1- Uniformisation et le Déluge par M. Jack Exum traduit par M. Denis

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Uniformisation et le Déluge
par M. Jack Exum
traduit par M. Denis Tarko
L’uniformisation présume que les processus géologiques qui sont maintenant en
application et seulement ceci, ont réagi dans le passé et par conséquent il faut les mettre
en pratique dans l’étude des origines. Les preuves géologiques pour le déluge ont été
passé sous silence et même la possibilité d’une telle catastrophe dans le passé est écartée.
Cette philosophie mène les êtres-humains de considérer le déluge avec désapprobation,
en déclarant que toutes choses ont continué comme dès le commencement de la création.
2 Pierre 3, 3-7. C’est une doctrine d’uniformité dans toutes choses pour remplacer la
croyance dans le déluge. Je crois que toutes les prophéties ont été belles et bien réalisées,
sauf la deuxième venue du Christ, autrement dit, le jour du jugement. Si on croit cet
auteur ça laisse la porte ouverte pour la théorie pré-millenium.
Après dix-huit siècles nous voyons enfin l’ancienne prophétie accomplie. (Note du
traducteur : Je crois que c’était réalisé au premier siècle; c’est vrai de l’homme qu’il
rejette toujours les évidences que Dieu existe; il y avait des gens même au temps de Jésus
qui n’acceptaient pas Dieu.) Avant 1 800 après Jésus-Christ quelques-uns des théologiens
éminents (exceptionnels) des église étaient d’avis que le déluge n’était pas seulement
universel en ampleur mais était responsable de refaçonner la surface de la terre.
Pendant tout le 18e siècle et cela ont continué pendant une bonne partie du 19e siècle, une
liste impressionnante de scientifiques et de théologiens ont produit des œuvres en appui
pour la théorie d’évolution du déluge.
Opposition à cette théorie du déluge de géologie, généralement reconnu, à donner
l’éclosion aux trois plus grands efforts d’harmonisations des temps modernes
(1) la théorie diluvium; (2) la spéculation tranquille; (3) et la doctrine du déluge local.
1. La philosophie diluvienne de 1820
M. Georges Cuvier a enseigné que la plupart des stratums fossilifères de la terre ont été
déposés par une série de grandes inondations, séparées par des périodes, de temps
énormes et bien avant la création de l’homme. Après chacune de ces catastrophes les
quelques animaux qui restaient qui étaient répandus à travers la planète seulement d’être
exposés à être anéantis encore une autre fois par une autre grande inondation.
Son successeur a donné des cours qu’après chacune de ces calamités a été suivis par une
création nouvelle de la vie animale. Ils ont trouvé de l’espace entre Genèse 1, 1 et Genèse
1, 2 qui est devenue ensuite la fameuse théorie d’intervalle. (Gap theory) Ça semblait
offrir une explication facile pour la théorie des fossiles.
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M. William Buckland l’a nommé la théorie diluvienne ça a captivé les imaginations des
théologiens qui étaient contents d’avoir des preuves positives sur l’universalité d’un
déluge (inondation), même s’il fallait calculer la plupart des fossiles à des catastrophes
datés pré-Adamique. Beaucoup des théologiens ont pris des mesures de dénoncer la
vieille théorie du déluge de géologie dans le nom de la géologie moderne.
2. La théorie tranquille de 1 826
Cette idée déclare que le déluge universel était trop tranquille un phénomène pour laisser
derrière n’importe quels dépôts quel que ce soit, M. John Fleming a affirmé. J’ai formulé
mes idées de la Bible, que les eaux sont montées par degrés, le déluge ne présentait pas
de violence.
M. Charles Lyell, le grand prêtre de « l’uniformisation » a enseigné que plusieurs des
processus géologiques qui opère aujourd’hui dans la terre a été actifs pour de très longues
périodes de temps et que tels processus pourraient expliquer pour le monde comme nous
le voyons aujourd’hui. Le présent est la clé au passé.
Tous les mécanismes géologiques ont été très graduels dans le passé et il a totalement
abhorré ne nullement des suggestions des catastrophes soudaines. Sa conception (théorie)
a été admise en tant qu’une philosophie vraie de géologie dans la plupart des centres
d’érudition scientifique dans le monde d’aujourd’hui et ça peut être attribuable
partiellement au fait que M. Charles Darwin, un disciple de Lyell, a conçu sa doctrine
(théorie) d’évolution organique sur le fondement uniformisation que Lyell a dévoilé et il
le cite dans son livre.
