Séquence 7
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Cned, Sciences de la vie et de la Terre 3e
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Exercice 5 : [I – Recenser et organiser des informations]
Pour répondre, il a été suggéré de faire un tableau.
Les solutions pour limiter les risques de contamination et d’infection
Méthode employée Méthodes Résultats obtenus
Asepsie Laver les surfaces à l’eau de
Javel Destruction des microbes
déposés sur les surfaces
Antisepsie Utilisation d’alcool à 70° ou
de bétadine Destruction des
microbes par les produits
antiseptiques, risque
d’infection réduit.
Préservatif Membrane de latex qui
représente une barrière
infranchissable pour les
micro-organismes entre des
muqueuses en contact.
Empêche les contacts
directs entre les muqueuses
s’il est bien utilisé, risque
pratiquement réduit à 0.
Hygiène quotidienne Lavage des mains plusieurs
fois par jour, hygiène de base Limite les risques les plus
courants sans les éliminer.
Exercice 6 : [I – Recenser et organiser des informations]
Le rôle des antibiotiques est de détruire les bactéries et/ou d’empêcher leur multiplication. Ils
n’ont aucune efficacité sur les virus.
D’après l’antibiogramme, un antibiotique agit sur certaines bactéries et pas sur d’autres. Ils
n’agissent pas sur les virus.
Les règles à suivre sont des règles de bon sens : respecter les doses, le temps du traitement,
utiliser l’antibiotique seulement pour la maladie diagnostiquée par le médecin, …
Le non-respect de ces règles peut favoriser une résistance bactérienne et donc aggraver l’état du
malade.
Exercice 7 : [Ré – Récolter des informations par la recherche expérimentale]
Dans le cas de l’expérience A, on remarque que le mélange de l’eau et de l’huile n’entraîne pas
la formation d’une solution homogène. L’huile remonte toujours à la surface de l’eau sans
pouvoir se mélanger.
Dans le cas de l’expérience B, le mélange, en présence de savon, devient homogène après
agitation. L’huile et l’eau se mélangent en présence de savon.
Dans le cas de l’expérience A, il est aisé de comprendre que l’eau et l’huile ne se mélangent pas.
Cela fait partie de l’expérience de la vie quotidienne.
Dans le cas de l’expérience B, on peut comprendre le rôle du savon qui est attiré par l’eau et
par la graisse. En se liant aux deux liquides en présence (l’eau et l’huile), il permet le mélange.
Ainsi, l’eau seule « glisse » sur le sébum et laisse sur la peau les saletés et les micro-organismes
alors que le savon s’ancre dans le sébum et est entraîné par l’eau avec ce dernier si le lavage se
fait avec des frottements suffisants.