DOSSIER DE PRESSE - SAISON 2014 / 2015
Compagnie 111
Aurélien Bory
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Dorothée Duplan & Flore Guiraud, assistées d’Eva Dias
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Sommaire
Biographie d’Aurélien Bory
La Compagnie 111 - Aurélien Bory page 3
LES SPECTACLES EN TOURNÉE
« Plexus »
pièce d’Aurélien Bory pour Kaori Ito
création 2012 - tournée jusqu’en mai 2015 pages 4 - 6
« Questcequetudeviens? »
pièce d’Aurélien Bory pour Stéphanie Fuster
création 2008 - tournée jusqu’en avril 2015 pages 7 - 8
« Azimut »
pièce d’Aurélien Bory avec le Groupe acrobatique de Tanger
création 2013 - tournée jusqu’en juin 2015 pages 9 - 11
« Sans objet »
pièce d’Aurélien Bory
création 2009 - tournée jusqu’en juin 2015 pages 12 - 14
« Taoub »
pièce d’Aurélien Bory par le Groupe acrobatique de Tanger
création 2004 - tournée jusqu’en janvier 2015 pages 15 - 17
« Plan B »
pièce d’Aurélien Bory et de Phil Soltanoff
création 2003 - tournée jusqu’en mai 2015 pages 18 - 20
« Les B(r)ouillons »
d’après Georges Perec / par Aurélien Bory
mars 2015 - TNT, Midi-Pyrénées page 21
Biographie
Aurélien Bory
auteur, metteur en scène, directeur artistique de la Compagnie 111
Aurélien Bory, né en 1972, est metteur en scène. Il dirige la compagnie 111, fondée en 2000 et implantée à Toulouse.
Parti du jonglage, Aurélien Bory développe un « théâtre physique » singulier et hybride, à la croisée de nombreuses
disciplines (théâtre, cirque, danse, arts visuels, musique...). Il envisage la scène comme art de l’espace et s’appuie
fortement sur la scénographie. Ses spectacles sont présentés dans le monde entier et cette reconnaissance interna-
tionale débute avec Plan B (2003) et Plus ou moins l’inni (2005), créés en collaboration avec Phil Soltanoff. Aurélien
Bory crée par ailleurs Les sept planches de la ruse (2007) en Chine, Sans objet (2009) à Toulouse, ainsi que Géométrie
de caoutchouc (2011) à Nantes. Également inspiré par la danse, Aurélien Bory met en scène le chorégraphe Pierre
Rigal dans Erection (2003) et Arrêts de jeu (2006). Il conçoit aussi deux portraits de femme, Questcequetudeviens?
(2008) pour la danseuse de amenco Stéphanie Fuster et Plexus (2012) pour la danseuse japonaise Kaori Ito. Pour
Marseille-Provence 2013, il imagine un nouveau projet pour les acrobates marocains, Azimut, dix ans après Taoub,
spectacle fondateur du Groupe acrobatique de Tanger. Lors de la 13
ème
Nuit Blanche parisienne, il propose par ailleurs
une re-création au format inédit, à la fois minimaliste et spectaculaire notamment dans sa durée, dans laquelle le Robot
de Sans objet est utilisé. Les œuvres d’Aurélien Bory sont animées par la question de l’espace. Il ne conçoit son travail
théâtral que « dans le renouvellement de la forme » et « en laissant de la place à l’imaginaire du spectateur ». Aurélien
Bory reçoit le prix Créateur sans frontières en 2008. Depuis 2011, il est artiste associé au Grand T à Nantes.
La Compagnie 111 - Aurélien Bory
Fondée à Toulouse en 2000 par Aurélien Bory et Olivier Alenda, la Compagnie 111 développe une œuvre singulière
et hybride, qui envisage le théâtre en tant qu’art de l’espace et appréhende la scène en tant qu’espace physique et
lieu de tous les possibles. Les œuvres d’Aurélien Bory transcendent les appartenances à une discipline grâce à une
constante réinvention plastique et un point de départ de la scénographie sans cesse indéterminé.
Régulièrement invitée dans des théâtres du monde entier, la Compagnie 111 acquiert dès sa première création IJK en
2000, et au l des tournées suivantes, une solide renommée internationale. En douze ans, elle réalise dix créations : IJK
en 2000, Plan B en 2003, Taoub en 2004 avec le Groupe acrobatique de Tanger, Plus ou moins l’inni en 2005, Les sept
planches de la ruse avec des artistes chinois de Dalian en 2007, Questcequetudeviens? en 2008, Sans Objet en 2009,
Géométrie de caoutchouc en 2011, Plexus en 2012 et Azimut en 2013, à nouveau avec le Groupe acrobatique de Tanger.