Le système (théorie) du déluge quand même universel en étendue, on ne pensait pas que
ça avait une signification géologique quoi qu’il en soit.
3. L’idée (théorie) d’un déluge local de 1 839
M. John Fye Smith a exposé son point de vue que le déluge n’aurait pas pu être universel,
la théorie tranquille était vu comme absurde scientifiquement alors c’était l’aube d’une
nouvelle ère.
Maintenant pour la première fois depuis le 17e siècle, l’universalité du déluge a été
démentie par l’utilisation (tordue) des Écritures et la science. Les géologistes sont
s’alignés vite avec la nouvelle doctrine (théorie) ou ont se conformaient vite au même
avis que la nouvelle doctrine. Smith a formulé que le déluge était anthropologiquement
universel cependant local géographiquement et, ça a été devenu une grande machination
d’harmonisation imaginée. Dans l’espace de temps d’une génération, géologistes a mené
l’Église de modifier leur point de vue sur le déluge trois fois.
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CONCLUSION
Libre afin de la nécessité d’harmoniser la géologie avec la Genèse, les scientifiques ont
abandonné le déluge de leurs pensées et se sont joints avec M. Charles Lyell dans ces
efforts de défaire patiemment le nœud de stratum fossilifère suivant les principes
d’uniformités auxquels il a énoncé au début en 1 830.
Un grand nombre de théologiens se rangeaient à l’avis avec les spéculations scientifiques
les plus récentes. La doctrine biblique du déluge ne peut pas être équilibrée avec les
théories d’uniformisation de géologie. Une vraie géologie historique va ne jamais être
formulée jusqu’à ce que le déluge de la Genèse comme une catastrophe universelle est
accordée sa place légitime et fondamentale (vitale) dans les pensées des hommes
chrétiens de la science.
La médiocrité (insuffisance) d’uniformité « C’est le triomphe de la géologie comme une
science d’avoir démontré que nous n’avons pas besoin de nous référer aux causes
terribles, vaste et inconnues pour les particularités des reliefs de la terre, mais les
entremises (les actions) au travail à l’œuvre aujourd’hui sont compétentes pour les
produire pourvu que nous ayons assez de temps. »
Cette déclaration est significative dans son implication qu’une compréhension des
processus intenses sur les périodes de courtes durées ou des mécanismes (processus) lents
sur les temps de périodes de longues durées.
L’uniformisation a été tout simplement présumée, pas établie (prouver.) Le déluge de la
Genèse a seulement a été nié, pas réfuter.
1. Le volcanisme et les roches ignées (roche endogène)
– (3) Géol. Se dit d’une roche qui provient de l’intérieur de la terre : Le granite est une
roche endogène. [ Endo -, élément, du gr. gennâm, engendrer ] {Larousse}
Une grande partie de la superficie de la terre sont des roches endogènes (ignées) en
origine, dans plusieurs formes différentes et d’une importance énorme. Le Plateau de la
Columbia, 200 000 milles carrés. Le Bouclier Canadien 2 000 000 milles carrés.
Aujourd’hui, il y a peut-être 500 volcans actifs, mais ne rien vu par l’homme dans notre
ère chrétienne peut rivaliser avec qu’est-ce qui s’est passé pour causer ses formations de
ces structures épouvantables.
2. Les mouvements de la Terre.
Partout sur la terre est l’évidence d’énormes mouvements de la croûte terrestre, des
roches d’une grande épaisseur ont été apparemment soulevées des milliers de pieds, les
stratums ont été déformés, inonder quelquefois complètement renversés. Les montagnes
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rocheuses est une succession (séries) d’énormes plis. Autant que les montagnes
(ou chaîne de montagnes) le Himalaya, les Andes, les Oural, les Appalaches. C’est dans
ce contexte-ci que le principe d’uniformité semblerait être insuffisant.
3. L’étendues continentales de glace.
Rien ne présentement peut comparer aux étendues énormes de glace du passé, qui ont
couvert 4 millions milles carrés d’Amérique du Nord, et 2 millions milles carrés
d’Europe.
4. Phénomène de sédimentation.
La plupart des roches sédimentaires sont causées par l’eau. Formée à travers le processus
d’érosion, le transport, la déposition et lithogène ou la lithogenèse des sédiments. –
Lithe ou Lite, - Lithique, Lith(o)-, élément, du grec. gennâm, engendrer. LITHOGÈNE
adj. (1 843) 1. Qui donne naissance à des pierres ! 2. Qui devient dur comme la pierre :
Ciment lithogène. * LA LITHOGENÈSE (1 908) Géol. Formation des roches et, en
particulier, des roches sédimentaires.
