Sommaire détaillé - Nouveautés des diffusés Lavoisier

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Sommaire détaillé
Chapitre 1 Cellules et génomes
1
CARACTÈRE UNIVERSEL DES CELLULES SUR LA TERRE
1
Toutes les cellules stockent leur information génétique à l’aide du
même code chimique linéaire (ADN)
Toutes les cellules reproduisent leur information génétique par
polymérisation à partir d’une matrice
Toutes les cellules transcrivent des portions de leur information
génétique en une même forme intermédiaire (ARN)
Toutes les cellules utilisent les protéines comme catalyseurs
Toutes les cellules traduisent l’ARN en protéines de la même manière
Le fragment d’information génétique correspondant à une protéine
est un gène
La vie a besoin d’énergie libre
Toutes les cellules sont des usines biochimiques qui utilisent les mêmes
unités de construction moléculaire
Toutes les cellules sont entourées d’une membrane plasmique
à travers laquelle doivent passer les nutriments et les déchets
Une cellule vivante a besoin de moins de 500 gènes pour exister
Résumé
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11
DIVERSITÉ DES GÉNOMES ET ARBRE PHYLOGÉNÉTIQUE
11
Les cellules peuvent utiliser une grande variété de sources
d’énergie libre
Certaines cellules fixent l’azote et le gaz carbonique pour les autres
La plus grande diversité biochimique est trouvée parmi les cellules
procaryotes
L’arbre de la vie comporte trois branches primitives : les bactéries,
les archéobactéries et les eucaryotes
Certains gènes évoluent rapidement ; d’autres sont très conservés
La plupart des bactéries et des archéobactéries ont 1 000 à
6 000 gènes
Les nouveaux gènes proviennent de gènes préexistants
Les duplications de gènes donnent naissance à des familles de gènes
apparentés dans une même cellule
Les gènes peuvent être transférés d’un organisme à un autre, au
laboratoire et dans la nature
Les échanges horizontaux des informations génétiques dans une
espèce sont introduits par la reproduction sexuée
La fonction d’un gène peut souvent être déduite de sa séquence
Plus de 200 familles de gènes sont communes aux trois
embranchements primaires de l’arbre phylogénétique
Les mutations révèlent les fonctions des gènes
Les biologistes moléculaires se sont focalisés sur l’étude d’E. coli
Résumé
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INFORMATION GÉNÉTIQUE CHEZ LES EUCARYOTES
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cellules eucaryotes étaient peut-être, à l’origine, des prédateurs
cellules eucaryotes modernes ont évolué à partir d’une symbiose
eucaryotes ont des génomes hybrides
génomes des eucaryotes sont gros
génomes des eucaryotes sont riches en séquences d’ADN
régulatrices
Le génome définit le programme de développement multicellulaire
De nombreux eucaryotes vivent sous forme d’une cellule isolée : les
protistes
Une levure sert de modèle eucaryote minimal
Les niveaux d’expression de tous les gènes d’un organisme peuvent
être contrôlés simultanément
Pour comprendre les cellules, nous avons besoin de mathématiques,
d’ordinateurs et d’informations quantitatives
Arabidopsis a été choisi parmi 300 000 espèces comme modèle
végétal
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Le monde des cellules animales est représenté par un ver, une mouche,
une souris et l’homme
Les études sur Drosophila ont fourni la clé du développement des
vertébrés
Le génome des vertébrés est le produit de duplications répétées
La redondance génétique est un problème pour les généticiens mais
offre plus d’opportunités aux organismes qui évoluent
La souris sert de modèle pour les mammifères
Les humains permettent de décrire leurs propres particularités
Nous sommes tous différents dans le détail
Résumé
Problèmes
Références
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Chapitre 2 Chimie et biosynthèse cellulaires
45
COMPOSANTS CHIMIQUES DE LA CELLULE
45
Les cellules sont constituées d’un petit nombre de types d’atomes
Les électrons les plus externes déterminent les interactions entre les
atomes
Les liaisons covalentes se forment par partage d’électrons
Il y a différents types de liaisons covalentes
Un atome se comporte souvent comme s’il avait un rayon fixe
L’eau est la substance la plus abondante dans les cellules
Certaines molécules polaires sont des acides ou des bases
Quatre types d’interactions non covalentes facilitent le rapprochement
des molécules dans la cellule
Une cellule est formée de composés du carbone
Les cellules contiennent quatre familles principales de petites
molécules organiques
Les sucres fournissent une source d’énergie pour la cellule et sont
les sous-unités des polysaccharides
Les acides gras sont des composants de la membrane cellulaire, mais
aussi une source d’énergie
Les acides aminés sont les sous-unités des protéines
Les nucléotides sont les sous-unités de l’ADN et de l’ARN
La chimie de la cellule est dominée par des macromolécules aux
propriétés remarquables
Des liaisons non covalentes définissent à la fois la forme précise
d’une macromolécule et sa liaison aux autres molécules
Résumé
45
CATALYSE ET UTILISATION DE L’ÉNERGIE
PAR LES CELLULES
Le métabolisme cellulaire est organisé par les enzymes
L’ordre biologique est rendu possible par la libération par la cellule
d’énergie thermique
Les organismes photosynthétiques utilisent la lumière solaire pour
synthétiser les molécules organiques
Les cellules obtiennent l’énergie par oxydation des molécules
organiques
Oxydation et réduction mettent en jeu un transfert d’électrons
Les enzymes abaissent les barrières qui bloquent les réactions
chimiques
Comment les enzymes trouvent-elles leurs substrats : la très grande
rapidité des mouvements moléculaires
La variation d’énergie libre d’une réaction détermine si celle-ci est
possible
La concentration en réactifs influence la variation d’énergie libre
et la direction de la réaction
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Sommaire détaillé
Pour les réactions séquentielles, les valeurs de ΔG° s’ajoutent
Des molécules de transport activées sont indispensables à la
biosynthèse
La formation d’un transporteur enrichi en énergie est couplée à une
réaction énergétiquement favorable
L’ATP est la molécule de transport d’énergie la plus utilisée
L’énergie stockée dans l’ATP est souvent utilisée pour unir deux
molécules
NADH et NADPH sont d’importants transporteurs d’électrons
Il existe beaucoup d’autres molécules de transport dans les cellules
La synthèse des polymères biologiques nécessite un apport
d’énergie
Résumé
COMMENT LES CELLULES TIRENT LEUR ÉNERGIE
DES ALIMENTS
La glycolyse est une voie métabolique centrale de production d’ATP
La fermentation permet de produire de l’ATP en l’absence d’oxygène
La glycolyse illustre la manière dont les enzymes couplent l’oxydation
au stockage de l’énergie
Les organismes stockent les molécules alimentaires dans des
réservoirs spéciaux
Entre les repas, la plupart des cellules animales tirent leur énergie
des acides gras
Les sucres et les graisses sont dégradés en acétyl CoA dans les
mitochondries
Le cycle de l’acide citrique génère du NADH par oxydation des
groupements acétyle en CO2
Le transport d’électrons entraîne la synthèse de la majorité de l’ATP
dans la plupart des cellules
Les acides aminés et les nucléotides font partie du cycle de l’azote
Le métabolisme est organisé et régulé
Résumé
Problèmes
Références
Chapitre 3 Protéines
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FORME ET STRUCTURE DES PROTÉINES
125
La forme d’une protéine est spécifiée par sa séquence d’acides aminés
Les protéines se replient en une conformation de plus faible énergie
L’hélice α et le feuillet β sont des types de repliement fréquents
Les domaines protéiques sont des unités modulaires à partir
desquelles des protéines plus grandes sont construites
Parmi les nombreuses chaînes polypeptidiques possibles, peu seront
utiles aux cellules
Les protéines peuvent être classées en un grand nombre de familles
Les recherches de séquences homologues permettent d’identifier
les proches parents
Certains domaines protéiques participent à de nombreuses protéines
différentes
Certaines paires de domaines sont retrouvées associées dans de
nombreuses protéines
Le génome humain code un ensemble complexe de protéines
et en a révélé beaucoup que nous ne connaissions pas encore
Les grosses molécules protéiques contiennent souvent plus d’une
chaîne polypeptidique
Certaines protéines forment de longs filaments hélicoïdaux
De nombreuses molécules protéiques ont des forme allongées et
fibreuses
De nombreuses protéines contiennent une quantité étonnamment
grande de chaînes polypeptidiques non structurées
Les protéines extracellulaires sont souvent stabilisées par des liaisons
transversales covalentes
Les protéines servent souvent de sous-unités d’assemblage pour former
des grosses structures
Beaucoup de structures cellulaires peuvent s’auto-assembler
La formation de structures biologiques complexes est souvent facilitée
par des facteurs d’assemblage
Résumé
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FONCTION DES PROTÉINES
152
Toutes les protéines se lient à d’autres molécules
La conformation de la surface d’une protéine détermine son activité
chimique
La comparaison des séquences entre les membres d’une famille
de protéines fait apparaître des sites de liaison décisifs
Les protéines se lient à d’autres protéines par l’intermédiaire de
plusieurs types d’interfaces
Les sites de liaison aux anticorps sont particulièrement capables
d’adaptation
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La force de liaison est mesurée par la constante d’équilibre
Les enzymes sont de puissants catalyseurs hautement spécifiques
La liaison au substrat est la première étape de la catalyse
enzymatique
Les enzymes accélèrent les réactions en stabilisant sélectivement
les états de transition
Les enzymes peuvent utiliser simultanément la catalyse acide et la
catalyse basique
Le lysozyme illustre le fonctionnement d’une enzyme
De petites molécules fortement liées ajoutent des fonctions
supplémentaires aux protéines
Des tunnels moléculaires canalisent les substrats dans les enzymes
comportant plusieurs sites catalytiques
Les complexes multienzymatiques permettent d’accélérer le
métabolisme cellulaire
La cellule régule l’activité catalytique de ses enzymes
Les enzymes allostériques possèdent deux sites de liaison, voire plus,
qui interagissent
Deux ligands dont les sites de liaison sont couplés modifient
réciproquement la liaison l’un de l’autre
L’assemblage symétrique de protéines forme des transitions
allostériques coopératives
La structure atomique détaillée de la transition allostérique de
l’aspartate transcarbamylase est connue
De nombreuses modifications de forme des protéines sont produites
par phosphorylation
Une cellule eucaryote contient une grande collection de protéinekinases et de protéine-phosphatases
La régulation des protéine-kinases Cdk et Src montre qu’une protéine
peut fonctionner comme une puce électronique
Les protéines qui se lient au GTP et l’hydrolysent sont des régulateurs
cellulaires ubiquitaires
Des protéines de régulation contrôlent l’activité des protéines de
liaison au GTP en déterminant la liaison d’un GDP ou d’un GTP
Les mouvements de grosses protéines peuvent être produits par de
petites protéines
Les protéines motrices entraînent de grands déplacements dans les
cellules
Des transporteurs liés à la membrane utilisent de l’énergie pour
pomper des molécules à travers la membrane
Les protéines forment souvent de gros complexes qui fonctionnent
comme des machines protéiques
Les machines protéiques avec leurs parties interchangeables
utilisent efficacement l’information génétique
L’activation des machines protéiques suppose souvent de les
positionner sur des sites spécifiques
De nombreuses protéines sont contrôlées par des modifications
covalentes sur plusieurs sites
Un réseau complexe d’interactions protéiques est à la base de la
fonction cellulaire
Résumé
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Références
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Chapitre 4 ADN, chromosomes
et génomes
195
STRUCTURE ET FONCTION DE L’ADN
197
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Une molécule d’ADN est composée de deux chaînes complémentaires
de nucléotides
La structure de l’ADN fournit un mécanisme à l’hérédité
Chez les eucaryotes, l’ADN est enfermé dans le noyau cellulaire
Résumé
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L’ADN CHROMOSOMIQUE ET SON EMPAQUETAGE
DANS LA FIBRE DE CHROMATINE
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L’ADN eucaryote est empaqueté dans un ensemble de chromosomes
Les chromosomes contiennent de longues files de gènes
La séquence des nucléotides du génome humain indique comment
les gènes sont disposés chez l’homme
La comparaison des génomes révèle des séquences d’ADN
conservées au cours de l’évolution
Les chromosomes se présentent sous différents états au cours de la vie
d’une cellule
Chaque molécule d’ADN qui forme un chromosome linéaire doit
contenir un centromère, deux télomères et des origines de
réplication
Les molécules d’ADN sont très condensées dans les chromosomes
Les nucléosomes sont les unités de structure de base des chromosomes
eucaryotes
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Sommaire détaillé
La structure du cœur du nucléosome révèle le mode d’empaquetage
de l’ADN
Les nucléosomes ont une structure dynamique et sont souvent
soumis à des modifications catalysées par des complexes
de remodelage de la chromatine dépendant de l’ATP
Les nucléosomes sont généralement compactés en une fibre de
chromatine compacte
Résumé
RÉGULATIONS DE LA STRUCTURE CHROMATINIENNE
xi
212
Chapitre 5 Réplication, réparation
et recombinaison de l’ADN
215
CONSERVATION DES SÉQUENCES ADN
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263
