- Demander le poids du patient pour adapter le traitement
- Lutter contre l’hyperglycémie qui est néfaste pour les neurones
- Lutte contre l’hyperthermie
- S’il s’agit d’un AVC ischémique on fait une thrombolyse (- de 4h30), on peut également
donner des anticoagulant ou des antiagrégants
2. En unité neuro-vasculaire
- Prise en charge des complications
- Poursuite du bilan étiologique
- Mise en route du traitement préventif secondaire
- Début de la rééducation
V. Complications
1. En phase aigue
HTA
Troubles du rythme (qui peut être la cause de l’infarctus cérébral)
Hyperglycémie (associé à un diagnostic péjoratif)
Crises d’épilepsie
Œdème cérébral -> Hypertension intracrânienne
Aggravation neurologique
2. Liées à l’infarctus
Douleurs : physique et psychique
Troubles psycho-affectifs (brutalité, conséquences…)
Risque thromboembolique
Risque d’altération cutanée (échelle de Waterlow)
Risque infectieux lié à l’immobilisme (stase pulmonaire, troubles sphinctériens…)
Risque de constipation
3. Troubles phasiques de la déglutition
a. Troubles phasiques
- Aphasie de Broca (hémisphère gauche) : débit lent – conscience des troubles – bonne
compréhension
- Aphasie de Wernicke (hémisphère droit) : débit rapide – non conscience des troubles
- Aphasie mixte : réduction de l’expression - compréhension touchée
- Dysarthrie : trouble de l’articulation
b. Troubles de la déglutition
- risque de fausse route
- dysphagie : retentissement respiratoire, nutritionnel, cutané
VI. Suites de l’hospitalisation
- rééducation : kiné, orthophonie, ergothérapeute
- traitement de l’HTA
- traitement du diabète