Sujet 1 : La place et le rôle des régions en France (chapitre 2 : la région)
Étape 1 Analyser le sujet
La difficulté de ce sujet repose dans la définition des termes du libellé : quels sens doit-on attribuer à « place », «
rôle » et « régions » ? Chaque terme doit être analysé pour permettre de dégager le sens du sujet. Les géographes
emploient souvent le mot « région » pour qualifier un espace (région parisienne, région urbaine) mais ici, c’est une
signification beaucoup plus précise qui est à considérer : espaces administratifs possédant des frontières et des
compétences précisément définies.
- Le cadre précisant le terme « France » insiste sur le fait que le sujet concerne l’ensemble du territoire national (22
régions métropolitaines et 4 régions ultramarines).
- Ce sujet se prête peu à des jeux d’échelles puisqu’il se définit d’emblée à une échelle locale. Cependant, il peut être
intéressant de mener une comparaison avec d’autres régions européennes ou avec d’autres territoires (départements).
Étape 2 Dégager la problématique
On peut dégager les trois idées principales :
- la région est un territoire de vie ;
- elle joue un rôle majeur dans l’aménagement du territoire ;
- elle connaît des évolutions.
On relie ensuite ces idées principales de façon logique :
- La région est d’abord un territoire de vie…..
- sur lequel le Conseil régional exerce un rôle majeur d’acteur dans l’aménagement du territoire…
- … ce rôle est d’ailleurs croissant.
On peut alors formuler une problématique : Quelle place les régions occupent-elles dans les territoires de vie des
Français et quel rôle jouent-elles dans l’aménagement du territoire ?
Étape 3 : Bâtir le plan
La première partie répond plus précisément au terme de « place ». En effet, il s’agit d’analyser sa position dans
l’espace vécu des habitants du territoire. La seconde partie insiste sur le « rôle » des régions, en tant qu’acteur
d’aménagement tandis que la troisième permet d’analyser les dynamiques en cours.
Étape 4 : Rédiger l’introduction
[Accroche, bornes, limites, enjeux acteurs, échelles] Les régions sont aujourd’hui au cœur d’un projet de réforme
national de découpage du territoire. En effet, renforcée par la politique territoriale de cohésion menée par l’Union
européenne, la place de cette entité locale est devenue, depuis une trentaine d’années, incontournable dans le paysage
décisionnel de la France mais également dans l’espace de vie des Français….. [à poursuivre]
[Problématique] Quelle place les régions occupent-elles dans les territoires de vie des Français et quel rôle jouent-
elles dans l’aménagement du territoire ?
[Annonce du plan] La région est donc d’abord un territoire de vie à part entière, même s’il n’est pas unique. Mais elle
est aussi un acteur de l’aménagement de ce territoire aux larges compétences. Ces deux composantes sont soumises à
des dynamiques multiples dans un contexte européen et national en transformation.
Étape 5 : rédiger le développement …
Étape 6 : Rédiger la conclusion
La région, telle qu’elle est définie en France, est à la fois un territoire de vie comme peuvent l’être les départements ou
l’État. Mais, cet échelon décisionnel intermédiaire, de conception originale dans le paysage régional européen, est
aussi un acteur essentiel de l’aménagement du territoire, aux compétences larges et croissantes. Les régions françaises
tiennent donc une place dans l’espace vécu et jouent un rôle essentiel auprès de ses habitants. Profitant de l’orientation
européenne qui encourage, à l’échelle communautaire, l’affirmation de ce niveau décisionnel, la région, telle qu’elle
est définie dans l’hexagone, est pourtant menacée par les perspectives de redécoupage régional et devrait connaître,
dans les prochaines années, une modification tant spatiale que décisionnelle.
Sujet 2 : La région de votre lycée. (chapitre 2 : la région)
À l’aide de l’étude de cas de votre cours, vous en présenterez les caractéristiques et vous montrerez quels sont les défis
posés par son aménagement.
Proposition de plan :
I - Quels sont les fondements de la région ?
A/ Quelle est sa situation dans le territoire national ?
B/ Quelles sont ses caractéristiques démographiques, économiques, etc. ?
C/ Quelle est l’organisation spatiale du territoire ?
II - Quel est le rôle du Conseil régional dans l’aménagement du territoire ?