Tout en s’attachant à maintenir l’ensemble de ses œuvres au répertoire, la Compagnie 111 initie chaque année un
nouveau projet de création. En incluant à la fois une équipe solide et dèle, mais également des collaborations avec
d’autres artistes à Toulouse (Pierre Rigal ou Stéphanie Fuster), ou à l’international (Phil Soltanoff, le Groupe Acroba-
tique de Tanger ou encore l’école d’art de Dalian en Chine), Aurélien Bory adopte une démarche de création ouverte
à de nouvelles écritures.
Une force créatrice qui ne verrait pas le jour sans l’aide de partenaires réguliers : la Compagnie 111 a bénécié pen-
dant 10 ans du soutien de la Fondation BNP Paribas pour le développement de tous ses projets, aussi bien au niveau
structurel qu’en termes de soutiens ponctuels à des actions de diffusion, notamment à l’international.
La compagnie reçoit également le soutien de la DRAC et de la Région Midi-Pyrénées, de la Ville de Toulouse ainsi
que du Conseil Général de la Haute-Garonne. Autant d’aides qui témoignent de son attachement au territoire et de
sa solide implantation locale.
Depuis douze ans, plusieurs théâtres ont également apporté leur soutien par leur effort de production et en accueillant
la compagnie en résidence de création : le Théâtre de la Digue (IJK), le Théâtre Garonne (Plan B), le Théâtre Natio-
nal de Toulouse (Plus ou moins l’inni, Sans Objet), le Théâtre Vidy-Lausanne (Plus ou moins l’inni, Sans Objet), le
Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine (Questcequetudeviens?), le Grand Théâtre d’Aix (Azimut) et le Grand T
à Nantes où Aurélien Bory est artiste associé depuis janvier 2011. Cette collaboration qui durera trois ans porte sur
l’accompagnement des créations, des accueils en résidences, des actions en direction des publics et la présentation
du répertoire de la Compagnie 111.
La Compagnie 111 - Aurélien Bory est conventionnée par le Ministère de la Culture / Direction Régionale Midi-Pyrenées, Région Midi-
Pyrenées, ville de Toulouse. Elle reçoit ponctuellement l’aide à la création du Conseil Général de la Haute-Garonne.
La Compagnie 111 - Aurélien Bory est associée au Grand T - scène conventionnée Loire Atlantique / Nantes.
Aurélien Bory est artiste invité du TNT - Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées.
Aurélien Bory est artiste accompagné par le Théâtre de l’Archipel scène nationale de Perpignan.
Dorothée Duplan & Flore Guiraud, assistées d’Eva Dias / 01 48 06 52 27 / bienvenue@planbey.com / www.planbey.com
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Plexus
pièce d’Aurélien Bory pour Kaori Ito
Conception, scénographie et mise en scène
Aurélien Bory
Chorégraphie et interprétation
Kaori Ito
Composition musicale
Joan Cambon
Création lumière et régie générale
Arno Veyrat
Plateau et manipulation, en alternance
Tristan Baudouin et François Saintemarie
Sonorisation
Stéphane Ley
Créée le 30 novembre 2012 au Théâtre Vidy / Lausanne, Suisse
Durée 1h
Production Compagnie 111 - Aurélien Bory | Coproduction Le Grand T théâtre de Loire-Atlantique/Nantes, Théâtre Vidy-Lausanne/
Suisse, Théâtre de la Ville/Paris, Le Parvis - scène nationale Tarbes - Pyrénées, Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, La Coursive - scène nationale/
La Rochelle, Agora - pôle national des arts du cirque/Boulazac-Aquitaine
La Compagnie 111- Aurélien Bory est conventionnée par le Ministère de la Culture et de la Communication - Direction Régionale des Affaires Culturelles de
Midi-Pyrénées, la Région Midi-Pyrénées, la ville de Toulouse, et reçoit le soutien du Conseil Général de la Haute-Garonne
Aurélien Bory est artiste associé au Grand T théâtre de Loire-Atlantique, Nantes
Aurélien Bory est artiste invité au TNT - Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées
Aurélien Bory est artiste accompagné par le Théâtre de l’Archipel scène nationale de Perpignan
Costumes
Sylvie Marcucci
Recherche et adaptation
Taïcir Fadel
Construction décor
Pierre Gosselin
Machinerie
Marc Bizet
Direction administrative et des productions
Florence Meurisse
Administration des productions
Léonor Manuel, Christelle Lordonné
Chargée de production
Marie Reculon
© Aglaé Bory
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Propos
Avec ce projet, je souhaite poursuivre la série de portraits de femmes, commencée en 2008 avec Stéphanie Fuster dans
Questcequetudeviens?.
Ici encore, j’ai choisi comme modèle une danseuse, la japonaise Kaori Ito. Mon parti est d’aborder la danse comme docu-
ment intime du monde intérieur. Là encore, je choisis de m’appuyer sur le parcours d’une artiste, qui dans le cas de Kaori
Ito rejoint la problématique du déplacement déjà présente avec Stéphanie Fuster.