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Les taux de mutations sont extrêmement bas
Un taux bas de mutations est nécessaire à la vie telle que nous la
connaissons
Résumé
265
265
MÉCANISMES DE RÉPLICATION DE L’ADN
266
219
Quelques anciens mystères se rapportant à la structure de la
chromatine
L’hétérochromatine est hautement organisée et exceptionnellement
résistante à l’expression des gènes
Les histones du cœur subissent des modifications covalentes sur de
nombreux sites différents
La chromatine acquiert une variété supplémentaire par l’insertion de
petites quantités d’histones modifiées sur des sites particuliers
Les modifications covalentes et les variants d’histones agissent de
concert pour produire un « code des histones » qui aide à
déterminer les fonctions biologiques
Un complexe de protéines de lecture et d’écriture du code peut
propager des modifications précises de la chromatine, sur de
longues distances, le long d’un chromosome
Des séquences garde-fou bloquent la propagation des complexes
de lecture-écriture et séparent deux domaines de proximité de
la chromatine
La chromatine des centromères révèle comment les histones
modifiées peuvent créer des structures particulières
Les structures chromatiniennes peuvent être directement transmises
par hérédité
La structure des édifices chromatiniens ajoute des particularités
uniques aux fonctions des chromosomes d’eucaryotes
Résumé
231
233
STRUCTURE GLOBALE DES CHROMOSOMES
233
Les chromosomes sont repliés en larges boucles de chromatine
Les chromosomes polytènes sont exceptionnellement utiles pour
visualiser la structure de la chromatine
Il existe de nombreuses formes d’hétérochromatine
Les boucles de chromatine se décondensent quand les gènes qu’elles
contiennent sont exprimés
La chromatine peut se déplacer vers des sites particuliers du noyau
afin d’altérer l’expression de ses gènes
Un réseau de macromolécules forme un ensemble d’environnements
biochimiques distincts à l’intérieur du noyau
Les chromosomes mitotiques sont formés à partir de la chromatine
dans son état le plus condensé
Résumé
234
COMMENT ÉVOLUENT LES GÉNOMES
245
Des altérations du génome peuvent être causées par des échecs
dans les mécanismes normaux de copie et d’entretien de l’ADN
Les différences entre les séquences des génomes de deux espèces
sont proportionnelles à la durée pendant laquelle celles-ci ont
évolué séparément
Les arbres phylogénétiques construits par comparaison des séquences
ADN permettent d’établir des relations entre tous les organismes
La comparaison des chromosomes humains et de souris montre
comment les structures de génomes divergent
La taille du génome d’un vertébré reflète la vitesse relative des
additions et des pertes d’ADN dans une lignée
Nous pouvons reconstituer la séquence de quelques génomes anciens
La comparaison de séquences provenant de nombreuses espèces
a permis d’identifier de longues séquences ADN à fonction
inconnue
Des modifications accélérées dans des séquences antérieurement
bien conservées peuvent aider à déchiffrer les étapes critiques
de l’évolution humaine
La duplication des gènes est une source importante de nouveauté
génétique au cours de l’évolution
Les gènes dupliqués divergent
L’évolution de la famille des gènes de la globine montre comment les
duplications de l’ADN contribuent à l’évolution des organismes
Des gènes codant de nouvelles protéines peuvent être créés
par recombinaison des exons
Souvent, des mutations silencieuses se disséminent jusqu’à ce qu’elles
se fixent dans une population, avec une probabilité qui dépend
de la taille de cette population
L’analyse des différences génétiques entre les hommes peut beaucoup
nous apprendre
Résumé
Problèmes
Références
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L’appariement des bases est à l’origine de la réplication et de la
réparation de l’ADN
La fourche de réplication de l’ADN est asymétrique
La haute-fidélité de la réplication de l’ADN nécessite plusieurs
mécanismes de vérification
Seule la réplication de l’ADN dans la direction 5’→3’ permet une
correction efficace des erreurs
Une enzyme particulière catalysant la polymérisation de nucléotides
synthétise de courtes molécules d’ARN amorce sur le brin retardé
Des protéines particulières facilitent l’ouverture de la double hélice
d’ADN en avant de la fourche de réplication
La molécule d’ADN polymérase qui se déplace le long de l’ADN
reste connectée grâce à un anneau coulissant
Les protéines situées à la fourche de réplication coopèrent pour
former la machine réplicative
Un système de réparation des mésappariements contrôlé par le brin
d’ADN enlève les erreurs de réplication qui ont échappé à la
machinerie de la réplication
Les ADN topo-isomérases empêchent que l’ADN ne s’emmêle
pendant la réplication
La réplication de l’ADN est fondamentalement similaire
chez les eucaryotes et les bactéries
Résumé
INITIATION ET FIN DE LA RÉPLICATION DE L’ADN
DANS LES CHROMOSOMES
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281
La synthèse de l’ADN commence aux origines de réplication
Les chromosomes bactériens n’ont généralement qu’une seule
origine de réplication de l’ADN
Les chromosomes eucaryotes contiennent de multiples origines de
réplication
Chez les eucaryotes, la réplication de l’ADN ne s’effectue que pendant
une partie du cycle cellulaire
Différentes régions du même chromosome se répliquent à des
moments différents au cours de la phase S
La chromatine fortement condensée se réplique tardivement, alors
que les gènes de la chromatine moins condensée ont tendance
à se répliquer précocement
Des séquences d’ADN bien définies servent d’origine de réplication
chez un eucaryote simple, la levure bourgeonnante
Un grand complexe comportant de multiples sous-unités se fixe sur
les origines de réplication des eucaryotes
Les séquences d’ADN qui spécifient l’initiation de la réplication chez
les mammifères ont été difficiles à identifier
De nouveaux nucléosomes s’assemblent à l’arrière de la fourche de
réplication
Les mécanismes de duplication des chromosomes eucaryotes
s’assurent que le motif particulier de la modification des histones
peut être transmis
La télomérase réplique les extrémités des chromosomes
La longueur du télomère est régulée par les cellules et les organismes
Résumé
281
RÉPARATION DE L’ADN
295
Sans réparation de l’ADN, les lésions spontanées modifieraient
rapidement les séquences d’ADN
La double hélice d’ADN est facilement réparée
Les dommages sur l’ADN peuvent être éliminés de plusieurs façons
Le couplage de la réparation de l’ADN à la transcription permet à
l’ADN le plus important pour la cellule d’être réparé efficacement
La nature chimique des bases de l’ADN facilite la détection des
dommages
Des ADN polymérases spéciales sont utilisées pour les réparations
d’urgence de l’ADN
Les cassures des doubles brins sont efficacement réparées
Les dommages causés à l’ADN retardent la progression du cycle
cellulaire
Résumé
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304
RECOMBINAISON HOMOLOGUE
304
La recombinaison homologue a de multiples utilités dans la cellule
La recombinaison homologue a des caractéristiques communes dans
toutes les cellules
304
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xii
Sommaire détaillé
La recombinaison homologue est guidée par l’appariement des bases
de l’ADN
La protéine RecA et ses homologues permettent à un ADN simple
brin de s’apparier avec une région homologue d’une double hélice
d’ADN
La migration de branche peut soit élargir les régions d’hétéroduplex,
soit libérer de l’ADN nouvellement synthétisé sous forme d’un
simple brin
La recombinaison homologue peut réparer sans faute une cassure
totale d’ADN double brin
Les cellules contrôlent avec soin le recours à la recombinaison
homologue pour réparer l’ADN
Des jonctions de Holliday sont souvent formées au cours des
processus de recombinaison homologue
La recombinaison au cours de la méiose commence avec une cassure
programmée de l’ADN double brin
La recombinaison homologue a souvent comme résultat une conversion
génique
La correction des mésappariements empêche la recombinaison
entre deux séquences d’ADN proches médiocrement appariées
Résumé
315
316
TRANSPOSITION ET RECOMBINAISON CONSERVATIVE
SPÉCIFIQUE DE SITE
316
Grâce à la transposition, les éléments génétiques mobiles peuvent
s’insérer dans n’importe quelle séquence ADN
Les transposons d’ADN se déplacent à la fois selon des mécanismes
de coupé-collé de l’ADN et selon des mécanismes réplicatifs
Certains virus utilisent un des mécanismes de transposition pour
pénétrer dans les chromosomes de la cellule hôte
Les rétrotransposons de type rétroviral ressemblent à des rétrovirus
dépourvus d’enveloppe protéique
Une grande partie du génome humain est composée de
rétrotransposons non rétroviraux
Différents éléments transposables prédominent dans différents
organismes
Les séquences du génome révèlent le moment approximatif
où les éléments transposables se sont déplacés dans le temps
La recombinaison conservative spécifique de site peut réarranger
l’ADN de façon réversible
La recombinaison conservative spécifique de site a été découverte
chez le bactériophage λ
La recombinaison conservative spécifique de site est utilisée pour
activer et inactiver les gènes
Résumé
Problèmes
Références
Chapitre 6 Les cellules lisent le génome :
de l’ADN aux protéines
305
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308
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362
363
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DE L’ARN AUX PROTÉINES
366
Une séquence d’ARNm est décodée par groupes de trois nucléotides
Les molécules d’ARNt font correspondre les acides aminés aux codons
de l’ARNm
Les ARNt sont modifiés de façon covalente avant de sortir du noyau
Des enzymes spécifiques couplent chaque acide aminé à sa molécule
d’ARNt particulière
L’édition par les ARNt synthétases assure l’exactitude
Les acides aminés sont ajoutés à l’extrémité C-terminale de la chaîne
polypeptidique en croissance
Le message ARN est décodé sur les ribosomes
Les facteurs d’élongation font avancer la traduction et améliorent
son exactitude
Le ribosome est un ribozyme
Des séquences nucléotidiques de l’ARNm signalent où doit commencer
la synthèse protéique
Les codons d’arrêt marquent la fin de la traduction
Les protéines sont fabriquées sur des polyribosomes
Il existe des variations mineures du code génétique standard
Les inhibiteurs de la synthèse protéique des procaryotes sont des
antibiotiques utiles
L’exactitude dans la traduction nécessite une dépense d’énergie
libre
Des mécanismes de contrôle de qualité opèrent pour prévenir la
traduction des ARNm endommagés
Certaines protéines commencent à se replier alors qu’elles sont
encore en cours de synthèse
Les molécules chaperons facilitent le repliement de nombreuses
protéines
Les régions hydrophobes exposées fournissent des signaux critiques
pour le contrôle de qualité des protéines
Le protéasome est une protéase compartimentée avec des sites actifs
isolés
Un système élaboré de conjugaison à l’ubiquitine marque les protéines
pour leur destruction
Beaucoup de protéines sont contrôlées par une destruction régulée
Les protéines mal repliées peuvent s’agréger et provoquer des maladies
destructrices chez l’homme
Il existe de nombreuses étapes entre l’ADN et les protéines
Résumé
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DE L’ADN À L’ARN
331
Des portions d’ADN sont transcrites en ARN
La transcription produit un ARN complémentaire d’un des deux brins
d’ADN
Les cellules produisent divers types d’ARN
Des signaux codés dans l’ADN indiquent à l’ARN polymérase où
commencer et où finir
Les signaux de début et de fin de transcription sont des séquences
de nucléotides hétérogènes
L’initiation de la transcription chez les eucaryotes nécessite de
nombreuses protéines
L’ARN polymérase II nécessite des facteurs de transcription généraux
L’ARN polymérase II nécessite aussi des protéines activatrices,
un médiateur et des protéines qui modifient la chromatine
L’élongation de la transcription produit une tension superhélicoïdale
dans l’ADN
Chez les eucaryotes, l’élongation de la transcription est fortement
couplée à la maturation de l’ARN
L’addition d’une coiffe à l’ARN est la première modification des préARNm des eucaryotes
L’épissage de l’ARN enlève les séquences d’intron des pré-ARNm
néotranscrits
Des séquences de nucléotides signalent où l’épissage doit se produire
Le splicéosome effectue l’épissage de l’ARN
Le splicéosome utilise l’hydrolyse de l’ATP pour produire une série
complexe de réarrangements ARN-ARN
D’autres propriétés des pré-ARNm et de leur synthèse aident à
expliquer le choix du site d’épissage correct
Un deuxième ensemble de RNPsn effectue l’épissage d’une petite
fraction de séquences d’introns chez les animaux et les végétaux
L’épissage de l’ARN présente une souplesse remarquable
332
PROFESSEUR_liminaires.indd xii
L’épissage de l’ARN catalysé par le splicéosome a probablement
évolué à partir d’un mécanisme d’autoépissage
Les enzymes de maturation des ARN produisent l’extrémité 3’ des
ARNm des eucaryotes
Les ARNm matures des eucaryotes sont exportés du noyau
sélectivement
De nombreux ARN non codants sont également synthétisés et
transformés dans le noyau
Le nucléole est une usine qui produit des ribosomes
Le noyau contient diverses structures sub-nucléaires
Résumé
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399
LE MONDE ARN ET LES ORIGINES DE LA VIE
400
Le stockage des informations est nécessaire à la vie
Les polynucléotides peuvent stocker des informations et catalyser
des réactions chimiques
Un monde pré-ARN a probablement précédé le monde ARN
Les molécules d’ARN simples brins peuvent se replier en structures
extrêmement élaborées
Les molécules qui s’auto-répliquent subissent une sélection naturelle
Comment la synthèse protéique s’est-elle développée ?
