Diversité du vivant Végétale
2011
I/Introduction.
1) La taxinomie.
Permet de délimiter la biodiversité et de la limiter. Chaque élément est un taxon (infra
et intra spécifique.
2) La phylogénie.
A commencer avec Carl Von Linné. C’est l’étude des parentés entre deux êtres
vivants en vue de comprendre leurs évolutions. Apparu grâce à la génétique.
Nouvelle classification en fonction des caractères communs avec une notion d’ancêtre
commun.
Deux types : Cladistiques (hiérarchise les caractères comparé = caractère
homologue) et Phénétique (Quantifie la ressemblance entre les êtres vivants =
génétique avec le nombre de bases en communs).
3) Nomenclature.
Base binaire genre/espèce. Les noms sont en latin. Dans toutes les publications
scientifiques, les noms d’une espèce sont suivis d’une « autorité » (nom du
chercheur). En botanique le nom d’autorité suffit, pour les animaux on rajoute la date
de découverte.
Trois codes de nomenclatures : Végétaux, Animaux et Bactéries.
Les codes imposent la diagnose en latin, également la mise en herbier d’un individu
caractéristique (échantillon type).
Les classifications des bactéries est difficiles. La limite est que beaucoup d’entre elles ne
peuvent être cultivé que dans un milieu spécifique. On séquence les gènes du
ribosome que l’on rentre dans une base de donnés.
4) La classification.
Regroupé selon des critères déterminés
5) Biodiversité.
Collection des génomes, des taxons et des écosystèmes.
II/ Classification traditionnelle (classique et historique).
Selon les critères de ressemblance : Cytologique, anatomique, morphologique et
reproductif.
En fonction de ces critères on a créé une hiérarchie qui englobe l’ensemble. On aura
distinction : (a) domaine = eucaryote/procaryote, (b) règne = végétale/animale, (c)
embranchement = phytes, (d) classes = opsides, (e) ordre = ales, (f) famille = acées,
(g) genre + espèce et (h) résonnance intra/infraspécifique = variété, forme, race et
cultivar.
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III/ Tableau de classification traditionnel des végétaux.
Thallophyte = appareil végétatif simple. Pas de feuilles, pas de tiges, pas de racines.
Cormophyte = appareil végétatif complexe.
La dichotomie entre thallophyte et cormophytes est le rapport avec la cellule initiale de
reproduction.
« Algues » = 120.000
Règne Végétale
Thallophytes
Cormophytes
« Algues »
«Champignons»
Lichens
«Fougères»
Spermaphytes
Préspermaphyte
Gymnosperme
Chlamydosperme
Angiosperme
Cryptogame
Cellulaire
Vasculaire
Trachéophyte
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« Champignon » = 50.000, hétérotrophes.
Lichens = Organisme en symbiose. 22.000
« Mousses » = Sans vaisseaux conducteurs, sans fleurs, sans racines. 20.000
« Fougères » = Avec vaisseaux conducteurs, sans fleurs, avec racines. 12.000
Spermaphytes = Avec graine, se sont des phanérogames (Fleurs). Possède racine,
vaisseaux et fleurs.
Préspermaphytes = 120
Gymnosperme = 60
Chlamudospermes = 10
Angiospermes = 35.000
Cryptogame = appareil reproducteur non visible (cellulaire et vasculaire).
IV/ Classification phylogénétique.
En 1950 par Henning. Se rapproche d’un arbre généalogique. On identifie des
caractères homologues (caractère héréditaire).
-Homologie : Deux caractères se ressemblant qui sont des caractères ancestraux
partagés.
-Analogie : Deux caractère se ressemblant sans lien d’ancêtre (apparition par
convergence = sélection des formes les mieux adaptés).
L’évolution peut cacher des caractères homologues.
Phylum = Grand groupe réunissant plusieurs embranchements de la classification
traditionnelle, proche entre eux génétiquement.
C’est une classification dynamique, tient compte de facteurs temps. Râteau =
dendrogramme. Les caractères innovants sont des synaptomorphies.
Deux techniques se superposent : la phénétique (étude de la distance génétique entre
les taxons) et la cladistique (système de présentation des caractères évolutifs).
La phénétique est associé à la génétique. Plus on remonte dans le temps plus on devient
théorique car moins de fossiles de comparaison. L’épigénétique va au-delà de la
génétique.
Pour la botanique et l’écologie on reste dans la classification traditionnelle.
Chlorophytes = algues vertes et carmophytes.
Straménopiles = algues brunes.
Cryptophytes.
Chlorarachnophytes = algues vertes en forme d’araignée.
Englénophytes = litigieux, certains possèdent des plastes.
Eumycètes.
Métazoaire.
Mycétozoaire = champignons qui se déplace
Dinophytes.
Les champignons se composent d’eumycètes, d’oomycètes et de mycétozoaires.
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V/ Les algues.
Dans les thallophytes. Les cellules initiales sont des spores et des gamètes qui donnent
des gamètes simples (sans cellules stériles).
Ce sont des cryptogames cellulaires sans vaisseaux conducteurs. On considère les 9
phylums suivant :
1. Glaucophytes 2. Rhodophytes 3. Chlorophytes
4. Dinophytes 5. Straménopiles 6. Cryptophytes
7. Haptophytes 8. Chlorarachnophytes 9. Euglénophytes
1) Les pigments.
Trois groupes : chlorophylle, caroténoïde et bilichromoprotéine.
a) Chlorophylles.
Liposolubles, le seul à faire de la photosynthèse. Permet les végétaux autotrophes. Il en
existe trois différents.
Chlorophylle a = permet la photosynthèse, présente dans les neuf phylums.
Chlorophylle b = Euglénophytes et Chlorophytes, en petite quantité.
Chlorophylle c = Straménopiles seulement.
La a est la même que dans les cyanobactéries.
b) Les caroténoïdes.
Il en existe deux : Xanthophyle et carotène.
Carotène = La se retrouve dans les neuf phylums et est rare chez les algues
rouges, l’que chez les Chlorophytes.
Xanthophylle = Grande diversité dont la Fuccoxanthine, pigment brun foncé
donnant les Straménopiles (cache la chlorophylle).
c) Bilichromoprotéine (biliphycoprotéine).
Observé chez les cyanobactéries. Possèdent deux à trois sous unités : phycocyanine et
phycoérythrine.
Retrouvé dans les Rhodophytes (érythrine +++), Glaucophytes et très peu dans les
Cryptophytes.
Certaines algues rouges peuvent perdre ces pigments car utile qu’en profondeur, elles
s’en débarrassent arriver en surface. Les pigments sont hérités des endosymbioses.
2) Les plastidomes.
a) Ultastrustures (ME).
Les Rhodophytes « algues rouge » = deux membranes plasmiques. Ressemble
en structure interne aux cyanobactéries.
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Les Chlorophytes « algues vertes » = deux membranes plasmiques. Avec
pyrénoïde (structure coloré entre les thylakoïdes), les thylakoïdes sont un
empilement en assiettes (granum ou granas). Structure du plaste commune à
tous les végétaux vert.
Straménopiles « algues brune » = quatre membranes plasmique, les
thylakoïdes de couleurs jaunes bruns n’excèdent jamais trois quatre.
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