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Théâtre Vidy-Lausanne
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Vidy-L
02
Dossier
de presse
Géométrie de caoutchouc
pièce d’Aurélien Bory pour un chapiteau
Du 7 au 15 septembre 2013
Chapiteau extérieur
© Aglaé Bory
Géométrie de caoutchouc
pièce d’Aulien Bory pour un
chapiteau
Chapiteau extérieurDu 7 au 15 septembre 2013 02
Conception, scénographie
et mise en scène :
Aurélien Bory
Création lumière et régie générale:
Arno Veyrat
Musique :
Alain Kremski
Mixages additionnels :
Joël Abriac
Collaborations artistiques :
Pierre Rigal, Albena Dimitrova, Olivier
Alenda
Assistante à la mise en scène et
costumes :
Sylvie Marcucci
Sonorisation et régie son :
Stéphane Ley
Régisseurs plateau :
Tristan Baudoin, François Saintemarie
Régisseur lumière :
Séverine Anselmo
Enregistrement studio :
Charles Eddi
Décor :
Pierre Dequivre
Construction décor :
Atelier La Fiancée du
pirate–Toulouse
Production, administration, diffusion:
Florence Meurisse
Christelle Lordonné
Marie Reculon
Avec :
Mathieu Bleton
Raphaëlle Boitel
Olivier Boyer
Pierre Cartonnet
Claire Cordelette-Lourdelle
Sarah Cosset
Cécile Fradet
Nicolas Lourdelle
Durée :
1h
Age conseillé :
tout public
Genre :
arts du mouvement
Production :
Compagnie 111 – Aulien Bory
Coproduction :
Le Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique, Nantes/TNT – Théâtre national de Toulouse Midi-Pyrénées/Parc
de La Villette, Paris/CIRCa Auch Gers Midi-Pyrées/Cirque-théâtre d’Elbeuf – Centre des arts du cirque de
Haute Normandie/Théâtre Firmin Gémier La Piscine – Pôle national des arts du cirque, Antony/Bonlieu – Scène
nationale, Annecy/Le Volcan – Scène nationale, Le Havre/Le Parvis – Scène nationale de Tarbes Pyrénées/
Théâtre de Caen
Résidences :
L’Usine – lieu conventionné Arts de la rue, Tournefeuille/Le Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique, Nantes
Avec la participation de :
Théâtre Garonne – Scène européenne, Toulouse
Avec le soutien de :
Minisre de la Culture et de la Communication – DRAC Midi-Pyrénées/Ministère de la Culture et de la
Communication – DGCA/Région Midi-Pyrénées/Ville de Toulouse/Conseil général de la Haute-Garonne.
La Compagnie 111 – Aurélien Bory bénécie du soutien de la Fondation BNP Paribas pour le développement de
ses projets.
La Compagnie 111 – Aurélien Bory est associée au Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique, Nantes.
Création au Grand T à Nantes le 11 octobre 2011
La pièce «otrie de caoutchouc» bénécie du soutien de la Fondation BNP Paribas pour sa diffusion au
Théâtre Vidy-Lausanne
Samedi 07.09. 18h30
Dimanche 08.09. 17h30
Lundi 09.09. relâche
Mardi 10.09. 20h00
Mercredi 11.09. 20h30
Jeudi 12.09. 20h30
Vendredi 13.09. 19h30
Samedi 14.09. 18h30
Dimanche 15.09. 17h30
Géométrie de caoutchouc
pièce d’Aulien Bory pour un
chapiteau
Chapiteau extérieurDu 7 au 15 septembre 2013 02
Un petit chapiteau niché sous un immense chapiteau, comme un lapin dans un chapeau,
ça donne : «Géométrie de caoutchouc». Au centre de la piste, une gigantesque toile de
chapiteau, habitée, parcourue, manipulée tout au long du spectacle par huit acrobates-
danseurs. Comme souvent chez Bory, l’objet donne l’élan à l’oeuvre. Se matérialise ainsi
un dialogue singulier entre les acrobates et le chapiteau, que l’on plie et déploie comme
une immense marionnette.
Le parti pris architectural signe l’action : la toile et les silhouettes des danseurs
s’entremêlent dans un corps à corps acrobatique, tandis que les ombres projetées et les
jeux de lumières démultiplient les points de vue. Installés autour de la scène, devant cette
toile géante qui respire, se soulève, s’envole et s’effondre, les spectateurs sont emportés
dans ce jeu d’images et de manipulations, sur les chemins innis de l’imagination.
Présentation
© Aglaé Bory
La compagnie 111 L’art de l’espace
La scène est un espace. On peut le délimiter comme le rectangle du plateau et le volume
d’air correspondant. Cet espace est le seul support de l’art où l’on ne peut échapper aux
lois de la mécanique générale. Cette spécicité est importante. Les corps, les objets sont
soumis à la gravité sans échappatoire possible. Ma proposition est de saisir les moyens
du corps et les moyens du plateau, quels qu’ils soient, pour envisager ce problème.