Toutes les cellules actuelles utilisent l’ADN comme matériel
héréditaire
Résumé
Problèmes
Références
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401
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355
Chapitre 7 Contrôle de l’expression
des gènes
411
GÉNÉRALITÉS SUR LE CONTRÔLE DES GÈNES
411
Les différents types cellulaires d’un organisme multicellulaire
contiennent le même ADN
Les différents types cellulaires synthétisent différents ensembles de
protéines
Des signaux externes peuvent conduire une cellule à modifier
l’expression de ses gènes
L’expression des gènes peut être contrôlée au niveau de nombreuses
étapes dans la voie allant de l’ADN aux ARN puis aux protéines
Résumé
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415
415
22/11/10 16:29
Sommaire détaillé
MOTIFS DE LIAISON À L’ADN DANS LES PROTÉINES
RÉGULATRICES DE GÈNES
Les protéines régulatrices de gènes ont été découvertes grâce à la
génétique bactérienne
L’extérieur de l’hélice d’ADN peut être lu par des protéines
De courtes séquences ADN sont des composantes fondamentales
des commutateurs génétiques
Les protéines régulatrices de gènes portent des motifs structuraux
qui peuvent lire les séquences ADN
Le motif hélice-tour-hélice est l’un des plus simples et des plus
communs des motifs de liaison à l’ADN
Les protéines à homéodomaines constituent une classe spéciale de
protéines de type hélice-tour-hélice
Il existe plusieurs types de motifs en doigt à zinc se liant à l’ADN
Les feuillets β peuvent aussi reconnaître l’ADN
Certaines protéines utilisent des boucles qui entrent dans le grand
et le petit sillon pour reconnaître l’ADN
La glissière à leucine sert d’intermédiaire à la fois pour la liaison
à l’ADN et pour la dimérisation des protéines
L’hétérodimérisation augmente le répertoire des séquences ADN
reconnues par les protéines régulatrices de gènes
Le motif hélice-boucle-hélice est aussi un intermédiaire dans la
dimérisation et la liaison à l’ADN
Il n’est pas encore possible de prévoir les séquences ADN reconnues
par toutes les protéines régulatrices de gènes
Un test de retard sur gel détecte les protéines de liaison à des
séquences spécifiques de l’ADN
La chromatographie d’affinité de l’ADN facilite la purification des
protéines de liaison à l’ADN spécifiques de séquences
La séquence ADN reconnue par une protéine régulatrice de gènes
peut être déterminée expérimentalement
Les empreintes phylogénétiques identifient les séquences régulatrices
grâce à la génomique comparative
L’immunoprécipitation de la chromatine identifie de nombreux
sites ADN occupés par des protéines régulatrices de gènes
dans les cellules vivantes
Résumé
MODE DE FONCTIONNEMENT DES COMMUTATEURS
GÉNÉTIQUES
Le répresseur du tryptophane est un commutateur simple qui active
et inactive les gènes chez les bactéries
Les activateurs de transcription activent les gènes
Un activateur transcriptionnel et un répresseur transcriptionnel
contrôlent l’opéron Lac
L’ADN fait des boucles particulières au cours de la régulation
des gènes bactériens
Les bactéries utilisent des sous-unités d’ARN polymérase interchangeables pour faciliter le contrôle de la transcription
des gènes
Des commutateurs complexes ont évolué pour contrôler la
transcription des gènes chez les eucaryotes
Chez les eucaryotes, la région contrôlant le gène comprend un
promoteur et des séquences ADN régulatrices
Les protéines activatrices de gènes eucaryotes facilitent l’assemblage
de l’ARN polymérase et des facteurs généraux de la transcription
Les protéines activatrices de gènes eucaryotes modifient aussi
la structure locale de la chromatine
Les protéines activatrices de gènes travaillent en synergie
Les protéines répresseurs de gènes des eucaryotes peuvent inhiber
la transcription de différentes façons
Les protéines régulatrices de gènes des eucaryotes se lient souvent
à l’ADN avec coopérativité
Les commutateurs génétiques complexes qui contrôlent le
développement de Drosophila sont formés à partir de modules
plus petits
Le gène Eve de Drosophila est régulé par des contrôles combinatoires
Les régions complexes de contrôle de gènes des mammifères sont
aussi construites à partir de modules régulateurs simples
Les isolateurs sont des séquences d’ADN qui empêchent les
protéines régulatrices de gènes eucaryotes d’influencer des gènes
distants
Les commutateurs de gènes évoluent rapidement
Résumé
LES MÉCANISMES GÉNÉTIQUES MOLÉCULAIRES QUI
CRÉENT LES DIFFÉRENTS TYPES CELLULAIRES SPÉCIALISÉS
Les réarrangements de l’ADN servent de médiateur aux changements
de phase des bactéries
Un ensemble de protéines régulatrices de gènes détermine le type
cellulaire chez une levure bourgeonnante
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xiii
428
Deux protéines qui répriment mutuellement leur synthèse
déterminent l’état transmissible du bactériophage lambda
Des circuits simples de régulation des gènes peuvent être utilisés
comme dispositifs mnésiques
Des circuits de transcription permettent à la cellule d’effectuer des
opérations logiques
La biologie de synthèse crée de nouveaux dispositifs à partir d’éléments
biologiques existants
Les rythmes circadiens sont fondés sur les boucles de rétrocontrôle
de la régulation des gènes
Une seule protéine régulatrice de gènes peut coordonner l’expression
d’un ensemble de gènes
L’expression d’une protéine régulatrice de gènes critique peut
déclencher l’expression de toute une batterie de gènes en aval
Le contrôle combinatoire des gènes engendre de nombreux types
cellulaires différents chez les eucaryotes
Une seule protéine régulatrice de gènes peut déclencher la formation
d’un organe entier
Le schéma des méthylations de l’ADN est transmissible lors de la
division des cellules de vertébrés
L’empreinte génomique parentale est basée sur la méthylation de
l’ADN
Des îlots riches en CG sont associés à de nombreux gènes chez les
mammifères
Les mécanismes épigénétiques assurent que des schémas stables
d’expression des gènes peuvent être transmis aux cellules filles
Des altérations de la structure chromatinienne sur toute la longueur
du chromosome peuvent être transmissibles
Le contrôle de l’expression des gènes est intrinsèquement bruyant
Résumé
429
CONTRÔLES POST-TRANSCRIPTIONNELS
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L’atténuation de la transcription entraîne la fin prématurée de
certaines molécules d’ARN
Les commutateurs ribonucléotidiques pourraient représenter une
ancienne forme de contrôle des gènes
L’épissage alternatif de l’ARN permet de produire différentes
formes d’une même protéine à partir du même gène
La définition du gène a dû être modifiée depuis la découverte
de l’épissage alternatif
La détermination du sexe de Drosophila dépend d’une série
contrôlée d’événements d’épissage alternatif
Une modification dans le site de coupure du transcrit ARN et
l’addition de poly-A peuvent modifier l’extrémité C-terminale
d’une protéine
L’édition de l’ARN peut modifier le sens du message ARN
Le transport de l’ARN à partir du noyau peut être régulé
Certains ARNm sont localisés dans des régions particulières du
cytoplasme
Les régions 5’ et 3’ non traduites de l’ARNm en contrôlent sa
traduction
La phosphorylation d’un facteur d’initiation module globalement la
synthèse des protéines
L’initiation sur des codons AUG situés en amont du point d’initiation
de la traduction peut moduler l’initiation de la traduction d’un
eucaryote
Les sites d’entrée internes aux ribosomes apportent des opportunités
supplémentaires pour le contrôle de la traduction
Des modifications de la stabilité des ARNm peuvent moduler
l’expression des gènes
L’addition de poly-A dans le cytoplasme peut moduler la traduction
Des petits transcrits d’ARN non codants modulent de nombreux
gènes animaux et végétaux
L’ARN interférent représente un mécanisme de défense de la
cellule
L’interférence d’ARN peut diriger la formation d’hétérochromatine
L’ARN interférent est devenu un instrument de recherche puissant
Résumé
Problèmes
Références
Chapitre 8 Manipulation des protéines,
l’ADN et l’ARN
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501
ISOLATION DES CELLULES ET CULTURE CELLULAIRE
501
Des cellules peuvent être isolées à partir de tissus intacts
Les cellules peuvent pousser en culture
Les lignées cellulaires eucaryotes sont largement utilisées en tant que
source homogène de cellules
Les cellules souches embryonnaires pourraient révolutionner la
médecine
502
502
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505
22/11/10 16:29
xiv
Sommaire détaillé
523
Les mutations peuvent causer une perte ou un gain de fonction
des protéines
Les tests de complémentarité révèlent si deux mutations sont situées
dans le même gène ou dans deux gènes différents
On peut classer l’ordre des gènes dans une voie métabolique grâce
à l’analyse de l’épistasie
Les gènes identifiés par mutations peuvent être clonés
La génétique humaine pose problème, mais elle ouvre des
opportunités
Les gènes humains sont transmis par blocs d’haplotypes, ce qui aide
dans la recherche des mutations responsables de maladies
Les caractères complexes sont sous le contrôle de plusieurs gènes
La génétique inverse commence par un gène connu et détermine
les processus cellulaires qui dépendent de son fonctionnement
Les gènes peuvent être construits de plusieurs façons
Les gènes synthétiques peuvent être insérés dans la lignée germinale
de nombreux organismes
Des animaux peuvent être modifiés génétiquement
Les végétaux transgéniques sont importants à la fois pour la biologie
cellulaire et pour l’agriculture
De grandes collections d’invalidations marquées (tagged knockout)
constituent un outil de choix pour l’examen des fonctions de
chaque gène d’un organisme
La méthode de l’ARN interférent est une voie simple et rapide
pour tester la fonction des gènes
Les gènes reporters et l’hybridation in situ révèlent quand et où
un gène est exprimé
L’expression des gènes peut être mesurée pour chacun d’eux par
RT-PCR quantitative
Les puces à ADN suivent l’expression de milliers de gènes à la fois
L’expression des gènes dans des cellules isolées révèle un bruit de fond
biologique
Résumé
Problèmes
Références
524
Chapitre 9 Observation des cellules
La transplantation nucléaire dans une cellule somatique pourrait
apporter une solution pour produire des cellules souches
personnalisées
Les lignées cellulaires d’hybridomes sont des usines produisant des
anticorps monoclonaux
Résumé
508
510
PURIFICATION DES PROTÉINES
510
Une cellule peut être fractionnée en ses divers constituants
Les extraits cellulaires fournissent des systèmes accessibles pour étudier
les fonctions cellulaires
Les protéines peuvent être séparées par chromatographie
La chromatographie d’affinité exploite la présence de sites de liaison
spécifiques sur les protéines
Le marquage par génie génétique est un moyen simple pour purifier
les protéines
Des systèmes acellulaires purifiés sont nécessaires pour disséquer
avec précision les fonctions des molécules
Résumé
510
ANALYSE DES PROTÉINES
517
Les protéines peuvent être séparées par électrophorèse sur gel de
polyacrylamide en SDS
Des protéines spécifiques peuvent être détectées par transfert puis
incubation avec un anticorps
La spectrométrie de masse est une technique extrêmement sensible
permettant d’identifier des protéines inconnues
Les méthodes de séparation bidimensionnelles sont particulièrement
puissantes
Des mesures hydrodynamiques révèlent la taille et la forme d’un
complexe protéique
Des ensembles de protéines qui interagissent peuvent être identifiés
par des méthodes biochimiques
Les interactions entre protéines sont aussi identifiées par la technique
du double hybride chez la levure
La combinaison des données obtenues à partir de différentes
techniques conduit à l’établissement de cartes d’interactions
entre protéines fiables
Des méthodes optiques permettent de suivre les interactions entre
protéines en temps réel
Certaines techniques permettent de suivre les molécules isolées
La fonction des protéines peut être perturbée sélectivement par des
petites molécules
La structure des protéines peut être déterminée par diffraction des
rayons X
La RMN permet de déterminer la structure d’une protéine en solution
La séquence et la structure des protéines fournissent des indices
sur leur fonction
Résumé
ANALYSE ET MANIPULATION DE L’ADN
Les nucléases de restriction coupent en fragments les grandes
molécules d’ADN
L’électrophorèse sur gel sépare les molécules d’ADN en fonction de
leur taille
Les molécules d’ADN purifiées peuvent être marquées spécifiquement
in vitro par un isotope radioactif ou un marqueur chimique
Les réactions d’hybridation des acides nucléiques représentent
un moyen de détection très sensible de séquences de nucléotides
particulières
Les techniques de Southern et de Northern facilitent l’hybridation
des molécules d’acides nucléiques séparées par électrophorèse
Les gènes peuvent être clonés en utilisant des banques d’ADN
Deux types de banques d’ADN avec deux visées différentes
Les clones d’ADNc contiennent des séquences codantes
ininterrompues
Les gènes peuvent être amplifiés sélectivement par PCR
Les cellules peuvent être utilisées comme des usines de production
de protéines spécifiques
Les protéines et acides nucléiques peuvent être synthétisés
directement par réactions chimiques
L’ADN peut être séquencé rapidement
Les séquences nucléotidiques servent à prédire les séquences en acides
aminés des protéines
Les génomes de nombreux organismes ont été entièrement
séquencés
Résumé
ÉTUDE DE L’EXPRESSION
ET DES FONCTIONS DES GÈNES
La génétique classique commence par perturber les processus
cellulaires par mutagenèse au hasard
