OPCVM Monétaires
SICAV Covéa Finance Sécurité C
SICAV Covéa Finance Sécurité D
OPCVM Obligataires
FCP Covéa Finance Obli Trimestriel
FCP Covéa Finance Obli Convertibles
OPCVM Actions
FCP Covéa Finance Acti France C
FCP Covéa Finance Acti France D
FCP Covéa Finance Acti Europe C
FCP Covéa Finance Acti Europe D
FCP Covéa Finance Acti Monde
FCP Covéa Finance Actions Américaines
FCP Covéa Finance Actions Japonaises
FCP Covéa Finance Sélection Monde
FCP Covéa Finance Acti Invest
FCP Covéa Finance Multi France
FCP Covéa Finance Multi Europe
FCP Covéa Finance Multi Monde
FCP Valeur intrinsèque
Sicav Covéa Finance Horizon Durable
FCP Covéa Finance Actions Solidaires
Niveau
de risque
Valeur
liquidative
en euros
au 30/09/2010
Performances
depuis le
31/12/2009
Performances
sur 3 ans
(depuis le 28/09/2007)
Performances
sur 5 ans
(depuis le23/09/2005)
220.25 + 0.30 % +6.90 % + 13.81 %
155.71
+ 0.30 % +6,90% + 13.81 %
174.59 + 2.30 % +12.69 % + 15.15 %
238.63 + 2.83 % +0.94 % + 24.29 %
460.10 - 4.34 % -29.10 % -2.37 %
388.20 - 4.35 % -29.11 % -2.38 %
153.28 - 0.42 % -21.36 % + 7.51 %
138.29 - 1.94 % -22.56 % + 5.08 %
291.59 - 0.34 % -23.92 % -7.07 %
19.23 + 8.34 % - 9.68 % - 1.33 %
17.92 + 6.29 % -24.93 % -26.53 %
1,232.58 + 4.45 % -21.58 % - 4.65 %
23.22 + 6.12 % -7.86 % +5.55 %
180.51 - 0.42 % -26.01 % -
1,686.84 + 9.03 % - 4.59 % + 15.00 %
30.37 + 0.10 % - 9.53 % + 6.23 %
87.51 - 3.22 % --
197.49 + 4.50 % -28.99 % - 6.74 %
FCP Covéa Finance Profil Dynamique
FCP Covéa Finance Profil Audace
22.53 + 1.53 % -18.10 % + 1.72 %
- : historique trop récent
N’étant pas constantes dans le temps, les performances passées ne préjugent pas des performances à venir.
La valorisation de votre épargne peut ainsi fluctuer à la hausse comme à la baisse.
source : Morningstar
FCP Covéa Finance ESPACE ISR
FCP Covéa Finance Profil Prudent
FCP Covéa Finance Profil Équilibre
96.07 - 0.36 % + 1.91 % + 6.72 %
102.70 - 0.08 % - 4.17 % + 5.47 %
183.50 + 3.20 % -24.23 % - 9.28 %
OPCVM à gestion profilée
92.73 + 0.73 % -14.92 % - 0.10 %
134.51 + 1.61 % --
MAAF Assurances
SOCIÉTÉ D’ASSURANCE MUTUELLE À COTISATIONS VARIABLES - ENTREPRISE RÉGIE PAR LE CODE DES ASSURANCES
RCS Niort 781 423 280 - Code APE 6512 Z - N° TVA intracommunautaire FR 42 781 423 280 - Siège social : Chaban 79180 Chauray
Adresse postale : 79036 Niort cedex 9 - Tél. : 05 49 34 35 36 - Fax : 05 49 34 38 26 - www.maaf.fr
au 30/09/2010
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Placements
Éditorial
N° 40 -NOVEMBRE 2010
Économie
Perspectives
Baromètre des marchés
Marchés financiers
Économie
Perspectives
Baromètre des marchés
Marchés financiers
Économie
Perspectives
Baromètre des marchés
Marchés financiers
Le taux auquel l’Etat fédéral américain emprunte
sur le marché obligataire domestique est
largement passé sous la barre fatidique des 3%.
