs
arrière.
Page 10
.
Une aile souple n’a pas de moteur. Les suspentes avant sont plus courtes que les suspentes arrière,
-
déterminante pour les qualités de vol.
de vol.
dessus.
Portance
portance.
Les
commandes
de manœuvre sont
reliées au bord de
Les suspentes avant
avant de la voile, et les
la largeur de l’aile.
Trajectoire.
Page 11
voilure principale mal ouverte et certainement instable et votre voilure de secours.
de secours) se situent sur le harnais.
Système LOR
(ou Stevens)
Système trois anneaux
Poignée de
du conteneur
secours
(Système de sécurité).
Page 12
de
-
1passe dans le gros. Le câble de la poignée de
2-
3- puis le moyen,
4- ce qui permet le départ des élévateurs.
Page 13
La poignée d’ouverture du parachute de secours est logée sur le
de ce câble se trouve une broche (aiguille) qui verrouille le conteneur du parachute de secours.
broches de verrouillage reliées au câble de la poignée
d’ouverture du parachute de secours.
secours qui peut alors se déployer.
Broches de verrouillage (aiguilles)
Câble de la poignée d’ouverture
du conteneur de secours
C’est le même type de voilure que la principale. Comme sur celle-ci, les deux commandes de manœuvre
tage sont les mêmes.
Page 14
provoque l’ouverture du conteneur de la voilure de secours quand les élévateurs de la voilure principale se libèrent du harnais.
Le LOR.
l’une des broches de verrouillage du parachute de secours. Quand il y
de verrouillage, provoquant l’ouverture du conteneur de la voilure de
secours.
broches reste engagée et le conteneur ne s’ouvre pas. Cela réduit
dissymétrique.
C’est le même principe que le LOR. Mais avec une seule sangle montée sur l’une des deux paires d’élé-
-
provoquer l’ouverture de la voilure de secours (par exemple en cas
vens est débrayable par l’intermédiaire d’un mousqueton ou d’un
maillon rapide.
Page 15
-
situé dans le conteneur du parachute de secours.
qui déclenche l’ouverture du
conteneur du parachute de secours.
-
pas ouverte ou mal épanouie), l’appareil déclenche l’ouverture du conteneur du parachute de secours,
-
Page 16
du conteneur du parachute de secours.
de la broche de verrouillage
du conteneur de secours
supérieure ou
réglage
Sectionneur
pyrotechnique
parachute de secours.
réglage
de secours.
réglage
Sectionneur
pyrotechnique
Page 17
sement, perte de calories, etc.)
La sangle jugulaire
ter tout risque d’accrochage avec une
suspente.
Indispensables :
-
néralement sur la main
gauche).
mètres, par tranche de
100 mètres.
Les chaussures de sport.
Elles doivent être basses et sans crochet.
Page 18
Que le LOR ou le Stevens est verrouillé.
1)
Posez le parachute sur le bord d’une table.
4)
Ajustez les réglages des sangles cuissardes.
6)
Rangez les extrémités libres des sangles.
Que le harnais soit bien réglé.
Que les poignées sont en place, non masquées par des plis de vêtements.
Page 19
C’est le vent que l’on crée par son propre déplacement dans l’air.
est mobile pour
sont allongées,
Les bras sont écartés sans
raideur, mains au niveau du
visage, épaules relâchées.
écart important.
sont relâchées.
Le corps est cambré (au
niveau de la colonne lombaire), bassin en avant.
est symétrique.
Le regard est un paramètre important.
Regarder, c’est être conscient.
se repérer.
suelles en chute.
La tonicité
on travaille avec un peu d’appuis sur les jambes et sur les mains.
Page 20
, on a l’impression de perdre l’équilibre. On tend
, on n’a pas une bonne conscience de la
ler l’extension cuisses / bassin.
Jambes trop écartées
-
on
manque d’appuis et de
stabilité.
Bras trop en avant, on subit un dérapage arrière et l’on peut,
Bras trop en arrière
Page 21
le plus souvent, pendant la montée, le moniteur accroche les SOA dans l’avion. Au moment de sauter,
etc.).
dos, il y a un risque d’accrochage de la voilure
pendant la phase de déploiement.
La main droite sur le montant arrière.
La main gauche sur le plancher de l’avion.
Le regard vers l’avant et au-dessus de l’horizon.
Page 22
l’ouverture.
et permet de s’écarter de l’avion.
la hauteur du visage.
soient réussis.
est placé contre le montant de la porte (barre). C’est
la jambe droite qui sera le principal moteur de l’impul-
s’écarter de l’avion.
On sort en se tenant au hauban. Suivant le type de marchepied, on place un ou deux pieds dessus. Il
Page 23
dure un peu plus de cinq minutes.
2)
Découvrir la chute.
3)
Chuter stable.
4)
Gérer la hauteur.
Généralement, les moniteurs proposent le programme suivant :
Prendre et maintenir la po-
gnées témoin.
À 2000 mètres, se préparer
À 1500 mètres, ouvrir son
parachute.
laisser surprendre par la perte de hauteur.
Les poignées témoins.
Page 24
Un genou au sol.
Le pied d’appui sur le bord du plancher.
Les mains sur les genoux (ou devant
vous).
Regardez devant vous au-dessus de l’horizon (le bout d’aile par exemple).
Expirez avant de vous élancer.
Élancez-vous. L’impulsion doit être dirigée vers le bout d’aile ou l’horizon.
Page 25
signes ou interviennent directement, par exemple en replaçant un bras ou une jambe.
vers le bas.
Rapprochement et éloignement
du pouce et de l’index
(ou les genoux)
Ou
moniteur
montre
son
Ouvrir tout de suite.
de l’élève
Page 26
L’ouverture est une des phases clé pour la sécurité du saut.
au sol parce qu’en cas de problème, on dispose d’un temps limité pour agir (on donne en général cinq
secondes).
On ne ressent pas toujours la même chose. L’ouverture est plus ou moins rapide et s’accompagne par-
Normalement, après une ou deux secondes, on se retrouve debout et la voile s’ouvre.
Vous devez :
Page 27
L’extracteur est derrière
ou sur la voile.
rectangulaire.
Le glisseur est en bas
(sur les élévateurs).
Il n’y a pas d’emmêlage ou de
nœuds dans les suspentes ou
les commandes.
sont accessibles sur les élévateurs arrières.
Page 28
des deux poignées de commandes de manœuvre (photos ci-dessous). Cela met la voilure dans une
De plus, cela empêche de prendre tout de suite une vitesse élevée. Le risque de collisions lors de sauts
de groupe s’en trouve diminué.
Page 29
Par rapport au terrain (zone de poser).
Par rapport aux autres voilures.
-
Page 30
la voile, etc.
Pour les résorber :
(les
élévateurs pour vous aider. Si vous ne voyez pas votre
Le glisseur doit être contre les élévateurs.
bas, c’est un problème mineur.
rectangulaire. C’est un incident.
cement les mains (recommencez si nécessaire). Avec plus
secours.
Il arrive, lors de l’ouverture, que l’extracteur se coince
manœuvrant doucement.
secours.
Page 31
SE PASSE
DANS LES SUSPENTES
Lancer le désenroulement par des ciseaux de jambes énergiques.
vers le bas.
avec douceur.
Page 32
LA MISE EN ŒUVRE
PAR RAPPORT AU TERRAIN
AUTRES VOILURES
HAUTEUR
(bras haut)
PAR RAPPORT AU TERRAIN
EN FONCTION DU VENT
Lancer le désenroulement
bras en tenant les élévateurs.
cédure de secours.
Page 33
La descente parachute ouvert contraste avec la chute, c’est un retour au calme.
Vous devez être capable d’assurer votre sécurité sans assistance.
obstacle.
d’un ensemble de règles de base.
-
Page 34
La vitesse.
La vitesse sur trajectoire est la somme géométrique de la vitesse horizontale et de
Si vous représentez les vitesses horizontale et
trouvez la vitesse sur trajectoire. Plus une aile
est rapide, plus elle permet de contrer un
tale est de l’ordre de 9 m/s et la vitesse ver-
pour 1 km de hauteur perdu.
vent nul ou vent arrière.
parcourir une distance comprise entre 2 et 3 km (sans tenir compte du vent).
Page 35
Installez-vous bien dans le harnais, éventuellement un peu assis.
Les jambes sont sensiblement dans le prolongement du corps et non
marcher ou courir).
ment la voile. Sans lâcher les poignées de commande, vous pouvez saisir les élévateurs arrière
et laisser ainsi les muscles de vos bras se reposer un instant.
