Dossier de presse - Les Tréteaux Théâtre Ecully

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Tréteaux Théâtre d'Ecully
L'Île des esclaves – Marivaux
(2011)
Table des matières
1. L’auteur......................................................................................................................................................3
2. Le théâtre de MARIVAUX........................................................................................................................5
2.1. Corriger les mœurs par le rire............................................................................................................5
2.2. Le marivaudage..................................................................................................................................5
3. La pièce......................................................................................................................................................6
3.1. L’utopie au service de la comédie sociale..........................................................................................6
3.2. Le contexte.........................................................................................................................................6
a) Artistique..........................................................................................................................................6
b) Philosophique...................................................................................................................................7
c) Social................................................................................................................................................7
3.3. Une comédie du siècle des Lumières commençant............................................................................7
4. Le résumé...................................................................................................................................................8
4.1. La farce...............................................................................................................................................8
4.2. La “grande comédie”..........................................................................................................................8
4.3. La comédie larmoyante......................................................................................................................8
5. Le spectacle monté par la troupe.............................................................................................................10
5.1. Les comédiens..................................................................................................................................10
5.2. La mise en scène..............................................................................................................................10
5.3. Les décors, costumes, technique......................................................................................................10
5.4. Représentations................................................................................................................................11
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L'Île des esclaves – Marivaux
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1. L’auteur
Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux (1688 - 1763),
Communément appelé Marivaux, Homme solitaire et discret, longtemps mal compris,il fut un
journaliste, un romancier, mais surtout un auteur dramatique fécond, qui, amoureux du
théâtre et de la vérité, observait en spectateur lucide le monde en pleine évolution et écrivit
pour les Comédiens italiens, entre 1722 et 1740, des comédies sur mesure et d'un ton
nouveau, dans le langage « de la conversation ».
Il est, après Molière, Racine, Pierre Corneille et Musset le cinquième auteur le plus joué par
la Comédie française.
Il est considéré comme un brillant moraliste, sorte de nouveau La Bruyère.
Sa raison d’être est toute trouvée, ce sera le théâtre. Il s'essaie à la tragédie classique en
cinq actes et en vers avec Annibal, joué en 1720 par les comédiens du Roi, mais ce n'est pas
une réussite.
Son premier succès, la même année, il le doit à Arlequin poli par l'amour joué par les acteurs
italiens de Luigi Riccoboni. Il apprécie le jeu des comédiens italiens et devient l'auteur
attitré de la troupe. La jeune et talentueuse Silvia Balletti, la prima amorosa, devient son
interprète idéale et il écrit spécialement pour elle. Il révolutionne le genre de la comédie
sentimentale, qu’il explore au travers des deux Surprises de l’amour ou de La Double
Inconstance, mais surtout de ses pièces devenues de grands classiques du répertoire : Le
Jeu de l'amour et du hasard (1730) et Les Fausses Confidences (1737).
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Il écrit aussi des comédies sociales qui posent des problèmes fondamentaux : la liberté et
l'égalité entre les individus (l'Île des esclaves en 1725), la situation des femmes (la Nouvelle
Colonie en 1729). Placées dans des cadres utopiques, ces pièces, qui ont eu peu de succès à
leur création, développent ses réflexions sur les relations humaines.
Au XVIIIe siècle, le succès n’est jamais éclatant : les Comédiens Français et leur public ne
l’apprécient pas, et le Théâtre-Italien reste une scène secondaire. D’autre part, Marivaux
s’est toujours tenu à l’écart du clan des philosophes. Mais son influence littéraire est
profonde. S'il a imposé une technique romanesque dont profitera Stendhal, son style de
dialogue théâtral, surtout, inspirera, au XIXe siècle, les comédies de Musset, et au XXe siècle
celles de Giraudoux. Il a maintenant trouvé un public enthousiaste qui considère précisément
comme très moderne la complexité qu’on lui reprochait de son temps.
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2. Le théâtre de MARIVAUX
2.1.
