NI-80-09-560-FR-C Commission européenne Bon à savoir à propos de L’ELARGISSEMENT DE L’UE Commission européenne – Direction générale de l’élargissement Unité A 2 : Information et communication Adresse du bureau : Rue de la Loi 200 B-1049 Bruxelles Tél. : (+32 2) 295 36 79 Fax : (+32-2) 299 17 77 Olli Rehn Commissaire à l’élargissement AVANT-PROPOS L’année 2009 marque un double anniversaire historique. À l’automne, cela fera déjà vingt ans que le mur de Berlin est tombé. En mai prochain, nous célébrerons le 5e anniversaire de l’élargissement de l’Union Européenne qui aura permis de réunifier l’Europe de l’Est et l’Europe de l’Ouest. Durant cinq ans, l’élargissement de l’UE a bénéficié aussi bien aux citoyens des anciens Etats membres qu’à ceux des nouveaux. Sur le plan économique, l’élargissement a offert de nouvelles opportunités pour l’exportation et les investissements, créant ainsi de nouveaux emplois pour les citoyens des anciens Etats membres, tout en améliorant les conditions de vie dans les nouveaux Etats membres. Il a permis de consolider la démocratie, la stabilité et la sécurité sur notre continent. Une Union européenne élargie a plus de poids lorsqu’elle s’attaque aux questions d’importance mondiale Bruxelles, mars 2009 Olli Rehn telles que le changement climatique ou la crise financière internationale. L’UE d’aujourd’hui est non seulement plus grande, mais également plus forte, plus dynamique et plus riche sur le plan culturel. À l’heure actuelle, l’attrait de la perspective européenne encourage les réformes dans les pays des Balkans occidentaux et en Turquie. Alors que la plupart des citoyens européens soutiennent les objectifs majeurs de l’élargissement, consistant à développer cet espace de paix et de stabilité, de démocratie et de prospérité à travers toute l’Europe, certains demeurent sceptiques quant à ses avantages. Cette brochure répond à la plupart des préoccupations habituelles et présente un bilan factuel de l’élargissement de l’UE. Je vous invite à en tirer vos propres conclusions. Quel est l’impact de l’élargissement sur la sécurité de l’UE ? L’Union Européenne est fondée sur un certain nombre de valeurs et de principes communs et sur le postulat que tout Etat européen qui les respecte peut demander à y adhérer. L’élargissement est donc une force de transformation essentielle, inspirant le changement démocratique et la libéralisation économique parmi les pays qui souhaitent rejoindre l’UE. Il est au coeur du pouvoir d’influence de l’UE d’étendre la zone de paix, de stabilité et de prospérité à travers toute l’Europe. En effet, l’attrait de l’UE a été déterminant dans la transition démocratique pacifique de l’Europe centrale et orientale et reste l’élément moteur pour les réformes dans les Balkans occidentaux et en Turquie. Il est de notre intérêt vital à tous d’exporter la stabilité vers les pays voisins au lieu d’en importer l’instabilité. Tous les Européens bénéficient de la stabilité accrue et du développement pacifique auxquels les élargissements successifs de l’UE ont contribué au fil des années. 2 L’adhésion à l’UE est le choix de nations libres et démocratiques qui ont décidé de partager l’identité européenne et de regrouper volontairement leur souveraineté sous l’égide de l’UE. Quel est l’impact économique de cet élargissement ? L’élargissement a profité à la fois aux nouveaux et aux anciens membres, et à l’UE dans son ensemble. Le commerce entre les anciens et les nouveaux membres a pratiquement triplé en moins de 10 ans (de 175 milliards d’euros en 1999 à environ 500 milliards d’euros en 2007). La multiplication par cinq du commerce entre les nouveaux Etats membres eux-mêmes est encore plus éloquente (il est passé de 15 à 77 milliards d’euros durant cette même période). C’est un facteur clé qui a contribué à une solide croissance annuelle de l’emploi de 1,5 % dans les nouveaux Etats membres au cours de la période entre leur adhésion en 2004 et l’éclatement de la crise financière. Cela montre également dans la période actuelle de crise économique que l’élargissement n’est pas le problème, mais une part importante de la solution pour la revitalisation économique de l’Europe. Nous partageons une destinée commune. L’adoption dans les nouveaux Etats membres des normes de l’UE en matière d’environnement et de santé a profité à la fois aux anciens et aux nouveaux