SOMMAIRE PAgE PAgE BIENVENUE 2 LA NAVIGATION 38 COMMENT DÉBUTER ? 3 L’ATTERRISSAGE 44 LE PREMIER JOUR 4 LES RÈGLES DE PRIORITÉ 46 LE PARACHUTE 5 ATTERRIR EN DEHORS DE LA ZONE PRÉVUE 48 LES SYSTÈMES D’OUVERTURE 6 LES OBSTACLES 49 LE DÉPLOIEMENT DE LA VOILURE 8 LES INCIDENTS D’OUVERTURE 50 L’OUVERTURE DE LA VOILURE EN OA 9 LA PROCÉDURE DE SECOURS 51 LA VOILURE PRINCIPALE 10 LES INCIDENTS : TABLEAU DE SYNTHÈSE 52 LE PRINCIPE DE VOL DE L’AILE 11 REMARQUES SUR LES CAS PARTICULIERS 54 LES ÉLÉMENTS DE SÉCURITÉ 12 QUESTIONNAIRE POUR LE PREMIER SAUT 59 L’OUVERTURE DU PARACHUTE DE SECOURS 14 RÉPONSES AU QUESTIONNAIRE POUR LE PREMIER SAUT 65 LE LOR ET LE STEVENS 15 LES DIFFÉRENTES PROGRESSIONS 67 LES DÉCLENCHEURS AUTOMATIQUES 16 LA POIGNÉE TÉMOIN 68 LA TENUE DE SAUT 18 LE PREMIER COMMANDÉ 70 COMMENT S’ÉQUIPER ? 19 LES PREMIÈRES CHUTES PROLONGÉES 74 LA POSITION DE CHUTE 20 LES TOURS 76 LES DÉFAUTS À ÉVITER 21 LA DÉRIVE 78 LA SORTIE D’AVION EN OA 22 UTILISATION DU HAND DEPLOY 79 LE PREMIER SAUT PAC 24 NOTIONS DE LARGAGE 80 LA SORTIE D’AVION EN PAC 25 NOTIONS DE MÉTÉO 92 LES SIGNES DE COMMUNICATION EN PAC 26 ALTIMÉTRIE 114 LES ACTIONS À L’OUVERTURE 27 SÉCURITÉ 118 LES IMPERFECTIONS D’OUVERTURE 31 120 QUESTIONS SUR L’OUVERTURE ET LES INCIDENTS 128 L’OUVERTURE 32 QUESTIONNAIRE POUR LE BREVET B 138 LA DESCENTE PARACHUTE OUVERT 34 RÉPONSES AU QUESTIONNAIRE POUR LE BREVET B 148 LES PERFORMANCES DE L’AILE 35 TECHNIQUE DE PILOTAGE 36 BIENVENUE Bienvenue dans le monde de la chute libre. - Le saut en parachute est un acte individuel et volontaire. Vos moniteurs sont - que vous aborderez un exercice nouveau. Ne laissez rien au hasard : soyez Le saut en tandem. Le tandem permet de découvrir la chute libre sauts ont généralement lieu entre 3000 et 4000 mètres de hauteur. Le harnais du passager est secondes, le moniteur déploie un parachute raune vitesse de l’ordre de 180 km/h ; la descente - La progression en ouverture automa- poignée témoin ; le parachute s’ouvre toujours saut en chute libre. La progression accompagnée en La PAC permet de débuter directement en accompagné par deux moniteurs pour le premier saut, puis par un seul pour les suivants. Le temps de chute avant l’ouverture du paraLes moniteurs communiquent avec vous par (en moyenne entre 6 et 10), vous pourrez chuter seul. Page 3 LE PREMIER JOUR deux techniques. suivant : Le parachute. Les éléments de sécurité. Le premier saut PAC. Les incidents et la procédure de secours. Il peut simplement servir de - sentez prêt. Page 4 Le parachute. C’est un ensemble qui comporte un sac-harnais, une voilure principale, une voilure de secours et un déclencheur de sécurité. Un parachute pour débutant pèse environ une douzaine de kilos. On le saisit par les sangles principales du harnais, pas par les poignées. La voilure principale est située en bas et la voilure de secours en haut. Le sac. Le sac comprend : Un conteneur pour la voilure de secours, situé en haut. Un conteneur pour la voilure principale, situé en bas. cun des conteneurs. Le harnais. empêche le basculement quand on s’équipe. se prolongent par deux que Page 5 accroche dans l’avion. La SOA est lovée sur le sac. Quand on saute, la SOA se délove et extrait l’aiguille ou le jonc, provoquant l’ouverture du conteneur de la voilure principale. sure le déploiement de la voilure. Mousqueton d’accrochage SOA. ment mais diminue le temps de chute. Page 6 poignée s’ouvre. et assure le déploiement de la voilure. mières chutes libres en ouverture commandée, après les sauts en C’est un (sans ressort) plié dans une po- Un embout de préhension teur. Quand le parachute est plié, le hand deploy se trouve Pour ouvrir, on place soi-même le hand deploy (qui n’a pas de le tenir longtemps. au sommet comme pour le hand deploy. Page 7 suspentes. extrait le sac de déploiement, provoquant le délovage et la mise en tension des suspentes. Après la mise en tension des suspentes, la voilure sort du Le temporise l’ouverture. Les groupes de suspentes le traversent ; on le remonte sous la voile descente du glisseur, empêchant ainsi un épanouisrepose sur les élévateurs. Les suspentes relient la voile au harnais, par l’intermédiaire de quatre sangles : les . Les deux commandes de manoeuvre se trouvent sur les élévateurs arrière. Elles sont accessibles dès que les suspentes sont en tension. Le temps que met la voilure pour s’ouvrir (se déployer et s’épanouir) est variable ; généralement entre 2 et 4 secondes. Page 8 ) est le vent que vous créez par votre Le ( propre déplacement dans l’air. zontale : 130 km/h environ). - SOA assure le sort suspentes. de la La perte de hauteur est de l’ordre de 100 mètres. Page 9 - Un caisson est composé de deux deux alignements de suspentes. est la Le est le bord avant de l’aile. Il est ouvert. de l’aile. Les suspentes relient la voile aux élévateurs. Le bord de fuite est le bord arrière de Les commandes de manœuvre : deux poignées, situées sur les élévateurs arrière, sont reliées par une suspente principale et plusieurs susTirer sur une commande provoque Le . Après l’ouverture, il repose sur les élévateurs. Il est en général de Les , au nombre de 4, sont des sangles qui relient la voilure (voile + suspentes) au harnais. Les poignées de commandes de manœuvre. Elles se trouvent sur les élévateurs arrière. Page 10 . Une aile souple n’a pas de moteur. Les suspentes avant sont plus courtes que les suspentes arrière, - déterminante pour les qualités de vol. de vol. dessus. Portance portance. Les commandes de manœuvre sont reliées au bord de Les suspentes avant avant de la voile, et les la largeur de l’aile. Trajectoire. Page 11 voilure principale mal ouverte et certainement instable et votre voilure de secours. de secours) se situent sur le harnais. Système LOR (ou Stevens) Système trois anneaux Poignée de du conteneur secours (Système de sécurité). Page 12 de - 1passe dans le gros. Le câble de la poignée de 2- 3- puis le moyen, 4- ce qui permet le départ des élévateurs. Page 13 La poignée d’ouverture du parachute de secours est logée sur le de ce câble se trouve une broche (aiguille) qui verrouille le conteneur du parachute de secours. broches de verrouillage reliées au câble de la poignée d’ouverture du parachute de secours. secours qui peut alors se déployer. Broches de verrouillage (aiguilles) Câble de la poignée d’ouverture du conteneur de secours C’est le même type de voilure que la principale. Comme sur celle-ci, les deux commandes de manœuvre tage sont les mêmes. Page 14 provoque l’ouverture du conteneur de la voilure de secours quand les élévateurs de la voilure principale se libèrent du harnais. Le LOR. l’une des broches de verrouillage du parachute de secours. Quand il y de verrouillage, provoquant l’ouverture du conteneur de la voilure de secours. broches reste engagée et le conteneur ne s’ouvre pas. Cela réduit dissymétrique. C’est le même principe que le LOR. Mais avec une seule sangle montée sur l’une des deux paires d’élé- - provoquer l’ouverture de la voilure de secours (par exemple en cas vens est débrayable par l’intermédiaire d’un mousqueton ou d’un maillon rapide. Page 15 - situé dans le conteneur du parachute de secours. qui déclenche l’ouverture du conteneur du parachute de secours. - pas ouverte ou mal épanouie), l’appareil déclenche l’ouverture du conteneur du parachute de secours, - Page 16 du conteneur du parachute de secours. de la broche de verrouillage du conteneur de secours supérieure ou réglage Sectionneur pyrotechnique parachute de secours. réglage de secours. réglage Sectionneur pyrotechnique Page 17 sement, perte de calories, etc.) La sangle jugulaire ter tout risque d’accrochage avec une suspente. Indispensables : - néralement sur la main gauche). mètres, par tranche de 100 mètres. Les chaussures de sport. Elles doivent être basses et sans crochet. Page 18 Que le LOR ou le Stevens est verrouillé. 1) Posez le parachute sur le bord d’une table. 4) Ajustez les réglages des sangles cuissardes. 