Quand une étoile supermassive massive sive épuise son carburant bura nucléaire, aire, ulsant lla majorité de sa m ns elle explose en expulsant matière dans l’espace interstellaire - c’est la su supernova. L’étoile ag agonisantee libère alors autant d’énergie gie qu qu’une galaxie tout eentière et féconde son voisinage en nouvelles velless eespèces chimiques. es C’est un phénomène rare à l’échelle de la vvie humaine : environ vir 2 supernovae par siècle pour toute la a vvoie oie Lactée (300 milliards lia d’étoiles). le L’étoile supermassive etaCarinae : une supernova en instance dans la nébuleuse de la Carène © HST/NASA/ESA En plus des éjecta, la supernova laisse un cadavre d’étoile, résidu ultra compact de l’effondrement central à l’origine de l’explosion. Ce cadavre –un condensé hyperdense de matière– confine une masse supérieure au Soleil dans un diamètre inférieur à 50 km, équivalent à un milliard de tonnes dans le volume d’un dé à coudre ! On les appelle des étoiles à neutrons, ou des trous noirs stellaires quand leur masse excède 2 à 3 fois celle du Soleil. Ces objets exotiques possèdent un champ magnétique titanesque, jusqu’à 100 000 fois plus intense que le plus intense aimant produit par l’homme (environ 1 000 Tesla). Certaines abritent même un champ encore 1 000 fois plus intense (100 GigaTesla) : ce sont les magnétoiles, qui possèdent les champs magnétiques les plus intenses de tout l’Univers. On estime que par diamagnétisme, un tel champ serait mortel à une distance de moins de 1 000 km. Supernova N63A © HST/NASA/ESA Les étoiles à neutrons tournent urnen nent géné généraleme généralement énéraleme ér très vite sur ellesmêmes - plusieurs fois par seconde, conséquence naturelle de conde co l’effondrement - et émettent un fort rayonnement le long de leur axe magnétique, d’autant plus fort que le champ est intense et que l’étoile tourne vite. L’axe magnétique n’étant pas aligné avec l’axe de rotation, le faisceau émis balaie alors l’Univers à la manière d’un phare. S’il éclaire la Terre, on appelle l’étoile un pulsar. Le plus connu d’entre eux est le pulsar du Crabe, résidu de la supernova observée en 1054 par les astronomes chinois. Le pulsar du Crabe, vu en rayons X © ESA/NASA/HST