Goldman Sachs a proposé une baisse générale

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Goldman Sachs a proposé une
baisse générale des salaires
de 30 % en France
Une interview du Huffington Post fait le bad buzz. Un
économiste de la banque américaine Goldman Sachs y est
interrogé sur la crise financière, la zone euro et la
situation en France. Sa « solution miracle » pour redresser
l’économie française ? Abaisser tous les salaires d’un tiers.
De passage à Paris pour faire le bilan de l’année passée et de
celles à venir, les économistes de Goldman Sachs sont venus
distiller leurs prévisions pour 2013. C’est Huw Pill, le
« Monsieur Europe » de ses économistes, qui répond aux
questions du HuffPost et balaye tous les sujets majeurs.
Situation de la zone euro, la Grèce, la France, mais aussi la
cabale lancée par The Economist à l’encontre du
gouvernement… Voici l’avis de la plus prestigieuse -et plus
sulfureuse- banque d’investissement du monde.
Qu’attendre de l’année 2013 en Europe ?
Nous sommes assez optimistes en ce qui concerne la situation
économique globale, notamment pour la seconde partie de
l’année. Nous sommes également optimistes pour les marchés
financiers, qui ont pris une bonne direction depuis la fin de
l’année dernière. Les moteurs de croissance que sont la EtatsUnis et la Chine ont retrouvé les niveaux qu’ils tutoyaient
avant la crise.
Et pour la zone euro en particulier ?
Elle devrait connaître une contraction moins importante qu’en
2012. Il faudra toutefois attendre au moins 2016 pour
retrouver une croissance modeste, selon nos estimations. La
zone euro a surtout besoin de réduire sa dette publique.
Distingue-t-on une porte de sortie ?
A partir de 2015, les bénéfices des plans d’économies réalisés
commenceront à porter leurs fruits. L’Europe va s’en sortir
doucement, mais sûrement. Sa lenteur lui permet de s’adapter à
la situation économique globale.
Qu’en est-il de la situation de la Grèce ?
C’est le pays qui compte les plus gros déséquilibres. Athènes
est loin d’être sortie d’affaire, mais c’est le pays qui a
connu les plus gros ajustements de toute la zone euro.
D’autres mesures sont encore à prendre, mais la stabilisation
est proche. La Grèce a toujours besoin de l’aide de l’Europe,
mais aussi de temps. Ca ne sera pas facile, ni rapide.
Comment Goldman Sachs voit l’économie française ?
Si on la compare à la Grèce, la France a tout pour elle. Mieux
placée géographiquement, plus importante économiquement… Mais
elle ne pourrait pas compter sur un programme d’aide européen
comme pour la Grèce. Du coup, la France doit pratiquer des
ajustements d’elle-même.
C’est quoi le problème, donc ?
La France a un problème chronique, qui dure depuis de
nombreuses années. Notamment un manque de compétitivité et des
déséquilibres dans ses comptes. Selon moi, le principal défaut
est incarné par un secteur public bien trop important. Cela a
pour conséquence de retourner l’économie sur elle-même, c’est
pour ça que la France ne produit pas assez de biens
exportables.
Une recette miracle pour François Hollande ?
Il faudrait déplacer l’emprise de l’Etat vers le secteur
privé. Ensuite, il faudrait s’appuyer sur une baisse des
salaires générale, afin de regagner de la compétitivité. On
estime que la France devrait réduire sa moyenne salariale
d’environ un tiers, ce qui est politiquement impossible à
imposer…
« J’ai détesté l’enquête de The Economist«
Que pensez-vous de la couverture de The Economist, illustrant
la situation économique de la France avec une bombe à
retardement?
Parler d’un article en particulier est assez dangereux, mais
je crois que je l’ai détesté, il m’a inquiété. The Economist a
critiqué la faible compétitivité et l’emprise de l’Etat, ce
qui pourrait à terme menacer l’Europe. Je suis d’accord avec
l’analyse, mais au contraire de ce journal, je suis persuadé
que la France peut se réformer. La France n’est pas la Grèce,
l’Irlande, le Portugal, l’Italie ou l’Espagne. Elle continue
d’emprunter à des taux très bas sur les marchés, qui ont
confiance en elle.
Êtes-vous confiant pour elle ?
