Revue de Presse du Jeudi 3 septembre 2015

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Tunisie : les entrées touristiques en baisse de 38,1%, jusqu'au 20
Août
Les entrées touristiques ont baissé de 38,1%, du 1er Janvier au 20 Août (entre 2010 et 2015), résultant
d’une chute vertigineuse des entrées des touristes européens de 59%, à 1 023 533 visiteurs.
Selon les derniers chiffres publiés par le ministère du Tourisme et de l’Artisanat, la régression des
européens a été de 29,2%, par rapport à l’année écoulée.
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http://www.investir-en-tunisie.net/index.php?option=com_content&view=article&id=33525:tunisie-la-reconversion-auservice-de-lemploi&catid=39:eco-finance&Itemid=128
Tunisie : la reconversion au service de l’emploi
Youssef Fennira a annoncé l’inauguration officielle du premier Centre d’orientation et de reconversion
professionnelle (CORP) en Tunisie, dont il est le président.
Ce projet a été lancé en mars dernier par la coopération allemande (GIZ) et la Chambre tuniso-allemande
de l’industrie et du commerce (AHK) a pour objectif de limiter “le gap” entre l’offre et la demande sur le
marché de l’emploi, et ce par la reconversion.
Fennira a expliqué que le CORP permet aux jeunes demandeurs d’emploi de se reconvertir vers les
secteurs d’avenir avec l’aide de consultants et de professionnels afin d’augmenter leurs opportunités de
trouver un emploi.
“Le CORP, avec l’aide du bureau d’emploi, a permis la reconversion professionnelle de 15 enseignants
du primaire à Sousse,” a confié M. Fennira en ajoutant que ces derniers seront affectés à leurs postes
dans écoles privées pour la rentrée scolaire 2015-2016.
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http://www.investir-en-tunisie.net/index.php?option=com_content&view=article&id=33521:2015-09-02-11-4739&catid=39:eco-finance&Itemid=128
Tunisie-Mohamed Frikha : Syphax compte reprendre ses activités
fin octobre prochain
Mohamed Frikha, fondateur de la compagnie aérienne privée, Syphax Airlines, a annoncé qu’il est en
train d'élaborer avec le cabinet KPMG un plan de sauvetage de la compagnie, lui permettant de reprendre
ses vols à compter du 17 octobre prochain.
Lors de son passage mercredi 2 septembre 2015 sur Express FM, l’homme d’affaires a ajouté que Syphax
honorera ses engagements selon un échéancier qui sera discuté lors d’une réunion qui se tiendra
prochainement au siège de l’UTICA à Sfax.
Revenant sur la gestion de la compagnie, le fondateur de Syphax a précisé qu’il ne s’agit pas d’une
mauvaise gestion ayant conduit à cet état. « Il s’agit d’une série de circonstances telles que les attaques
terroristes et l’airbus A330 qui à peine en activité était tombé en panne », a-t-il dit.
Il a, en outre, assuré que la décision du Conseil du Marché Financier (CMF), lui imposant une OPR sur le
flottant, est non fondée et qu'il compte ne pas s'y conformer.
D.M
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http://www.investir-en-tunisie.net/index.php?option=com_content&view=article&id=33519:tunisie-bourse--officeplastsouscrite-3074-fois&catid=39:eco-finance&Itemid=128
Tunisie-Bourse : OfficePlast souscrite 30,74 fois
L’ouverture des plis de l’offre sur les actions de la société OfficePlast opérée le mardi 1er septembre 2015,
fait ressortir que l’Offre à Prix Ferme (OPF) centralisée par la Bourse des Valeurs Mobilière de Tunis et
qui porte sur 681.620 actions a été souscrite 30,74 fois par 2.377 souscripteurs pour une quantité demandée
de 20.953.166 actions.
Par ailleurs, le Placement Global centralisé quant à lui par l’intermédiaire en bourse Maxula Bourse et qui
porte sur 1.560.540 actions a été totalement souscrit par 10 Investisseurs institutionnels.
Les résultats définitifs de la présente offre seront annoncés par la Bourse de Tunis, le vendredi 04
septembre 2015.
