Catégorie privée Scotia de dividendes américains Au 31 mars 2015 Objectif de placement ANALYSE DU RENDEMENT ET PORTEFEUILLE L’objectif du fonds est d’atteindre un rendement de placement global élevé, y compris un revenu de dividendes et une plus-value du capital à long terme. Il investit principalement dans des titres de capitaux propres de sociétés américaines qui paient, ou qui sont susceptibles de payer, des dividendes. Raisons d’investir ■ ■ ■ Ce fonds mise sur des sociétés de qualité supérieure, principalement américaines, qui versent des dividendes. Gestion disciplinée reposant sur une démarche ascendante : Déceler la présence de catalyseurs susceptibles de faire ressortir la véritable valeur de sociétés de qualité supérieure dont les titres se négocient en deçà du multiplicateur de marché historique ou de leur valeur intrinsèque. Efficacité fiscale pour les comptes non enregistrés : Possibilité de changer pour un autre fonds de Catégorie Société Scotia inc. sans que soient immédiatement réalisés les gains et les pertes en capital; distributions imposables potentiellement moindres. Cote de risque FAIBLE MOYEN » ÉLEVÉ Horizon temporel — Long PRÉCISIONS SUR LE FONDS Date de création .............................. 18 mai 2012 Actifs totaux (mil$) ..................................... 45,42 Distribution du revenu ............................ annuelle Distribution du capital .............................annuelle RFG % (au 31 décembre 2014) .....................0,31 VLPP $ ....................................................... 17,77 S&P 500 Composite Index (Total Indice ...............................................Return – C$) Rendements (%) Fonds 1 mois 3 mois 6 mois 1 an 3 ans 5 ans -0,45 7,12 15,10 21,18 -- -- 10 ans Création -- 24,38 Année civile (%) AAJ 2014 2013 2012 2011 2010 2009 2008 2007 2006 2005 Fonds 7,12 16,66 38,83 -- -- -- -- -- -- -- -- Distributions ($/part) AAJ 2014 2013 2012 2011 2010 2009 2008 2007 2006 2005 Total des distributions Gains en capital 0,43 -- --- 0,04 0,04 --- --- --- --- --- --- --- --- Croissance de 10 000 $ Répartition (%) $20,000 Liquidités ................................ 8,7 $18,000 Actions américaines .............. 82,3 $16,000 Actions internationales ........... 9,0 $14,000 $12,000 $10,000 Jun-12 Cap boursière (%) Géante Grande Moyenne Petite Micro Les 25 principaux titres Apple Inc. Nestle SA Microsoft Corporation CVS Health Corporation Visa Inc. Danaher Corp. Viacom Inc. -Cl B Honeywell International Inc. DIRECTV AutoZone Inc. Rockwell Collins Inc. Pfizer Inc. PepsiCo Inc. Teva Pharmaceutical Industries -ADR Comcast Corp. -Cl A 3M Co. Deere & Company Johnson & Johnson Merck & Company Inc. Walt Disney Company Oracle Corp. Union Pacific Corp. Home Depot Inc. Procter & Gamble Company Exxon Mobil Corp. Total Mar-15 59,1 40,7 0,2 0,0 0,0 % de l’actif 4,3 3,7 3,1 2,8 2,7 2,7 2,5 2,4 2,3 2,3 2,3 2,2 2,2 2,2 2,2 2,2 2,2 2,2 2,2 2,1 2,1 2,1 2,0 2,0 2,0 61,0 Cinq principaux secteurs (%) Technologie de l’information Produits industriels Consommation discrétionnaire Services financiers Soins de santé 19,9 18,5 15,5 12,2 12,2 Répartition géographique (%) États-Unis d'Amérique Canada Israël Suisse Irlande 82,3 8,7 3,8 3,4 1,8 Nombre total de titres en portefeuille Nombre total d'actions Nombre total d'obligations Nombre total d'autres avoirs Nombre total d'avoirs (participation) 52 0 1 53 Catégorie privée Scotia de dividendes américains BIO DU GESTIONNAIRE Dana Love Gestionnaire depuis 1 janvier 2015 Gestion d’actifs 1832 S.E.C. Dana Love est entré au service de Gestion d’actifs 1832 S.E.C. en 2013 à titre de vice-président et gestionnaire de portefeuille au sein de l’équipe principale. Fort de plus de 15 ans d’expérience en gestion de placements, il renforce l’équipe de Gestion d’actifs 1832 responsable des actions mondiales, qui a d’ailleurs déjà remporté de nombreux prix. Il était responsable de la gestion et de la supervision des placements d’actions mondiales au cours de divers mandats et a occupé le poste de chef des actions mondiales au sein de deux cabinets de gestion d’actifs canadiens. Durant la plus grande partie de sa carrière, il a exercé les fonctions de gestionnaire principal de portefeuille et de cogestionnaire de portefeuille pour certains des fonds équilibrés mondiaux et fonds d’actions mondiales parmi les plus reconnus de l’industrie, gérant des actifs de plus de 6,5 milliards de dollars. M. Love est titulaire d’une maîtrise en finances de la London Business School de Londres, en Angleterre, d’un baccalauréat es arts en sociologie et études juridiques de l’Université de Waterloo, ainsi que du titre professionnel d’analyste financier agréé. MD OBSERVATIONS SUR LE TRIMESTRE Au 31 mars 2015 Les marchés boursiers internationaux ont obtenu des rendements à deux chiffres durant la période, grâce à la poursuite de la croissance économique aux États-Unis et à l’introduction de mesures de relance en Europe. Les marchés d’outre-mer ont été performants, car ils ont été entraînés par les marchés européens stimulés par l’anticipation et l’introduction de programmes d’assouplissement quantitatif. Les marchés de l’Allemagne et de l’Asie ont aussi eu de bons rendements. En Amérique du