« Je vous enseigne le surhomme. L'homme est quelque chose qui sera surmonté. Qu'avez-vous fait pour
le surmonter? » Friederich NietzscheIl n'est pas inhabituel pour Friedrich Nietzsche (voir annexe
1.a) et Adolf Hitler (voir annexe 1.b) d'être mentionné dans la même phrase. L'idée que Hitler a pe
rsonnifié plusieurs des philosophies de Nietzsche était commune pendant et après la Deuxième Guerre
Mondiale et Hitler lui-même a été capable de confirmé cette idée. Ce connection n'est pas très popul
aire dans nos temps modernes, je remarque que beaucoup considèrent toujours ces deux figures histori
ques d'être fortement liés, certains qui vont jusqu'à accuser la philosophie de Nietzsche d'inciter
l'Holocauste. "En effet, les écritures de Nietzsche ont contenu plusieurs commentaires anti-Juifs, m
ais elles ont aussi contenu plusieurs commentaires anti-Allemands (exemple: des vikings barbare) ."
Dans cet article, j'examine la relation et la comparaison idéologique entre Adolf Hitler et Fried
rich Nietzsche. Quand on pose des questions sur la philosophie de Hitler à Nietzsche, on pose vraime
nt deux questions. D'abord, qu'est ce que Hitler a dit? Les suiveurs de Hitler se sont uni sous une
idéologie de Nazi ce qui a été décidé par la propagande et l'autobiographie de Hitler (Mein Kampf).
Même aujourd'hui, obtenant une perspective historique plus au courant, nous formons une corrélation
entre Hitler à l'idéologie qu'il a crée pour sa partie, utilisé pour réunir des gens dans les masses
et de promouvoir sa carrière politique. Dans des discussions philosophiques, ont peut demander qui
était Adolf Hitler? La réponse est souvent reliée à la haine des juifs et de sa croyance dans la dom
inance des Aryens. Il y a une deuxième question à considérer, cependant. Qu'est ce que Hitler a fait
? Les mots de Hitler et les actions de Hitler étaient souvent complètement différentes. Par exemple,
Hitler a souvent fait appel au christianisme afin d'amasser les masses dans la partie de Nazi (une
propagande religieuse) (même dans Mein Kampf), "mais Hitler a secrètement visé à convertir toute l'A
llemagne en Païen (une religion considérée offensive) " . Si on doit évaluer la philosophie de Hitle
r, on doit examiner ses mots et actions, parce que tous les deux ont eu un impact sur l'histoire."
Il y a deux types de moralité que Nietzsche décrit dans sa philosophie, celle du maître et celle de
l'esclave" . Tous les deux moralités résultent sur le principe de maître-esclave. La moralité du maî
tre est généralement celle de la noblesse, ceux qui commandent le destin des classes inférieures et
tiennent la plupart du puissance dans leur terre natale (États-Unis). "Ces aristocrates tendent à av
oir certaines qualités, telles que la fierté, l'avarice, le désir, et la gourmandise, qui sont souve
nt évitées dans le monde moderne. Les maîtres appellent ces qualités « bonnes » et les incorporent d
ans leurs vies quotidiennes, en utilisant leurs vastes ressources (du terre et des autres peuples) p
our favoriser leur bien-être et pour augmenter leur qualité de la vie, souvent aux dépenses des autr
es" . Les choses que ces personnes appellent le « mauvais » sont souvent les choses qui les écoeuren
t ou sont sous elles, incluant particulièrement les classes inférieures. "L'esclave de moralité, cep
endant, Nietzsche s'associe à la religion, en particulier lePage. 2christianisme" . Cette moralit
é apparaisse quand les esclaves dans une société deviennent irrités de ceux qui ont la puissance au-
dessus d'elles et, afin d'essayer de critiquer leurs maîtres, donne le nom de « mauvais » à toutes l
es qualités des maîtres. Les actes des esclaves de moralités dont ils considèrent comme « bons » son
t souvent à ceux qui sont égalitaires, généreux, et les individus qui se sacrifient. "Ces actes enco
uragent la coopération dans la société des esclaves et nous permettent de travailler ensemble comme
un troupeau" . Quand ont promouvoit les « bonnes » qualités morales des maîtres, nous embrassons ce
qui affirme notre vie (« life-affirming »), ce qui démontre les meilleures parties de notre nature (
ce qui nous sépare des animales) (la fierté de soi-même). Nous pouvons alors s'affirmer et reconnaît
re notre supériorité au-dessus des autres plutôt que de le caché et l'ignoré à la moralité esclave.
"Pour ces mêmes raisons, Nietzsche a déprécié les mouvements démocratiques et socialistes qui commen
çait à se montré dans le monde entier" . Il a considéré leurs politiques égalitaires et nie à la vie
parce qu'ils ont refusé l'individu la capacité de s'affirmer au-dessus de d'autres.La « volonté à
la puissance » (« will to power ») représente pour Friedrich Nietzsche le désir naturel de l'homme
d'exceller et de s'améliorer. Nietzsche indique que ce sont nos désirs plus fondamentaux et nous dev
ons agir sur elles afin d'affirmer la vie. Alors il est nécessaire d'être cruel, malhonnête, ou égoï
ste, nous devons agir comme cela si nous souhaitons affirmer la vie. Les Nazis (voir annexe 2.a) ont
joué avec cet aspect de philosophie de Nietzsche "parce qu'il a semblé leur donner une justificatio
n pour plusieurs des atrocités ils ont commis" . Il y a aussi le principe de Nietzsche, « l'instinct
de troupeau », que les Nazis n'ont pas apparemment joué avec. Il a dit qu'il y a des forces qui agi
ssent de nous empêcher d'affirmer la vie, l'instinct de troupeau, notre besoin de coller ensemble et
de faire des choses pour le bénéfice de la société (« strenght in numbers »). Quand nous reconnaiss
ons et agissons sur cet instinct de troupeau, nous nions la vie car nous aidons la société et non l'
individu (nous même). Nietzsche a aussi favorisé le principe que Dieu soit mort (Il existait). Avec
une telle idée Dieu ne peux plus contrôler notre destin alors le Surhomme peut la manier comme il le
veut pour son bénéfice à lui seul. Si Dieu existe encore la race humaine total est inférieure et le
concept de l'humain maître n'existe pas.La moralité de Hitler représente une contradiction à l'i
déologie de Nietzsche parce qu'il exige le dévouement à l'état. Une partie de Mein Kampf est consacr
ée à l'égalisation des masses. Il dit que, "plutôt que d'apporter en bas des classes plus élevées (c
omme dans le socialisme), une société devrait soulever vers le haut ses classes inférieures" . Il di
t, cela peut être confirmé par "la classe inférieure luttant pourPage.3ses droits égaux" . L'id
ée de la classe inférieure se luttant pour l'égalité des droits est directement opposée aux idées q
ue Nietzsche propose. Dans le Troisième Reich de Hitler,"le peuple est un esclave complet à l'état
et manque tout forme de liberté politique" . Leurs seuls droits égale semble être le droit de vivre,
une droit que ceux en dehors de la société « non-Aryens » n'ont pas eu. La société de Hitler va à l
'opposé à la plupart des idéologies de Nietzsche. Hitler ne pourrait pas directement appuyer la mora
lité du maître parmi les gens parce que personne n'obéirait ses ordres, les « bonnes » qualités de t
ous ces individus affaibliraient sont pouvoir. Il a alors transformé la moralité du maître en concep