Le virage.
1)
je regarde si la trajectoire est dégagée,
2)
3)
(l’amplitude du mouvement),
4)
Page 36
Le freinage.
d’une certaine limite, elle décroche.
1)
2)
écart,
3)
Le décrochage.
-
Le point de décrochage se situe généralement mains en dessous des hanches. Il dépend du réglage
On risque de décrocher :
en passant dans la zone de turbulences dans le sillage d’une autre voilure,
bras d’un seul coup, elle risque de plonger vers l’avant.
tout en restant pilotable.
Page 37
1200 m
Point d’ouverture
1. Rejoindre et naviguer
dans la zone d’évolution.
2. Rejoindre le point de
rendez-vous (point d’entrée
du circuit d’atterrissage).
3. Suivre le circuit d’atterrissage
afin de se poser face au vent.
300 m
0m
Vent
Page 38
le déplacement de la masse d’air (le vent). C’est le même phénomène que dans l’eau : un nageur
subit le courant.
Prenons pour exemple une voilure dont la vitesse propre est de 8 m/s.
Il n’en sera plus de même s’il y a du vent :
Vent de face.
Si la voilure rencontre un
vitesse par rapport au sol sera élevée.
Si la vitesse du vent est égale ou supé-
par rapport au sol.
ner. La vitesse par rapport au sol est alors
de 11 m/s.
nage. Il sera alors impossible de s’arrêter complètement.
Page 39
Vent de travers.
déplace en crabe par rapport au sol.
À cause du vent de travers, la voi-
mais vers la zone B.
Si l’on veut retrouver une
voilure vers la zone C.
de travers, sa trajectoire sol la
mène vers la zone A.
B
A
Page 40
C
-
ZONE D’ÉVOLUTION
trouve au vent du terrain. Plus le
largué loin. Gardez de la marge et
revenez progressivement.
CÔTÉ AU VENT
CÔTÉ SOUS LE VENT
Vent
Point de
rendez-vous
Testez le point de décrochage et relâchez
progressivement les commandes quand la
vous. Assurez-vous que votre trajectoire est libre avant de manœuvrer.
Page 41
Il débute au point de rendez-vous, entre 200 et 300 m de hauteur.
Le point de rendez-vous
1)
Une étape vent arrière.
2)
Une étape vent de travers (étape de base).
3)
Point de rendez-vous (entre 200 et 300 mètres)
Vent arrière
Vent de travers&
6($%&'(&789(
&
Vent
P! oint de rendez-vous
(entre 200 et 300 mètres)
Vent arrière
Vent de travers
Vent
Page 42
Vue de dessus
Vent
Vue de dessus
Vent
Page 43
1)
nez en priorité une trajectoire dégagée d’obs-
un obstacle).
2)
-
3)
Regardez devant vous
allez poser les pieds.
4)
Freinez progressivement
hauteur (entre 3 et 5 mètres environ) pour toupas brusquement (risque de décrochage).
5)
riez de vous blesser.
6)
et
quelques pas.
Page 44
(voir page 37).
vigilant.
Elle glisse (bascule) sur l’ar-
vers l’arrière (décrochage).
Page 45
Les règles de priorité ont pour but d’éviter les collisions en vol.
En vol, regardez régulièrement autour de vous.
Respectez les distances de sécurité et les règles de priorité.
Évitez les trajectoires convergentes (suivez des trajectoires parallèles).
Approche de face
La vitesse de rapprochement de deux voilures est
ment est de 20 m/s, soit plus de 70 km/h, ce qui laisse
peu de temps pour s’éviter. Si elles sont distantes de
percuter.
: s’éloigner
Page 46
décalez-vous.
Votre voilure vous empêche
de voir au-dessus de vous dans
l’angle mort.
Celui qui se trouve au-dessus
doit assurer la sécurité.
(celui qui se trouve le plus bas ou celui
quoi doit dégager la proximité d’un obstacle).
En résumé.
Retenez
Page 47
La hauteur de prise de décision.
une zone dégagée et rejoignez-la.
Dans les autres cas, essayez de revenir vers le terrain. On peut considérer que 500 m est une bonne
dégagée.
1)
(champ, stade...).
2)
3)
vous risquez de reculer) et un peu de place de-
Présentez-vous en entrée de terrain pour garder
le maximum de place devant vous. Faites des
Page 48
se protéger.
Corrigez
légèrement
la
gauche, même dans les derniers mètres.
possible.
Si vous constatez que vous risquez de vous poser dans l’eau (en mer par exemple) :
risque de déclencher l’ouverture du conteneur de secours).
Essayez d’éviter que la voile vous tombe dessus.
et de tomber de haut.
Page 49
Les incidents sont rares (environ 1/800 sauts) mais ils peuvent aussi survenir dès le premier saut. Soyez
retenu toutes les consignes.
-
La procédure de secours
d’urgence absolue.
semblera nécessaire.
Page 50
Libérer la voilure principale qui n’est pas opérante et ouvrir le parachute de secours.
1
2
3
1 Regardez et 2 saisissez la poignée de libéra-
3 Portez le regard sur la poignée du parachute
dessus l’autre.
4
5
Départ des élévateurs après avoir
4
5
nombril, puis lâchez-la.
Page 51
JE NE SUIS
NE SE PASSE PAS
MAIS MAUVAISE OUVERTURE
Balancements
Instabilités
Balancements
(ou le désenroulement) des torsades.
Instabilités
Il est souvent possible de voler comme cela s’il n’y a
la SOA par le moniteur.
Page 52
sus-
AGIR IMMÉDIATEMENT
SANS PERDRE DE TEMPS
QUELLE QUE SOIT LA POSITION
P
E
S
UNE TENTATIVE POUR RÉSORBER*
si possible.
Suivant votre voilure, votre poids et l’emplacement de la ou des suspentes cassées, il se peut que la vitesse soit
pour éviter un obstacle.
-
Page 53
poids et l’emplacement de la ou des suspentes cassées, il se peut que la vitesse de descente soit exces-
-
-
sans perdre de temps.
peuvent être complexes.
Page 54
-
Lorsque la voilure principale et la voilure secours sont ouvertes en même temps, bien que toutes les
premier).
La voilure principale est devant.
voilures sont orientées vers le sol. La vitesse de descente
est alors élevée.
jambes serrées dans le prolongement du corps,
genoux déverrouillés,
le choc.
Page 55
Ne pas libérer la voilure principale (celle accrochée au harnais par le système trois
anneaux). Cela peut créer un risque d’accrochage des deux voilures.
ber une éventuelle mise en miroir (
).
serrés contre le corps, sans arrondir
gèrement la commande intérieure au virage.
le moins possible pour éviter ce phénomène.
le décrochage).
Page 56
Page 57
Réponse
page
1)
-
2)
-
3)
-
Si la voilure vole normalement.
51
Si la voilure ne vole pas normalement
ou si j’ai un doute sur ce qui peut se passer pendant la descente.
La procédure de secours.
Page 58
51
9.
1.
A.
B.
Je ne vais sauter que si je me sens prêt.
C’est aux moniteurs de décider seuls.
A.
B.
C.
Par l’avant.
Par l’arrière.
Peu importe.
A.
B.
C.
Dans l’ordre des départs.
Dans l’ordre inverse des départs.
Peu importe.
2.
A.
B.
C’est sans importance.
3.
A.
B.
Je ne m’occupe pas de la météo.
C.
Je me contente de regarder le vent au sol.
11.
A.
ter au maximum du paysage.
B.
4.
le centrage ou d’accrocher l’équipement.
A.
B.
12.
A.
B.
5.
A.
B.
13.
6.
A.
B.
C.
Je ne me concentre pas pour être plus décontracté.
Je m’assure que le déclencheur de sécurité est en
A.
B.
C.
Le déclencheur n’est pas obligatoire, donc je ne
m’en occupe pas.
perdre de temps.
Je me mets en place le plus lentement possible
pour mieux réussir mon saut.
14.
A.
B.
7.
A.
B.
15.
A.
B.
C.
8.
A.
B.
change tout le temps.
Page 59
En déséquilibre intérieur.
En équilibre.
En déséquilibre extérieur.
16.
A.
B.
C.
N’ont pas beaucoup d’importance.
17.
A.
B.
C.
Le sol.
Devant soi, au-dessus de l’horizon.
Le regard n’a pas d’importance.
Les mains sont.
A.
B.
C.
Ouvertes et placées le plus haut possible.
Le placement des mains n’a pas d’importance.