Je pense que la France aura entrepris ces changements d’ici
trois à cinq ans. Elle devrait donc prendre la bonne
direction, qui rendra la zone euro plus puissante et plus
résistante. La vraie question est plutôt de savoir si le pays
va saisir l’opportunité qui se présente à lui, notamment grâce
à ses faibles taux d’emprunt sur les marchés…
Source : Huffington Post
10 prédictions économiques
scandaleuses pour 2014
Comme d’habitude la banque danoise Saxo Bank a publié une
liste de 10 prédictions « scandaleuses » pour l’année à venir.
Il s’agit d’un soi-disant «Black Swan exercice », inspiré par
les cygnes noirs, ces évènements extrêmes qui surprennent et
ont un impact majeur, puis sont rationalisés par des
explications a posteriori, et qui ont été théorisés par Nassim
Taleb, l’écrivain expert en épistémologie des probabilités et
des mathématiques financières.
L’année dernière, Saxo avait prédit une correction de l’or à
1200 dollars l’once qui s’est concrétisée en 2013.
Voici les 10 prédictions « scandaleuses » pour 2014:
1. L’UE va appliquer une taxe sur la richesse annonciatrice
d’un retour d’une économie de type soviétique
La déflation et la mollesse de la croissance vont susciter la
panique des dirigeants européens, ce qui conduira la
Commission Européenne à réfléchir à la création d’une taxation
pour les agents qui disposent d’une épargne supérieure à
100.000 euros ou dollars. Cette nouvelle taxe sera introduite
au nom de la réduction des inégalités et à la mise à
contribution « plus juste » des plus riches. Beaucoup de
travaux de recherche pointent vers une taxe sur la richesse de
5 à 10% pour créer un fonds « tampon pour la crise », qui
pourrait être utilisé pour porter secours aux banques, aux
gouvernements, ou à d’autres instances mises en difficulté par
la crise. Ce sera la dernière étape vers la création d’un Etat
totalitaire européenne et la plus forte régression des droits
de la propriété individuels.
2. Les groupes anti-UE obtiennent la majorité au parlement
Après les élections du Parlement européen en mai, un groupe
paneuropéen anti-UE deviendra le plus grand groupe politique
au parlement européen. Le nouveau Parlement européen élira un
président anti-européen et les chefs d’État et de
gouvernements ne parviendront pas à choisir un nouveau
président pour la Commission européenne, ce qui plongera
l’Europe dans un bourbier politique et économique.
3. Les « Fat Five » de la technologie se réveillent avec une
épouvantable gueule de bois en 2014
Les actions des firmes américaines du secteur de
l’informatique se négocient environ 15% en dessous de leur
évaluation dans l’indice S & P 500, mais un petit groupe
d’entre elles s’échangent à un cours 700% supérieur à leur
valeur de marché. Ce sont les 5 «Fat Five » : Amazon, Netflix,
Twitter, Pandora Media et Yelp. La valorisation de leur cours
est biaisée parce qu’elles ont été valorisées au regard de la
forte croissance qu’elles ont enregistrée au lendemain de la
crise financière. Saxo Bank prédit que cette bulle pourrait
éclater en 2014, et ces titres perdre 50% de leur valeur.
4. La Banque centrale japonaise pourrait annuler la dette
nationale après la chute de l’USD/JPY en dessous de 80 yen
En 2014, la reprise mondiale s’épuisera, ce qui fera chuter la
valorisation des actifs risqués et forcera les investisseurs à
se tourner vers le yen, ce qui aura pour conséquence
d’abaisser la parité du dollar contre le yen en dessous de 80.
En désespoir de cause, la Banque du Japon supprimera tous les
titres de créances du gouvernement pour juguler la trappe de
la déflation que connait le pays depuis 2 décennies. 15% de
l’endettement public pourraient disparaître de cette manière.
Comme cela n’a jamais été tenté nulle part, cette manœuvre
sera comme un voyage en territoire inconnu avec des effets
secondaires potentiellement désastreux.