Le criblage génétique identifie les mutants ayant des anomalies
particulières
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556
OBSERVATION DES CELLULES AU MICROSCOPE OPTIQUE
La résolution du microscope optique permet de visualiser des détails
espacés de 0,2 µm
Les cellules vivantes sont clairement vues en microscopie à contraste
de phase ou à contraste d’interférence différentielle
Des techniques électroniques permettent d’améliorer et d’analyser
les images
Les prélèvements de tissus sont généralement fixés puis coupés
avant microscopie
La microscopie à fluorescence permet de localiser des molécules
spécifiques dans les cellules
Les anticorps permettent de détecter des molécules spécifiques
Le microscope optique permet l’imagerie d’objets complexes en trois
dimensions
Le microscope confocal produit des coupes optiques en excluant
la lumière située hors du champ de focalisation
Les protéines fluorescentes peuvent être utilisées pour marquer
individuellement des protéines dans les cellules vivantes et les
organismes
On peut suivre les mouvements des protéines dans les cellules
vivantes
Des indicateurs émetteurs de lumière peuvent mesurer les rapides
variations de concentrations ioniques intracellulaires
Il existe différentes stratégies pour introduire dans les cellules des
molécules auxquelles la membrane est imperméable
La lumière permet de manipuler les objets microscopiques et de les
visualiser
Des molécules isolées sont visualisées grâce à la microscopie de
fluorescence à excitation par ondes évanescentes
Le microscope à force atomique permet de toucher et de déplacer
des molécules isolées
On peut marquer les molécules par des isotopes radioactifs
Les radioisotopes sont utilisés pour suivre les molécules dans les cellules
et organismes
Résumé
OBSERVATION DES CELLULES ET DES MOLÉCULES
AU MICROSCOPE ÉLECTRONIQUE
Le microscope électronique permet la résolution de la structure fine
de la cellule
Les échantillons biologiques nécessitent une préparation particulière
pour la microscopie électronique
Des macromolécules particulières sont localisées par immunomarquage
à l’or couplé à la microscopie électronique
La microscopie électronique à balayage permet d’obtenir l’image
des surfaces
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Sommaire détaillé
La microscopie électronique à transmission associée à l’ombrage
métallique permet un examen à haute résolution des
caractéristiques des surfaces
La coloration négative et la microscopie cryoélectronique permettent
toutes deux de voir les macromolécules à forte résolution
La combinaison d’images multiples augmente la résolution
L’association de vues, prises sous des angles différents, permet la
reconstruction tridimensionnelle d’un objet
Résumé
Problèmes
Références
Chapitre 10 Structure membranaire
LA BICOUCHE LIPIDIQUE
Les phosphoglycérides, les sphingolipides et les stérols sont les
principaux lipides des membranes cellulaires
Les phospholipides forment spontanément des bicouches
La bicouche lipidique est un fluide à deux dimensions
La fluidité de la bicouche lipidique dépend de sa composition
En dépit de leur fluidité, les bicouches lipidiques peuvent former des
domaines de compositions différentes
Les gouttelettes lipidiques sont entourées par une monocouche de
phospholipides
L’asymétrie de la bicouche lipidique a une importance fonctionnelle
Des glycolipides sont retrouvés à la surface de toutes les membranes
plasmiques
Résumé
LES PROTÉINES MEMBRANAIRES
Les protéines membranaires peuvent s’associer à la bicouche lipidique
de différentes façons
Des ancres lipidiques contrôlent la localisation membranaire de
certaines protéines de signalisation
Dans la plupart des protéines transmembranaires la chaîne
polypeptidique traverse la bicouche lipidique sous forme
d’hélice α
Les hélices α transmembranaires interagissent souvent entre elles
Certains barils β forment des canaux qui traversent les membranes
De nombreuses protéines membranaires sont glycosylées
Les protéines membranaires peuvent être solubilisées et purifiées
au moyen de détergents
La bactériorhodopsine, composée de sept hélices α qui traversent
la bicouche lipidique, est une pompe à protons tirant son énergie
de la lumière
Les protéines membranaires fonctionnent souvent sous forme de
larges complexes
De nombreuses protéines membranaires diffusent dans le plan de la
membrane
Les cellules peuvent confiner les protéines et les lipides dans des
domaines particuliers de la membrane
Le cytosquelette cortical confère aux membranes une résistance
mécanique et restreint la diffusion des protéines membranaires
Résumé
Problèmes
Références
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Chapitre 12 Compartiments intracellulaires
et tri des protéines
642
COMPARTIMENTALISATION CELLULAIRE
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651
Les bicouches lipidiques dépourvues de protéines sont très
imperméables aux ions
Il existe deux classes principales de protéines de transport
membranaire : les transporteurs et les canaux
Le transport actif s’effectue par l’intermédiaire de transporteurs
couplés à une source d’énergie
Résumé
653
654
TRANSPORTEURS ET TRANSPORT MEMBRANAIRE ACTIF
654
Le transport actif peut être actionné par des gradients ioniques
Les transporteurs de la membrane plasmique contrôlent le pH
cytosolique
Une distribution asymétrique des transporteurs dans les cellules
épithéliales sous-tend le transport transcellulaire des solutés
Il existe trois classes de pompes ATP-dépendantes
La pompe à Ca2+ est la mieux comprise des ATPases de type P
La pompe à Na+-K+ de type P de la membrane plasmique établit
le gradient de Na+ à travers la membrane plasmique
Les transporteurs ABC constituent la plus grande famille de protéines
de transport membranaire
Résumé
656
PROFESSEUR_liminaires.indd xv
Les canaux ioniques sont spécifiques d’un ion et fluctuent entre les
états ouvert et fermé
Le potentiel de membrane des cellules animales dépend principalement
des canaux de fuite du K+ et du gradient de K+ à travers la
membrane plasmique
Le potentiel de repos ne diminue que lentement lorsque la pompe
à Na+-K+ est arrêtée
La structure tridimensionnelle d’un canal K+ bactérien montre
comment un canal ionique peut fonctionner
Les aquaporines sont perméables à l’eau mais imperméables
aux ions
La fonction d’un neurone dépend de sa structure allongée
Les canaux cationiques à vanne contrôlée par le voltage engendrent
des potentiels d’action dans les cellules électriquement excitables
La myélinisation augmente la vitesse et l’efficacité de la propagation
des potentiels d’action dans les cellules nerveuses
L’enregistrement de résultats obtenus par la technique du patch-clamp
montre que tout canal ionique à vannes s’ouvre selon le mode
tout-ou-rien
Les canaux à cations à vannes contrôlées par le voltage sont
apparentés d’un point de vue évolutif et structurel
Les canaux ioniques à vannes contrôlées par un transmetteur
transforment les signaux chimiques en signaux électriques au
niveau des synapses chimiques
Les synapses chimiques peuvent être excitatrices ou inhibitrices
Les récepteurs à l’acétylcholine de la jonction neuromusculaire sont
des canaux à cations à vannes contrôlées par un transmetteur
Les canaux ioniques à vannes contrôlées par un transmetteur sont les
cibles majeures des médicaments agissant sur l’activité psychique
La transmission neuromusculaire implique l’activation séquentielle
de cinq ensembles différents de canaux ioniques
Chaque neurone est un dispositif d’intégration complexe
L’intégration neuronale nécessite l’association d’au moins trois sortes
de canaux K+
La potentialisation à long terme (LTP) dans l’hippocampe des
mammifères dépend de l’entrée de Ca2+ par les canaux à
récepteur au NMDA
Résumé
Problèmes
Références
642
Chapitre 11 Transport membranaire de petites
molécules et propriétés électriques
des membranes
651
PRINCIPES DU TRANSPORT MEMBRANAIRE
CANAUX IONIQUES ET PROPRIÉTÉS ÉLECTRIQUES
DES MEMBRANES
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Toutes les cellules eucaryotes possèdent le même ensemble
fondamental d’organites entourés d’une membrane
L’origine, au cours de l’évolution, des organites entourés d’une
membrane permet d’interpréter leurs relations topologiques
Les protéines se déplacent entre les compartiments de différentes
façons
Les séquences signal dirigent les protéines vers la bonne adresse
cellulaire
La plupart des organites ne peuvent pas être construits de novo :
ils nécessitent des informations sur l’organite lui-même
Résumé
TRANSPORT DES MOLÉCULES ENTRE LE NOYAU
ET LE CYTOSOL
Les complexes de pores nucléaires perforent l’enveloppe nucléaire
Les signaux de localisation nucléaire dirigent les protéines nucléaires
vers le noyau
Les récepteurs d’importation nucléaire se lient aux signaux de
localisation nucléaire et aux protéines NPC
L’exportation nucléaire s’effectue comme l’importation, mais en sens
inverse
La GTPase Ran actionne le transport directionnel à travers le complexe
du pore nucléaire
Le transport entre le noyau et le cytosol peut être régulé par le
contrôle de l’accès à la machinerie de transport
L’enveloppe nucléaire se désagrège pendant la mitose
Résumé
TRANSPORT DES PROTÉINES
DANS LES MITOCHONDRIES ET LES CHLOROPLASTES
La translocation dans les mitochondries dépend de séquences signal
et de protéines de translocation
Les précurseurs des protéines mitochondriales sont importés sous
forme d’une chaîne polypeptidique dépliée
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xvi
Sommaire détaillé
L’hydrolyse de l’ATP et un potentiel de membrane entraînent
l’importation des protéines dans l’espace matriciel
Les bactéries et les mitochondries utilisent les mêmes mécanismes
pour insérer les porines dans leur membrane externe
Il existe plusieurs voies de transport protéique dans la membrane
mitochondriale interne et dans l’espace intermembranaire
Deux séquences signal dirigent les protéines vers la membrane
thylacoïde des chloroplastes
Résumé
719
720
PEROXYSOMES
721
Les peroxysomes utilisent l’oxygène moléculaire et le peroxyde
d’hydrogène (eau oxygénée) pour effectuer les réactions
oxydatives
Une courte séquence signal dirige l’importation des protéines dans
les peroxysomes
Résumé
716
717
717
721
722
723
RÉTICULUM ENDOPLASMIQUE
723
Le RE est structurellement et fonctionnellement divers
Les séquences signal ont d’abord été découvertes sur les protéines
importées dans le RE rugueux
Une particule de reconnaissance du signal (SRP) dirige les séquences
signal du RE vers un récepteur spécifique de la membrane du RE
rugueux
La chaîne polypeptidique traverse un pore aqueux du translocateur
La translocation à travers la membrane du RE ne nécessite pas toujours
que l’élongation de la chaîne polypeptidique se poursuive
Dans les protéines à un seul domaine transmembranaire, une unique
séquence signal interne pour le RE reste dans la bicouche lipidique
et forme une hélice α qui traverse
la membrane
Les combinaisons de signaux de début et de fin de transfert
déterminent la topologie des protéines à multiples domaines
transmembranaires
Les chaînes polypeptidiques transloquées se replient et s’assemblent
dans la lumière du RE rugueux
La plupart des protéines synthétisées dans le RE rugueux sont
glycosylées par addition d’un oligosaccharide commun lié par
une liaison N-osidique
Les oligosaccharides servent de marqueurs de l’état de repliement
d’une protéine
Les protéines mal repliées sont exportées hors du RE et dégradées
dans le cytosol
Les protéines mal repliées du RE activent une réponse aux protéines
dépliées
Certaines protéines membranaires acquièrent une ancre de
glycosylphosphatidylinositol (GPI), fixée de façon covalente
La plupart des bicouches lipidiques sont assemblées dans le RE
Résumé
Problèmes
Références
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Chapitre 13 Transport vésiculaire intracellulaire 749
MÉCANISMES MOLÉCULAIRES DU TRANSPORT MEMBRANAIRE
ET ENTRETIEN DE LA DIVERSITÉ DES COMPARTIMENTS
750
Il y a différents types de vésicules recouvertes d’un manteau
L’assemblage d’un manteau de clathrine entraîne la formation d’une
vésicule
Tous les manteaux ne forment pas des structures en forme de paniers
Les phosphoinositides sont des marqueurs d’organites et de domaines
de membrane
La séparation par pincement et la perte du manteau des vésicules
recouvertes sont deux processus régulés par des protéines
cytoplasmiques
Des GTPases monomériques contrôlent l’assemblage du manteau
Toutes les vésicules de transport ne sont pas sphériques
Les protéines Rab assurent la spécificité de l’arrimage des vésicules
Les SNARE sont les intermédiaires de la fusion membranaire
Les SNARE qui interagissent doivent être séparées avant de pouvoir
fonctionner à nouveau
Les protéines de fusion virales et les SNARE peuvent utiliser les mêmes
mécanismes de fusion
Résumé
TRANSPORT DEPUIS LE RE À TRAVERS L’APPAREIL
DE GOLGI
Les protéines quittent le RE dans des vésicules de transport recouvertes
de COPII
Seules les protéines correctement repliées et assemblées peuvent
quitter le RE
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Le transport du RE à l’appareil de Golgi passe par des agrégats
tubulaires vésiculaires
La voie rétrograde vers le RE utilise des signaux de tri
De nombreuses protéines sont sélectivement retenues dans les
compartiments dans lesquels elles fonctionnent
L’appareil de Golgi est formé d’une série ordonnée de compartiments
Les chaînes d’oligosaccharides subissent une maturation dans l’appareil
de Golgi
Les protéoglycanes sont assemblés dans l’appareil de Golgi
Quel est l’intérêt de cette glycosylation ?