26.
Être bien cambré au niveau du bassin.
A.
B.
Ne joue pas sur la stabilité.
27.
A.
B.
18.
A.
B.
25.
28.
sécurité.
N’a jamais d’incidence sur la sécurité du saut.
A.
B.
des exercices.
19.
A.
B.
Faire le programme prévu.
29.
Se récupère rapidement si l’on cambre.
A.
secondes.
A.
B.
C.
Cambré au niveau du bassin, bras ouverts, jambes
modérément écartées.
Cambré, bras et jambes écartés au maximum.
21.
A.
B.
On ne compte pas les secondes, donc le temps est
sans importance.
A.
Bloquer la tête pour ne pas créer d’instabilités.
Garder la mobilité de la tête pour augmenter le
champ visuel.
22.
A.
B.
C.
B.
C.
B.
C.
que l’on s’aperçoit que tout s’est bien passé.
On ressent un choc violent.
31.
mètres suivants.
Fléchies au maximum.
Tendues au maximum.
A.
B.
C.
A.
B.
C.
Serrées au maximum.
Écartées au maximum.
Écartées de la largeur des épaules.
32.
24.
Les bras sont.
A.
B.
C.
Fléchis au maximum.
Écartés et souples.
Tendus au maximum.
23.
La vitesse de la voile ne dépasse pas 12 m/s.
On n’entend pas de bruit.
La voile est rectangulaire, suspentes non emmêlées, glisseur en bas, elle réagit aux commandes.
A.
B.
33.
A.
B.
C.
Page 60
Il n’y a jamais de torsades en OA.
34.
42.
A.
B.
A.
B.
C.
Cela n’arrive jamais.
35.
Avec des torsades.
A.
Je prends les commandes de manœuvre pour
m’orienter.
Je ne peux pas me servir des commandes.
B.
C.
En cas de rupture de suspentes.
beaucoup de suspentes cassées.
Je peux voler comme ça s’il y a une seule suspente
43.
A.
B.
36.
C.
A.
B.
44.
C.
A.
B.
C.
Je ne m’en préoccupe pas.
C’est un incident, je dois réagir tout de suite.
-
37.
est épanouie.
45.
A.
B.
C.
A.
B.
J’ai tout mon temps.
Je ne touche surtout pas les commandes.
46.
38.
A.
B.
A.
Je vole comme ça, c’est sans importance.
B.
ne se passe.
J’essaie avant tout de me stabiliser.
47.
Une mauvaise ouverture.
39.
A.
B.
Je ne m’en préoccupe pas, c’est sans importance.
Je peux voler comme ça en manœuvrant doucement et le moins possible.
A.
A.
-
B.
ments ou des instabilités marquées.
Elle en génère souvent.
48.
En cas de mauvaise ouverture.
A.
B.
une procédure de secours.
B.
procédure de secours.
49.
41.
A.
B.
C.
Si une commande a cassé.
A.
B.
Je peux prendre mon temps pour réagir.
A.
B.
Quand j’ai compris les causes de l’incident.
Si les critères de l’ouverture normale ne sont
Je peux essayer de voler comme ça, en pilotant
avec l’autre commande ou les élévateurs arrière.
l’incident.
Page 61
51.
A.
B.
A.
B.
la sécurité.
vement vers le terrain.
C.
52.
La procédure de secours consiste.
A.
À libérer la voilure principale et ouvrir le para-
B.
À libérer la voilure principale avant d’ouvrir le parachute de secours.
53.
A.
B.
C’est sans importance.
54.
Une fois parachute ouvert.
A.
B.
C.
La priorité est de se décontracter un peu.
61.
A.
B.
C.
D.
62.
A.
B.
C.
55.
63.
A.
B.
C.
A.
B.
C’est sans importance.
A.
B.
B.
Je repère les autres voilures pour prévenir tout
risque de collision.
Je ne m’occupe pas des autres.
Je viens tout de suite au point de rendez-vous.
Je viens tout de suite au-dessus du terrain quel
que soit le vent.
66.
A.
est fort.
C.
vement vers le terrain.
Je vole bras hauts quoi qu’il arrive car il est trop
tard pour manœuvrer.
67.
B.
59.
A.
B.
Ne concerne pas les élèves débutants.
A.
B.
C.
A.
B.
58.
A.
B.
C.
De largage.
65.
C’est sans importance.
57.
A.
Je dégage par la droite.
Je dégage par la gauche.
64.
56.
A.
B.
C.
Je dégage par la droite.
Je dégage par la gauche.
champ.
Je repère une zone dégagée et j’essaie de me poser dans la grande longueur du terrain.
Je me pose le plus près possible d’une route.
68.
est.
C.
A.
B.
obstacles.
Page 62
69.
A.
B.
C.
72.
Je me protège le visage avec les mains.
A.
B.
73.
A.
B.
A.
B.
Je me relève et je ramasse ma voilure
Je reste bras hauts pour ne pas décrocher.
C.
C.
74.
71.
A.
B.
Je me relève, je ramasse ma voile doucement puis
je dégage.
Je dégage le plus vite possible.
Je rentre le plus vite possible.
A.
75.
B.
poser debout.
C.
A.
B.
J’essaie de me relever.
secours.
Page 63
Page 64
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
A
A
B
B
A
A
A
A
B
B
B
B
B
A
B
B
B
A
B
A
B
B
C
B
A
26
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28
29
30
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35
36
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38
39
40
41
42
43
44
45
46
47
48
49
50
A
B
A
A
C
C
B
A
B
B
A
B
B
B
B
B
C
B
B
A
A
B
B
A
B
Page 65
51
52
53
54
55
56
57
58
59
60
61
62
63
64
65
66
67
68
69
70
71
72
73
74
75
B
B
A
C
B
A
A
A
B
C
A
C
A
A
C
A
B
B
B
C
B
A
C
B
B
Page 66
1)
2)
3)
Premiers sauts en ouverture commandée.
4)
Sauts en chute libre de plus en plus hauts avec un temps de chute de plus en plus long.
5)
pings et tonneaux.
base.
La progression parachute ouvert.
respectant les règles de priorité.
Page 67
apprendre le geste d’ouverture pour se
préparer au saut en ouverture commandée.
parachute.
1)
1)
2)
2)
3)
elle est.
3)
poignée.
La main droite décrit un mouvement circulaire
du
corps et vient se placer ouverte sur la poignée témoin. La main
chances de tomber dessus.
Dans le même temps,
vient se placer au-dessus de la tête, dans le plan du corps, pour compenser la perte
En OA, ne lâchez pas la poignée. Après l’ouverture, rangez-la dans votre combinaison pour ne pas
. L’ensemble du geste doit être
Proscrire les gestes saccadés.
Page 68
pas trop rapide, ni trop lent.
Lâchez immédiatement.
Finissez la procédure de secours pour
Page 69
1)
Ouvrir son parachute
2)
Gérer le temps de chute (10 secondes maximum)
3)
Chuter stable
H de larg. : 1500 m
(phase
Page 70
La chute.
Après une ou deux secondes de chute, si vous avez l’impression de basculer vers l’avant, maintenez la
temps.
En chute, la perte de hauteur est en moyenne de 300 mètres pendant les 10 premières secondes (c’est
1)
Ouvrir sans dépasser le temps.
2)
de sécurité.
Page 71
En cas de…
ou de mouvement des bras et des jambes augmentent les instabilités.
Passage dos.
-
Ne vous contractez pas : plus on se
Poignée non trouvée. Tâtonnez avec la main paume bien ouverte (sans que cela dure trop longtemps)
Poignée dure.
secours.
Page 72
en chute
Faire un essai pour
Passage dos
Je reste sur le dos
Je tourne toujours et
de plus en plus vite
Ouvrir sans
perdre de temps
ou
Poignée non trouvée
dans le secteur de la poignée
Poignée dure
Je ne la trouve
toujours pas
La poignée est
toujours dure
ou
ou
Je ne suis
toujours pas
Page 73
1)
Gérer la hauteur (en comptant ou en
2)
la perte de hauteur en comptant (au maximum 20
3)
Le programme du saut.
Essayez de trouver une bonne stabilité, épaules relâchées, cambrez au niveau du bassin,
saut.
Le temps de chute.
secondes puis 50 mètres par seconde. La correspondance entre temps de chute et perte de hauteur
est la suivante :
2000 m
10’’
12’’
14’’
16’’
18’’
20’’
Perte de hauteur
300 m
400 m
500 m
600 m
700 m
800 m
1700 m
1600 m
1500 m
1400 m
1300 m
1200 m
Jambes trop écartées.
correctement.