Nord, les actions canadiennes ont surpassé les actions américaines. Cependant, l’effet de la baisse de valeur du dollar canadien s’est transformé en un gain par les actions américaines pour les investisseurs canadiens. De même, la conversion de monnaie a stimulé les rendements sur les autres marchés étrangers. Toutefois, le dollar américain plus fort a eu un effet négatif, car il influe fortement les prix des produits de base. Cette situation aggrave les problèmes du secteur de l’énergie, qui pâtit déjà de la chute des prix du pétrole, qui résulte de la production élevée de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et des producteurs de pétrole de schiste des États-Unis. Les cours des obligations américaines ont augmenté dans le sillage de l’appréciation du dollar, alors que les taux d’intérêt baissaient sur les marchés des pays industrialisés. Au Canada, les rendements des obligations de 10 ans ont diminué durant la période. Les taux ont aussi diminué en Europe et le rendement des obligations américaines de 10 ans est alors devenu le plus intéressant des marchés industrialisés. En raison des faibles coûts d’emprunt en Europe, les investisseurs étrangers ont misé sur les bons du Trésor américain, qui ont fait des gains. Les obligations du gouvernement du Canada ont aussi fait des gains, alors que la Banque du Canada a réduit son taux directeur. Les écarts de taux des obligations de sociétés canadiennes se sont élargis un peu, dans l’anticipation d’une activité économique moins forte résultant de la baisse des prix du pétrole. La performance a subi les effets négatifs de positions plus faibles dans les secteurs des soins de santé et des biens de consommation discrétionnaire. Des positions plus importantes dans les secteurs des biens de consommation courante et des services financiers ont contribué fortement au rendement du fonds. Le fonds a réduit son exposition aux secteurs des soins de santé et de l’énergie durant la période, tout en augmentant la pondération des titres des secteurs des biens de consommation discrétionnaire et des biens de consommation courante. La position de liquidités a peu changé depuis la fin de la période précédente. Les titres qui ont le plus contribué au rendement durant la période ont été ceux d’United Health Group, de Walgreen’s et de Kroger, tandis que le titre de Seagate a nui le plus au rendement. Pour conclure, nous estimons que l’économie mondiale pourrait croître à un rythme modeste durant le reste de l’année et connaître un redressement en raison des prix moins élevés de l’énergie. Les États-Unis semblent connaître un léger ralentissement de milieu de cycle et l’économie canadienne a été sévèrement touchée par la chute des prix du pétrole. Toutefois, l’Europe pourrait se redresser en raison des mesures de relance. Entre temps, la Chine continue de passer difficilement d’une économie de production à une économie de consommation. Les évaluations des marchés américains et européens ont augmenté au cours de l’an dernier, ce qui accroît le niveau de risque au cas où la croissance des bénéfices ne se réaliserait pas. Marque déposée de La Banque de Nouvelle-Écosse, utilisée sous licence. © Gestion d’actifs 1832 S.E.C., 2015. Tous droits réservés. Le Groupe Gestion privée ScotiaMD réunit un ensemble de services destinés à la clientèle privée offerts par La Banque de Nouvelle-Écosse, La Société de fiducie Banque de Nouvelle-Écosse, Gestion d’actifs 1832 S.E.C., 1832 Asset Management U.S. Inc., ScotiaMcLeod Services Financiers inc., WaterStreet Family OfficesMD, une division de Gestion d’actifs 1832 S.E.C. et ScotiaMcLeodMD, une division de Scotia Capitaux Inc. Scotia Capitaux Inc. est membre du Fonds canadien de protection des épargnants et de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières. Les Fonds privés ScotiaMD sont gérés par Gestion d’actifs 1832 S.E.C., une société en commandite dont le commandité est entièrement détenu par La Banque de Nouvelle-Écosse. Les parts du fonds ne sont offertes qu’aux résidents du Canada, à moins que les lois d’un autre pays ne permettent leur vente à ses résidents. RENSEIGNEMENTS IMPORTANTS SUR LES FONDS COMMUNS DE PLACEMENT Les données sur le rendement ne supposent le réinvestissement que des distributions, mais ne comprennent pas les frais de vente, de rachat ou de distribution, les frais optionnels et les impôts sur le revenu à payer par le détenteur de parts qui réduiraient le rendement s’ils étaient pris en compte. Les fonds communs de placement ne sont pas assurés par la Société d’assurance-dépôts du Canada ou tout autre organisme public d’assurance-dépôts. Rien ne garantit que le fonds pourra maintenir une valeur liquidative fixe par part ou que le plein montant de votre placement dans le fonds vous sera retourné. Les rendements passés peuvent ne pas se répéter. Le taux de rendement indiqué est un taux de rendement total composé annuel historique qui tient compte des fluctuations de la valeur des parts et du réinvestissement de toutes les distributions, mais pas des frais de vente, de rachat ou de distribution, ni des frais facultatifs et impôts sur le revenu devant être payés par le détenteur de parts, lesquels réduiraient le rendement.