5. La déflation aux États-Unis: bientôt dans votre ville
Bien que les indicateurs suggèrent que l’économie américaine
se porte mieux, le marché immobilier reste fragile et les
salaires n’augmentent pas en dépit d’une meilleure situation
du marché de l’emploi. En janvier, le Congrès ne manquera
probablement pas de jouer l’acte II de son show « comment
perturber l’économie américaine », et l’investissement,
l’emploi et la confiance des consommateurs devraient encore en
pâtir. Tout ceci est susceptible de pousser l’inflation à la
baisse et la déflation pourrait devenir une priorité pour
le Federal Open Market Committee (FOMC), l’organe de la Fed
chargé de l’élaboration de la politique monétaire américaine.
6. L’assouplissement quantitatif mise tout sur ??les prêts
hypothécaires
Aux États-Unis, le quantitative easing a fait baisser les
charges d’intérêt et augmenter le cours des actifs à risque de
façon spectaculaire, ce qui donne l’impression trompeuse que
l’économie s’améliore. De grands problèmes demeurent non
résolus, en particulier la poursuite du désendettement du
secteur privé, le marché immobilier qui plonge dès que les
taux d’intérêt remontent, le déclin continu des dépenses du
secteur public et la faiblesse de la création d’emplois du
secteur privé. Le FOMC pourrait donc se concentrer sur les
prêts hypothécaires en 2014, en modifiant son programme pour
faire du QE3 un programme consacré à 100% à l’achat
d’obligations hypothécaires. Le quantative easing, qui atteint
déjà 85 milliards de dollars mensuels, pourrait grimper à 100
milliards de dollars mensuels.
7. le cours du baril de Brent tombera à 80 dollars en
l’absence de réaction des producteurs
Le monde est inondé de pétrole en raison de la production
accrue provenant de sources non conventionnelles et
l’augmentation de la production en Arabie Saoudite. Pour la
première fois depuis des années, les hedge funds pourraient
« shorter » le baril de pétrole brut Brent pour ramener son
cours à 80 dollars. Après quelques hésitations, la Russie, les
producteurs de l’OPEP, et les Etats-Unis qui ont besoin d’un
cours élevé pour garantir la rentabilité des gisements de gaz
de schiste, parviendront à se mettre d’accord pour réduire la
production, ce qui fera repartir le cours du pétrole à la
hausse.
8. Allemagne en récession
La performance durable et exceptionnelle en Allemagne se
terminera en 2014, contrairement à la prévision de croissance
de l’ordre de 1,7% qui avait été faite. Après des années de
parcimonie excessive de l’Allemagne, les États-Unis finiront
par tourner le dos à la plus grande économie de la zone euro.
Il est également très probable que les autres grandes
économies mettent au point un plan coordonné pour réduire
lcommes excédents commerciaux du pays. La chute des prix de
l’énergie aux États-Unis va inciter les entreprises allemandes
à délocaliser leur
production à l’Ouest. L’Allemagne va
également pâtir d’une baisse de sa compétitivité en raison des
augmentations de salaires et les autres mesures qui pourraient
être exigées par le SPD, le nouveau partenaire de la coalition
au pouvoir, pour améliorer le bien-être des classes
inférieures et moyennes, et l’émergence de la Chine qui se
concentrera davantage sur sa consommation intérieure à la
suite de la récente troisième session plénière. Ce faisceaux
de menaces pourrait déboucher sur une baisse de l’activité
économique.
9. Le CAC 40 s’écroule de 40% en raison du malaise français
La bulle générée par le quantitative easing américain sur les
marchés actions continuera de se propager en 2014, mais ces
derniers pourraient subir une forte correction lorsqu’il
deviendra évident que le seul moteur de cette hausse est la
folie. Pendant ce temps, en France, le malaise s’aggrave en
raison de l’incapacité du gouvernement Hollande à apporter une
réponse au manque de compétitivité du pays ou une reprise de
la croissance économique. Les prix de l’immobilier, qui n’ont
pas vraiment été corrigés après la crise, feront un plongeon
spectaculaire, provoquant une baisse de la consommation et de
la confiance. Après le départ d’un grand nombre
d’investisseurs, l’indice CAC 40 chutera de plus de 40% par
rapport à son plus haut niveau de 2013 à la fin de l’année.