6) Rangez les extrémités libres des sangles. Que le harnais soit bien réglé. Que les poignées sont en place, non masquées par des plis de vêtements. Page 19 C’est le vent que l’on crée par son propre déplacement dans l’air. est mobile pour sont allongées, Les bras sont écartés sans raideur, mains au niveau du visage, épaules relâchées. écart important. sont relâchées. Le corps est cambré (au niveau de la colonne lombaire), bassin en avant. est symétrique. Le regard est un paramètre important. Regarder, c’est être conscient. se repérer. suelles en chute. La tonicité on travaille avec un peu d’appuis sur les jambes et sur les mains. Page 20 , on a l’impression de perdre l’équilibre. On tend , on n’a pas une bonne conscience de la ler l’extension cuisses / bassin. Jambes trop écartées - on manque d’appuis et de stabilité. Bras trop en avant, on subit un dérapage arrière et l’on peut, Bras trop en arrière Page 21 le plus souvent, pendant la montée, le moniteur accroche les SOA dans l’avion. Au moment de sauter, etc.). dos, il y a un risque d’accrochage de la voilure pendant la phase de déploiement. La main droite sur le montant arrière. La main gauche sur le plancher de l’avion. Le regard vers l’avant et au-dessus de l’horizon. Page 22 l’ouverture. et permet de s’écarter de l’avion. la hauteur du visage. soient réussis. est placé contre le montant de la porte (barre). C’est la jambe droite qui sera le principal moteur de l’impul- s’écarter de l’avion. On sort en se tenant au hauban. Suivant le type de marchepied, on place un ou deux pieds dessus. Il Page 23 dure un peu plus de cinq minutes. 2) Découvrir la chute. 3) Chuter stable. 4) Gérer la hauteur. Généralement, les moniteurs proposent le programme suivant : Prendre et maintenir la po- gnées témoin. À 2000 mètres, se préparer À 1500 mètres, ouvrir son parachute. laisser surprendre par la perte de hauteur. Les poignées témoins. Page 24 Un genou au sol. Le pied d’appui sur le bord du plancher. Les mains sur les genoux (ou devant vous). Regardez devant vous au-dessus de l’horizon (le bout d’aile par exemple). Expirez avant de vous élancer. Élancez-vous. L’impulsion doit être dirigée vers le bout d’aile ou l’horizon. Page 25 signes ou interviennent directement, par exemple en replaçant un bras ou une jambe. vers le bas. Rapprochement et éloignement du pouce et de l’index (ou les genoux) Ou moniteur montre son Ouvrir tout de suite. de l’élève Page 26 L’ouverture est une des phases clé pour la sécurité du saut. au sol parce qu’en cas de problème, on dispose d’un temps limité pour agir (on donne en général cinq secondes). On ne ressent pas toujours la même chose. L’ouverture est plus ou moins rapide et s’accompagne par- Normalement, après une ou deux secondes, on se retrouve debout et la voile s’ouvre. Vous devez : Page 27 L’extracteur est derrière ou sur la voile. rectangulaire. Le glisseur est en bas (sur les élévateurs). Il n’y a pas d’emmêlage ou de nœuds dans les suspentes ou les commandes. sont accessibles sur les élévateurs arrières. Page 28 des deux poignées de commandes de manœuvre (photos ci-dessous). Cela met la voilure dans une De plus, cela empêche de prendre tout de suite une vitesse élevée. Le risque de collisions lors de sauts de groupe s’en trouve diminué. Page 29 Par rapport au terrain (zone de poser). Par rapport aux autres voilures. - Page 30 la voile, etc. Pour les résorber : (les élévateurs pour vous aider. Si vous ne voyez pas votre Le glisseur doit être contre les élévateurs. bas, c’est un problème mineur. rectangulaire. C’est un incident. cement les mains (recommencez si nécessaire). Avec plus secours. Il arrive, lors de l’ouverture, que l’extracteur se coince manœuvrant doucement. secours. Page 31 SE PASSE DANS LES SUSPENTES Lancer le désenroulement par des ciseaux de jambes énergiques. vers le bas. avec douceur. Page 32 LA MISE EN ŒUVRE PAR RAPPORT AU TERRAIN AUTRES VOILURES HAUTEUR (bras haut) PAR RAPPORT AU TERRAIN EN FONCTION DU VENT Lancer le désenroulement bras en tenant les élévateurs. cédure de secours. Page 33 La descente parachute ouvert contraste avec la chute, c’est un retour au calme. Vous devez être capable d’assurer votre sécurité sans assistance. obstacle. d’un ensemble de règles de base. - Page 34 La vitesse. La vitesse sur trajectoire est la somme géométrique de la vitesse horizontale et de Si vous représentez les vitesses horizontale et trouvez la vitesse sur trajectoire. Plus une aile est rapide, plus elle permet de contrer un tale est de l’ordre de 9 m/s et la vitesse ver- pour 1 km de hauteur perdu. vent nul ou vent arrière. parcourir une distance comprise entre 2 et 3 km (sans tenir compte du vent). Page 35 Installez-vous bien dans le harnais, éventuellement un peu assis. Les jambes sont sensiblement dans le prolongement du corps et non marcher ou courir). ment la voile. Sans lâcher les poignées de commande, vous pouvez saisir les élévateurs arrière et laisser ainsi les muscles de vos bras se reposer un instant. Le virage. 1) je regarde si la trajectoire est dégagée, 2) 3) (l’amplitude du mouvement), 4) Page 36 Le freinage. d’une certaine limite, elle décroche. 1) 2) écart, 3) Le décrochage. - Le point de décrochage se situe généralement mains en dessous des hanches. Il dépend du réglage On risque de décrocher : en passant dans la zone de turbulences dans le sillage d’une autre voilure, bras d’un seul coup, elle risque de plonger vers l’avant. tout en restant pilotable. Page 37 1200 m Point d’ouverture 1. Rejoindre et naviguer dans la zone d’évolution. 2. Rejoindre le point de rendez-vous (point d’entrée du circuit d’atterrissage). 3. Suivre le circuit d’atterrissage afin de se poser face au vent. 300 m 0m Vent Page 38 le déplacement de la masse d’air (le vent). C’est le même phénomène que dans l’eau : un nageur subit le courant. Prenons pour exemple une voilure dont la vitesse propre est de 8 m/s. Il n’en sera plus de même s’il y a du vent : Vent de face. Si la voilure rencontre un vitesse par rapport au sol sera élevée. Si la vitesse du vent est égale ou supé- par rapport au sol. ner. La vitesse par rapport au sol est alors de 11 m/s. nage. Il sera alors impossible de s’arrêter complètement. Page 39 Vent de travers. déplace en crabe par rapport au sol. À cause du vent de travers, la voi- mais vers la zone B. Si l’on veut retrouver une voilure vers la zone C. de travers, sa trajectoire sol la mène vers la zone A. B A Page 40 C - ZONE D’ÉVOLUTION trouve au vent du terrain. Plus le largué loin. Gardez de la marge et revenez progressivement. CÔTÉ AU VENT CÔTÉ SOUS LE VENT Vent Point de rendez-vous Testez le point de décrochage et relâchez progressivement les commandes quand la vous. Assurez-vous que votre trajectoire est libre avant de manœuvrer. Page 41 Il débute au point de rendez-vous, entre 200 et 300 m de hauteur. Le point de rendez-vous 1) Une étape vent arrière. 2) Une étape vent de travers (étape de base). 3) Point de rendez-vous (entre 200 et 300 mètres) Vent arrière Vent de travers& 6($%&'(&789( & Vent P! oint de rendez-vous (entre 200 et 300 mètres) Vent arrière Vent de travers Vent Page 42 Vue de dessus Vent Vue de dessus Vent Page 43 1) nez en priorité une trajectoire dégagée d’obs- un obstacle). 2) - 3) Regardez devant vous allez poser les pieds. 4) Freinez progressivement hauteur (entre 3 et 5 mètres environ) pour toupas brusquement (risque de décrochage). 5) riez de vous blesser. 6) et quelques pas. Page 44 (voir page 37). vigilant. Elle glisse (bascule) sur l’ar- vers l’arrière (décrochage). Page 45 Les règles de priorité ont pour but d’éviter les collisions en vol. En vol, regardez régulièrement autour de vous. Respectez les distances de sécurité et les règles de priorité. Évitez les trajectoires convergentes (suivez des trajectoires parallèles). Approche de face La vitesse de rapprochement de deux voilures est ment est de 20 m/s, soit plus de 70 km/h, ce qui laisse peu de temps pour s’éviter. Si elles sont distantes de percuter. : s’éloigner Page 46 décalez-vous. Votre voilure vous empêche de voir au-dessus de vous dans l’angle mort. Celui qui se trouve au-dessus doit assurer la sécurité. (celui qui se trouve le plus bas ou celui quoi doit dégager la proximité d’un obstacle). En résumé. Retenez Page 47 La hauteur de prise de décision. une zone dégagée et rejoignez-la. Dans les autres cas, essayez de revenir vers le terrain. On peut considérer que 500 m est une bonne dégagée. 