Le transport à travers l’appareil de Golgi peut se faire par transport
vésiculaire ou maturation des citernes
Les protéines de la matrice du Golgi facilitent l’organisation de
l’appareil
Résumé
778
779
TRANSPORT DEPUIS LE RÉSEAU TRANS-GOLGIEN
VERS LES LYSOSOMES
779
Les lysosomes sont le site principal de la digestion intracellulaire
Les lysosomes sont hétérogènes
Les vacuoles végétales et fongiques sont des lysosomes
remarquablement polyvalents
Les matériaux sont livrés aux lysosomes par de multiples voies
Un récepteur du mannose 6-phosphate reconnaît les protéines
lysosomales dans le réseau trans-golgien
Le récepteur M6P fait la navette entre des membranes spécifiques
Un patch signal de la chaîne polypeptidique de l’hydrolase fournit
le signal d’addition des M6P
Les anomalies de la GlcNAc phosphotransférase provoquent une
maladie de stockage lysosomal chez l’homme
Certains lysosomes peuvent subir une exocytose
Résumé
TRANSPORT DANS LA CELLULE DEPUIS
LA MEMBRANE PLASMIQUE : L’ENDOCYTOSE
Des cellules phagocytaires spécialisées peuvent ingérer de grosses
particules
Les vésicules de pinocytose se forment à partir de puits recouverts
(coated pits) de la membrane plasmique
Les vésicules de pinocytose ne sont pas toutes recouvertes de clathrine
Les cellules importent certaines macromolécules extracellulaires
par une endocytose couplée à des récepteurs
Les matériaux endocytés non récupérés à partir des endosomes
finissent dans les lysosomes
Des protéines spécifiques sont retirées des endosomes précoces et
retournent dans la membrane plasmique
Des corps multivésiculaires se forment sur la voie qui conduit aux
endosomes tardifs
Des macromolécules peuvent être transférées à travers les feuillets
cellulaires épithéliaux par transcytose
Les cellules épithéliales possèdent deux compartiments différents
d’endosomes précoces mais un compartiment commun
d’endosomes tardifs
Résumé
TRANSPORT DEPUIS LE RÉSEAU TRANS-GOLGIEN VERS
L’EXTÉRIEUR DE LA CELLULE : L’EXOCYTOSE
Nombre de protéines et de lipides semblent être transportés
automatiquement de l’appareil de Golgi à la surface cellulaire
Les vésicules sécrétoires bourgeonnent à partir du réseau
trans-golgien
Les protéines subissent souvent une protéolyse pendant la formation
des vésicules sécrétoires
Les vésicules sécrétoires attendent près de la membrane plasmique
jusqu’à ce qu’elles reçoivent le signal pour libérer leur contenu
L’exocytose régulée peut être une réponse localisée de la membrane
plasmique et de son cytoplasme sous-jacent
Les composants membranaires des vésicules sécrétoires sont
rapidement éliminés de la membrane plasmique
Certains événements d’exocytose régulée permettent d’agrandir la
membrane plasmique
Les cellules polarisées dirigent les protéines du réseau trans-golgien
vers le domaine approprié de la membrane plasmique
Des stratégies différentes guident sélectivement les protéines et les
lipides membranaires vers les domaines adéquats de la membrane
plasmique
Les vésicules synaptiques peuvent se former directement à partir
des vésicules d’endocytose
Résumé
Problèmes
Références
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Sommaire détaillé
Chapitre 14 Conversion énergétique :
mitochondries et chloroplastes
LA MITOCHONDRIE
Les mitochondries comportent une membrane externe, une membrane
interne et deux compartiments internes
Le cycle de l’acide citrique produit des électrons riches en énergie
Un processus chimio-osmotique convertit l’énergie de l’oxydation
en ATP
Les électrons sont transférés du NADH à l’oxygène par l’intermédiaire
de trois gros complexes d’enzymes respiratoires
Au cours du déplacement des électrons le long de la chaîne
respiratoire, l’énergie est mise en réserve sous forme d’un gradient
électrochimique de protons à travers la membrane interne
Le gradient de protons actionne la synthèse d’ATP
Le gradient de protons actionne un transport couplé à travers la
membrane interne
Les gradients de protons produisent la majeure partie de l’ATP de la
cellule
Les mitochondries maintiennent dans les cellules un rapport ATP/ADP
élevé
L’ATP est utile pour la cellule du fait de la forte valeur négative de
la ΔG de son hydrolyse
L’ATP synthase peut aussi fonctionner en sens inverse pour hydrolyser
l’ATP et pomper des H+
Résumé
LES CHAÎNES DE TRANSPORT DES ÉLECTRONS
ET LEURS POMPES À PROTONS
xvii
Les protéines de transport de la membrane interne des chloroplastes
contrôlent l’échange des métabolites avec le cytosol
Les chloroplastes effectuent également d’autres biosynthèses
cruciales
Résumé
855
855
816
817
SYSTÈMES GÉNÉTIQUES DES MITOCHONDRIES
ET DES PLASTES
855
817
Les mitochondries et les chloroplastes contiennent des systèmes
génétiques complets
La croissance et la division des organites déterminent le nombre de
mitochondries et de plastes d’une cellule
Les génomes des mitochondries et des chloroplastes sont variés
Les mitochondries et les chloroplastes ont probablement tous deux
évolué à partir de bactéries endosymbiotiques
Les mitochondries ont une utilisation souple des codons et peuvent
avoir une variante du code génétique
Les mitochondries des animaux contiennent le plus simple des systèmes
génétiques connus
Certains gènes des organites contiennent des introns
Le génome des chloroplastes des végétaux supérieurs contient
120 gènes environ
Les gènes mitochondriaux sont transmis par un mécanisme non
mendélien
Dans de nombreux organismes, les gènes des organites sont transmis
par la mère
Les levures mutantes « petite » mettent en évidence l’importance
primordiale du noyau cellulaire dans la biogenèse mitochondriale
Les mitochondries et les plastes contiennent des protéines spécifiques
de tissu qui sont codées par le noyau cellulaire
Les mitochondries importent la majorité de leurs lipides ; les
chloroplastes synthétisent la plupart des leurs
Les mitochondries pourraient contribuer au vieillissement des cellules
et des organismes
Pourquoi les mitochondries et les chloroplastes ont-ils leur propre
système génétique ?
Résumé
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Les protons sont particulièrement faciles à déplacer
Le potentiel redox est une mesure de l’affinité des électrons
Les transferts d’électrons libèrent de grandes quantités d’énergie
Des méthodes de spectroscopie ont été utilisées pour identifier de
nombreux transporteurs d’électrons de la chaîne respiratoire
La chaîne respiratoire comprend trois gros complexes enzymatiques
encastrés dans la membrane interne
Un centre fer-cuivre de la cytochrome oxydase catalyse efficacement
la réduction d’O2
Les transferts d’électrons dans la membrane mitochondriale interne
se font par l’intermédiaire de collisions aléatoires
Une baisse importante du potentiel redox à travers chacun des trois
complexes enzymatiques respiratoires fournit l’énergie pour pomper
les H+
Les trois principaux complexes enzymatiques utilisent des mécanismes
différents pour pomper les H+
Les ionophores à H+ découplent le transport des électrons de la
synthèse d’ATP
Le contrôle respiratoire restreint normalement le flux d’électrons
qui traverse la chaîne
Des agents découplants naturels transforment les mitochondries
de la graisse brune en générateurs de chaleur
La mitochondrie a de nombreuses fonctions essentielles dans le
métabolisme cellulaire
Les bactéries utilisent aussi les mécanismes chimio-osmotiques pour
maîtriser l’énergie
Résumé
827
828
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CHLOROPLASTES ET PHOTOSYNTHÈSE
840
Le chloroplaste est un organite membre de la famille des plastes
Les chloroplastes ressemblent aux mitochondries mais ont un
compartiment supplémentaire
Les chloroplastes captent l’énergie de la lumière solaire et l’utilisent
pour fixer le carbone
La ribulose bisphosphate carboxylase catalyse la fixation du carbone
La fixation d’une molécule de CO2 consomme trois molécules d’ATP
et deux molécules de NADPH
Dans certains végétaux la fixation du carbone est compartimentalisée
pour faciliter la croissance à faibles concentrations en CO2
La photosynthèse dépend de la photochimie des molécules de
chlorophylle
Un photosystème est composé d’un centre réactionnel photochimique
et d’un complexe de l’antenne
Dans un centre réactionnel, l’énergie lumineuse capturée par la
chlorophylle transforme un donneur faible d’électrons en un
donneur fort d’électrons
La photophosphorylation non cyclique produit du NADPH et de l’ATP
Les chloroplastes peuvent produire de l’ATP
par photophosphorylation cyclique sans produire de NADPH
Les photosystèmes I et II ont des structures apparentées et ressemblent
également aux photosystèmes bactériens
La force proton-motrice est la même dans les mitochondries et les
chloroplastes
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ÉVOLUTION DES CHAÎNES DE TRANSPORT
DES ÉLECTRONS
Les premières cellules produisaient probablement l’ATP par
fermentation
Les chaînes de transport des électrons permettent aux bactéries
anaérobies d’utiliser des molécules non fermentables comme
principale source d’énergie
En fournissant une source intarissable de pouvoir réducteur, les
bactéries photosynthétiques ont surmonté un obstacle évolutif
majeur
Les chaînes photosynthétiques de transport des électrons des
cyanobactéries ont produit l’oxygène atmosphérique et ont
permis de nouvelles formes de vie
Résumé
Problèmes
Références
Chapitre 15 Communication cellulaire
PRINCIPES GÉNÉRAUX DE LA COMMUNICATION
CELLULAIRE
Les molécules de signalisation extracellulaire se lient à des récepteurs
spécifiques
Les molécules de signalisation extracellulaire peuvent agir sur de
courtes ou de longues distances
Les jonctions communicantes de type gap permettent à des cellules
voisines de mettre en commun les informations de signalisation
Chaque cellule est programmée pour répondre à des combinaisons
spécifiques de molécules de signalisation extracellulaire
Les différents types cellulaires répondent généralement différemment
à une même molécule de signalisation extracellulaire
Le destin de certaines cellules au cours de leur développement dépend
de leur position dans les gradients de morphogènes
Une cellule ne peut modifier rapidement la concentration d’une
molécule intracellulaire que si celle-ci a une demi-vie courte
Le gaz monoxyde d’azote crée un signal en agissant directement sur
l’activité de protéines spécifiques à l’intérieur de la cellule cible
Les récepteurs nucléaires sont des protéines régulatrices de gènes
activées par un ligand
Les trois plus grandes classes de récepteurs protéiques membranaires
sont les récepteurs couplés aux canaux ioniques, aux protéines G
et aux enzymes
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xviii
Sommaire détaillé
La plupart des récepteurs membranaires activés relaient les signaux
par l’intermédiaire de petites molécules et un réseau de protéines
de signalisation intracellulaires
De nombreuses protéines de signalisation intracellulaire fonctionnent
comme des commutateurs moléculaires activés par phosphorylation
ou liaison au GTP
Des complexes de signalisation intracellulaire augmentent la vitesse,
l’efficacité et la spécificité de la réponse
Les interactions entre les protéines de signalisation intracellulaire
s’effectuent par l’intermédiaire de domaines de liaison
modulaires
Les cellules utilisent de nombreux mécanismes pour répondre
brusquement à une augmentation graduelle de la concentration
d’un signal extracellulaire
Les réseaux de signalisation intracellulaire utilisent habituellement
des boucles de rétrocontrôle (feedback)
Les cellules peuvent ajuster leur sensibilité à un signal
Résumé
SIGNALISATION PAR LES RÉCEPTEURS MEMBRANAIRES
COUPLÉS AUX PROTÉINES G ET DES PETITS MÉDIATEURS
INTRACELLULAIRES
893
895
897
897
905
905
La multicellularité et la communication cellulaire ont évolué
indépendamment chez les végétaux et les animaux
Les récepteurs à activité sérine/thréonine-kinase sont la classe la plus
importante de récepteurs membranaires chez les végétaux
L’éthylène bloque la dégradation de protéines régulatrices de gènes
dans le noyau
Le positionnement régulé des transporteurs d’auxine organise la
croissance des végétaux
Les phytochromes détectent la lumière rouge et les cryptochromes
la lumière bleue
Résumé
Problèmes
Références
908
Chapitre 16 Cytosquelette
909
912
912
AUTO-ASSEMBLAGE ET STRUCTURE DYNAMIQUE
DES FILAMENTS DU CYTOSQUELETTE
901
902
903
904
920
921
SIGNALISATION PAR LES RÉCEPTEURS MEMBRANAIRES
COUPLÉS À UNE ENZYME
921
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Le récepteur protéique Notch est une protéine régulatrice de gène
latent
Les protéines Wnt se lient aux récepteurs Frizzled et inhibent la
dégradation des β-caténines
Les protéines Hedgehog se lient aux récepteurs Patched, ce qui lève
leur inhibition des récepteurs Smoothened