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http://www.businessnews.com.tn/Comment-la-Tunisie-peut-elle-gagner-500-millions-de-dinars-et-plus-d%E2%80%99uneamnistie-de-change-,520,58615,3
Comment la Tunisie peut-elle gagner 500 millions de dinars et plus
d’une amnistie de change ?
Par Dr Moez JOUDI*
En l’absence de modèles adaptés, les économistes recourent à des études d’impact pour évaluer l’effet
attendu d’une mesure ou d’un programme. Ils se basent le plus souvent sur des expériences antérieures
menées par le pays ou par d’autres pays similaires. C’est notamment le cas de l’évaluation de l’impact
d’une amnistie de change sur les réserves en devises.
Evidemment le rendement d’une telle mesure dépend de facteurs objectifs (taux de prélèvement sur les
capitaux rapatriés, possibilité de maintenir les sommes rapatriées dans des comptes en devises, possibilité
d’utiliser librement les montants rapatriés, garantie du secret des informations) et d’éléments subjectifs
(climat de confiance dans le pays).
Expériences menées dans ce domaine
Plusieurs pays ont procédé à des opérations de ce type : Italie, France, Maroc notamment. La dernière en
date est celle menée par le Maroc en 2014. Cette expérience récente peut valablement servir de référence
pour l’évaluation du rendement de l’amnistie de change retenue par le projet de réconciliation économique
et financière initié par le président de la République.
Non seulement la similitude avec ce pays est importante quant aux structures économiques et aux
habitudes et comportements des opérateurs, mais encore plus les conditions telles qu’annoncées par
l’amnistie proposée en Tunisie dans la loi sur la réconciliation économique et financière, se rapprochent
de celles du Maroc notamment sur deux points :
-
Confidentialité des déclarations et du rapatriement des avoirs.
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-
Utilisation du produit de ces mesures pour financer des programmes en faveur de projets sociaux:
au Maroc les produits ont alimenté le fonds dit de cohésion sociale ; en Tunisie le projet propose
de les consacrer au développement des régions défavorisées.
Le rendement attendu de l’opération
De l’avis de plusieurs observateurs, l’opération d’amnistie de change initiée par le Maroc en 2014 a
connu un franc succès : 19000 personnes ont fait des déclarations dans le cadre de ce dispositif ce qui a
rapporté 2.5 milliards d’Euros, soit quatre fois l’effet attendu, dont 1 milliard d’Euros a été décaissé.
Le montant représente environ 4% du PIB marocain, 19% des exportations et 9% des importations.
Dans ce domaine la corrélation du rendement de cette mesure est plus forte avec le commerce extérieur,
une grande partie des capitaux à l’étranger étant davantage liée aux opérations d’exportation (non
rapatriement des produits d’exportations) ou d’importation (surfacturation des importations).
Sur la base de ces éléments comparatifs, une opération similaire menée dans les mêmes conditions
pourrait ramener 594 millions de dinars si l’on se réfère au montant des exportations réalisées en Tunisie
durant l’année 2014, et 405 millions de dinars si l’on se base sur le niveau des importations. Au vue de
ces données, le rendement de 500 Millions de dinars est à la portée.
Evidemment, l’élément fondamental restera la confiance que les détenteurs de capitaux à l’étranger feront
aux garanties données par la loi et la simplicité des procédures qui seraient poursuivies dans cette
opération.
*Président de l’Association Tunisienne de Gouvernance (ATG)
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http://www.businessnews.com.tn/Projet-de-r%C3%A9conciliation-%C3%A9conomique---Rached-Ghannouchi--Il-ne-fautpas-surfer-sur-les-craintes-des-gens,520,58620,3
Projet de réconciliation économique - Rached Ghannouchi : Il ne
faut pas surfer sur les craintes des gens
Dans une interview accordée mercredi 2 septembre 2015 à la radio nationale, Rached Ghannouchi, chef
du parti Ennahdha, est revenu sur le projet de réconciliation économique proposé par la présidence de la
République.