Le Géosynclinal Géol. Vaste fosse de l’écorce terrestre en voie d’affaissement progressif
et où s’entassent des sédiments, en partie détritique) – 100 à 200 Kilomètres de large,
1 000 à 2 000 kilomètres de long – 50 à 100 000 pieds de profondeur, les Appalaches.
Comment se fait-il pour expliquer la source de ces régions, ce soulèvement des terres
croûteuses.
(Scablands) [sens = qui forment les croûtes, couche de terre durcie qui se forme à la
surface du sol…] dans le Plateau de Columbia, des gorges mis à sec, les vallées
suspendues, les chutes d’eau (les cascades) taries, et d’autres particularités bizarres qui ne
sont manifestement pas modelés nulle part à l’époque que nous vivons. La théorie qui
donne une bonne justification c’est un vaste déluge brusque.
La Grande Prairie – attribuable aux alluvions (LA ALLUVION [lat. alluvio, de alluere,
baigner; 1 527] DR. Accroissement de terrain dû aux dépôts terreux qu’abandonne un
cours d’eau. * n.f. pl. (1 690). Géogr. Dépôt laissé par un cours d’eau dont la charge
excède la capacité de transport : Les alluvions sont composées de cailloux, de graviers, de
sables et de boues. *ALLUVIAL, E, AUX adj. (v.1 900). Produit par des alluvions :
Plaine alluviale… *LE ALLUVIONNEMENT (1 877). Formation d’alluvions :
L’alluvionnement produit des deltas) déployées et chevauchées formées par des rivières
pesantes et puissantes en descente des montagnes récemment élevées à l’ouest…Sans son
pareil dans le monde moderne de notre ère.
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5. Cimetière des fossiles.
Il n’y a pas de son pareil dans le monde moderne qui peut être cité en exemples des
couches de fossiles telles trouvées surtout vraie des gisements de pétrole et de charbon.
Six manières de fabriquer un fossile :
1. La préservation par congélation; très peu ou pas de tout, des animaux aujourd’hui aura
subie ce processus. Pourtant ça été bien connu que plusieurs des animaux disparus ont été
découvert entier, avec la chair et poils intacts, calcul approximatif 5 millions de
mammouths. Plusieurs d’autres bêtes ont été dégotées (trouver) comme par exemples les
rhinocéros, les ours, les chevaux, etc.
2. La conservation les parties dures – les ossements et les coquilles, d’habitudes
les os demeurent sur la surface et petit à petit se désintégrant. Jamais dans notre ère,
nous avons mis la main sur autant des grandes cimetières des organismes ensevelis
ensemble.
Le comté de Lincoln en l’état de Wyoming, des spécimens quasiment parfaits des fossiles
des poissons et plantes dans le monde, oiseaux, reptiles, mammifères, et aussi des
insectes.
Florissant dans l’état de Colorado : des fossiles d’insectes avec perfection dans les
moindres détails. La grotte d’os de Cumberland dans l’état de Maryland – chauve-souris
jusqu’au mastodontes, reptiles et oiseaux de tous les habitats et climats différents.
Des dépôts d’ambre de Baltique – insectes de d’autres organismes.
Des couches de lignite de Geistal en Allemagne. – les poils, plumes, écailles préservés –
le contenu des estomacs, deux genres de bactérie. FONGI – élément du lat. fungus,
champignon fongus (champignons) identifiés.
La carrière de La Brea à Los Angeles – des dizaines de milliers d’échantillons.
(LE LIGNITE [du lat. lignum, bois; 1 765] Roche combustible contenant 70 p. 100 de
carbone, ayant souvent l’aspect du bois fossile. Le lignite a une valeur calorifique trois
fois moindre que celle de la houille.)
L’uniformité ne peut pas justifier tous ces cimetières de fossiles.
3. La préservation de carbone – production (formation) l’houille (charbon) dans laquelle
l’hydrogène et l’oxygène en grande mesure disparaît des restes organiques en laissant
derrière exclusivement le carbone. Le charbon (ou la houille) est le produit fini des
quantités colossales des restes des plantes sous l’action de la température, la pression et le
temps. Découvert dans toutes les régions du monde, même le pôle austral. Il y en a
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