De nombreux stimuli facteurs de stress et d’inflammation agissent
par une voie de signalisation dépendante des NF-κB
Résumé
SIGNALISATION CHEZ LES VÉGÉTAUX
899
Les protéines G trimériques relaient les signaux issus des récepteurs
couplés aux protéines G
Certaines protéines G régulent la production de l’AMP cyclique
La protéine-kinase dépendante de l’AMP cyclique (PKA) est responsable
de la plupart des effets de l’AMP cyclique
Certaines protéines G activent la voie de signalisation des inositol
phospholipides en activant la phospholipase C-β
Le Ca2+ fonctionne comme un messager intracellulaire ubiquitaire
La fréquence des oscillations du Ca2+ influence la réponse de la cellule
Les protéine-kinases dépendantes de la Ca2+/calmoduline (CaM-kinases)
servent d’intermédiaires à de nombreuses réponses aux signaux Ca2+
dans les cellules animales
Certaines protéines G régulent directement des canaux ioniques
L’odorat et la vision dépendent de récepteurs couplés aux protéines G
qui régulent des canaux ioniques à vanne contrôlée par les
nucléotides cycliques
Des médiateurs intracellulaires et des cascades enzymatiques
amplifient les signaux extracellulaires
La désensibilisation des récepteurs couplés aux protéines G dépend
de la phosphorylation des récepteurs
Résumé
Les récepteurs à activité tyrosine-kinase s’auto-phosphorylent
Les tyrosines phosphorylées sur les RTK servent de site d’arrimage
aux protéines de signalisation intracellulaire
Les protéines à domaine SH2 se lient aux tyrosines phosphorylées
Ras fait partie d’une grande superfamille de GTPases monomériques
Le développement de l’œil de Drosophila montre comment les RTK
activent Ras par l’intermédiaire d’adaptateurs et de GEF
Ras active un module de signalisation MAP-kinase
Des protéines d’échafaudage empêchent les interactions croisées
entre des voies MAP-kinases parallèles
Les GTPases de la famille Rho réalisent le couplage fonctionnel des
récepteurs membranaires au cytosquelette
Les PI 3-kinases produisent des sites d’arrimage pour les lipides dans
la membrane plasmique
La voie de signalisation PI-3-kinase/Akt stimule la survie et la croissance
des cellules animales
Les voies de signalisation en aval des RTK et des RCPG se recoupent
L’activité des récepteurs associés à une tyrosine-kinase dépend de
tyrosine-kinases cytoplasmiques
Les récepteurs des cytokines activent la voie de signalisation JAK-STAT,
fournissant un accès rapide vers le noyau
Des protéines tyrosine-phosphatases inversent les phosphorylations
sur les tyrosines
Les protéines de signalisation de la superfamille des TGF-β agissent
par l’intermédiaire de récepteurs à activité sérine/thréonine-kinase
et des Smad
Les protéine-kinases spécifiques de la sérine/thréonine ou de la tyrosine
ont des structures apparentées
La chimiotaxie bactérienne dépend d’une voie de signalisation à deux
composantes, activée par des récepteurs associés à des histidinekinases
La méthylation du récepteur est responsable de l’adaptation au cours
de la chimiotaxie bactérienne
Résumé
VOIES DE SIGNALISATION DÉPENDANTES DE LA PROTÉOLYSE
RÉGULÉE DE PROTÉINES RÉGULATRICES DE GÈNES LATENTS
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Les filaments du cytosquelette sont dynamiques et adaptables
966
Le cytosquelette peut aussi former des structures stables
969
Chaque type de filament du cytosquelette est construit à partir de
sous-unités protéiques plus petites
970
Les filaments formés à partir de multiples protofilaments présentent
des propriétés avantageuses
971
La nucléation est l’étape limitante de la vitesse de formation
d’un polymère du cytosquelette
973
Les sous-unités de tubuline et d’actine s’assemblent « tête-à-queue »
pour créer des filaments polaires
973
Les deux extrémités des microtubules et des filaments d’actine sont
différentes et poussent à des vitesses différentes
975
Le treadmilling ou « vissage par vis sans fin » et l’instabilité dynamique
des filaments sont les conséquences de l’hydrolyse des nucléotides
par la tubuline et l’actine
976
Le treadmilling et l’instabilité dynamique participent au réarrangement rapide
du cytosquelette
980
La tubuline et l’actine ont été extrêmement conservées pendant
l’évolution des eucaryotes
982
La structure des filaments intermédiaires dépend d’une fasciculation
latérale et de l’enroulement de superenroulements
983
Les filaments intermédiaires procurent une stabilité mécanique aux
cellules animales
985
Des substances chimiques peuvent altérer la polymérisation des
filaments
987
Chez les bactéries, l’organisation et la division cellulaires dépendent
d’homologues du cytosquelette des eucaryotes
989
Résumé
991
LES CELLULES PEUVENT RÉGULER LES FILAMENTS
DE LEUR CYTOSQUELETTE
Un complexe protéique contenant de la tubuline γ est nécessaire
à la nucléation des microtubules
Dans les cellules animales, les microtubules émanent du centrosome
La nucléation des filaments d’actine s’effectue souvent au niveau
de la membrane plasmique
Le mécanisme de nucléation influence l’organisation des filaments
sur une grande échelle
Des protéines qui se fixent sur les sous-unités libres modifient
l’élongation des filaments
Des protéines peuvent réguler la longueur et le comportement cinétique
des filaments d’actine et des microtubules en les coupant
Les protéines qui se fixent sur les côtés des filaments peuvent soit
les stabiliser, soit les déstabiliser
Les protéines qui interagissent avec les extrémités des filaments peuvent
modifier de façon spectaculaire la dynamique de ces derniers
Différents types de protéines modifient les propriétés des extrémités
de microtubules qui poussent rapidement
Dans les cellules, les filaments sont organisés en structures de plus
en plus grandes
Les filaments intermédiaires s’entrecroisent et forment des faisceaux
résistants
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22/11/10 16:29
Sommaire détaillé
xix
Des protéines de liaison croisée ayant des propriétés distinctes
organisent des assemblages de filaments d’actine différents
La filamine et la spectrine forment des réseaux de filaments d’actine
Les éléments du cytosquelette forment de nombreuses attaches à la
membrane plasmique
Résumé
LA PHASE S
1006
1008
1009
1010
MOTEURS MOLÉCULAIRES
1010
LA MITOSE
Les protéines motrices basées sur l’actine font partie de la superfamille
des myosines
Il y a deux types de protéines motrices des microtubules : les kinésines
et les dynéines
Les similitudes structurelles de la myosine et de la kinésine indiquent
une origine évolutive commune
Les protéines motrices génèrent des forces en couplant l’hydrolyse
de l’ATP à des modifications de conformation
La cinétique des protéines motrices est adaptée aux fonctions de la
cellule
Les protéines motrices permettent le transport intracellulaire des
organites entourés d’une membrane
Le cytosquelette localise des molécules d’ARN spécifiques
Les cellules régulent la fonction des protéines motrices
Résumé
1011
1014
1015
1016
1020
1021
1022
1023
1025
CYTOSQUELETTE ET COMPORTEMENT CELLULAIRE
1025
La contraction musculaire dépend du glissement de la myosine II
et des filaments d’actine
Une augmentation soudaine de la concentration cytosolique en Ca2+
initie la contraction musculaire
Le muscle cardiaque est une machine construite avec précision
Les cils et les flagelles sont des structures mobiles formées de
microtubules et de dynéines
La construction du fuseau mitotique se fait grâce à la dynamique
des microtubules et aux interactions avec de nombreuses
protéines motrices
De nombreuses cellules peuvent ramper sur un support solide
La protrusion de la membrane plasmique est actionnée par la
polymérisation de l’actine
L’adhésion et la traction cellulaires permettent aux cellules
d’avancer
Les membres de la famille de protéines Rho provoquent des
réarrangements importants du cytosquelette d’actine
Des signaux extracellulaires activent les trois membres de la famille
de protéines Rho
Des signaux externes peuvent dicter la direction de la migration
cellulaire
La communication entre les microtubules et le cytosquelette d’actine
coordonne la polarisation et la locomotion de la cellule entière
La spécialisation morphologique complexe des neurones dépend
du cytosquelette
Résumé
Problèmes
Références
Chapitre 17 Cycle cellulaire
1026
1028
1031
1031
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1040
LA CYTOCINÈSE
1043
L’actine et la myosine II de l’anneau contractile produisent l’énergie
nécessaire à la cytocinèse
L’activation locale de RhoA déclenche l’assemblage et la contraction
de l’anneau contractile
Les microtubules du fuseau mitotique déterminent le plan de division
de la cellule animale
Le phragmoplaste guide la cytocinèse des végétaux supérieurs
Des organites entourés de membranes doivent être distribués
aux cellules filles pendant la cytocinèse
Certaines cellules repositionnent leur fuseau pour se diviser
asymétriquement
La mitose peut avoir lieu sans cytocinèse
La phase G1 est un état stable d’inactivité des Cdk
Résumé
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1053
Le cycle cellulaire des eucaryotes est divisé en quatre phases
Le contrôle du cycle cellulaire est identique pour tous les eucaryotes
Le contrôle du cycle cellulaire peut être disséqué génétiquement
par l’analyse de levures mutantes
Le contrôle du cycle cellulaire peut être analysé biochimiquement
chez les embryons d’animaux
Le contrôle du cycle cellulaire peut être étudié sur des cellules de
mammifère en culture
La progression du cycle cellulaire peut être étudiée de différentes
façons
Résumé
LE SYSTÈME DE CONTRÔLE DU CYCLE CELLULAIRE
Le système de contrôle du cycle cellulaire déclenche les événements
majeurs du cycle cellulaire
Le système de contrôle du cycle cellulaire dépend de protéine-kinases
dépendantes des cyclines (Cdk) qui sont activées cycliquement
Une phosphorylation inhibitrice et des protéines inhibitrices de Cdk
(CKI) peuvent supprimer l’activité Cdk
Le système de contrôle du cycle cellulaire dépend d’une protéolyse
cyclique
Le contrôle du cycle cellulaire dépend aussi de la régulation de la
transcription
Le système de contrôle du cycle cellulaire fonctionne comme un réseau
d’interrupteurs biochimiques
Résumé
M-Cdk conduit l’entrée en mitose
La déphosphorylation active M-Cdk au commencement de la mitose
Les condensines aident à configurer les chromosomes dupliqués
pour leur séparation
Le fuseau mitotique est une machinerie à base de microtubules
Des protéines motrices dépendantes des microtubules dirigent
l’assemblage et le fonctionnement du fuseau mitotique
Deux mécanismes collaborent à l’assemblage
d’un fuseau mitotique bipolaire
La duplication du centrosome se produit tôt dans le cycle cellulaire
L’assemblage du fuseau pendant la prophase est initié par M-Cdk
Dans les cellules animales, l’assemblage du fuseau ne peut s’achever
qu’après la rupture de l’enveloppe nucléaire
L’instabilité des microtubules augmente fortement au cours de la
mitose
Les chromosomes de mitose facilitent l’assemblage d’un fuseau
bipolaire
Les kinétochores attachent les chromatides sœurs au fuseau
La bi-orientation est effectuée par tâtonnements
Des forces multiples déplacent les chromosomes sur le fuseau
Le complexe APC/C déclenche la séparation des chromatides sœurs
et l’achèvement de la mitose
Les chromosomes non attachés bloquent la séparation des chromatides
sœurs : le point de contrôle de l’assemblage du fuseau
Les chromosomes se séparent au cours de l’anaphase A et B
Les chromosomes séparés sont empaquetés dans les noyaux fils
à la télophase
La méiose est une forme particulière de division nucléaire impliquée
dans la reproduction sexuée
Résumé
1041
1045
VUE D’ENSEMBLE DU CYCLE CELLULAIRE
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S-Cdk initie la réplication de l’ADN une fois par cycle
La duplication des chromosomes nécessite la duplication des
structures chromatiniennes
Les cohésines maintiennent ensemble les deux chromatides sœurs
Résumé
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1054
1056
CONTRÔLE DE LA DIVISION ET DE LA CROISSANCE
CELLULAIRE
1056
Les agents mitogènes stimulent la division cellulaire
Les cellules peuvent retarder leur division en entrant dans un état
spécialisé de non-division
Les mitogènes stimulent les activités des complexes G1-Cdk et
G1/S-Cdk
Un dommage de l’ADN bloque la division cellulaire : la réponse aux
dommages de l’ADN
De nombreuses cellules humaines ont une limitation interne du
nombre de divisions cellulaires qu’elles peuvent subir
Des signaux de prolifération anormaux entraînent l’arrêt du cycle
ou l’apoptose, excepté dans les cellules cancéreuses
La croissance des organismes et des organes dépend de la croissance
cellulaire
Les cellules qui prolifèrent coordonnent généralement leur croissance
et leur division
Les cellules avoisinantes rivalisent pour capter les protéines
