Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides forts et bases fortes. Contrôle des connaissances Exercice 1 : Équations de dissolution et effet sur le pH Soluté Équation-bilan de dissolution HCl(g) Voir §2.5 de ce chapitre KOH(s) Voir §2.7 de ce chapitre NH3(g) Voir §2.8 de ce chapitre HNO3(l) Voir §2.5 de ce chapitre NaOH(s) Voir §2.7 de ce chapitre CH3COOH(l) Voir §2.6 de ce chapitre Évolution du pH face à la dilution Le pH augmente avec la dilution, pour une très grande dilution il devient égal à 7 Le pH diminue avec la dilution, pour une très grande dilution il devient égal à 7 Le pH diminue avec la dilution, pour une très grande dilution il devient égal à 7 Le pH augmente avec la dilution, pour une très grande dilution il devient égal à 7 Le pH diminue avec la dilution, pour une très grande dilution il devient égal à 7 Le pH augmente avec la dilution, pour une très grande dilution il devient égal à 7 Exercice 2 : Concentration molaires d’ions en solution La détermination du point d’équivalence se fait par la méthode des tangentes dans tous les cas. Cas A Cas B pH pH 12 12 pHeq = 9,2 8 8 pHeq = 7 4 4 0 0 1 2 pHeq = 9,2 VB 10 Veq = 20 mL Veq = 20 mL 0 0 pHeq = 7 VA 5 Veq = 10mL Veq = 10 mL Le produit dosé est un acide car le pH initial est plus Le produit dosé est une base car le pH initial est petit que 7. Il s’agit d’un acide faible car le pH à plus grand que 7. Il s’agit d’une base forte car le pH l’équivalence est supérieur à 7. à l’équivalence est égal à 7. Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides et bases fortes. ■ 33 3 Les solutions titrantes sont toujours fortes. dans Les solutions titrantes sont toujours fortes. dans notre cas, il s’agit d’une base forte puisque l’on dose notre cas, il s’agit d’un acide fort puisque l’on dose un acide. une base. Cas C Cas D pH pH 12 12 8 pHeq = 7 8 pHeq = 5 4 4 0 0 1 VB 15 pHeq = 7 VA 0 0 Veq = 30 mL Veq = 30 mL 15 pHeq = 5 Veq = 30 mL Veq = 30 mL 2 Le produit dosé est un acide car le pH initial est plus Le produit dosé est une base car le pH initial est petit que 7. Il s’agit d’un acide fort car le pH à plus grand que 7. Il s’agit d’une base faible car le l’équivalence est égal à 7. pH à l’équivalence est inférieur à 7. 3 Les solutions titrantes sont toujours fortes. dans Les solutions titrantes sont toujours fortes. dans notre cas, il s’agit d’une base forte puisque l’on dose notre cas, il s’agit d’un acide fort puisque l’on dose un acide. une base. La lecture des pH initiaux permet de calculer la concentration molaire de la solution dosée. Le comportement asymptotique de la courbe de dosage permet de déterminer la concentration molaire de la solution titrante. Cas B CA CA = 0,05 mol.L-1 CB CB = 0,1 mol.L-1 CA CA = 1 mol.L-1 Cas C CB CB = 0,5 mol.L-1 Exercice 3 : Réactions acido-basiques réactifs solution d’acide chlorhydrique + solution de soude solution d’acide chlorhydrique + solution d’ammoniaque solution de potasse + solution d’acide nitrique solution de soude + solution d’acide acétique : CH3COOH Équation-bilan Ions spectateurs H 3O + ( aq ) + OH − ( aq ) = 2 H 2 O(l ) Na+ et Cl- + H 3O + ( aq ) + NH 3( aq ) = NH 4 ( aq ) + H 2 O(l ) Cl- H 3O + ( aq ) + OH − ( aq ) = 2 H 2 O(l ) K+ et NO3- CH 3COOH ( aq ) + OH − ( aq ) = CH 3COO(−aq ) + H 2 O( l ) Na+ Exercice 4 : Calculs de pH lors d’un dosage Les formules §4.3, §4.4 et §4.5 de ce chapitre permettent de réaliser les calculs. V pH 1 1,1 5 1,3 10 1,6 15 2 34 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides et bases fortes. 19 2,8 20 7 21 11,2 25 11,9 Exercices et extraits d’annales Exercice 5 : Extrait du BTS Travaux Publics 1997 1. 1.1 Voir §2.5 de ce chapitre. 1.2 Voir §2.5 de ce chapitre. 1.3 Voir §3.5 du chapitre 4 pour résoudre cette question. On supposera que le mélange est idéal. Veau ajoutée = 52,5 mL 1.4 La formule §3.4 de ce chapitre permet de réaliser les deux calculs : Pour S1 : pH = 1, 9 Pour S2 : pH = 2, 7 2. 2.1 Voir §4.4.1. de ce chapitre. 2.2 C2 = 1, 9.10−3 mol.L−1 Exercice 6 : Extrait du BTS Bâtiment 1998 1. 1.1. La solution d’acide chlorhydrique contient des ions oxonium, des ions chlorure ainsi que des ions hydroxyde très minoritaires dont nous ne calculerons pas la concentration molaire (il manque le produit ionique de l’eau). Voir §3.5 du chapitre 4 et §2.5 de ce chapitre. [ H 3O(+aq ) ] = 60.10−3 mol.L−1 [Cl(−aq ) ] = 60.10−3 mol.L−1 1.2. Voir § 3.4 de ce chapitre : pH = 1, 2 1.3. Voir §3.4 du chapitre 4 : d Solution commerciale = 1, 2 Exercice 7 : Extrait du BTS Étude et Économie de la construction 1994 1. Le schéma doit comporter une burette graduée et son support, un bécher de dosage, un pH-mètre et son électrode. Le schéma doit comporter les légendes (nom et concentration molaire) de la solution titrante et de la solution à titrer. Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides et bases fortes. ■ 35 2. Voir § 4.3 de ce chapitre. 3. −2 −1 Voir §3.4 de ce chapitre : C1 = 10 mol.L 4. Voir §4.4.1 de ce chapitre : V1 = 10 mL 5. Il reste des ions oxonium et hydroxyde provenant de l’autoprotolyse de l’eau (voir §2.1 et §2.2 de ce chapitre), mais leurs concentrations respectives sont petites (10-7 mol.L-1). Les autres ions présents sont les ions spectateurs présents dans l’acide et la base. Il faut tenir compte de la dilution pour calculer leurs concentrations respectives à l’équivalence. [ Na(+aq ) ] = 0, 33.10 −2 mol.L−1 [Cl(−aq ) ] = 0,33.10−2 mol.L−1 Si on évapore le mélange à l’équivalence, on obtiendra du chlorure de sodium solide : NaCl( s ) Exercice 8 : Extrait du BTS Cira 1993 1. Voir §3.1 et §2.2 de ce chapitre : [ H 3O(+aq ) ] = 12, 6.10−12 mol.L−1 [ HO(−aq ) ] = 794.10−6 mol.L−1 2. 3. 