membres. Quels sont les avantages de l’élargissement pour les citoyens de l’UE ? La sécurité alimentaire et la santé animale ont été des préoccupations majeures au cours des récentes négociations d’adhésion. L’UE a pris des mesures rigoureuses pour amener les nouveaux membres à adopter ses normes. Les usines de transformation alimentaire, les laiteries et les abattoirs qui n’étaient pas conformes aux normes ont été fermés avant l’adhésion, et seuls ceux qui répondaient aux exigences ont été autorisés à vendre leurs produits sur l’ensemble du marché intérieur. D’abord et avant tout, tous les Européens bénéficient de la stabilité accrue et du développement pacifique auxquels les élargissements successifs de l’UE ont contribué au fil des années, mais ce n’est pas tout. L’intégration dans un marché intérieur de plus de 100 millions de consommateurs ayant un pouvoir d’achat en hausse a accru la demande de biens de consommation fabriqués dans les entreprises des anciens Etats membres, ce qui a contribué à préserver et à créer des emplois au niveau local. De même que chaque machine vendue en Pologne par une entreprise allemande offre un bénéfice pour les citoyens allemands, chaque transaction effectuée par une banque néerlandaise dans les nouveaux Etats membres bénéficie à l’économie néerlandaise dans son ensemble. La mise en œuvre de directives spécifiques relatives à la qualité de l’eau a conduit à des améliorations de l’eau potable et des eaux de baignade, des eaux de surface et des eaux de rivières. La sécurité nucléaire a également été améliorée à la suite de l’élargissement. Plusieurs réacteurs nucléaires qui étaient considérés comme dangereux pour la sécurité ont été fermés 3 pour tenir les engagements pris lors de l’adhésion. De nouveaux Etats membres ont rejoint le système d’échange précoce d’informations en cas d’urgence nucléaire, ce qui a amélioré encore plus la sécurité de l’UE dans son ensemble. Du fait de l’élargissement, davantage de pays ont rejoint l’espace Schengen qui facilite les déplacements de tous les citoyens. L’intégration des nouveaux Etats membres dans le marché intérieur de l’aviation européenne s’est traduite par des services aériens plus sûrs et moins coûteux. Les ressortissants de l’UE peuvent également bénéficier de l’élargissement sous la forme de meilleures opportunités commerciales et des plus grandes possibilités d’étudier et de travailler à l’étranger. nécessaires, pour diverses raisons, et ils ont évolué en parallèle jusqu’à maintenant. Le marché unique, par exemple, a été créé après l’élargissement vers le Sud, dans les années 80. En même temps, une cohésion significative et des politiques régionales ont été élaborées. La monnaie commune a été établie après les adhésions des pays nordiques et de l’Autriche dans les années 90, alors que des mesures importantes ont également été adoptées en politique étrangère et de sécurité. Depuis les adhésions de 2004, des progrès significatifs ont été apportés dans le domaine de la justice, de la liberté et de la sécurité. Récemment, l’attention s’est portée sur la compétitivité économique et le changement climatique. Approfondir ou élargir ? La combinaison de l’approfondissement et de l’élargissement a conféré plus de pouvoir à l’UE et a accru notre influence sur l’économie et la politique mondiales. Il n’y a pas de contradictions entre les deux démarches. L’élargissement et l’approfondissement sont tous deux 4 Les craintes selon lesquelles une Union de 27 membres serait confrontée à un blocage en matière de prise de décision se sont avérées infondées. Certes, la capacité de l’UE de fonctionner efficacement peut – et doit – encore être améliorée. Nous devons poursuivre les réformes internes. Mais nous ne pouvons pas mettre entre parenthèses notre travail en faveur de la paix et de la prospérité, qui répond aux intérêts fondamentaux de l’UE et de ses peuples . Trop de pays, trop vite ? Douze nouveaux membres ont intégré l’UE en 2004 et en 2007. Néanmoins, cette réunification de l’Europe ne s’est pas faite du jour au lendemain. Dix pays d’Europe centrale et orientale, ainsi que Chypre et Malte, ont rejoint l’UE une décennie et demie après la chute du mur de Berlin. Au cours de cette période, ces pays ont subi une profonde mutation démocratique et économique qui leur a permis de se qualifier pour une adhésion à l’UE. Dans le cas de deux