Ma passion, c`est le design. C`est pourquoi j`ai choisi de suivre l

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Ma passion, c'est le design. C'est
pourquoi j'ai choisi de suivre
l'architecture. Ma problématique
personnelle est: L’eau a-t-elle
une
influence
sur
l’architecture ?
Je me propose de découvrir
comment l'eau est vue par les
architectes, si elle existe dans des
divers courants architecturaux.
Je dévelppperai plusieurs sujets
qui mettent en évidence la lieson
enntre la presence de l’eau et les
chiox des architects:
1. Moulin à eau
2. L'eau et la ville (Amsterdam,
Paris et Venise)
3. Antoni Gaudí
1.Moulin à eau Le
moulin à eau est
utilisée depui le
Moyen Âge. C'est
une ultilisation très
créative de la force
de l'eau. Le moulin
était utilisé pour la
fabrication de la
farine ou l'huile.
Sa structure est
simple
mais
efficace.
Les
moulins
ont
un
design spécial qui
les faite très facile à
recconaitre.
2. L'eau et la ville (Amsterdam, Paris et Venise)
Amsterdam
Amsterdam est
une d’entre les villes
avec une histoire
architecturale
vraiment riche. On
peut
trouver
des
exemples
de
bâtiments gothiques,
baroques,
néogothiques, georgiens,
dans le style de la
Renaissance,
Artnouveau ou Art-déco.
Même l’architecture
d’Amsterdam a beaucoup d’offrir, les symboles architecturales les plus
connues avec la ville sont les grandes maisons de marchands qui
bordent les canaux. L’eau a un rôle très important dans le
développement du système de canaux, la caractéristique la plus
marquante d’Amsterdam.
Le système de
canaux d'Amsterdam est
le
résultat
d'une
politique
d'urbanisme
réfléchie. Au début du
xviie siècle,
lors
de
l'apogée
de
l'immigration, un plan
complet est élaboré sur
la base de quatre demicercles concentriques de
canaux
dont
les
extrémités
émergent
dans la baie de l'IJ. Trois canaux sont réservés au développement
résidentiel : le Herengracht, le Keizersgracht) et le Prinsengracht .
Construits au cours de l'Âge d'or néerlandais, ils forment ce que l'on
appelle la « courbure d'or ». Le quatrième et le plus périphérique des
canaux est le Singelgracht, dont il est rarement fait mention sur les
cartes dans la mesure où il s'agit d'un terme générique pour tous les
petits canaux périphériques.
Les canaux ont longtemps été utilisés pour la défense militaire, la
gestion de l'eau et le transport. Même si les plans originaux des canaux
ont été perdus, les historiens considèrent que l'arrangement en demicercles concentriques est davantage dû à des considérations pratiques
et défensives, plutôt qu'à un but purement décoratif.
Les canaux d'Amsterdam ont valu à la capitale des Pays-Bas son
surnom de « Venise du Nord ». Ils s'étendent en effet sur plus de cent
kilomètres, avec environ 1 700 ponts qui les traversent, reliant environ
quatre-vingt-dix îles. Les quatre premiers canaux sont séparés par des
bandes de
terre de 80
à
150 mètres
de largeur,
tandis que
la distance
entre
le
quatrième
et
le
cinquième
peut
aller
jusqu'à
environ
550 mètres
(limite nord
du quartier
de Jordaan). Ces canaux sont également reliés par d'autres qui leur sont
perpendiculaires, comme le Brouwersgracht, le Leidsegracht ou le
Reguliersgracht.
Le 14 juin 2010, les canaux d'Amsterdam ont obtenu le label patrimoine
mondial l'Unesco sous l'intitulé « Zone des canaux concentriques du
xviie siècle à l'intérieur du Singelgracht ».
L’intégration de l’eau a joué et continue de jouer un rôle majeur dans le
développement et dans la vie quotidienne d’Amsterdam. Son
architecture est unique dans le monde grâce à ses canaux.
Paris
Les
bateaux
mouches sur la
Seine
sont
devenus
des
vrais symboles
pour Paris. On ne
peut
pas
imaginer visite
dans la vieille
ville
sans
découvrir
ses
canaux.
L’eau
dans la ville lui
donne un autre
personnalité, plus romantique.
Le réseau fluvial de la Ville de Paris est complexe. Il remplit
simultanément des fonctions d'aqueduc et d'ouvrage de navigation. Ces
fonctions qui ont évolué
au fil du temps continuent
de
s'adapter
à
de
nouveaux
besoins.
Le
réseau fluvial a 130 km de
voies
navigables
qui
traverse
cinq
départements
(Paris,
Seine-Saint-Denis, Seineet-Marne, Oise et Aisne) et
deux
régions
administratives
(Île-deFrance et Picardie).