10. Les devises des « Fragile Five » perdent 25% contre le
dollar
La réduction prévue de l’assouplissement quantitatif aux
États-Unis mènera à une hausse des taux d’intérêt et une
augmentation des coûts marginaux du capital. En conséquence,
les pays avec des déficits de comptes courants de plus en plus
importants vont se retrouver exposés à la baisse de l’appétit
pour le risque des investissements du monde, ce qui provoquera
une baisse de la parité de leur devise, en particulier contre
le dollar américain. Cinq pays sont particulièrement
concernés: le Brésil, l’Inde, l’Afrique du Sud, l’Indonésie et
la Turquie.
http://www.express.be/business/fr/economy/lue-instituera-une-t
axe-sur-la-richesse-de-type-sovietique-et-9-autres-
predictions-pour-2014/200025.htm
Achetez
de
l’or
et
des
maisons car les banques vont
bientôt exploser
L’œil du cyclone, c’est cet endroit bien connu dans la
tourmente, un endroit de calme plat, un endroit où tout semble
aller pour le mieux et en réalité… ce n’est qu’un moment,
qu’une pause dans le passage du cyclone.
La situation économique que nous vivons correspond en tout
point à la définition de l’œil du cyclone.
Encore une fois, rien n’a changé depuis 2007, début de la
crise dite des subprimes. Beaucoup d’agitation, beaucoup de
plans de relance, beaucoup d’argent dépensé, un nombre
incalculable de sommets et de réunions de la dernière chance,
des moyens colossaux mis en œuvre mais au bout du compte, rien
ou presque n’a changé.
Alors ce soir, en ce jour de baisse de l’or relativement
importante, je tenais à partager avec vous ma conviction la
plus profonde sur la situation économique. Vous dire que
vraisemblablement ce mouvement baissier va nous conduire sur
le seuil des 1 000 dollars l’once, et que nous allons pouvoir
nous renforcer à bon compte sur le métal jaune, car encore une
fois, rien n’a changé. Avant de vous faire un petit exercice
de prospective, je voulais partager avec vous une information
chiffrée vraiment importante car tout le reste en découle
logiquement.
Un accord merveilleux sur l’union bancaire
Avant de vous donner cette information chiffrée, petit retour
sur l’événement insignifiant d’hier concernant l’accord sur
l’union bancaire en Europe, obtenu de longue lutte et
d’arrachée ! Un accord qui nous est vendu avec moult tambours
et trompettes ! Un véritable concert de louanges où des
mamamouchis incompétents et corrompus s’autocongratulent sous
le regard bienveillant d’une presse complice relayant le
message divin d’espoir sur la solidité des banques.
Alors retenez ceci. D’ici 10 ans (n’oubliez pas que le temps
en Europe est une notion très spécifique permettant de bien
saisir le principe de relativité cher à Einstein), nous aurons
un fonds de garanti doté de 55 milliards d’euros… dans 10 ans
! 55 milliards seulement et pour l’Europe entière. Autant dire
rien !
Maintenant, je reviens sur cet article du Monde dont je
voulais vous parler avec les chiffres qu’il dévoile et qui
sont parfaitement vrais. Ils sont vrais et terrifiants. Jugez
plutôt.
Les produits dérivés dépassent leur niveau d’avant-crise
« L’étude publiée mardi 17 décembre par le cabinet d’analyse
financière indépendante AlphaValue, intitulée « Quelles
banques sont des Fukushima en puissance ? », montre que ce
n’est pas près de changer. Celle-ci révèle en effet que la
valeur notionnelle des dérivés (c’est-à-dire la valeur faciale
qui apparaît sur les contrats de ces produits) dépasse
désormais son niveau d’avant la crise des subprimes.
Au premier semestre 2013, elle s’élevait en effet à 693 000
milliards de dollars, contre 684 000 milliards au premier
semestre 2008, selon les chiffres que le cabinet a tirés des
rapports de la Banque des règlements internationaux (BRI).
L’équivalent de dix fois le PIB mondial, contre trois fois le
PIB mondial il y a quinze ans. »
« AlphaValue a également épluché les documents officiels des
grandes banques européennes afin de déterminer quelles sont
celles qui détiennent les montants notionnels de produits
dérivés les plus élevés. »
Et voici le classement que je vous conseille d’imprimer et de
mettre sur votre table de chevet. Ainsi, lorsque vous douterez
de votre stratégie patrimoniale, et certains parmi vous
risquent de connaître de fortes périodes de doutes dans les
prochaines semaines, regardez quelques minutes seulement cette
petite feuille de papier. Regardez-là et rappelez-vous que
c’est précisément pour cette raison, et quoi que l’on vous
dise, quoi que vous entendiez, quelles que soient les analyses
fumantes et fumeuses que l’on vous livre.