extracellulaires de signalisation
Les animaux contrôlent leur masse cellulaire totale par des
mécanismes inconnus
Résumé
Problèmes
Références
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Sommaire détaillé
Chapitre 18 Apoptose
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La mort cellulaire programmée élimine les cellules indésirables
Les cellules en apoptose sont reconnaissables biochimiquement
L’apoptose dépend d’une cascade de réactions protéolytiques
intracellulaires médiée par les caspases
Les récepteurs de mort situés à la surface de la cellule activent la voie
extrinsèque de l’apoptose
La voie intrinsèque de l’apoptose repose sur les mitochondries
Les protéines Bcl2 contrôlent la voie intrinsèque de l’apoptose
Les IAP inhibent les caspases
Les facteurs de survie extracellulaires inhibent l’apoptose par
différents moyens
Qu’elle soit excessive ou insuffisante, l’apoptose peut contribuer
à des maladies
Résumé
Problèmes
Références
Chapitre 19 Jonctions cellulaires, adhésion
cellulaire et matrice extracellulaire
Les cadhérines sont les intermédiaires de l’adhésion intercellulaire
dépendante de Ca2+ chez tous les animaux
La superfamille des cadhérines des vertébrés comprend des centaines
de protéines différentes dont beaucoup ont des fonctions de
signalisation
Les cadhérines servent d’intermédiaire dans l’adhésion homophile
L’adhésion intercellulaire sélective permet à des cellules
de vertébrés dissociées de se rassembler en tissus organisés
Les cadhérines contrôlent le regroupement sélectif des cellules
Twist contrôle les transitions entre épithélium et mésenchyme
Les caténines relient les cadhérines classiques au cytosquelette
d’actine
Les jonctions adhérentes coordonnent la mobilité dépendante de
l’actine des cellules adjacentes
Les desmosomes donnent une force mécanique aux épithéliums
Les jonctions intercellulaires envoient des signaux à l’intérieur de la
cellule
Les sélectines sont les intermédiaires transitoires de l’adhésion
intercellulaire dans le courant sanguin
Des membres de la superfamille protéique des immunoglobulines
sont les intermédiaires d’une adhésion intercellulaire indépendante
de Ca2+
De nombreux types de molécules d’adhésion cellulaire agissent en
parallèle pour créer une synapse
Des protéines d’échafaudage organisent les complexes de jonction
Résumé
Les jonctions serrées forment une soudure entre les cellules et une
barrière entre les domaines membranaires
Les protéines d’échafaudage des complexes de jonction jouent un
rôle clé dans le contrôle de la prolifération cellulaire
Les jonctions intercellulaires et la lame basale gouvernent la polarité
apico-basale de l’épithélium
Un système de signalisation séparé contrôle la polarité du plan
cellulaire
Résumé
LES PASSAGES INTERCELLULAIRES : LES JONCTIONS
COMMUNICANTES ET LES PLASMODESMES
Les jonctions communicantes associent les cellules à la fois
électriquement et métaboliquement
Un connexon de jonctions communicantes est constitué de six
sous-unités de connexines transmembranaires
Les fonctions des jonctions de type gap sont variées
Les cellules peuvent contrôler la perméabilité de leurs jonctions
communicantes
Chez les végétaux, les plasmodesmes remplissent de nombreuses
fonctions similaires à celles des jonctions de type gap
Résumé
LA LAME BASALE
Des lames basales sont sous-jacentes à tous les épithéliums et
entourent certains types cellulaires non épithéliaux
La laminine est la composante principale de la lame basale
Le collagène de type IV donne à la lame basale sa force élastique
La lame basale a des fonctions variées
Résumé
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CADHÉRINES ET ADHÉSION INTERCELLULAIRE
JONCTIONS SERRÉES ET ORGANISATION
DES ÉPITHÉLIUMS
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INTÉGRINES ET ADHÉSION CELLULE-MATRICE
Les intégrines sont des hétérodimères transmembranaires qui se
lient au cytosquelette
Les intégrines peuvent passer d’une conformation active à une
conformation inactive
Des anomalies des intégrines sont responsables de nombreuses
maladies génétiques
Des amas d’intégrines forment des adhésions fortes
Les fixations à la matrice extracellulaire se font par l’intermédiaire
des intégrines et contrôlent la prolifération et la survie
cellulaire
Les intégrines recrutent des protéines de signalisation aux sites
d’adhésion entre cellule et substrat
Les intégrines peuvent produire des effets intracellulaires localisés
Résumé
LA MATRICE EXTRACELLULAIRE
DES TISSUS CONJONCTIFS ANIMAUX
La matrice extracellulaire est produite et orientée par les cellules
qui l’habitent
Les chaînes de glycosaminoglycanes (GAG) occupent beaucoup
d’espace et forment des gels hydratés
L’acide hyaluronique est un bouche-trou qui facilite la migration
cellulaire au cours de la morphogenèse et de la réparation
des tissus
Les protéoglycanes sont composés de chaînes de GAG liées de façon
covalente à un noyau protéique
Les protéoglycanes peuvent contrôler les activités des protéines
sécrétées
Les protéoglycanes de la surface cellulaire agissent comme des
corécepteurs
Les collagènes sont les principales protéines de la matrice
extracellulaire
Les chaînes de collagène subissent une série de modifications posttraductionnelles
Les propeptides sont éliminés du procollagène après sa sécrétion,
pour permettre l’assemblage des fibrilles
Les collagènes sécrétés associés aux fibrilles aident à organiser les
fibrilles
Les cellules facilitent l’organisation des fibrilles de collagène qu’elles
sécrètent en exerçant une tension sur la matrice
L’élastine donne aux tissus leur élasticité
La fibronectine est une protéine extracellulaire qui aide les cellules
à s’attacher à la matrice
Les tensions exercées par les cellules contrôlent l’assemblage des
fibrilles de fibronectine
La fibronectine se lie aux intégrines par l’intermédiaire d’un
motif RGD
Les cellules doivent pouvoir dégrader la matrice aussi bien que la
produire
La dégradation de la matrice est localisée à la proximité des cellules
Résumé
LA PAROI CELLULAIRE DES VÉGÉTAUX
1158
La composition de la paroi cellulaire dépend du type cellulaire
La force élastique de la paroi cellulaire permet aux cellules
végétales de développer une pression de turgescence
La paroi cellulaire primaire est constituée de microfibrilles de
cellulose entrelacées dans un réseau de polysaccharides
pectiques
Les dépôts orientés sur les parois contrôlent la croissance
des cellules végétales
Les microtubules orientent les dépôts de paroi cellulaire
Résumé
Problèmes
Références
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Chapitre 20 Cancer
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LE CANCER EST UN PROCESSUS MICRO-ÉVOLUTIF
Les cellules cancéreuses se reproduisent sans restriction et
colonisent les autres tissus
La plupart des cancers dérivent d’une seule cellule anormale
Les cellules cancéreuses contiennent des mutations somatiques
Une seule mutation ne suffit pas à provoquer un cancer
Les cancers se développent progressivement à partir de cellules de
plus en plus aberrantes
Les cancers du col de l’utérus sont prévenus par une détection
précoce
L’évolution tumorale implique des cycles successifs de mutations
aléatoires transmissibles suivies de sélection naturelle
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Sommaire détaillé
Les modifications épigénétiques qui s’accumulent dans les cellules
cancéreuses impliquent les structures transmissibles de la
chromatine et la méthylation de l’ADN
Les cellules cancéreuses humaines sont génétiquement instables
La croissance cancéreuse dépend souvent d’une anomalie du
contrôle de la mort ou de la différenciation cellulaire, ou des
deux
Les cellules cancéreuses présentent habituellement une réponse
altérée aux dommages de l’ADN et à d’autres formes de stress
Les cellules cancéreuses humaines échappent à la limite programmée
de leur prolifération cellulaire
Une petite population de cellules souches cancéreuses entretient
de nombreuses tumeurs
Comment naissent les cellules souches cancéreuses ?
Pour métastaser, les cellules cancéreuses malignes doivent survivre
et proliférer dans un environnement étranger
Les tumeurs induisent l’angiogenèse
Le microenvironnement de la tumeur influence le développement
du cancer
De nombreuses propriétés contribuent généralement à la croissance
cancéreuse
Résumé
PRÉVENTION DE CERTAINES CAUSES DE CANCER
De nombreux agents responsables de cancers lèsent l’ADN, mais
pas tous
Les initiateurs de tumeurs endommagent l’ADN ; les promoteurs
de tumeurs ne le font pas
Des virus et d’autres infections provoquent une proportion
significative de cancers chez l’homme
L’identification des carcinogènes laisse entrevoir des méthodes
pour éviter les cancers
Résumé
DÉCOUVERTE DES GÈNES CRITIQUES DU CANCER
Des méthodes différentes sont utilisées pour identifier des mutations
avec gain de fonction et avec perte de fonction
Les rétrovirus peuvent être des vecteurs d’oncogènes qui altèrent le
comportement cellulaire
Des recherches d’oncogènes différentes ont convergé sur le même
gène Ras
Des études de syndromes rares de cancers héréditaires ont permis
d’identifier les premiers gènes suppresseurs de tumeur
Les gènes suppresseurs de tumeur peuvent aussi être identifiés à partir
d’études de tumeurs
Des mécanismes génétiques et épigénétiques peuvent inactiver les
gènes suppresseurs de tumeurs
Différentes voies rendent hyperactifs les gènes mutés lors de cancer
La chasse aux gènes critiques du cancer se poursuit
Résumé
BASES MOLÉCULAIRES DU COMPORTEMENT
DES CELLULES CANCÉREUSES
Les études menées sur des embryons en développement et des souris
modifiées génétiquement ont aidé à découvrir les fonctions des
gènes critiques du cancer
Un grand nombre de gènes critiques du cancer régulent
la division cellulaire
Des voies différentes interviennent dans la dérégulation
de la progression du cycle cellulaire et la dérégulation
de la croissance cellulaire dans les cellules cancéreuses
Les mutations des gènes qui régulent l’apoptose permettent aux
cellules cancéreuses de survivre quand elles ne le devraient pas
Les mutations du gène p53 permettent à de nombreuses cellules
cancéreuses de survivre et de proliférer malgré des lésions de
leur ADN
Les virus cancérigènes à ADN bloquent l’action de protéines clés
suppresseurs de tumeur
Les modifications des cellules tumorales qui conduisent aux métastases
restent encore mystérieuses
Les cancers colorectaux se développent lentement via une succession
de modifications visibles
Un petit nombre de lésions génétiques clés sont communes à une
grande partie des cancers colorectaux
Certains cancers colorectaux présentent des anomalies de la réparation
des mésappariements d’ADN
Il est souvent possible de corréler les étapes de la progression
tumorale à des mutations spécifiques
Chaque cas de cancer est caractérisé par son propre ensemble
de lésions génétiques
Résumé
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TRAITEMENT DU CANCER : PRÉSENT ET FUTUR
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Chercher à guérir le cancer est difficile mais non sans espoir
Les traitements traditionnels exploitent l’instabilité génétique
et la perte du contrôle du cycle cellulaire des cellules
cancéreuses
De nouveaux médicaments peuvent exploiter les causes spécifiques
de l’instabilité génétique d’une tumeur
L’instabilité génétique aide les cancers à devenir progressivement
résistants aux traitements
De nouveaux traitements se développent à partir de nos
connaissances sur la biologie du cancer
On peut concevoir des petites molécules pour inhiber spécifiquement
des protéines oncogéniques
Les vaisseaux sanguins des tumeurs sont des cibles logiques
pour une thérapeutique anticancéreuse
De nombreux cancers peuvent être traités en augmentant la réponse
immunitaire contre une tumeur spécifique
Les traitements utilisant simultanément plusieurs médicaments
présentent des avantages potentiels dans le traitement du
cancer
Les profils d’expression génique devraient permettre de classer
les cancers en sous-groupes intéressants sur le plan clinique
Il reste encore beaucoup à faire
Résumé
Problèmes
Références
Chapitre 21 Reproduction sexuée : méiose,
cellules germinales et fécondation
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GÉNÉRALITÉS SUR LA REPRODUCTION SEXUÉE
Chez les eucaryotes supérieurs, la phase haploïde est brève
La méiose crée la diversité génétique
La reproduction sexuée confère un avantage sélectif aux organismes
Résumé
MÉIOSE
Les gamètes sont produits par deux divisions méiotiques
Les chromosomes homologues dupliqués (et les chromosomes sexuels)
s’apparient au début de la prophase I
L’appariement des homologues aboutit à la formation du complexe
synaptonémal
La ségrégation des homologues dépend de protéines associées aux