Le leader islamiste s’est dit compréhensif des inquiétudes et des craintes que pourraient susciter ce
projet. « Les gens s’inquiètent et ils ont raison », a-t-il dit. Toutefois, poursuit-il, il ne faut pas surfer sur
cette peur et en faire un prétexte pour diviser la société et « la présenter comme si elle était scindée en
deux camps radicalement opposés : Un camp qui protège les corrompus et un autre partisan des bonnes
valeurs ».
Rached Ghannouchi a assuré que la réconciliation économique ne se fera pas aux dépens de la justice
transitionnelle, comme elle ne laissera pas les corrompus impunis. « D’ailleurs nous ne permettrons pas
que cela arrive », a-t-il martelé, ajoutant que cette loi vise à récupérer l’argent placée à l’étranger et
l’exploiter dans des projets qui profitent aux citoyens et au développement.
Le président d’Ennahdha a, par ailleurs, justifié l’intérêt de la réconciliation économique par l’urgence
d’injecter de l’argent dans l’économie et les caisses de l’Etat, avançant que le processus de justice
transitionnelle est lent et s’étend sur plusieurs années.
E.Z
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http://www.businessnews.com.tn/uib--un-benefice-de-304-millions-de-dinars-au-30-juin-2015,520,58628,3
UIB : Un bénéfice de 30,4 millions de dinars au 30 juin 2015
L’Union Internationale de Banques (UIB) signe sa meilleure performance semestrielle avec un résultat
net de 30,4 millions de dinars au 30 juin 2015 vs 26,7 millions de dinars un an auparavant, en
progression de 13,9%. Cette performance traduit, à la fois, la dynamique des revenus de la banque et la
maitrise des charges d’exploitation bancaire portant le Produit Net Bancaire (PNB) du premier semestre
2015 à 105,3 millions de dinars , en progression de 11,2%. Elle reflète, en outre, les efforts de l’UIB en
matière de maîtrise de la charge nette du risque et des frais de gestion ; le coefficient d’exploitation étant
en amélioration de 1,8 point par rapport au 31 décembre 2014.
Ces résultats ont été obtenus dans un environnement économique difficile avec des signaux mal orientés,
en particulier concernant la demande de crédit de la part des entreprises et l’évolution des encours de
crédit de trésorerie comme d’investissement.
A la faveur de ses résultats, qui sont en ligne voire supérieurs aux objectifs, l’UIB continue d’afficher un
bilan financier solide, répondant notamment aux exigences réglementaires en fonds propres avec un ratio
global de solvabilité de 11,3%.
Commentant les résultats de l’UIB au premier semestre 2015, Kamel Néji, Directeur Général, a déclaré :
« Avec un résultat net de 30,4 millions de dinars au premier semestre 2015, en progression de 13,9%,
l’UIB réalise une bonne performance illustrant la mobilisation des équipes au service des clients et la
capacité de la banque à réaliser avec rigueur son Business Plan 2015-2018. L’UIB, qui est en bonne voie
pour atteindre les objectifs qu’elle s’est fixé, continuera à adapter son modèle aux évolutions
technologiques, réglementaires et environnementales et à poursuivre ses efforts d’efficacité
opérationnelle. »
Kamel Néji conclut : « L’UIB bénéficie, aujourd’hui, d’une situation à même de lui conférer de
meilleures capacités à accompagner ses clients et à tenir ses engagements à l’égard des entreprises dans
leurs opérations de croissance tant sur le plan local qu’international. Dans ce contexte, l’UIB compte sur
ses atouts en lien avec son adossement au Groupe Société Générale qui a, aujourd’hui, une réelle
ambition dans la région du Maghreb et en Afrique ».
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Communiqué
http://www.webmanagercenter.com/actualite/economie/2015/09/02/166082/tunisie-economie-pres-de-51-de-baisse-des-recettestouristiques-en-devises
Tunisie - Economie :
Près de 51% de baisse des recettes touristiques en devises
38,1%, c'est le taux de baisse des entrées touristiques, du 1er janvier au 20 août (entre 2010 et 2015),
résultant d'une chute vertigineuse des entrées des touristes européens de 59%, à environ 1.02 visiteurs. La
régression des Européens a été de 29,2% par rapport à l'année écoulée, selon les derniers chiffres publiés
par le ministère du Tourisme et de l'Artisanat.