(instabilités avant / arrière). Ils proviennent généralement d’une raideur excessive
ou/et d’un déséquilibre entre les appuis avant et arrière. Ils disparaissent souvent en quelques sauts.
cement d’un bras ou d’une jambe). Le manque de cambrure augmente souvent la raideur quand on
débute. Si vous manquez d’envergure (mains trop près du visage), vous allez tourner d’autant plus vite.
Ne dépassez pas la hauteur d’ouverture et/ou le temps de chute prévus.
Page 74
Page 75
L’écoulement de l’air autour du corps provoque :
Un dérapage si tout le corps est incliné.
corps sont inclinés en sens contraire
Page 76
contraire) ou des tours très lents.
Inclinaison des deux mains.
Appui du bras intérieur (avec soulèvement du coude extérieur).
Inclinaison de toute la ligne des
épaules.
vement de contre (enclenchement en sens inverse).
rapproche du visage).
1)
appuis.
2)
mi-tours ou des tours complets.
3)
autour de vous avant d’ouvrir.
pouvez ouvrir.
Page 77
jambes pour augmenter les appuis.
-
extension.
peut parcourir 1 km de distance horizontale pour
2500 m de chute. Espacez les départs.
pour ne
teur, d’autant plus que la vitesse augmente et
quelques secondes de dérive lors des premiers
ou après vous et risquer une collision. Si vous ne
pas de départ en piqué.
Le freinage.
sécurité).
Page 78
l’ouverture de la voilure (schéma ci-dessous).
Lâchez l’extracteur le plus loin possible du corps, bras tendu (dans
(celui-ci peut venir se placer dans la zone dépressionnaire et turbulente située immédiatement dans votre dos).
son ne s’enroule autour de la main. Si cela arrivait, dégagez-la
immédiatement.
de la drisse de liaison ouvre le sac avant le lâcher de l’extracteur.
-
Page 79
Ce n’est pourtant pas le cas.
ture, le nombre de passages, le nombre de départs par passage, le type de saut, le type de voilure
prendre en compte (voir ci-dessus) nous montre qu’il n’en est rien.
compétence et de ses responsabilités.
-
Page 80
Avec les autres usagers de l’aérodrome.
Observer la météo.
Déterminer l’axe et le point de largage.
Déterminer l’ordre des départs.
Cadencer (espacer) les départs.
Quand il y a plusieurs passages.
Quand plusieurs avions larguent en même temps.
Avec un avion gros porteur.
sauter.
Page 81
2)
Déterminer l’axe et le point de largage.
2)
Assurez-vous que l’espace aérien est dégagé.
Les paramètres météo.
vantes :
Quelle est la couverture nuageuse et le type de nuage ?
À quelle hauteur est la base des nuages ?
L’orage est-il imminent ?
Page 82
La dérive.
qui permet de déterminer le point de largage.
Vous subissez le vent en chute et parachute ouvert.
La dérive
calculer la dérive avec beaucoup de précision. En revanche, il est souvent
Vent
donc pas compte de la vitesse horizontale de la voile. Le résultat
obtenu est une moyenne.
vitesse
tempsde
dechute
chute
vitessedu
duvent
vent x temps
vitesse du vent x temps de descente
Hauteur d’ouverture
(1000 m)
Dérive
parachute ouvert
Dérive totale
A
Mètres
Dérive en
chute
B
{ (secondes) x (mètres/seconde) } + { (secondes)
Page 83
x (mètres/seconde) }
rain. On peut également prendre des axes vent de travers ou vent arrière.
Vent
Point de largage
Axe vent de travers
Zone d’atterrissage
Axe vent de face
Suivant la dérive, on décale l’axe (si on largue vent de travers) ou le point de largage (si on largue vent
Page 84
la vitesse de l’avion par rapport
Vitesse propre
de l’avion
Vitesse de l’avion
par rapport au sol
Vitesse propre
de l’avion
Vitesse
du vent
Vitesse
du vent
Vitesse propre de l’avion + vitesse du vent.
Vitesse de l’avion
par rapport au sol
Une voilure rapide permet de contrer
vite, donc en subissant le vent moins
longtemps.
Une grande
voilure, pas
très rapide,
recule.
permet d’avoir un bon angle de plané
Fort vent
de face
Une petite
voilure, plus
rapide, avance.
culer et ce d’autant plus longtemps que
Si la
perd en vitesse.
conséquence.
Page 85
turbulentes.
La charge alaire est un paramètre important pour le calcul du point de largage, car elle joue sur le
temps de descente parachute ouvert (donc sur la dérive).
pour 80 kg, de 7,5 m/s et 3 m/s pour 45 kg.
Assurer leur étagement pour qu’ils ne se posent pas tous en même temps.
-
devez néanmoins savoir que :
Ceux qui ouvrent le plus bas partent généralement en premier.
Ceux qui ouvrent le plus haut partent généralement en dernier.
Après l’ouverture, ne remontez jamais l’axe de largage.
Page 86
-
-
Entre 0 et 7’’, danger.
distance).
Augmentez l’espacement entre les départs :
Quand la hauteur de largage est élevée (le temps de chute et la dérive augmentent).
Par vent fort
proches que sans vent.
Vitesse de largage : 75 kts
Vitesse propre
de l’avion
Espacement de 8 ‘’
Vitesse propre
de l’avion
Vitesse « sol »
Espacement de 8 ‘’
Distance : 300 m
Distance : 140 m
Page 87
Vitesse
« sol »
Vent
Avec deux minutes d’intervalle entre les passages,
ceux du second passage ouvrent, ceux du premier passage sont 500 m plus bas. C’est le minimum pour éviter tout
risque de collision entre un chuteur et une voilure.
!!!!
-
tout risque de collision, respectez les hauteurs d’ouverture prévues.
d’ouvrir la porte.
largage.
départ des premiers.
opposé au dérapage.
Assurez-vous que l’axe de largage (la trajectoire de l’avion) passe par le point de
largage.
Page 88
-
ire
Trajecto
apparente
apparente
Avion en montée :
horizontale.
Page 89
-
cer de l’avion.
Elle est plus ou moins importante selon :
La vitesse de largage,
Elle dure entre 8 et 10’’ et la distance horizontale
parcourue est d’environ 150 mètres (largage avec
un Pilatus).
Elle est souvent négligée compte tenu des autres
nière beaucoup plus importante le largage.
vitesse de largage : 35 m/s (70 kts). Temps de mise en place de l’élève : 4’’.
mise en place
Mise en place :
Page 90
-
incompréhension.
discerner.
Point de largage
« 45° à
gauche »
« 45° à
droite »
nécessaires.
Le GPS ne calcule pas le point de largage, il repère celui que vous avez vous-même
déterminé.
Il ne donne pas le nombre de passages, l’ordre et l’espacement des départs.
Il ne sait pas si l’espace aérien est dégagé.
Page 91
aériens. Il existe des phénomènes peu connus comme le givrage sur les avions, d’autres sont invisibles
-
sécurité.
échanges d’énergie qui les accompagnent.
ozone, etc.).
Les phénomènes météorologiques ont lieu dans les basses couches de l’atmosphère, la troposphère
Page 92
: C’est le poids de la colonne d’air située au-dessus du point de mesure s’étendant jusqu’aux
limites de l’atmosphère.
Unité
La pression atmosphérique au niveau de la mer vaut en moyenne : 1013,25 hPa.
La pression atmosphérique varie avec le lieu car le réIl y a des zones :
De hautes pressions :
notés A (associés au beau temps).
,
De basses pressions :
,
notées D (associées au mauvais temps).
Sur des cartes, on trace des lignes isobares en reliant les points d’égale pression. Elles montrent les
La pression atmosphérique est liée au poids de la colonne d’air au-dessus de nos têtes. Plus on monte
Elle diminue beaucoup dans les basses couches puis de moins en moins. À 5600 mètres, elle a diminué
8,5 mètres au niveau de la mer.
Page 93
La température.
: C’est la mesure de la chaleur d’un corps.
moléculaire plus ou moins importante.
Du soleil et de la terre (magma).
Le rayonnement
On la mesure avec un thermomètre et sous abris (exposé au soleil, il indiquerait sa
.
Plus le rayonnement est perpendiculaire au sol,
température de l’air.
Page 94
Le vent.
C’est le déplacement horizontal d’une masse d’air.
Il se caractérise par :
cardinaux ou en degrés sur la rose des vents.