Même si les canaux ont aujourd’hui un rôle touristique, on a la
possibilité, en cas de nécessité majeure, comme par exemple une
pollution simultanée de la Seine et de la Marne, d'alimenter le réseau
d'eau potable de la ville de Paris, après traitement des eaux de l'Ourcq.
Vitrine technologique au XIXe siècle grâce à ses usines de
pompage, ses ponts mobiles et ses écluses, le réseau fluvial de la Ville de
Paris devient un modèle d'utilisation des technologies actuelles les plus
avancées dans les domaines de l'automatisme, de l'informatique et de la
communication.
La volonté de sécuriser le réseau, d'améliorer le trafic fluvial,
d'optimiser la gestion de l'eau et de tenir compte de l'évolution du mode
de vie des personnes, a conduit tout naturellement à développer une
technologie de pointe. On peut citer parmi les plus remarquables : la
télécommande et la télégestion des écluses du canal Saint-Denis et du
canal Saint-Martin, la télésurveillance des plans d'eau et des ouvrages
du canal de l'Ourcq, les bornes de commande du canal de l'Ourcq.
Venise
Venise est parcourue par
177 canaux (dont le plus
important est le Grand
Canal) et 455 ponts (le plus
souvent arqués pour laisser
passer les bateaux). Elle
possède 123 églises et elle
s'étend sur 118 îles situées
entre
l'embouchure
de
l'Adige (au sud) et du Piave
(au nord).
Le centre historique est
entièrement piétonnier, les
canaux faisant fonction de
route, et les divers bateaux qui traversent seulement le Grand Canal, le
Canal de la Giudecca et la lagune autour de la ville, sont le moyen de
transport public. Venise est une ville unique où l'on se déplace
presqu'exclusivement à pied. On y trouve aussi des taxis d'eau – petits
bateaux motorisés qui peuvent transporter de huit à dix personnes – et
des « gondoles » – petites embarcations d'avirons très légères ; le
transport privé des Vénitiens au moyen des bateaux motorisés ou à
avirons est limité aux excursions dominicales. D'autres modèles
d'embarcations plus ou moins grosses sont destinés aux transports
commerciaux.
La
situation
géographique de
Venise au milieu
de la lagune fait
que
l'essentiel
du transport de
personnes et de
marchandises se
fait par voie
d'eau. Si Venise
ne
représente
pas
la
plus
grande
concentration
humaine
au
monde
sans
voitures, place
occupée par la Médina de Fès el Bali, la cité demeure au xxie siècle la
plus grande île au monde à être libre d'automobiles et de camions,
malgré des aménagements importants7.
Les bâtiments de Venise sont
construits sur des piliers de
bois. Ils sont exposés à la
menace
de
marées,
notamment entre l'automne et
le début du printemps. La ville
est périodiquement inondée.
C'est ce que les Vénitiens
appellent acqua alta. Ce
phénomène s'explique par la
réunion de plusieurs facteurs
naturels : attraction lunaire,
et surtout le sirocco, vent
chaud venu d'Afrique qui
empêche la lagune de se vider,
les
marées
hautes
se
succédant les unes aux autres.
Les conséquences sont importantes dans la vie quotidienne des
habitants, qui doivent abandonner les niveaux inférieurs des maisons et
emprunter des systèmes de passerelles pour se déplacer. Mais les
conséquences les plus importantes sont la détérioration inexorable des
monuments historiques et de l'habitat due à la montée des eaux et
l'apport qui s'ensuit de produits nocifs à la pierre et à la brique.
Les îlots de la lagune de Venise, composés de matériaux de remblais et
alluvionnaires, ne permettaient pas de construction traditionnelle car le
sol humide et instable ne pouvait supporter le poids des bâtiments. La
solution a été l'utilisation de pilotis, permettant la construction audessus de l’eau. La technique
consiste à enfoncer ceux-ci
dans le sol afin de leur faire
porter
une
plate-forme
constituée de madriers en
chêne
et
en
mélèze
solidement attachés les uns
aux autres, consolidant et
nivelant le terrain. Ainsi par
exemple, afin d’ériger la
Basilique Santa Maria della
salute,
les
Vénitiens
utilisèrent 1 006 657 pilotis
de 4 mètres de long, en
chêne, aulne et mélèze.
Les contraintes liées à une construction sur l’eau avec des pilotis
comme fondations font que les palais sont conçus à l’inverse des règles
traditionnelles de l’architecture. En effet, si dans les palais terrestres,
l'usage veut que l’on commence par les fondations sur lesquelles on pose
l’infrastructure destinée à supporter le poids de l’ensemble
architectural, à Venise la méthode est totalement inversée : on pose
d’abord une grande « boîte » sur des portiques afin de transmettre la
charge directement aux pilotis des fondations par un système d'arcs et
de voûtes appropriés.