1/
2/
3/
8/
9/
Deutsche Bank : 55 600 milliards
BNP Paribas : 48 300 milliards
Barclays : 47 900 milliards
La Société générale : 19 200 milliards
Le Crédit agricole : 16 800 milliards
Maintenant, effectuez par vous-même l’addition pour ces 3
banques françaises, puis comparez la somme totale… au PIB de
la France qui est globalement de 2 000 milliards d’euros.
Si une seule banque française explose, c’est toute la finance
mondiale qui explose, et notre PIB de 2 000 milliards n’est
que roupie de sansonnet ! Dès lors ce sera game over. La fin.
The End. Terminé. Fini. Envolé, tout ! Plus d’épargne, plus de
monnaie, plus d’échange, rien… Une véritable fin du monde
économique.
Le journal Le Monde fait remarquer très justement dans cet
excellent article que « les régulateurs sont conscients du
problème, et exigent notamment que les échanges de produits
dérivés passent à l’avenir par des chambres de compensation –
structures qui assurent le règlement-livraison des
transactions et garantissent le respect des règles de
transparence et de sécurité ».
Sauf que là encore, la puissance du lobby bancaire,
l’imbrication et la force des banques rendent tous les États
dépendants des banquiers. « La main qui donne est au-dessus de
celle qui reçoit. » Et c’est une évidence. Là encore, il
faudra au moins 10 ans avant de faire des avancées d’escargot
et encore… D’ici là, le monde financier aura déjà explosé
plusieurs fois.
Rien que pour BNP Paribas, plus de 48 000 milliards de
produits dérivés. Nous ne sommes pas dans la finance. Nous ne
sommes pas dans les concepts économiques. Nous sommes dans de
la pure folie humaine, et cette folie nous emportera tous, en
annihilant au passage nos épargnes, nos patrimoines, nos
fortunes.
Le chien aboie, la caravane passe !
Laissez aboyer le chien, et que la caravane de l’or poursuive
son chemin. Achetez, accumulez, vous pourrez passer à l’achat
si l’or descend jusqu’à 1 150 dollars l’once. Soyez acheteur
de tout ce que vous pouvez entre 1 150 et 1 000 dollars
l’once. Idem pour l’argent métal. Faites une razzia, faitesvous plaisir pendant les fêtes et en janvier. Ce sont les
soldes, profitez-en ! L’or et l’argent s’achètent. Cela ne se
revend pas… éventuellement nos métaux peuvent être transmis à
nos héritiers. Ils sont une assurance.
Profitez de ce moment dans l’œil du cyclone pour affiner vos
préparatifs
Après tout, lorsque l’on voit cet article sur les pires
prévisions économiques, (ici), on peut se poser quelques
questions sur la capacité prédictives des « zexperts » et
autres « zéconomistes », dont le rôle est plus de rassurer
tout le monde en permanence que de cerner véritablement les
risques. (À propos de prédictions économiques je vous réserve
une petite surprise pour l’édition du 24 décembre qui,
j’espère, vous plaira autant qu’elle vous amusera.)
Bref, préparez-vous ! Encore et toujours. Inlassablement.
1/ Une maison de campagne.
2/ Un PEBC (plan épargne boîtes de conserve) avec tout plein
de toutes les choses qui vous seront utiles en cas de
problème. Le concept de PEBC est évidemment une métaphore pour
désigner tout ce dont vous auriez besoin en cas d’arrêt des
flux. C’est donc beaucoup plus large que de simple totem de
boîtes de raviolis mais je pense que vous l’aviez tous compris
!
3/ De l’or pour stocker de la valeur. De l’argent comme
monnaie d’échange. D’ailleurs, vous avez encore la possibilité
de commander votre kit de survie en argent métal en allant sur
le site d’auCOFFRE.
4/ Pour ceux qui en ont les moyens, terres agricoles ou
forêts.
