Remerciements :
Ce travail n'aurait pu être mené à son terme sans le soutien constant de Madeleine
Milhaud qui a su prodiguer sans relâche conseils et encouragements, qui m'a ouvert
largement ses archives (et m'a permis d'en faire état) et qui a toujours été disponible pour
me faire partager, avec son humour et sa franchise légendaires, des souvenirs précieux.
Qu'elle trouve ici le témoignage de ma reconnaissance et qu'elle sache également que par
son amitié bienveillante, elle a su accompagner avec esprit et discernement toutes mes
explorations de l'univers poétique et musical qui lui est cher.
Françoise Escal a assumé la lourde tâche de diriger cette thèse. Je la remercie de son
accueil bienveillant, de ses conseils et des mots d'encouragements qu'elle a su trouver pour
m'aider à surmonter les moments d'incertitude. Son séminaire à l'E.H.E.S.S. a toujours stimulé
la recherche intellectuelle et a permis des confrontations enrichissantes. Ses travaux m'ont
donné des outils d'analyse irremplaçables.
Pierre Brunel, lorsque j'ai été son étudiant, avait déjà suscité le désir d'explorer les
rencontres des domaines littéraires et musicaux. Ses travaux et ses livres m'ont permis de
prolonger et de donner forme à ces aspirations. Qu'il trouve ici le témoignage de ma
gratitude. Je le remercie d'avoir trouvé la disponibilité pour participer à ce jury.
Myriam Chimènes, en m'accueillant dans l'équipe de rédaction du livre sur Milhaud de
la Bibliothèque Nationale, m'a permis de faire état de pistes de recherches que ce travail
prolonge. Ses travaux m'ont été précieux pour la compréhension d'une époque complexe. Je
la remercie d'avoir accepté de participer au jury.
Jean Roy, par ses nombreux livres, tout particulièrement ceux qui concernent Darius
Milhaud et son époque, a tracé les contours des travaux qui ont été menés depuis à ce
propos. Qu'il trouve ici le témoignage de ma reconnaissance pour ses recommandations et
pour m'avoir accueilli à une de ses émissions radiophoniques. Je le remercie d'avoir accepté
de siéger dans ce jury.
Georges Jessula m'a ouvert sans restriction les archives de son beau-père Armand
Lunel. Il a relu avec attention les pages qui sont consacrées à l'ami le plus ancien de Darius
Milhaud. Qu'il trouve ici le témoignage de mon amicale reconnaissance.
Madame Renée Claudel-Nantet m'a reçu avec attention et gentillesse, je la remercie du
temps qu'elle m'a consacré et des documents qu'elle m'a communiqués sur l'œuvre de son
père.
Je remercie tous les amis qui ont à un moment ou à un autre, pris le temps de relire
ce que j'avais écrit et qui m'ont fait bénéficier de leurs précieuses remarques : Anne-Marie
Bidaud, Marie-Claude Castagnou, Carlos Escoda, Jean-Pierre Lemaire, Luis Naon. Je remercie
également pour leurs conseils et leurs relectures de mes traductions : mon épouse Michèle
Cortot (anglais), Sybil Raederscheidt (allemand), Lise Pagès et Eleanora Salvadori (italien).
Jacques Schibler est encore présent dans les thèmes développés ici et l'écho de nos
discussions ne s'est pas éteint avec sa disparition.
Je remercie Frédéric Magniez qui a su avec patience et compétence m'initier au
maniement d'un ordinateur et a toujours trouvé le temps de résoudre les problèmes auxquels
j'étais confronté.
Je remercie enfin tous mes proches de m'avoir permis de me distraire des
préoccupations quotidiennes pour trouver le temps nécessaire à mes travaux, je les remercie
également de leurs encouragements et de leur patience : mon épouse Michèle, mes enfants
Anne et Jean-Pierre, Fanny et Frédéric.
Je remercie mes parents qui, dans mon Mâconnais natal, ont su m'ouvrir au monde de
la littérature et de la musique et qui ont suivi avec intérêt l'élaboration de ce travail.
Je remercie enfin ma belle-mère qui a conçu sa maison en Beaujolais pour que je
puisse y trouver le calme et la concentration pendant les vacances d'été.