Corriger les mœurs par le rire
Le théâtre de Marivaux reprend la devise de la comédie castigat ridendo mores (c’est-à-dire
corriger les mœurs par le rire) et construit une sorte de pont entre la bouffonnerie et
l'improvisation traditionnelle de la commedia dell'arte, avec ses personnages stéréotypés
(essentiellement Arlequin), source de burlesque, et un théâtre plus littéraire et
psychologique, plus proche des auteurs français et anglais. Ce qui implique que ce théâtre
utilise divers niveaux de comique, les domaines du ludique, du satirique et du poétique.
2.2.
Le marivaudage
Le nom de Marivaux a donné naissance au verbe « marivauder » qui signifie échanger des
propos galants et d’une grande finesse, afin de séduire un homme ou une femme. Par
extension a été créé le mot « marivaudage », et ce du vivant même de Marivaux, et
probablement dans un de ces cafés littéraires si prisés à l'époque. Ces deux mots se
trouvent dès 1760 dans la correspondance entre Denis Diderot et Sophie Volland.
Marivauder y a le sens de « disserter sans fin sur de menus problèmes » et marivaudage
désigne une forme trop raffinée d'analyse morale. Mais le mot désigne aussi un style, que
Jean-François de La Harpe définit, à la fin du siècle, dans son Lycée ou cours de littérature
ancienne et moderne, en insistant sur le mélange des registres opposés :
« Marivaux se fit un style si particulier qu’il a eu l’honneur de lui donner son nom ; on
l’appela « marivaudage »
C’est le mélange le plus bizarre de métaphysique subtile et de locutions triviales, de
sentiments alambiqués et de dictions populaires ».
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3. La pièce
3.1.
L’utopie au service de la comédie sociale
Cette comédie en un acte et en prose de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux a été créée
par les comédiens italiens en 1725 et publiée à Paris la même année.
Beaumarchais a exprimé toute son estime pour cette courte comédie en la qualifiant de
« petit bijou ».
Cette pièce en onze scènes est à la fois une satire sociale et un regard de moraliste sur
l’homme. Marivaux y renouvelle le canevas et les lazzis de la commedia dell’arte pour faire
réfléchir les spectateurs à de nouveaux rapports sociaux au moyen de l’utopie.
Réutilisant le couple traditionnel maître-valet, Marivaux se livre à deux exercices
concomitants : le laboratoire utopique et la comédie de mœurs. Il joue également sur deux
registres, le comique et le pathétique. Ces dualités assumées donnent à la pièce son
caractère onirique qui permet de mieux faire accepter la critique très novatrice pour
l’époque. En effet Marivaux aborde l’aliénation sociale et l’exclusion.
Nous pouvons imaginer le choc que durent vivre les spectateurs d’alors devant cette
inacceptable invitation à échanger les rôles sociaux, alors même qu’ils refusaient la présence
des domestiques en livrée dans l’enceinte théâtrale.
3.2.
a)
Le contexte
Artistique
Ces thèmes de l’île et du naufrage sont à la mode dans les années 1720. Qu’on en juge par la
peinture du Pèlerinage à l’île de Cythère de Watteau, la publication du Robinson Crusoé de
Defoe, des Voyages de Gulliver de Swift.
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b)
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Philosophique
Marivaux reprend à la scène la tradition du roman utopique en vogue. Cette réflexion sociale
lui tient tant à cœur qu’elle donnera deux autres pièces : L’Île de la Raison en 1727 et La
Colonie en 1729.
L’île des esclaves exploite aussi le thème des Saturnales, fêtes de la Rome antique où,
pendant un temps très court, les esclaves étaient libérés de leur servitude et changeaient de
rôle avec leurs maîtres. Cette tradition s’est perpétuée dans le carnaval qui permet, un court
moment, de lever les interdits communautaires afin de libérer dans l’anonymat les
frustrations dommageables à l’ordre social.
c)
Social
Le terme d’esclave ne renvoie pas seulement à l’Antiquité mais à des réalités contemporaines
bien connues des spectateurs, comme le commerce du « bois d’ébène ». Les personnes
présentes savaient que les échanges triangulaires entre la France, l’Afrique et l’Amérique
avaient fondé de solides fortunes qui ne voulaient pas être ébranlées.