1) (champ, stade...). 2) 3) vous risquez de reculer) et un peu de place de- Présentez-vous en entrée de terrain pour garder le maximum de place devant vous. Faites des Page 48 se protéger. Corrigez légèrement la gauche, même dans les derniers mètres. possible. Si vous constatez que vous risquez de vous poser dans l’eau (en mer par exemple) : risque de déclencher l’ouverture du conteneur de secours). Essayez d’éviter que la voile vous tombe dessus. et de tomber de haut. Page 49 Les incidents sont rares (environ 1/800 sauts) mais ils peuvent aussi survenir dès le premier saut. Soyez retenu toutes les consignes. - La procédure de secours d’urgence absolue. semblera nécessaire. Page 50 Libérer la voilure principale qui n’est pas opérante et ouvrir le parachute de secours. 1 2 3 1 Regardez et 2 saisissez la poignée de libéra- 3 Portez le regard sur la poignée du parachute dessus l’autre. 4 5 Départ des élévateurs après avoir 4 5 nombril, puis lâchez-la. Page 51 JE NE SUIS NE SE PASSE PAS MAIS MAUVAISE OUVERTURE Balancements Instabilités Balancements (ou le désenroulement) des torsades. Instabilités Il est souvent possible de voler comme cela s’il n’y a la SOA par le moniteur. Page 52 sus- AGIR IMMÉDIATEMENT SANS PERDRE DE TEMPS QUELLE QUE SOIT LA POSITION P E S UNE TENTATIVE POUR RÉSORBER* si possible. Suivant votre voilure, votre poids et l’emplacement de la ou des suspentes cassées, il se peut que la vitesse soit pour éviter un obstacle. - Page 53 poids et l’emplacement de la ou des suspentes cassées, il se peut que la vitesse de descente soit exces- - - sans perdre de temps. peuvent être complexes. Page 54 - Lorsque la voilure principale et la voilure secours sont ouvertes en même temps, bien que toutes les premier). La voilure principale est devant. voilures sont orientées vers le sol. La vitesse de descente est alors élevée. jambes serrées dans le prolongement du corps, genoux déverrouillés, le choc. Page 55 Ne pas libérer la voilure principale (celle accrochée au harnais par le système trois anneaux). Cela peut créer un risque d’accrochage des deux voilures. ber une éventuelle mise en miroir ( ). serrés contre le corps, sans arrondir gèrement la commande intérieure au virage. le moins possible pour éviter ce phénomène. le décrochage). Page 56 Page 57 Réponse page 1) - 2) - 3) - Si la voilure vole normalement. 51 Si la voilure ne vole pas normalement ou si j’ai un doute sur ce qui peut se passer pendant la descente. La procédure de secours. Page 58 51 9. 1. A. B. Je ne vais sauter que si je me sens prêt. C’est aux moniteurs de décider seuls. A. B. C. Par l’avant. Par l’arrière. Peu importe. A. B. C. Dans l’ordre des départs. Dans l’ordre inverse des départs. Peu importe. 2. A. B. C’est sans importance. 3. A. B. Je ne m’occupe pas de la météo. C. Je me contente de regarder le vent au sol. 11. A. ter au maximum du paysage. B. 4. le centrage ou d’accrocher l’équipement. A. B. 12. A. B. 5. A. B. 13. 6. A. B. C. Je ne me concentre pas pour être plus décontracté. Je m’assure que le déclencheur de sécurité est en A. B. C. Le déclencheur n’est pas obligatoire, donc je ne m’en occupe pas. perdre de temps. Je me mets en place le plus lentement possible pour mieux réussir mon saut. 14. A. B. 7. A. B. 15. A. B. C. 8. A. B. change tout le temps. Page 59 En déséquilibre intérieur. En équilibre. En déséquilibre extérieur. 16. A. B. C. N’ont pas beaucoup d’importance. 17. A. B. C. Le sol. Devant soi, au-dessus de l’horizon. Le regard n’a pas d’importance. Les mains sont. A. B. C. Ouvertes et placées le plus haut possible. Le placement des mains n’a pas d’importance. 26. Être bien cambré au niveau du bassin. A. B. Ne joue pas sur la stabilité. 27. A. B. 18. A. B. 25. 28. sécurité. N’a jamais d’incidence sur la sécurité du saut. A. B. des exercices. 19. A. B. Faire le programme prévu. 29. Se récupère rapidement si l’on cambre. A. secondes. A. B. C. Cambré au niveau du bassin, bras ouverts, jambes modérément écartées. Cambré, bras et jambes écartés au maximum. 21. A. B. On ne compte pas les secondes, donc le temps est sans importance. A. Bloquer la tête pour ne pas créer d’instabilités. Garder la mobilité de la tête pour augmenter le champ visuel. 22. A. B. C. B. C. B. C. que l’on s’aperçoit que tout s’est bien passé. On ressent un choc violent. 31. mètres suivants. Fléchies au maximum. Tendues au maximum. A. B. C. A. B. C. Serrées au maximum. Écartées au maximum. Écartées de la largeur des épaules. 32. 24. Les bras sont. A. B. C. Fléchis au maximum. Écartés et souples. Tendus au maximum. 23. La vitesse de la voile ne dépasse pas 12 m/s. On n’entend pas de bruit. La voile est rectangulaire, suspentes non emmêlées, glisseur en bas, elle réagit aux commandes. A. B. 33. A. B. C. Page 60 Il n’y a jamais de torsades en OA. 34. 42. A. B. A. B. C. Cela n’arrive jamais. 35. Avec des torsades. A. Je prends les commandes de manœuvre pour m’orienter. Je ne peux pas me servir des commandes. B. C. En cas de rupture de suspentes. beaucoup de suspentes cassées. Je peux voler comme ça s’il y a une seule suspente 43. A. B. 36. C. A. B. 44. C. A. B. C. Je ne m’en préoccupe pas. C’est un incident, je dois réagir tout de suite. - 37. est épanouie. 45. A. B. C. A. B. J’ai tout mon temps. Je ne touche surtout pas les commandes. 46. 38. A. B. A. Je vole comme ça, c’est sans importance. B. ne se passe. J’essaie avant tout de me stabiliser. 47. Une mauvaise ouverture. 39. A. B. Je ne m’en préoccupe pas, c’est sans importance. Je peux voler comme ça en manœuvrant doucement et le moins possible. A. A. - B. ments ou des instabilités marquées. Elle en génère souvent. 48. En cas de mauvaise ouverture. A. B. une procédure de secours. B. procédure de secours. 49. 41. A. B. C. Si une commande a cassé. A. B. Je peux prendre mon temps pour réagir. A. B. Quand j’ai compris les causes de l’incident. Si les critères de l’ouverture normale ne sont Je peux essayer de voler comme ça, en pilotant avec l’autre commande ou les élévateurs arrière. l’incident. Page 61 51. A. B. A. B. la sécurité. vement vers le terrain. C. 52. La procédure de secours consiste. A. À libérer la voilure principale et ouvrir le para- B. À libérer la voilure principale avant d’ouvrir le parachute de secours. 53. A. B. C’est sans importance. 54. Une fois parachute ouvert. A. B. C. La priorité est de se décontracter un peu. 61. A. B. C. D. 62. A. B. C. 55. 63. A. B. C. A. B. C’est sans importance. A. B. B. Je repère les autres voilures pour prévenir tout risque de collision. Je ne m’occupe pas des autres. Je viens tout de suite au point de rendez-vous. Je viens tout de suite au-dessus du terrain quel que soit le vent. 66. A. est fort. C. vement vers le terrain. Je vole bras hauts quoi qu’il arrive car il est trop tard pour manœuvrer. 67. B. 59. A. B. Ne concerne pas les élèves débutants. A. B. C. A. B. 58. A. B. C. De largage. 65. C’est sans importance. 57. A. Je dégage par la droite. Je dégage par la gauche. 64. 56. A. B. C. Je dégage par la droite. Je dégage par la gauche. champ. Je repère une zone dégagée et j’essaie de me poser dans la grande longueur du terrain. Je me pose le plus près possible d’une route. 68. est. C. A. B. obstacles. Page 62 69. A. B. C. 72. Je me protège le visage avec les mains. A. B. 73. A. B. A. B. Je me relève et je ramasse ma voilure Je reste bras hauts pour ne pas décrocher. C. C. 74. 