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Le Magazine du DLR ■
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édito
Soyons optimistes !
Nous sommes déjà au milieu de l’année 2014… Et si c’était pour nous l’occasion de voir l’année à moitié pleine
plutôt qu’à moitié vide ? De faire preuve d’optimisme ?
Certes, les difficultés existent. Nos entreprises dépendent de la conjoncture, de la politique de nos gouver-
nants, de la fiscalité du pays, de nos clients, de nos fournisseurs, de nos salariés et probablement de nom-
breux autres facteurs que nous ne savons ou ne pouvons pas toujours identifier ni maîtriser.
Mais nos entreprises dépendent aussi et surtout de nous, les dirigeants. De notre vision du monde, de nos peurs
du changement ou de notre appétence aux changements, de notre capacité d’adaptation et d’anticipation…
Bien sûr, il nous est impossible à nous seuls de tout prendre en main. Du reste, le vouloir serait déjà une erreur,
car nous sommes parfois le premier frein à l’évolution de nos structures.
Alors que faire ? Il n’y a pas de solutions miracles, cela serait bien trop simple. Mais nous pouvons nous former
(cela aide à la remise en cause, à trouver de nouveaux chemins), éveiller notre curiosité, échanger dans des
associations de chefs d’entreprise, dans des clubs, dans la fédération du DLR, nous engager.
Le repli sur soi est source d’enfermement, de pessimisme, de protectionnisme. Au contraire, regardons ce
qui se fait ailleurs (autres pays, autres secteurs d’activité, confrères), remettons-nous en cause. Le monde
évolue… le DLR, vous, moi, nos équipes devront changer et s’adapter.
Le monde d’hier avait ses avantages et ses inconvénients. Le monde d’aujourd’hui et de demain sera ce que
nous voulons bien en faire, avec ses opportunités, ses risques, ses peines, ses joies. Soyons honnêtes avec
nous-mêmes : c’est ce qui génère l’adrénaline pour surmonter tous les défis qui nous attendent.
Notre activité est en mutation, elle s’ouvre à de nouveaux métiers. Nous sommes des chefs d’entreprise,
des patrons et fiers de l’être. Il est donc de notre responsabilité d’engager les changements nécessaires.
Bien à vous,
Sonia Dubès
Sonia Dubès