2 LA DIVINITÉ EXPLIQUÉE
Voyez? Que je connaisse Sa Parole ou pas; si seulement je Le connais,
Lui! Et c'est certainement la Vérité.
6 Ce matin, je serrais la main aux braves frères prédicateurs de cette
association, ici. Et là-bas, assis, il y avait ce... Je ne veux pas mettre qui
que ce soit en avant. Mais cet homme de couleur est entré, ce frère, il
s'est assis là. J'ai dit à mon secrétaire ici: «Voilà un vrai chrétien.»
7 Il me rappelle tellement l'Ancien Smith qui était de l'Église de Dieu
en Christ, je crois. Je prêchais tellement souvent chez eux, là-bas, et–et je
le revois encore. Il ressemblait un peu au frère ici, sauf qu'il avait un genre
de moustache grise. J'entrais par la porte arrière, et je n'ai jamais oublié
l'expression que ce vieillard utilisait; en levant les yeux, et tous les saints
étaient en train de chanter, vous savez. Et il y avait une jeune fille qui
habitait au coin. Mon chant préféré, c'était Élève-Le. Et ils tapaient tous
des mains, à la manière pentecôtiste, vous savez, Élève-Le. Ils
m'aimaient, et je les aimais. Et quand on entrait. D'habitude, il était assis
là, la tête appuyée comme ça, sur la table, et il les regardait, vous savez. Il
disait: «Entrez, ancien. Laissez reposer votre chapeau. Laissez reposer
votre chapeau.»
8 Le frère ici; et j'ai appris, alors, qu'une de mes chanteuses de
musique chrétienne préférées, c'est son épouse. Et j'ai fait toutes les
allusions possibles, pour qu'elle chante. Et, là, elle a demandé qu'on ne la
fasse pas venir, et je sais ce que ça veut dire, ça. Mais je vais l'inviter
personnellement, si elle peut, à venir chanter chez nous.
9 Mais, vous êtes bien la sœur qui a chanté–chanté ça, Ohé du
Navire! un matin aux Hommes d'Affaires Chrétiens, n'est-ce pas? [La
sœur dit: «Oui, monsieur. Oui.» – N.D.É.] J'espère que mon épouse
viendra cette semaine, et je veux qu'elle vous entende, parce que je vous
ai tellement vantée. Et si vous manquez ça, sur la bande, on va régler ça.
J'aime ces beaux chants.
10 Et, je disais aux gens, je–je n'ai jamais su chanter. Oh, j'étais à des
millions de milles de là. Mais je disais: «Si jamais vous arrivez au Ciel, que
vous vivez dans votre grand palais, vous savez, Là-haut,» je disais, «tout
en bas, au pied de la colline, au fond du bois, là-bas, il y a une petite
cabane, là. Ce sera la mienne. Et un de ces matins, quand vous sortirez
sur la véranda et que vous entendrez quelqu'un qui est là, en train de
chanter: ‘Grâce étonnante! qu'il est doux le son, qui a sauvé un misérable
comme moi!’ Vous direz: ‘Gloire à Dieu! Le brave Frère Branham y est
enfin arrivé.’» Ce sera moi là-bas à écouter, en train d'essayer de chanter.