CORRIGE DEVOIR SURVEILLE N° 3 u 3v 0 7 21 119 217 , v1 = 0 = , u2 = , v2 = . 3 4 36 48 3 4 u n3v n 2 un v n 3un 3v n 42 unvn 5 vn 5un 5 wn 2. a) On a wn + 1 = vn + 1 – un + 1 = – = = = . Donc la suite 4 3 12 12 12 5 et de premier terme w0 = v0 – u0 = 7 . (wn) est géométrique de raison 12 EXERCICE 1 : 1. u1 = = 2 5 b) Ainsi wn = 7 12 2 u 0 v0 TERMINALE S 4 . La raison de la suite est strictement comprise entre – 1 et 1, donc la limite de (wn) est 0. 5 sont strictement positif, alors pour tout entier naturel n, wn > 0. 12 2 un v n 2 un v n3un vn un wn 3. a) un + 1 – un = – un = = = > 0, donc (un) est strictement croissante. 3 3 3 3 u n3v n u n3v n 4 vn u nv n w n b) vn + 1 – vn = – vn = = = < 0, donc (vn) est strictement décroissante. 4 4 4 4 c) On sait que (u ) est strictement croissante, (v ) est strictement décroissante, et lim v n u n = lim wn = 0, donc Comme 7 et n n n n ces deux suites sont adjacentes. On en déduit qu'elles convergent vers la même limite. 2 un v n u n3 v n +4 = 2un + vn + un + 3vn = 3un + 4vn = tn . Donc la suite (tn) est 4. a) tn + 1 = 3 un + 1 + 4 vn + 1 = 3 3 4 constante égale à t = 3u + 4v = 28. D'où lim t n = 28. 0 b) un = vn – wn = 0 t n 3un 4 0 n – wn = Ainsi lim un = lim vn = lim n n t n 3un 4 wn 4 t n4w n n = 7 ; soit 4un = tn – 3un – 4wn , et un = t n 4 wn 7 . 284×0 = 4. 7 EXERCICE 2 : 1. La fonction f est continue sur * comme quotient de fonctions qui le sont. Il reste à vérifier que x la fonction est continue en 0: On sait que lim x0 x 0 e 1 e e = lim = nombre dérivé de ex en 0 = 1 = f(0). Donc la x x 0 x0 fonction f est continue en 0 et donc sur . x x x 1 e 1 e 1 e . On sait que lim 2. On peut écrire f(x) = = = + et lim = 0, donc lim f x = +. x x x x x x x x x x On sait que lim e = 0, donc lim e 1 = – 1, donc lim f x = 0. On en déduit que la courbe C admet une x x x asymptote horizontale en – d'équation y = 0. 3. a) La fonction f est dérivable sur * comme quotient de fonctions qui le sont. Pour tout x 0, x x g x e × xe 1×1 = où g(x) = (x – 1)ex+ 1. f '(x) = 2 2 x x b) La fonction g est dérivable sur comme somme et produit de fonctions qui le sont. On a g'(x) = ex+ (x – 1)ex = x ex . Le signe de g' est le signe de x puisque pour tout réel x , ex > 0. Ainsi la fonction g est décroissante sur ]– ; 0] et croissante sur [0; +[. Elle admet donc un minimum en x = 0 qui vaut g(0) = (0 – 1)e0+ 1 = – 1 + 1 = 0. c) Le minimum de g étant 0, la fonction g est positive sur . d) Le signe de f ' est le signe de g(x) puisque pour tout réel x , x2 0. Donc la fonction f est croissante sur . EXERCICE 3 : 1. On résout l'équation : z2 – 2 3 z + 4 = 0 : = (2 3 )2 – 4×4 = – 4 < 0, il y a donc deux solutions 2 32 i = 3 + i et z2 = 3 – i . complexes: z1 = 2 2. Les formes exponentielles de z1 et z2 : calculons les modules : comme z2 = z1 , | z2 | = | z1 | = Posons 1 = un argument de z1 = arg(z1). Alors cos 1 = 3 et sin 1 = 2 [2]. Posons 2 = arg(z2). Alors 2 = arg( z1 ) = – arg(z1) = – 6 Ainsi z1 = 2 e 3. (z1)6 = i i et z2 = 2 e 6 2 e i 6 3 1 2 2 = 2. 1 , donc 1 = [2]. 6 2 6 . 6 = 26 ei = 64(– 1) = – 64 qui est un nombre réel strictement négatif. 4. On veut trouver n tel que (z2)n soit un nombre réel strictement positif. (z2)n = n 2 e i 6 = 2n e i n 6 . Le nombre n est un multiple de 2 ; on peut donc prendre n = 12 (ou 12k avec k ). 6 5. La solution réelle de l'équation : z3 = 8 est 2 puisque 23 = 8. 3 3 6. L'équation précédente est équivalente à z – 8 = 0. Le polynôme z – 8 se factorise par z – 2 puisque 2 est solution de l'équation z3 – 8 = 0. Ainsi z3 – 8 = (z – 2)(az2 + bz + c). on détermine a, b, c par identification: 2 3 2 (z – 2)(az + bz + c) = az + (b – 2a)z + (c – 2b)z – 2c . Soit a = 1, b – 2a = 0, c – 2b = 0 et 1 – 2c = – 8. On trouve a = 1, b = 2 et c = 4. On résout alors l'équation z2 + 2z + 4 = 0 : = (2)2 – 4×4 = – 12 < 0, il y a donc deux 22i 3 22i 3 solutions complexes: z3 = = – 1 + 3 i et z2 = = – 1 – i 3 . 2 2 7. On sait que pour tout nombre complexe z, z + z = 2Re(z) et que z – z = 2i Im(z). Donc z1 + z2 = z1 + z1 = 2Re(z1) = 2 3 et z3 + z4 = z3 + z3 = 2i Im(z3) = 2i 3 . complexe ei Ainsi z 1z2 z 3z 4 n 6 = est un réel positif si 2 3 2 i 3 = 1 = – i. i