TR Diabète et Alimentation

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vo ou us s p po os se ez z r ré ég gu ul li iè èr re em me en nt t l le es s
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1) ) Q Qu ue e f fa au ut t- -i il l m ma an ng ge er r? ?
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2) ) A A q qu uo oi i a ai i- -j je e d dr ro oi it t? ?
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3) ) Q Qu u’ ’e es st t c ce e q qu ui i e es st t
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La a R Ré ép po on ns se e : : A Au uc cu un n i in nt te er rd di it t, ,
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ma ai is s u un ne e a al li im me en nt ta at ti io on n v va ar ri ié ée e
e
et t é éq qu ui il li ib br ré ée e. .
Définitions
Le diabète est une maladie chronique liée à un
excès de sucre dans le sang
Le diabète de type 1 apparaît brutalement dans
l’enfance ou l’adolescence et se caractérise par
un déficit total de la production d’insuline.
Le diabète de type 2 se caractérise par un
déficit en insuline et une résistance à la
pénétration de l’insuline dans les cellules.
Diabète et obésité
L’obésité est définie comme un excès de masse
grasse entraînant des inconvénients pour la
santé.
C’est une des principales causes du diabète de
type 2 et elle peut aussi aggraver le diabète de
type 1.
Toute perte de poids, même limitée, aura un
effet bénéfique sur le diabète (ou le risque
d'en développer un).
Indicateurs d’obésité :
 L’IMC : reflet de la " corpulence (poids en
kg/taille2 en m) si > 30 ⇒obésité.
 Le tour de taille
 L’indice de masse graisseuse
 Le rapport tour de taille/tour de hanche
Alimentation du diabétique
Repas équilibré = un aliment de chaque
groupe
Féculents et pain à chaque repas
Légumes verts à volonté
2 à 3 fruits frais par jour en fin de repas
Viande, poisson et oeufs 1 à 2 fois par jour
3 produits laitiers: par jour
Matières grasses: préférer l’huile au beurre
Boissons non sucrées à volonté : 1.5l/jour.
A chaque repas :
 30 à 35 % de lipides (1g=9kcal)
 50 à 55 % de glucides (1g=4kcal)
 12 à 15 % de protéines (1g=4kcal).
Alcool : pas à jeun, 2 verres de vins par jour
(1g=7kcal)
Les principes
 Au moins 200g de glucides par jour
 Répartir ces glucides en 3 repas
 Toujours manger après l’injection
d’insuline ;
 Eviter de sauter de repas
 1 repas sans glucides = 1 repas sauté
 Eviter la surconsommation de graisses
 Avoir toujours sur soi 3 morceaux de
sucre en cas d’hypoglycémie.
 Les collations ne sont pas systématiques.
 Privilégier certains modes de cuisson :
vapeur, grill, four, en papillote, à l’étouffée,
à la poêle anti-adhésive.

Combien de glucides pour quel aliment ?
Pour le pain, on divise le poids par 2 pour
trouver le nombre de glucides.
On divise le poids cuit des féculents par 5 pour
trouver le nombre de glucides.
Pour les fromages, il n’y a pas de glucides.
Une pizza de 100g, 20g de glucides.
Index glycémique
Il permet de quantifier la capacité d’un aliment
à élever la glycémie.
Il varie selon :
 le mode de cuisson
 le mode de consommation (seul ou pas)
 le raffinage du produit (pain blanc/pain
complet).
L’insulinothérapie fonctionnelle (pour les
diabétiques de type 1)
Autonomie et responsabilisation.
Adapter son traitement d'insuline à son mode de vie
plutôt que de s'imposer une discipline de vie
quotidienne relative au traitement.
On mime la sécrétion physiologique normale de
l’insuline grâce à :
 une insuline basale : « insuline pour vivre »
assurant les besoins en insuline entre les repas,
Le plus souvent entre 0.3 et 0.4 unités/kg/jour.
Pour la déterminer, on donne l’insuline au patient
le soir puis il doit rester à jeun pendant 24h. On la
contrôle toutes les 2h voire 1h si la glycémie
évolue.
 une insuline prandiale : « insuline pour
manger » adaptée aux apports des aliments, Pour la
déterminer, il faut apprendre à calculer le nombre
de glucides ingérer à chaque repas en sachant qu’il
faut :
-2 unités pour 10g de glucides le matin
-1 unité pour 10g de glucides le midi
-1.5 unités pour 10g de glucides le soir.
 un correctif en insuline : « insuline pour
soigner » (pré et/ou postprandiale)
1 unité d’insuline fait baisser de 0.3g.
L’insulinothérapie fonctionnelle ne modifie pas la
prise en charge lors d’activité physique, il suffit
juste de l’adapter.
Surveillance :
en cas de glycémie > 2.5g/l, Surveiller la présence
de sucre et d’acétone dans les urines et la glycémie
toutes les 3 à 4h pour choisir la dose d’insuline à
injecter.
Hyperglycémie = Glycémie>1.20g/l
Irritabilité, Haleine fruitée, Fatigue,
somnolence, Besoin fréquent d’uriner, corps
cétoniques dans les urines, Amaigrissement,
Soif et ou faim intense, Vision floue
⇒ prendre sa glycémie
⇒ appliquer les protocoles d’insuline puis
recontrôler
⇒ se faire accompagner aux urgences
rapidement si glycémie très élevée.
⇒ Attention aux pertes de consciences.
Hypoglycémie = Glycémie < 0.60g/l
Sueurs froides profuses, tremblements,
Sensation de faim, nausées, Pâleur, anxiété,
changement brutale de comportement
(agressivité)
Chacun doit apprendre à reconnaître ses
propres signes d’hypoglycémie
⇒ Resucrage avec 3 morceaux de sucre. (15g)
Renseignements
www.afd.asso.fr/ www.doctissimo.fr
www.alfediam.org/ www.wikipedia.fr/
Merci à Mme Preclaire pour ses informations et les
documents.