
UN MARCHÉ PORTEUR
Le Maroc : un choix stratégique
L’économie marocaine est aujourd’hui l’une des plus
dynamiques de la région maghrébine et africaine,
et bénéficie d’une croissance autour de 5%. Elle
devrait le rester durant les prochaines années, et ce, malgré la crise
économique mondiale.
L’industrie avec 28%, compte parmi les principaux contributeurs au PIB
du Royaume (105 Mds $ en 2013).
L’indice de la production des industries manufacturières a enregistré
une augmentation de 0,5% au cours du 3ème trimestre 2013 par rapport
à la même période en 2012. Cette hausse est due notamment à
l’accroissement des industries chimiques (2,3%), raffinage de pétrole
(8,2%), produits du travail des métaux (3,6%) et de l’industrie automobile
(2,1%).*
Un hub économique régional entre
L’Europe et L’Afrique
• La position géographique du Maroc le place comme un carrefour
d’échanges. Situé à 14 km des côtes européennes, le Royaume a
souvent été décrit comme la meilleure porte d’entrée vers le continent
africain et le meilleur accès vers l’Europe.
• Des accords de libre-échange existent avec l’UE, les USA, les pays du
Maghreb, l’Arabie Saoudite, les EAU, l’UEMOA, la Turquie, l’Égypte, la
Tunisie, la Jordanie, ainsi qu’avec d’autres pays d’Afrique, soit un marché
de plus d’un milliard de consommateurs sur quatre continents.
• L’élévation du niveau technologique, la multiplication des zones industrielles et
la prise en compte des nouvelles problématiques (respect de l’environnement,
réduction des consommations d’énergie, maîtrise des coûts, arrivées
d’investissements internationaux, etc.) poussent les industriels à investir dans
des installations performantes pour répondre à une demande de plus en plus
exigeante.
• Les nouveaux marchés, comme le Maroc, bénéficient d’une croissance
forte qui les positionne parmi les plus demandeurs d’équipements.
Le Plan d’accélération industrielle
2014-2020 : un catalyseur intégré
de la croissance
• Création d’un demi-million d’emplois, pour moitié provenant des IDE, et
pour moitié provenant du tissu industriel national rénové.
• Accroissement de la part industrielle dans le PIB de 9 points, passant de
14% à 23% en 2020.
10 mesures clefs regroupées en 3 classes :
1. Des écosystèmes industriels pour une industrie davantage intégrée ;
2. Des outils de soutien adaptés au tissu industriel ;
3. Un positionnement à l’international plus marqué.
*Source : Haut-Commissariat au Plan
Source : Site du Ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie numérique
Des projets porteurs de business
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2 109 km de voie ferrées.
Un projet de ligne à grande
vitesse (1 500 km d’ici 2030).
La construction d’un tramway
à Casablanca et de deux
nouvelles lignes à Rabat.
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Accélération du rythme
annuel des constructions – de
40 km en 1990 à 160 km depuis
2006. D’ici 2015, le réseau
devrait atteindre 1800 km et
reliera toutes les villes de plus
de 400 000 habitants.
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Tanger Med va faire l’objet
d’une extension pour un
investissement total de
2,8 Mds € sur la période
2011-2015. Développement
des ports de plaisance +
projets de nouveaux ports :
Safi, Nador, etc.
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22 Plates-formes Industrielles
Intégrées (P2I) proposant une
offre globale. Casanearshore
à Casablanca, Technopolis
à Rabat, Kénitra Automotive
city, la technopole
d’Oujda...
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Construction de nouveaux terminaux
à Casablanca, Rabat, Marrakech,
Fès, Oujda et Essaouira. Open Sky
avec les pays de l’Union Européenne.
Seconde flotte aérienne africaine,
après l’Afrique du Sud, présence
des acteurs majeurs du marché
(EADS Maroc, Safran, Boeing,
Bombardier, Labinal), 11 entreprises
en cours d’installation. Plus de 30
implantations directes, 120 millions
d’euros d’exportations et activités
de maintenance avions et moteurs
(SNECMA, Royal Air Maroc).
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Le Plan solaire marocain porte sur la
production de 2 000 MW à l’horizon
2020, soit environ 14 % des besoins
du Maroc en énergie. Lancé en
2010, pour un investissement de
3,5 milliards USD, le Programme
Marocain Intégré pour l’Énergie
Éolienne vise à : porter la production
d’électricité éolienne de 280 MW
actuellement à 2 000 MW en 2020 et
assurer 14 % de la consommation
totale d’électricité par l’énergie
éolienne en 2020.
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