Un assouplissement monétaire mondial (deuxième trimestre)

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Stratégies boursières des
portefeuilles de FNB BMO
Deuxième trimestre de 2 0 1 5
Un assouplissement
monétaire mondial
Alfred Lee, CFA, CMT, GSPD
Vice-président, FNB BMO
Gestionnaire de portefeuille et stratège
en placement
BMO Gestion d’actifs inc.
[email protected]
Dans ce numéro :
Événements récents................... 1
Points à surveiller.......................2
Changements apportés à la
stratégie de portefeuille...........3
Statistiques et positions
de portefeuille...........................4
Caractéristiques du portefeuille...5
Bons points, mauvais points
et points menaçants..................6
Sauf indication contraire, tous les cours
et les rendements indiqués sont les
cours et les rendements à la clôture des
marchés le 15 avril 2015.
Dans ce numéro, nous résumons nos stratégies et tactiques de positionnement de portefeuille pour le
deuxième trimestre à l’aide de divers fonds négociables en bourse BMO. Nos principaux changements
de nature stratégique sont indiqués tout au long du rapport ainsi que dans nos perspectives
trimestrielles qui se trouvent en page 6.
• La probabilité implicite de voir la Réserve fédérale américaine (la Fed) relever son taux du financement à un jour
à 0,75 % d’ici la réunion du comité FOMC qui se tiendra en décembre a baissé très légèrement dans les six derniers
mois. Par contre, la probabilité de voir le taux à un jour monter à 0,50 % d’ici la même date a augmenté sensiblement.
(Graphique A) Voilà qui est conforme à nos prévisions de base, car nous pensons que la Fed ne relèvera pas son taux
de plus de 0,25 %; elle pourrait même décréter des hausses graduelles d’un huitième de point de pourcentage pour y
arriver. Toutefois, si la conjoncture économique mondiale continue de se détériorer, la Fed ne devrait pas bouger en
2015 quand bien même sa propre économie continuerait de montrer des signes d’embellie.
• Soucieuses de contrer le prix moins élevé du pétrole, les tensions déflationnistes et une croissance économique
atone, plus de 20 banques centrales ont abaissé leur taux directeur depuis le début de l’année, tant et si bien que
la courbe des taux de la plupart des obligations souveraines continuera de s’aplatir. Aussi, un certain nombre
de monnaies ont-elles perdu passablement de valeur par rapport au dollar américain, la Fed étant la seule banque
centrale importante à pouvoir relever les taux. Comme l’embellie de l’économie américaine se poursuit, le billet vert
restera sans doute robuste sur l’horizon à long terme. Par contre, dans le court terme, l’indice du dollar américain
semble techniquement surévalué, le billet vert s’étant déjà apprécié de 9,5 % depuis le début de l’année. Le marché a
déjà anticipé une majoration de taux plus probable de la part de la Réserve fédérale, de sorte que le dollar américain
pourrait faiblir dans le court terme si jamais la Fed décidait d’attendre jusqu’en 2016 pour relever son taux à un jour. • La baisse du prix du pétrole s’explique par la surabondance de l’offre, puisque l’OPEP (Organisation des pays
exportateurs de pétrole) refuse de freiner sa production. Le nombre de puits suit toujours une tendance baissière
aux États-Unis à cause de la diminution des marges, phénomène qui a contribué à stabiliser le prix du pétrole. Le prix
du Brent et celui du West Texas Intermediate (WTI) semblent avoir trouvé leur plancher en janvier et suivent une
tendance haussière depuis, malgré le cumul de l’offre aux États-Unis. Nous ne prévoyons pas de forte hausse durant le
trimestre qui vient, cependant, puisque la prochaine réunion de l’OPEP se tiendra début juin et que les pays membres
décideront sans doute de maintenir la production aux niveaux actuels. Justement, aux niveaux actuels de l’offre, la
demande ne suffit tout simplement pas à faire grimper le prix beaucoup plus haut.
• Le prix peu élevé de l’or noir continuera de peser sur l’économie canadienne. L’impact immédiat se fera sentir sur
le secteur de l’énergie; toutefois, plus le prix du pétrole restera bas, plus on risque de voir l’ensemble de l’économie
en subir les contrecoups. Comme l’endettement des ménages au Canada atteint déjà des sommets historiques, le
consommateur canadien pourrait hésiter à grever davantage son bilan personnel. Voilà qui devrait nuire aux dépenses
de consommation discrétionnaires et, donc, aux secteurs plus cycliques de l’économie. Par voie de conséquence, les
titres moins volatils au Canada devraient continuer à mieux faire.