Le manchon comporte cinq anneaux alternant trois rouges et deux blancs. Il est soulevé dans la direc-
Page 95
-
l’air des hautes vers les basses pressions (de A vers D). C’est le même phénomène que lorsqu’on perce
A
Force de pression
Haute pression
Trajectoire du vent
D
Basse pression
Tout objet en mouvement dans l’hémisphère nord est dévié
dans un repère tournant (c’est le cas de la terre). Lors de son déplacement des hautes vers les basses
pressions, l’air est dévié vers la droite dans l’hémisphère nord et vers la gauche dans l’hémisphère sud.
A
Force de pression
Haute pression
D
Basse pression
Force de
Coriolis
Trajectoire
du vent
Page 96
Force de pression
Force de Coriolis
1020
1012
1004
996
-
Force de pression
Force de Coriolis
1020
1012
1004
996
sur la terre que sur l’eau).
isobares.
largage par rapport au vent au sol.
Page 97
nique) et tourne autour des dépressions dans le sens inverse (en rentrant légèrement
vers le centre dépressionnaire).
-
A
D
Haute pression
Basse pression
Les brises
sol est chaud (c’est le cas des sols secs : hangars, parkings, zones caillouteuses ou sablonneuses, etc.),
zone d’ascendance (l’air chaud).
La température de l’air
La pression atmosphérique
Au-dessus d’une
Au-dessus d’une
Diminue
Augmente
Augmente
Diminue
Se soulever
(descendre)
(monter)
On observe des phénomènes de brise en bord de mer, sur les pentes et dans les vallées.
Page 98
La brise de mer.
La brise de terre.
La brise de pente montante.
poursuivre son ascension. Il sera remplacé par un
La brise de pente descendante.
La brise est descendante.
Page 99
Le jour, il se produit dans les vallées le même phénomène que pour les brises de pente. Il est d’ailleurs
les brises de pente descendantes. La brise de vallée est descendante.
-
possible de sauter.
Page 100
L’intensité de ces phénomènes est d’autant plus grande que :
lée, rue, hangars, etc.), il est obligé d’accélérer pour conserver le même débit qu’avant l’étranglement
(imaginez une rivière traversant une gorge).
ver le débit, l’air doit donc accélérer
A
B
entre deux hangars.
c’est une zone de turbulences, d’au-
que dans une zone dégagée.
Page 101
On appelle
Le
Turbulence d’origine mécanique (créée par un obstacle).
Turbulence d’origine thermique.
ments, haies d’arbres, etc.) sur le vent dans les basses couches.
l’on risque d’en rencontrer.
Page 102
près du sol (sur quelques mètres de hauteur). Il
devient turbulent au contact du sol.
Ces phénomènes provoquent une légère accé-
rencontre alors une inversion, par exemple vent du sud au-dessus de 1 000 m et vent du nord au sol, avec une zone de cisaillede cisaillement, on ressent des turbulences.
champ de blé sera, par exemple, rendu plus chaud
La vitesse du courant ascendant peut varier de 1
cend moins vite ou plus du tout) ou vers le bas.
dissymétrique.
Page 103
d’au moins 10 nœuds (5 m/s) sa vitesse moyenne (calculée sur 2 minutes).
sein du nuage (cumulonimbus).
d’ensoleillement.
Les dangers dus au vent.
nécessaire.
Page 104
Les nuages.
-
-
À cause de turbulences (nuages d’ondes).
Cirrus (Ci), Cirrocumulus (Cc), Cirrostratus (Cs), Altocumulus (Ac), Altostratus (As), Nimbostratus (Ns), Stratocumulus (Sc), Stratus (St), Cumulus (Cu), Cumulonimbus (Cb).
Page 105
Etalés en voiles ou
Nuages
Nuage
sombre
Cirrostratus
Cirrus
Cirrocumulus
Cs
Ci
Cc
Altostratus
Altocumulus
As
Ac
Stratus
Stratocumulus
St
Sc
des masses d’air stables
Pluie
durable
Ciel serein
Peu nuageux
Très nuageux
Couvert
8/8
Page 106
Cu
des masses d’air ins-
La couverture nuageuse.
Nébulosité
0/8
Cumulus
Cumulonimbus Cb
Nimbostratus Ns
nets, aspect cotonneux
Nuage
d’orage
Parachute ouvert ou en chute, sans visibilité, les risques de collision avec une autre voilure sont réels.
La brume
On parle de
ture du sol.
Brume et/ou brouillard peuvent durer plusieurs jours.
pas non plus voir les autres voilures qui, sans doute, convergent vers le même point que lui.
La forme des nuages.
Les nuages de type stratus sont étalés et en nappes. Ils génèrent surtout des problèmes dus au manque
Les nuages de type
-
Le
Page 107
machine et ne croient plus les instruments de bord.
Étoile des neiges ... mon coeur amoureux ...
!
Si un avion traverse la zone de sauts sous la couche de nuages pendant qu’on largue au-dessus, aucun
instrument ne permet d’assurer la sécurité.
Page 108
Voler au-dessus d’une couche de nuages est d’autant plus dangereux que l’on se trouve en zone mon-
C’est pris au piège...
De tes grands yeux...
une couche de nuages.
Si vous traversez un nuage.
En chute.
Parachute ouvert.
nuage pour ouvrir.
terrain.
proximité.
Page 109
Un orage est un phénomène météorologique complexe caractérisé par des décharges brusques d’électricité accompagnées par une lueur brève et intense (l’éclair) et un bruit sourd (le tonnerre).
de l’humidité,
de l’ensoleillement,
Imaginons une bulle d’air chaud animée d’un mouvement ascendant. En montant, sa pression diminue
monte aussi longtemps qu’elle est plus chaude que l’air ambiant. Il y a peu d’échange de chaleur entre
la bulle et la masse d’air environnante.
Les nuages sont des cumulus.
d’enclume.
Page 110
Déplacement du nuage.
bombes nucléaires.
Page 111
mètres.
La couleur du nuage. Danger quand le nuage devient noir.
Des turbulences anormales.
brusquement.
La présence d’éclairs et de tonnerre. Quand on entend le tonnerre ou quand on voit
Le cumulonimbus est le siège de tous les phénomènes météorologiques dangereux :
pouvant dépasser 130 km/h. Vous pouvez
(souvent plus de 100 km/h).
La foudre.
Le givrage. Il peut rendre l’avion impilotable.
descendre et posez-vous le plus vite possible.
Page 112
Page 113
-
Pression au sol au niveau de la mer : 1013 hPa (hectopascals).
-
1013,25 hPa
899 hPa
850 hPa
795 hPa
701 hPa
616 hPa
trique. Retenez que :
danger.
danger.
Page 114
La hauteur
-
pieds.
exemple.
1013,25 hPa.
(FL)
Hauteur
topographique
Page 115
-
0
0
l’aérodrome. Faites un schéma pour ne pas vous tromper.
0"
0
Page 116
Page 117
Ne passez pas devant l’hélice.
Prenez l’habitude de toujours contourner un avion
par l’avant).
-
-
Si les câbles des poignées n’ont pas assez de jeu.
Si quelqu’un saisit involontairement une poignée pendant la mise en place pour un
saut de groupe.
coincé au moment du départ.
Ne vous accrochez pas aux structures mobiles de l’avion, porte, volets. Une porte de
gouvernes de pilotage.
Page 118
urgence sont rares. Un instant de calme permet souvent de ne pas évacuer pour rien. Il arrive que le
prend une décision, évitez les ordres contradictoires.
Il ne s’agit pas de tous les cas possibles, mais de quelques principes pour réagir. Une même consigne
Tout le monde peut sauter. Ouverture immédiate.
Occupez-vous de la sécurité : ouverture, espacement, montagne
L’avion plane.
Agissez sans perdre de temps.
de 300 m par minute).
L’avion plane mais ne rejoindra pas l’aérodrome.
Suivant l’urgence, espacez un peu les départs.
Tout le monde ouvre immédiatement.
L’avion est dans
Il n’est pas certain que tout le monde puisse évacuer.
-
Page 119
Tête dans les épaules
Ça va bien
se passer !
Mains sur la nuque.
Coudes au corps
Si possible dos au sens de la marche.
Ouverture du parachute de secours.
-
Tout le monde saute et ouvre immédiatement le parachute
principal.
Page 120
de queue).
-
cédure de secours ; dans d’autres cas c’est impossible.
Vous pouvez être inconscient après le choc ou encore (et aussi) emmêlé dans une voilure. Vous n’aurez
Plus on se rapproche du sol, plus le risque augmente car tout le monde converge vers un point de ren-
Page 121
Quand on est nombreux.
sales, embuées ou limitant le champ de vision, etc.).
monde converge vers le même point).