4. Voir § 2.8 de ce chapitre. NH 4 + ( aq ) + H 3O + ( aq ) = OH − ( aq ) ; application numérique : [ NH 4(+aq ) ] = 794.10−6 mol.L−1 La relation des proportions stœchiométriques à l’équivalence permet de calculer la concentration initiale en −3 −1 ammoniac : C = 40, 6.10 mol.L Exercice 9 : Extrait du BTS Cira 1994 1. Le schéma doit comporter une burette graduée et son support, un bécher de dosage, un pH-mètre et son électrode. Le schéma doit comporter les légendes (nom et concentration molaire) de la solution titrante et de la solution à titrer. 36 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides et bases fortes. 2. Pour l'acide HA1 : pour des raisons de lisibilité des résultats, les courbes sont traces sur deux graphes différents. pH 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 Vb [mL] Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides et bases fortes. ■ 37 Pour l'acide HA2 : pH 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0 0 3. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 Vb [mL] La lecture des coordonnées des deux points équivalents permet de calculer la concentration molaire de chacun des deux acides. −1 Pour l'acide HA1 : C1 = 0,1 mol.L −1 Pour l'acide HA2 : C2 = 0,1 mol.L Le pH à l’équivalence de chacune des deux courbes permet de conclure sur la nature de chaque acide. HA1 est un acide fort. AH2 est un acide faible (voir §4.4.1 de ce chapitre). Exercice 10 : Extrait du BTS Travaux Publics 2002 1. Le calcul de la quantité de matière permet ensuite de calculer la concentration molaire de la soude. On en déduit ensuite le pH par la formule classique pour les monobases fortes : Cb = 0,15 mol.L−1 pH = 13, 2 2. 2.1. Voir §4.3 de ce chapitre. 38 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides et bases fortes. 2.2. La relation des proportions stœchiométriques à l’équivalence permet de calculer la concentration molaire de l’acide dosé : Ca = 0,11 mol.L−1 2.3. Pour le point initial : Vb = 0 mL ; pH initial = 0, 96 Pour le point à l’équivalence : Vbeq = 0 mL ; pH eq = 7 Pour un volume de base infini, la courbe tend vers une asymptote horizontale: Vb∞ = ∞ ; pH ∞ = 13, 2 pH 14 12 10 8 6 4 2 0 3. Vb [mL] 0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24 Le résidu obtenu est du chlorure de sodium solide : NaCl( s ) La masse formée vaut : mNaCl = 0,128 g Exercice 11 : Extrait du BTS Travaux Publics 2005 1. Voir §2.4 du chapitre 4. 2. n A = 0, 30 mol 3. n A = 1, 0 mol 4. L’équation bilan est identique à celle du dosage. la base étant en excès par rapport à l’acide la formule du §5.4 permet de calculer le pH : pH = 13, 7 Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides et bases fortes. ■ 39 Exercice 12 : Extrait du BTS Bâtiment 2002 1. 1.1. Voir §1.3.1 de ce chapitre pour le nom et la formule de cet ion. [ H 3O(+aq ) ] = 10 −2 mol.L−1 nH O+ = 14 mol 3 ( aq ) − −12 −1 1.2. Voir §2.2 de ce chapitre : [OH ( aq ) ] = 10 mol.L − −2 −1 1.3. [Cl( aq ) ] = 10 mol.L 2. Pour neutraliser l’acide, il faut ajouter une quantité de base permettant d’atteindre exactement l’équivalence. l’équation bilan est donnée §4.3 de ce chapitre : nHO − = 14 mol ( aq ) 3. −3 −1 3.1. Ca = 12, 6.10 mol.L pH = 1, 9 3.2. nNaOH = 17, 7 mol mNaOH = 710 g Exercice 13 : Extrait du BTS Bâtiment 1997 Question Réponse 1 B 2 A 3 B 4 D 1 B 2 D 3a A 3b C Exercice 14 : Extrait du BTS Bâtiment 2001 Question Réponse Exercice 15 : Extrait du BTS Travaux Publics 1992 1. −1 1.1. Cb = 0, 02 mol.L 40 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides et bases fortes. − −1 1.2. [OH ( aq ) ] = 0, 02 mol.L [ Na(+aq ) ] = 0, 02 mol.L−1 [ H 3O(+aq ) ] = 5.10 −13 mol.L−1 1.3. pH = 12, 3 2. 2.1. A l’équivalence, les proportions sont stœchiométriques, la seule réaction est alors celle de l’autoprotolyse + − de l’eau : 2 H 2 O(l ) = H 3O( aq ) + OH ( aq ) −1 2.2. c1 = 0, 0201 mol.L 3. v =1 L Exercice 16 : Extrait du BTS Étude et Économie de la construction 2003 1. 2. Voir §2.7 de ce chapitre. mNaOH = 16 kg 3. 3.1. pH acide = 2 3.2. Pour l’équation bilan voir §4.3 de ce chapitre. [OH (−aq ) ] = 9, 5.10−3 mol.L−1 − −1 3.3. [OH ( aq ) ]' = 0,95 mol.L Cette concentration est inférieure à 1 mol.L-1. La solution n’est donc plus utilisable. Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides et bases fortes. ■ 41 42 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 5 : acides et bases fortes. Eléments de correction des exercices du chapitre 6 : Oxydoréduction : application à la protection contre la corrosion et aux dosages rédox. Contrôle des connaissances Exercice 1 : écriture de ½ équations rédox Voir § 1.5 de ce chapitre. Couple rédox ½ équation rédox Fe2 + + 2e − = Fe 2+ Fe / Fe O2 / H 2 O Cl2 / Cl + Couple rédox 3+ Fe / Fe − 2+ O2( g ) +4 H ( aq ) + 4e = 2 H 2 O(l ) O2 / OH Cl2( g ) + 2e − = 2Cl − H ( aq ) / H 2 − − ½ équation rédox Fe3+ + e − = Fe2 + O2( g ) +2H 2 O( l ) + 4e − = 4 HO − ( aq ) + 2 H ( aq ) + 2e − = H 2( g ) + Exercice 2 : Applications de la règle du gamma L’application de la règle du gamma permet de connaître la possibilité ou non d’une réaction : Métal + solution ionique Lame de fer + sulfate de cuivre (II) Lame de cuivre + sulfate de fer (II) Lame de zinc + chlorure de fer (II) Lame de cuivre + chlorure d’étain Réaction : oui/non Oui Non Oui Non Équation-bilan Cu(2aq+ ) + Fe( s ) = Cu( s ) + Fe(2aq+ ) Fe(2aq+ ) + Zn( s ) = Fe( s ) + Zn(2aq+ ) Exercice 3 : Association de demi-pile Voir §5.2 de ce chapitre : On suppose pH = 0 et que toutes les solutions dans lesquelles plongent les lames métalliques sont à la concentration : C = 1 mol.L-1 e- Anode Compartiment de gauche Compartiment de droite Anode Cathode Équation-bilan U U V V I + Cathode Lame de fer + sulfate de fer (II) Lame de cuivre + sulfate de cuivre (II) Lame de fer (côté oxydation) Lame de cuivre (côté réduction) Cu(2aq+ ) + Fe( s ) = Cu( s ) + Fe(2aq+ ) + I e- Cathode Anode Lame de fer + chlorure de fer (II) Lame de zinc + chlorure de zinc (II) Lame de zinc (côté oxydation) Lame de fer (côté