Le Parisien Economie

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21 JAN 13
Hebdomadaire Paris
25 AVENUE MICHELET
93400 SAINT OUEN - 01 40 10 30 30
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PAIEMENT SANS CONTACT, BONS PLANS, CONSEILS, PUBLICITE.
LA RÉVOLUTION
SMARTPHONE
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Eléments de recherche : FIDME : application pour mobiles de programmes/cartes de fidélité, toutes citations
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FOCUS
Pub, bons plans, paiement :
demain, le smartphone à tout faire
Un Français sur deux est déjà équipe d'une tablette ou d'un smartphone. Nos appareils connectés ont bouleversé
notre façon d'acheter. Revue des tendances, ce qui existe aujourd'hui et ce qui devrait arriver demain.
LE PARCOURS DE L'ACHETEUR MOBINAUTE
I-Je passe devant une
boutique. Je suis repére, je
reçois un message sur mon
portable.
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2- Dans la boutique,
le vendeur me conseille et
me transfère un devis
personnalisé sur mon
téléphone.
3-En route.je compare
les prix avec ceux pratiques
par les concurrents et
je prends aussi l'avis de
ma tribu.
4- Chez moi, je passe
commande depuis mon
portable. Je choisis mon
mode de livraison.
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5- Le lendemain, je vais au
magasin choisi où ma
commande m'attend. Je
paie directement avec mon
smartphone.
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DOSSIER RÉALISÉ PAR EMILIE TORGEMEN
D
B ici à 2020 on tendra plus
lf facilement son portable
vers la caisse d'un magasin que sa carte bancaire. Les smartphones
bouleversent le visage des boutiques. Ils font de nous des consommateurs plus malins, plus enclins à
partager nos bonnes adresses, maîs
aussi plus surveillés
Le portable remplace
la carte de crédit
Aujourd'hui
Ce n'est pas de la science-fiction,
plusieurs banques permettent déjà
de régler ses achats grâce à des applications de smartphone Le CIC a
sa m-carte, BNP Paribas a son système Kix destiné aux téléphones
équipes pour le sans-contact
(NFC), la BPCE son s-money (lire
ci-contre) Et pour les portables
non équipes de la technologie
NFC f Plusieurs développeurs de
logiciels ont créé des solutions, à
l'instar de la société nordiste Monext. Didier Brouat, son responsable de paiement, estime que les
commerçants ont tout à gagner
avec ces portables transformés en
cartes de paiement • « Le nerf de la
guerre est la collecte d'informations Ces portefeuilles dematénalises ne sont plus uniquement des
moyens de paiement maîs aussi des
outils de marketing. »
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Demain
Nos portables NFC remplaceront
nos portemonnaies. On prévoit
qu'en 2015 un smartphone sur
deux sera équipé de cette technologie C'est déjà le cas de la plupart
des BlackBerry comme des bestsellers Samsung Galaxy S2 et 3
HTC, Acer, et Nokia s'y sont mis.
Bémol de poids, Apple n'a pas
voulu de NFC dans FiPhone 5,
peut-être pour mieux vendre son
modèle suivant. Maîs les consommateurs voudront garder le choix.
Les pionniers du paiement mobile
PayPal et iTunes continueront
d'exister.
Avec le smartphone,
les boutiques se transforment
Aujourd'hui
Casino a été le premier en France à
tester le « mur virtuel », sorte d'affiche grâce à laquelle le consommateur nomade peut acheter en ligne depuis son mobile. En octobre
dernier à la gare Part-Dieu de Lyon
(Rhône), les voyageurs ont pu, entre boulot et dodo, scanner le code
QR de deux cents produits Casino.
Carrefour et le site Rueducommerce.com ont ensuite emboîté le
pas
La mode dans la distribution est au
drive ' avec mon mobile, je commande où et quand je veux, je reçois une alerte au moment ou le
produit arrive, je passe le chercher
en boutique. « La formule a parfai-
tement fonctionné pour notre client
Oxybul éveil et jeux avant Noel •
elle permet d'éviter la cohue sans
risquer de retard de livraison », explique Mike Hadjaj, spécialiste de
solutions de m-commerce.