Les baisses les plus notables sont constatées au niveau du marché français (-64,1%) à 342.997 touristes.
Par rapport à la même période de l'année dernière, la chute a été de 32,5%. Les Allemands ont, eux aussi,
boudé la Tunisie avec seulement 154.435 touristes, en diminution de 41,6% par rapport à 2010 et de
37,7% comparé à 2014. Les Anglais les plus touchés par l'attentat perpétré dans un hôtel de Sousse (26
juin 2015), n'ont été que 200.300 à venir en Tunisie (-8,5% par rapport à 2010 et -27% par rapport à
l'année dernière).
De même, le nombre des Italiens n'a pas dépassé les 59.09 mille touristes, avec des baisses respectives de
75,2% par rapport à 2010 et 65,7% comparé à 2014.
Pour ce qui est des Maghrébins, le repli a été de 12,9%, par rapport à 2010, à 1,7 million de touristes,
avec toutefois une nette progression des entrées des Algériens (+23,6%) à 854.900 personnes.
Selon la Banque centrale de Tunisie, les principaux indicateurs de l'activité touristique ont accusé un repli
notable, au mois de juillet 2015, ayant touché en particulier les nuitées touristiques globales
(respectivement de -64,9% et -76,6% par rapport au même mois de 2010 et 2013), alors que les recettes
touristiques en devises ont fortement régressé de 50,7% et 59,6%. Parallèlement, le secteur du transport
aérien a enregistré, au mois de juin 2015, une baisse de passagers (-32,1% en glissement annuel contre 0,7% au même mois de l'an passé)..
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http://www.webmanagercenter.com/actualite/finance/2015/09/02/166083/tunisie-finances-baisse-de-5-des-benefices-nets-dattijari-leasing-1er-semestre
Tunisie – Finances :
Baisse de 5% des bénéfices nets d’Attijari Leasing (1er semestre)
Au terme du premier semestre de 2015, la compagnie Attijari Leasing a dégagé un bénéfice net de
l'ordre de 2,429 millions de dinars contre 2,565 millions de dinars à fin juin 2014, enregistrant ainsi une
baisse de 5,3%, d'après Mena Capital Partners (MCP).
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http://www.webmanagercenter.com/actualite/economie/2015/09/02/166071/tunisie-loi-sur-la-reconciliation-economique-lapresidence-de-la-republique-persiste-et-signe
Tunisie - Loi sur la réconciliation économique :
La présidence de la République persiste et signe
Le projet de loi sur la réconciliation économique et financière ne va pas être retiré de l'Assemblée des
représentants du peuple (ARP). C'est en tout cas ce qu'a affirmé, mardi 1er septembre, le porte-parole de
la présidence de la République, Moez Sinaoui.
Contacté par l'Agence TAP, Sinaoui a fait état d'une totale incompréhension du projet de loi sur la
réconciliation économique et financière qui, selon lui, «représente l'un des fondements de la justice
transitionnelle».
Objet de surenchères politiciennes, ce projet de loi ne va toucher qu'une infime partie de la mission de
l'Instance Vérité et dignité (IVD), a-t-il tenu à préciser, ajoutant que ce projet ne se mêlera pas des
questions des droits de l'Homme, de la torture et des affaires politiques qui relèvent des attributions de
l'Instance. «De surcroît, l'IVD sera représentée au sein du Comité de réconciliation», a-t-il dit.
Ce projet de loi se veut un moyen pour restituer les fonds spoliés de l'Etat, aux fins de dynamiser le
circuit économique et de régler les principaux problèmes du pays.
«La loi sur la réconciliation ne doit aucunement sortir du cadre de l'Instance Vérité et Dignité et de la loi
sur la justice transitionnelle», a, pour sa part, déclaré le coordinateur de la coalition civile contre la loi
sur la réconciliation, Omar Safraoui. «La Coordination de la justice transitionnelle avait eu une réunion
avec les conseillers de la présidence de la République pour tenter de les convaincre de cette idée», a-t-il
fait savoir.
La Coordination a, également, proposé d'opérer la réconciliation dans le cadre du système de la justice
transitionnelle, en adjoignant à l'IVD 9 nouveaux membres spécialisés dans les affaires financières.
