CONFERENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DEVELOPPEMENT
Rencontre informelle sur la gestion des affaires internationales :
le commerce dans le contexte de la globalisation de l'économie mondiale
Djakarta
(Indonésie),
19 et 20 juin 1991 */
ésent résumé a été établi par le secrétariat de la CNUCED dans
xe caare ae ia préparation de la huitième session de la Conférence et il est
distribué aux délégations pour information. Il ne vise pas à rendre compte en
détail des opinions exprimées par les participants et il ne reflète pas
nécessairement celles du secrétariat.
UNCTAD VIII/5
GE.91-51563/4062B
- 2 -
INTRODUCTION
1. Dans le cadre de la préparation par le secrétariat de la CNUCED, de la
huitième session de la Conférence, des experts indépendants et gouvernementaux
ont participé à titre personnel à une rencontre informelle sur le thème
"Gestion des affaires internationales : le commerce dans le contexte de la
globalisation de l'économie mondiale", qui
s'est
tenue à Djakarta (Indonésie)
les 19 et 20 juin 1991 (voir la liste des participants
ci-jointe).
La rencontre a été organisée par la CNUCED, accueillie par le Gouvernement
indonésien et cofinancée par le Gouvernement japonais. Elle avait pour but :
i) de promouvoir un échange de vues sur la notion de globalisation;
ii) d'examiner les incidences de la globalisation sur l'évolution du commerce
international et sur les différentes formes d'interdépendance; iii) d'étudier
la contribution
d'une
bonne gestion des affaires internationales à l'action
entreprise pour que la globalisation bénéficie à tous les pays et, en
particulier, aux pays en développement.
I. GLOBALISATION : UNE EVALUATION
2.
Au cours des quelques dernières années, l'économie mondiale a subi toute
une série de secousses et de transformations qui en ont rendu le comportement
moins prévisible mais les possibilités et les enjeux plus nombreux.
La nécessité d'améliorer la gestion des affaires internationales est ressentie
avec une acuité particulière dans le domaine du commerce.
3. Beaucoup de changements survenus tout récemment dans le secteur
du commerce international constituant un défi d'ordre intellectuel tout autant
que pratique pour les dirigeants, les négociateurs et les analystes qui se
préoccupent des questions commerciales, il est souvent difficile de les
aborder de façon concrète et directe. Les débats menés dans le cadre de la
rencontre informelle ont toutefois permis d'examiner un ensemble
particulièrement varié de situations pratiques et de cas précis, qui ont
montré que des questions telles que la "globalisation" et "la gestion des
affaires internationales" étaient nécessaires à tout débat productif sur
l'avenir du système commercial international.
4.
D'emblée, les participants ont souligné que, dans le domaine du commerce,
l'actuel processus de transformation, généralement qualifié
de "globalisation", rendait d'autant plus brûlante et délicate la question de
la gestion des affaires internationales.
1. Principales caractéristiques
5. Au cours des 20 dernières années, en raison surtout du progrès des
techniques de l'information, les relations économiques internationales ont été
soumises à un ensemble de tendances généralement résumées sous le terme de
"globalisation". Ce phénomène peut être considéré comme le dernier de trois
"niveaux d'internationalisation". Chronologiquement, le premier a été celui du
commerce international. Ensuite, pendant les années 70, on a vu apparaître
rapidement un deuxième niveau, que les analystes ont qualifié d'"intégration
financière", où le volume des investissements internationaux a dépassé celui
des échanges. Enfin, au début des années 80, un troisième niveau
(la globalisation) est venu se superposer aux deux premiers, en faisant de
- 3 -
la technologie (et notamment de la technologie de l'information) un élément
indispensable de la concurrence. Les alliances stratégiques entre les
entreprises et l'exploitation généralisée de réseaux d'information planétaires
préfigurent une redistribution des avantages comparatifs où l'innovation
continue et la souplesse des structures apparaissent comme des conditions
essentielles de rentabilité. L'examen de la question de l'interdépendance
exige donc désormais que l'on s'intéresse, outre au commerce et aux finances,
au rôle de la technologie, ainsi qu'aux fondements et aux incidences des
"stratégies globales" des entreprises privées.
6. La globalisation constitue un processus contradictoire, où les tendances
à l'intégration mondiale (par exemple, des marchés financiers) coexistent avec
une régionalisation croissante et des tendances à la fragmentation, notamment
avec l'adoption de normes et de procédures incompatibles et concurrentes dans
les secteurs dominés par des réseaux exclusifs.
2.
Conséquences pratiques
7.