Aussi, même avec l’excuse du mythe, appeler esclavage l’état de domesticité devait-il
heurter les esprits de l’époque. C’est sans doute pourquoi Marivaux a recouru à la comédie et
à la caricature afin que le spectateur ne se sentît pas trop menacé dans ses privilèges.
Cette comédie, pour nouveaux que soient son sujet et sa tonalité, n’apparaît jamais comme
une tentative de prise du pouvoir. Elle n’est jamais une contestation explicite de l’ordre
établi.
Marivaux utilise cette intrigue comme un laboratoire comique. Que se passerait-il si les rôles
étaient renversés ? si c’était les valets qui commandaient ? si les préjugés liés à
l’appartenance à une classe sociale ne protégeaient plus ceux qui les professaient ?…
Il s’agit donc moins d’une révolution que d’une variation comique sur le thème de l’échange
temporaire, ce qui n’empêche pas Marivaux de donner au passage une leçon de relativité.
3.3.
Une comédie du siècle des Lumières commençant
Cette comédie révèle les balbutiements du siècle des Lumières. La réflexion sociale est
permise par le relatif progressisme manifesté par Philippe d’Orléans.
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4. Le résumé
4.1.
La farce
Scène 1 : À la suite d’une fortune de mer, Iphicrate, noble Athénien, et son domestique
Arlequin échouent sur une île qui se trouve être le refuge d’anciens esclaves révoltés. En ces
lieux, les maîtres sont voués à devenir les serviteurs de leurs anciens laquais. À cette
nouvelle, Arlequin se montre insolent, tutoie son seigneur et refuse de lui obéir, tandis
qu’Iphicrate se lamente sur son sort et veut punir les écarts de son valet par un coup d’épée.
Scène 2 : Survient Trivelin qui fait désarmer Iphicrate. Le maître des lieux apprend aux
nouveaux arrivants quels sont les lois et le projet de l’île. Cette terre est destinée à
humaniser les anciens maîtres. En leur faisant revêtir la condition servile, elle leur donne
l’occasion de prendre conscience des avanies qu’ils ont fait subir à leur domesticité. Si au
bout de la période probatoire de trois ans qui s’ensuit, les nouveaux seigneurs sont contents
de leurs valets et servantes, ces derniers sont libérés et retrouvent leurs privilèges.
4.2.
La “grande comédie”
Scène 3 : Après avoir procédé à l’échange des patronymes pour le couple féminin,
Euphrosine l’aristocrate et Cléanthis la servante, Trivelin demande aux jeunes femmes de se
livrer à l’épreuve des portraits. L’ancienne domestique va brosser une peinture peu flatteuse
de sa maîtresse.
Scène 4 : Euphrosine, touchée dans son amour-propre, est révoltée par l’impertinence de sa
soubrette. Trivelin lui demande si le portrait était fidèle. La jeune noble joue sur les mots,
voudrait atténuer l’acidité de la critique, puis finalement convient de la justesse de la satire.
Scène 5 : Iphicrate, à son tour, doit se soumettre aux lazzis de son valet. Lui aussi a du mal
à admettre la sévérité des remarques acérées.
Scène 6 : Arlequin et Cléanthis singent les conversations galantes de leurs maîtres mais n’en
tirent pas tout le plaisir souhaité. Pour éprouver un peu plus les avantages de leur nouvelle
situation, Arlequin imagine que chacun courtisera son ancien seigneur.
4.3.
La comédie larmoyante
Scène 7 : Cléanthis ordonne donc à Euphrosine de céder à l’amour d’Arlequin, meilleur parti
que les anciens amants de sa maîtresse.
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Scène 8 : Arlequin se lance maladroitement dans la conquête d’Euphrosine. Son entreprise
déclenche les pleurs et la plainte de la jeune femme qui se voit accablée par le sort. Arlequin,
ébranlé par la souffrance d’Euphrosine, en reste coi.
