Mot du RT :
Le prof a dit que POUR SES COURS UNIQUEMENT le partiel sera soit sous forme de QCM, soit trois
questions courtes (en fonction du temps qu’il aura pour préparer). Il a rappelé que le message de
ce parcours est de comprendre qu’il y a une variabilité inter-individuelle dans la réponse aux
médicaments, et quels sont les moyens que l’on peut mettre en œuvre pour mettre en évidence et
exprimer cette variabilité.
La première partie du cours est exactement celui qu’il nous a fait le premier jour de l’année (sur
la douleur), donc mes notes proviennent surtout de ce cours là, car il est passé très vite
I. Pharmacologie de la douleur
A. Définition de la douleur
Définition de la douleur: expérience sensorielle et émotionnelle subjective désagréable
transmise par le système nerveux
Cette définition implique que pour un stimulus donné on peut avoir différentes réactions
entre les patients et pour un même patient selon son état
B. Physiologie de la douleur
Stimuli algogène : mécanique, thermique, chimique ; Les nocicepteurs sont connectés à
des fibres nerveuses amyéliniques caractérisées par une vitesse de conduction lente
Substance algogènes : libérées par les lésions tissulaires (histamine, sérotonine) et vont
stimuler les nocicepteurs
3 types de douleurs :
- Nociceptive : générée par des nocicepteurs
- Neurogènes : par le nerf lui-même (section du nerf lors d’une amputation)
- Psychogène : existe en l’absence de lésion, peut être réellement ressentie par le
patient
Nocirécepteurs : terminaison des fibres nerveuses sensitives
Différentes sensibilités :Thermique, mécanique, chimique, électriques, distension et
traction dans les viscères
Peau, viscères, muscles ; Très bonne distribution dans la peau, plus précis ; peu précis
dans les viscère, douleur plus diffuse
3 fibres nociceptives :
A bêta : myélinisée, conduction rapide (proprioception)
A delta : myélinisés, (thermique)
C : plus lentes, amyélinisées
Transmission de la douleur : succession de trois fibres nociceptives, la première entre le
lieu de la sensation et le ganglion rachidien (qui contient les corps cellulaires), puis une