pays, la Bulgarie et la Roumanie, le Traité d’Adhésion prévoyait des filets de sécurité supplémentaires pour résoudre les éventuelles difficultés liées à l’adhésion dans les domaines de l’économie, du fonctionnement du marché intérieur, de la justice et des affaires intérieures. Comment les élargissements sont-ils préparés ? En 1993, l’UE a défini des critères d’adhésion précis (connus sous le nom de Critères de Copenhague). Pour pouvoir adhérer à l’UE, un pays doit être une démocratie stable avec des règles de droit, il doit être capable de respecter les droits de l’homme et les droits des minorités, il doit avoir une économie de marché concurrentielle, ainsi que la capacité de mettre en œuvre intégralement la législation de l’UE. L’élargissement de 2004/07 a été le mieux préparé de toute l’histoire de l’UE. Dès 1991, l’UE a signé les premiers « Accords européens » avec la Hongrie et la Pologne, qui ont été suivies par d'autres pays d’Europe centrale et orientale, définissant ainsi les conditions préalables à une intégration dans l’UE. Grâce à ces accords, une zone de libre-échange a par exemple été établie en 2001 pour 85 % des échanges bilatéraux. Cela a contribué à éviter tout choc commercial en mai 2004. Tenant compte des préoccupations des citoyens et des leçons apprises au fil du temps, l’UE a 5 6 TERRITOIRES NON CONTINENTAUX ET D’OUTRE-MER DES ÉTATS MEMBRES Pays candidats • Croatie • Ancienne République yougoslave de Macédoine Açores (P) • Turquie + Ponta Delgada Madeira (P) + Funchal Canarias (E) Guadeloupe (F) Candidats potentiels + Las Palmas de Gran Canaria • Albanie Guyane (F) • Bosnie-et-Herzégovine Martinique (F) • Monténégro Réunion (F) • Serbie • Kosovo* * aux termes de la RCSNU 1244/99 7 pris d’autres mesures pour améliorer la qualité du processus d’élargissement. Désormais, l’accent est mis sur la mise en place d’un appareil d’Etat, une bonne gestion des affaires publiques, la règle de droit et la lutte contre la criminalité organisée et la corruption, ainsi que la réconciliation et le développement de la société civile. Des études d’impact ont été menées pour analyser le progrès accompli. Les négociations d’adhésion portant sur des secteurs d’activités spécifiques sont uniquement possibles dès lors que des critères stricts ont été respectés. Dans les pays en voie d’adhésion, l’intégration européenne est généralement basée sur un large consensus national . L’élargissement coûte-t-il cher ? L’aide financière de l’UE aux nouveaux Etats membres représente environ 0,2 % du produit intérieur brut des anciens Etats membres, et s’élèvera à 0,3 % aux alentours de 2013. Ceci est largement compensé par tous les avantages économiques qui en découlent pour l’UE dans son ensemble. Qui décide ? Toutes les décisions majeures débouchant sur l’adhésion d’un pays sont prises à l’unanimité par les gouvernements des Etats membres de l’UE dans le cadre du Conseil de l’Union européenne. Les membres du Parlement européen, qui sont directement élus par les citoyens de l’UE, doivent donner leur accord. De cette manière, toutes les décisions clés sont prises par les instances correspondantes élues démocratiquement dans chaque Etat membre de l’UE. 8 Cet argent est dépensé de telle manière qu’il bénéficie à toute l’UE. Les routes et autres infrastructures pour les nouveaux Etats membres sont souvent construites par des sociétés basées dans les anciens Etats membres. La sécurité juridique, la diminution de la corruption, et une meilleure infrastructure, sont bénéfiques pour les entreprises de l’Union toute entière. L’argent dépensé pour aider à développer les économies des nouveaux Etats membres crée de nouveaux débouchés commerciaux aussi bien dans les anciens que dans les nouveaux Etats membres. Combien de travailleurs sont arrivés sur le marché du travail des anciens Etats membres ? La libre circulation des travailleurs et des personnes est un principe fondamental du marché intérieur de l’UE. Les prédictions d’un afflux massif de travailleurs provenant d’Europe centrale et orientale ne se sont pas concrétisées. Dans une grande majorité des anciens Etats membres, les ressortissants des nouveaux Etats membres représentent moins de 1 % de la population en âge de travailler. Les exceptions sont l’Irlande (environ 5 %) et le Royaume Uni (1,2 %), dans lesquels les flux de mobilité ont atteint un maximum en 