71. A. B. Je me relève, je ramasse ma voile doucement puis je dégage. Je dégage le plus vite possible. Je rentre le plus vite possible. A. 75. B. poser debout. C. A. B. J’essaie de me relever. secours. Page 63 Page 64 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 A A B B A A A A B B B B B A B B B A B A B B C B A 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 A B A A C C B A B B A B B B B B C B B A A B B A B Page 65 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 B B A C B A A A B C A C A A C A B B B C B A C B B Page 66 1) 2) 3) Premiers sauts en ouverture commandée. 4) Sauts en chute libre de plus en plus hauts avec un temps de chute de plus en plus long. 5) pings et tonneaux. base. La progression parachute ouvert. respectant les règles de priorité. Page 67 apprendre le geste d’ouverture pour se préparer au saut en ouverture commandée. parachute. 1) 1) 2) 2) 3) elle est. 3) poignée. La main droite décrit un mouvement circulaire du corps et vient se placer ouverte sur la poignée témoin. La main chances de tomber dessus. Dans le même temps, vient se placer au-dessus de la tête, dans le plan du corps, pour compenser la perte En OA, ne lâchez pas la poignée. Après l’ouverture, rangez-la dans votre combinaison pour ne pas . L’ensemble du geste doit être Proscrire les gestes saccadés. Page 68 pas trop rapide, ni trop lent. Lâchez immédiatement. Finissez la procédure de secours pour Page 69 1) Ouvrir son parachute 2) Gérer le temps de chute (10 secondes maximum) 3) Chuter stable H de larg. : 1500 m (phase Page 70 La chute. Après une ou deux secondes de chute, si vous avez l’impression de basculer vers l’avant, maintenez la temps. En chute, la perte de hauteur est en moyenne de 300 mètres pendant les 10 premières secondes (c’est 1) Ouvrir sans dépasser le temps. 2) de sécurité. Page 71 En cas de… ou de mouvement des bras et des jambes augmentent les instabilités. Passage dos. - Ne vous contractez pas : plus on se Poignée non trouvée. Tâtonnez avec la main paume bien ouverte (sans que cela dure trop longtemps) Poignée dure. secours. Page 72 en chute Faire un essai pour Passage dos Je reste sur le dos Je tourne toujours et de plus en plus vite Ouvrir sans perdre de temps ou Poignée non trouvée dans le secteur de la poignée Poignée dure Je ne la trouve toujours pas La poignée est toujours dure ou ou Je ne suis toujours pas Page 73 1) Gérer la hauteur (en comptant ou en 2) la perte de hauteur en comptant (au maximum 20 3) Le programme du saut. Essayez de trouver une bonne stabilité, épaules relâchées, cambrez au niveau du bassin, saut. Le temps de chute. secondes puis 50 mètres par seconde. La correspondance entre temps de chute et perte de hauteur est la suivante : 2000 m 10’’ 12’’ 14’’ 16’’ 18’’ 20’’ Perte de hauteur 300 m 400 m 500 m 600 m 700 m 800 m 1700 m 1600 m 1500 m 1400 m 1300 m 1200 m Jambes trop écartées. correctement. (instabilités avant / arrière). Ils proviennent généralement d’une raideur excessive ou/et d’un déséquilibre entre les appuis avant et arrière. Ils disparaissent souvent en quelques sauts. cement d’un bras ou d’une jambe). Le manque de cambrure augmente souvent la raideur quand on débute. Si vous manquez d’envergure (mains trop près du visage), vous allez tourner d’autant plus vite. Ne dépassez pas la hauteur d’ouverture et/ou le temps de chute prévus. Page 74 Page 75 L’écoulement de l’air autour du corps provoque : Un dérapage si tout le corps est incliné. corps sont inclinés en sens contraire Page 76 contraire) ou des tours très lents. Inclinaison des deux mains. Appui du bras intérieur (avec soulèvement du coude extérieur). Inclinaison de toute la ligne des épaules. vement de contre (enclenchement en sens inverse). rapproche du visage). 1) appuis. 2) mi-tours ou des tours complets. 3) autour de vous avant d’ouvrir. pouvez ouvrir. Page 77 jambes pour augmenter les appuis. - extension. peut parcourir 1 km de distance horizontale pour 2500 m de chute. Espacez les départs. pour ne teur, d’autant plus que la vitesse augmente et quelques secondes de dérive lors des premiers ou après vous et risquer une collision. Si vous ne pas de départ en piqué. Le freinage. sécurité). Page 78 l’ouverture de la voilure (schéma ci-dessous). Lâchez l’extracteur le plus loin possible du corps, bras tendu (dans (celui-ci peut venir se placer dans la zone dépressionnaire et turbulente située immédiatement dans votre dos). son ne s’enroule autour de la main. Si cela arrivait, dégagez-la immédiatement. de la drisse de liaison ouvre le sac avant le lâcher de l’extracteur. - Page 79 Ce n’est pourtant pas le cas. ture, le nombre de passages, le nombre de départs par passage, le type de saut, le type de voilure prendre en compte (voir ci-dessus) nous montre qu’il n’en est rien. compétence et de ses responsabilités. - Page 80 Avec les autres usagers de l’aérodrome. Observer la météo. Déterminer l’axe et le point de largage. Déterminer l’ordre des départs. Cadencer (espacer) les départs. Quand il y a plusieurs passages. Quand plusieurs avions larguent en même temps. Avec un avion gros porteur. sauter. Page 81 2) Déterminer l’axe et le point de largage. 2) Assurez-vous que l’espace aérien est dégagé. Les paramètres météo. vantes : Quelle est la couverture nuageuse et le type de nuage ? À quelle hauteur est la base des nuages ? L’orage est-il imminent ? Page 82 La dérive. qui permet de déterminer le point de largage. Vous subissez le vent en chute et parachute ouvert. La dérive calculer la dérive avec beaucoup de précision. En revanche, il est souvent Vent donc pas compte de la vitesse horizontale de la voile. Le résultat obtenu est une moyenne. vitesse tempsde dechute chute vitessedu duvent vent x temps vitesse du vent x temps de descente Hauteur d’ouverture (1000 m) Dérive parachute ouvert Dérive totale A Mètres Dérive en chute B { (secondes) x (mètres/seconde) } + { (secondes) Page 83 x (mètres/seconde) } rain. On peut également prendre des axes vent de travers ou vent arrière. Vent Point de largage Axe vent de travers Zone d’atterrissage Axe vent de face Suivant la dérive, on décale l’axe (si on largue vent de travers) ou le point de largage (si on largue vent Page 84 la vitesse de l’avion par rapport Vitesse propre de l’avion Vitesse de l’avion par rapport au sol Vitesse propre de l’avion Vitesse du vent Vitesse du vent Vitesse propre de l’avion + vitesse du vent. Vitesse de l’avion par rapport au sol Une voilure rapide permet de contrer vite, donc en subissant le vent moins longtemps. Une grande voilure, pas très rapide, recule. permet d’avoir un bon angle de plané Fort vent de face Une petite voilure, plus rapide, avance. culer et ce d’autant plus longtemps que Si la perd en vitesse. conséquence. Page 85 turbulentes. La charge alaire est un paramètre important pour le calcul du point de largage, car elle joue sur le temps de descente parachute ouvert (donc sur la dérive). pour 80 kg, de 7,5 m/s et 3 m/s pour 45 kg. Assurer leur étagement pour qu’ils ne se posent pas tous en même temps. - devez néanmoins savoir que : Ceux qui ouvrent le plus bas partent généralement en premier. Ceux qui ouvrent le plus haut partent généralement en dernier. Après l’ouverture, ne remontez jamais l’axe de largage. Page 86 - - Entre 0 et 7’’, danger. distance). Augmentez l’espacement entre les départs : Quand la hauteur de largage est élevée (le temps de chute et la dérive augmentent). Par vent fort proches que sans vent. Vitesse de largage : 75 kts Vitesse propre de l’avion Espacement de 8 ‘’ Vitesse propre de l’avion Vitesse « sol » Espacement de 8 ‘’ Distance : 300 m Distance : 140 m Page 87 Vitesse « sol » Vent Avec deux minutes d’intervalle entre les passages, ceux du second passage ouvrent, ceux du premier passage sont 500 m plus bas. C’est le minimum pour éviter tout risque de collision entre un chuteur et une voilure. !!!! - tout risque de collision, respectez les hauteurs d’ouverture prévues. d’ouvrir la porte. largage. départ des premiers. opposé au dérapage. Assurez-vous