Présentation de l`auteur Thibault de Swarte est agrégé de sciences

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Thibault de SWARTE
Responsable du Mastère Ingénieur d'Affaires Européen
Département Economie et Sciences Humaines
ENST Bretagne
BP 78
35512 Cesson-Sévigné Cédex
Tél. 02 99 1270 14
Fax: 02 99 12 70 13
Le contrôleur de gestion, l’ingénieur et le psychanalyste : l’apport de la psychanalyse
organisationnelle
Présentation de l’auteur
Thibault de Swarte est agrégé de sciences sociales, maître de conférences à l'ENST de
Bretagne et responsable du mastère ingénieur d'affaires européen. Ses activités de recherche
portent sur le management des télécommunications. Par ailleurs, il est membre de l'IP&M
depuis l'origine, responsable du comité éditorial et membre du Conseil d'Administration.
Mots clés
Inconscient, action collective, appareil psychique, poids du symbolique, expérimentation,
interprétation, organisation, structuration, paradigmes, transformation, ruptures.
Résumé
L’utilisation de la méthode psychanalytique en sciences de gestion introduit une rupture
épistémologique car elle permet de passer de la vision dominante positive et positiviste de
l’organisation à une vision analytique et constructiviste où l’entreprise est un lieu de vie et de
manipulation de symboles et non plus seulement un lieu de travail. En rappelant l’importance
du symbolique au sein des communautés de travail, la psychanalyse permet par exemple
l’émergence d'un regard « autre » sur les systèmes d’informations comptables et financières.
Au final, la transformation du regard porté sur l’objet étudié concourt ainsi à la transformation
de l’objet lui-même.
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La science, si on y regarde de près, n’a pas de mémoire.
Elle oublie les péripéties dont elle est née (…) autrement dit une
dimension de la vérité que la psychanalyse met là hautement en exercice.
Jacques Lacan, Ecrits II
Traiter de l’apport de la psychanalyse aux sciences de gestion en quelques pages serait présomptueux.
En nous limitant à la méthode psychanalytique, nous voudrions énoncer quelques unes des conditions
de possibilité d’un dialogue entre ces deux disciplines. Du point de vue de la psychanalyse, c’est
paradoxalement assez facile dans la mesure ou aucun psychanalyste ne peut nier que l’entreprise, objet
des sciences de gestion, est une composante de la réalité psychique du sujet (Enriquez, 1992, Amado,
1995). Du point de vue des sciences de gestion, le problème est rendu plus ardu par le fait que
l’utilisation de la méthode psychanalytique n’a de sens que si est accepté le postulat de l’existence de
l’inconscient. Or, les sciences de gestion, se veulent pragmatiques et fondées empiriquement.
Le terrain qui est le nôtre, celui des technologies de l’information et de leurs usages, a au moins
l’avantage d’être vierge et peu résistant à une approche psychanalytique, contrairement au marketing
ou à la GRH par exemple.
Après nous être interrogé sur la pertinence de la psychanalyse pour les sciences de gestion, nous
chercherons à élaborer une proposition de structuration des sciences de l’ingénieur et de la
psychanalyse en nous plaçant du point de vue des sciences de gestion.
1. Etude de la pertinence de la psychanalyse pour les sciences de gestion
1.1. L’identité des sciences de gestion
Les sciences de gestion sont marquées par une double filiation : une filiation technique autour des
techniques comptables et plus généralement des techniques de gestion et une filiation de nature
théorique avec les sciences économiques, sociales ou juridiques. Il n’existe pas de filiation explicite
avec la psychologie a fortiori avec la psychanalyse, même si comme toute science sociale les sciences
de gestion utilisent un modèle psychologique implicite de l’individu, le plus souvent béhavioriste. A
ces deux filiations majeures est venue s’ajouter une contribution significative à la théorie financière en
même temps que se développaient par un processus d’innovation bottom up venu des entreprises des
disciplines neuves telles que la GRH, les systèmes d’information, le marketing ou le management. Ces
derniers développements sont d’ailleurs extrêmement récents, guère plus de 40 ans1, si on compare
l’histoire des sciences de gestion avec l’histoire de la sociologie, que Raymond Aron fait commencer
avec Montesquieu, a fortiori si la comparaison s’effectue avec les pluriséculaires sciences juridiques2.