réduction) Fe(2aq+ ) + Zn( s ) = Fe( s ) + Zn(2aq+ ) Eléments de correction des exercices du chapitre 6 : Oxydoréduction : application à la protection contre la corrosion et aux dosages rédox ■ 43 Valeur de la tension U U =E 0 + Cu(2aq ) / Cu( s ) −E 0 + Fe(2aq ) / Fe( s ) 0 U = EZn 2+ = 0, 78 V ( aq ) / Zn( s ) 0 − EFe 2+ ( aq ) / Fe( s ) = −0, 32 V La tension est ici négative car elle est orientée du + vers le - Exercice 4 : Immunité d’un métal Voir §5.3 de ce chapitre : E (V) O2(g) H2O(l) Cu2+(aq) Cu(S) Fe2+(aq) Revêtement Métal corrodé Métal immunisé Protection assurée après rayure ? Fe(S) E (V) O2(g) H2O(l) 0,34 V Fe2+(aq) Fe(S) -0,44 V Sn2+(aq) 1,23 V Sn(S) -0,44 V -0,76 V Cuivre Etain Fer Etain Cuivre Fer Non, le fer est corrodé Oui, le fer est plongé dans son domaine d’immunité E (V) E (V) O2(g) H2O(l) 1,23 V O2( g ) H 2 O( l ) 1,23 V Fe2+(aq) Fe(S) -0,44 V Fe(2aq+ ) Fe( s ) -0,44 V -2,38 V Zn(2aq+ ) Zn( s ) -0,76 V Ni2+(aq) Revêtement Métal corrodé Métal immunisé Protection assurée après rayure ? 1,23 V Ni(S) Remarque : l’application de la règle du gamma montre que le fer devrait être immunisé. Dans la réalité, le nickel est passivé ce qui le rend moins réducteur que le fer. Les résultats ci-dessous tiennent compte de ce fait. Nickel Zinc Fer Zinc Nickel passivé Fer Non, le fer est corrodé Oui, le fer est plongé dans son domaine d’immunité 44 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 6 : Oxydoréduction : application à la protection contre la corrosion et aux dosages rédox. Exercices et extraits d’annales Exercice 5 : Extrait du BTS Travaux Publics 2003 1. Il s’agit d’une erreur, cette question est à supprimer. 2. 2.1. Le sens de la réaction est justifié à l’aide de la règle du gamma. L’ion permanganate joue le rôle d’oxydant. 2.2. Voir §6 de ce chapitre. 2 MnO4 + 5 SO2 + 2 H 2 O = 2 Mn 2 + + 5 SO4 + 4 H + - 2.3. 2- 2.4. A l’équivalence, la relation des proportions stœchiométriques permet de trouver le facteur 5/2. 3. 3.1. Voir §6 de ce chapitre. −2 −1 3.2. CSO2 = 5, 0.10 mol.L Exercice 6 : Extrait du BTS Travaux Publics 1995 1. L’application de la règle du gamma permet de montrer que l’oxydant est l’ion permanganate tandis que le réducteur est le dioxyde de soufre. Voir §6 de ce chapitre pour le repérage de la fin de réaction. 2. La relation des proportions stœchiométriques à l’équivalence permet de trouver la relation entre les deux quantités de matière. nMnO − = 62, 5.10 −6 mol 4 3. nSO2 = 156.10 −6 mol 4. nSO2 ' = 7,81.10 −3 mol 5. mS = 0, 25 g Cette masse est inférieure au 0,3 g requis par la législation. La teneur en soufre est donc conforme à la loi. Exercice 7 : Extrait du BTS Bâtiment 2004 1. La donnée des potentiels (qui en fait ne sont pas standards pour le couple O2/OH-) montre que l’oxydant le plus fort est O2. 2. Al 3+ + 3e − = Al 3. O2( g ) +2H 2 O(l ) + 4e − = 4 HO − ( aq ) Eléments de correction des exercices du chapitre 6 : Oxydoréduction : application à la protection contre la corrosion et aux dosages rédox ■ 45 Pour le rôle joué par O2 voir §1.5 de ce chapitre. 4. Voir § 1.6 de ce chapitre. 5. L’équation bilan à prendre en compte pour la résolution de cette question est la suivante : 3O2( g ) +6H 2 O( l ) + 4 Al( s ) = 4 Al (OH )3( s ) En supposant la réaction totale et dans les proportions stœchiométriques, le bilan chimique donne : m Al = 5, 5 g Exercice 8 : Extrait du BTS Travaux Publics 1993 1.1. Fe 2 + + 2e − = Fe et Zn = Zn 2 + + 2e − Pour préciser la nature des réactions ayant lieu sur chacune des deux électrodes, voir §2.5 de ce chapitre. 1.2. Fe(2aq+ ) + Zn( s ) = Fe( s ) + Zn(2aq+ ) Pour la notion de protection par le zinc, voir §5.4 de ce chapitre. 1.3. Pour la polarité de la pile voir §2.5 de ce chapitre. 0 U = EFe 2+ ( aq ) 2. / Fe( s ) 0 − EZn 2+ ( aq ) / Zn( s ) = 0, 32 V Voir §3.2 de ce chapitre pour le bilan molaire dans les proportions stœchiométriques. Il faut ensuite tenir compte du % de zinc effectivement consommé. On obtient ainsi : mZn = 4, 5 kg Exercice 9 : Extrait du BTS Travaux Publics 1990 1. Voir §5.4 de ce chapitre Zn = Zn 2 + + 2e − 2. 6 Voir 3.2 de ce chapitre : Q = 15.10 C 3. Voir §3.1 de ce chapitre : τ Pr otection = 10 ans et 145 jours Exercice 10 : Extrait du BTS Bâtiment 1998 1. Voir §5.4 de ce chapitre. 2. Voir §5.4 de ce chapitre. Mg = Mg 2 + + 2e − 3. La canalisation joue le rôle de cathode. 4. Voir §3.2 de ce chapitre pour le bilan molaire dans les proportions stœchiométriques. Il faut ensuite tenir compte du % de zinc effectivement consommé. On obtient ainsi : mMg = 150 g 46 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 6 : Oxydoréduction : application à la protection contre la corrosion et aux dosages rédox. Exercice 11 : Extrait du BTS Bâtiment 2002 1. L’application de la règle du gamma permet d’expliquer pourquoi le zinc est attaqué par les pluies acides et pourquoi le cuivre ne l’est pas. 2. L’application de la formule fournie par l’énoncé donne : m = 16,5 g Cette masse correspond à une épaisseur : e = 4,8 µ m La consommation totale de la plaque permet de calculer la durée de vie maximale : τ Max = 208 ans 3. 4. + 2H 3O( aq ) + Zn( s ) = 2 H 2 O(l ) + H 2( g ) + Zn(2aq+ ) Le bilan chimique de la réaction dans les proportions stœchiométriques permet de montrer : nH O + = 0, 50 mol 3 V pluie = 0,51 m 3 Exercice 12 : Extrait du BTS Étude et Économie de la construction 1998 1.1. L’application de la règle du gamma permet de montrer que la seule réaction possible est : Cu(2aq+ ) + Fe( s ) = Cu( s ) + Fe(2aq+ ) Remarque : les ions sulfate sont spectateurs, ils ne participent pas à la réaction. 1.2. L’application de la règle du gamma permet de montrer qu’aucune réaction ne se produit. 2. 2.1. Cette question comporte une grosse erreur car les deux possibilités sont envisageables (voir §5.5 de ce chapitre) 2.2. Voir §5.4 de ce chapitre. Le magnésium est également envisageable comme anode sacrificielle. Par contre le cuivre ne l’est pas. 3. 