Celui auquel emprunte l’Etat germanique
tutoie les 2%.
Ainsi « le taux sans risque » auquel les
détenteurs de dollars peuvent se rémunérer à
long terme est près de 2.50%.
Celui auquel les détenteurs d’€uros peuvent
se rémunérer à long terme s’établit à près de
2.20%.
Les professionnels du monde de la finance
internationale attribuent cet état de fait à trois
causes principales:
1. Des liquidités abondantes entre les mains
d’investisseurs adverses au risque.
2. Une inflation basse, trop basse et peu de risque
de la voir progresser pour cause de faiblesse
structurelle des économies développées.
3. Une politique monétaire, caractérisée par un
taux à court terme quasi nul.
Plutôt que d’alimenter une controverse sur ces
trois causes qui seraient à l’origine de la faiblesse
des taux nominaux américains et allemands,
nous préférons vous soumettre la question
suivante: «Qu’est ce que le taux sans risque?»
Un concept, une idée que nous raccrochons à
celle de «débiteur le plus solide». Ainsi les Etats-
Unis et l’Allemagne sont considérés comme les
deux débiteurs qui offrent la plus forte garantie
de remboursement de leurs dettes sans faillir.
L’environnement économique, financier et
monétaire dominé par une mondialisation
peu transparente, complexe à comprendre,
ou même à «décoder», ne permet plus, nous
semble-t-il de raisonner et de hiérarchiser nos
risques et les primes associées à cette notion
vieillie de «taux sans risque».
Demain, une crise de confiance sur le dollar, un
appétit pour des placements plus risqués libellés
dans une devise concurrente ou n’importe
quelle cause possible, provoque une hausse du
taux à long terme auquel l’Etat américain peut
emprunter auprès des investisseurs.
Celui qui a souscrit à un emprunt américain
à 2.5% devra constater dans ses comptes une
moins-value qui affectera la rentabilité de
l’ensemble de ces placements.
Demain, Banque centrale et Trésor américain
s’entendent sur une politique dite de
«reflation» et plus encore, la mettent en œuvre
avec succès, les investisseurs déjà détenteurs
d’une dette à 2.5% de taux vont subir la dure loi
de l’érosion monétaire.
Qu’est ce que le taux sans risque?... Un concept,
une idée. Mais il est d’abord un outil de
technique financière. Il est impératif de ne pas
en abuser par paresse intellectuelle. Il n’y a pas
de rendement de l’épargne sans risque.
L’environnement économique continue glo-
balement de s’améliorer, lentement dans les
pays développés, avec plus de dynamisme
dans les pays émergents. Après de bonnes
publications de croissance au deuxième tri-
mestre, l’activité devrait continuer de pro-
gresser de façon plus modérée sur la fin de
l’année 2010.
Après le mouvement de baisse enregistré le
trimestre dernier, les marchés actions se sont
repris sur la période. Le CAC 40 a progressé de
près de 8%, à 3715 points et aux Etats-Unis, le
S&P 500 a enregistré une hausse de presque
11%, à 1141 points. Au Japon cependant, le
NIKKEI 225, très volatil sur la période a souffert
jusqu’en août de l’appréciation du Yen puis
s’est repris en septembre après l’intervention
des autorités sur le marché des changes. Au
final sur le trimestre, il subit une baisse de
0,1% et termine à 9369 points.
Sur le marché obligataire, le taux 10 ans
français a baissé de 39 points de base sur le
trimestre, à 2,66% tandis que le taux 10 ans
américain a quant à lui enregistré une baisse
de 42 points de base, pour terminer à 2,51%.
