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Jean-Luc Minel, ingénieur de recherche au CNRS, et Philippe Laublet, maître de
conférence, tous les deux membres de l’équipe Langage, Logique et Cognition
(LALIC) du Centre d’Analyses Mathématiques et Sociales (CAMS : UMR 17 CNRS,
EHESS, Paris-Sorbonne), qui sont toujours disponibles pour mener des discussions
avec les doctorants. Ils ont suivi la progression de mon travail et ont accepté de
relire les versions intermédiaires de ma thèse. Les discussions que j’ai pu avoir avec
eux et les remarques qu’ils ont pu me faire se retrouvent tout au long de ces pages.
Valérie Flageul, Cyril Valliez, Delphine Battistelli, Florence Le Priol et Brahim
Djioua, jeunes chercheurs de l’équipe LALIC, avec qui j’ai eu de nombreuses
discussions passionnées et qui m’ont permis d’approfondir ou d’éclaircir un certain
nombre de points théoriques. Cyril Valliez a en particulier partagé avec moi la
responsabilité d’un enseignement d’informatique pour les étudiants du DEA
intitulé Mathématiques et Informatique appliquées aux sciences de l’homme (MIASH).
Cette expérience partagée m’a fait comprendre au plus près la puissance du
formalisme de la Logique combinatoire pour la représentation des langues.
Les jeunes chercheurs et les chercheurs confirmés de l’équipe LALIC dans leur
ensemble, qui, par leur gentillesse et l’ambiance stimulante qu’ils ont su créer, ont
permis que chaque réunion ou chaque discussion improvisée apporte matière à ma
réflexion.
Nathalie Aussenac, chercheur CNRS de l’Institut de recherche en informatique de
Toulouse (IRIT), avec qui j’ai eu un énorme plaisir à travailler, pour la modeste
expérience que nous avons menée en commun dans l’exploitation des résultats
fournis par le système COATIS pour la modélisation des connaissances et pour les
fructueuses discussions qui m’ont permis de réfléchir sur l’activité d’acquisition et
de modélisation des connaissances.
Anne Condamines, chercheur CNRS dans l’Équipe de recherche en syntaxe et
sémantique (ERSS) de Toulouse, qui a toujours analysé mon travail avec sérieux et
dans le détail et dont les remarques m’ont toujours permis d’affiner les résultats et
d’argumenter sur les choix d’orientation que prenait peu à peu ma recherche.
Houssem Assadi, doctorant dans le groupe SOAD, qui exploite les résultats du
système COATIS avec un outil qu’il développe dans le cadre de sa thèse. Les
résultats qu’il en tire apportent de la matière à la réflexion sur la pertinence du
système COATIS.
Les ingénieurs et les doctorants du groupe SOAD, trop nombreux pour être cités ici
et qui malgré leur activité éloignée de mon sujet de thèse (la plupart travaillent dans
le domaine des statistiques ou de l’optimisation) se sont toujours intéressés à mon
travail et m’ont toujours soutenue.
a rédaction d’une thèse de doctorat nécessite un environnement scientifique
riche comme le montre la longue liste de remerciements qui précède et qui ne
mentionne que les principaux protagonistes. Cependant, la recherche menée s’étend
sur plusieurs années et par conséquent les facteurs qui permettent d’aboutir à la
L
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