• Devant l’incertitude accrue qui guette l’économie canadienne, l’investisseur canadien aurait sans doute
avantage à diversifier son portefeuille avec des titres internationaux et américains. À l’heure où la
valorisation des actions américaines devient excessive, nous cessons de surpondérer ce marché et passons au
point neutre. Nous devenons plus optimistes à l’endroit des actions internationales et continuons d’augmenter
la part vouée aux sociétés internationales qui versent des dividendes. Dans les derniers trimestres, nous
avons diminué notre présence au Canada et aux États-Unis en faveur de sociétés internationales qui versent
des dividendes et d’actions européennes de meilleure qualité. Depuis le début de l’année, les actions
internationales ont mieux fait, la part du lion pour le rendement total revenant à l’Europe (graphique B).
Graphique A : Probabilité implicite du taux à un jour de la Fed
40 %
Aujourd’hui
Il y a 6 mois
Probabilité implicite
35 %
Graphique B : Comparaison entre les diverses régions
18 %
(rendement total en cumul annuel)
16 %
30 %
14 %
25 %
12 %
En monnaie locale
en dollars CA
10 %
20 %
8%
15 %
6%
10 %
4%
5%
0%
FONDS NÉGOCIABLES EN BOURSE BMO
2%
0
0,25
0,5
0,75
1
1,25
1,5
1,75
Taux à un jour d’ici la réunion du FOMC en déc. 2015
Source : BMO Gestion d’actifs inc., Bloomberg
2
0%
MSCI Monde
S&P 500
S&P/TSX
Source : BMO Gestion d’actifs inc., Bloomberg
MSCI Europe
MSCI AsiePacifique
MSCI ME
MSCI EAEO
Stratégies boursières des portefeuilles de FNB BMO – Deuxième trimestre de 2015
Points à surveiller
1,3
Un peu comme l’ensemble des analystes du marché, nous pensons que la Fed
resserrera l’étau monétaire au fur et à mesure que l’année avancera. Cependant,
comme la probabilité implicite de voir la Fed hisser son taux à un jour à 75
pb d’ici janvier 2016 se situe à 19,2 % à l’heure actuelle, nous pensons que les
prévisions du marché vont beaucoup trop loin. Nous estimons plutôt que la
Fed fera preuve de patience dans la majoration de son taux à un jour et qu’elle
pourrait le faire à coups de 1/8e de point, et non à coupsd’un quart de point
comme elle le fait d’habitude, tant et si bien que son taux à un jour sera sans
doute inférieur à 75 pb en janvier prochain. Si une hausse de taux survenait à la
fin de 2015, un deuxième tour de vis suivrait sans doute beaucoup plus tard, car
la Fed deviendrait vraisemblablement attentiste. Nous avons beau penser que le
dollar américain restera vigoureux sur l’horizon à long terme, son mouvement
récent donne plutôt à penser qu’il est techniquement surévalué à l’heure
actuelle, en particulier par rapport au huard.
$ US/$ CA
1,25
Ind. de la vigueur relative (14 j.) à la clôture
1,2
1,15
1,1
1,05
1
100
50
Recommandation : Un bon du Trésor canadien à 1 an qui se négocierait à 59,7
pb indiquerait qu’une deuxième majoration de taux décrétée par la Banque du
Canada (BdC) est déjà anticipée par le marché. Certains participants au marché
s’attendent aussi à une troisième baisse qui ramènerait le taux à un jour à 0,25 %
d’ici la fin de l’année. Un peu comme aux États-Unis, où le marché se montre trop
audacieux dans ses prévisions d’un resserrement de la politique monétaire, le
marché canadien s’avance un peu trop lorsqu’il prévoit un assouplissement de la
part de la BdC. En conséquence, nous pensons que le dollar canadien gagnera du
terrain dans le court terme et que le billet vert continuera de s’affermir sur le long
terme. Les investisseurs qui privilégient le court terme pourraient envisager les
FNB couverts contre le risque de change lorsqu’ils cherchent à placer leur argent
aux États-Unis, alors que les investisseurs qui privilégient le long terme devraient
opter encore pour l’absence de couverture de change.
Mars 2015
Févr. 2015
Déc. 2014
Janv. 2015
Oct. 2014
Nov. 2014
Sept. 2014
Juil. 2014
Août 2014
Mai 2014
Juin 2014
Avril2014
Mars 2014
Févr. 2014
Janv. 2014
Déc. 2013
Oct. 2013
Nov. 2013
Août 2013
Sept. 2013
Juil. 2013
Juin 2013
0
Source : BMO Gestion d’actifs inc., Bloomberg (l’indice de la vigueur relative - 14 jours – à la clôture est un indicateur technique de
momentum qu’on utilise pour déterminer les seuils de titres surachetés et de titres survendus).