2+ − 3.1. Voir §5.4 de ce chapitre : Zn = Zn + 2e 6 3.2. Voir §3.2 de ce chapitre : Q = 15.10 C τ Max = 14 ans Exercice 13 : Extrait du BTS Étude et Économie de la construction 2005 La relecture des chapitres 5 et 6 permet de trouver dans le cours toutes les justifications aux réponses citées cidessous : Eléments de correction des exercices du chapitre 6 : Oxydoréduction : application à la protection contre la corrosion et aux dosages rédox ■ 47 48 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 6 : Oxydoréduction : application à la protection contre la corrosion et aux dosages rédox. Eléments de correction des exercices du chapitre 7 : chimie organique ; synthèse de polymères. Contrôle des connaissances Exercice 1 : Nomenclature et formules moléculaires Formule semidéveloppée Formule brute Nom CH3 C Formule brute Nom CH3 CH3 CH2 CH3 CH2 CH2 n C4H8 C3H8 C2nH4n méthylpropène propane polyéthylène CH Formule semidéveloppée CH2 CH2 Remarque : le noyau benzénique a été laissé sous forme topologique pour ne pas surcharger l’écriture. CH2 CH CH2 CH3 CH3 Cl C8H8 C3H6 C2H3Cl Styrène propène chloroéthane Exercice 2 : Equations-bilans Réaction Combustion complète du méthylpropane Voir §3.3.1 de ce chapitre Équation-bilan 13 C4 H10 + O2 = 4CO2 + 5H 2 O 2 5 C2 H 2 + O2 ( g ) = 2CO2( g ) + H 2 O( g ) 2 Combustion complète de l’acétylène Voir §3.3.1 de ce chapitre Addition de chlorure d’hydrogène sur l’éthylène Voir §5.3 de ce chapitre Polymérisation du chlorure de vinyle : Voir §7.4.1 et §7.4.2 de ce chapitre C2 H 4 + HCl = C2 H 5Cl n CH Cl CH2 = CH Cl CH2 n Eléments de correction des exercices du chapitre 7 : chimie organique ; synthèse de polymères ■ 49 Exercice 3 : Obtention des hydrocarbures 1. Les alcanes sont obtenus par distillation des pétroles. 2. Voir §5.1 de ce chapitre. Exercice 4 : Extrait BTS Bâtiment 2001 Il manque un cœfficient stœchiométrique 2 devant C8H18 pour la réponse A. Question n° Réponse 1 A 2 C Exercice 5 : Combustion complète d’alcanes 1. La combustion complète d’un alcane (dans l’air ou le dioxygène) libère comme seuls produits du dioxyde de carbone et de l’eau : CH 4 + 2O2 = CO2 + 2 H 2 O méthane 25 O2 = 8CO2 + 9 H 2 O 2 C15 H 32 + 23O2 = 15CO2 + 16 H 2 O C8 H18 + octane pentadécane 2. Il est nécessaire de commencer par calculer la masse puis la quantité de matière comprise dans 1L de chacun de ces composés : Masse d’alcane brûlé Masse molaire nAlcane méthane 424 g M(CH4) = 16 g.mol-1 26,5 mol octane 703 g M(C8H18) = 114 g.mol-1 6,17 mol pentadécane 769 g M(C15H32) = 212 g.mol-1 3,63 mol Il faut ensuite écrire la relation des proportions stœchiométriques : Relation des proportions stœchiométriques méthane octane pentadécane nCO2 = nCH 4 nCO2 = 8nC8 H18 nCO2 = 15nC15 H 32 On peut ainsi en déduire la quantité de matière de CO2 formée dans chacun des trois cas : n(CO2) méthane 26,5 mol octane 49,3 mol pentadécane 54,4 mol Il ne reste plus qu’à multiplier les résultats précédents par le volume molaire des gaz parfaits pour trouver les résultats recherchés : V(CO2) méthane 663 L octane 1,23 m3 50 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 7 : chimie organique ; synthèse de polymères. pentadécane 1,36 m3 Exercices et extraits d’annales Exercice 6 : Extrait du BTS Cira 1994 1. Voir §2.4.1 de ce chapitre. 2. La formule du §1.4 du chapitre 10 (également présente dans les données de l’exercice) permet de calculer la -1 masse molaire recherchée : M Alcène = 56 g.mol La masse molaire des alcènes peut s’exprimer en fonction du nombre n d’atome de carbone présents dans cette molécule (voir question 3 de l’exercice 7 du chapitre 2). On peut ainsi en déduire n puis la formule brute de l’alcène recherché : C4 H 8 3. 4. H Priv C H H Priv H Priv C H Priv H Priv C H H Priv H Priv C H Priv C H Priv (E)-but-2-ène H C C H C H H Priv H Priv H Priv (Z)-but-2-ène H Priv H Priv H Priv H C C C C H H Priv H Priv but-1-ène Remarque : un autre isomère est possible, il s‘agit du méthylpropène : H Priv H C C C H C H Priv 5. H Priv H Priv H Priv H Priv C4 H 8 + Cl2 = C4 H 8Cl2 En partant de l’un des deux diastéréo-isomères du but-2-ène on obtient le 2,3-dichlorobutane. En partant du but-1-ène on obtient le 1,2-dichlorobutane. Exercice 7 : Extrait du BTS Travaux Publics 1996 1. 1.1. Ces deux molécules font partie de la famille des hydrocarbures. Pour leurs noms systématiques voir §2.3.1 de ce chapitre. Eléments de correction des exercices du chapitre 7 : chimie organique ; synthèse de polymères ■ 51 1.2. Voir 1.1 et 1.2 de ce chapitre. 2. Voir §3.2.1 de ce chapitre. 3. 3.1. mC7 H l 6 = 504 g mC8 H l 8 = 216 g 3.2. On suppose une combustion complète dans les proportions stœchiométriques. Il faut alors réaliser deux bilans chimiques (un pour chacun des composés). Le volume de dioxygène nécessaire est alors la somme 3 des deux résultats obtenus pour chaque bilan : VO2 = 1,8 m 3 3.3. Voir § 3.1 de ce chapitre : VAir = 8,9 m 4. 4.1. Voir §7.4.1 de ce chapitre. 4.2. Voir §7.4.2 de ce chapitre. 4.3. Voir §7.3.1 de ce chapitre : n = 1430 Exercice 8 : Extrait du BTS Bâtiment 1997 1. CH3 CH3 CH2 CH2 CH2 CH2 CH3 CH3 CH CH2 CH2 CH3 CH3 n-hexane 2-méthylpentane CH3 C CH2 CH3 CH3 2,2-diméthylbutane Pour la notion d’isomérie voir 2.2 de ce chapitre. 2. Voir §3.2.1 de ce chapitre. 3. 3.1. Après calcule de la quantité de matière de carburant utilisé, la donnée du PCI permet d’obtenir : Q = 2,93.108 J 3.2. Un bilan chimique de la combustion complète dans les proportions stœchiométriques permet de montrer 3 que : VCO2 = 10 m 52 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 7 : chimie organique ; synthèse de polymères. Exercice 9 : Extrait du BTS Bâtiment 1999 1. Voir §2.1.2 de ce chapitre. 2. Voir §7.4.1 et §7.4.2 de ce chapitre. 