A/ Quels sont les champs de compétence ?
B/ Quelles sont les politiques qui caractérisent l’action régionale ?
C/ Quelle est la place des citoyens dans ces actions régionales ?
III - Quelles sont les dynamiques ?
A/ Quels sont les liens existants avec les autres compétences territoriales ?
B/ Quelle est son insertion dans la politique nationale ou européenne… ?
Sujet 3 : Potentialités et contraintes du territoire français (chapitre 3)
Proposition de plan détaillé :
I - Le territoire français révèle de nombreuses potentialités
A/ Une situation privilégiée
Trois façades maritimes : interface, tourisme…
Une ouverture sur l’axe rhénan
Des axes naturels de pénétration : cinq grands fleuves dont trois aménagés
B/ Des milieux « naturels » variés, sources de richesses
Des climats variés (tempérés, tropicaux) permettant un tourisme d’été (balnéaire, vert) et d’hiver (montagne, îles
tropicales) ainsi qu’une agriculture aux productions variées
Une grande variété de reliefs facilitant le tourisme (montagnes à fort enneigement) et l’agriculture (prédominance
des plaines : bassins sédimentaires céréaliers, une surface agricole utile très étendue) et offrant de grands couloirs de
circulation.
Une végétation diverse (ressources forestières)
Des ressources renouvelables (grands projets d’éoliennes en mer)
II - … mais il doit aussi faire face à des contraintes
A/ Des contraintes liées aux milieux
Des reliefs (obstacle aux communications)
Peu de ressources énergétiques ou minérales sur le territoire et leur exploitation présente un coût trop élevé (nickel
en Nouvelle- Calédonie, or en Guyane)
B/ Des risques « naturels »
Risques climatiques dont aléas cycloniques (en particulier dans les territoires ultramarins), risques d’inondations et
risques de sécheresse estivale et de canicule
Risques géologiques dont risques sismiques (en particulier aux Antilles), glissements de terrain et avalanches en
montagne.
C/ Des risques aggravés par l’homme
L’artificialisation croissante de l’environnement aggrave les risques (inondations)
… et la vulnérabilité des hommes (milieux densément peuplés)
III - La mise en valeur du territoire : valoriser les atouts et gérer les contraintes
A/ Valoriser les atouts
Une très forte et ancienne anthropisation des milieux : il n’y a plus de milieux naturels
pour gérer durablement le territoire, protéger les paysages et les milieux les plus remarquables, des acteurs à
l’échelle mondiale (protection Ramsar, Unesco), nationale (parcs nationaux, loi Littoral, loi Montagne) et locale
(réserves naturelles, PNR).
B/ Gérer les contraintes
Surmonter les contraintes par une mise en valeur du territoire (infrastructures de franchissement des massifs
montagneux)
Prévenir les risques (PPR, délimitation de périmètres à risques)
Proposition d’introduction :
Depuis de nombreuses années, la France se place en tête des destinations touristiques internationales. Certes, la
richesse historique et patrimoniale du pays est une des explications de l’attrait qu’exerce le pays, mais la variété et la
qualité de son territoire participent également de son attractivité. Pourtant, si les potentialités du territoire
métropolitain et des régions ultramarines sont immenses, les contraintes ne sont pas négligeables obligeant à une
politique spécifique de gestion des milieux.
Il est donc nécessaire de s’interroger sur la nature des atouts et contraintes du territoire et sur les enjeux posés par sa
gestion.
La réponse à cette question passe par la présentation des nombreuses potentialités du territoire, puis par celle des
risques et des handicaps qui affectent la France, afin de s’interroger sur la politique mise en œuvre pour valoriser les
premiers tout en limitant l’impact des seconds.
Proposition de conclusion :
Les atouts naturels du territoire français sont donc majeurs, tant sur les plans climatiques, topographiques que celui de
la végétation ou de sa situation, et constituent une richesse pour la mise en valeur du territoire (agriculture, tourisme).
Ces potentialités n’en gomment pas moins l’existence de risques (parfois violents) ou de handicaps, le plus souvent
aggravés par la présence et l’action de l’homme. En conséquence, une gestion durable du territoire est indispensable
pour valoriser les potentialités et surmonter les contraintes.