Faites preuve d’une vigilance constante.
-
que quelques secondes.
Soyez prévoyant.
-
Prenez rapidement des décisions.
de celui-ci s’il y a une zone dégagée. Le plus important est de se poser en sécurité même si ce n’est pas
Page 122
voilure.
sont espacées de 100 mètres, il ne se passera que 5 secondes avant la collision qui peut être brutale.
-
ne soient pas trop loin et que tout le monde puisse ainsi rentrer sur le terrain. Si vous êtes dans les
ter rapidement vers celui-ci surtout si vous en êtes éloigné. Vous allez alors remonter l’axe de largage
ouverts.
Page 123
, vous serez largué
après vous.
4000 mètres!
Vent
1000 mètres!
sécurité (100 mètres au minimum) et suivez des trajectoires parallèles.
Évitez les trajectoires convergentes.
chement seront ainsi plus lentes et vous disposerez d’un peu plus de temps pour réagir.
Page 124
-
si vous avez ouvert haut ou si vous descendez moins vite
que les autres, ainsi :
Ou,
si vous avez ouvert plus bas ou si vous
descendez plus vite que les autres, ainsi :
limite les risques de collision.
Page 125
Ne vous posez pas en sens contraire des autres. Suivez des trajectoires parallèles en
pas de marge de manœuvre.
Les plus expérimentés laissent de la place aux moins expérimentés.
09
'"
27
%"
!
Piste "
Le n° 1 se décale vers la piste
(à une distance de sécurité)
pour laisser de la place au n°2
1"
Le n° 3 raccourcit son circuit et se pose
long pour laisser le champ libre :
Au n°2 qui est derrière les bâtiments
et a peu de marge de manœuvre.
3"
Le n° 2 fait son circuit
en contournant
les bâtiments.
Au n° 1 qui arrive en finale et ne peut
plus faire demi-tour.
Bâtiment
2"
Page 126
Piste"
1"
09
%"
27
#"
!
En faisant de larges « S » au milieu du terrain,
le n° 1 ferme l’axe d’entrée au n° 2.
S’il se pose un peu long (trajectoire en pointillé),
le n° 1 laisse plus de place au n° 2 pour faire son
circuit d’atterrissage.
Bâtiment
2"
-
Page 127
-
ment dès le premier saut.
À pleine vitesse, elle est variable mais souvent plus
d’autres plus rarement. On classe les incidents en grandes
-
Quand la voilure est ouverte, l’impression de calme
contraste avec la chute.
Non. La voilure peut s’ouvrir plus ou moins vite, dans l’axe
Non. Il y a peu d’accidents, mais on doit toujours être
-
Elle est généralement comprise entre 100 et 150 m (une
ouverture normale dure entre 2 et 3 secondes). Certaines
dent augmente la perte de hauteur.
Il n’y a pas de nœud ou d’emmêlage dans
les suspentes.
Le glisseur est en bas.
La voilure réagit normalement quand on
sur les commandes.
Page 128
voir sa voile.
-
-
seur ne descend pas jusqu’en bas.
tement si une voilure se rapproche de vous.
(noeud) au niveau d’une ou de plusieurs suspentes. C’est
alors un incident qui nécessite la procédure de secours.
ouvert loin.
élévateurs, mais ce n’est pas une raison pour conserver le
ce qui peut l’être.
C’est un enroulement des suspentes sur elles-mêmes,
mise en pression dissymétrique de la voile. Les torsades
résorber.
momentanée de piloter augmente le risque de collision
torsades).
Page 129
vitesse augmente légèrement. Quand on a un caisson
Tâtonnez avec la main ou recommencez le geste. Suivant
son emplacement, vous pouvez regarder la poignée. Si
Recommencez le geste. Vous êtes peut-être en train de
Si la voile décroche au moment de l’ouverture, elle subit
par exemple. Si vous le pouvez, regardez la poignée avant
croche dans une suspente.
Cet incident est-il résorbable et peut-on voler avec l’ex-
poignée.
Il n’est pas toujours possible de dégager l’extracteur du
en relâchant les commandes.
bondissement.
voilure est pilotable.
Manœuvrez le moins possible avec des mouvements de
-
Avec un hand deploy, le retard peut provenir d’un mauvais geste, d’un lâcher prématuré de l’extracteur ou d’un
secours.
des mouvements de bras (comme si on voulait donner
l’extracteur. Le retard se résorbe dans la plupart des cas.
Bonne ouverture, mauvaise ouverture et non ouverture
Non parce que l’on perd rapidement de la hauteur. Si le retout de suite l’impression de calme. Une mauvaise ouver-
vous que la voile réagit normalement et ne décroche pas
de secours, une ouverture simultanée des deux voilures.
Le retard n’exclut pas la probabilité d’un autre incident.
ralement, dès que les suspentes sont en tension, on se
retrouve debout.
Page 130
-
Oui, mais ce sont les plus rares.
La procédure de secours.
rectangulaire. Les suspentes ou les commandes sont emmêlées. Le glisseur est bloqué en haut.
rez la principale évite un risque d’emmêlage des deux
voilures. La procédure de secours est un tout. Quand
mouvement le plus ample possible) et dans le bon ordre
balancements ou des instabilités prononcées. Il y a une
La vitesse est élevée.
poignées soient au bon endroit) et préparez-vous menta-
secours. Dans d’autres pays, on préconise de prendre la
l’autre.
les élévateurs. Beaucoup d’incidents se résorbent.
Non. Chacune a des avantages et des inconvénients.
Absolument pas. C’est celui qui est sous son parachute qui
de secours pour rien que d’hésiter quand c’est nécessaire.
-
secours.
-
sur la voile par exemple, d’autant plus qu’elle peut évoluer
poids élevé ou des turbulences réduisent la possibilité de
voler avec un problème sur la voilure.
changez pas de méthode sans raison ou sur les conseils
d’une personne qui manque peut-être de recul. Il se peut
garder la première méthode apprise.
Page 131
de cas’’.
(ce sont deux pièces métalliques de même diamètre et
-
On peut considérer que l’on dispose en moyenne de 5 se-
en cas d’incident. En chute libre, on perd 250 mètres en
cinq secondes.
Non. Il est même conseillé de jeter la poignée du paracours. Cela permet d’avoir les mains libres pour agir plus
temps).
du secours.
-
Si vous essayez de vous stabiliser, vous risquez de ne pas y
concentré. Quand on commence une procédure de sen’est pas l’idéal, mais il est plus dangereux d’ouvrir trop
tard que sur le dos.
Oui et non. Oui, parce qu’en-dessous d’un seuil bas, on
La procédure de secours n’est pas compliquée si l’on s’en-
commande, on n’a pas le choix. Pour éviter que ce problème se pose, respectez les hauteurs d’ouverture et en
cas d’incident, agissez sans perdre de temps.
-
mains derrière les élévateurs et les pousser vers l’avant
droite en accompagnement, mais n’inversez pas l’ordre
Page 132
Il peut arriver aussi que les commandes soient bloquées,
La voilure de secours risque d’accrocher la voilure principale et, dans le pire des cas, de s’emmêler avec celle-ci. Si
pale, libérez le plus vite possible. Il y a de grandes chances
que tout se passe bien.
-
l’ouverture et de la mise en œuvre. Cela peut se produire
sur une seule commande ou sur les deux. Comme pour
ser sur une zone dégagée ? Vais-je pouvoir arrondir sans
-
secours, par exemple en cas de poignée non trouvée ou
de poignée dure.
Cela permet de gagner du temps.
pale n’est pas ouvert. S’il est ouvert, et même si la voi-
Quand la ou les aiguilles du parachute de secours sont
complètement.
Quand on accroche la poignée involontairement.
Lorsque l’on débute, il vaut mieux n’avoir qu’une seule
procédure ; cela évite de se tromper.
avoir libéré la voilure principale.
terrissage violent ; si l’on essaie de libérer la principale,
elle peut accrocher la voilure de secours.
d’ouverture. Quand elles sont usées, il arrive qu’une compour éviter cet incident.
-
l’ensemble vole. Faites en sorte qu’elles ne s’écartent
augmente beaucoup. On peut tenter de les ramener en
On peut piloter certaines ailes avec la commande qui
reste ou avec les élévateurs arrière, ce qui demande des
sachant les risques que cela comporte).
amples. Un virage avec un élévateur arrière demande du
secours.
mandes ou les élévateurs pour les maintenir en contact. Si
l’ensemble vole, manœuvrez le moins possible et gardez
Page 133
que pour éviter un obstacle.