Demain
Les boutiques deviendront des vitrines, les clients s'y rendront pour
toucher les produits avant de finaliser leurs emplettes dans le métro ou
sur leur canapé depuis leur portable. Les équipes Internet de But bûchent sur le sujet. « Notre principal
chantier 2013 est de faire en sorte
que nos vendeurs en magasin puissent récupérer les précommandes
faites sur smartphone, explique
Vincent Lévy responsable Internet
de l'enseigne. Le portable est un
outil utile quand il permet notamment d'avoir un choix plus large
que sur I 000 à 6 000 m2 d'exposition, maîs il ne remplace pas nos
magasins. »
Bons plans et shopping
entre amis
Aujourd'hui
Les consommateurs les plus
connectés connaissent les applications capables de scanner les codes-barres pour recevoir des comparaisons de prix Sephora utilise la
technologie Mobile Voice pour que
ses clients lisent les avis et commentaires d'anonymes ou de leurs
amis. Une série d'applications
(MyShop-anion, ShopWithYour-
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Friends) permet de communiquer
avec ses amis avant, pendant ou
après son shopping. Parfait pour
une horde d'adolescents lâchés
dans un centre commercial pendant
les soldes.
Demain
Les émanations des réseaux sociaux auront la cote, particulièrement auprès des 15-25 ans. Des applications transformeront nos amis
en VRP sur le modèle de l'anglais
Sharedise. Le principe est diabolique : Manon, 16 ans, photographie
les escarpins qu'elle vient de s'offrir avec son smartphone. Ce faisant, elle fait la publicité de la marque de ces chaussures et si ses
« amis » cliquent sur ce lien, elle
recevra quèlques euros.
Pub et carte de fidélité
sur le mobile
Aujourd'hui
« A proximité d'un magasin Auchan, on reçoit des offres flash, des
alertes sur des produits pour lesquels on espère des promotions, etc., explique fièrement Julien Saumande, directeur de
Phocéis et créateur de l'application
My Auchan. Nous avons misé sur la
géolocalisation. » L'Oréal et Starbucks ont lancé une campagne de
ce type dès 2010 en Grande-Bretagne. Evidemment, il faut que le
client soit volontaire pour recevoir
ce type de publicité.
Les cartes de fidélité plastifiées en-
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combrent nos portefeuilles, plus
pour longtemps. En plus du gain de
place, le portable garde en mémoire les achats et propose les réductions quand le consommateur
se trouve en rayons.
Signe des temps, deux poids
lourds, Voyages-Sncf.com et la
Caisse d'épargne, ont abandonné
les S'Miles pour lancer des programmes de fidélité maison et disponibles sur mobile.
Plus branche et plus ludique,
FourSquare, très en vogue chez les
geeks, troque réductions et avantages contre de la fidélité et de la notoriété. A travers cette application,
le mobinaute peut indiquer où il se
trouve et accumuler des « badges »
ou devenir le « maire » de son café
préféré. A chaque fois qu'il
« joue », l'utilisateur fait en fait de
la publicité auprès de sa communauté, ce que rétribue le commerçant.
Demain
La pub sur le portable, jugée trop
intrusive, ne fera pas recette. En revanche, les cartes de fidélité fonctionneront à plein parce que les
consommateurs sont de plus en
plus malins. « Equipe d'une
m-carte de fidélité, le consommateur sait bien que ses achats sont
tracés, analyse Mike Hadjaj, en
échange, il veut être traité comme
un VIP : bénéficier d'offres exclusives, de promotions plus intéressantes. » Donnant-donnant.
En proposant les services de fidélité sur mobile, le parfumeur Marionnaud
cible un public jeune et urbain. (ip/Thomas More! Fort i
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BPCE transforme le smartphone
en portemonnaie électronique
L
e sketch de Muriel Robin
« l'Addition » dans lequel une tablée chipote pour savoir le montant que chacun paiera va prendre un
coup de vieux. L'application S-Money développée par la Banque populaire-Caisse d'épargne (BPCE) permet de faire des virements immédiats
de personne à personne depuis son
mobile. Il s'agit d'un portemonnaie
électronique alimenté par un
compte bancaire. L'utilisateur effectue un virement crédité instantanément à son destinataire à condition qu'il ait
lui-même souscrit au service.
Le destinataire peut être un
ami ou un commerçant.
Pour l'instant l'opération est en test à
Toulouse (Haute-Garonne), Nantes
(Loire-Atlantique), Rennes (Ille-etVilaine) et Bordeaux (Gironde). En
deux mois, cinq cents commerçants
ont été équipés. « Nous cherchons à
créer plusieurs écosystèmes locaux
dans lesquels les usagers puissent
trouver des commerces équipés, puis
nous nous déploierons plus largement selon les opportunités », détaille Fabrice Denèle, le directeur
stratégie de paiement chez BPCE.
