L’orthorexie
L’orthorexie peut se définir comme un besoin obsessionnel et acharné de se nourrir de façon
diététiquement correcte, sans désir d’amaigrissement. Selon les spécialistes américains,
l’orthorexie serait une addiction dont ils qualifient les malades de « Health Food Junkies ».
Littéralement : « les drogués de l’alimentation saine ». La notion de plaisir
est ici totalement absente, les aliments ne sont pas sélectionnés pour leur goût
ma
is seulement pour leurs vertus. L’othorexique rejette en bloc tout ce qui est
comme les graisses, la charcuterie, la viande ou encore le fromage, ce qui entraîne de
nombreuses carences e
n nutriments. Elle peut passer plusieurs heures par jour à penser et
repenser son alimentation, afin d’être sûre de bien se protéger des additifs, des colorants,
des conservateurs… Sa vie sociale en est très affectée, elle ne va ni à la cantine de son
trav
ail, ni au restaurant et refuse les invitations. Elle se jette sans hésiter sur tous les
produits censés être « bons pour la santé » : vitamines, compléments alimentaires, extraits
de protéines ou d’algues… Elle ressent un fort sentiment d’autosatisfaction
lorsqu’elle parvient à ses objectifs, mais beaucoup de culpabilité lorsqu’elle déroge aux
règles. Elle méprise ceux qui ne respectent pas les dogmes de la diététique.
Les conduites restrictives obsessionnelles
Les personnes qui souffrent
sont sans cesse au régime, se restreignent sur les quantités et refusent de manger ailleurs
que chez elles (au restaurant, chez des amis…). En outre, elles n’invitent jamais personne
à pa
rtager son repas. Leur comportement ressemble fortement à celui de l’anorexique, mais
leur poids reste acceptable, puisqu’elles continuent un peu de s’alimenter. Elles sont
néanmoins bien plus maigres que la moyenne.
Le grignotage pathologique
Le grigno
tage consiste à manger, en dehors des repas, de petites quantités de nourriture
prête à l’emploi. Il devient pathologique dès lors que ces quantités forment en fin de
compte un gros volume d’aliments, entraînant un surpoids notable, et qu’il est le symptôm
d’un réel mal-
être. La consommation alimentaire devant la télévision de produits choisis et
aimés en grandes quantités en est le dérapage type. Le
malade n’a aucune notion des quantités qu’il ingère. L’une
des bases du traitement est d’ailleurs de lui en
conscience.
Le grignotage pathologique est
d’un état dépressif et angoissé.
La rumination
En nutrition, ruminer consiste à faire remonter dans la bouche les aliments qui viennent
d’être ingérés pour les déglutir à nouveaux. Ce n’est donc pas un vomissement, puisque le
L’orthorexie peut se définir comme un besoin obsessionnel et acharné de se nourrir de façon
diététiquement correcte, sans désir d’amaigrissement. Selon les spécialistes américains,
l’orthorexie serait une addiction dont ils qualifient les malades de « Health Food Junkies ».
Littéralement : « les drogués de l’alimentation saine ». La notion de plaisir
est ici totalement absente, les aliments ne sont pas sélectionnés pour leur goût
is seulement pour leurs vertus. L’othorexique rejette en bloc tout ce qui est
santé, se basant notamment sur ce que disent médias,
comme les graisses, la charcuterie, la viande ou encore le fromage, ce qui entraîne de
n nutriments. Elle peut passer plusieurs heures par jour à penser et
repenser son alimentation, afin d’être sûre de bien se protéger des additifs, des colorants,
des conservateurs… Sa vie sociale en est très affectée, elle ne va ni à la cantine de son
ail, ni au restaurant et refuse les invitations. Elle se jette sans hésiter sur tous les
produits censés être « bons pour la santé » : vitamines, compléments alimentaires, extraits
de protéines ou d’algues… Elle ressent un fort sentiment d’autosatisfaction
lorsqu’elle parvient à ses objectifs, mais beaucoup de culpabilité lorsqu’elle déroge aux
règles. Elle méprise ceux qui ne respectent pas les dogmes de la diététique.