1 Hatchuel (2001, p.39) propose la lecture de l’histoire des sciences de gestion suivante : « L’histoire des sciences de gestion
suit le développement progressif d’une problématique fondamentale. Ce dévoilement a débuté avec un projet éducatif, a
donné ensuite naissance à une ingénierie inédite, avant que l’on puisse non sans difficultés réaliser qu’il s’agissait de penser
la nature de l’action collective au-delà des conventions de l’économique ou du sociologique. »
2 Une articulation de la dimension psychanalytique des sciences de gestion avec les sciences juridiques serait à construire. La
question de la construction d'un référent théorique organisant le triangle droit, psychanalyse et sciences de gestion est en effet
complexe. Ce n'est pas ici le lieu de développer ce point; On peut cependant donner une piste et s'appuyer sur les travaux de
Pierre Legendre, professeur au Collège de France, juriste et psychanalyste. Pour lui, l'élément structurant des comportements
humains et organisationnels, c'est le droit et, pour utiliser l'expression lacanienne, la « Loi ». Pour Legendre (p. 360), il est
nécessaire de procéder à la reconnaissance du droit comme science du vivant parlant (ce qui nous renvoie aussi à la biologie
sur laquelle Freud déjà s'appuyait) et de conduire simultanément l'interrogation sur l'inconscient. En effet, la fonction
juridique consiste à nouer le biologique, le social et l'inconscient (..). On trouve aussi chez Legendre un positionnement par
3
Dans quelle mesure existe-t-il a minima une compatibilité entre l’identité des sciences de gestion et
l’objet de la psychanalyse et dans toute la mesure du possible des éléments communs ayant une valeur
heuristique ?
Dans un ouvrage récent, Hatchuel (2001) propose aux sciences de gestion un horizon d’élaboration
de théories axiomatiques et généalogiques de l’action collective (p. 4). Pour ce qui nous concerne ici,
le débat ne porte pas sur l’axiomatique et la généalogie mais sur le concept d’action collective, en fait
sur l’ancrage sociologique par rapport à l’ancrage psychologique et à la problématique du sujet en
situation de management.
La définition de l’action collective est un élément central de la théorie sociologique. On pense
notamment à Durkheim dont un des apports essentiels a consisté à limiter son analyse des collectifs à
la seule dimension collective, considérant que la contribution des individus à la dimension collective
ne relevait pas de la sociologie mais de la psychologie. Touraine s’inscrit dans cette tradition
intellectuelle en considérant que l’objet de la sociologie consiste à étudier des relations sociales.
Du point de vue des sciences de gestion, il n’est pas contestable que les collectifs doivent être
privilégiés : une organisation est par définition un lieu collectif. Doit-on pour autant n’accorder aucune
importance à l’individu et au sujet, nous ne le pensons pas, notamment parce qu’il n’est ni réaliste ni
raisonnable de ne pas prendre en compte le poids du sujet et de la personne dans l’organisation.
Sur un plan théorique, il faut s’arrêter à la contribution d’une élève de Gary Becker3, prix Nobel
d’économie. Shira B. Lewin (1996) s’attache au modèle psychologique implicite de la science
économique et remonte au début du XX° siècle pour constater que les économistes préfèrent s’attacher
à l’observation des comportements plutôt qu’à leur interprétation car ils se méfient de la psychologie.