Cette application simple permet de
patienter avant la généralisation de la
technologie NFC, sur laquelle les
chercheurs de la BPCE travaillent en
parallèle. «Nous n'opposons pas ces
sujets, nos clients ont besoin de plusieurs solutions, nous leur offrirons le
choix », explique Fabrice Denèle.
A Nice (Alpes-Maritimes) et à Strasbourg (Bas-Rhin), BPCE a ainsi essayé avec Visa de lancer des mobiles
NFC en ajoutant une petite carte mémoire à certains téléphone.
Des virements immédiats
de personne à personne
depuis un mobile
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Dans le secteur des paiement, la
question est toujours celle de la poule
et de l'œuf : les commerçants ne
s'équiperont de nouveaux terminaux
NFC que si de nombreux clients utilisent le moyen de paiement
concerné ; et réciproquement les utilisateurs ont besoin que beaucoup de
commerçants soient équipes pour
pouvoir l'adopter. A cela vient
s'ajouter les petites anicroches entre
banques et opérateurs de télécoms, à
Nice et à Strasbourg les géants de la
téléphonie, qui exigent une rémunération pour l'utilisation de la carte
SIM, ont par exemple accusé BPCE
de vouloir les doubler.
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Snapp : la PME qui dématérialise
les cartes de fidélité
A
vec une vingtaine de salariés,
Snapp, localisé près de Bordeaux
(Gironde), a conquis environ
3 000 enseignes soit 1,8 million d'utilisateurs dans 80 pays En France, la
toute jeune start-up créée en 2005 a
converti Monoprix, Leclerc, Virgin, etc
Son produit miracle ? L'application
maison FidMe, une simple carte de fidélité sur mobile, traduite dans quinze
langues ' « Nous sommes devenus le
leader europeen Le créneau est porteur, explique son PDG Jean-Benoît
Charreton, les cartes de fidélité sur
mobile sont simples d'utilisation et
proposent un vrai plus »
Une offre compatible
avec tous tes téléphones
La fidelité, c'est vendeur, donc
Même son de cloche chez Manonnaud, l'un des adeptes de FidMe .
« Notre système de points de fidélité
est un historique nos clients gagnent
un point sur leur carte à chaque euro
dépense et reçoivent un chèque de
7,50 € au bout de 150 points, rappelle
Caroline Puons, directrice e-commerce du parfumeur. En proposant les
services dè fidélité sur mobile, nous
ciblons un public plus jeune, plus urbain et renforçons une connivence
avec nos clients »
En souscrivant a FidMe compatible
avec tous les teléphones (du dernier
iPhone au plus vieux Nokia), les enseignes n'ont pas à gérer la fragmentation des systèmes mobiles. Du coup,
quand le géant Apple s'est lancé à son
tour sur le marche de la carte de fidélité sur portable avec son outil Passbook, Jean-Benoît Charreton est resté
zen, il a adapté son application. Les
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Jean-Benoît Charreton, PDG de Snapp
société éditrice de l'application FidMe.
dernières versions de FidMe peuvent
être enregistrées sur Passbook comme
sur le Portefeuille, l'équivalent signé
Windows
Le business model de la PME est simple et efficace Les grandes enseignes
(Auchan, Décathlon, Ikea, etc.) paient
pour être présentes dans ce portecarte, pas le grand public m les petits
commerçants. L'application ne
« pollue » pas nos portables avec de la
publicité. En revanche, elle propose
des services comme la géolocalisation
des commerces ou le check-in, qui
permet d'indiquer sa présence dans un
magasin partenaire afin de remporter
des cadeaux après un certain nombre
de passages.
Snapp nourrit a présent de grandes
ambitions. « Nous voulons intensifier
notre présence en Europe et mettre en
place des fonctions de monétisation »,
révèle sonjeune patron. L'idée est de
proposer aux enseignes l'envoi
payant de coupons de réductions directement sur le téléphone portable du
client.
Réalité augmentée :
des applications
de plus en plus
performantes
• Les marketeurs n'hésitent pas
à emprunter leurs armes aux
militaires pour mieux nous
poussera l'achat. La réalité
augmentée est en effet issue de
la simulation aérienne : il s'agit de
superposer des informations sur
une photo ou une vidéo, de façon
à l'enrichir, ou « l'augmenter », de
données techniques comme le
prix, etc.