Selon la rapporteur de la Commission de la législation générale à l'ARP, Sana Mersni, le projet de loi
sur la réconciliation économique et financière n'a pas encore été soumis à la Commission par le bureau
de l'Assemblée.
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http://africanmanager.com/17_tunis-un-redressement-cnss-de-plus-de-95-mdt-pour-la-bt/
Tunis: Un redressement CNSS de plus de 9,5 MDT pour la BT
La Banque de Tunisie a fait l’objet d’un contrôle social couvrant les exercices 2011 à 2013 et qui a
conclu à un complément de cotisations de 6,951 MDT. «La banque conteste ce complément de
cotisations et entend défendre sa position. A la date de signature du présent rapport, l’affaire suit encore
son cours», indique la banque dans un communiqué relatif à l’état de ses résultats financiers du 1er
semestre 2015. Ces résultats signaient par ailleurs un PNB (produit net bancaire) en légère hausse de 5
MDT d’une période (1er semestre 2014) à l’autre (fin juin 2015). Le résultat net passait ainsi de 45,07
MDT à 45,702 MDT.
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http://africanmanager.com/16_tunis-le-tunindex-baisse-de-084/
Tunis : Le Tunindex baisse de 0,84%
«Les investisseurs s’inquiètent de la fragilité de la situation politique du pays», a fait savoir
l’intermédiaire en bourse, Mena Capital Partners (MCP), soulignant que «la tendance baissière persiste,
mercredi, à la bourse de Tunis et le Tunindex perd 0,84%».
A 10h15, le géant de la distribution tunisien SFBT, figure parmi les plus fortes baisses ou le titre a chuté
de 3,88% à 22,010 dinars(D).
De même, EUROCYCLE cède 3,48%, à 28 D, SIPHAT a régressé de 2,98% à 6,510 D et BNA a lâché
de 2,97% à 13,050 D.
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http://africanmanager.com/17_tunis-une-annee-apres-son-introduction-en-bourse-le-rn-de-tawasol-holding-etait-en-baisse/
Tunis: Une année après son introduction en bourse, le RN de
Tawasol Holding était en baisse
Introduit sur le marché alternatif de la bourse de Tunis en juillet 2014, le groupe Tawasol de la famille
Chabchoub (Mohamed, Amine et Ahmed) commençait plutôt mal son premier exercice de société en
bourse. En effet, les revenus de la Holding ont enregistré, à fin juin de l’exercice 2015, une belle baisse
de presque 2 MDT. Ces revenus, qui représentent en fait le résultat net de l’entreprise cotée, passaient
de 4,999 MDT (somme qui n’avait pas changé à la fin de l’exercice 2014 !!) à 3,139 MDT. Après
impôts, le RN de la Holding passaient de 4,925 MDT à la fin juin 2014, à 3,250 MDT à la fin du 1 er
semestre 2015.
Il est bon de savoir que «Tawasol Group Holding (T.G.H.) est une société anonyme au capital de 108
MDT, ayant pour objet, notamment, les prises d’intérêts et de participations dans toutes sociétés et
entreprises tunisiennes ou étrangères, et ce, sous quelque forme que ce soit.
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http://www.leaders.com.tn/article/17863-ahmed-rjiba-voici-pourquoi-il-faut-souscrire-a-l-augmentation-de-capital-de-la-bh
Ahmed Rjiba : Voici pourquoi il faut souscrire à l’augmentation
de capital de la BH
Confiance affichée quant à une clôture assurée. La Banque de l’Habitat doit lever d’ici ce 11 septembre la
somme de 110 MD à la faveur de son augmentation de capital qui sera porté à 170 MD. La souscription
en numéraire, ouverte le 27 juillet dernier, au prix de 11 dinars (5dinars de nominal et 6 dinars prime
d’émission), est réservée, à titre préférentiel, aux anciens actionnaires ainsi qu’aux cessionnaires de droits
de souscription en bourse tant à titre irréductible qu’à titre réductible. A quelques jours de la clôture de la
période de souscription, les indicateurs sont rassurants affirme Ahmed Rejiba, PDG de la BH. «Il n’y a
aucun motif de s’en inquiéter, déclare-t-il à Leaders. La BH a renoué avec les bénéfices, clôturant
l’exercice 2014, avec 50.4 MD de résultats nets. Cette performance est confirmée par les résultats
provisoires au 30 juin 2015, avec un bénéfice de 34 MD». Le cours de l’action s’envole et le papier se fait
prisé.