que l’axe de largage (la trajectoire de l’avion) passe par le point de largage. Page 88 - ire Trajecto apparente apparente Avion en montée : horizontale. Page 89 - cer de l’avion. Elle est plus ou moins importante selon : La vitesse de largage, Elle dure entre 8 et 10’’ et la distance horizontale parcourue est d’environ 150 mètres (largage avec un Pilatus). Elle est souvent négligée compte tenu des autres nière beaucoup plus importante le largage. vitesse de largage : 35 m/s (70 kts). Temps de mise en place de l’élève : 4’’. mise en place Mise en place : Page 90 - incompréhension. discerner. Point de largage « 45° à gauche » « 45° à droite » nécessaires. Le GPS ne calcule pas le point de largage, il repère celui que vous avez vous-même déterminé. Il ne donne pas le nombre de passages, l’ordre et l’espacement des départs. Il ne sait pas si l’espace aérien est dégagé. Page 91 aériens. Il existe des phénomènes peu connus comme le givrage sur les avions, d’autres sont invisibles - sécurité. échanges d’énergie qui les accompagnent. ozone, etc.). Les phénomènes météorologiques ont lieu dans les basses couches de l’atmosphère, la troposphère Page 92 : C’est le poids de la colonne d’air située au-dessus du point de mesure s’étendant jusqu’aux limites de l’atmosphère. Unité La pression atmosphérique au niveau de la mer vaut en moyenne : 1013,25 hPa. La pression atmosphérique varie avec le lieu car le réIl y a des zones : De hautes pressions : notés A (associés au beau temps). , De basses pressions : , notées D (associées au mauvais temps). Sur des cartes, on trace des lignes isobares en reliant les points d’égale pression. Elles montrent les La pression atmosphérique est liée au poids de la colonne d’air au-dessus de nos têtes. Plus on monte Elle diminue beaucoup dans les basses couches puis de moins en moins. À 5600 mètres, elle a diminué 8,5 mètres au niveau de la mer. Page 93 La température. : C’est la mesure de la chaleur d’un corps. moléculaire plus ou moins importante. Du soleil et de la terre (magma). Le rayonnement On la mesure avec un thermomètre et sous abris (exposé au soleil, il indiquerait sa . Plus le rayonnement est perpendiculaire au sol, température de l’air. Page 94 Le vent. C’est le déplacement horizontal d’une masse d’air. Il se caractérise par : cardinaux ou en degrés sur la rose des vents. Le manchon comporte cinq anneaux alternant trois rouges et deux blancs. Il est soulevé dans la direc- Page 95 - l’air des hautes vers les basses pressions (de A vers D). C’est le même phénomène que lorsqu’on perce A Force de pression Haute pression Trajectoire du vent D Basse pression Tout objet en mouvement dans l’hémisphère nord est dévié dans un repère tournant (c’est le cas de la terre). Lors de son déplacement des hautes vers les basses pressions, l’air est dévié vers la droite dans l’hémisphère nord et vers la gauche dans l’hémisphère sud. A Force de pression Haute pression D Basse pression Force de Coriolis Trajectoire du vent Page 96 Force de pression Force de Coriolis 1020 1012 1004 996 - Force de pression Force de Coriolis 1020 1012 1004 996 sur la terre que sur l’eau). isobares. largage par rapport au vent au sol. Page 97 nique) et tourne autour des dépressions dans le sens inverse (en rentrant légèrement vers le centre dépressionnaire). - A D Haute pression Basse pression Les brises sol est chaud (c’est le cas des sols secs : hangars, parkings, zones caillouteuses ou sablonneuses, etc.), zone d’ascendance (l’air chaud). La température de l’air La pression atmosphérique Au-dessus d’une Au-dessus d’une Diminue Augmente Augmente Diminue Se soulever (descendre) (monter) On observe des phénomènes de brise en bord de mer, sur les pentes et dans les vallées. Page 98 La brise de mer. La brise de terre. La brise de pente montante. poursuivre son ascension. Il sera remplacé par un La brise de pente descendante. La brise est descendante. Page 99 Le jour, il se produit dans les vallées le même phénomène que pour les brises de pente. Il est d’ailleurs les brises de pente descendantes. La brise de vallée est descendante. - possible de sauter. Page 100 L’intensité de ces phénomènes est d’autant plus grande que : lée, rue, hangars, etc.), il est obligé d’accélérer pour conserver le même débit qu’avant l’étranglement (imaginez une rivière traversant une gorge). ver le débit, l’air doit donc accélérer A B entre deux hangars. c’est une zone de turbulences, d’au- que dans une zone dégagée. Page 101 On appelle Le Turbulence d’origine mécanique (créée par un obstacle). Turbulence d’origine thermique. ments, haies d’arbres, etc.) sur le vent dans les basses couches. l’on risque d’en rencontrer. Page 102 près du sol (sur quelques mètres de hauteur). Il devient turbulent au contact du sol. Ces phénomènes provoquent une légère accé- rencontre alors une inversion, par exemple vent du sud au-dessus de 1 000 m et vent du nord au sol, avec une zone de cisaillede cisaillement, on ressent des turbulences. champ de blé sera, par exemple, rendu plus chaud La vitesse du courant ascendant peut varier de 1 cend moins vite ou plus du tout) ou vers le bas. dissymétrique. Page 103 d’au moins 10 nœuds (5 m/s) sa vitesse moyenne (calculée sur 2 minutes). sein du nuage (cumulonimbus). d’ensoleillement. Les dangers dus au vent. nécessaire. Page 104 Les nuages. - - À cause de turbulences (nuages d’ondes). Cirrus (Ci), Cirrocumulus (Cc), Cirrostratus (Cs), Altocumulus (Ac), Altostratus (As), Nimbostratus (Ns), Stratocumulus (Sc), Stratus (St), Cumulus (Cu), Cumulonimbus (Cb). Page 105 Etalés en voiles ou Nuages Nuage sombre Cirrostratus Cirrus Cirrocumulus Cs Ci Cc Altostratus Altocumulus As Ac Stratus Stratocumulus St Sc des masses d’air stables Pluie durable Ciel serein Peu nuageux Très nuageux Couvert 8/8 Page 106 Cu des masses d’air ins- La couverture nuageuse. Nébulosité 0/8 Cumulus Cumulonimbus Cb Nimbostratus Ns nets, aspect cotonneux Nuage d’orage Parachute ouvert ou en chute, sans visibilité, les risques de collision avec une autre voilure sont réels. La brume On parle de ture du sol. Brume et/ou brouillard peuvent durer plusieurs jours. pas non plus voir les autres voilures qui, sans doute, convergent vers le même point que lui. La forme des nuages. Les nuages de type stratus sont étalés et en nappes. Ils génèrent surtout des problèmes dus au manque Les nuages de type - Le Page 107 machine et ne croient plus les instruments de bord. Étoile des neiges ... mon coeur amoureux ... ! Si un avion traverse la zone de sauts sous la couche de nuages pendant qu’on largue au-dessus, aucun instrument ne permet d’assurer la sécurité. Page 108 Voler au-dessus d’une couche de nuages est d’autant plus dangereux que l’on se trouve en zone mon- C’est pris au piège... De tes grands yeux... une couche de nuages. Si vous traversez un nuage. En chute. Parachute ouvert. nuage pour ouvrir. terrain. proximité. Page 109 Un orage est un phénomène météorologique complexe caractérisé par des décharges brusques d’électricité accompagnées par une lueur brève et intense (l’éclair) et un bruit sourd (le tonnerre). de l’humidité, de l’ensoleillement, Imaginons une bulle d’air chaud animée d’un mouvement ascendant. En montant, sa pression diminue monte aussi longtemps qu’elle est plus chaude que l’air ambiant. Il y a peu d’échange de chaleur entre la bulle et la masse d’air environnante. Les nuages sont des cumulus. d’enclume. Page 110 Déplacement du nuage. bombes nucléaires. Page 111 mètres. La couleur du nuage. Danger quand le nuage devient noir. Des turbulences anormales. brusquement. La présence d’éclairs et de tonnerre. Quand on entend le tonnerre ou quand on voit Le cumulonimbus est le siège de tous les phénomènes météorologiques dangereux : pouvant dépasser 130 km/h. Vous pouvez (souvent plus de 100 km/h). La foudre. Le givrage. Il peut rendre l’avion impilotable. descendre et posez-vous le plus vite possible. Page 112 Page 113 - Pression au sol au niveau de la mer : 1013 hPa (hectopascals). - 1013,25 hPa 899 hPa 850 hPa 795 hPa 701 hPa 616 hPa trique. Retenez que : danger. danger. Page 114 La hauteur - pieds. exemple. 