Les acteurs sont donc essentiels dans la mise en valeur du territoire : protection, prévention, aménagement… autant de
sujets qui se décident non seulement à l’échelon local ou national mais de plus en plus international (règlements
supranationaux européens ou internationaux).
Sujet 4 : La métropolisation en France (chapitre 4 : France en villes)
Introduction :
En 2000, la communauté urbaine de Marseille Provence Métropole est créée autour d’un ensemble de 18 communes
pour former une vaste aire urbaine de plus d’1 million d’habitants, aux compétences importantes.
Ce choix n’est pas un cas unique (Genève-Annemasse, Lille Métropole, etc.), il illustre le processus de
métropolisation qui fait passer les villes françaises d’un système construit aux échelles régionale et nationale à un
autre en train de se structurer aux échelles européenne et mondiale. La métropolisation se caractérise par la
concentration de la population, des activités de décision et des richesses dans les plus grandes villes. Comment la
métropolisation, qui est la traduction urbaine de la mondialisation, se manifeste-t-elle en France ? Nous partirons de
l’analyse du renforcement du poids démographique et décisionnel des plus grandes villes en France, ce qui nous
permettra d’étudier les effets de la métropolisation d’une part sur le réseau urbain français et d’autre part sur
l’organisation des aires urbaines.
I - La concentration de la population, des fonctions métropolitaines et des richesses se renforce non seulement à Paris,
mais aussi dans les plus grandes villes de province.
A/ Les douze plus grandes aires urbaines concentrent à elles seules près de la moitié de la population des aires
urbaines. Les métropoles régionales attirent toutes de nouveaux habitants. L’aire urbaine de Toulouse est
emblématique de cette polarisation métropolitaine avec 20 000 habitants de plus par an originaires de nombreuses
villes françaises et un poids de 1,1 million d’habitants soit 40 % de la population de Midi-Pyrénées. Si la métropole
parisienne a un solde migratoire négatif, elle reste la plus peuplée (plus de 11 millions d’habitants) et concentre 18,5
% de la population française avec une croissance démographique soutenue par l’arrivée de jeunes couples.
B/ Cette attractivité est à mettre directement en relation avec la concentration, dans ces mêmes villes, des activités
intellectuelles, de gestion et de décision appelées fonctions métropolitaines par l’INSEE. Paris Île-de-France
rassemble 45 % des cadres des fonctions métropolitaines. Ceci s’explique non seulement par son statut de capitale
politique, économique et culturelle mais aussi par sa très forte insertion dans la mondialisation. Les métropoles
régionales ont valorisé leur poids décisionnel dans le cadre de la décentralisation administrative depuis les années
1980.
C/ Les métropoles s’affirment aussi comme des lieux de concentration des richesses.
La région-capitale contribue à elle seule à 29 % du PIB français et s’individualise par des fonctions internationales de
premier plan comme la finance, la culture et le tourisme. Les métropoles régionales valorisent toutes leur patrimoine
architectural et culturel, symbole de l’enracinement de leur richesse consolidée par la concentration de professions à
fort niveau de qualification. Elles entreprennent des opérations immobilières ambitieuses et coûteuses comme les
centres d’affaires de la Part-Dieu à Lyon, Euralille ou encore Euromed à Marseille.
Transition : Quels sont les effets de la métropolisation sur les relations entre les villes et notamment entre Paris et les
villes de province ?
II - Le processus de métropolisation transforme le réseau urbain français.
A/ Le système urbain centralisé est remis en question par la décentralisation régionale (1982), l’accélération de
l’intégration européenne (1992) et la mondialisation de l’économie et de la communication. Fortement marquée par le
centralisme politique et économique depuis l’Ancien Régime, l’organisation macrocéphale du réseau urbain, dénoncée
par J. Gravier dans son ouvrage Paris et le désert français (1947), n’est plus de mise. La régionalisation a renforcé les
capitales régionales, l’ouverture des frontières leur a permis de tisser des relations avec les villes européennes et de
profiter de la proximité de Paris, ville mondiale. Ainsi la ville de Lille, capitale du Nord-Pas-de-Calais, dotée d’un
centre d’affaires, Euralille, et d’un carrefour TGV et autoroutier européen à mi-distance de Londres, Bruxelles et
Paris, est tout à fait représentative de cette évolution.
