À mes grands-mères, modèles d’abnégations, pour tout ce qu’elles ont transmis, parfois
sans s’en rendre compte.
À mes parents, pour leur soutien inconditionnel qui m’a permis d’arriver jusque là. Pour
m’avoir appris la valeur du travail, le goût du savoir, et le respect de l’autre.
À mon frère et à ma sœur, pour m’avoir aidé à grandir. Il y a encore du boulot.
À madame P. , pour tes conseils et pour ton soutien. Pour avoir fait entrer de la lumière et
les couleurs, et pour le sourire des tournesols. Tu m’apprends à mieux écouter et à mieux
regarder.
À mes amis de GROUPE pour m’avoir montré comment cultiver l’esprit critique,
l’autodérision et les plaisirs simples. Nos souvenirs partagés sont inaltérables.
À Ali, pour avoir su mettre tant de tendresse dans les instants du quotidien.
Aux belles rencontres que l’internat a mis sur ma route à Castres, à Rodez, à Tarbes, à
Auch ou à Toulouse, et à ceux qui ont décidé d’y rester (et j’en suis bien content), il se
reconnaitront.
À MariJke et BaPtiste, pour un gâteau au chocolat un soir de Saint-Valentin, qui m’a
permis de faire de jolies rencontres.
Aux amis de l’externat, on s’est éparpillé mais je n’oublie pas ce qu’on a partagé.
À mes co-internes. Le chemin est moins difficile à plusieurs.
À toutes celles et ceux, soignants ou soignés, croisés au cours de mes études, qui en
acceptant de partager un morceau de leur savoir ou un morceau de leur histoire, m’ont
permis de faire un pas de plus.