1013,25 hPa. (FL) Hauteur topographique Page 115 - 0 0 l’aérodrome. Faites un schéma pour ne pas vous tromper. 0" 0 Page 116 Page 117 Ne passez pas devant l’hélice. Prenez l’habitude de toujours contourner un avion par l’avant). - - Si les câbles des poignées n’ont pas assez de jeu. Si quelqu’un saisit involontairement une poignée pendant la mise en place pour un saut de groupe. coincé au moment du départ. Ne vous accrochez pas aux structures mobiles de l’avion, porte, volets. Une porte de gouvernes de pilotage. Page 118 urgence sont rares. Un instant de calme permet souvent de ne pas évacuer pour rien. Il arrive que le prend une décision, évitez les ordres contradictoires. Il ne s’agit pas de tous les cas possibles, mais de quelques principes pour réagir. Une même consigne Tout le monde peut sauter. Ouverture immédiate. Occupez-vous de la sécurité : ouverture, espacement, montagne L’avion plane. Agissez sans perdre de temps. de 300 m par minute). L’avion plane mais ne rejoindra pas l’aérodrome. Suivant l’urgence, espacez un peu les départs. Tout le monde ouvre immédiatement. L’avion est dans Il n’est pas certain que tout le monde puisse évacuer. - Page 119 Tête dans les épaules Ça va bien se passer ! Mains sur la nuque. Coudes au corps Si possible dos au sens de la marche. Ouverture du parachute de secours. - Tout le monde saute et ouvre immédiatement le parachute principal. Page 120 de queue). - cédure de secours ; dans d’autres cas c’est impossible. Vous pouvez être inconscient après le choc ou encore (et aussi) emmêlé dans une voilure. Vous n’aurez Plus on se rapproche du sol, plus le risque augmente car tout le monde converge vers un point de ren- Page 121 Quand on est nombreux. sales, embuées ou limitant le champ de vision, etc.). monde converge vers le même point). Faites preuve d’une vigilance constante. - que quelques secondes. Soyez prévoyant. - Prenez rapidement des décisions. de celui-ci s’il y a une zone dégagée. Le plus important est de se poser en sécurité même si ce n’est pas Page 122 voilure. sont espacées de 100 mètres, il ne se passera que 5 secondes avant la collision qui peut être brutale. - ne soient pas trop loin et que tout le monde puisse ainsi rentrer sur le terrain. Si vous êtes dans les ter rapidement vers celui-ci surtout si vous en êtes éloigné. Vous allez alors remonter l’axe de largage ouverts. Page 123 , vous serez largué après vous. 4000 mètres! Vent 1000 mètres! sécurité (100 mètres au minimum) et suivez des trajectoires parallèles. Évitez les trajectoires convergentes. chement seront ainsi plus lentes et vous disposerez d’un peu plus de temps pour réagir. Page 124 - si vous avez ouvert haut ou si vous descendez moins vite que les autres, ainsi : Ou, si vous avez ouvert plus bas ou si vous descendez plus vite que les autres, ainsi : limite les risques de collision. Page 125 Ne vous posez pas en sens contraire des autres. Suivez des trajectoires parallèles en pas de marge de manœuvre. Les plus expérimentés laissent de la place aux moins expérimentés. 09 '" 27 %" ! Piste " Le n° 1 se décale vers la piste (à une distance de sécurité) pour laisser de la place au n°2 1" Le n° 3 raccourcit son circuit et se pose long pour laisser le champ libre : Au n°2 qui est derrière les bâtiments et a peu de marge de manœuvre. 3" Le n° 2 fait son circuit en contournant les bâtiments. Au n° 1 qui arrive en finale et ne peut plus faire demi-tour. Bâtiment 2" Page 126 Piste" 1" 09 %" 27 #" ! En faisant de larges « S » au milieu du terrain, le n° 1 ferme l’axe d’entrée au n° 2. S’il se pose un peu long (trajectoire en pointillé), le n° 1 laisse plus de place au n° 2 pour faire son circuit d’atterrissage. Bâtiment 2" - Page 127 - ment dès le premier saut. À pleine vitesse, elle est variable mais souvent plus d’autres plus rarement. On classe les incidents en grandes - Quand la voilure est ouverte, l’impression de calme contraste avec la chute. Non. La voilure peut s’ouvrir plus ou moins vite, dans l’axe Non. Il y a peu d’accidents, mais on doit toujours être - Elle est généralement comprise entre 100 et 150 m (une ouverture normale dure entre 2 et 3 secondes). Certaines dent augmente la perte de hauteur. Il n’y a pas de nœud ou d’emmêlage dans les suspentes. Le glisseur est en bas. La voilure réagit normalement quand on sur les commandes. Page 128 voir sa voile. - - seur ne descend pas jusqu’en bas. tement si une voilure se rapproche de vous. (noeud) au niveau d’une ou de plusieurs suspentes. C’est alors un incident qui nécessite la procédure de secours. ouvert loin. élévateurs, mais ce n’est pas une raison pour conserver le ce qui peut l’être. C’est un enroulement des suspentes sur elles-mêmes, mise en pression dissymétrique de la voile. Les torsades résorber. momentanée de piloter augmente le risque de collision torsades). Page 129 vitesse augmente légèrement. Quand on a un caisson Tâtonnez avec la main ou recommencez le geste. Suivant son emplacement, vous pouvez regarder la poignée. Si Recommencez le geste. Vous êtes peut-être en train de Si la voile décroche au moment de l’ouverture, elle subit par exemple. Si vous le pouvez, regardez la poignée avant croche dans une suspente. Cet incident est-il résorbable et peut-on voler avec l’ex- poignée. Il n’est pas toujours possible de dégager l’extracteur du en relâchant les commandes. bondissement. voilure est pilotable. Manœuvrez le moins possible avec des mouvements de - Avec un hand deploy, le retard peut provenir d’un mauvais geste, d’un lâcher prématuré de l’extracteur ou d’un secours. des mouvements de bras (comme si on voulait donner l’extracteur. Le retard se résorbe dans la plupart des cas. Bonne ouverture, mauvaise ouverture et non ouverture Non parce que l’on perd rapidement de la hauteur. Si le retout de suite l’impression de calme. Une mauvaise ouver- vous que la voile réagit normalement et ne décroche pas de secours, une ouverture simultanée des deux voilures. Le retard n’exclut pas la probabilité d’un autre incident. ralement, dès que les suspentes sont en tension, on se retrouve debout. Page 130 - Oui, mais ce sont les plus rares. La procédure de secours. rectangulaire. Les suspentes ou les commandes sont emmêlées. Le glisseur est bloqué en haut. rez la principale évite un risque d’emmêlage des deux voilures. La procédure de secours est un tout. Quand mouvement le plus ample possible) et dans le bon ordre balancements ou des instabilités prononcées. Il y a une La vitesse est élevée. poignées soient au bon endroit) et préparez-vous menta- secours. Dans d’autres pays, on préconise de prendre la l’autre. les élévateurs. Beaucoup d’incidents se résorbent. Non. Chacune a des avantages et des inconvénients. Absolument pas. C’est celui qui est sous son parachute qui de secours pour rien que d’hésiter quand c’est nécessaire. - secours. - sur la voile par exemple, d’autant plus qu’elle peut évoluer poids élevé ou des turbulences réduisent la possibilité de voler avec un problème sur la voilure. changez pas de méthode sans raison ou sur les conseils d’une personne qui manque peut-être de recul. Il se peut garder la première méthode apprise. Page 131 de cas’’. (ce sont deux pièces métalliques de même diamètre et - On peut considérer que l’on dispose en moyenne de 5 se- en cas d’incident. En chute libre, on perd 250 mètres en cinq secondes. Non. Il est même conseillé de jeter la poignée du paracours. Cela permet d’avoir les mains libres pour agir plus temps). du secours. - Si vous essayez de vous stabiliser, vous risquez de ne pas y concentré. Quand on commence une procédure de sen’est pas l’idéal, mais il est plus dangereux d’ouvrir trop tard que sur le dos. Oui et non. Oui, parce qu’en-dessous d’un seuil bas, on La procédure de secours n’est pas