Scène 9 : Il se trouve ensuite en butte aux reproches de son ancien maître qui s’offusque
de l’ingratitude de son valet. Arlequin, qui entend à plusieurs reprises des protestations
d’amitié dans la bouche de son maître, est ému aux larmes. Il lui pardonne, reconnaît ses
propres torts. À son tour Iphicrate fait grâce. Arlequin décide illico de retourner à sa
condition de serviteur.
Scène 10 : Cléanthis est à son tour touchée par la générosité d’Arlequin. Iphicrate tente de
convaincre Euphrosine de la sincérité des serviteurs. Elle est gagnée par l’attendrissement
ambiant et reconnaît son injustice à l’encontre de sa servante.
Scène 11 : Trivelin vient conclure cette réconciliation générale. La vocation de l’île est bien
vertueuse. Elle doit tout autant corriger les maîtres de leur dureté de cœur qu’apprendre la
magnanimité aux serviteurs. Chacun ayant médité sur le hasard des conditions, chacun
s’étant converti à la sagesse et à la bienveillance peut repartir vers Athènes réconcilié avec
son semblable.
Sources : http://www.etudes-litteraires.com/marivaux-ile-des-esclaves.php
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5. Le spectacle monté par la troupe
5.1.
Les comédiens
Alequin :
Cléantis :
Euphrosine :
Iphicrate :
Trivelin :
Insulaires :
5.2.
Henri-Jacques GUINET
Laurence BOSSARD
Pascale MENARD
Guy PASTOR
Denis CARANÃNA
Danielle BLATH
Atelier des tréteaux théâtre d’Ecully
La mise en scène
Metteur en scène :
Danielle BLATH
Aide metteur en scène : Isabelle ROLLAND
Corinne MECA
Une mise en scène joyeuse et ludique avec des personnages hauts en couleurs.
Un avant propos scénique inspiré du « cinéma muet » donne le ton.
On retrouvera certaines façons venant de la commedia dell' arte adaptées aux temps
modernes.
Chant, danse, et farandole sont de mise dans cette île où les indigènes, sans âge, savent faire
la leçon.
5.3.
Les décors, costumes, technique
Décor et costumes :
Confection par les membres de la troupe
Compositeur musique (flûte) : Guy PASTOR
Technique son et lumières :
Eric VITALLIS (ville d’Ecully)
Montage son :
Isabelle ROLLAND
Maquillage :
Lauriane LACOUR (Diplômée du Lycée Perrefytte, Lyon)
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Tréteaux Théâtre d'Ecully
5.4.
L'Île des esclaves – Marivaux
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Représentations
La pièce a été jouée les 7, 8, 12, 13 et 14 avril 2011 à la Maison de la Rencontre d'Ecully.
Lors de ces représentations, nous avons reçu des élèves de 2nde et de 1ère.
Les prochaines représentations prévues à la Maison de la Rencontre d'Ecully sont les :
16, 17, 18, 19 novembre 2011
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6. Présentation de la troupe
La troupe a été fondée en 1979 sur Ecully. Association, elle est soutenue par les
municipalités successives. Elle comprend aujourd'hui une quinzaine de comédiens
expérimentés qui se produisent principalement dans la région lyonnaise. Elle a été
sélectionnée à de nombreuses reprises dans plusieurs festivals réputés (Châtillon, Saint
Egrève……)
Depuis sa fondation, elle a monté des pièces classiques mais également des spectacles
résolument contemporains.
Les tréteaux organisent des formations de théâtre destinées à des futurs comédiens ou au
perfectionnement de comédiens déjà expérimentés.
Depuis octobre 2005, des ateliers sont ouverts pour les ados et les adultes.
Les tréteaux aiment jouer "hors les murs" et se déplacent régulièrement dans d'autres
communes.