Les banques centrales ont conservé un discours
accommodant sur la période. La Réserve
Fédérale a décidé de maintenir constante la
taille de ses détentions de titres à leur niveau
actuel soit environ 2050 milliards de dollars et
a réaffirmé qu’elle se tenait prête à introduire
de nouvelles mesures exceptionnelles pour
empêcher, si nécessaire, une rechute de
l’économie américaine. De son côté, le
Président de la BCE Jean-Claude Trichet a
annoncé que les opérations de refinancement
illimité hebdomadaires, mensuelles et à trois
mois seront reconduites au moins jusqu’à
janvier 2011. Et enfin au Japon, la banque
centrale a vendu 2,1 trillions de Yen en
septembre contre des devises étrangères,
permettant ainsi de ralentir l’appréciation de
ce dernier, au plus haut depuis 1995. Elle a par
ailleurs instauré un nouveau prêt à six mois
aux institutions financières de 10 trillions de
Yen afin d’enrayer la déflation.
Sur le marché des changes, l’euro a repris
des couleurs face au dollar, à la suite des
déceptions qui ont pesé sur les Etats-Unis
pendant l’été: il progresse de plus de 11% face
au billet vert, et s’échange à la fin du trimestre
contre 1,36 dollar. Contre la Livre Sterling,
il s’est également apprécié, de près de 6%, et
termine à 0,87 Livre.
Du coté des matières premières, le pétrole a
progressé de près de 10% sur le trimestre, le
baril de Brent passant de 75 dollars à 82 dollars
à la fin septembre.
Après une première moitié d’année marquée
par l’exacerbation des craintes portant sur
l’état des finances publiques de certains
membres de la zone euro, la tension s’est
finalement quelque peu apaisée au troisième
trimestre. Le calme revenu en Europe, les
regards se sont alors tournés vers l’économie
américaine dont les statistiques de l’été
ont confirmé une reprise lente et modeste
de l’activité, décevant du même coup les
analystes impatients s’attendant à une reprise
plus dynamique.
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Zoom sur l’environnement
économique du troisième
trimestre 2010
États-Unis
La croissance de l’activité aux Etats-Unis s’est progressivement modé-
rée au cours des trois derniers mois. La deuxième estimation du pro-
duit intérieur brut au deuxième trimestre a été revue en baisse: ce
dernier enregistre une croissance trimestrielle de 0,4% contre 0,6%
premièrement annoncé.
Les données immobilières se sont enfin stabilisées en août après plu-
sieurs mois de chute liée à la fin des incitations fiscales au 30 avril 2010.
Si le rebond de certaines statistiques paraît marqué en août (ventes de
logements existants, mises en chantier), les niveaux restent toutefois
très dégradés dans ce secteur.
Du côté des entreprises, l’indicateur de confiance des chefs d’entre-
prises (ISM) reste sur des niveaux favorables indiquant une poursuite
de la croissance. La production industrielle se relève graduellement.
Cette hausse constante mais lente de la production ne permet tou-
jours pas à l’industrie de retrouver ses niveaux d’avant crise.
Les créations de postes, corrigées des effets temporaires importants
liés au recensement de la population américaine, ainsi que le nombre
d’heures travaillées, ont poursuivi leur amélioration graduelle. En
dépit de ces éléments, on ne constate toujours pas d’inflexion du taux
de chômage. Les ménages restent donc prudents, consommant avec
mesure et conservant un taux d’épargne élevé.
De son côté, le Président B. Obama a confirmé sa détermination à
soutenir l’activité en annonçant en Septembre une série de mesures
d’incitations fiscales pour l’investissement des entreprises et un plan
de développement des infrastructures de transport.
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1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
20032002 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Consommation
Balance Commerciale
Dépenses Publiques
Investissement non Résidentiel
Investissement Résidentiel
Stocks
Etats-Unis : Contribution à la croissance trimestrielle
Manufacturier (G) Composite (G)Services (G) PIB (GT%) (D)
Zone euro : Indicateurs des directeurs d’achats (PMI)
Sources : BEA, Covéa Finance
Sources : NTC Research, Bloomberg, Covéa Finance
Croissance de l’activité
Contraction de l’activité
Etats-Unis : Contribution à la croissance trimestrielle
Économie
Perspectives
Baromètre des marchés
Marchés financiers
Variations du 31/12/2009 au 30/09/2010 en cours de clôture,
en devises locales et en %
+ 0,29%
-3,75%
CAC 40
+ 2,29%
DJ EURO STOXX
EONIA
- 5,62%
NASDAQ 100
+13,37%
NIKKEI 300
+6,77%
EUROMTS GLOBAL
marché obligatoire zone euro
DJ EURO STOXX 600
+4,44%
+4,56%
S&P500
+8,02%
FT-SE 100
+5,86%
DAX 30
Europe
En zone euro, la reprise s’est confirmée sur des rythmes
de croissance plus favorable que prévus au deuxième tri-
mestre: elle s’est affichée à 1%, tirée à la hausse par la très
forte croissance trimestrielle allemande de 2,2%, rythme
le plus élevé depuis la réunification du pays. L’activité
française a enregistré de son coté une croissance trimes-
trielle de 0,6%. Seule la Grèce est toujours en récession,
enregistrant un recul de son activité de 1,5%.
