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Je n’oublie pas mes autres collègues doctorants, et particulièrement Alain
Etté ANGORA. Sa connaissance a été pour moi plus qu’une bénédiction. Je
remercie Dieu pour m’avoir permis de rencontrer un homme de ce type. Sincères
remerciements à Monsieur HUNYO Anicet-Victoire, qui a relu cette thèse pour la
correction des fautes de frappe.
J’ai effectué au cours de cette thèse, un stage très édifiant au Secrétariat
Général (siège) de l’ONU, à l’UN-OHRLLS (en français Bureau du Haut
Représentant des Nations Unies pour les pays les moins avancés (PMA), les pays en
développement sans littoral (PDSL) et les petits Etats insulaires en développement
(PIED)), à New York, aux Etats-Unis. J’ai eu avec le personnel de ce bureau des
échanges fructueux et mes missions dans la réalisation de ce stage m’ont permis de
renforcer mes acquis théoriques par des expériences pratiques. Je veux ici rendre
hommage à l’ensemble du personnel de ce service. Mes reconnaissances vont
particulièrement à mon superviseur au cours de ce stage, madame Zahra NURU,
Directrice et Conseillère de classe supérieure du Sous-Secrétaire Général de l’ONU
et Haut Représentant pour les PMA, les PDSL et les PIED. Elle a été d’une
gentillesse exceptionnelle avec moi. Je tiens également à témoigner mes profondes
gratitudes à l’ambassadeur Anwarul K. CHOWDHURY, Sous-Secrétaire Général de
l’ONU et Haut Représentant pour les PMA, les PDSL et les PIED pour m’avoir
admis à ses côtés lors de ses entretiens bilatéraux avec les Chefs d’Etats, de
gouvernements et les ministres des affaires étrangères des pays membres de l’UN-
OHRLLS, au cours de la 61
e
session de l’Assemblée Générale de l’ONU. J’ai
beaucoup appris au cours de ces moments.
Mes remerciements vont également aux honorables personnes qui ont bien
accepté de faire partie du jury de cette thèse, pour leurs diverses appréciations,
remarques, et critiques dont le but est d’apporter des améliorations à cette modeste
contribution qui, loin d’être parfaite, tente de porter un regard analytique sur les
actions menées en faveur des populations pauvres d’Afrique sub-saharienne, en
matière d’aide au développement.
Mes pensées vont également à Bénédicte et Bernard TROUVILLE, qui ont
su par leur disponibilité et leur civilité, me replonger dans une atmosphère familiale
à Limoges. Les week-ends que j’ai souvent passés avec eux ont été pour moi, des
moments de détentes pour se ressourcer ; une condition nécessaire lorsqu’on
entreprend un travail de longue haleine.
Je ne saurai terminer sans remercier tous mes amis les plus proches, de
Limoges. La convivialité et la fraternité au sein de la communauté togolaise
notamment a énormément contribué à mon équilibre psychologique ; condition