Chez lkea, depuis des années, les
équipes en Suède ont développé
l'application Irkam qui permet de
glisser un canapé du catalogue
sur l'écran de l'ordmateurgrâce à
sa caméra intégrée, d'ajuster sa
taille, d'effacer les zones inutiles
pour avoir une idée de ce qu'il
rendra dans notre salon.
Et la marque suédoise est déjà
passée à l'étape suivante. « Notre
catalogue publié en septembre
bénéficie d'une extension de
contenu en réa I ite augmentée : en
passant son smartphone audessus de certaines pages, on
voit des vidéos qui montrent par
exemple qu'il suffit d'ajouter
quèlques pièces de textile pour
changer complètement
l'ambiance déco de sa chambre »,
explique Stéphanie Jourdan,
directrice marketing adjointe de
l'enseigne en France.
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Instantanéité
et géolocalisation
L'AVIS DL.
t> Philippe TORRES, responsable conseil & stratégie numérique
de la cellule de veille technologique l'atelier BNP Paribas
« Le portable est au cœur du business »
Qui sont les acteurs
du commerce
sur mobile?
La question est plutôt
quels acteurs ne sont pas
passés au mobile. Dans
unpremiertemps,tous
les marchands en ligne
type Amazon s'y sont mis,
puis les spécialistes de la
vente à distance, suivis
par les géants de la distribution. Peu
importe la taille ou le secteur, on
assiste à une multiplication des mcommerçants (NDLR : commerçants
sur mobile) : Bagalam, un tout petit
vendeur de bijoux, intègre des
solutions de paiement sur portable,
c'est un moyen de se faire connaître.
Et la Plateforme du bâtiment, un
distributeurde matériaux pour les
professionnels, propose à ses clients
la géolocalisation des stocks.
Quelles sont les tendances ?
Il y a deux ou trois ans, le mobile était
encore un outil marketing, aujourd'hui
il est au coeur du business. Le
portable doit rapporterdirectement.
Cela concerne évidemment la phase
du paiement, maîs aussi toute une
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architecture de services,
comme la localisation des
produits et la livraison.
L'objectif est qu'il n'y ait
plus de rupture dans le
parcours du client entre la
boutique, le site Internet sur
son ordinateur et la
navigation mobile.
Y a-t-il une guerre sur
mobile entre les enseignes
traditionnelles et les « pure players »
qui ne sont que sur Internet ?
Bien sûr. L'offensive la plus
importante a été celle d'Amazon en
juillet2011: son application Price
Check proposait aux clients 5 $
(3,70€)de réduction sur les produits
consultés dans les magasins
physiques s'ils achetaientfinalement
sur Amazon ! Tollé de la grande
distribution, Walmart en tête, qui ont
accusé l'e-commerçantde
concurrence déloyale en s'appuyant
sur un réseau qui n'était pas le
sien. Les enseignes classiques
doivent impérativement être
présentes sur ce créneau, sinon ceux
qu'on appelle aussi les « barbares »
prendront leur place.
Avoir recours à la réalité
augmentée reste très coûteux. Le
prix d'une campagne, qui descend
rarement en dessous de 20 000 €
à 25 DOO €, peut s'élever jusqu'à
70 DOO € et même 100 000 €.
Mieux vaut donc ne pas se
tromper. Quand les opticiens Atol
font essayer des lunettes
virtuelles en calant son visage au
centre de son écran ou quand le
fabricant de stores Dickson
montre le rendu de ses produits
dans le cadre de la maison de
futurs clients, c'est amusant mais
pas sûr que cela génère beaucoup
de ventes. Une leçon qu'a bien
retenue le confiseur Cadbury, en
lançant une application
clairement et simplement pour
faire le buzz : il s'agissait de jouer
à taper sur des canards virtuels
qui surgissaient autour de la barre
chocolatée, elle, bien réelle.
Les applications les plus
prometteuses sont celles qui
s'appuient sur les atouts du
mobile : instantanéité et
géolocalisation. Par exemple,
MeilleurAgents.com permet
d'avoir une estimation des prix au
mètre carré d'un appartement
simplement en le visant avec
l'appareil photo de son mobile.
Grâce au GPS et à la boussole de
l'engin, l'application identifie
l'emplacement et l'orientation de
la caméra. Puis, elle superpose
sur l'image, en temps réel, les
estimations de prix tirées de sa
base de données.
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