Lors d’une ouverture accidentelle porte ouverte si la voi-
mandes pour ne pas solliciter les voilures en écartement.
Si la SOA se coince sous le sac. Cet incident est très rare
avec les matériels actuels.
voilure principale.
impilotable.
pas toujours car elle concerne souvent les cloisons intercaissons. Une grande déchirure risque de s’agrandir. Pochute. Si le parachute de secours s’ouvre, la voilure peut se
prendre dans l’empennage et rendre l’avion impilotable.
Le moniteur a pour consigne de couper la SOA. Si vous
le pouvez, montrez-lui que vous êtes conscient (certains
-
sur axe de largage.
point de décrochage remonte.
Le danger de ce type d’incident est de s’apercevoir trop
cédure de secours tant que vous êtes assez haut. En général, on considère que l’on peut se poser avec au maxiredescendre tout le monde avec l’avion.
Quand une suspente casse ou quand une voile subit une
déchirure, c’est généralement au moment de l’ouverture
mer pendant la descente parachute ouvert, mais elle peut
reste en place, il est probable que la voilure se prenne
dans l’empennage de l’avion.
ger l’avion et ses passagers.
Page 134
Quand on n’espace pas assez les départs
lors du largage.
place.
proche au cours d’un saut de groupe.
Quand plusieurs avions larguent en
même temps et que les largages sont mal
coordonnés.
porte quand elle est ouverte.
que prévu sans le signaler.
Si vous avez accroché une suspente, l’extracteur ou le
secours. Vous ne pouvez pas rester en chute.
l’ouverture, gardez vos équipiers dans votre champ visuel.
Avant l’ouverture, assurez-vous qu’il n’y a personne audessus et en-dessous de vous.
Oui. Même si c’est très rare. Nous ne sommes pas les seuls
portante de la voilure, vous n’aurez peut-être pas d’autre
qu’après avoir tout essayé pour vous dégager.
ont des torsades, leurs voilures sont impilotables ; près du
sol s’il y a du monde en l’air.
Les collisions parachute ouvert sont rares mais dange-
sous une même voilure.
que l’on n’a pas la même sensibilité qu’au sol.
Page 135
débrouiller pour aller se poser dans une zone dégagée.
Non. Le déclencheur peut tomber en panne. De plus, il ne
libère pas la voilure principale. En cas de déclenchement,
on se retrouve ouvert entre 250 et 100 m de hauteur.
Peut-on ressauter tout de suite après une ouverture par
des suspentes peuvent en être la cause. Il arrive que le
anodin et s’interroger sur les circonstances et les causes
Visez une zone dégagée, limitez les manœuvres, essayez
Beaucoup de personnes ont été surprises par la perte de
hauteur en cas d’incident et se sont retrouvées très bas.
tacle dans une zone exiguë.
Non. Sur le terrain, on a des repères habituels. Hors zone,
sés, aux vignes, etc. Posez-vous dans la grande longueur
d’incident et que l’on dispose de peu de temps.
se donne du temps).
Répéter régulièrement les consignes d’incident et la procédure de secours. Quelle que soit son expérience, considérer que la priorité est de ne pas perdre de temps. On
dispose de quelques secondes pour réagir en cas d’inci-
Les systèmes de sécurité.
possible.
-
pare pas du harnais ou quand un mousqueton débrayable
s’ouvre. Si une paire d’élévateurs reste en place, le LOR ne
provoque pas l’ouverture du secours.
voilure au milieu de la piste.
vite possible.
Page 136
Oui. Toute hélice qui tourne est un danger majeur. Elle
peut aspirer une voilure.
Oui. Il y a une hauteur limite en-dessous de laquelle on n’a
plus le temps d’ouvrir son parachute.
On sort, on ouvre et on s’occupe de rejoindre une zone
Suivant la hauteur, on ouvre, soit la voilure principale, soit
la voilure de secours.
voilure principale en ayant pris soin de débrayer le LOR ou
le Stevens. Déséquipez-vous dès que possible et rejoignez
la rive sans vous occuper du matériel.
n’a pas toujours la possibilité de revenir vers le terrain. Il
la voile s’accroche, on risque de se retrouver pendu dans
lui.
est de tomber sans être retenu par l’arbre.
Tête rentrée, protégée par les mains.
Oui et non. Non dans l’absolu. Oui, parce que chaque anMême si c’est peu, ces problèmes peuvent rapidement
devenir dangereux.
violent et celui d’un début d’incendie si l’avion subit d’im-
En cas de problème sur l’avion rendant la poursuite du vol
dangereuse.
En premier lieu le pilote, mais en cas de problème grave,
Page 137
-
1.
A.
B.
8.
est.
Le bord avant de l’aile.
Le bord arrière de l’aile.
A.
B.
C.
2.
A.
B.
Le bord avant de l’aile.
Le bord arrière de l’aile.
9.
3.
A.
B.
C.
Le panneau stabilisateur.
Indépendante du vent.
A.
B.
C.
Le rapport vitesse sur trajectoire / vitesse
11.
A.
B.
5.
A.
B.
C.
A.
B.
C.
La cloison inter caissons.
4.
A.
B.
C.
Indépendante du vent.
Une dépression sous l’intrados.
Une dépression sur l’extrados.
Une surpression sur l’extrados.
Au rapport perte de hauteur / distance parcourue.
Au rapport distance parcourue / perte de hauteur.
12.
A.
Vitesse horizontale dans la masse d’air / vitesse
B.
Vitesse sur trajectoire dans la masse d’air / vitesse
C.
Vitesse sur trajectoire par rapport au sol / vitesse
D.
Vitesse horizontale par rapport au sol / vitesse
6.
A.
B.
C.
Les suspentes sont toutes de la même longueur.
Les suspentes avant sont plus courtes que les suspentes arrière.
Les suspentes arrière sont plus courtes que les
suspentes avant.
7.
A.
B.
C.
La vitesse horizontale.
La vitesse qui a pour composantes la vitesse hori-
Page 138
13.
22.
A.
B.
A.
B.
Ne présente aucun danger.
23.
Le point de décrochage.
14.
Pour faire un virage.
A.
Je m’assure que la trajectoire est libre, que la hau-
A.
B.
des commandes de manœuvre.
B.
C.
24.
Le point de décrochage.
15.
A.
B.
Est toujours au même niveau.
25.
Le décrochage survient.
pour tourner.
A.
B.
C.
Plus l’inclinaison de la voile augmente.
Moins l’inclinaison de voile augmente.
L’inclinaison de la voile est indépendante de la
manœuvre de mise en virage.
16.
A.
B.
C.
Plus le rayon de virage augmente.
Moins le rayon de virage augmente.
Le rayon de virage est indépendant de la vitesse
-
A.
B.
décrochage.
Éventuellement avant le point de décrochage
dans une zone de turbulences.
26.
En cas de décrochage.
A.
mandes de manœuvre.
B.
17.
de manœuvre.
A.
B.
C.
C.
son de la voile.
27.
A.
La voile subit un balancement vers l’avant, une
18.
B.
La voile reprend progressivement sa trajectoire
A.
B.
C.
Relâcher les commandes brusquement ne présente aucun danger.
d’amplitude.
19.
28.
A.
B.
C.
A.
mandes de manœuvre.
B.
C.
de manœuvre, très doucement.
En décrochage.
A.
29.
B.
les commandes de manœuvre.
L’aile n’est plus pilotable normalement.
21.
Un décrochage.
A.
B.
Ne présente aucun danger.
Présente un risque d’accrochage de l’extracteur
mandes brusquement.
A.
B.
C.
D.
A.
B.
C.
Page 139
D.
38.
31.
A.
A.
B.
C.
Pour revenir sur le terrain par vent nul ou vent
arrière, si l’on est loin.
La voilure retrouve tout de suite sa trajectoire
B.
En aucune circonstance.
39.
32.
A.
B.
C.
A.
Pour revenir sur le terrain par vent nul ou vent
arrière, si l’on est loin.
B.
C.
En aucune circonstance.
33.
A.
A.
B.
B.
calme.
41.
C.
important.
A.
B.
-
important.
C.
-
D.
34.
A.
B.
42.
A.
B.
C.
manœuvre.
important.
D.
43.
important.
A.
B.
35.
avec les commandes.
B.
C.
A.
Il est le même.
Le point de décrochage est au même niveau que
lorsqu’on pilote avec les commandes.