Le contact avec l’eau a change pour toujours les vies des vénitiens. .
Chateaubriand constatait que Venise était « une ville contre nature ». Le
Vénitien de son point de vue, l'estime unique ville naturelle « dans un
monde contre nature ».
3. Antoni Gaudí
Antoni Gaudí i Cornet a été un architecte
catalan de nationalité espagnole. Il a consolidé
l’art nouveau de Barcelona dans le XIXème et
XXème siècle. L’architecte a une origine française,
sa famille venant d’Auvergne. Ils sont venus en
Catalogne en XVIIIème siècle, à l’initiative de Joan
Gaudí, vendeur ambulant.
Les maisons qu’il a construites sont
de vraies œuvres d’art, en donnant une face moderne et vivante à la
ville. L’inspiration de Gaudí a toujours été la nature. C’est pourquoi ses
structures sont fluides, mais complexes, avec des détails que seulement
la nature aurait pu imaginer.
L’eau a eu, pour Gaudí, un rôle très important grâce à ses
formes diverses, à sa fluidité et à ses propriétés spéciales. Les deux
projets que je considère comme les plus liés aux éléments de l’eau sont
Casa Batlló et Parc Güel. L’inspiration pour la maison est évidement de
nature aquatique et le parc a une impressionante installation de
collection de l’eau et d’irrigation.
Casa Batlló
La fameuse maison qui est aujourd’hui
sur la liste du patrimoine mondial de UNESCO a
été commandée par Josep Batlló. Située dans
l’Illa de la Discòrdia, au 43 Passeig de Gràcia à
Barcelone, la construction a été réalisée entre
1904 et 1906.
L’aspect général souvient du milieu marin
grâce aux décorations en céramique de
différentes nuances de bleu marin. D'après
l'historien Juan José Lahuerta, « l’intérieur du
bâtiment devient un espace de tranquillité pour
l'homme qui affronte les multitudes de la ville
et lutte dans le monde, une sorte de grotte sousmarine où se recueillir, où trouver un espace
intime, à la façon de Jules Verne, où héros, le
conquérant, l'homme moderne a deux réalités :
l'une extérieure, cosmique, sans limite et une
intime, où il est blotti dans sa grotte, dans le
ventre maternel de laterre ; la nature, la raison
et l'histoire convergent dans cette œuvre.»
La façade principale de l’édifice a un aspect fluide, avec des
éléments appartenant à l’aquatique. On trouve des vagues, des coquille
et du corail cachés dans la structure extrêmement intéressante de la
façade.
Tout
en
haut
de
l’édifice
on
trouve une forme
souggérant
un
dragon, avec des
échelles
multicolores.
L’oeil du dragon est représenté par une petite fenêtre triangulaire
inspirée de la roche trouée de la Montagne de Monserrat.
Plusieurs
détails
de
l’intérieur
ont
été
aussi
inspirés par l’univers sousmarin.
Par exemple, l’étage principal
semble au sous-marin décrit
par Jules Verne dans son
fameux roman Vingt mille
lieues sous les mers. Le verre bleu donne
l’impression d’être sous l’eau en donnant
une lumière froide mais vraiment
agréable. Un autre exemple d’élément qui
invoque l’eau c’est le faux-plafon qui
semble avoir été formé par une goutte
d’eau.
L’escalier principal est clairement
inspiré par le squelette d’un animal
préhistorique. C’est pourquoi certaines
théories soutiennent que la maison est
construite comme le corps d’un animal
marin énorme.
D’autres détails significatifs pour le
charactère sous-marin de la maison sont le
pavement qui semble à des fossiles et la
spirale du salon principal.
Parc Güell
La
plus
impressionnante réussite
de Gaudi en ce qui concerne
le Parc est le système de
collection de l’eau et
d’irrigation.
Avant la constuction du
parc,
le
terrain
était complètement sec,
sans aucune végétation. Ce
que Gaudi a pensé a été de
trouver une mèthode qui utilisait l’eau de pluie pour irriguer les plantes
du parc. En ce sens, Gaudi a créé des petits tubes qui collectent l’eau de
la «place centrale» en la dépositant
dans un résevoir énorme. L’eau se
distribuait sur toute la surface du parc.
La végétation riche qu’on y trouve est
la preuve que l’idée de Gaudi a eu
succès. Les tubes peuvent être vus
encore dans le parc, mais le réservoir
ne se trouve plus dans le même
endroit. L’ingéniosité de Gaudi a fait
possible l’intégration d’un élément
comme
l’eau
dans
le
monde
architectural. Sa présence peut s'observer dans la structure des
maisons même que dans la «technologie» utilisée dans les constructions
de Gaudi.
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