« Tant quon aime, il y a quelque chose à faire. En avant ! »
Doña Sept-Epées, Le soulier de satin, P. Claudel
Compagnie Sept-Épées
« Tant quon aime, il y a quelque chose à faire. En avant ! »
Doña Sept-Epées, Le soulier de satin, P. Claudel
Compagnie Sept-Épées
«LES BOURGEOIS»
Tournée rurale et régionale
Deux pièces courtes de Georges Feydeau
Spectacle tout public
Durée : 1 h 15
Théâtre champêtre
La ruralité est au coeur du projet culturel de la Compagnie Sept-Épées. Nous défendons un théâtre de
qualité, divertissant et accessible à tous. Nous voulons simplier la représentation théâtrale dans ses
dimensions techniques et logistiques. Foin des infrastructures étrangères et lointaines, la compagnie
est indépendante : elle amène son régisseur, son matériel, son décor, et s’implante au coeur de la
campagne.
La diusion : faisons campagne !
La communication est l’enjeu incontournable des équipes culturelles locales.
Partenaire de nos partenaires, nous assumons avec vous la diusion auprès
du public. La Compagnie Sept-Épées joue un jour de marché, et parade en
costume pour attiser la curiosité des badauds d’ici ou d’ailleurs. Nous pou-
vons dissocier le lieu de parade du lieu de représentation, et ainsi rayonner
sur un territoire plus vaste.
Équipe de création
Mise en scène-scénographie : Anne-Louise de Ségogne
Direction d’acteur : Lazare Herson-Macarel
avec la collaboration artistique d’Olivier Martin-Salvan
Jeu : Thomas Pouget, François Pérache, Anthony Audoux et An-
ne-Louise de Ségogne.
Costumes : Dahlia Kaynar
Régie : Guillaume Lemaître.
Cie Sept-Epées / Les Bourgeois / p. 2
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Doña Sept-Epées, Le soulier de satin, P. Claudel
Compagnie Sept-Épées
MANIFESTE POUR UN THÉÂTRE DE TERRAIN
Une vocation
La ruralité est au coeur du projet culturel de la Compagnie Sept-Épées. Cest pour nous un désir fort,
un choix, et non une solution de repli, qui a besoin d’être encouragé et soutenu.
Dans chacune de nos créations, nous ne suivons pas nécessairement le schéma de diusion classique,
et travaillons à une culture de proximité dans le souci du désenclavement des publics ruraux.
Cette politique culturelle rurale fait partie de la mission des collectivités territoriales auxquelles nous
faisons appel aujourd’hui pour défendre et soutenir la singularité de notre démarche.
Nous souhaitons pour ce projet l’envergure nécessaire à une politique culturelle de terrain ecace.
Forts de notre expérience et de nos rencontres, l’équipe des «bourgeois» est constituée de comédiens
issus des plus grandes formations artistiques françaises (Conservatoire National de Paris, Ecole Claude
Mathieu, etc.) dont les expériences professionnelles avec des grands metteurs-en-scènes (Olivier Py,
Benjamin Lazar, Adel Hakim, Jean Bellorini, etc.) sont autant de gages de notre professionnalisme et de
notre volonté d’apporter le meilleur dans les campagnes.
Le Nouveau Théâtre Populaire (Fontaine-Guérin, Pays de la Loire) a fortement inspiré notre démarche
pour ce spectacle. Avec lui, nous souhaitons armer que la création contemporaine peut s’appuyer
sur des textes du répertoire et des comédiens issus d’équipes émergentes. Les campagnes ont un im-
mense besoin de culture, et à la suite du NTP nous désirons apporter de belles équipes, nourries d’un
désir de politique culturelle concret, en territoire rural dans la Région Centre.
D’autre part, la Compagnie Sept-Epées, liée à l’économie culturelle « rurale », est toujours dans des
économies complexes, comme d’autres compagnies émergentes. Nos productions fragiles sont le
signe d’une part d’une créativité qui n’attend pas quon fasse pour elle, d’autre part d’un besoin de
reconnaissance, d’accompagnement et de soutien nancier des tutelles.
Cie Sept-Epées / Les Bourgeois / p. 3
« Tant quon aime, il y a quelque chose à faire. En avant ! »
Doña Sept-Epées, Le soulier de satin, P. Claudel
Compagnie Sept-Épées
QUELQUES OUTILS
La légèreté
Dans ce projet, l’accessibilité culturelle, cest aussi la simplication de la représentation théâtrale dans
ses dimensions techniques et logistiques.
Nous renonçons aux lumières et investissons totalement les décors et les costumes pour traiter l’en-
semble des enjeux scénographiques.
La scénographie doit être force d’évocation, et légère dans sa mise-en-place. Elle doit à la fois dénon-
cer « l’esprit bourgeois » et permettre une réelle continuité entre le projet artistique et sa cible, le public
rural.
La rencontre
La communication est un enjeu incontournable des équipes culturelles locales.
Dans ce projet nous souhaitons apporter notre soutien avec simplicité aux petites communes dans la
diusion auprès du public. Si la démarche de parade et tractage tirent à l’épuisement à Avignon, elle
prend ici tout son sens sur les foires et marchés locaux. Elle devient une occasion d’échange, elle per-
met d’attirer l’attention, voire même de rassurer un public non averti !
DES PISTES POUR LA MÉDIATION CULTURELLE : DIFFÉRENTS
CHANTIERS
Avec le public rural, nous souhaitons pouvoir aborder et faire connaître des textes moins connus, d’au-
teurs vivants on non.
Et nous laissons à la réexion pour les diérents chantiers de création plusieurs possibilités dont deux
d’entres elles pourraient être :
- une lecture avant le début du spectacle, d’une vingtaine de minutes.
- un genre d’entracte, inclus dans la mise-en-scène, comme un zoom sur une conversation litté-
raire dans un salon entre nos quatre protagonistes qui liraient l’extrait d’une oeuvre.
Nous savons que cette tournée est l’occasion de rencontres fortes, à la découverte d’un public éloigné
de la représentation théâtrale. Nous voulons travailler à la culture en ruralité de façon sincère, exigeante
et simple.
Cie Sept-Epées / Les Bourgeois / p. 4
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Doña Sept-Epées, Le soulier de satin, P. Claudel
Compagnie Sept-Épées
SYNOPSIS
«Mais n’te promène donc pas toute nue !»,
George Feydeau
Le salon du député Ventroux. Celui-ci reproche à Clarisse, sa femme,
de se montrer trop souvent en tenue légère devant leur ls ou leur do-
mestique. Arrive Hochepaix, l’adversaire politique de Ventroux. Clarisse
apparaît court-vêtue provoquant à nouveau la fureur de son époux et le
scandale. Lélu se réjouit de l’embarras de son concurrent, l’épouse joue
les ingénues dévêtues, et Ventroux voit la chronique de sa mort politique
s’écrire sous ses yeux.
«Les pavés de l’ours», Georges Feydeau
Lucien doit rompre avec Dora, sa maîtresse, pour épouser la riche lle de sa marraine. En outre, écoeu-
ré par la louterie des domestiques parisiens, il fait venir de la campagne un valet belge, Bretel, âme
simple et pure... Les maladresses de cette perle rare s’accumulent jusqu’à provoquer l’eondrement
des projets de mariage de notre arriviste, pour le plus grand bonheur de Dora !
Cie Sept-Epées / Les Bourgeois / p. 5
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