B/ Le réseau métropolitain est ouvert sur la mégalopole européenne. Le réseau urbain français s’est transformé en une
structure polycentrique articulée autour de Paris, région-capitale et ville mondiale, et les autres métropoles
européennes notamment Londres, Bruxelles, Rotterdam, Francfort, Genève, Milan et Barcelone. Cet archipel
métropolitain français et européen s’intègre à l’archipel métropolitain mondial et ils sont reliés par des flux rapides et
complexes de personnes, de marchandises, de capitaux et d’informations.
C/ Les relations entre les métropoles françaises et les autres villes du territoire se modifient et sont variables dans le
temps et selon les régions. Dans les territoires les plus dynamiques (Bassin parisien, autour des grandes métropoles, le
long des grandes vallées et des littoraux), les pôles urbains secondaires accessibles bénéficient du desserrement des
activités et des populations. Mais de nombreuses villes moyennes et petites sont fragilisées par la désindustrialisation
et la rétraction des services publics et dépendent de l’économie résidentielle et des aléas des activités touristiques.
Transition : Si la métropolisation a modifié les relations entre les villes françaises, quels sont ses effets à l’échelle des
territoires urbains ?
III - La métropolisation transforme les agglomérations en aires urbaines.
A/ L’étalement urbain s’amorce à partir de 1975 et se généralise avec l’engouement pour l’habitat individuel et la
voiture. L’urbanisation s’étend au-delà des agglomérations de façon discontinue vers les campagnes environnantes.
Les politiques de soutien à l’accès à la propriété du logement, au crédit à la consommation et au tout automobile
favorisent ce processus de périurbanisation ainsi que les nouvelles techniques de l’information et de la
communication. L’INSEE rend compte de cette évolution par un zonage urbain fondé sur la continuité du bâti pour
l’agglomération et sur le nombre d’emplois (plus de 5 000) pour le pôle urbain qui attire les populations des
communes de plus en plus lointaines en fonction de sa taille. Le pourcentage de navetteurs dans les communes
périurbaines (plus de 40 % de la population active) permet de délimiter l’aire urbaine. En 2007, 82 % de la population
vivent dans un espace à dominante urbaine dont près de 22 % dans le périurbain.
B/ La fragmentation socio-spatiale des territoires urbains s’est accentuée avec la hausse du foncier, la discrimination
ethno-raciale et le cumul des stratégies individuelles. Le processus de gentrification qui touche l’ensemble des
arrondissements parisiens concerne aussi, dans une moindre mesure, les métropoles régionales dont les centres
redeviennent attractifs pour les populations aisées. Les populations aux revenus faibles à moyens tendent à se
regrouper dans des quartiers socialement homogènes plus ou moins éloignés du centre, comme le montre le cas de
Lyon où s’opère une relative spécialisation sociale des territoires.
C/ Les politiques du logement et des transports cherchent à améliorer la cohésion urbaine à l’échelle des quartiers et
de l’aire urbaine. Il s’agit par exemple du projet de renouvellement urbain du quartier de La Duchère à Lyon, des
programmes de logements sociaux et d’aides pour favoriser la mixité sociale, de la réorganisation des transports
urbains (tramway, vélo, métro) pour faciliter l’intégration des quartiers. La relégation des populations précaires dans
les quartiers sensibles et à la périphérie des aires urbaines reste toujours préoccupante.
Conclusion partielle à la 3e partie : La situation de considérable développement urbain fait état de multiples
fractures déjà anciennes que les différentes politiques de logement et transport parviennent à endiguer sans toutefois
les éliminer.
Conclusion générale :
La métropolisation est un processus inséparable de la mondialisation qui a profondément transformé la France. Paris
est devenue une région-capitale et une ville mondiale à égalité avec Londres. Les métropoles de province s’inscrivent
avec des degrés divers dans le réseau de l’archipel métropolitain européen ouvert sur le monde. La fragmentation
sociospatiale est un défi permanent dans ces aires urbaines de plus en plus vastes et polymorphes. Si repenser les
déplacements urbains s’inscrit dans le prolongement des préoccupations environnementales, la priorité n’est-elle pas
aussi de créer du lien pour éviter la sécession urbaine ?