2006 et ont diminué depuis lors. Les entreprises ont–elles délocalisé vers les nouveaux Etats membres ? Globalement, la « délocalisation » des emplois des anciens Etats membres vers les nouveaux Etats est un phénomène relativement mineur. Il n’y a aucun signe de tendance à la hausse de la délocalisation depuis 2004. Les entreprises rechercheront toujours des coûts de production plus faibles, des marchés plus vastes, l’innovation technologique et tout autre moyen pour rester compétitives. Les entreprises européennes sont confrontées en particulier à la concurrence des Etats-Unis, de la Chine et de l’Inde. Investir en Europe centrale et orientale au lieu d’investir dans des pays tiers peut aider l’industrie européenne à préserver des emplois et à créer de la croissance dans toute l’Europe. Dans une économie mondialisée, la réponse à long terme de l’Europe aux défis économiques ne peut être qu’une meilleure compétitivité tout en développant notre modèle social. 9 Qu’en est-il de la criminalité lorsque l’UE s’élargit ? baisser le nombre de ressortissants de pays tiers franchissant illégalement leurs frontières. Le crime organisé ne tient pas compte des frontières et c’est une grave préoccupation pour tous les pays membres. Y a-t-il une limite à l’élargissement ? L’élargissement a permis à l’UE de renforcer la coopération de la police et de la justice dans les nouveaux Etats membres. Cette coopération a été consolidée, par exemple, par l’utilisation d'équipes d'enquêtes communes, par l’échange d’informations dans toute l’UE et par l’application du mandat d’arrêt européen. La sécurité des frontières s’est améliorée, car les nouveaux Etats membres ont adopté les normes UE sur le contrôle aux frontières. Cette coopération renforcée a permis de mieux protéger les ressortissants de l’UE. De 2003 à 2006, le taux de criminalité a baissé de près de 4 %. Il y a eu une diminution du taux de criminalité et du nombre d’arrestations dans les six premiers mois après la suppression des contrôles aux frontières intérieures (accords de Schengen) entre l’Allemagne et la Pologne en décembre 2007. Certains pays membres ont vu 10 Le traité sur l’UE déclare que tout pays européen respectant les valeurs de la démocratie, les droits de l’homme et la règle de droit peut demander à adhérer à l’UE. Néanmoins, cela ne signifie pas que tous les pays européens en feront la demande ou que l’UE doit accepter toutes les demandes d’adhésion. L’Europe est une entité géographique, culturelle et historique. Bien entendu, la géographie joue un rôle important : la demande d’adhésion du Maroc en 1987 a été rejetée. Néanmoins, les frontières de l’Europe de l’Est sont moins fixes que celles définies par la Méditerranée ou l’Atlantique. Les géographes et les historiens n’ont jamais pu se mettre d’accord sur les « frontières ultimes de l’Europe ». L’UE est principalement basée sur des valeurs communes. Ses frontières ont changé à chaque fois qu’un nouveau pays l’a rejointe. La politique d’élargissement actuelle englobe les Balkans occidentaux et la Turquie. Et la Turquie ? La Turquie est un partenaire stratégique important de l’UE : pour notre stabilité et notre sécurité, pour nos considérations économiques et énergétiques, et dans un sens plus large, pour faire le lien entre des civilisations. Nous avons une longue histoire de coopération derrière nous. La Turquie est à la fois membre de l’OTAN et du Conseil de l’Europe depuis plus de 50 ans. L’accord d’association entre la Turquie et l’UE a été signé en 1963 et l’Union douanière est entrée en vigueur en 1995. En ouvrant les négociations d’adhésion en 2005, les Etats membres de l’UE ont décidé de reconnaître la vocation européenne de la Turquie. Pour pouvoir rejoindre l’UE, la Turquie doit tout d’abord répondre aux rigoureux critères liés à l’adhésion. Le rythme des négociations dépend de la capacité de la Turquie à mener les réformes nécessaires. De nombreux Européens ont exprimé leur inquiétude quant au fait que la grande majorité des citoyens turcs soient musulmans. L’UE est fondée sur des valeurs communes, telles que le respect de la dignité humaine, la règle de droit, la tolérance et la non-discrimination, plutôt que sur la religion. La liberté de culte et la protection des minorités sont des critères politiques majeurs pour l’adhésion. Ils sont tout à fait conciliables avec l’Islam. Pourquoi