Le prix très faible du pétrole est un problème qui est lié à l’offre, car l’OPEP
refuse de sabrer sa production. À notre avis, ce déséquilibre prendra un
certain temps à se résorber. Le prix du pétrole ne devrait pas revenir de sitôt
aux niveaux de 2014, parce qu’il y a aujourd’hui surabondance de l’offre aux
États-Unis et que les stocks atteignent des sommets jamais atteints depuis près
d’un siècle. Les prix du Brent et du WTI ont baissé respectivement de 48,7 %
et 50,3 % par rapport à leur sommet de 2014; toutefois, les prix semblent avoir
trouvé leur plancher et se négocient essentiellement dans une mince fourchette
depuis janvier. Comme les prix restent très faibles, les marges bénéficiaires
vont rétrécir et pousser naturellement certains producteurs nord-américains à
ralentir leurs activités d’exploitation, ce qui, tôt ou tard, diminuera l’offre aux
États-Unis. 120 $
90 $
80 $
70 $
60 $
Avril 2015
Mars 2015
Févr. 2015
Janv. 2015
Déc. 2014
Nov. 2014
Oct. 2014
Sept. 2014
Août 2014
Mai 2014
Avril 2014
40 $
Juil. 2014
West Texas Intermediate (WTI)
Brent
50 $
Juin 2014
Prix ($ US le baril)
110 $
100 $
Source : BMO Gestion d’actifs inc., Bloomberg
La Bourse de Hong Kong sert de porte d’entrée au marché boursier chinois
du continent, un marché en grande partie fermé aux investisseurs étrangers.
Le programme Shanghai-Hong Kong Stock Connect est une voie d’accès
transfrontalière pour les placements; il accorde aux investisseurs de Hong Kong
un quota quotidien qui leur permet d’investir sur le continent, et vice-versa.
Le 8 avril , le volume des opérations de placement en provenance de Chine
continentale pour l’achat d’actions à la Bourse de Hong Kong a atteint, pour la
première fois, son quota quotidien maximal. L’explication tient au fait que les
investisseurs voulaient acheter des « actions H » cotées à la Bourse de Hong
Kong; celles-ci s’échangent actuellement au rabais par rapport aux actions
équivalentes qui se négocient sur le continent, soit les « actions A ».
160
150
140
130
120
110
100
90
Source : BMO Gestion d’actifs inc., Bloomberg
Déc. 2014
Avril 2015
Avril 2014
Août 2014
Déc. 2013
Août 2013
Avril 2013
Déc. 2012
Août 2012
Avril 2012
Déc. 2011
Août 2011
Avril 2011
Déc. 2010
Août 2010
Avril 2010
Déc. 2009
Août 2009
80
Avril 2009
Prime ou escompte des actions A-H
Recommandation : Au dernier trimestre de 2014, nous avions ajouté le
FINB BMO équipondéré S&P/TSX pétrole et gaz (ZEO) à notre stratégie
de portefeuille à titre de position tactique à hauteur de seulement 3,0 % de la
stratégie de portefeuille. Depuis lors, le ZEO a rapporté 14,0 % en rendement
total. Même si nous ne croyons pas que le prix du pétrole parvienne même
à se hisser à 85 $ US le baril cette année, le gros de l’humeur maussade des
investisseurs a déjà été pris en compte. Le ZEO a un taux de rendement de 3,9
%, et le niveau de confiance accru pourrait lui donner un coup de pouce au plan
technique.
Recommandation : Puisque le rabais global restant sur les actions H par rapport
aux actions A demeure passablement prononcé, le mouvement haussier des
actions cotées à la Bourse de Hong Kong pourrait se maintenir. Les certificats
américains d’actions étrangères (« ADR ») des sociétés chinoises ont des
fondamentaux qui tendent à être les mêmes que ceux des actions H. Le FNB
BMO actions chinoises (ZCH) investit dans des ADR chinois et pourrait être
une solution pour les investisseurs désireux d’acheter des actions cotées à Hong
Kong ou en Chine. Le poids plus faible des sociétés financières dans le ZCH peut
aussi contribuer à atténuer l’investissement indirect dans un marché immobilier
chinois en difficulté.
2
Stratégies boursières des portefeuilles de FNB BMO – Deuxième trimestre de 2015
3
Changements apportés à la stratégie de portefeuille
Répartition de l’actif :
• Notre répartition de l’actif demeurera essentiellement la même ce trimestre.
Comme nous l’avons souligné dans notre dernier rapport, nous croyons
que de belles occasions se présenteront du fait des politiques monétaires
divergentes des grandes banques centrales. Nous pensons donc, dans
l’intervalle, pouvoir trouver de meilleures occasions de placement dans les
diverses catégories d’actif et déterminer le meilleur moyen d’y assurer une
présence. La part accrue que nous avons consacrée aux actions autres que
nord-américaines au dernier trimestre a encore bonifié la meilleure tenue
de notre stratégie de portefeuille par rapport à la référence. Au cours du
présent trimestre, nous continuons de privilégier les ajustements apportés à
notre stratégie de portefeuille à l’intérieur des diverses catégories d’actif.
