E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS
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ÉCOLE Samedi 31 mars 2007
SUPÉRIEURE
DE MASSEURS
KINÉSITHÉRAPEUTES
et PÉDICURES
Instituts Privés de formation
17, rue de Liège
75009 PARIS
ÉPREUVE DE BIOLOGIE 1
durée 1H 30
(IL N’Y A PAS DE POINTS NÉGATIFS)
LIVRET Q.C.M. – Q.C.M. EXERCICES et CHRONOLOGIE (QUE
VOUS CONSERVEZ).
Q.C.M.
LES RÉPONSES SONT À REPORTER À LA PAGE 13.
Q.C.M. EXERCICES
LES REPONSES SONT À REPORTER À LA PAGE 14.
CHRONOLOGIE
LES RÉPONSES SONT À REPORTER À LA PAGE 14.
EXERCICES
SUJETS et REPONSES PAGES 15 et 16.
QUESTIONS DE COURS
SUJETS et RÉPONSES PAGES 17 et 18.
CORRIGE
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I/ Q.C.M. INSCRIVEZ LA ou LES BONNES REPONSES DANS LE TABLEAU PREVU A CET EFFET,
PAGE 13 (IL PEUT Y AVOIR AUCUNE BONNE REPONSE DANS CE CAS, NOTEZ « O »).
0,2 points par Q.C.M.
1) Le brassage de l’information génétique au cours de la méiose :
a) Résulte du crossing-over en prophase 2.
b) N’affecte que les gènes non liés.
c) Se réalise au cours de la première division de la méiose.
d) Conduit à des associations originales et nouvelles des allèles.
2) La fécondation :
a) Amplifie le brassage génétique assuré par la méiose.
b) Assure une séparation indépendante des allèles de chaque gène.
c) Contribue à la réalisation d’un organisme présentant une association des allèles de l’espèce qui est
unique.
d) Ne crée pas de nouveaux allèles de gènes mais crée de nouveaux assortiments d’allèles.
3) Un test-cross :
a) Permet de connaître directement les divers types de gamètes produits par les hétérozygotes.
b) Consiste à croiser deux individus de race pure.
c) Sert à déterminer si les gènes sont liés ou indépendants.
d) Utilise un homozygote récessif pour les gènes étudiés.
4) La deuxième division de la méiose :
a) Assure la séparation des deux chromatides de chaque chromosome.
b) Est caractérisée par la réduction chromatique.
c) Aboutit à une quantité d’ADN divisée par deux par rapport à celle de la cellule diploïde initiale.
d) Permet des échanges de chromatides entre tous les chromosomes.
5) Les lymphocytes cytotoxiques (LT8 ) :
a) Possèdent des récepteurs T qui reconnaissent tous les antigènes.
b) Participent à la réponse immunitaire non spécifique.
c) Coopèrent avec les lymphocytes LB.
d) Provoquent la transformation des LB en plasmocytes.
6) Il existe plusieurs phases de l’infection par le VIH :
a) La durée de la primo-infection est de plusieurs mois.
b) La phase asymptomatique est caractérisée par une augmentation de la charge virale.
c) La phase symptomatique est déclarée quand le nombre de LT4 augmente.
d) La phase asymptomatique est caractérisée par la présence dans le sang d’anticorps anti-VIH.
7) Les caractères embryonnaires homologues chez les vertébrés :
a) Ont le même plan d’organisation.
b) N’ont pas toujours la même fonction chez l’adulte.
c) Dérivent d’une même structure commune à un stade plus précoce de développement.
d) Sont hérités d’un ancêtre commun.
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8) Dans un segment double brin d’un gène, on a pu dénombrer en tout 30 cytosines et 15 adénines. L’ARNm
correspondant à ce gène renferme 20 cytosines et 7 adénines :
a) Le brin transcrit d’ADN comporte 10 cytosines.
b) Le brin transcrit d’ADN comporte 8 adénines.
c) L’ARNmcomporte 20 guanines.
d) L’ARNmcomporte 6 uraciles.
9) Les allèles d’un gène :
a) Codent toujours pour des protéines différentes.
b) Peuvent différer par leur longueur.
c) Diffèrent toujours par leur séquence de nucléotides.
d) Codent toujours pour des protéines fonctionnelles.
10) Une mutation :
a) Modifie toujours la séquence d’un gène.
b) A obligatoirement son origine sur l’ADN.
c) Peut ne pas modifier la structure primaire d’un polypeptide.
d) Donne toujours naissance à un nouvel allèle.
11) On appelle homozygote pour un gène :
a) Des individus ayant le même phénotype déterminé par ce gène.
b) Des individus ayant un même allèle du gène en deux exemplaires.
c) Des individus ayant au moins un allèle récessif du gène.
d) Des individus présentant une seule forme allèlique du gène.
12) Les innovations génétiques :
a) Défavorables, confèrent un avantage sélectif aux individus qui en sont porteurs et ont une
probabilité plus grande à se répandre dans la population.
b) Favorables, ne confèrent pas d’avantage sélectif aux individus qui en sont porteurs mais se
répandent dans la population.
c) Neutres, confèrent un désavantage sélectif aux individus qui en sont porteurs et peuvent disparaître
de la population.
d) Peuvent permettre d’augmenter les combinaisons allèliques.