Plus que qu’une mise en conformité avec les ratios de solvabilité exigés par la Banque centrale, la
recapitalisation de la BH vient soutenir tout un plan de relance, poursuit Rjiba. Déjà, un emprunt
subordonné d’un montant de 90 MD a été bouclé immédiatement avec succès. La refonte du système
d’information est d’ores et déjà amorcée et les lancements d’appels d’offres ses succèdent. La nouvelle
salle de marché, l’une des plus modernes sur la place, sinon la plus moderne, est prête pour être inaugurée
ce mois-ci. Le plan des départs se met en place comme celui du recrutement de pas moins de 300 cadres
au cours des trois prochaines années. L’extension du réseau se poursuit à un rythme de 10 nouvelles
agences par an, parallèlement avec la rénovation des anciennes agences, pour porter le réseau à 150 points
d’ici l’horizon 2018.
Souscrire et conserver
«Cette croissance soutenue sur le marché tunisien, indique Ahmed Rejiba, s’accompagne par un
renforcement de la présence an Afrique Subsaharienne. Actionnaire de référence dans deux banques
spécialisées au Congo et au Burkina Faso, la BH s’emploie à déployer plus largement ses participations et
partager son expérience».
Quand on demande au PDG de la BH pourquoi faut-il souscrire à l’augmentation de capital Rjiba
énumère des arguments majeurs. «C’est une banque historique, avec 40 ans d’existence qui a participé à
lancement de l’habitat moderne et de la promotion immobilière. Les Tunisiens ne s’arrêteront pas de
construire. Le cœur de cible de notre clientèle est formé de ces Tunisiens qui ont bénéficié d’un crédit
logement et réalisé ainsi leur premier rêve grâce à la BH. BH un titre à souscrire et conserver.»
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Ils entretiennent avec la Banque un lien émotionnel fort et, c’est en soi, un vrai capital. La BH est en
croissance, abordant un potentiel très prometteur, la restructuration est en marche, les résultats sont
probants, la valeur de l’action est en hausse, l’équipe se régenèrent et les perspectives s’annoncent très
bonnes. Autant d’atouts majeurs qui font de la
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http://www.leconomistemaghrebin.com/2015/09/01/le-code-des-investissements-un-serpent-de-mer/
Le Code des investissements : un serpent de mer?
Un premier gouvernement l’a fait, le suivant l’a défait et voilà qu’un troisième nous rappelle à son bon
souvenir. Il y a tout juste un peu plus d’une année, le ministre de l’Economie et des Finances de l’époque,
Hakim Ben Hammouda, avait annoncé la décision du gouvernement de revoir le projet du nouveau Code
d’incitation aux investissements et de le retirer de l’Assemblée Nationale Constituante (ANC), et ce,
selon sa déclaration, afin de prendre quelques mesures à même de booster l’investissement, exprimant
son espoir que le prochain gouvernement aura le temps de préparer un nouveau projet régissant
l’investissement. Beaucoup de vains efforts, d’importants moyens financiers et un temps précieux sont
passés à la trappe . On efface tout et on recommence !
Un an plus tard, avec un nouveau gouvernement le code en question change d’appellation : le nouveau
code est dénommé Code des investissements, non plus d’incitation aux investissements. Une première
simplification de lecture et de compréhension! La présentation en a été faite le 25 mai 2015 par le
ministère du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale. La revue de la
version préliminaire est loin de faire sensation dans les milieux d’affaires. Au-delà du contenu, parfois
peu explicite qui procède par affirmation et sans s’attarder sur le contenu des 25 articles, nous limiterons
ce propos aux aspects techniques en opposition avec ce projet.