Titres à revenu fixe :
• Dans notre rapport du dernier trimestre, nous avons souligné que la BdC
décréterait une baisse de taux seulement après qu’une faiblesse persistante
du prix du pétrole aurait fait baisser le produit intérieur brut (PIB) du
Canada. À l’époque, nous pensions que la BdC n’interviendrait pas et
opterait pour la patience avant d’intervenir sur le taux à un jour. Aussi,
avons-nous décidé de ne pas allonger la duration de nos placements en
obligations canadiennes. Toutefois, ayant pris le marché par surprise, la
BdC a réduit de 0,25 % son taux du financement à un jour à l’issue de sa
réunion de janvier. Dans le passé, la banque centrale d’un pays développé a
très rarement opté pour un changement de direction après avoir augmenté
ou diminué son taux à un jour. Par conséquent, voulant profiter d’un taux de
rendement courant plus élevé, nous vendons notre position de 9,0 % dans
le FINB BMO obligations de sociétés à court terme (ZCS) et redéployons
le produit de la vente dans le FINB BMO obligations de sociétés à moyen
terme (ZCM).
• De plus, nous supprimons notre position de 3,0 % dans le FNB BMO
obligations à très court terme (ZST), car le relèvement appréhendé des
taux d’intérêt au Canada est devenu moins préoccupant sur l’horizon à
court et à moyen terme. Même si nous voyons toujours d’un bon œil ce
FNB, compte tenu de sa courte duration et de son taux de rendement plus
élevé, nous envisageons de libérer des capitaux pour les redéployer sur les
marchés boursiers internationaux.
Actions :
• Au cours des quatre dernières années, nous avons recommandé de
surpondérer les actions américaines, du fait de l’embellie de l’économie,
des valorisations attrayantes et de la politique monétaire expansionniste
de la Réserve fédérale. Dans l’absolu, nous favorisons toujours les actions
américaines; cependant, les paramètres d’évaluation, comme le ratio
cours-bénéfice (C/B), sont maintenant plus élevés que les moyennes
historiques. Bien que l’économie américaine continue de s’affermir, nous
pensons que la politique monétaire en viendra graduellement à se durcir,
ce qui pourrait nuire au marché boursier de ce pays. La robustesse du billet
vert pourrait aussi permettre aux entreprises américaines de faire des
acquisitions à l’étranger, ce qui viendrait limiter le potentiel de plus-value
des actions dans le court terme. À l’heure où les marchés internationaux
recèlent, selon nous, de meilleures occasions, nous cherchons à augmenter
graduellement la part dévolue aux actions autres que nord-américaines.
Puisque les dividendes sont souvent plus vulnérables face à une hausse
des taux d’intérêt, nous éliminons notre position de 11,0 % dans le FNB
BMO américain de dividendes (ZDY). Nos perspectives pour ce FNB
demeurent favorables, en particulier parce que, d’après nous, les taux
d’intérêt resteront bas aux États-Unis malgré d’éventuelles hausses de
taux. Nous voyons cependant de meilleures occasions du côté des sociétés
internationales qui versent des dividendes.
• Nous n’en demeurons pas moins optimistes à l’endroit de l’économie
américaine dans l’absolu; par conséquent, nous redéployons 4,0 % de l’actif
dans le FNB BMO d’actions américaines à faible volatilité (ZLU) pour
relever notre poids en actions américaines. À 18,5 fois les bénéfices, le ratio
C/B actuel de l’indice composé S&P 500 représente une prime de 12,6 % par
rapport à sa moyenne sur dix ans et donne à penser que les valorisations
deviennent excessives – à moins que les bénéfices n’augmentent plus
rapidement que les cours boursiers. D’autre part, si les entreprises
américaines sont à l’affût d’acquisitions, leurs dépenses plus élevées
pourraient miner leurs bénéfices, rendant ainsi difficile l’expansion des
multiples. Nous préférons donc le ZLU comme placement dans les actions
américaines; ce FNB nous assurera une meilleure protection à la baisse,
advenant une correction du marché boursier américain. • Au cours des derniers trimestres, nous avons lentement acheté des
actions autres que nord-américaines par le biais du FNB BMO actions
internationales de dividendes (ZDI) et du FINB BMO MSCI Europe
de haute qualité couvert en dollars canadiens (ZEQ). De plus en plus,
les actions internationales nous paraissent attrayantes pour plusieurs
raisons. D’abord, la conjoncture macroéconomique montre les premiers
signes d’une amélioration. Ensuite, les bénéfices des sociétés pourraient
augmenter davantage et soutenir le rythme de plus-value des actions.
