consommation d’O2 (+libération de
CO2) ; localisation et structure des
mitochondries
TP8 : la mitochondrie et la respiration –
extraction de mitochondries (chou-
fleur) ; injection de différents substrats
de la glycolyse (surtout pyruvate), suivi
de la consommation d’O2 ; expériences
de Krebs (succinate, malate oxaloA et
malonate)
L'oxydation du glucose comprend la glycolyse
(dans le hyaloplasme) puis le cycle de Krebs
(dans la mitochondrie) : dans leur ensemble,
ces réactions produisent du CO2 et des
composés réduits R'H2.
TP9 : la production d’énergie lors de la
respiration – extraction de l’ATP de
levure et dosage par bioluminescence
à la luciférase dans différentes
conditions (quantifier la production
d’énergie cellulaire) ; structure de la
chaîne respiratoire de la
mitochondrie ; poisons métaboliques
(ordre d’intervention des complexes)
La chaîne respiratoire mitochondriale permet
la réoxydation des composés réduits ainsi que
la réduction de dioxygène en eau. Ces
réactions s'accompagnent de la production
d'ATP qui permet les activités cellulaires.
TP10 : un autre mécanisme de
production d’énergie (fermentation) –
mesure de la production d’éthanol en
fonction 1) de 2 substrats (glucose et
lactose), 2) de la température, 3) du
pH ; mêmes mesures avec la
respiration en parallèle pour comparer
(valeurs chiffrées de la production
d’ATP)
Les levures survivent en condition anaérobie :
il existe un mécanisme autre que la
respiration pour la production d’énergie.
Ce second mécanisme, la fermentation,
correspond à une dégradation partielle des
molécules organiques. Elle produit moins
d’ATP que la respiration qui est une
dégradation complète de la matière
organique.
TP11 : utilisation de l’ATP produit
partie 1/2) – observation de la cyclose
sans/avec inhibiteur de la production
d’ATP (acide cyanhydrique) ;
observation de la tension des
myofibrilles avec/sans ATP (salyrgan
inhibiteur d’utilisation) ;
Dilacération de muscle et observation
au microscope ; microscopies
électroniques longitudinales et
transversales relâché/contracté
L'ATP joue un rôle majeur dans les couplages
énergétiques nécessaires au fonctionnement
des cellules.
Le muscle est constitué de 2 types de fibres
protéiques : l’actine et la myosine. L’actine
est un filament, la myosine porte des têtes
accolées aux filaments d’actine. La succession
d’un ensemble de fibres forme un sarcomère.
Lors de la contraction, le sarcomère se
raccourcit et s’épaissit car les fibres
s’intercalent les unes dans les autres.
TP12 : utilisation de l’ATP produit
(partie 2/2) - suivi de la consommation
en O2 du muscle (forte consommation
après l’effort = dette en O2 =
La fibre musculaire utilise l'ATP fourni, selon
les circonstances, par la fermentation
lactique ou la respiration. L'hydrolyse de l'ATP
fournit l'énergie nécessaire aux glissements