De façon générale, débancarisez au maximum (Vera carte pour
les dépenses quotidiennes avec 100 % d’or physique derrière
votre carte bleue…), achetez le maximum d’actifs tangibles,
pensez pour ceux qui ont beaucoup d’épargne ou des schémas
complexes type crédits in fine avec contrat d’assurance vie
nanti à sortir très vite des montages car vous allez boire le
bouillon en perdant votre épargne d’un côté et en devant votre
crédit de l’autre !
Soyez dans le réel. Pas dans le virtuel.
Lorsqu’une banque, fut-elle française et fut-elle la BNP, est
engagée à hauteur de 48 000 milliards de produits dérivés
(montant notionnel), la messe est dite. En face, la BNP
dispose de moins de 100 milliards d’euros de fonds propres.
C’est l’ensemble du système financier mondial qui est en
faillite virtuelle.
N’imaginez pas que l’on puisse trouver 700 000 milliards de
dollars.
N’imaginez pas que les banques centrales puissent imprimer de
tels montants sans déclencher une hyperinflation d’ampleur
biblique.
N’imaginez pas qu’à la fin du film le super-héros d’Hollywood
sauvera le monde de la destruction.
Alors saluez la baisse de l’or comme elle se doit ! L’or
baisse, c’est une excellente nouvelle car nous allons pouvoir
en acheter encore plus.
Remerciez chaque jour les bullion banks pour leur manipulation
sur les cours, car si cela effraie les mains faibles, les
spéculateurs, et ceux qui veulent gagner simplement de
l’argent sur les métaux, alors cela est très bon pour nous. En
baissant les prix, les acheteurs de long terme que nous
sommes, les « goldeux » historiques comme nous, ceux qui
souhaitent simplement se préparer, ceux que je nomme les
prévoyants, se fichent pas mal du cours de l’or ou de celui de
la boîte de raviolis. Car lorsque que nous regardons ce qu’il
se passera, lorsque nous quitterons l’œil du cyclone, nous
savons que nous aurons besoin de survivre à un cataclysme
économique. Peut-être arrivera-t-il en 2014, ou pas… peu
importe.
Lorsqu’une seule banque française détient pour plus de 48 000
milliards de produits dérivés, vous devez avoir la certitude
que vous n’êtes pas à la fin de la crise… mais dans l’œil du
cyclone, et ce calme peut être trompeur.Ne vous méprenez pas.
Restez à l’écoute.
À demain… si vous le voulez bien !
http://www.economiematin.fr/les-experts/item/7828-crise-econom
ique-2014-explosion-finance-or#disqus_thread
La Cour européenne des droits
de l’homme statue que l’on
peut
contester
tous
les
génocides sauf… celui de la
Shoah !
Poursuivre en justice une personne et la condamner parce
qu’elle a nié le génocide arménien de 1915 est une atteinte à
la liberté d’expression, a tranché mardi la Cour européenne
des droits de l’homme (CEDH), donnant raison à un Turc
condamné en Suisse.
« Le libre exercice du droit de débattre ouvertement de
questions sensibles et susceptibles de déplaire est l’un des
aspects fondamentaux de la liberté d’expression », ont rappelé
les juges de Strasbourg, qui en conséquence ont condamné Berne
pour avoir violé la liberté d’expression du requérant.
Cet arrêt n’est pas définitif. Les autorités helvétiques ont
trois mois pour le contester en demandant un nouvel examen de
cette affaire, ce que la CEDH n’est toutefois pas tenue de
leur accorder.
La Cour avait été saisie par le président du Parti des
travailleurs turcs, Dogu Perinçek, une petite formation de
gauche. L’intéressé avait été condamné à une amende par la
justice suisse, en 2007, pour avoir, « animé par des mobiles
racistes, nié le génocide arménien à trois reprises, lors de
conférences tenues en Suisse en 2005?.
Dogu Perinçek avait qualifié le génocide arménien de «
mensonge international » et avait nié, à propos des massacres
et déportations ayant entraîné la mort de centaines de
milliers d’Arméniens en 1915, la volonté génocidaire de
l’Empire ottoman.
Un tribunal de Lausanne avait considéré que les déclarations
de Dogu Perinçek n’étaient pas motivées par la volonté de
susciter un débat historique.