Elle rend hommage au travail d’Herbert Simon (1947) sur le comportement administratif car, en
acceptant la pluridisciplinarité, Simon a permis un progrès scientifique que les modèles économiques
traditionnels ne permettaient pas. De la même manière, notre hypothèse de travail consiste à montrer
les limites des méthodes de recherche dérivées de l’économie des télécommunications et à valider une
sous hypothèse concernant l’apport théorique et méthodologique de la psychanalyse. Interrogeons
nous maintenant sur les apports majeurs de la théorie psychanalytique.
rapport au management, même si celui-ci n'est pas au cœur de son analyse; sa réflexion reprend le thème freudien classique
du rôle du mythe paternel dans les organisations. La dissémination du mythe paternel par les pratiques du management
d'entreprise trouble nos habitudes de raisonnement à propos du lien social (..). Enfin, et c'est probablement là son apport le
plus original, Legendre insiste sur le double rôle du Droit qui est à la fois un élément de structuration sociétale et un élément
de structuration du symbolique car il institue la parole:l'intervention du droit n'est compréhensible que sous la condition de
reconnaître à la science juridique d'avoir partie liée avec cet élément structural du vivant humain: la parole.
Voilà des pistes de recherche bien stimulantes dont certaines sont développées dans la thèse de sciences de gestion de Faÿ
(1999). Le droit précise en effet ce qui est de l'ordre du dit et de l'interdit (l'inter-dit) au sein d'une organisation. Le non-dit,
c'est précisément ce qui relève du champ de la psychanalyse et de l'inconscient, à condition d'accepter l'axiome
psychanalytique de l'existence et de l' autonomie relative de l'inconscient. Certes, les psychanalystes sont tout sauf naïfs : le
non-dit peut relever du calcul rationnel. Mais il peut aussi relever de l'indicible, par exemple un DRH qui éprouverait un
plaisir pervers à organiser des charrettes de licenciements.
3 A y bien regarder, il n’existe pas d’incompatibilité radicale entre la vision calculatrice qu’a Becker du comportement de
l’homo oeconomicus et celle, non moins calculatrice, que Freud et Lacan ont de l’inconscient. Simplement, la logique du
calcul inconscient est d’ordre structural alors que celle de Becker et de l’ordre du dénombrement, des probabilités et de la
modélisation microéconomique appliquée aux comportements humains.
Il faudrait probablement revenir au viennois Schumpeter pour élaborer un cadre théorique satisfaisant. Mais le fait que
Becker ne fasse aucune référence au symbolique rend d’autant plus convaincante sa vison du réel. Par exemple, dans un
article de 1994, Becker remarque que la hausse du prix des cigarettes surtout un impact de court terme sur les comportements
addictifs des consommateurs. C’est donc que les variables structurales du comportement du consommateur sont fortement
indépendnates du prix. Rien n’empêche alors d’ajouter au constat d’ordre économique établi par Becker que les racines de
l’addiction sont à touver du côté de la pulsion orale et de la structure de l’appareil psychique que la cigarette satisfait. Le
calcul inconscient est ici le suivant : j’accepte de mourir x années plus jeune pour satisfaire mon besoin de succion.
4
1.2. Le rôle des phénomènes inconscients dans l’action collective
Pour rester dans la problématique proposée par Hatchuel, on remarquera tout d’abord que la
psychanalyse est une théorie de type généalogique, plus d’ailleurs que la sociologie, dans la mesure où
son mode d’interprétation des phénomènes psychologiques fait systématiquement appel à leur
psychogenèse. Pour traiter du rôle des phénomènes liés à l’inconscient individuel dans l’action
collective, il est nécessaire d’accepter trois axiomes.
Axiome 1 : l’appareil psychique a son autonomie.
La psychanalyse a construit un modèle du fonctionnement psychologique dans lequel l’appareil
psychique fonctionne sur un mode qu’on peut en première analyse qualifier de mécaniste. Il est
capable de transmettre et de transformer une énergie [psychique] déterminée ; il se différencie en
systèmes ou en instances (Laplanche & Pontalis p. 32). Sur ce premier point, on voit mal comment les
sciences de gestion pourraient contester l’existence de l’appareil psychique et son autonomie relative.