3. Voir §7.3.1 de ce chapitre : n = 250 4. Voir §3.2.1 de ce chapitre. 5. Le calcul préalable de la quantité de matière consommée permet de calculer l’énergie libérée par la combustion : Q = 218 kJ 6. Wélec = 65,5 kJ 7. Voir §1.8 du chapitre 9 : t = 18 min Une combustion n’est jamais totalement complète. D’autre part, les rendements sont toujours connus avec une précision assez faible. Enfin, le fabriquant a très certainement pris une marge de sécurité sur le résultat fourni afin de ne pas être attaqué pour publicité mensongère. Exercice 10 : Extrait du BTS Travaux Publics 1998 1. Voir §2.3.1 de ce chapitre. 2. Voir §2.3.2 de ce chapitre. 3. Les deux mol écules sont le butane et le méthylpropane. Les formules développées sont simples à trouver après lecture du §2.3.3 de ce chapitre. Voir §2.2 pour la dernière partie de la question. 4. 4.1. L’équation squelette (non équilibrée) est la suivante : C6 H12 O6 = CO2 + CH 4 3 4.2. Un bilan chimique dans les proportions stœchiométriques permet de montrer : mC6 H l 2 O6 = 1,58.10 kg 3 4.3. mCO2 = 1,15.10 kg VCO2 = 630.103 m3 5. L’effet de serre est du à l’absorption par les gaz situés dans l’atmosphère (CH4, CO2, H2O…) du rayonnement infrarouge émis par la Terre. L’augmentation des quantités de ces gaz dans l’atmosphère tend à diminuer l’albédo pour la Terre (l’albédo est le rapport entre l’énergie reçue et celle émise par a Terre). l’augmentation de l’effet de serre a pour conséquence une augmentation des températures moyennes. Exercice 11 : Extrait du BTS Bâtiment 2000 Question n° Réponse 1 C 2 B 3 A 4 B 5 D 6 D Eléments de correction des exercices du chapitre 7 : chimie organique ; synthèse de polymères ■ 53 Exercice 12 : Extrait du BTS Bâtiment 1997 1. Le bilan chimique dans les proportions stœchiométriques permet d’obtenir : mH 2O = 2,3 kg Q = 56 MJ 2. Voir §3.3 de ce chapitre : Qsup = 5,1 MJ Cette technique permet donc de « récupérer » environ 9% d’énergie en plus. Exercice 13 : Extrait du BTS Travaux Publics 1999 1. 1.1. Voir §3.2.1 de ce chapitre. 3 1.2. .Le bilan chimique dans les proportions stœchiométriques permet de trouver : VCO2 = 35, 0 m 2. 2.1. Q = 642 kJ 2.2. Voir §1.8 du chapitre 9 : t = 57 heures 11 min 3 2.3. Il faut avoir étudié le chapitre 9 pour répondre à cette question : meau = 2,19.10 kg Exercice 14 : Extrait du BTS Bâtiment 2001 1. La formule brute est donnée par : C20 H 42 La masse molaire se calcule comme au §4.2 du chapitre 2. Voir §3.2.1 pour l’équation bilan de la réaction. 2. 3. nC20 H 42 = 0,566 mol Le bilan molaire dans les conditions stœchiométriques donne : mCO2 = 1,13 kg 54 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 7 : chimie organique ; synthèse de polymères. Exercice 15 : Extrait du BTS Étude et Économie de la Construction 2000 1.1. CH3 CH2 CH2 CH2 CH3 CH3 CH3 CH CH2 CH3 CH3 C CH3 CH3 CH3 n-pentane CH2 2-méthylbutane 2,2-diméthylpropane Les trois formules brutes sont identiques. 1.2. Voir §2.2 de ce chapitre. 2. 2.1. Voir §3.2.1 de ce chapitre. 2.2. Le bilan chimique dans les proportions stœchiométriques permet de trouver : VCO2 = 300 L 3. 3.1. Voir §7.4.1 de ce chapitre. 3.2. Voir §7.4.1 de ce chapitre. 3.3. M polymère = 156 kg .mol −1 Exercice 16 : Extrait du BTS Bâtiment 2000 1. 1.1. F F C C F F Remarque : les doublets non liants sur les atomes de fluor n’ont pas été représentés. 1.2. Voir §7.4.1 de ce chapitre. 1.3. H F C F C Cl Remarque : les doublets non liants sur les atomes de fluor et l’atome de chlore n’ont pas été représentés. Eléments de correction des exercices du chapitre 7 : chimie organique ; synthèse de polymères ■ 55 1.4. 2CHF2 Cl = C2 F4 + HCl 3 1.5. On suppose la réaction totale et dans les proportions stœchiométriques : mCHF2 Cl = 1, 7.10 kg 2. 2.1. M C2 F4 C = 100 g .mol −1 2.2. Voir §7.3.1 de ce chapitre. 2.3. n = 10000 56 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 7 : chimie organique ; synthèse de polymères. Eléments de correction des exercices du chapitre 8 : transfert thermique en régime permanent. Contrôle des connaissances Exercice 1 : Calcul de la résistance thermique surfacique d’un mur composite rM1M 3 = ri + M4 M3 e3 4 M6 M5 Extérieur Intérieur M1 M2 M7 rM1M 4 = ri + rM1M 6 = ri + ep λp ep λp + ep rM1M 5 = ri + λp + e ps λ ps + λp rM 5 M 7 = λ ps e ps ep eb rM1M 7 = ri + λb ep λp + e ps λ ps + eb 4λb 3eb + re 4λb + e ps λ ps + eb λb + re Exercice 2 : Puissance et énergie des pertes thermiques d’un bâtiment 1. Φ1 = {K1[0, 75(2 L + 2l ) H + Ll ] + 0, 25K 2 (2 L + 2l ) H + K 3 Ll}{θint − θ ext } Application numérique : Φ1 = 90 kW 2. Compte tenu de l’unité du tarif, la puissance doit être exprimée en kW et le temps en heures : Pr ix = Φ × t × tarif ; application numérique : Pr ix = 27397, 44 € Exercice 3 : Tracé d’un diagramme de température On suppose la même paroi que dans l’exercice 1 1. ϕ1 = θ int − θ ext rM1M 7 −2 ; application numérique : ϕ = 7,82 W .m 2. M2 θ M 2 = θint − ϕ .ri θ M 2 = 19,1°C M3 θ M 3 = θint − ϕ (ri + θ M 3 = 18,9°C M4 ep λp ) θ M 4 = θext + ϕ (re + θ M 4 = −3, 4°C M5 eb λb ) θ M 5 = θext 3 e + ϕ (re + × b ) 4 λb θ M 5 = −3, 7°C M6 θ M 6 = θext + ϕ .re θ M 6 = −4,5°C Eléments de correction des exercices du chapitre 8 : transfert thermique en régime permanent ■ 57 3. Choix possible pour les échelles : 1 cm en abscisse représente 2 cm d’épaisseur réelle de cloison ; 1 cm en ordonnée représente 5°C. Pour le détail du tracé voir §5.4 de ce chapitre. θ [ °C] θM1 θM2 θM3 θM4 θM6 θM7 x[ m ] Exercices et extraits d’annales Exercice 4 : Extrait du BTS Bâtiment 2000 1. L’expression littérale de K est obtenue par application des formules §5.1 et §5.2 de ce chapitre. K = 0, 265 W .m −2 .K −1 2. Attention, dans le cas présent θint<θext, le transfert d’énergie a lieu de l’extérieur vers l’intérieur : ϕ = 5, 29 W .m −2 3. θ si = 20,3°C θ se = 39, 4°C Exercice 5 : Extrait du BTS Etude et Economie de la Construction 1993 1. R1 = 0,179 m 2 .K .W −1 K1 = 5, 60 W .m −2 .K −1 ϕ1 = 83,9 W .m −2 2. R2 = 0,307 m 2 .K .W −1 K 2 = 3, 26 W .m −2 .K −1 ϕ2 = 48,9 W .m −2 3. 