13) La délétion d’un nucléotide :
a) Entraîne un décalage du cadre de lecture.
b) Peut provoquer l’apparition d’un codon-stop anticipé dans la séquence du gène.
c) A le plus souvent des conséquences sur l’activité biologique du polypeptide codé par le gène.
d) Peut avoir des conséquences sur le phénotype.
14) Les familles multigéniques :
a) Sont formées de gènes ayant des séquences d’ADN communes.
b) Dérivent d’un gène ancestral par accumulation de mutations géniques.
c) Sont le témoin d’innovations génétiques survenues dans le passé de l’espèce, voire des espèces
ancestrales.
d) Dérivent d’un gène ancestral par duplication, transposition et mutation génique.
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15) A propos de l’encéphale :
a) Le cortex cérébral est la couche la plus externe des hémisphères cérébraux.
b) On y trouve des interneurones.
c) La plasticité neuronale ne caractérise que les périodes embryonnaires et néo-natale de la vie.
d) Le cortex somato-sensoriel occupe toute la périphérie des hémisphères cérébraux.
16) A propos du diabète :
a) Lors d’un diabète de type 1, les injections d’insuline sont vitales.
b) La richesse de l’alimentation en lipides est sans influence sur le développement d’un diabète de
type 2.
c) Le développement d’un diabète de type 2 chez des individus issus d’une même population initiale
est indépendant de leurs conditions de vie.
d) Placés dans un même environnement, tous les individus présentent une même prédisposition à
développer un diabète de type 2.
17) Le génotype est :
a) L’ensemble des gènes d’un individu.
b) Les différentes combinaisons alléliques qu’un individu possède pour chaque gène.
c) Les différents allèles d’un même gène chez un individu donné.
d) Un type de gène donné.
18) Le phénotype :
a) Le phénotype macroscopique peut correspondre à plusieurs génotypes.
b) L’électrophorèse est une technique d’analyse des protéines.
c) Le phénotype macroscopique dépend étroitement des protéines.
d) Les protéines sont des polymères de nucléotides.
19) Une mutation :
a) A pour origine la modification de la séquence d’acides aminés de la protéine.
b) Provoque l’apparition de nouveaux allèles.
c) Ne touche que les cellules germinales.
d) Peut avoir lieu pendant la traduction.
20) Les mutations touchant les gènes homéotiques peuvent :
a) Avoir des répercussions sur la chronologie et la durée relative de la mise en place des caractères
morphologiques.
b) Avoir des conséquences phénotypiques importantes.
c) Aider à comprendre l’apparition d’espèces nouvelles au cours de l’évolution.
d) Avoir des conséquences sur la synthèse des polypeptides au sein d’une espèce.
21) Un chromosome à 2 chromatides :
a) Contient 2 brins d’ADN.
b) Contient autant d’adénine que de thymine.
c) Peut posséder plusieurs centromères.
d) Possède 2 allèles identiques par gène à l’issu de la replication.
22) Une protéine :
a) Est un polymère d’acides aminés.
b) Se forme dans toutes les cellules sur le réticulum endoplasmique.
c) Se forme lors de la transcription.
d) Sa structure primaire repose sur l’établissement de liaisons peptidiques.
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23) LH et FSH :
a) Sont des hormones posthypophysaires.
b) Sont sous contrôle hypothalamique.
c) Sont produites à taux constant.
d) Ont pour cible les cellules de Sertoli des tubes séminifères.
24) Les hormones ovariennes, oestrogènes et progestérone :
a) Sont responsables du pic de LH
b) Agissent par rétrocontrôle sur le complexe hypothalamo-hypophysaire.
c) Sont sécrétées de façon cyclique.
d) Sont sécrétées par la zone pellucide.
25) Le gène SRY :
a) Est situé sur les chromosomes X et Y.
b) S’exprime tout au long de la vie embryonnaire.
c) Code la protéine TDF.
d) Induit l’évolution de la gonade indifférenciée en testicules par l’intermédiaire d’une protéine.
26) Le cycle ovarien :
a) Entraîne l’expulsion du follicule mûr.
b) Débute dans un follicule primaire.
c) Permet une reprise de la méiose.
d) S’achève par l’ovulation.
27) L’utilisation des pilules combinées, c’est-à-dire formées d’une association d’oestrogènes et de progestérone,
prise de façon continue pendant 21 jours :
a) A une action négative sur la sécrétion des gonadostimulines.
b) Empêche l’ovulation.
c) N’a pas d’action sur le mucus cervical.
d) N’agit pas sur la croissance folliculaire.
28) Les synapses neuro-neuroniques chez l’homme :
a) Présentent un élément postsynaptique non nerveux.
b) Sont des structures présentant une organisation polarisée.
c) Se retrouvent dans la plaque motrice.
d) Se situent essentiellement dans un centre nerveux.
29) Le potentiel de repos :
a) Correspond à une ddp de 0mV.
b) Se mesure à l’échelle d’un nerf.
c) Caractérise un milieu intra-cellulaire relativement électro-négatif.
d) Indique une polarité de la membrane du neurone.
30) Le réflexe myotatique :
a) A pour stimulus une variation de longueur du muscle.
b) Est un réflexe médullaire.
c) Est un réflexe monosynaptique.
d) Entraîne un étirement du muscle concerné.
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