De leur côté, les juges européens ont souligné mardi qu’il ne
leur appartenait pas de se prononcer sur la réalité des
massacres subis par les Arméniens en 1915, ni sur
l’opportunité de qualifier ces faits de « génocide ».
Ils ont cependant observé que l’emploi du terme « génocide »
pour évoquer ces événements ne faisait pas consensus. En outre
le requérant, « qui n’a jamais contesté les massacres et les
déportations pendant les années en cause », « n’a pas exprimé
de mépris à l’égard des victimes », ont-ils noté.
Dès lors, M. Perinçek « n’a pas usurpé son droit de débattre
ouvertement des questions, même sensibles et susceptibles de
déplaire », ont estimé les juges européens.
La Cour précise par ailleurs qu’il faut « distinguer
clairement cette affaire de celles qui portent sur la négation
des crimes de l’Holocauste » commis par le régime nazi, « des
faits historiques, parfois très concrets, comme l’existence
des chambres à gaz », et qui par ailleurs « avaient été jugés
clairement établis par une juridiction internationale ».
Source :
7sur7.be
Historique ! 10 organisations
politiques issues de 7 pays
européens s’associent pour
sortir de l’euro et de l’UE
La réunion d’Athènes, organisée par l’EPAM les 30 novembre et
1er décembre 2013, a rassemblé des centaines de participants
et les représentants de 10 mouvements ou organisations
politiques émanant de 7 pays d’Europe.
Cette grande rencontre a permis la création d’une coordination
internationale de tous les mouvements politiques démocratiques
en Europe, qui dénoncent les oppositions de complaisance et
tous les extrémismes, et qui veulent sortir sereinement et
immédiatement de l’UE et de l’euro par application de
l’article 50 du TUE.
Bien entendu, les grands médias grecs – comme les grands
médias des autres pays d’Europe contactés – gardent un silence
absolu sur cette rencontre historique. Car cette coordination
internationale de mouvements anti-UE, fondés sur le strict
respect du droit et de la démocratie, déjoue les plans de
l’oligarchie euro-atlantiste.
Tout a en effet été organisé – depuis des décennies et dans la
plupart des pays de l’UE – pour médiatiser à outrance des
partis d’extrême-droite afin de terroriser l’écrasante
majorité des électeurs en leur faisant croire que sortir de
l’UE et de l’euro seraient des idées extrémistes. Et, partant,
pour empêcher tout débat rationnel et serein.
L’une des plus grandes vertus du communiqué commun de la
réunion d’Athènes est de prouver à la face du monde que cette
manipulation infâme est désormais démasquée. Entre les
oppositions de complaisance des « alter-européistes » qui
participent par leurs alliances à la comédie du clivage
droite-gauche d’un côté, et les partis extrémistes qui ne sont
médiatisés que pour servir de repoussoirs de l’autre côté, la
réunion d’Athènes vient de prouver qu’il existe une véritable
voie de sortie, qui représente un formidable espoir pour les
peuples d’Europe.
Puisque les médias ne font pas leur travail, nous devons,
comme sous l’Occupation, le faire à leur place. Nous venons de
mettre en ligne sur notre site un nouveau tract recto-verso,
qui présente le Communiqué de presse commun de la réunion
d’Athènes, dans sa version en français, et le commentaire que
j’en ai fait hier.
Nous demandons à toutes et à tous, adhérents et sympathisants
de l’UPR, de rediffuser au maximum ce document à tout leur
entourage familial, amical ou professionnel.
Il suffit pour cela :
– soit de rediffuser par courrier
dessous ;
– soit d’ouvrir le lien ci-dessous,
et de l’imprimer recto-verso en
possible, puis de le remettre à vos
de travail.
électronique le lien cide télécharger le document
autant d’exemplaires que
parents, amis et collègues
Le
lien
est
: http://www.upr.fr/wp-content/uploads/2013/12/communique-EPAM
-2013-V2.pdf
Ne vous reposez pas sur autrui. Agissez dés maintenant. Il
appartient à chacun d’entre nous de diffuser le plus possible
cette information. La loi du silence imposée par les médias
aux ordres ne doit pas gagner et elle ne gagnera pas.
Source: upr.fr via informaction.info
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