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L’administrateur « digital », nouvelle coqueluche des
conseils
"Il y a plusieurs années, les conseils recherchaient des
administrateurs avec une expérience forte de l’industrie,
parce qu’ils savaient ce qu’investir représentait. Ce fut
après au tour des administrateurs indépendants d’être très
demandés, Et puis, ensuite, celui des femmes, au nom de la
diversité, voire de la parité, et celui des étrangers. [...]
Aujourd’hui, la nouvelle coqueluche des conseils est
l’administrateur qui a une expertise digitale. Son rôle est de
s’assurer que l’organisation de l’entreprise optimise le
numérique et l’exploite comme un véritable atout
concurrentiel. [...]
Selon une étude réalisée par le cabinet Russell Reynolds
auprès des 300 plus grandes entreprises mondiales, le
nombre d’administrateurs « digitaux » s’élève à 116. Signe
que cette tendance progresse, entre 2012 et 2014, il y a eu
deux fois plus de nouvelles nominations (soit exactement
39) qu’entre 2010 et 2012. La situation diffère selon la zone
géographique."
L'article des Echos
L'infographie de l'étude : "2014 Digital board director
study"
Boisseau Laurence - Les Echos - 10 décembre 2014, page 27
Le parcours semé d’embûches des roadshows
"Alors que la période d’annonces des résultats du troisième
trimestre s’est ouverte, mi-octobre, pour les entreprises
françaises cotées, leurs dirigeants préparent déjà la tournée
des investisseurs qui accompagne ces publications. Cet
exercice exigeant doit en effet se préparer en amont pour
éviter le moindre faux pas."
Havez Pierre - Option Finance - N° 1296 - 8 décembre 2014,
pages 16 à 20
Les vrais pilotes de la croissance - Les classements 2014
des patrons les plus performants
Challenges et Oddo & Cie évaluent la performance des
chefs d'entreprise en termes de croissance, rentabilité et
résultats boursiers. Cette année les gagnants sont Jean-Paul
Herteman (Safran) pour le palmarès du CAC 40 et Xavier
Niel (Iliad), pour le palmarès hors CAC 40.
Challenges - N° 413 - 11 décembre 2014, pages 49 à 59
La SEC soumettra à commentaires une nouvelle
possibilité d'application volontaire des IFRS
SEC will seek comments on new possibility for voluntary
IFRS adoption / Would companies use voluntary,
additive IFRS option?
Lors de la conférence de l'AICPA "Conference on Current
SEC and PCAOB Developments" qui s'est tenue à
Washington du 8 au 10 décembre, James Schnurr,
responsable des affaires comptables au sein de la SEC, a
présenté sa position au sujet de l'adoption des IFRS aux
Etats-Unis : il compte soumettre à discussions l'idée d'offrir
aux sociétés cotées américaines la possibilité de fournir à la
SEC, sur une base volontaire, des informations
supplémentaires en IFRS. Les sociétés cotées américaines
continueraient de publier leurs états financiers en US GAAP
mais pourraient publier de surcroît une quantité variable
(tout ou partie) d'informations en IFRS. Cette propositions
suscite des réactions et questions diverses : la questio n des
coûts, la question de savoir combien de sociétés cotées
utiliseront cette option si elle n'est pas obligatoire.
Le FASB considère que cela pourrait être un bon moyen de
favoriser la convergence.
Dans son allocution lors de cette conférence, Ian
Mackintosh, vice-président de l'IASB, a évoqué le statut des
IFRS dans le monde, leurs avantages et les avancées de la
convergence avec les US GAAP.
Le 1er article de Journal of Accountancy
Le 2ème article de Journal of Accountancy
Le discours de James Schnurr
Le statement du FASB
Accès au discours de Ian Mackintosh et aux slides
Tysiac Ken - Journal of Accountancy - 8 et 9 décembre 2014
(en anglais)
Lettre DOCTR'in de Mazars - Novembre 2014
Les études particulières (pages 5 à 9) :
IFRS 11 : L'IFRS IC publie (enfin) des décisions de
rejet
Normes et interprétations applicables au 31
décembre 2014
DOCTR'in n° 104
Mazars - DOCTR'in - N° 104 - Novembre 2014
La norme IFRS 11 va faire sentir son plein effet dans les
comptes 2014
"Les comptes annuels 2014 risquent de réserver quelques
surprises. C'est en effet à partir de cette année que devient
obligatoire l'application de la norme IFRS 11 sur les
partenariats. Celle-ci prévoit que les sociétés détenues
conjointement ne pourront plus être comptabilisées par
intégration proportionnelle mais devront l'être par mise en
équivalence.
Les groupes européens avaient la possibilité d'anticiper
cette réforme dès les comptes 2013. Mais la majorité a
préféré attendre. Selon Mazars, onze groupes du CAC 40
(Alcatel-Lucent, Arcelor Mittal, Gemalto, Orange, Publicis,
Renault, Sanofi, Total, Unibail Rodamco, Veolia, Vivendi)
ont anticipé le changement dès les comptes 2013,
notamment, pour ceux cotés aux Etats-Unis, afin d'éviter de
devoir produire un tableau de réconciliation entre les
normes IFRS et US Gaap."
L'article de L'Agefi
Pinaud Olivier - L'Agefi - 9 décembre 2014