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2013/2014 Tutorat UE 7 – Concours blanc n°2 2 / 7
D. Une critique que l’on pourrait apporter à l’inductivisme est le fait que l'observation y est
considérée comme neutre.
E. L’inductivisme propose des modèles qui sont figés dans le temps.
QCM n°5 : A propos de l’histoire de l’anatomie et de la médecine :
A. Dans l’Antiquité, la connaissance précise de l’anatomie des organes internes a permis l’avènement
de la physiologie.
B. Dans la Rome Antique, la médecine a longtemps été considérée comme dégradante et était réservée
aux étrangers et aux esclaves.
C. Les premiers textes médicaux sont bien antérieurs à la date d’apparition de l’écriture (3000 av. JC).
D. Au XIXème et au XXème siècles, les avancées en matière d’imagerie médicale se font longtemps après
les avancées de la physique dans ce domaine.
E. Durant le Moyen-Âge, la médecine arabo-musulmane à une place prépondérante au sein du monde
médical.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.
QCM n°6 : Concernant la maladie, choisir la ou les propositions exactes :
A. Il peut exister du sickness sans illness ni disease.
B. Au niveau des visons profanes, il est commun que la santé nécessite une interprétation.
C. Dans la pensée profane, la maladie est pensée sous 3 critères : gravité, durée, symptômes.
D. Selon la pensée paternaliste, le malade n’étant pas considéré comme responsable de son état, il
n’est pas tenu d’adopter le rôle de malade.
E. Dans le cadre des maladies aiguës, on a une vision éradicatrice de la maladie, alors qu’avec les
maladies chroniques on a une vision extensive de la maladie.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.
QCM n°7 : Concernant la santé, choisir la ou les propositions exactes :
A. Les définitions de la santé sont multiples et subjectives.
B. Selon l’anthropologie, la santé n’a pas besoin d’interprétation, contrairement à la maladie qui est
toujours considérée comme un évènement.
C. De nos jours, la santé n’est plus pensée en opposition à la maladie, on doit anticiper ce qui pourrait
être un obstacle à sa réalisation : c’est la politique de gestion des risques.
D. La définition de la santé par l’OMS sous-entend la santé comme une norme globale à laquelle
chaque individu doit se rapprocher en fonction de ses propres possibilités.
E. La santé, en tant que bien premier, pose le problème de sa suprématie envers les autres biens.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.
QCM n°8 : Concernant la relation de soin, choisir la ou les proposition(s) exacte(s) :
A. Le serment d’Hippocrate instaure des principes déontologiques au niveau de la relation de soin.
B. La répartition du soin doit être le résultat d’une réflexion, c’est le principe de justice.
C. La théorie de Canguilhem place la clinique au cœur de la relation, où le médecin et la personne
malade s’adaptent aux normes du patient.
D. Le paternalisme est nécessaire dans certaines situations, afin que le patient adopte le rôle de malade
est parvienne à la guérison.
E. Dans l’ère des maladies chroniques, le principe d’autonomie revendiqué par les patients, est une
forme de refus de l’autorité.
F. Toutes les propositions précédentes sont fausses.
QCM n°9 : Concernant l’organisation de la santé publique en France, choisir la ou
les proposition(s) exacte(s) :
A. Le Haut Conseil de Santé Publique émet un avis sur le calendrier vaccinal publié par l’Institut de
Veille Sanitaire.
B. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé veille à offrir un accès
équitable à l’innovation médicale pour tous les patients.
C. La Haute Autorité de Santé promeut les bonnes pratiques et le bon usage des soins auprès des
professionnels et des usagers de santé.