Comme nous l’avons souligné au dernier trimestre, la faiblesse du prix du
pétrole tend à se transformer en hausse du revenu disponible, surtout en
Europe. Dernière raison et non la moindre, comme la politique monétaire
demeurera expansionniste, le marché boursier continuera d’être attrayant,
en particulier les actions des sociétés qui versent des dividendes plus élevés
lorsque les taux d’intérêt sont bas. Nous augmentons donc de 5,0 % notre
part dans le ZDV .
Catégories d’actif non traditionnelles :
• Pour diversifier le portefeuille, nous ajoutons le FNB BMO obligations de
sociétés liées à des actions (ZEL) à notre stratégie de portefeuille. Ce FNB
détient des obligations de sociétés de court et de moyen terme; il achète
aussi des options afin d’obtenir, une fois celles-ci exercées, une présence
diversifiée dans les actions canadiennes. Vu sa composition, ce FNB procure
un potentiel de plus-value des actions et de moins-value des obligations,
et son profil risque-rendement est semblable à celui des obligations
convertibles. Cependant, contrairement aux obligations convertibles qui
tendent à être moins liquides parce qu’elles sont émises par de petites
entreprises, le ZEL ne détient que des obligations liquides, émises par des
sociétés de premier ordre.
Symbole
boursier
(%)
Achat ou ajout
FINB BMO obligations de sociétés à court terme
ZCS
9,0 %
FNB BMO obligations à très court terme
ZST
FNB BMO américain de dividendes
ZDY
Vente ou réduction
Total
Symbole
boursier
(%)
FINB BMO obligations de sociétés à moyen terme
ZCM
9,0 %
3,0 %
FNB BMO actions internationales de dividendes
ZDI
5,0 %
11,0 %
FNB BMO d’actions américaines à faible volatilité
ZLU
4,0 %
FNB BMO obligations de sociétés liées à des actions
ZEL
5,0 %
23,0 %
Total
23,0 %
Stratégies boursières des portefeuilles de FNB BMO – Deuxième trimestre de 2015
Objectif et stratégie de placement : La stratégie comporte une répartition tactique de
plusieurs catégories d’actif et régions pour réaliser les plus-values du capital et le rendement
total à long terme en investissant surtout dans des fonds négociables en bourse (FNB).
Statistiques et positions
de portefeuille
Symbole
boursier
4
Nom du FNB
Poste
Cours
RFG1
Pondération
(%)
Volatilité
sur 90 jours
Apport à la volatilité Rendement (%)*
Réndement
/Volatilité
Titres à revenu fixe
ZDB
FINB BMO OBLIGATIONS À ESCOMPTE
Obligations
De base
16,23 $
0,20 %
14,0 %
4,9
5,9 %
2,0 %
0,41
ZIC
FINB BMO OBLIGATIONS DE SOCIÉTÉS AMÉRICAINES DE QUALITÉ À
MOYEN TERME
Obligations
Tactique
18,26 $
0,25 %
10,0 %
10,7
9,1 %
3,2 %
0,30
ZCM
FINB BMO OBLIGATIONS DE SOCIÉTÉS À MOYEN TERME
Obligations
Tactique
16,83 $
0,12 %
9,0 %
5,3
4,0 %
3,4 %
0,64
Total des titres à revenu fixe
33,0 %
19,0 %
Actions
ZLB
FNB BMO D’ACTIONS CANADIENNES À FAIBLE VOLATILITÉ
Actions
De base
27,65 $
0,35 %
8,5 %
10,6
7,6 %
2,0 %
0,19
ZDV
FNB BMO CANADIEN DE DIVIDENDES
Actions
De base
17,56 $
0,35 %
5,0 %
14,4
6,1 %
4,1 %
0,28
ZLU