4. Le passage du simple au double vitrage engendre une diminution d’environ 42% des pertes thermiques au travers des fenêtres. Pour le simple vitrage : θ si1 = 10,8°C 58 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 8 : transfert thermique en régime permanent. Pour le double vitrage : θ si2 = 14, 6°C 5. Pour le simple vitrage : θ se1 = 10, 0°C Pour le double vitrage : θ1 = 14,5°C Pour le double vitrage : θ 2 = 8,1°C Pour le double vitrage : θ se2 = 7,9°C L’allure des diagrammes de température pour le simple et le double vitrage est donnée page suivante. θ [ °C] θ [ °C] θint θint θsi θ1 θsi θse θ2 θse θext θext x[ m ] x[ m ] Exercice 6 : Extrait de BTS 1.1. L’énoncé ne donne aucune indication sur les résistances thermiques surfaciques. Nous supposerons donc que la différence de température ∆θ correspond à la différence entre les températures superficielles : ∆θ = θ si − θ se On en déduit l’expression du flux en ne tenant compte que du seul terme de conduction : Φ = λ e ∆θ .S 1.2. Φ = K ∆θ S Φ= 2. 3. ∆θ R S Pour toutes ces parois, la température de l’air est identique des deux côtés, il n’y a donc aucun transfert thermique. S F = 0, 77 m 2 Eléments de correction des exercices du chapitre 8 : transfert thermique en régime permanent ■ 59 SM = 24, 2 m 2 4. L’expression littérale de Rm s’obtient en appliquant la formule du §5.1 de ce chapitre. RM = 0,526 m 2 .K .W −1 5. L’expression littérale de ϕm s’obtient en appliquant la formule du §5.1 de ce chapitre. ϕ m = 28,5 W .m −2 6. L’expression littérale s’obtient en appliquant la formule du §1.7 de ce chapitre. Φ m = 691 W 7. 7.1. l’expression littérale s’obtient en appliquant les relations des §1.6 et §1.9 de ce chapitre. −2 7.2. ϕ m = 63, 6 W .m Exercice 7 : Extrait du BTS Bâtiment 1981 1. Pour l’isolation intérieure : rA = 1, 7 m 2 .K .W −1 K A = 0,58 W .m −2 .K −1 Pour l’isolation extérieure : rB = 1, 7 m 2 .K .W −1 K B = 0,58 W .m −2 .K −1 2. Pour l’isolation intérieure : θ si = 18, 4°C θ1 = 18, 2°C θ 2 = −2, 0°C θ se = −4,1°C Pour l’isolation extérieure : θ si = 18, 4°C θ1 = 16,3°C 60 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 8 : transfert thermique en régime permanent. θ 2 = −3,9°C θ se = −4,1°C L’allure des deux diagrammes de températures est classique et ne présente aucune difficulté. 3. Avec la précision retenue pour les résultats de la question 1, les deux solutions sont équivalentes au niveau de la puissance des pertes aux travers des murs. 4. 4.1. Dans le cas de l’isolation thermique par l’extérieur, les murs en béton sont plus chauds que dans le cas de l’isolation thermique par l’intérieur. L’inertie thermique est ainsi plus grande dans le cas de l’isolation par l’extérieur. Pour une même puissance de chauffage, il faudra ainsi davantage de temps dans le cas de l’isolation thermique par l’extérieur pour atteindre le régime permanent que dans le cas de l’isolation par l’intérieur. De même, en cas de coupure du chauffage, l’équilibre thermique de l’ensemble de la maison avec l’extérieur sera obtenu plus rapidement dans le cas de l’isolation thermique par l’intérieur que dans le cas de l’isolation thermique par l’extérieur. Le « volant thermique » est donc meilleur dans le cas de l’isolation thermique par l’extérieur (ce principe se retrouve dans les radiateurs à accumulation). 4.2. La condensation de la vapeur d’eau se produit dès que la température du point de rosée est atteinte (voir §5.4 du chapitre 9). La solution de l’isolation thermique par l’extérieur permet d’obtenir des températures plus élevées dans le béton, les risques de condensation seront donc moins importants que dans le cas de l’isolation thermique par l’intérieur. Exercice 8 : Extrait du BTS Bâtiment 1996 1. Il existe trois modes de transmission de l’énergie sous forme de chaleur (§2, §3 et §4 de ce chapitre). 2. En utilisant les relations §3.3 et §5.2, on peut montrer que Φ = ∆θ R . L’unité de R est donnée §3.3 de ce chapitre. 3. 3.1. L’énoncé ne fourni aucune indication sur les cœfficients de transfert hi et he ou sur les résistances thermiques de surface. Ces termes ne peuvent donc être pris en charge pour la suite de la résolution. Seuls les termes de conduction seront retenus pour les calculs. r = 0, 42 m 2 .K .W −1 3.2. L’expression littérale du flux est obtenu en remplaçant la surface par son expression littérale dans les relations §1.7 et §5.3. Φ = 8, 6 kW 3.3. Avec les mêmes remarques que pour la question 2 de l’exercice 2, on trouve : Pr ix = 2448,32 € 4. 4.1. L’expression littérale de la résistance thermique pour 1 m2 de surface ne contient que les trois termes de conduction. r ' = 1, 7 m 2 .K .W −1 4.2. Economie réalisée : Pr ix − Pr ix ' = 1821,96 € Eléments de correction des exercices du chapitre 8 : transfert thermique en régime permanent ■ 61 Exercice 9 : Extrait du BTS Bâtiment 2001 La question 2 du livre ne fournit que des données. La question 3 du livre est à supprimer totalement. La vraie question 2 correspond donc à la question 4 du livre. 1. Φ1 = ( K1 SM + K 2 S F + K 3 S P )(θ i − θ e ) ; application numérique : Φ1 = 5,37 kW 2. rci = 3. rcf = 4. ϕ1 = 1 e1 e2 2 −1 + + ; application numérique : rci = 0,147 m .K .W h λ1 λ2 e3 λ3 Φ1 S e4 + λ4 2 −1 ; application numérique : rcf = 2, 64 m .K .W −2 ; application numérique : ϕ1 = 44,8 kW .m θ s = θ i + ϕ1 . 1 ; application numérique : θ s = 24,5 °C h θ c = θ i + ϕ1 .rci ; application numérique : θ s = 26, 6 °C θc − θ F .S ; application numérique : Φ 2 = 1,12 kW 5. Φ2 = 6. Compte tenu de l’unité du tarif, les puissances doivent être exprimées en kW et le temps en heures : Pr ix = rcf Φ1 + Φ 2 0,8 × t × tarif ; application numérique : Pr ix = 4,15 € Exercice 10 : Extrait du BTS Travaux Publics 1982 (corps noir et photométrie) 1. La loi de Bouguer (§1.8 du chapitre 13) est applicable à condition de remplacer l’éclairement par la constante solaire recherchée. ϕ = 1,3 kW .m −2 1 2. La température d’équilibre du corps noir est donnée par : TCN ϕ 4 = σ numériquement : TCN = 364 K ou encore : θCN = 91 °C 3. 