Commençons par l’exposé des motifs qui militeraient pour un nouveau Code des investissements. Deux
arguments “massue” sont avancés, entre autres: l’ampleur des avantages fiscaux et financiers accordés,
évalués à 1,5 milliard de dinars, représentant 9 % des recettes fiscales et 2 % du PIB alors que 64% des
avantages fiscaux profitent aux unités totalement exportatrices. Cette appréciation, toute théorique,
occulte cependant les effets positifs de ces incitations en cherchant à les minimiser.
Ce qui est occulté c’est le nombre important d’emplois créés, y compris dans les régions avec,
notamment, les unités de faisceaux de câbles à Gafsa, Siliana et Béjà mais également la contribution des
quelque 2.600 entreprises offshore à la génération de 65% de nos recettes d’exportation contre seulement
30% pour l’on-shore.
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Ces entreprises ont complètement modifié la structure de nos échanges extérieurs. Aujourd’hui elles
contribuent à 92% des exportations du secteur des industries mécaniques, électriques et électroniques,
devenu premier produit d’exportation à hauteur de 40% du total des exportations. Le taux de couverture
des opérations avec l’extérieur des unités offshore est de 156%. Sans cet apport, le taux de couverture ne
serait plus que de 35%!
Alors imposer à 15% ces entreprises, quand le Maroc les exonère totalement, c’est jouer à la roulette
russe en mettant en péril le maintien des unités totalement exportatrices sur notre territoire. Ce n’est
certainement pas en diminuant les avantages fiscaux que va s’opérer la relance de l’investissement. Le
deuxième argument avancé tente de mettre en avant l’inefficacité des institutions en place. La solution
proposée, dans le nouveau projet de Code, est d’en créer et d’en ajouter une nouvelle, dénommée
“Instance Tunisienne de l’investissement” et de fusionner l’ensemble des fonds d’appui – une vingtaine
– dont les modes d’intervention diffèrent et sont rattachés à divers départements ministériels, en un seul
“Le Fonds Tunisien de l’investissement”.
Sur ce dernier point le délai nécessaire à la mise en place des différents instruments et mécanismes,
tenant compte des spécificités de chacun des fonds signifie un arrêt de l’appui financier aux
investisseurs, lequel arrêt risque de s’inscrire dans un terme plus ou moins long!
Pour ce qui est du milieu institutionnel, le redéploiement/ recrutement du personnel nécessaire à
l’Instance Tunisienne de l’Investissement se fera à partir, probablement, des institutions déjà actives.
Comme, bien entendu et en toute logique, seuls les meilleurs éléments seront ciblés, ces dernières ne
seront alors plus en mesure d’assurer le même niveau de prestations.
En définitive, tout cela n’est pas fait pour rassurer ni les investisseurs locaux ni internationaux, qui
souhaiteraient, face aux bouleversements que connaîtrait le paysage de l’investissement, appréhender “à
quelle sauce ils risquent d’être mangés” avant tout engagement. Nombre de réflexions et mises en garde
ont été faites sur le choix du timing et l’on est en droit de s’interroger pour savoir si c’est le bon
moment de tout bousculer, comme envisagé dans le projet.
Bouleverser à la fois les textes, le financement et les institutions est-il opportun au jour d’aujourd’hui ?
Certes, il appartient à nos responsables, face à une situation où règne l’incertitude, de faire la part des
choses: des réformes oui assurément car l’environnement administratif des affaires ne peut souffrir plus
longtemps les lourdeurs actuelles, mais une refonte totale certainement pas car elle risque de remettre en
cause tout un système, qui malgré ses défaillances et ses défauts, qui peuvent et doivent être corrigés,
demeure rodé. Dans la situation actuelle que connaît le pays cela devient un avantage.
De plus, l’amélioration du climat d’investissement doit être considéré comme un processus inscrit dans
la continuité et non une action ponctuelle. Les pouvoirs publics se doivent, là également, de veiller au
maintien d’une dynamique de réformes à même de raviver la confiance des opérateurs. Cela ne signifie
pas pour autant que le code actuel est appelé à s’inscrire dans la durée. Sa refonte doit être pensée et
étudiée. Cela ne signifie pas non plus une omission venant des auteurs du projet.