FNB BMO D’ACTIONS AMÉRICAINES À FAIBLE VOLATILITÉ
Actions
De base
25,70 $
0,10 %
9,0 %
14,3
10,9 %
1,9 %
0,13
ZDI
FNB BMO ACTIONS INTERNATIONALES DE DIVIDENDES
Actions
De base
22,00 $
0,40 %
11,0 %
19,2
18,0 %
3,8 %
0,20
ZEQ
FINB BMO MSCI EUROPE DE HAUTE QUALITÉ COUVERT EN DOLLARS
CANADIENS
Actions
Tactique
18,56 $
0,40 %
7,0 %
14,8
8,8 %
1,9 %
0,13
ZWB
FNB BMO OPTIONS D’ACHAT COUVERTES DE BANQUES CANADIENNES
Actions
Tactique
16,70 $
0,65 %
3,0 %
15,0
3,8 %
5,3 %
0,35
ZEO
FINB BMO ÉQUIPONDÉRÉ S&P/TSX PÉTROLE ET GAZ
Actions
Tactique
13,42 $
0,55 %
3,0 %
31,9
8,1 %
3,1 %
0,10
ZWA
FNB BMO VENTE D’OPTIONS D’ACHAT COUVERTES MOYENNE
INDUSTRIELLE DOW JONES COUVERT EN DOLLARS CANADIENS
Actions
Tactique
19,87 $
0,65 %
3,0 %
13,7
3,5 %
4,7 %
0,34
ZBK
FINB BMO ÉQUIPONDÉRÉ BANQUES AMÉRICAINES
Actions
Tactique
17,96 $
0,35 %
4,0 %
21,8
7,4 %
1,3 %
0,06
Total des actions
53,5 %
74,2 %
Titres non traditionnels ou hybrides
ZFH
FNB BMO RENDEMENT ÉLEVÉ À TAUX VARIABLE
Obligations
Tactique
15,10 $
0,40 %
3,5 %
5,6
1,7 %
4,8 %
0,85
ZPR
FINB BMO ÉCHELONNÉ S&P/TSX ACTIONS PRIVILÉGIÉES
Obligations
Tactique
12,16 $
0,45 %
5,0 %
9,6
4,1 %
4,7 %
0,49
FNB BMO OBLIGATIONS DE SOCIÉTÉS LIÉES À DES ACTIONS
Obligations
Tactique
21,05 $
0,40 %
5,0 %
2,6
1,1 %
0,9 %
0,33
ZEL
Total des autres placements
13,5 %
Total des liquidités
Portefeuille
1
0,32 %
6,9 %
0,0 %
37,6
0,0 %
0,0 %
100,0 %
11,8
100,0 %
2,9 %
0,25
RFG en date du 15 avril 2015.
Symbole
boursier
Principales positions
Pondération
ZDB
FINB BMO OBLIGATIONS À ESCOMPTE
14,0 %
ZDI
FNB BMO ACTIONS INTERNATIONALES DE DIVIDENDES
11,0 %
ZIC
FINB BMO OBLIGATIONS DE SOCIÉTÉS AMÉRICAINES DE
QUALITÉ À MOYEN TERME
10,0 %
ZCM
FINB BMO OBLIGATIONS DE SOCIÉTÉS À MOYEN TERME
9,0 %
ZLU
FNB BMO D’ACTIONS AMÉRICAINES À FAIBLE VOLATILITÉ
9,0 %
Cash
ZLB
FNB BMO D’ACTIONS CANADIENNES À FAIBLE VOLATILITÉ
8,5 %
Titres non traditionnels (11,5 %)
ZEQ
FINB BMO MSCI EUROPE DE HAUTE QUALITÉ COUVERT EN
DOLLARS CANADIENS
7,0 %
Actions (55,5 %)
Titres à revenu fixe (33,0 %)
Alternatives
ZDV
FNB BMO CANADIEN DE DIVIDENDES
5,0 %
ZPR
FINB BMO ÉCHELONNÉ S&P/TSX ACTIONS PRIVILÉGIÉES
5,0 %
ZEL
FNB BMO OBLIGATIONS DE SOCIÉTÉS LIÉES À DES ACTIONS
5,0 %
ZBK
FINB BMO ÉQUIPONDÉRÉ BANQUES AMÉRICAINES
4,0 %
ZFH
FNB BMO RENDEMENT ÉLEVÉ À TAUX VARIABLE
3,5 %
ZWB
FNB BMO OPTIONS D’ACHAT COUVERTES DE BANQUES
CANADIENNES
3,0 %
De base
47,5%
ZEO
FINB BMO ÉQUIPONDÉRÉ S&P/TSX PÉTROLE ET GAZ
3,0 %
Tactique
52,5%
ZWA
FNB BMO VENTE D’OPTIONS D’ACHAT COUVERTES MOYENNE
INDUSTRIELLE DOW JONES COUVERT EN DOLLARS CANADIENS
3,0 %
*Le calcul du taux de rendement des obligations est fondé sur le rendement à l’échéance, lequel comprend
les coupons et tout gain ou toute perte en capital que l’investisseur réalisera en détenant les obligations
jusqu’à l’échéance; dans le cas des actions, le calcul du taux de rendement est fondé sur le revenu annualisé
le plus récent que l’investisseur a reçu, divisé par la valeur marchande des placements.