Il est plus haut.
Il est plus bas.
37.
A.
B.
-
44.
36.
A.
Quand le pilote est bras hauts.
mandes de manœuvre.
A.
B.
C.
Quand le pilote est bras hauts.
On crée des phénomènes pendulaires.
B.
C.
45.
A.
B.
C.
Page 140
Le produit (temps de chute + temps de descente
parachute ouvert) x vitesse du vent.
La vitesse du vent.
Le temps de chute + le temps de descente parachute ouvert.
46.
53.
A.
B.
C.
A.
47.
C.
de la plus rapide des deux voilures.
B.
voilures.
A.
B.
Le risque d’être déporté en dehors du terrain
augmente.
Le risque d’être déporté en dehors du terrain
diminue.
voilures.
54.
au-dessus.
A.
48.
A.
gage et rentrer si l’on est ouvert loin du terrain.
B.
55.
B.
largage et rentrer si l’on est ouvert loin du terrain.
En ne tenant compte que du vent.
En tenant compte du vent, des zones survolées et
dessus de vous.
A.
49.
A.
B.
Vous avez la priorité parce que vous êtes le plus
bas.
Il a la priorité parce qu’il ne vous voit pas.
B.
Il a la priorité et vous devez lui laisser la place
pour rentrer vers la zone de poser.
Vous avez la priorité car vous êtes en dessous.
56.
Parachute ouvert.
A.
Ceux qui ont ouvert le plus haut doivent des-
A.
B.
B.
autres.
Ils doivent essayer de ne pas descendre trop vite
57.
C’est le moins expérimenté qui a la priorité.
C’est le plus expérimenté qui a la priorité.
A.
C.
B.
51.
Parachute ouvert.
A.
-
B.
gentes avec une autre voilure.
C’est possible si l’on passe juste derrière l’autre
voilure.
52.
A.
B.
C.
L’un des deux doit dégager sur sa gauche et l’autre
sur sa droite.
Les deux doivent dégager sur leur gauche.
Les deux doivent dégager sur leur droite.
C.
quelles que soient les circonstances.
Il est possible de se poser avec un léger vent de
travers.
Il vaut mieux se poser vent arrière que vent de
travers.
58.
A.
B.
C.
D.
De se poser au centre de la zone prévue.
De se poser en premier.
De se poser le plus près possible des autres.
De se poser avec une trajectoire dégagée en
gardant une distance de sécurité avec les autres
voilures.
59.
A.
B.
Page 141
Face au vent, éventuellement en sens contraire
par rapport aux autres.
68.
une séance de sauts sont.
A.
B.
A.
B.
C.
D.
dégagée dans la grande longueur du terrain.
C.
Uniquement le vent au sol.
Uniquement le vent et le risque orageux.
le risque orageux.
61.
A.
B.
est de.
69.
50 m/s pendant toute la chute.
300 m pendant les 10 premières secondes puis 50
m/s.
A.
Au vent du terrain, d’autant plus loin que le vent
B.
Au vent du terrain, d’autant moins loin que le vent
C.
Sous le vent du terrain, d’autant plus loin que le
D.
Sous le vent du terrain, d’autant moins loin que le
62.
A.
B.
De 50 m/s, elle peut dépasser 70 m/s en piqué ou
tête en bas.
De 50 m/s et ne dépasse jamais 60 m/s.
63.
A.
B.
C.
400 m de hauteur.
550 m de hauteur.
700 m de hauteur.
A.
B.
71.
A.
B.
64.
A.
B.
Espacer un peu moins les départs pour compenser la vitesse sol de l’avion.
C.
65.
A.
B.
72.
66.
A.
B.
C.
A.
Espacer un peu moins les départs que par vent
B.
C.
ner l’espacement des départs.
73.
67.
observer.
A.
B.
C.
Surtout le vent au sol.
A.
B.
C.
Espacer les départs au maximum de 5 secondes.
Espacer les départs d’au moins 7 secondes.
entre chaque départ.
Page 142
74.
82.
A.
B.
A.
B.
C.
-
C.
espacer davantage les départs.
83.
75.
A.
A.
B.
B.
menter l’espacement entre les départs.
-
minuer l’espacement entre les départs.
C.
C.
menter l’espacement entre les départs.
D.
nuer l’espacement entre les départs.
76.
A.
B.
C.
Partent généralement en premier de l’avion.
Partent généralement en dernier de l’avion.
La hauteur d’ouverture n’a pas d’importance pour
l’ordre des départs.
84.
A.
B.
Du nord vers le sud.
Du sud vers le nord.
85.
77.
A.
B.
C.
Partent généralement en premier de l’avion.
Partent généralement en dernier de l’avion.
La hauteur d’ouverture n’a pas d’importance pour
l’ordre des départs.
A.
B.
C.
0,5 km/h.
2 m/s.
1,8 km/h.
86.
78.
A.
B.
C.
A.
B.
C.
En premier.
En dernier.
C’est sans importance.
Est dévié sur la droite dans l’hémisphère nord.
Est dévié sur la gauche dans l’hémisphère nord.
87.
79.
A.
B.
haut.
A.
B.
88.
l’axe de largage.
des dépressions.
A.
B.
A.
B.
C.
81.
A.
B.
C.
Dans le sens des aiguilles d’une montre.
Dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
Dans le sens des aiguilles d’une montre.
Dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
89.
A.
B.
Montantes.
Descendantes.
A.
B.
Montantes.
Descendantes.
Page 143
91.
A.
A.
B.
De la terre vers la mer.
De la mer vers la terre.
B.
C.
92.
A.
B.
De la brise de mer.
De la brise de terre.
93.
Les brises sont des vents.
A.
B.
Bien établis, qui changent lentement.
A.
B.
C.
A.
B.
C.
de temps.
94.
Ne présente aucun danger.
Est dangereux.
S’il y a une accalmie de vent, c’est que le risque
d’orage a disparu.
A.
ensoleillé.
A.
B.
B.
ensoleillé.
C.
On peut sauter tant qu’il ne pleut pas.
On peut sauter tant que le vent ne dépasse pas la
limite réglementaire.
C.
couvert.
des éclairs ou du tonnerre.
D.
95.
A.
B.
96.
A.
B.
A.
B.
En hiver.
Au printemps et en été.
A.
B.
C.
La nuit.
L’après-midi.
En atmosphère standard.
97.
A.
B.
C.
A.
B.
C.
La vitesse du vent augmente.
La vitesse du vent diminue.
En atmosphère standard.
98.
A.
B.
Au vent des obstacles.
Sous le vent des obstacles.
99.
Par vent fort.
A.
On risque de rencontrer des turbulences près du
sol.
Il n’y a jamais de turbulences si le vent est
laminaire.
B.
A.
B.
La pression est de 1013 hPa au sol.
La pression est de 1013 hPa au niveau de la mer.
A.
B.
C.
La hauteur.
C.
Page 144
Un niveau de vol.
118.
secours est de.
A.
B.
C.
La hauteur.
A.
B.
C.
Un niveau de vol.
3 mois.
6 mois.
1 an.
119.
A.
B.
A.
B.
C.
Par tout le monde.
Pour sauter en parachute.
A.
111.
obligatoire.
B.
A.
B.
C.
121.
A.
112.
-
Doit
pouvoir
présenter
B.
technique.
A.
B.
C.
La pression a baissé.
La pression a augmenté.
113.
122.
-
A.
B.
qu’il soit signé.
C.
A.
B.
C.
La pression a baissé.
La pression a augmenté.
114.
séances de sauts sont de.
A.
B.
C.
115.
A.
B.
C.
Est obligatoire.
Est obligatoire uniquement pour les moniteurs.
116.
A.
B.
117.
A.
B.
C.
Le carnet de sauts.
L’assurance uniquement.
Le carnet de sauts uniquement.
L’assurance, le carnet de sauts et le livret du
parachute.
Page 145
ses
brevets
et
Page 146
1
A
42
A
83
D
2
B
43
B
84
A
3
B
44
A
85
C
4
A
45
B
86
A
5
B
46
A
87
A
6
B
47
A
88
B
7
C
48
A
89
A
8
C
49
B
90
B
9
A
50
B
91
B
10
B
51
A
92
B
11
B
52
C
93
C
12
D
53
C
94
A
13
A
54
B
95
A
14
A
55
A
96
B
15
A
56
A
97
A
16
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Emmanuel ARS : images 3D page 21.
Arnaud DUPLESSIER : photos page 42.
Jeremy PARSY : photos page 3.
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