•arbre, rivière -> réalité
•≠ ombre / embrumée
-à l’échelle de la stophe -> chiasme syntaxique (sujet - verbe - verbe - sujet)
-chiasme sonore v.3 «!en l’air parmi, les ramures réelles!»
-unité sonore dans la strophe, allitération en r, l (liquides), m et assonance en
è -> uniformise, même atmosphère, unité sonore
-«!L’ombre des arbres meurt!»
-«!En l’air, les tourterelles se plaignent!» - personnification des tourterelles
«!se plaignent!»
-> douleur, pas d’échappatoire
II. Un paysage miroir de la douleur du poète
1) Une comparaison explicite
-«!mira!» -> miroir
-«!te!» «!toi même!» -> insistance
-chiasme v. 1-2
-«!se plaignent!» / «!tristes pleuraient!»
-«!ramures réelles!», «!hautes feuillées!»
-«!meurt!», «!noyé!»
-«!voyageur!», «!paysage!» mots qui se ressemblent
-Le paysage exprime ce que ressent le voyageur
2) L’expression lyrique de la douleur
-la deuxième strophe est une phrase exclamative
-ô -> apostrophe -> lyrique
-v.7 inversion «!triste pleuraient!»
-La rivière a englouti les espérances du poète
-«!hautes feuillées!»!«!espérances noyées!» -> haut / bas
3) Un poète prisonnier de la contemplation de sa douleur
-rimes à l’échelle du poème ‘é’, ‘è’ -> chiasme dans les rimes -> rimes
embrassées
-Les voyageur est enfermé
-«!blême!» est attribut de «!te!»
-«!triste!» attribut de «!espérances!»
-§1 «!meurt!»
-§2 «!espérances!» «!noyées!»
•métonymie (le poète aurait envie de se noyer ?)
•solitude du poète
-«!te!» = lui même, il n’a que lui à qui parler
-tourterelles -> espérances amoureuses noyées
Citation et poème:
-gradation= citation est un point de départ surtout basée sur l’illusion
-dernier mot = noyer
Conclusion:
-Poème symboliste (courant littéraire) et lyrique (registre)