**Les liquidités sont basées sur le taux CDOR (Canadian Dollar Offered Rate) offert sur trois trimestres.
Equities
Fixed Income
Stratégies boursières des portefeuilles de FNB BMO – Deuxième trimestre de 2015
5
Portfolio Characteristics
Ventilation régionale (portefeuille global)
Cash
Emerging Markets
Canada
United States
États-Unis
52,5 %
Canada
Marchés émergents
15,9 %
29,5 %
Asie
2,1 %
*La ventilation régionale comprend les volets actions, titres à revenu fixe et
titres non traditionnels.
Ventilation des actions par secteur
Utilities
Services financiers
26,8 %
Telecommunication
Services
Santé
8,4 %
Industrie
Materials
7,3 %
Technologies de l’information
3,0 %
Matières premières
4,5 %
Industrials
Services de télécommunications
5,2 %
Services
Health
Care
9,4 %
Information Technology
aux collectivités
Consommation discrétionnaire
Financials
9,9 %
Consommation courante
12,9 %
Energy
12,8 %
Énergie
Consumer Staples
Ventilation des titres à revenu fixeConsumer
par secteur
Discretionary
Obligations fédérales
12,6 %
Échéance moyenne pondérée
7,76
Obligations provinciales
11,4 %
Duration moyenne pondérée
6,01
Obligations de sociétés de premier
ordre
67,6 %
Coupon moyen pondéré
3,5 %
Obligations de sociétés de qualité
inférieure
8,4 %
Rendement courant moyen pondéré
3,2 %
Taux de rendement à l’échéance moyen
pondéré
2,3 %
Rendement courant moyen pondéré : taux de coupon moyen des obligations pondéré en fonction de la valeur marchande, divisé par le prix moyen du
marché pondéré des obligations.
Rendement à l’échéance moyen pondéré : taux de rendement à l’échéance moyen pondéré en fonction de la valeur marchande, qui comprend les
paiements de coupons et auquel s’ajoute une prime ou duquel un escompte est retranché si l’investisseur conserve les obligations jusqu’à l’échéance.
Duration moyenne pondérée : duration moyenne des obligations sous-jacentes pondérée en fonction de la valeur marchande, divisée par le prix
moyen du marché pondéré des obligations sous-jacentes. La duration est une mesure de la sensibilité du cours d’un placement à revenu fixe face à un
changement qui survient dans les taux d’intérêt.
Stratégies boursières des portefeuilles de FNB BMO – Deuxième trimestre de 2015
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Bons points, mauvais points et points menaçants
Conclusion : L’importance de la diversification géographique continuera d’être l’un de nos thèmes de placement en 2015. Du
point de vue régional, nous favorisons les actions européennes à la lumière des perspectives de hausse des bénéfices. Même
si nous avons surpondéré les actions américaines au cours des quatre dernières années, nous penchons davantage pour la
neutralité à leur endroit, car les valorisations deviennent excessives. Dans l’ensemble, nous demeurons plus optimistes au
sujet des obligations canadiennes que nous le sommes au sujet des actions canadiennes; cependant, à notre avis, les actions
à bêta plus faible surpasseront l’indice composé S&P/TSX. Vu la divergence croissante entre les politiques monétaires des
banques centrales du monde, nous estimons que la volatilité des monnaies restera plus prononcée que la volatilité des
marchés boursiers. Les investisseurs devraient se demander quelles régions devraient faire l’objet d’une couverture de
change et lesquelles devraient continuer de ne pas être couvertes.
Conjoncture
macroéconomique/
géopolitique mondiale
Bons
points
Mauvais
points
Points
menaçants
Facteurs fondamentaux
Contexte technique
• Sur 12 mois, l’emploi dans la zone euro continue
d’augmenter et laisse entrevoir une embellie de
l’économie de cette région.
• Aux États-Unis, les ventes de logements existants
demeurent stables; 4,88 millions d’unités ont été
vendues en février 2015.
• L’indice désaisonnalisé S&P/Case Shiller des prix
des maisons poursuit sa tendance haussière, signe
que le redressement du marché de l’habitation aux
États-Unis gagne en vigueur.
• Sur 12 mois, le PIB du Canada a augmenté de 2,4 %
en janvier. On attend avec impatience le chiffre de
février pour savoir si le prix moins élevé du pétrole
a eu un impact.
• La baisse du taux de chômage aux États-Unis
exercera des pressions sur la Fed pour qu’elle relève
son taux à un jour.
• Le bénéfice par action des 12 derniers mois du sousindice S&P/TSX plafonné du secteur de l’énergie
a touché un creux post-récession. Les estimations
de bénéfice par action ont également diminué
sensiblement. À moins que le prix du pétrole
ne dégringole davantage, une bonne partie de
l’humeur maussade est déjà prise en compte dans
les titres énergétiques canadiens.