Dans l’industrie, les commandes et la production pro-
gressent sur l’ensemble de la zone.
Cependant, les indicateurs de confiance des directeurs
d’achat (PMI) ont enregistré un nouveau fléchissement en
Septembre, tout comme les perspectives à 6 mois de l’in-
dicateur de confiance des chefs d’entreprises allemands
(IFO) ou encore l’indicateur de confiance des investisseurs
allemands (ZEW). Ces éléments laissent présager une
croissance moins robuste au troisième trimestre.
Japon
Au Japon, les données d’activité des trois derniers mois
sont quelques peu décevants. La croissance ralentit,
passant de 1,2% à 0,4% en variation trimestrielle. La
consommation, qui jusqu’à présent soutenait la crois-
sance s’essouffle, et seul le commerce extérieur contribue
sensiblement à la croissance. Pourtant, il semble subir
quelque peu l’appréciation de la devise nippone, au plus
haut depuis 1995 : les exportations ont enregistré leur
quatrième mois consécutif de baisse en août. C’est dans
ce contexte que le gouvernement japonais a mis en place
un nouveau plan de relance de 920 milliards de Yen et est
intervenu par l’intermédiaire de la Banque du Japon sur
le marché des changes, en vendant 2,1 trillions de Yen
en septembre contre des devises étrangères, permettant
ainsi de ralentir l’appréciation du Yen.
Pays émergents
La vigueur de la reprise dans les pays émergents se poursuit,
bien que les rythmes se tassent quelque peu, poussant par
la même occasion plusieurs banques centrales à s’engager
sur la voie du resserrement monétaire en haussant leurs
taux directeurs. Ce fut entre autres le cas en Corée du Sud,
en Inde, au Brésil, à Taiwan, en Malaisie et en Thaïlande.
19921990 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 2010
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2
ExportationsImportations
Japon : Commerce extérieur (Valeur, CVS, 1000 Mds Yen)
Sources : MOF, Datastream, Covéa Finance
Sources : Covéa Finance, Institut Brésilien de Géographie et de Statistiques, India Central Statistical Organisation, Federal service of State
Statistics of Russia, Banque de Corée, National Bureau of Statistics of China.
BRIC et Corée du sud : Croissance du PIB (GA%, volume, BCVS)
Inde Russie Brésil Chine Corée du sud
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1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
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Consommation
Balance Commerciale
Dépenses Publiques
Investissement non Résidentiel
Investissement Résidentiel
Stocks
Etats-Unis : Contribution à la croissance trimestrielle
Manufacturier (G) Composite (G)Services (G) PIB (GT%) (D)
Zone euro : Indicateurs des directeurs d’achats (PMI)
Sources : BEA, Covéa Finance
Sources : NTC Research, Bloomberg, Covéa Finance
Croissance de l’activité
Contraction de l’activité
Sources : Covéa Finance, Institut Brésilien de Géographie et de Statistiques, India Central Statistical Organisation, Federal service of State
Statistics of Russia, Banque de Corée, National Bureau of Statistics of China.
Inde Russie Brésil Chine Corée du sud
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10,3
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7,2
Zone euro : Indicateurs des directeurs d’achats (PMI)
Japon : Commerce extérieur (valeur, CVS, 1000 Mds Yen)
BRIC et Corée du Sud : Croissance du PIB (GA%, volume,
NCVS)
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