Sujet 5 : Mondialisation et localisation des activités en France (chapitre 5 : espaces productifs)
Dégager la problématique :
La problématique pourrait être : Quel impact la mondialisation a-t-elle sur la localisation des activités en France ?
Bâtir le plan
I - La mondialisation valorise les métropoles, et en particulier la plus puissante d’entre elles : Paris
A/ À l’échelle de la France
B/ Paris, ville mondiale
C/ À l’échelle intra-urbaine : les centres d’affaires par rapport aux autres espaces urbains
II - La mondialisation valorise les interfaces : littoraux et espaces connectés au reste de l’Europe
A/ Aux dépens de la France du vide malgré un certain dynamisme pour ces régions (installation de populations
anglaises ou hollandaises)
B/ À grande échelle :
littoraux (plateformes portuaires, ZIP, connexions fluviales)
espaces transfrontaliers (intégration européenne : marché unique)
hubs (Roissy)
III - La mondialisation entraîne des dynamiques dans la localisation des activités
A/ Elle revalorise certains espaces en difficultés (Lorraine) mais entraine des délocalisations
B/ Elle encourage certains territoires :
- les territoires de l’innovation : pôles de compétitivité certaines activités, DIT, et donc certaines régions par rapport à
d’autres
- espaces agricoles intégrés à la mondialisation
- eurorégions
- zones franches
C/ Elle renforce l’Île-de-France : projet du Grand Paris pour conforter la capitale dans son rôle de ville mondiale
D/ Elle favorise certains espaces touristiques.
Sujet 6 : Un territoire de l’innovation. (chapitre 5 : Espaces productifs)
Vous présenterez sa localisation sur le territoire français, ses domaines de recherche et son insertion dans la
mondialisation.
Proposition de plan :
I - La situation du territoire de l’innovation en France
A/ Sa localisation sur le territoire français par rapport aux grands centres d’impulsion
B/ Son insertion dans le tissu économique français ou européen :
par rapport aux activités historiques du territoire
par rapport à l’environnement économique (recherche de synergies)
C/ À l’échelle locale, les spécificités d’implantation
II - Les facteurs d’insertion du territoire dans la mondialisation
A/ Le rôle des acteurs dans cette insertion :
Acteurs publics (collectivité, État, Union européenne)
Acteurs privés (entreprises, bassin d’emploi)
B/ La connexion aux moyens de communication
Moyens de transport
Ouverture aux NTIC
C/ Des sources d’approvisionnement et des débouchés de plus en plus mondialisés
III - Les domaines de recherche spécifique au territoire : son originalité dans la compétition mondiale
A/ Pourquoi ce domaine de recherche (héritage, présence universitaire) ?
B/ Les principales caractéristiques de l’innovation
C/ Les performances dans le domaine de la recherche.
Sujet 7 : La connexion du territoire français à l’Europe (chapitre 6 : Mobilités)
Dégager la problématique
Le sujet nous invite à montrer comment les transports sont pensés et s’intègrent dans une logique européenne. La
problématique qui convient le mieux est donc la suivante :
Quels sont les enjeux et conséquences de l’ouverture européenne sur l’organisation des transports français à l’échelle
nationale ?
Proposition de plan très détaillé
I - Le territoire français, un carrefour au sein de l’Europe structuré par des réseaux multiples
A/ Un passage obligé au sein de l’Europe
Un point de passage obligé entre la péninsule ibérique et le reste de l’Europe, entre le Royaume-Uni et le reste de
l’Europe par le tunnel sous la Manche, entre l’Italie et l’Allemagne lorsqu’on veut contourner les Alpes par l’ouest ;
Un espace ouvert avec quatre façades maritimes, le Bassin parisien ouvert sur les plaines du nord, le réseau fluvial
du Rhin qui ouvre sur l’Allemagne et à la mer du Nord ;
Des barrières comme les Alpes et les Pyrénées minimisées par des aménagements (tunnel du mont Blanc, tunnel de
Fréjus, tunnel sous la Manche, nœud ferroviaire de Portbou, etc.).
B/ Connexion des réseaux français et européens
La force des flux est l’indicateur de l’intégration de l’espace national à l’espace européen :
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