• L’industrie canadienne des FPI affiche, à l’heure
actuelle, un ratio cours/flux de trésorerie de 13,6,
soit une prime de 7,8 % par rapport à sa moyenne
de 10 ans. La faiblesse persistante des taux
d’intérêt devrait favoriser les FPI, à condition qu’une
détérioration de l’économie ne vienne pas miner
indûment les taux d’occupation.
• Au Canada, les titres à bêta moins élevé continuent
de s’apprécier par rapport à l’indice composé
S&P/TSX . Nous pensons que les titres peu volatils
afficheront une meilleure tenue au Canada.
• Nous maintenons notre prévision d’une baisse
des corrélations entre les catégories d’actif et à
l’intérieur de chacune d’elles. Il s’agit d’une bonne
nouvelle pour les stratégies liées à plusieurs
catégories d’actif.
• Le « momentum » à court terme des actions
européennes s’essouffle et pourrait susciter des
occasions d’achat. À plus long terme, les actions
européennes nous paraissent très attrayantes.
• La volatilité des marchés boursiers a encore
diminué, l’indice de volatilité implicite CBOE/S&P
(VIX) s’étant établi à 15,3. Nous pensons que la
volatilité des Bourses restera vraisemblablement
moins aiguë que la volatilité des monnaies.
• Sur 12 mois, l’indice des prix à la consommation
(IPC) est passé sous les 2,0 % au Canada, signe du
ralentissement de l’économie.
• Le taux de chômage au Canada s’est hissé à 6,80 %
en février, un bond de 20 pb par rapport à janvier.
• Les appréhensions grandissent en Chine en ce
qui a trait aux structures de financement des
administrations locales du pays.
• L’indice PMI HSBC du secteur chinois de la fabrication
est descendu à 49,6 %. Une valeur inférieure à 50 %
représente un repli du secteur de la fabrication.
• L’appréciation du billet vert par rapport à la plupart
des grandes monnaies pèsera sur les exportations
américaines.
• Le bénéfice par action des 12 derniers mois
de l’indice composé S&P 500 se situe à un pic
historique. Il est peu probable que la hausse
soutenue des cours soit accompagnée d’une hausse
équivalente des bénéfices.
• Les valorisations dans les secteurs défensifs
comme les services aux collectivités et les
télécommunications continuent d’augmenter.
• L’indice composé S&P/TSX évolue dans une mince
fourchette depuis la baisse du prix du pétrole. Nous
continuons de voir de meilleures occasions sur les
marchés boursiers internationaux.
• À plus long terme, le dollar américain est la
seule grande monnaie techniquement robuste.
Les investisseurs devraient mettre l’accent sur
l’exposition de change lorsqu’ils décident d’investir
à l’extérieur du Canada. Sur l’horizon à long terme,
nous favorisons toujours les placements non couverts
aux États-Unis et les placements couverts ailleurs.
• L’indice composé de Shanghai a grimpé de 15,9
% depuis le début de l’année. Les indicateurs de
court terme montrent que le marché est surévalué.
Comme l’on s’attend à des politiques monétaires
plus expansionnistes, les soutiens techniques
laissent entrevoir d’autres plus-values, malgré les
préoccupations macroéconomiques grandissantes.
• Nos appréhensions à l’endroit de l’économie
canadienne sont plus vives. L’endettement des
ménages s’est hissé à des pics historiques. Le prix
moins élevé du pétrole et la chute éventuelle des
prix de l’immobilier exerceront des pressions sur les
ménages canadiens.
• L’OPEP ne montre aucun signe de vouloir réduire sa
production de pétrole. Étant donné que les stocks de
pétrole augmentent aussi aux États-Unis, l’impact
sera négatif sur le secteur de l’énergie au Canada et
sur l’ensemble de son PIB.
• Sur le marché boursier russe, le ratio C/B est
actuellement de 4,6. Même si le pétrole est bon
marché, la faiblesse du prix pourrait causer des
problèmes sur ce marché. Les actions russes
resteront bon marché pendant une longue période,
car les risques géopolitiques persistent.
• L’indice de l’endettement sur marge atteint des
sommets record. Des taux d’intérêt qui monteraient
trop rapidement déboucheraient forcément sur des
appels de marge. Une dégringolade importante du
marché conduirait sans doute à un désendettement
plus prononcé que lors de la grande crise financière de
2008-2009.
• Les monnaies liées aux produits de base comme le
huard, la couronne norvégienne et le dollar australien
sont demeurées stables par rapport au dollar US.
La baisse du prix du pétrole pourrait entraîner une
divergence parmi les taux d’intérêt qui exercerait
d’autres pressions à la baisse sur le long terme.
Stratégies boursières des portefeuilles de FNB BMO – Deuxième trimestre de 2015
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