reproduire lorsqu’ils ne le désirent pas. Certaines de ces techniques ne
posent pas de problème; alors que d’autres peuvent en poser.
Il est clair que le recours à la pilule contraceptive ne peut pas être considéré
comme une mesure de santé. Cette pilule dérègle de système reproducteur en
déséquilibrant le système hormonal de la femme. On sait que la
consommation de cette pilule, sur de longues périodes de temps, augmente le
risque du cancer du sein et de l’utérus. À ce sujet, l’OMS a rendu publiques
les conclusions d’un groupe de 21 chercheurs venus de 8 pays. La
conclusion de ces chercheurs a été à l’effet que « La pilule augmente le
risque du cancer du sein, du col de l’utérus et du foie. »
Pourquoi en est-il ainsi? Parce que, dans ce cas, la prise d’hormones de
synthèse expose, pendant trois semaines sur quatre à la progestérone, les
tissus qui possèdent des récepteurs à ces hormones, comme le sein par
exemple. Normalement ces tissus devraient être exposés à cette hormone que
de 10 à 14 jours lorsqu’on compte uniquement sur l’activité normale des
ovaires. De plus, la concentration des hormones de synthèse est beaucoup
plus forte que celle des hormones naturelles.
Prétendre que la pilule contraceptive favorise la santé serait une aberration.
Par conséquent, le naturopathe et le praticien en prévention ne peuvent pas
recommander cette forme de contraception. Évidemment, c’est la personne
qui consulte qui décide, en dernier lieu, si elle veut assumer ce risque de
cancer. Si elle ne le veut pas, elle devra choisir une autre forme de
contraception moins problématique.
Les relations anales
Ce type de relations est largement répandu. Le sphincter de l’anus n’a pas
été conçu pour être pénétré de l’extérieur, surtout par un objet d’une certaine
grosseur comme un pénis en érection par exemple. Ce sphincter s’ouvre
naturellement de l’intérieur vers l’extérieur pour permettre l’évacuation des
matières fécales. Telle est sa finalité sur le plan physiologique.
Les pénétrations anales sont donc anti-physiologiques. Elles peuvent
notamment entraîner des micro-saignements. Elles risquent notamment
d’accroître le risque du cancer de l’anus. Une étude publiée, en 1997, dans le
New England Journal of Medicine, conduite par des chercheurs danois,
suédois et néerlandais, a montré que 84% des personnes atteintes d’un