Aurélien Bory
Note d’intention
Encore une fois, j’ai voulu faire le portrait d’une femme, non pas comme on le ferait en peinture, en photographie ou en
littérature, arts largement supérieurs dans cet exercice, mais en utilisant le corps et l’espace en tant qu’uniques prismes.
Et la danse comme première optique.
Faire un portrait de Kaori Ito à partir des moyens du plateau a été avant tout pour moi un processus. Le dispositif scénique
n’était pas une idée de départ. Je l’ai déni à l’issue d’un long travail de recherche après plusieurs semaines de répéti-
tions. Pour les premiers jours, au milieu d’autres matières, j’avais fait fabriquer une marionnette à ls à l’efgie de Kaori
Ito, un double très réaliste grandeur nature. « Voici ton professeur de danse » lui avais-je déclaré. Kaori a passé beaucoup
d’heures à l’observer et suivre littéralement ses mouvements. Et de ce travail je n’ai gardé que les ls, en les déployant
dans tout l’espace. La marionnette est restée dans le corps de Kaori.
Des ls j’ai composé un espace palpable, vivant, d’où un drame métaphysique a émergé. Avec de forts liens avec le Ja-
pon. Je n’ai bien sûr pas voulu faire « japonais », mais Kaori vient avec son histoire, mesure aujourd’hui son éloignement.
Je ne voulais pas m’en détourner. Certains mythes du Japon, certains motifs récurrents, sont revenus. D’un côté, l’idée du
lien avec les ancêtres et avec les morts. D’un autre un rapport au corps, où la beauté est associée à l’ombre, à l’efface-
ment, à la disparition. Plexus se déploie de l’intérieur, de cet endroit anatomique, de ce réseau nerveux qui est un point de
vulnérabilité, jusqu’à l’extérieur, l’espace, ici réseau de ls, rappelant l’étymologie latine du mot plexus, entrelacement.
La dramaturgie s’étend alors du tout-intérieur d’avant la vie, au tout-extérieur d’après la mort, le corps disparaît, se
confond et où l’être rejoint le mythe. J’ai espéré que la danse de Kaori Ito entravée parfois jusqu’à l’immobilité par un es-
pace impossible à danser, puisse nous donner un accès à ce dialogue entre monde intérieur et monde extérieur.
Après la première à Vidy, une journaliste me rappela qu’Isadora Duncan avait déclaré qu’après les longues séances d’im-
mobilité qu’elle s’inigeait, elle avait localisé le ressort central de tout mouvement à l’endroit du plexus, « The solar plexus
lifted the body up, towards the au-delà ».
Aurélien Bory, novembre 2013.
Biographie
Kaori Ito est née à Tokyo, elle étudie le ballet classique dès l’âge de 5 ans avec Maître Syuntoku Takagi. À 18 ans,
elle est reconnue comme meilleure jeune danseuse et chorégraphe par le critique Ryouiti Enomoto. En 2000, elle part aux
Etats-Unis pour intégrer la section danse de l’Université Purchase de l’Etat de New York, puis en 2003, elle étudie à l’Alvin
Ailey Dance Theater. De 2003 à 2005, elle tient le premier rôle dans la création de Philippe Decoué, Iris et travaille sur
Les 4 saisons d’Angelin Preljocaj. En 2006, elle danse dans Au revoir Parapluie de James Thiérrée et continue sa collabo-
ration avec lui sur Raoul et Tabac Rouge. En 2008, elle assiste Sidi Larbi Cherkaoui pour le lm Le bruit des gens autour
et travaille en tant que soliste dans l’opéra de Guy Cassiers House of the sleeping beauties. La même année, elle crée
sa première production Noctiluque au Théâtre Vidy-Lausanne. Elle se charge également de la chorégraphie du spectacle
Looking for Mister Castang d’Edouard Baer. En 2009, elle présente sa création Solos qu’elle recrée à la biennale de Lyon
en 2012. Island of no memories naît en 2010 lors du concours (Re)connaissance et obtient le premier prix. Ce spectacle
sera sélectionné pour le programme Modul-Dance du Réseau EDN (European Dance Network), qui soutient pour deux
ans la création de ses projets personnels. En 2011, elle danse et collabore avec Denis Podalydès pour Le Cas Jekyll 2 et
continue avec lui comme chorégraphe pour Le Bourgeois Gentilhomme de Molière et L’homme qui se hait d’Emmanuel
Bourdieu, et collabore à nouveau avec lui en 2014 sur Lucrèce Borgia de Victor Hugo pour la Comédie Française. Avec
Plexus, créé en novembre 2012, au Théâtre Vidy, Aurélien Bory lui consacre un portrait, dont elle co-signe la chorégraphie.
Après avoir dansé et collaboré avec Alain Platel sur le spectacle Out of Context, Kaori Ito présente en décembre 2013, au
Muziekcentrum De Bijloke de Gent, en Belgique, Asobi, création produite par Les Ballets C de la B qu’elle chorégraphie,
met en scène et interprète.
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