4. La première loi de Wien permet de calculer la longueur d’onde du maximum d’émission : λ = 8, 0 µ m . La comparaison de cette valeur avec le spectre des ondes électromagnétiques §4.2 de ce chapitre permet de conclure sur le nom du rayonnement émis. La lame de verre doit être considérée comme un corps noir vis-à-vis du rayonnement infrarouge et totalement transparente pour la lumière visible. Cette vitre absorbe intégralement le rayonnement émis par le corps noir et réémet suivant ses deux faces extérieures. En appelant TV sa température son bilan énergétique exprimé en terme de puissances pour un régime permanent est donc donné par : 62 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 8 : transfert thermique en régime permanent. 4 2σ TV4 = σ TCN Pour le corps noir, il absorbe totalement le rayonnement solaire traversant la vitre, mais également la totalité du rayonnement infrarouge provenant de la surface inférieure de la vitre. En régime permanent, le bilan des puissances s’écrit donc : 4 ϕ + σ TV4 = σ TCN La résolution de ce système de deux équations à deux inconnues permet de connaître TV et TCN. TCN = 433 K TV = 364 K Exercice 11 : Extrait du BTS Travaux Publics 1986 1. Psup lémentaire = 9,8 kW 2. Le panneau ne reçoit du rayonnement que par une seule surface tandis qu’il rayonne comme un corps noir sur 1 ses deux surfaces : TCN 0, 4ϕ 4 = 2σ Numériquement : TCN = 265 K Pour les essais sur Terre, on peut supposer que l’air rayonne également suivant un corps noir à la température 4 4 T1 = 291, 15 K. Le bilan en puissance pour le régime permanent permet alors d’écrire : 0, 4ϕ '+ 2σ T1 = 2σ TCN TCN = 313 K Eléments de correction des exercices du chapitre 8 : transfert thermique en régime permanent ■ 63 64 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 8 : transfert thermique en régime permanent. Eléments de correction des exercices du chapitre 9 : thermodynamique. Contrôle des connaissances Exercice 1 : Freinage d’un véhicule 1. Prenons comme système la voiture munie de ses quatre freins à disque. En supposant la transformation adiabatique, nous pouvons écrire : ∆ EC + ∆ H = 0 1 En développant cette expression, nous obtenons : (0 − mv 2 ) + 4 × π r 2 e ρ c p ∆θ = 0 2 En isolant ∆θ, on obtient finalement : ∆θ = 2. mv 2 8π r 2 e ρ c p Attention car cp doit être converti si on laisse la masse exprimée en kg : ∆θ = 38, 4°C Prenons comme système la voiture munie de ses quatre freins à disque. Les vitesses initiale et finale sont identiques, la variation d’énergie cinétique du système est donc nulle. En supposant la transformation adiabatique, nous pouvons écrire : ∆ EP + ∆ H = 0 En développant cette expression, nous obtenons : (mgh finale − mghinitiale ) + 4 × π r 2 e ρ c p ∆θ = 0 En isolant ∆θ, on obtient finalement : ∆θ = mghinitiale − mgh finale 8π r 2 eρ c p Attention car cp doit être converti si on laisse la masse exprimée en kg : ∆θ = 4377°C Ce résultat montre clairement qu’un autre type de freinage doit venir en complément (frein moteur, frein électromagnétiques…). Pour mémoire, la température de fusion du tungstène est de 3482°C et c’est l’un des métaux dont la température de fusion est la plus élevée (c’est d’ailleurs pour cette raison que les filaments d’ampoules à incandescence sont en tungstène). Exercice 2 : Calcul de PCI Données : capacité thermique massique de l’eau : c = 4,19 kJ.kg-1.K-1, masse volumique de l’eau : 1000 kg.m-3. Raisonnons sur le système « eau ». Exprimons le premier principe en ne supposant aucune perte thermique (toute l’énergie sert effectivement à chauffer l’eau) : ∆ H eau = mPCI . A pression constante et en l’absence d’échange d’énergie sous forme de travail, on obtient : ρVc p (θ finale − θ initiale ) = mPCI D’où : PCI = ρVc p (θ finale − θinitiale ) m −1 Numériquement (attention aux conversions !) : PCI = 30 MJ .kg Eléments de correction des exercices du chapitre 9 : thermodynamique ■ 65 Exercice 3 : Puissance d’un radiateur à eau V = DV (voir §2.1 chapitre 12). Raisonnons sur le t = Pchauffage t . A pression constante et en l’absence d’échange Pour cet exercice, il est nécessaire de connaître la relation : système « eau ». Exprimons le premier principe : ∆ H eau d’énergie sous forme de travail, on obtient : ρVc p (θ E − θ S ) = Pchauffage t . D’où : Pchauffage = ρVc p (θ E − θ S ) t = ρ DV c p (θ E − θ S ) ; application numérique : Pchauffage = 2,8 kW Exercice 4 : Équivalence entre différentes énergies Système Sac de ciment h= Formule AN E mg h = 10 km Remarque : la valeur de g diminue avec l’altitude. Récepteur électrique Gaz ∆V = − E P ∆V = −18 m 2 diminution de volume t= ER U2 t = 12 min Voiture v= 2E m v = 98 m.s -1 Eau m= E c p ∆θ m = 9,5 kg Exercice 5 : Calcul de mélanges Le système envisagé est pour chaque ligne l’ensemble des constituants présent dans l’état initial. En appliquant le premier principe nous obtenons : ∆ H initialement glace + ∆ H initialement eau liquide + ∆ H initialement eau vapeur = O On supposera : θ fusion = 0 °C ; θ ébullition = 100 °C Il n’est peut être pas inutile de rappeler : LLiquéfaction ou condensation = − Lvaporisation Pour résoudre l’exercice, il est nécessaire de faire une hypothèse : l’état final est constitué d’eau entièrement sous forme liquide. Les quatre expressions algébriques du premier principe correspondant aux quatre lignes sont les suivantes : ⇒ Pour la 1ère ligne : m1cglace (θ fusion − θ g ) + m1 LF + m1ceau liquide (θ Finale − θ fusion ) + + m2 ceau liquide (θ Finale − θ l ) = O Cette équation