Les conduites restrictives obsessionnelles
Les personnes qui souffrent
de conduites restrictives obsessionnelles fuient les calories. Elles
sont sans cesse au régime, se restreignent sur les quantités et refusent de manger ailleurs
que chez elles (au restaurant, chez des amis…). En outre, elles n’invitent jamais personne
rtager son repas. Leur comportement ressemble fortement à celui de l’anorexique, mais
leur poids reste acceptable, puisqu’elles continuent un peu de s’alimenter. Elles sont
néanmoins bien plus maigres que la moyenne.
Le grignotage pathologique
tage consiste à manger, en dehors des repas, de petites quantités de nourriture
prête à l’emploi. Il devient pathologique dès lors que ces quantités forment en fin de
compte un gros volume d’aliments, entraînant un surpoids notable, et qu’il est le symptôm
être. La consommation alimentaire devant la télévision de produits choisis et
aimés en grandes quantités en est le dérapage type. Le
malade n’a aucune notion des quantités qu’il ingère. L’une
des bases du traitement est d’ailleurs de lui en
faire prendre
Le grignotage pathologique est
souvent révélateur
d’un état dépressif et angoissé.
En nutrition, ruminer consiste à faire remonter dans la bouche les aliments qui viennent
d’être ingérés pour les déglutir à nouveaux. Ce n’est donc pas un vomissement, puisque le
L’orthorexie peut se définir comme un besoin obsessionnel et acharné de se nourrir de façon
diététiquement correcte, sans désir d’amaigrissement. Selon les spécialistes américains,
l’orthorexie serait une addiction dont ils qualifient les malades de « Health Food Junkies ».
Littéralement : « les drogués de l’alimentation saine ». La notion de plaisir
est ici totalement absente, les aliments ne sont pas sélectionnés pour leur goût
is seulement pour leurs vertus. L’othorexique rejette en bloc tout ce qui est
santé, se basant notamment sur ce que disent médias,
comme les graisses, la charcuterie, la viande ou encore le fromage, ce qui entraîne de
n nutriments. Elle peut passer plusieurs heures par jour à penser et
repenser son alimentation, afin d’être sûre de bien se protéger des additifs, des colorants,
des conservateurs… Sa vie sociale en est très affectée, elle ne va ni à la cantine de son
ail, ni au restaurant et refuse les invitations. Elle se jette sans hésiter sur tous les
produits censés être « bons pour la santé » : vitamines, compléments alimentaires, extraits
de protéines ou d’algues… Elle ressent un fort sentiment d’autosatisfaction
et de contrôle
lorsqu’elle parvient à ses objectifs, mais beaucoup de culpabilité lorsqu’elle déroge aux
règles. Elle méprise ceux qui ne respectent pas les dogmes de la diététique.
de conduites restrictives obsessionnelles fuient les calories. Elles
sont sans cesse au régime, se restreignent sur les quantités et refusent de manger ailleurs
que chez elles (au restaurant, chez des amis…). En outre, elles n’invitent jamais personne
rtager son repas. Leur comportement ressemble fortement à celui de l’anorexique, mais
leur poids reste acceptable, puisqu’elles continuent un peu de s’alimenter. Elles sont
tage consiste à manger, en dehors des repas, de petites quantités de nourriture
prête à l’emploi. Il devient pathologique dès lors que ces quantités forment en fin de
compte un gros volume d’aliments, entraînant un surpoids notable, et qu’il est le symptôm
e
être. La consommation alimentaire devant la télévision de produits choisis et
En nutrition, ruminer consiste à faire remonter dans la bouche les aliments qui viennent
d’être ingérés pour les déglutir à nouveaux. Ce n’est donc pas un vomissement, puisque le