Kets de Vrie et Miller (1984) ont ainsi montré l’importance des variables psychologiques liées à la
personnalité des dirigeants dans la conduite du management stratégique.
Axiome 2 : Accepter que l’action collective peut relever de trois logiques.
Autonomie par rapport aux individus : c’est le postulat classique de la sociologie développé
notamment par Durkheim sur un plan méthodologique et par Touraine en sociologie du travail.
Déterminer les individus: cet axe n'est pas développé dans le cadre de nos travaux. Indiquons
seulement que les sociologues structuro-fonctionnalistes, en particulier Pierre Bourdieu, en font le
cœur de leur modèle. Pour eux, le concept de sujet au sens de la psychanalyse ou de la sociologie
de l'action n'a pas de traduction empirique et ne peut donc constituer un objet d'étude. Cette
sociologie est cependant bien à la peine lorsqu'il lui faut tenter d'expliquer par quels mécanismes
psychologiques les « agents sociaux intériorisent les probabilités objectives» qui leur assignent
une place déterminée dans le champ social.
Etre déterminée par des individus particuliers. C’est l’approche que nous privilégions ici. Elle peut
paraître triviale si on s’attache au rôle du décideur qui, dans une organisation, est en position
d’imposer un choix à d’autres individus. Elle est plus complexe si on s’attache à l’étude des
phénomènes de leadership ou d’influence attachés à des personnalités atypiques n’ayant pas un
rôle fonctionnel qui leur attribue un pouvoir particulier sur les autres membres de l’organisation.
La simple observation montre le poids des leaders négatifs dans les organisations, par exemple des
personnalités à même de contrecarrer les stratégies des cadres dirigeants.
Axiome 3 : il existe des strates profondes et un noyau dur de l’appareil psychique,
l’inconscient.
L’étude de l’inconscient est l’objet privilégié de la psychanalyse qui développe, on l’a dit, une
théorie de l’appareil psychique et propose des techniques d’accès à la dimension inconsciente. Avec
Laplanche et Pontalis (p. 197) on distinguera un sens descriptif et un sens topique.
Au sens descriptif, l’inconscient correspond à l’ensemble des contenus non représentés dans le
champ actuel de la conscience.
Au sens analytique de la 1ère topique de Freud, il s’agit d’un système constitué de contenus qui se
sont vus refuser l’accès au système pré-conscient/conscient par l’action du refoulement.
Le point concernant l’inconscient est le plus délicat car il relève de la pure axiomatique voire, pour
reprendre Hatchuel de la métaphysique, et doit être accepté comme tel. On verra cependant dans les
pages qui suivent que cet axiome est accepté par des chercheurs en sciences de gestion significatifs.
1.3. Poids du symbolique dans les organisations
Sur la base de la définition de l’objet des sciences de gestion d’Hatchuel, nous avons défendu l’idée
que l’action collective comportait aussi une dimension individuelle et que dans un certain nombre de
situations de gestion, le tout ou le collectif pouvait être la somme des parties somme de laquelle on ne
peut pas arbitrairement retrancher le sujet humain et la dimension inconsciente de son comportement.
Nous avons ensuite montré quel était le rôle des phénomènes inconscients dans l’action collective. Il
faut maintenant s’interroger sur le poids de la dimension symbolique au sein des organisations.
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Pour l’essentiel, nous adhérons à l’approche de l’école française du management (HEC) pour
laquelle la problématique de l’identité est un des quatre éléments structurants de la politique générale
d’entreprise, aux côtés de la stratégie, de la décision et de la structure.
La question clé est la suivante : une organisation peut-elle exister sans la dimension symbolique ?
Plus précisément, une organisation peut-elle exister sans proposer des formes de structuration des
processus inconscients individuels fonctionnellement reliées à la structuration de l’organisation4.