Le corps, l’objet sont pertinents pour parler de gravité. La relation entre l’individu et
l’espace, avec tout ce qui la compose, constitue alors ce qui m’intéresse d’aborder sur
un plateau.
Notre théâtre appréhende la scène en tant qu’espace physique et y inscrit des actions
physiques. L’acteur est étymologiquement celui qui fait. Une pièce est une série
d’actions. Au cirque, l’extraordinaire est annoncé. Au théâtre non. Il s’invite par surprise.
Dans l’idée du cirque, on vient voir l’être extraordinaire, alors qu’au théâtre, c’est notre
semblable que l’on regarde. La scène est un monde. L’acteur se situe dans cet espace,
et l’interrogation porte sur la place de l’homme dans le monde. Je pars de la relation
entre ces deux éléments : l’espace scénique comme monde, et les acteurs comme
gures de l’homme ordinaire.
La question de l’espace pose celle de la limite. La limite est l’inconnue même. Elle aiguise
notre sens de la découverte. Elle incarne l’endroit de la création. Notre théâtre est traversé
par plusieurs disciplines, cirque, danse, arts visuels, musique, mais notre intérêt pour le
renouvellement de la forme, pour l’indéterminé, est plus grand que l’appartenance à une
discipline quelle qu’elle soit. Je préfère que la forme s’échafaude à la lisière des choses.
Je travaille à partir de contextes différents. Toutes mes collaborations s’envisagent de
cette manière : une hybridation de pratiques ayant un champ de convergences. Chaque
création s’inscrit ainsi dans la rencontre avec un autre contexte : celui d’un artiste,
d’un lieu, d’une pratique, d’un milieu. Dans chaque cas, la démarche reste la même :
c’est dans le déplacement des choses qu’on peut les amener aux bords, à l’endroit du
questionnement.»
Aurélien Bory
Géométrie de caoutchouc
pièce d’Aulien Bory pour un
chapiteau
Chapiteau extérieurDu 7 au 15 septembre 2013 02
Aurélien Bory, né en 1972, est metteur en scène. Il fonde la compagnie 111 en 2000
à Toulouse. Il y développe un « théâtre physique », singulier et hybride, à la croisée de
nombreuses disciplines (théâtre, cirque, danse, arts visuels, musique...). Ses spectacles
sont présentés dans le monde entier et cette reconnaissance internationale débute avec
«Plan (2003) et «Plus ou moins l’inni» (2005), marqués par la collaboration avec le
metteur en scène Phil Soltanoff. Ses plus récentes pièces sont «Plexus» (2012) créée au
Théâtre Vidy à Lausanne, «Géométrie de caoutchouc» (2011) créée au Grand T à Nantes,
et «Sans objet» (2009) créée au Théâtre national de Toulouse Midi-Pyrénées. En 2007, il
créé en Chine «Les sept planches de la ruse» avec des artistes de l’Opéra de Dalian.
Intéressé également par la danse et le croisement des écritures, il met en scène le
chorégraphe Pierre Rigal dans «Erection» (2003) et «Arrêts de jeu» (2006). Il crée ensuite
des portraits de femme, «Questcequetudeviens?» (2008) pour la danseuse de amenco
Stéphanie Fuster puis «Plexus» (2012) pour la danseuse japonaise Kaori Ito. Pour Marseille-
Provence 2013 – Capitale européenne de la culture, il imagine un nouveau projet, «Azimut»,
autour de l’acrobatie marocaine, neuf ans après avoir créé «Taoub» (2004), spectacle
fondateur du Groupe acrobatique de Tanger.
Son intérêt pour les sciences inuence son esthétique. Les œuvres d’Aurélien Bory sont
animées par la question de l’espace et s’appuient fortement sur la scénographie. Il ne
conçoit son travail théâtral que « dans le renouvellement de la forme » et « en laissant de la
place à l’imaginaire du spectateur ».
Aurélien Bory reçoit en 2008 le prix CulturesFrance/Créateur sans frontières pour ses
créations à l’étranger. Depuis 2011, il est artiste associé au Grand T à Nantes.
Aurélien Bory
© Mario del Curto
Mathieu Bleton
Comédien
Après une formation professionnelle des arts du cirque «Et vous trouvez ça drôle» à
Lomme en jonglerie, il obtient son brevet artistique des techniques de cirque en voltige
à la bascule. Il entre ensuite à l’Ecole nationale des arts du cirque de Rosny-sous-Bois
(Enacr) et obtient un diplôme des métiers des arts du cirque (DMA, Bac + 2) en acrobatie
et participe au workshop «Deltebre dansa».
En 2010 il crée puis participe à la tournée partielle de «âm», le spectacle de n d’études
de la 22e promotion du CNAC mis en piste par Stéphane Ricordel.
Finalement depuis 2011 il se produit dans «Géométrie de caoutchouc» de la Compagnie
111. En 2012 il reprend un rôle dans «Plan B» de la compagnie 111, mis en scène par
Phil Soltanoff.