Spectacles présentés depuis la création des Tréteaux Théâtre d’Ecully en 1980
L’ÉCOLE DES VEUVES - Jean COCTEAU
LE TABLEAU DES MERVEILLES - Jacques PREVERT
LA BELLE ET LA BETE - d’après Madeleine BARBULEE (pièce pour
enfants)
LA NUIT DES ROIS - William SHAKESPEARE
THEATRE POUR RIRE - OBALDIA - DUBILLARD - VIAN
LES JUSTES - Albert CAMUS
PLOUFT , le petit fantôme - Maria MACHADO (pièce pour enfants)
LE HEROS ET LE SOLDAT - Bernard SHAW
LADY GODIVA - Jean CANOLLE
LA LECON – IONESCO
TROIS FOIS LE JOUR - Charles SPAAK (à l’occasion du bicentenaire
de la Révolution)
GENOUSIE - René DE OBALDIA
LE GRAND VIZIR - René DE OBALDIA
L’ALOUETTE - Jean ANOUILH
EXERCICE DE STYLE - Raymond QUENEAU
L’ATELIER - Jean Claude GRUMBERG
LA SORCIERE DU PLACARD AUX BALAIS d’après GRIPARI (Pièce
pour enfants)
LE FAUTEUIL A BASCULE - Jean Claude BRISVILLE
RACINES - Arnold WESKER
LA GRANDE OREILLE - P.A. BREAL
LE MALADE IMAGINAIRE - Jean Batiste POQUELIN dit MOLIERE
CHANGEMENT A VUE - Loleh BELLON
DOIT-ON LE DIRE ? - Eugène LABICHE
LA DESCENDE D’ORPHEE - Tennessee WILLIAMS
ZOO STORY - E . ALBEE
L’OURS - Anton TCHEKOV
LE MALENTENDU - Jules ROMAINS
AMAL ou LA LETTRE DU ROI - Rabindranath TAGORE (soirée
indienne)
VOLPONE - Jules ROMAINS
DOM PERLIMPLIN - Garcia LORCA
DREYFUS - Jean Claude GRUMBERG
CE QUE VOIT FOX - James SAUNDERS
MONTSERRAT - Emmanuel ROBLES
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ART - Yasmina Reza
DELICES (2005)
Y’EN A RAS LA COUPE - Création originale
LE JARDIN DES APPARENCES- Véronique OLMI (2005)
J’Y SUIS J’Y RESTE - Raymond VINCY
LE SOUPER – JeanClaude BRISVILLE (2006)
CUISINE ET DEPENDANCES – A.JAOUI-J.P.BACRI
HOTEL DES DEUX MONDE – Eric Emmanuel SCHMITT (2006)
LA MEGERE APPRIVOISEE – Jacques AUDIBERTI
MUSEE HAUT MUSEE BAS – Jean Michel RIBES (2007)
QUI A PEUR DE VIRGINIA WOOLF ? Edward ALBEE
J-2 – Thierry CHANTEL (2007)
LE PREMIER - Israël HOROVITZ
UN SIMPLE FRONCEMENT DE SOURCIL -Ged MARLON (2008)
CELIMENE ET LE CARDINAL - Jacques RAMPAL
LA TETE DES AUTRES - Marcel AYME
LES FEMMES DE LA PETITE COURONNE – Laurent BENEGUI
(2008)
3 PIECE EN 1 ACTE - SACHA GUITRY
TARTUFFE – Molière (2009)
QUELQUE PART DANS CETTE VIE - Israël HOROVITZ (2004)
LAPIN LAPIN – Coline Serreau (2009)
LES BRUMES DE MANCHESTER – Frédéric DARD (2004)
LA CONQUÊTE DU PÔLE SUD – Mandfred Karge (2010)
L'ÎLE DES ESCLAVES – Marivaux (2011)
Les TréTeaux ThéâTre d'Écully
Maison de la rencontre,
21 avenue E. Aynard, 69130 ÉCULLY
Siège: 11C, chemin Jean-Marie VIANNEY, 69130 ÉCULLY
:(33) 4 78 33 38 06
@ :[email protected]
http://treteauxecully.free.fr
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