Bien qu'ils aient déclaré avoir quelques difficultés à comprendre le
concept et à définir le processus, les participants sont convenus en général
que la globalisation faisait intervenir des phénomènes qui influaient sur les
relations économiques internationales dans tous les secteurs. Ces phénomènes
étaient notamment : l'intégration intersectorielle au niveau des économies
nationales et de l'économie mondiale; la mobilité croissante des facteurs de
production; l'internationalisation rapide de la production et de l'expansion
du commerce; la distinction de plus en plus floue entre des politiques visant
différents objectifs, telles que les politiques industrielles, d'un côté, et
les politiques de concurrence ou les politiques commerciales, de l'autre, ou
entre les politiques de concurrence et les politiques commerciales, etc. Dans
une large mesure, ces phénomènes sont dus :
a) Au progrès technique en général, qui influe sur la compétitivité
dans tous les secteurs, et à la technologie de l'information en particulier,
qui est en train de modifier la façon dont les entreprises et les nations
commercent entre elles;
b) A l'apparition de réseaux privés mondiaux, qui modifient la façon
dont les entreprises se concurrencent. Par réseaux on entend non seulement les
moyens de communication, mais aussi les instruments d'organisation permettant
à ceux qui font partie des réseaux d'en mobiliser les ressources aux fins de
divers objectifs, ce qui crée de nouveaux avantages comparatifs;
c) Aux changements concernant les stratégies des entreprises, qui se
caractérisent désormais par une coopération plus intense, à l'intérieur des
réseaux,
d'une
part, et par une concurrence plus vive entre les réseaux,
d'autre part.
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_ 5 -
de mesures appropriées, la régionalisation risque de créer des blocs
commerciaux, elle peut aussi ouvrir la voie à un multilatéralisme plus
efficace : les problèmes survenant au niveau régional pourraient être résolus
d'abord à ce niveau, puis les solutions élargies au niveau multilatéral.
En outre, la régionalisation observée revêtait différentes formes, avec des
implications différentes pour les relations multilatérales. Certaines étaient
principalement impulsées par les marchés (courants financiers et
technologiques) - cas du Japon, des NPI et des pays de l'ANASE; d'autres, par
des politiques (commerciales, etc.) - cas des Etats-Unis et du Canada et
peut-être aussi du Mexique et de l'Amérique latine; d'autres encore, par des
considérations d'ordre politique ou une combinaison des facteurs précités -
Communauté économique européenne, Europe orientale, AELE, Afrique du Nord.
11.
Enfin, certains participants ont souligné que la globalisation économique
n'était qu'une dimension d'un mouvement plus large qui influait sur tous les
aspects de la condition humaine. Des questions telles que la démographie,
l'emploi, l'éducation, la pauvreté, les maladies endémiques et la dégradation
de l'environnement devaient être abordées à un niveau global et relevaient
donc de la gestion des affaires internationales.
11.
LE COMMERCE DANS LE CONTEXTE DE LA GLOBALISATION DE L'ECONOMIE MONDIALE
12.
La globalisation
s'étant
limitée jusque-là à un petit nombre de pays
développés et pays en développement, ce n'était que maintenant - ont estimé
les participants - que l'on commençait à analyser et à comprendre les
relations entre cette tendance et le commerce. Pour la plupart des pays en
développement, qui restaient essentiellement des exportateurs de produits de
base,
il était difficile de voir en quoi la globalisation pouvait les toucher
concrètement et comment, donc, elle pourrait les aider à formuler leurs
politiques.
Il a cependant été généralement reconnu que, pour tous les
pays,
la globalisation était porteuse non seulement de possibilités nouvelles, mais
aussi de nouveaux défis.
1. Redistribution des avantages comparatifs
13.
Parmi ces possibilités et ces défis, ont été mentionnées la création de
nouveaux avantages compétitifs grâce à la mobilité accrue des facteurs de
production et aux innovations continues, à une croissance soutenue de la
productivité et au perfectionnement des procédés de production, ainsi que les
possibilités croissantes d'intégration Sud/Sud et de participation des petits
pays et des petites entreprises à l'économie mondiale.
14.
Toutefois, la mesure dans laquelle les pays ou leurs entreprises
pourraient tirer profit de cette évolution dépendrait du degré de leur
intégration actuelle ou future, aux courants mondiaux des échanges, des
investissements et de la technologie. A cet égard, divers facteurs pouvant
faciliter ou limiter cette intégration ont été évoqués. Le niveau général de
développement économique, le niveau et le genre de qualifications disponibles
et l'existence d'infrastructures appropriées étaient d'importants facteurs
déterminants de la capacité d'intégration d'un
pays.
Quant au rôle des
politiques intérieures, dont l'importance a été soulignée par plusieurs
participants, il a été rappelé qu'il avait déjà été largement étudié au cours
d'une
autre rencontre informelle entièrement consacrée à la gestion des
affaires nationales 2/.
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