les pays des Balkans occidentaux ont–ils demandé à adhérer à l’UE ? Les pays des Balkans occidentaux ont choisi une identité européenne. C’est une évidence si l’on regarde une carte : ils sont entourés d’Etats membres de l’UE. Ils ont parcouru beaucoup de chemin depuis les guerres et les conflits internes qui ont suivi l’éclatement de la Yougoslavie dans les années 90. Donner à ces pays une perspective européenne est le meilleur outil pour promouvoir des réformes et pour continuer à consolider la démocratie et la stabilité régionales dans l’intérêt de l’Europe dans son ensemble. Alors que le crime organisé et la corruption restent un sérieux défi dans toute la région, 11 les Balkans occidentaux ont fait récemment des progrès dans ce domaine, en partie grâce à l’assistance de l’UE. En conséquence, la coopération de la police et de la justice à la fois au sein de la région et entre cette dernière et l’UE s’est améliorée, ce qui contribue à son développement général. Dans le cadre de l’assistance de pré-adhésion à l’UE pour le renforcement des institutions, les administrations des Etats membres aident leurs homologues des Balkans à élaborer et à mettre en œuvre des stratégies visant à améliorer la sécurité. Perspective de l’UE pour les pays de la frontière orientale Pour le moment, il n’y a pas de discussions inscrites à l’ordre du jour en ce qui concerne la perspective d’adhésion à l’UE de pays tels que l’Ukraine, la Moldavie ou la Géorgie. Toute décision proposant une telle perspective devrait être prise unanimement par tous les Etats membres. 12 L’UE apporte un soutien à ces pays par le biais de la politique européenne de voisinage et du partenariat oriental. L’UE et l’Ukraine sont en train de négocier un accord d’association qui a pour objectif de renforcer l’association politique de l’Ukraine et l’intégration économique dans l’UE. Cet accord couvrira tous les domaines de coopération politique, économique et sectorielle, y compris l’établissement d’une zone de libre-échange très complète. En outre, le partenariat oriental prévoit des dispositifs de sécurité énergétique améliorés qui bénéficieront à la fois à l’UE et aux pays partenaires, une aide financière accrue et, à condition que les exigences de sécurité soient respectées, des déplacements plus faciles vers l’UE pour les citoyens des pays partenaires. Europe Direct est un service destiné à vous aider à trouver des réponses aux questions que vous vous posez sur l’Union européenne. Un numéro unique gratuit (*): Ni la Commission européenne ni aucune personne agissant au nom de la Commission n’est responsable de l’usage qui pourrait être fait des informations données ci-après. 00800 6 7 8 9 10 11 (*) Certains opérateurs de téléphonie mobile ne permettent pas l’accès aux numéros 00 800 ou peuvent facturer ces appels Commission européenne – Direction générale de l’élargissement Bon à savoir à propos de – L’ELARGISSEMENT DE L’UE Luxembourg : Office des publications officielles des Communautés européennes 2009 – 12 p. – 14.8 × 21 cm ISBN 978-92-79-11757-2 De nombreuses autres informations sur l’Union européenne sont disponibles sur l’internet via le serveur Europa (http://europa.eu). Des informations sur l’élargissement de l’Union européenne sont disponibles sur le site de la direction générale de l’élargissement (http://ec.europa.eu/enlargement/). Comment vous procurer les publications de l’Union européenne ? Publications payantes : Une fiche bibliographique figure à la fin de l’ouvrage. Commission européenne, Direction générale de l’élargissement, 2009. • sur le site de l’EU Bookshop : http://bookshop.europa.eu ; • chez votre libraire, en lui donnant le titre, le nom de l’éditeur et/ou le numéro ISBN ; • en contactant directement un de nos agents de vente. ISBN 978-92-79-11757-2 Vous obtiendrez leurs coordonnées en consultant le site: http://bookshop.europa.eu ou par télécopie au numéro suivant : +352 2929-42758. © Communautés européennes, 2009 Publications gratuites : Reproduction autorisée, moyennant mention de la source. • sur le site de l’EU Bookshop : http://bookshop.europa.eu ; • auprès des représentations ou délégations de la Commission européenne. Printed in Belgium Imprime sur papier blanchi sans chlore Vous obtiendrez leurs coordonnées en consultant le site : http://ec.europa.eu ou par télécopie au numéro suivant : +352 2929-42758.