permet de trouver la valeur de θFinale. ⇒ Pour la 2ème ligne : Si on suppose que toute l’eau est sous forme liquide dans l’état final alors : m2 ceau liquide (θ Finale − θl ) + m3 ceau vapeur (θ ébullition − θ v ) − m3 LV + m3 ceau liquide (θ Finale − θ ébullition ) = O 66 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 9 : thermodynamique. La solution pour θFinale est supérieure à 100°C, cette solution n’étant pas acceptable, il faut supposer que la vapeur d’eau ne se condense pas entièrement. L’état final contiendra donc de l’eau liquide ainsi que de l’eau vapeur. En appelant m3’ la masse de vapeur qui va réellement se condenser, on obtient : m2 ceau liquide (θ ébullition − θ l ) + m3 ceau vapeur (θ ébullition − θ g ) − m '3 LV = O On peut ainsi en déduire la valeur de m3’. ⇒ Pour la 3ème ligne : la situation est identique au cas de la seconde ligne, il est donc nécessaire de supposer que toute la vapeur d’eau ne se condense pas. m1cglace (θ fusion − θ g ) + m1 LF + m1cliquide (θ ébullition − θ fusion ) + m2 cliquide (θ ébullition − θ l ) + m3 cvapeur (θ ébullition − θ v ) − m '3 LV = O On peut ainsi en déduire la valeur de m3’. ⇒ Pour la 4ème ligne : l’état final est supposé ne contenir que de l’eau liquide. m1cglace (θ fusion − θ g ) + m1 LF + m1cliq (θ Finale − θ fusion ) + m2 cliq (θ Finale − θ l ) + m3 cvap (θ ébul − θ v ) − m '3 LV + m3 cliq (θ Finale − θ ébul ) = O On obtient ainsi le tableau de résultats suivant : État initial État final Glace θg Eau liquide θl Eau vapeur m1 = 50 g m1 = 0 m1 = 100 g m1 = 300 g - 20°C m 2 = 100 g m2 = 250 g m2=0 m 2 = 250 g 100°C 0 °C m3=0 m 3 = 100 g m3 = 100 g m 3 = 100 g -20°C - 40°C 50 °C θv 150°C 120°C 200°C mGlace mLiquide mVapeur 0 150 g 292 g 133 g 650 g 58 g 67 g 0 0 0 Température Finale θF 36,7°C 100 °C 100 °C 79 °C Exercices et extraits d’annales Exercice 6 : Extrait du BTS Travaux Publics 2000 1. Voir §4 de ce chapitre : Q p = 2,51 GJ 2. 2.1. Voir §1.8 de ce chapitre (il faut également tenir compte du rendement) : Q1 = 1,30 GJ 2.2. Voir §4 de ce chapitre : ∆θ1 = 0,52 °C 3. -1 3.1. Voir §4.4 du chapitre 8 : P2 = −447 W.m , le signe négatif provient du fait que l’énergie est cédée à l’extérieur. 9 3.2. Voir §1.6 et §1.7 du chapitre 8 : Q2 = −3,86.10 J , même remarque que précédemment pour le signe. 3.3. Voir §4 de ce chapitre : ∆θ 2 = −1,54 °C Eléments de correction des exercices du chapitre 9 : thermodynamique ■ 67 3.4. Il faut utiliser une bâche flottante qui soit un bon isolant thermique vis-à-vis du rayonnement (du type des couvertures de survie). 4. 9 L’application du 1er principe à l’eau de la piscine conduit à : ∆ H eau = −2,59.10 J 5. L’exercice 10 du chapitre 8 présente le principe d’un capteur à effet de serre. Exercice 7 : Extrait du BTS Travaux Publics 1993 1. Voir §2.5 de ce chapitre. 2. Voir §2.7 de ce chapitre. 3. Voir §2.7 de ce chapitre. 4. Voir §5.3 de ce chapitre. 5. Le système pour appliquer le 1er principe sera le cylindre d’aluminium soumis au rayonnement laser. 5.1. L’application du 1er principe de la thermodynamique donne : ∆ H1 = 155 µ J 5.2. L’application du 1er principe de la thermodynamique donne : ∆ H 2 = 263 µ J 5.3. L’application du 1er principe de la thermodynamique donne : ∆ H 3 = 3, 63 mJ 6. Voir §1.8 de ce chapitre : Plaser = 3, 63 W Exercice 8 : Extrait du BTS Bâtiment 2005 1. 2. 3. Voir §4 de ce chapitre et §1.4 du chapitre 11. Q = 1,1 MJ Voir §1.8 de ce chapitre : PA = 0,31 kW 4. 4.1. Voir §5.2 du chapitre 8. 5. 4.2. Pf = [ K1 S1 + K 2 S2 ] (θ 2 − θ1 ) 4.3. Pf = 0,17 kW 4.4. PTH = 0, 49 kW PE miniumu = 0,57 kW , il faut donc choisir un modèle dont la puissance électrique est supérieure à cette valeur. Il en résultera un fonctionnement par intermittence. 68 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 9 : thermodynamique. Exercice 9 : Extrait du BTS bâtiment 2003 1. −3 Voir §2.6 de ce chapitre : ∆ L = 1,8.10 m 2. L’application de la loi de Hooke donne : F30 = 36 kN 3. 6 Voir §4.1.1 du chapitre 11 : p30 = 36.10 Pa 4. 5. p30 360 patmos Les joints de dilatation permettent d’éviter les contraintes dues aux dilatations et responsables de fissures voire de rupture des matériaux. Exercice 10 : Extrait du BTS Bâtiment 2002 1. Après calcul de la surface, on peut montrer : P1 = 5,3 kW 2. P2 = 1, 6 kW 3. meau = 225 kg Voir §4 de ce chapitre : Q = 11 MJ 4. Voir §1.8 de ce chapitre : t = 2 heures 5. Voir §2.1 et §2.2 du chapitre12 : Dm = 31.10−3 kg .s -1 Dm = 113 L.h -1 Exercice 11 : Extrait du BTS Bâtiment 2002 1. Voir §2.5 du chapitre 1. 2. 2.1. Voir §4 de ce chapitre : Qa = 5,8 MJ 2.2. Voir §4 de ce chapitre : Qb = 1, 0 GJ 3. 3.1. Voir §2, §3 et§4 du chapitre 8. 2 −1 3.2. Voir §5.1 du chapitre 8 : R = 0,95 m .K .W Eléments de correction des exercices du chapitre 9 : thermodynamique ■ 69 −2 3.3. Voir §5.2 du chapitre 8 : ϕ = 57 W .m 3.4. Voir §1.7 du chapitre 8 : Φ = 6,1 kW 4. 4.1. Voir §4.6 du chapitre 12 : Pth = 2,5 kW 4.2. Voir §1.7 du chapitre 8 : n = 3 Exercice 12 : Extrait du BTS Étude et Économie de la construction 2000 1. Voir §4 de ce chapitre : Qb = 75 MJ 2. Voir §1.8 de ce chapitre : P = 2, 6 kW 3. Voir §1.9 de ce chapitre : Pr ix = 1, 22 € 4. En appliquant le 1er principe de la thermodynamique à l’ensemble eau chaude + eau froide, on peut montrer : θ 2 = 60 °C 5. En appliquant le 1er principe de la thermodynamique à l’ensemble eau chaude + eau froide, on peut montrer : Ppertes = 140 W Exercice 13 : Extrait du BTS Étude et Économie de la construction 1994 1. m1c1 + m2 c2 Voir §4.4 de ce chapitre en prenant ∆Hcalorimètre = 0 : θ3 = 1 + m3 c3 m1c1 + m2 c2 θ1 θ − m3 c3 θ3 = 52 °C 2. Q perdue = ( m1c1 + m2 c2 )(θ − θ1 ) + m3 c3 (θ − θ 4 ) ; application numérique : Q perdue = −5, 67 MJ 3. 3.1. m5 = m3 c3 (θ 4 − θ1 ) c3 (θ 5 − θ1 ) + Lvap 3.2. m5 = 15,5 kg 70 ■ Eléments de correction des exercices du chapitre 9 : thermodynamique.