La tenue d’activités de formation des différents agents, en Tunisie et à l’étranger, chargés de diffuser et
/ou d’appliquer les nouvelles dispositions – L’adaptation des textes créant les nouvelles structures avec
ceux des institutions actives: API, APIA, ONA, ONTT, CEPEX et le regroupement des fonds d’appui à
l’investissement (FODEC, FAMEX, FODEP, FOSDAP, FOPRODI, PNRI)
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L’édition de la documentation d’information et de promotion en soutien aux différentes campagnes à
développer en Tunisie et à l’international (conception, traduction et édition)
La mise en place de l’ensemble de la signalétique aux fonctions de l’Instance Nationale de
l’Investissement tant au niveau central que régional. L’attente risque d’être longue.Quel sera alors le
comportement de l’investisseur ?
Sûrement encore attendre et voir venir.
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http://www.leconomistemaghrebin.com/2015/09/03/ezzedine-saidane-il-faut-des-decisions-douloureuses-pour-sauver-uneeconomie-en-declin-generalise/
Ezzedine Saidane : Il faut des décisions douloureuses pour sauver
une économie en déclin généralisé
Selon les données du PIB, qui n’ont été dévoilées que le 28 août par la Banque Centrale de Tunisie
(BCT), l’économie tunisienne a connu un deuxième trimestre de suite de décroissance. Ce qui signifie
que le pays est en récession. Et pour cause, le taux de croissance réel du premier trimestre 2015 est de 0,2% et celui du deuxième trimestre - 0,7%. De ce fait, dans les milieux financiers et politique, l’on
s’interroge pourquoi l’annonce a été faite tardivement.
Invité sur le plateau de Nessma, mercredi, l’expert économique Ezzedine Saidane a fait état de son
grand désarroi face à cette annonce tardive, déplorant le silence de la Banque Centrale de Tunisie devant
l’ampleur de cette décélération.
«À notre grand désarroi, nous avons constaté que notre gouvernement ne remplissait pas ce que nous
estimions être son premier devoir, qui est l’obligation d’informer à temps le public de l’ampleur de la
crise économique et des effets négatifs sur sa vie et celle de ses enfants. »
Selon l’expert économique les retombées de la récession pèseront très lourd sur la vie des Tunisiens :
«Une économie en récession ne crée pas de l’emploi, et la preuve le taux de chômage a augmenté
récemment. Une telle économie ne crée pas de richesses non plus, au contraire elle en perd. Enfin, une
économie en récession ne saurait permettre de continuer à rembourser notre dette extérieure, sachant
notamment qu’en 2016, 2017, 2018 nous avons une accumulation d’échéances importantes.»
En ce qui concerne les jours à venir, l’expert économique a affiché un franc pessimisme quant aux
perspectives de croissance.
«Ce qui nous attend au troisième trimestre n’est pas meilleur, au contraire, compte tenu de la situation
du secteur du tourisme, de celle du secteur du phosphate qui continue à souffrir et puis la situation des
grandes cultures donc du secteur agricole. On sait que la production des grandes cultures va être en-deçà
de 50 à 60%, par rapport à celle de la saison précédente. Par conséquent, il faut s’attendre à des résultats
très médiocres.»
À la question de savoir comment sauver l’économie tunisienne, Ezzedine Saidane préconise quelques
solutions dont certaines vont devoir être douloureuses.
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« Évidemment, dans une situation où l’on parle de récession on ne peut plus parler d’augmentation de
salaires, donc il va falloir vraiment reporter les revendications à plus tard. Une économie en situation
de récession ne peut être sauvée que par les nationaux et le citoyen tunisien doit absolument se remettre
au travail. Il doit comprendre que la situation est grave autant pour lui que pour ses enfants et les
générations futures. »
Et pour conclure, M. Saidane préconise : «Pour s’en sortir, il faudra accepter des décisions douloureuses
du genre : augmentation des taux d’intérêts, à accepter le ralentissement du rythme de la croissance
économique, qu’il n’y aura pas d’emploi, augmentation du taux de chômage et surtout d’accepter des
mesures qui vont devoir être pénibles et qu’il va falloir supporter car nous n’aurons pas le choix pour
sauver notre économie.»
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