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AVANT-PROPOS
Avant de commencer ma maîtrise, je voyais cette étape comme un passage obligé entre
ce que j’avais déjà fait et ce que je voulais vraiment faire dans la vie : être professeure-
chercheure. Du haut de mes 22 ans, avec 3 ans d’université dans le corps, j’estimais que
j’avais les connaissances nécessaires pour comprendre ce qu’il restait de la biologie à
partir des livres de référence et des articles scientifiques. Toutefois, j’ai constaté qu’être
étudiant au cycle supérieur c’est loin d’être juste une question de connaissances
théoriques. J’ai appris à remplir des formulaires pour des demandes de bourse comme si
j’étais la personne la plus exceptionnelle de la terre. J’ai appris à toujours prendre en note
beaucoup plus de détails qu’il n’en semble nécessaire parce que notre mémoire est
défaillante à plutôt court terme! J’ai confirmé que pour faire du travail de laboratoire, il faut
vraiment aimer ça, parce que rien ne fonctionne jamais comme on veut. J’ai appris à
apprivoiser le monde mystique des congrès et j’ai même donné une conférence en
anglais!
J’ai appris tout ça et beaucoup plus durant ces deux années, mais j’ai surtout appris qu’il
me reste encore beaucoup à apprendre.
Merci à tous ces gens qui, de près ou de loin, ont contribué au succès de ma maîtrise par
leur soutien moral, académique ou technique :
Aglaé Adam, Audrey Moffett, Bernadette Mainville, Caroline Fournier, Cédrick Beaubien,
Cindy Cormier, Claude Fortin, Claire Laperruque, Élise David, Jean-Claude Fournier,
Jean-Daniel Bourgault, Johanne Bolduc, Julie Perreault x2, Louis-Philippe Théroux,
Marcel Bolduc, Marie-Anne Bergeron, Mariem Fadhlaoui, Marjorie Allaire-Verville,
Ophélie Drevet, Patrice Couture, Pierre Blier, Pierre Masselot ♥, Renée Sénéchal-Huot et
Richard Morin.