compliquée si l’on s’en- commande, on n’a pas le choix. Pour éviter que ce problème se pose, respectez les hauteurs d’ouverture et en cas d’incident, agissez sans perdre de temps. - mains derrière les élévateurs et les pousser vers l’avant droite en accompagnement, mais n’inversez pas l’ordre Page 132 Il peut arriver aussi que les commandes soient bloquées, La voilure de secours risque d’accrocher la voilure principale et, dans le pire des cas, de s’emmêler avec celle-ci. Si pale, libérez le plus vite possible. Il y a de grandes chances que tout se passe bien. - l’ouverture et de la mise en œuvre. Cela peut se produire sur une seule commande ou sur les deux. Comme pour ser sur une zone dégagée ? Vais-je pouvoir arrondir sans - secours, par exemple en cas de poignée non trouvée ou de poignée dure. Cela permet de gagner du temps. pale n’est pas ouvert. S’il est ouvert, et même si la voi- Quand la ou les aiguilles du parachute de secours sont complètement. Quand on accroche la poignée involontairement. Lorsque l’on débute, il vaut mieux n’avoir qu’une seule procédure ; cela évite de se tromper. avoir libéré la voilure principale. terrissage violent ; si l’on essaie de libérer la principale, elle peut accrocher la voilure de secours. d’ouverture. Quand elles sont usées, il arrive qu’une compour éviter cet incident. - l’ensemble vole. Faites en sorte qu’elles ne s’écartent augmente beaucoup. On peut tenter de les ramener en On peut piloter certaines ailes avec la commande qui reste ou avec les élévateurs arrière, ce qui demande des sachant les risques que cela comporte). amples. Un virage avec un élévateur arrière demande du secours. mandes ou les élévateurs pour les maintenir en contact. Si l’ensemble vole, manœuvrez le moins possible et gardez Page 133 que pour éviter un obstacle. Lors d’une ouverture accidentelle porte ouverte si la voi- mandes pour ne pas solliciter les voilures en écartement. Si la SOA se coince sous le sac. Cet incident est très rare avec les matériels actuels. voilure principale. impilotable. pas toujours car elle concerne souvent les cloisons intercaissons. Une grande déchirure risque de s’agrandir. Pochute. Si le parachute de secours s’ouvre, la voilure peut se prendre dans l’empennage et rendre l’avion impilotable. Le moniteur a pour consigne de couper la SOA. Si vous le pouvez, montrez-lui que vous êtes conscient (certains - sur axe de largage. point de décrochage remonte. Le danger de ce type d’incident est de s’apercevoir trop cédure de secours tant que vous êtes assez haut. En général, on considère que l’on peut se poser avec au maxiredescendre tout le monde avec l’avion. Quand une suspente casse ou quand une voile subit une déchirure, c’est généralement au moment de l’ouverture mer pendant la descente parachute ouvert, mais elle peut reste en place, il est probable que la voilure se prenne dans l’empennage de l’avion. ger l’avion et ses passagers. Page 134 Quand on n’espace pas assez les départs lors du largage. place. proche au cours d’un saut de groupe. Quand plusieurs avions larguent en même temps et que les largages sont mal coordonnés. porte quand elle est ouverte. que prévu sans le signaler. Si vous avez accroché une suspente, l’extracteur ou le secours. Vous ne pouvez pas rester en chute. l’ouverture, gardez vos équipiers dans votre champ visuel. Avant l’ouverture, assurez-vous qu’il n’y a personne audessus et en-dessous de vous. Oui. Même si c’est très rare. Nous ne sommes pas les seuls portante de la voilure, vous n’aurez peut-être pas d’autre qu’après avoir tout essayé pour vous dégager. ont des torsades, leurs voilures sont impilotables ; près du sol s’il y a du monde en l’air. Les collisions parachute ouvert sont rares mais dange- sous une même voilure. que l’on n’a pas la même sensibilité qu’au sol. Page 135 débrouiller pour aller se poser dans une zone dégagée. Non. Le déclencheur peut tomber en panne. De plus, il ne libère pas la voilure principale. En cas de déclenchement, on se retrouve ouvert entre 250 et 100 m de hauteur. Peut-on ressauter tout de suite après une ouverture par des suspentes peuvent en être la cause. Il arrive que le anodin et s’interroger sur les circonstances et les causes Visez une zone dégagée, limitez les manœuvres, essayez Beaucoup de personnes ont été surprises par la perte de hauteur en cas d’incident et se sont retrouvées très bas. tacle dans une zone exiguë. Non. Sur le terrain, on a des repères habituels. Hors zone, sés, aux vignes, etc. Posez-vous dans la grande longueur d’incident et que l’on dispose de peu de temps. se donne du temps). Répéter régulièrement les consignes d’incident et la procédure de secours. Quelle que soit son expérience, considérer que la priorité est de ne pas perdre de temps. On dispose de quelques secondes pour réagir en cas d’inci- Les systèmes de sécurité. possible. - pare pas du harnais ou quand un mousqueton débrayable s’ouvre. Si une paire d’élévateurs reste en place, le LOR ne provoque pas l’ouverture du secours. voilure au milieu de la piste. vite possible. Page 136 Oui. Toute hélice qui tourne est un danger majeur. Elle peut aspirer une voilure. Oui. Il y a une hauteur limite en-dessous de laquelle on n’a plus le temps d’ouvrir son parachute. On sort, on ouvre et on s’occupe de rejoindre une zone Suivant la hauteur, on ouvre, soit la voilure principale, soit la voilure de secours. voilure principale en ayant pris soin de débrayer le LOR ou le Stevens. Déséquipez-vous dès que possible et rejoignez la rive sans vous occuper du matériel. n’a pas toujours la possibilité de revenir vers le terrain. Il la voile s’accroche, on risque de se retrouver pendu dans lui. est de tomber sans être retenu par l’arbre. Tête rentrée, protégée par les mains. Oui et non. Non dans l’absolu. Oui, parce que chaque anMême si c’est peu, ces problèmes peuvent rapidement devenir dangereux. violent et celui d’un début d’incendie si l’avion subit d’im- En cas de problème sur l’avion rendant la poursuite du vol dangereuse. En premier lieu le pilote, mais en cas de problème grave, Page 137 - 1. A. B. 8. est. Le bord avant de l’aile. Le bord arrière de l’aile. A. B. C. 2. A. B. Le bord avant de l’aile. Le bord arrière de l’aile. 9. 3. A. B. C. Le panneau stabilisateur. Indépendante du vent. A. B. C. Le rapport vitesse sur trajectoire / vitesse 11. A. B. 5. A. B. C. A. B. C. La cloison inter caissons. 4. A. B. C. Indépendante du vent. Une dépression sous l’intrados. Une dépression sur l’extrados. Une surpression sur l’extrados. Au rapport perte de hauteur / distance parcourue. Au rapport distance parcourue / perte de hauteur. 12. A. Vitesse horizontale dans la masse d’air / vitesse B. Vitesse sur trajectoire dans la masse d’air / vitesse C. Vitesse sur trajectoire par rapport au sol / vitesse D. Vitesse horizontale par rapport au sol / vitesse 6. A. B. C. Les suspentes sont toutes de la même longueur. Les suspentes avant sont plus courtes que les suspentes arrière. Les suspentes arrière sont plus courtes que les suspentes avant. 7. A. B. C. La vitesse horizontale. La vitesse qui a pour composantes la vitesse hori- Page 138 13. 22. A. B. A. B. Ne présente aucun danger. 23. Le point de décrochage. 14. Pour faire un virage. A. Je m’assure que la trajectoire est libre, que la hau- A. B. des commandes de manœuvre. B. C. 24. Le point de décrochage. 15. A. B. Est toujours au même niveau. 25. Le décrochage survient. pour tourner. A. B. C. Plus l’inclinaison de la voile augmente. Moins l’inclinaison de voile augmente. L’inclinaison de la voile est indépendante de la manœuvre de mise en virage. 16. A. B. C. Plus le rayon de virage augmente. Moins le rayon de virage augmente. Le rayon de virage est indépendant de la vitesse - A. B. décrochage. Éventuellement avant le point de décrochage dans une zone de turbulences. 26. En cas de décrochage. A. mandes de manœuvre. B. 17. de manœuvre. A. B. C. C. son de la voile. 