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VHT CONSEIL
Valérie-Hélène Toutain / Najette Esbay
Tél . 01 44 29 20 70
[email protected] / [email protected]
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« LE PLAISIR LE PLUS DELICAT EST DE FAIRE CELUI D’AUTRUI »
Jean de La Bruyère (1645-1696)
Lumineux, poétique, aérien et tout nouveau, le Joyce Hôtel vient animer la rue La
Bruyère dans le 9ème arrondissement de Paris.
Conçu et rénové par l’architecte designer Philippe Maidenberg pour le groupe
Astotel, le Joyce Hôtel est un joyeux mélange de confort, d’élégance et de clins
d’œil.
Dès l’entrée, un desk dessiné par Philippe Maidenberg et composé d’un montage
de mini Tours Eiffel laquées de blanc et de rouge donne le ton. Une banquette
étirée, créée par l’architecte et inspirée d’une selle d’équitation ajoute à la tonalité
ludique, comme les trois horloges dessinées par George Nelson dans les années 50
(édition Vitra), et le fauteuil africain de Cheick Diallo réalisé spécialement pour
l’hôtel. L’œil est guidé par la fibre optique qui illumine le parquet et conduit vers un
petit salon près d’un mur de pierre, avec des canapés Designers Guild et des
suspensions de Polspotten.
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Vient ensuite une lumineuse salle des petits-déjeuners située sous une grande verrière
dans un esprit Eiffel, donnant sur un mur de verdure. La salle, dont le carrelage
ancien au sol a été conservé, est composée d’éléments mobiliers surprenants
comme une banquette de 8 mètres composée de sièges en cuir récupérés sur des
voitures de luxe, un mur de miroirs inclinés reflétant le ciel de la verrière, un mur de
soliflores, des écrans diffusant un film de nuages glissant sur un ciel bleu (Lézarts
Production), et un grand nuage suspendu animé et lumineux (Vialuce). On trouve
également des sièges Thonet signé Eddie Harlis (1954), des poupées en bois peint de
Girard (édition Vitra)…un festival pour les yeux !
L’escalier, l’ascenseur et les couloirs qui mènent vers les 44 chambres sont habillés
d’un papier étoilé et constituent le lien entre le ciel du rez-de-chaussée et le blanc
lumineux des espaces privés.
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DES CHAMBRES D’UNE DOUCE GAIETE
Les chambres du Joyce Hotel, très lumineuses, sont toutes différentes, par les
couleurs et le mobilier, et expriment un confort douillet, toujours dans l’esprit ludique
de l’hôtel.
Les têtes de lit sont remplacées par des élévations d’architecte, des bibliothèques
qui évoquent l’esprit littéraire du quartier Saint Georges, dans un esprit détourné du
travail de Fornasetti. On retrouve Fornasetti sur le carrelage mural des salles de bain
(Surface). Les lavabos d’un design original sont de Sopha Industrie.
Les portes des placards sont habillées de flanelle créée par Jasper Conran pour
Designers Guild, les bureaux sont surmontés par des miroirs Mosh-Umbra dans un
esprit coiffeuse, et selon les chambres, accompagnés de chevet Conran, de sièges
Thonet (Gastenstuhl), Dharma (modèle Lavenham dessiné par Patricia Urquoila) ou
de Philippe Starck (modèle pip-e).
Une grande partie du mobilier est conçue par Philippe Maidenberg, comme les
bureaux par exemple. Même la moquette est créée à partir d’un scan du pantalon
Prince de Galles de l’architecte designer. Tout est beau, rien n’est sérieux… excepté
le soin apporté à l’accueil et au bien-être des clients. Station i Pod, produits
d’accueil bios… tout est conçu pour prendre soin des clients dans une atmosphère
pleine de gaieté.
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LE CONFORT ET LE BIEN-ETRE SONT AU CŒUR DE L’ESPRIT DU JOYCE HOTEL
Le Joyce Hotel est un écrin protégé de l’animation parisienne. Les chambres sont à
l’abri du bruit de la rue, et près du patio éclairé, les soirées sont douces et calmes
pour des instants de sérénité.
Les boissons non alcoolisées sont mises à disposition dans la grande salle, et au petitdéjeuner, les aliments bios sont privilégiés, comme le pain et les céréales.
Le Joyce Hotel propose la gamme de produits d’accueil bios N Ki.
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UN ENGAGEMENT POUR L’ENVIRONNEMENT
Le Joyce Hôtel a pour ambition de devenir une référence dans son engagement
pour le respect de l’environnement, et met progressivement en place une série de
mesures dans ce sens concernant :
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L’énergie : contribution au développement de sources d’énergie
renouvelables à hauteur de 50% de sa consommation d’électricité, et utilisera
plus de 97% d’ampoules d’efficacité énergétique de classe A (ampoules
basse consommation). Tous les appareils électroménagers sont de classe A.
Equipement : les équipements de bureau et d’informatique portant le label
européen « Energy Star »
Eau : tous les robinets du Joyce Hotel sont équipés de mousseurs qui limitent le
débit de sortie d’eau
Déchets : le Joyce Hotel s’engage sur le tri et la réduction des déchets
(papier, verre, ampoule et piles) et équipe ses salles de bain de distributeurs
de savon et de gel douche
Entretien : utilisation de produits respectueux de l’environnement
Produits d’accueil : le Joyce Hotel propose la gamme de produits bios N Ki
dont les formules sont certifiées Ecocert et labellisées Cosmebio.