Après un passage par l’Ecole de cirque d’Amiens elle rejoint Le Lido – Centre de
formation des arts du cirque de Toulouse dont elle sort en 2001.
Elle participe successivement aux spectacles «Bribes» (Cie Chût), mise en scène de
Karine Nöel et Paola Rizza, «Le luthier de Venise» (opéra d’après le livret de Claude
Clément), mise en scène de Giorgio Barberio Corsetti et «Petit cirque au marché» (Cie
Baro d’Evel). A la corde lisse et au mât chinois, elle participe au «Cabaret d’été» (Cie les
Nouveaux Nez) à Bourg-St-Andéol et au festival Metamorfosi 2007.
On peut la voir actuellement dans la pièce «Cannibales» (Cie Rictus), mise en scène de
David Bobée, textes de Ronan Chéneau.
Elle est invitée en tant que chorégraphe sur la comédie musicale «L’utopie à crédit»
de Daniel Lemahieu et mis en scène par Nicolas Derieux (Cie La Souferie) création
2008/2009.
Claire Cordelette-Lourdelle
Comédienne
© DR
Géométrie de caoutchouc
pièce d’Aulien Bory pour un
chapiteau
Chapiteau extérieurDu 7 au 15 septembre 2013 02
Raphaëlle commence le théâtre à l’âge de 6 ans et entre à l’Ecole nationale du cirque
Annie Fratellini en 1992.
Elle débute sa carrière professionnelle à 13 ans sous la direction de James Thiérrée dans
«La symphonie du hanneton» en tournée française et internationale de 1998 à 2006
puis dans «La veillée des abysses» de 2003 à 2010. En parallèle, de 2001 à 2011, on
lui cone des rôles principaux dans plusieurs pièces de théâtre ou spectacles vivants
tels que «La théorie des cordes», mise en scène de Jean-Pierre Chrétien Goni ; «Break
Your Leg» de Marc Lainé ; «Back to the Future» de Jean-François Zygel ; «La nuit»,
«Un rêve féroce» de Marc Lainé ; «Corps étrangers» de Lisa Guédy ; «Anywhere out of
the World» de Luc Meyer ; «Les 21 danses hongroises» de Brahms, mise en scène de
Coline Serreau ; «Le carnaval des animaux» de Camille Saint-Saëns, mise en scène de
Jean-Paul Scarpita. Elle travaille plus récemment sous la direction d’Aurélien Bory dans
«Géométrie de caoutchouc».
Elle a également travaillé en tant que comédienne dans plusieurs courts-métrages, clips,
lms («Nicolas Le Floch» ; «Le chasseur» ; «Rien voilà l’ordrde Jacques Baratier, «La
belle verte» de Coline Serreau) et dans différents cabarets à New York, Miami et Londres.
Elle est la chorégraphe, aux côtés du réalisateur et metteur en scène Tony Gatlif, d’un
spectacle musical créé en 2013 et développe aujourd’hui sa propre compagnie.
Raphaëlle Boitel
Comédienne
© DR
Sarah Cosset a vécu une enfance tenintée de lectures et de jeux dans la campagne
berrichone, où elle a longtemps hésité entre écriture et peinture. Puis un spectacle
vient bouleverser la spectatrice. Un spectacle de cirque. Elle s’initie alors au Centre
de formation professionnelle des arts du cirque Arc en cirque à Chambéry. Elle se
perfectionne par la suite à l’Ecole nationale des arts du cirque de Rosny-sous-Bois, puis
nalement à l’Ecole nationale supérieure des arts du cirque de Châlons-en-Champagne.
Issue de la 22e promotion, elle pratique le mât chinois.
Sarah Cosset
Comédienne
Olivier Boyer débute sa formation d'artiste de cirque à l’Ecole de cirque d'Annie Fratellini
à Paris de 1995 à 97. Il se dirige ensuite vers l’Ecole nationale des arts du cirque de
Rosny-sous-Bois (97/99) et poursuit son apprentissage au CNAC (le Centre national des
arts du cirque) de Châlons-en-Champagne jusqu'en 2001.
Pendant sa formation, il participe déjà à de nombreux projets artistiques : avec Gilles
Baron et Pierre Droulers notamment, et même à une expérience humanitaire avec
Clowns sans frontières.
De 2002 à 2004, il prend part à divers spectacles de cirque contemporain comme
«Variétés» avec le Cirque Plume de Bernard Kudlak ou avec la Compagnie La Clique , une
création au TNT, théâtre national de Toulouse... Il apparaît aussi dans des interventions
acrobatiques pour l'opéra Aïda, et crée «Voyage» de Sébastien Lalanne en août 2004
au Japon.
C'est également en 2004 que son parcours croise celui de la Compagnie 111, avec une
reprise de rôle dans «Plan B».
En 2010, il reprend également le rôle de Pierre Cartonnet pour le reste de la tournée
internationale de «Sans objet».
Olivier Boyer
Comédien
© DR
© DR
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