
Holger Fritzsche" 
 
 
Le chômage et les conséquences 
Dans un contexte économique défavorable, l’augmentation constante de la demande de travail 
s’accompagne d’une forte croissance du chômage. 
La situation est aggravée par le progrès technique et les coûts  de production élevés. Ils mènent 
les entreprises à supprimer des salariés non qualifiée et à transférer la fabrication vers des pays à 
bas solaires. 
Par les conséquences des compressions de personnel, il y a une développement qui est plus bon 
pour les finances des entreprises. 
Presque toutes les catégories socio - professionnelles sont concerner par le taux de chômage. 
Certaines régions et certaines branches de l’économie sont plus atteintes que d’autres. Les jeunes, 
les femmes et les immigrés sont les plus touchés par le chômage. 
Les cotisations à l’assurance - chômage, payées par les salariés et le patronat, coûte très cher. 
De plus, la consommation ralentit. Les chômeurs ne disposent pas beaucoup d’agents parce qu’ils 
ne gagnent plus, et les autres gens ont peur de leurs emplois et ils font des économies. 
Il y a l’Agence nationale pour l’Emploi pour toucher des indemnités qui leur sont versées pendant 
une période limitée. L’Agence informe aussi les chômeurs sur les offres d’emploi, de 
l’orientation professionnelle, du recyclage et de la reconversion. 
Pour lutter contre le chômage, l’Etat a institué un contrat - Emploi - Solidarité. Ils offrent du 
travail dans les services publiques pour les jeunes, les chômeurs durées ou trop âgés pour se 
reconvertir. C’est travail n’est pas seulement bon pour la publique, mais surtout pur la psyché des 
chômeurs.   
A présent en France, le gouvernement de Jospin veut réduire la durée légale du travail 
hebdomadaire de 39 à 35 heures sans diminution de salaire correspondante pour réduire le taux de 
chômage. 
Les patrons sont contre cette idée avec toutes leurs faces. Dans l’histoire d’une semaine avec 35 
heures, les socialistes ont fabriqué qu’en réduisant à 35 h, on peut créer beaucoup d’emplois. 
Il y a des résultats différentes, de 200 milles à 700 milles emplois en 5 ans. Mais on ne sait pas 
combien d’emplois seront détruite par cette réduction de la durée du travail. La réduction est une 
machine à casser l’emploi  à cause de deux points: 
Le premier lieu est qu’après une réduction à 35 h, les entreprises doivent donner les salariés 5 
semaines de vacances de plus. Alors les entreprises ont besoin de réserve de productivité qu’ils 
n’ont pas. Donc il existe un handicap pour les entreprises et le contribuable doit le subventionné. 
Mais sans subventions de l’état, tous les entreprises ne peuvent plus exister. 
Alors, financer le chômage par les contribuable n’est pas très efficace. 
Par exemple, la consommation n’est pas accélérer, mais le contraire est crée. 
La seconde raison, de partager le travail pour le chômage, n’est pas possible parce que le travail 
est une pénurie. Et où il y a une pénurie, on n’y a pas beaucoup de partager. 
Alors les entreprises doivent offre davantage de travail. Les chefs embauchent des gens, s’ils se 
peuvent séparer d’une partie de leur personnel, ou de leur reconvertir en cas de tournement de 
conjoncture. Mais c’est pas faisable à cause de blocages perfectionné, pour la protection sociale 
d’un salarié. 
 Le salarié est figer pour sa vie dans un même métier et dans une même ville.  
C’est le contraire dont on a besoin en France pour lutter contre le chômage. Et dans la réalité on a 
en France une durée du travail de plus de 41 heures. 
En outre, le projet est mauvais pour l’économie françaises et il n’y a pas de solution pour finir le 
chômage.