Petit-déjeuner: les produits bios (pain, céréales) sont privilégiés
Formation et sensibilisation : le personnel et la clientèle sont sensibilisés au
respect de l’environnement par de l’affichage et de la documentation sur le
tri sélectif, le changement du linge et des serviettes à la demande…
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JOYCE, UN NOM DANS L’HISTOIRE DE LA RUE LA BRUYERE
Le Joyce Hôtel s’inspire de la gaieté artistique du 9ème arrondissement, qui depuis le
18ème siècle est placé sous le signe des arts. Le quartier a vécu au 19ème siècle
naissance de la peinture impressionniste, avec Auguste Renoir qui habita rue St
Georges, et surtout le peintre Jean-Jacques Henner qui vécut et mourut au 41 rue La
Bruyère. Jean-Jacques Henner, connu aujourd’hui pour ses portraits de femmes
rousses, découvrit une jeune fille surnommée Joyce (de son vrai prénom Jocelyne)
qu’il prit pour modèle et qui vécut elle aussi, près de l’atelier de l’artiste au 41 rue La
Bruyère, jusqu’à la mort de Henner en 1905. Flamboyant, le Joyce Hôtel évoque le
souvenir du peintre et de son modèle.
Le Quartier de La Nouvelle Athènes
Concentré dans le périmètre délimité par les rues Saint Lazare, Blanche, La Bruyère
et Notre Dame de Lorette, le quartier est conçu dans la tradition néo-classique.
Essentiellement résidentiel, il attire l’intelligentsia de l’époque. C’est le journaliste
Dureau de la Malle qui le baptisa « Nouvelle Athènes » dans le Journal des Débats,
une référence à la passion qu’entretiennent ses habitants pour l’imagerie de
l’Antiquité grecque. Au fil des années, le square d’Orléans (aujourd’hui accessible
par le n° 80 de la rue Taitbout) devient le cœur de la Nouvelle Athènes avec comme
chefs de file les amants George Sand et Frédéric Chopin qui habitent chacun un
appartement du lieu, comme Alexandre Dumas dont l’appartement était décoré
par le peintre Eugène Delacroix. Le quartier abrite encore aujourd’hui de nombreux
théâtres, et c’est tout naturellement que l’architecte designer Philippe Maidenberg
a trouvé une inspiration en harmonie avec son goût pour la scène et le spectacle.
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FICHE PRATIQUE
Adresse : 29 rue La Bruyère 75009 Paris
Tél. : 01 55 07 00 01
Fax : 01 55 07 00 11
E-mail : [email protected]
Groupe Hôtelier : Astotel S.A, 28 rue Caumartin 75009 Paris / www.astotel.com
Architecte designer : Philippe Maidenberg
44 chambres dont une junior suite et trois chambres accessibles handicapés
Tarifs :
Chambres : de160 à 280 euros
Suite : 380 euros
Equipement :
 Stations i Pod,
 Ecrans plats
 Produits d’accueil bios
Services
 Boissons non alcoolisées mises à disposition gracieusement au bar
 Wi Fi gratuit
 Bagagerie
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A PROPOS DU GROUPE ASTOTEL
Propriétaire du Joyce Hôtel et de l’hôtel Monterosa situé juste en face, le groupe
Astotel a été fondé en 1971 par Georges, Serge et Jean-Pierre Cachan avec le
premier hôtel, l’Astra Opéra (29 rue Caumartin) dans le 9ème arrondissement à Paris.
Aujourd’hui, Astotel est l’un des premiers groupes hôteliers parisiens avec 17 hôtels et
près de 1 000 chambres. Les hôtels du groupe sont classés trois ou quatre étoiles et
sont situés dans les quartiers Opéra, Grands Boulevards et Champs-Elysées.
Les hôtels du groupe :
 L’Astra Opéra****, 29 rue Caumartin Paris 9ème
 Le 123****, 123 rue du Faubourg St Honoré Paris 8ème
 Le Bradford Elysées****, 10 rue Saint Philippe du Roule Paris 8ème
 L’Astoria Opéra***, 42 rue de Moscou Paris 8ème
 Le Bergère Opéra***, 34 rue Bergère Paris 9ème
 L’Acadia Opéra***, 4 rue Geoffroy Marie Paris 9ème
 Le Malte Opéra***, 63 rue de Richelieu Paris 2ème
 Le Trianon Gare de Lyon***, 52 boulevard Diderot Paris 12ème
 L’Aulivia Opéra***, 4 rue des Petites Ecuries Paris 10ème
 Le Palmon Opéra***, 30 rue de Maubeuge Paris 9ème
 Le Lorette Opéra***, 36 rue Notre Dame de Lorette, Paris 9ème
 Le George Opéra***, 46 rue Notre Dame de Lorette Paris 9ème
 Le Régina Opéra***, 11 bis rue de Mazagran Paris 10ème
 Le Saint Augustin***, 9 rue Roy Paris 9ème
 Le Caumartin***, 27 rue de Caumartin Paris 9ème
 Le Monterosa***, 30 rue La Bruyère Paris 9ème
A PROPOS DE PHILIPPE MAIDENBERG
Né en 1966 à Paris, Architecte DPLG diplômé en 1990, Philippe Maidenberg vit sa
première expérience d’architecte avec le suivi du chantier du Grand Louvre auprès
de l’agence I.M.Pei & Partners. Il part également à Chicago chez Helmut Jahn où il
a une première approche de l’hôtellerie en participant notamment aux dessins des
chambres de l’hôtel Park Hyatt de Roissy. C’est en 1995 qu’il décroche son premier
chantier hôtelier avec l’hôtel Bergère Opéra *** à Paris, le premier d’une longue
série avec le groupe Astotel (famille Cachan) et d’autres hôteliers. La conception
d’hôtels permet à Philippe Maidenberg d’exprimer sa créativité par le design de
mobilier et de luminaires. Son travail s’inspire principalement de la couture, de la
musique et de la scène.
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