27. A. La voile subit un balancement vers l’avant, une 18. B. La voile reprend progressivement sa trajectoire A. B. C. Relâcher les commandes brusquement ne présente aucun danger. d’amplitude. 19. 28. A. B. C. A. mandes de manœuvre. B. C. de manœuvre, très doucement. En décrochage. A. 29. B. les commandes de manœuvre. L’aile n’est plus pilotable normalement. 21. Un décrochage. A. B. Ne présente aucun danger. Présente un risque d’accrochage de l’extracteur mandes brusquement. A. B. C. D. A. B. C. Page 139 D. 38. 31. A. A. B. C. Pour revenir sur le terrain par vent nul ou vent arrière, si l’on est loin. La voilure retrouve tout de suite sa trajectoire B. En aucune circonstance. 39. 32. A. B. C. A. Pour revenir sur le terrain par vent nul ou vent arrière, si l’on est loin. B. C. En aucune circonstance. 33. A. A. B. B. calme. 41. C. important. A. B. - important. C. - D. 34. A. B. 42. A. B. C. manœuvre. important. D. 43. important. A. B. 35. avec les commandes. B. C. A. Il est le même. Le point de décrochage est au même niveau que lorsqu’on pilote avec les commandes. Il est plus haut. Il est plus bas. 37. A. B. - 44. 36. A. Quand le pilote est bras hauts. mandes de manœuvre. A. B. C. Quand le pilote est bras hauts. On crée des phénomènes pendulaires. B. C. 45. A. B. C. Page 140 Le produit (temps de chute + temps de descente parachute ouvert) x vitesse du vent. La vitesse du vent. Le temps de chute + le temps de descente parachute ouvert. 46. 53. A. B. C. A. 47. C. de la plus rapide des deux voilures. B. voilures. A. B. Le risque d’être déporté en dehors du terrain augmente. Le risque d’être déporté en dehors du terrain diminue. voilures. 54. au-dessus. A. 48. A. gage et rentrer si l’on est ouvert loin du terrain. B. 55. B. largage et rentrer si l’on est ouvert loin du terrain. En ne tenant compte que du vent. En tenant compte du vent, des zones survolées et dessus de vous. A. 49. A. B. Vous avez la priorité parce que vous êtes le plus bas. Il a la priorité parce qu’il ne vous voit pas. B. Il a la priorité et vous devez lui laisser la place pour rentrer vers la zone de poser. Vous avez la priorité car vous êtes en dessous. 56. Parachute ouvert. A. Ceux qui ont ouvert le plus haut doivent des- A. B. B. autres. Ils doivent essayer de ne pas descendre trop vite 57. C’est le moins expérimenté qui a la priorité. C’est le plus expérimenté qui a la priorité. A. C. B. 51. Parachute ouvert. A. - B. gentes avec une autre voilure. C’est possible si l’on passe juste derrière l’autre voilure. 52. A. B. C. L’un des deux doit dégager sur sa gauche et l’autre sur sa droite. Les deux doivent dégager sur leur gauche. Les deux doivent dégager sur leur droite. C. quelles que soient les circonstances. Il est possible de se poser avec un léger vent de travers. Il vaut mieux se poser vent arrière que vent de travers. 58. A. B. C. D. De se poser au centre de la zone prévue. De se poser en premier. De se poser le plus près possible des autres. De se poser avec une trajectoire dégagée en gardant une distance de sécurité avec les autres voilures. 59. A. B. Page 141 Face au vent, éventuellement en sens contraire par rapport aux autres. 68. une séance de sauts sont. A. B. A. B. C. D. dégagée dans la grande longueur du terrain. C. Uniquement le vent au sol. Uniquement le vent et le risque orageux. le risque orageux. 61. A. B. est de. 69. 50 m/s pendant toute la chute. 300 m pendant les 10 premières secondes puis 50 m/s. A. Au vent du terrain, d’autant plus loin que le vent B. Au vent du terrain, d’autant moins loin que le vent C. Sous le vent du terrain, d’autant plus loin que le D. Sous le vent du terrain, d’autant moins loin que le 62. A. B. De 50 m/s, elle peut dépasser 70 m/s en piqué ou tête en bas. De 50 m/s et ne dépasse jamais 60 m/s. 63. A. B. C. 400 m de hauteur. 550 m de hauteur. 700 m de hauteur. A. B. 71. A. B. 64. A. B. Espacer un peu moins les départs pour compenser la vitesse sol de l’avion. C. 65. A. B. 72. 66. A. B. C. A. Espacer un peu moins les départs que par vent B. C. ner l’espacement des départs. 73. 67. observer. A. B. C. Surtout le vent au sol. A. B. C. Espacer les départs au maximum de 5 secondes. Espacer les départs d’au moins 7 secondes. entre chaque départ. Page 142 74. 82. A. B. A. B. C. - C. espacer davantage les départs. 83. 75. A. A. B. B. menter l’espacement entre les départs. - minuer l’espacement entre les départs. C. C. menter l’espacement entre les départs. D. nuer l’espacement entre les départs. 76. A. B. C. Partent généralement en premier de l’avion. Partent généralement en dernier de l’avion. La hauteur d’ouverture n’a pas d’importance pour l’ordre des départs. 84. A. B. Du nord vers le sud. Du sud vers le nord. 85. 77. A. B. C. Partent généralement en premier de l’avion. Partent généralement en dernier de l’avion. La hauteur d’ouverture n’a pas d’importance pour l’ordre des départs. A. B. C. 0,5 km/h. 2 m/s. 1,8 km/h. 86. 78. A. B. C. A. B. C. En premier. En dernier. C’est sans importance. Est dévié sur la droite dans l’hémisphère nord. Est dévié sur la gauche dans l’hémisphère nord. 87. 79. A. B. haut. A. B. 88. l’axe de largage. des dépressions. A. B. A. B. C. 81. A. B. C. Dans le sens des aiguilles d’une montre. Dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Dans le sens des aiguilles d’une montre. Dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. 89. A. B. Montantes. Descendantes. A. B. Montantes. Descendantes. Page 143 91. A. A. B. De la terre vers la mer. De la mer vers la terre. B. C. 92. A. B. De la brise de mer. De la brise de terre. 93. Les brises sont des vents. A. B. Bien établis, qui changent lentement. A. B. C. A. B. C. de temps. 94. Ne présente aucun danger. Est dangereux. S’il y a une accalmie de vent, c’est que le risque d’orage a disparu. A. ensoleillé. A. B. B. ensoleillé. C. On peut sauter tant qu’il ne pleut pas. On peut sauter tant que le vent ne dépasse pas la limite réglementaire. C. couvert. des éclairs ou du tonnerre. D. 95. A. B. 96. A. B. A. B. En hiver. Au printemps et en été. A. B. C. La nuit. L’après-midi. En atmosphère standard. 97. A. B. C. A. B. C. La vitesse du vent augmente. La vitesse du vent diminue. En atmosphère standard. 98. A. B. Au vent des obstacles. Sous le vent des obstacles. 99. Par vent fort. A. On risque de rencontrer des turbulences près du sol. Il n’y a jamais de turbulences si le vent est laminaire. B. A. B. La pression est de 1013 hPa au sol. La pression est de 1013 hPa au niveau de la mer. A. B. C. La hauteur. C. Page 144 Un niveau de vol. 118. secours est de. A. B. C. La hauteur. A. B. C. Un niveau de vol. 3 mois. 6 mois. 1 an. 119. A. B. A. B. C. Par tout le monde. Pour sauter en parachute. A. 111. obligatoire. B. A. B. C. 121. A. 112. - Doit pouvoir présenter B. technique. A. B. C. La pression a baissé. La pression a augmenté. 113. 122. - A. B. qu’il soit signé. C. A. B. C. La pression a baissé. La pression a augmenté. 114. séances de sauts sont de. A. B. C. 115. A. B. C. Est obligatoire. Est obligatoire uniquement pour les moniteurs. 116. A. B. 117. A. B. C. Le carnet de sauts. L’assurance uniquement. Le carnet de sauts uniquement. L’assurance, le carnet de sauts et le livret du parachute. Page 145 ses brevets et Page 146 1 A 42 A 83 D 2 B 43 B 84 A 3 B 44 A 85 C 4 A 45 B 86 A 5 B 46 A 87 A 6 B 47 A 88 B 7 C 48 A 89 A 8 C 49 B 90 B 9 A 50 B 91 B 10 B 51 A 92 B 11 B 52 C 93 C 12 D 53 C 94 A 13 A 54 B 95 A 14 A 55 A 96 B 15 A 56 A 97 A 16 A 57 B 98 B 17 A 58 D 99 A 18 B 59 A 100 C 19 C 60 B 101 B 20 B 61 B 102 B 21 B 62 A 103 C 22 B 63 B 104 B 23 B 64 B 105 C 24 B 65 A 106 B 25 B 66 C 107 B 26 B 67 A 108 A 27 A 68 D 109 B 28 C 69 A 110 C 29 C 70 B 111 A 30 D 71 C 112 B 31 B 72 B 113 A 32 A 73 B 114 C 33 A 74 C 115 A 34 D 75 C 116 B 35 B 76 A 117 C 36 B 77 B 118 C 37 B 78 A 119 B 38 B 79 B 120 A 39 C 80 B 121 A 40 A 81 A 122 A 41 B 82 A Page 147 Emmanuel ARS : images 3D page 21. Arnaud DUPLESSIER : photos page 42. Jeremy PARSY : photos page 3.