Dans un récit, il faut distinguer les propos du narrateur, qui raconte l’histoire, et ceux des personnages, qui sont rapportés par le narrateur. On appelle discours direct les paroles des personnages qui sont rapportées telles qu’elles ont été prononcées : « J’aime pas ce livre. » En général, les paroles des personnages sont introduites par un verbe de parole (dire, s’exclamer, demander, s’écrier, …) suivi de deux points. Pour marquer le début et la fin des paroles rapportées, on utilise des guillemets : Elle ronchonna : « J’aime pas ce livre. » Lorsque le verbe de parole se trouve à l’intérieur du discours direct ou après lui, il est mis entre virgules et le sujet est inversé : on parle alors proposition incise. « J’aime pas ce livre, ronchonna-t-elle. » Les verbes sont généralement conjugués au présent (et aux temps qui l’accompagnent), même si le récit est au passé. On trouve souvent des marques du langage oral : interjections, ponctuation expressive, phrases non verbales. Le ton ou les gestes du personnage qui parle sont précisés par le verbe de parole (s’exclamer, s’étonner, murmurer, supplier, interroger, reprocher,…) ou par un complément circonstanciel de manière : « J’aime pas ce livre, dit-elle en soupirant. » Dans un récit, il faut distinguer les propos du narrateur, qui raconte l’histoire, et ceux des personnages, qui sont rapportés par le narrateur. On appelle discours direct les paroles des personnages qui sont rapportées telles qu’elles ont été prononcées : « J’aime pas ce livre. » En général, les paroles des personnages sont introduites par un verbe de parole (dire, s’exclamer, demander, s’écrier, …) suivi de deux points. Pour marquer le début et la fin des paroles rapportées, on utilise des guillemets : Elle ronchonna : « J’aime pas ce livre. » Lorsque le verbe de parole se trouve à l’intérieur du discours direct ou après lui, il est mis entre virgules et le sujet est inversé : on parle alors proposition incise. « J’aime pas ce livre, ronchonna-t-elle. » Les verbes sont généralement conjugués au présent (et aux temps qui l’accompagnent), même si le récit est au passé. On trouve souvent des marques du langage oral : interjections, ponctuation expressive, phrases non verbales. Le ton ou les gestes du personnage qui parle sont précisés par le verbe de parole (s’exclamer, s’étonner, murmurer, supplier, interroger, reprocher,…) ou par un complément circonstanciel de manière : « J’aime pas ce livre, dit-elle en soupirant. »