Pour reprendre un vocabulaire proche de celui de Lemoigne (1996), une organisation ne peut
simplement consister en des flux d’informations qui circulent en son sein. De trop nombreuses
analyses des organisations en restent à ce niveau, qu’on pourrait qualifier de monographique et de
descriptif. Elles décrivent des cartographies de flux d’informations de gestion qui rendent compte à un
instant t du fonctionnement d’une organisation.
L’analyse systémique constitue une perspective intéressante visant à rendre compte de façon
globale de la circulation des flux d’informations au sein d’une organisation. Mais elle repose sur un
modèle du comportement humain d’inspiration béhavioriste qui en limite la portée, plus précisément
qui permet de saisir utilement les mécanismes de fonctionnement du «tout» organisationnel mais qui
postule des mécanismes de fonctionnement des «parties» individuelles plus simples qu’ils ne le sont
en réalité.
En effet, comment expliquer que les organisations aient besoin de créer et de manipuler des
symboles, du lien social et interpersonnel ou encore des signes abstraits de leur identité5. Comment
expliquer que toute entreprise contemporaine entretienne une relation double avec ses clients : une
relation réelle au travers d’un échange marchand et une relation symbolique au travers de la
production de signes mutuels de reconnaissance et d’appartenance (politique de marque, branding) ?
Pour répondre à ces questions, la psychanalyse constitue un outil précieux quoique non exclusif.
1.4. Expérimentation en psychanalyse et en sciences de gestion
Si le rôle des processus inconscients et de la dimension symbolique au sein des organisations est
important, la question de la validité expérimentale de la psychanalyse ne peut être éludée. En effet, il
n’existe pas pour la psychanalyse d’expérimentation au sens que ce terme a dans le champ des
sciences expérimentales. Il n’y a pas ou très difficilement de possibilité de créer des conditions
proches de celles développées dans les laboratoires des sciences exactes en particulier parce que
l’interaction entre l’analyste et le sujet (le transfert) est au cœur de la démarche psychanalytique. Ce
problème a été traité en sciences de gestion par Wacheux (1996) qui a repris la méthode qualitative de
l’ethno-psychanalyste G. Devereux (1967). La question est de savoir comment tirer parti de ce qui en
sciences exactes constitue un biais méthodologique, à savoir l’interaction entre le chercheur et son
objet d’étude, pour procéder en sciences sociales à une analyse plus approfondie des données et
notamment des discours des acteurs.
Citons Wacheux (p. 151) : « L’ethno-psychanalyse nous enseigne à travailler sur les énoncés des
acteurs. [Les intuitions des observés (les discours) sont des données et des instruments conceptuels].
Mais Devereux lie ce travail à une analyse de l’énoncé (les réactions du chercheur) pour permettre la
compréhension de l’espace transactionnel crée artificiellement par l’observation. Pour construire ses
explications et ses propositions, le chercheur utilise toutes les données disponibles et tient compte
du cadre de référence des acteurs. Dans ces conditions, le problème essentiel de validité consiste à
donner avec les explications et les résultats, les moyens de vérifier les données et les constructions
explicatives. Cette exigence forme le pendant du critère de robustesse des méthodes quantitatives ».
Pour notre part, nous avons cherché à accumuler un grand nombre de données différentes et avons
systématiquement cherché à les relier avec la cadre de référence des acteurs. Si la vérification des
données ne pose guère de problème, la validité des constructions explicatives est soumise à
4 Pour reprendre l’approche de Legendre, une organisation ne peut pas se structurer en dehors du langage et de la dimension
symbolique. Ce langage est à la fois conscient (organigrammes, plans d’action, modèles stratégiques) et inconscient (mythes
fondateurs, valeurs, logos)
5 Par exemple au travers de campagnes de communication ou de parrainage qui visent à affirmer ou remodeler une identité
organisationnelle.
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