kinétochores, spécifiques de la méiose
Les erreurs sont fréquentes au cours de la méiose
Les crossing-over intensifient le réassortiment génétique
Le crossing-over est très régulé
Chez les mammifères, la régulation de la méiose est différente chez
les mâles et chez les femelles
Résumé
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CELLULES GERMINALES PRIMORDIALES ET DÉTERMINATION
DU SEXE CHEZ LES MAMMIFÈRES
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Dans l’embryon de mammifère, des signaux provenant des cellules
voisines désignent les CGP
Les CGP migrent dans les gonades en développement
Le gène Sry détermine le développement de la gonade des
mammifères en testicule
De nombreux aspects de la reproduction sexuée varient énormément
dans les différentes espèces animales
Résumé
OVOCYTES
Un œuf est une cellule très spécialisée capable d’assurer son
développement de façon indépendante
L’ovogenèse procède par étapes
La croissance des ovocytes repose sur des mécanismes particuliers
La plupart des ovocytes humains meurent sans arriver à maturité
Résumé
SPERMATOZOÏDES
1249
1269
Les spermatozoïdes sont très adaptés pour transmettre leur ADN
à l’ovule
La spermatogenèse est un phénomène continu dans le testicule des
mammifères
Le spermatozoïde se développe sous forme de syncytium
Résumé
FÉCONDATION
La capacitation du spermatozoïde éjaculé se fait dans le tractus
génital féminin
Le spermatozoïde capacité se lie à la zone pellucide et subit la
réaction acrosomique
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Sommaire détaillé
Le mécanisme de la fusion spermatozoïde-ovule est toujours inconnu
La fusion avec le spermatozoïde active l’ovule en augmentant le
Ca2+ cytosolique
La réaction corticale de l’œuf lui permet de n’être fécondé que par
un seul spermatozoïde
Le spermatozoïde fournit au zygote son génome et un centriole
FIV et ICSI ont révolutionné le traitement de la stérilité humaine
Résumé
Références
Chapitre 22 Développement des organismes
multicellulaires
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MÉCANISMES UNIVERSELS DU DÉVELOPPEMENT ANIMAL
Les animaux partagent certaines caractéristiques anatomiques
fondamentales
Les animaux multicellulaires sont enrichis en protéines qui servent
d’intermédiaires aux interactions cellulaires et à la régulation
génique
L’ADN régulateur définit le programme du développement
Les manipulations embryonnaires révèlent les interactions
entre les cellules
L’étude des animaux mutants permet d’identifier les gènes qui
contrôlent les processus du développement
Une cellule prend des décisions sur son développement bien avant
de présenter des modifications visibles
Les cellules se souviennent de valeurs positionnelles qui reflètent
leur localisation dans le corps
Des interactions inductives peuvent créer des différences ordonnées
entre des cellules initialement identiques
Une division cellulaire asymétrique peut engendrer deux cellules
filles différentes
Un rétrocontrôle positif peut créer une asymétrie là où il n’y en
avait pas
Le rétrocontrôle positif produit des schémas d’organisation, crée
des réponses en tout-où-rien et permet la mémoire
Un petit groupe de voies de signalisation, utilisé de façon répétitive,
contrôle l’organisation du développement
Les morphogènes sont des inducteurs de longue portée qui exercent
des effets graduels
Les inhibiteurs extracellulaires des molécules de signalisation
façonnent la réponse aux inducteurs
Des signaux de développement peuvent se propager à travers un
tissu de différentes manières
Des programmes intrinsèques à la cellule définissent souvent le
déroulement de son développement en fonction du temps
L’organisation initiale s’établit dans de petits champs de cellules
puis s’affine par induction séquentielle lors de la croissance
embryonnaire
Résumé
CAENORHABDITIS ELEGANS : LE DÉVELOPPEMENT
DANS LA PERSPECTIVE D’UNE CELLULE PRISE
INDIVIDUELLEMENT
Caenorhabditis elegans est anatomiquement simple
Le destin des cellules du nématode en développement peut être
prédit presque parfaitement
Les produits des gènes à effet maternel organisent la division
asymétrique de l’œuf
Une organisation progressivement plus complexe est engendrée
par des interactions intercellulaires
La microchirurgie et la génétique révèlent la logique du contrôle
du développement ; le clonage et le séquençage des gènes
révèlent ses mécanismes moléculaires
Avec le temps, les cellules modifient leur capacité de réponse
aux signaux de développement
Des gènes hétérochroniques contrôlent la chronologie du
développement
Les cellules ne comptent pas le nombre des divisions cellulaires
pour établir la chronologie de leur programme interne
Une partie du programme de développement s’accompagne de la
mort de certaines cellules par apoptose
Résumé
DROSOPHILA ET LA GÉNÉTIQUE MOLÉCULAIRE
DE LA FORMATION D’UN SCHÉMA : LA GENÈSE
DU PLAN CORPOREL
Le corps de l’insecte est construit sous forme d’une série d’unités
segmentaires
Drosophila commence son développement sous forme d’un
syncytium
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Les criblages génétiques ont défini des groupes de gènes
nécessaires aux aspects spécifiques du début de l’organisation
interne
Les interactions entre l’ovocyte et son environnement définissent
les axes de l’embryon : le rôle des gènes de polarité de l’œuf
Les gènes de signalisation dorso-ventrale créent un gradient d’une
protéine nucléaire régulatrice de gènes
Dpp et Sog établissent un deuxième gradient morphogène qui
affine l’organisation de la partie dorsale de l’embryon
L’axe dorso-ventral de l’insecte correspond à l’axe ventro-dorsal
des vertébrés
Trois classes de gènes de segmentation affinent l’organisation
maternelle antéropostérieure et subdivisent l’embryon
L’expression localisée des gènes de segmentation est régulée
par une hiérarchie des signaux de position
La nature modulaire de l’ADN régulateur permet aux gènes de
contrôler indépendamment de multiples fonctions
Les gènes de polarité, gap et pair-rule créent une organisation
transitoire qui est gardée en mémoire par d’autres gènes
Résumé
GÈNES DE SÉLECTION HOMÉOTIQUE
ET FORMATION DE L’AXE ANTÉROPOSTÉRIEUR
Le code Hox spécifie les différences antéropostérieures
Les gènes de sélection homéotique codent des protéines de liaison
à l’ADN qui interagissent avec d’autres protéines régulatrices
de gènes
Les gènes de sélection homéotique sont exprimés séquentiellement
selon leur ordre dans le complexe Hox
Le complexe Hox est porteur d’un enregistrement permanent
d’informations positionnelles
Chez les vertébrés aussi, l’axe antéropostérieur est contrôlé par les
gènes de sélection Hox
Résumé
1314
ORGANOGENÈSE ET FORMATION DES APPENDICES
1315
Les mutations somatiques conditionnelles et induites permettent
l’analyse des fonctions des gènes dans les stades avancés du
développement
Les parties du corps de la mouche adulte se développent depuis des
disques imaginaux
Les gènes de sélection homéotique sont essentiels pour la mémoire
des informations positionnelles dans les cellules du disque
imaginal
Des gènes régulateurs spécifiques définissent les cellules qui
formeront un appendice
Le disque de l’aile de l’insecte est divisé en compartiments
Quatre voies de signalisation familières s’associent pour former
l’organisation du disque de l’aile : Wingless, Hedgehog, Dpp et
Notch
La taille de chaque compartiment est régulée par des interactions
entre ses cellules
Des mécanismes similaires forment l’organisation des membres
des vertébrés
L’expression localisée de classes spécifiques de protéines régulatrices
de gènes anticipe la différenciation cellulaire
L’inhibition latérale isole des cellules mères sensorielles au sein des
agrégats proneuraux
L’inhibition latérale entraîne la descendance de la cellule sensorielle
mère vers des destins finaux différents
La polarité planaire des divisions asymétriques est contrôlée par la
signalisation via le récepteur Frizzled
Des divisions asymétriques de cellules souches produisent des
neurones supplémentaires dans le système nerveux central
La division asymétrique des neuroblastes permet la ségrégation
d’un inhibiteur de la division cellulaire dans une seule des cellules
filles
La signalisation par Notch régule l’organisation fine des types
cellulaires différenciés dans de nombreux tissus
Certains gènes régulateurs clés définissent un type cellulaire ;
d’autres peuvent activer le programme de création d’un
organe entier
Résumé
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MOUVEMENTS CELLULAIRES ET MISE EN FORME
DU CORPS DES VERTÉBRÉS
La polarité de l’embryon d’amphibien dépend de la polarité
de l’œuf
Le clivage produit de nombreuses cellules à partir d’une seule
La gastrulation transforme une balle creuse de cellules en une
structure à trois couches, pourvue d’un intestin primitif
Les mouvements de la gastrulation sont prévisibles avec précision
Des signaux chimiques déclenchent les processus mécaniques
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Sommaire détaillé
Des modifications actives du tassement cellulaire fournissent
la force qui actionne la gastrulation
Des modifications de l’organisation des molécules d’adhésion
cellulaire force les cellules à se réorganiser
La notochorde s’allonge, tandis que la plaque neurale s’enroule
pour former le tube neural
Un oscillateur de l’expression génique contrôle la segmentation
du mésoderme en somites
Un rétrocontrôle négatif retardé est peut-être à l’origine des
oscillations de l’horloge de segmentation
Les tissus embryonnaires sont envahis d’une façon strictement
contrôlée par les cellules en migration
La répartition des cellules migrantes dépend de facteurs de survie
autant que de signaux de guidage
L’asymétrie gauche-droite du corps des vertébrés dérive d’une
asymétrie moléculaire de l’embryon dans les premiers stades
de développement
Résumé
LA SOURIS
Le développement des mammifères commence par un préambule
spécifique
L’embryon de mammifère aux premiers stades de son
développement est hautement régulateur
Des cellules souches embryonnaires totipotentes peuvent être
obtenues à partir d’un embryon de mammifère
Les interactions entre l’épithélium et le mésenchyme engendrent
des structures tubulaires ramifiées
Résumé
DÉVELOPPEMENT NERVEUX
Des caractères différents sont assignés aux neurones selon le
moment et leur lieu de naissance
Le caractère assigné au neurone à sa naissance détermine les
connexions qu’il formera
Chaque axone ou dendrite s’allonge par le biais d’un cône de
croissance situé à son extrémité
Le cône de croissance pilote l’axone en développement le long
d’une voie définie avec précision in vivo
Les cônes de croissance peuvent modifier leur sensibilité pendant
leur déplacement
Les tissus cibles libèrent des facteurs neurotropes qui contrôlent
la croissance des cellules nerveuses et leur survie
La spécificité neuronale guide la formation de plans nerveux
ordonnés
Les axones des différentes régions de la rétine répondent
différemment à un gradient de molécules répulsives du tectum
L’organisation diffuse des connexions synaptiques est affinée par
des remodelages dépendant de l’activité
L’expérience modèle l’organisation des connexions synaptiques
dans le cerveau
La mémoire adulte et le remodelage des synapses lors du
développement pourraient dépendre de mécanismes
similaires
Résumé
DÉVELOPPEMENT DES VÉGÉTAUX
Arabidopsis sert d’organisme modèle pour la génétique moléculaire
des végétaux
Le génome d’Arabidopsis est riche en gènes de contrôle du
développement
Le développement embryonnaire commence par l’établissement
d’un axe racine-pousse, puis s’arrête dans la graine
Les méristèmes engendrent successivement les différentes parties
du végétal
Le développement du jeune plant dépend de signaux
environnementaux
Des signaux hormonaux à distance coordonnent les événements du
développement dans les différentes parties du végétal
La forme de chaque nouvelle structure dépend de divisions et
d’expansions cellulaires orientées
Chaque module du végétal croît à partir d’un groupe microscopique
de « primordia » situées dans le méristème
Le transport polarisé de l’auxine contrôle le schéma des primordia
dans le méristème
La signalisation cellulaire entretient le méristème
Des mutations régulatrices peuvent transformer la topologie d’un
végétal en modifiant le comportement cellulaire dans le
méristème
Le passage à la floraison dépend de signaux environnementaux
passés et présents
Les gènes de sélection homéotique spécifient les parties d’une fleur
Références
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Chapitre 23 Tissus spécialisés, cellules souches
et renouvellement tissulaire
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L’ÉPIDERME ET SON RENOUVELLEMENT
PAR LES CELLULES SOUCHES
Les cellules épidermiques forment une barrière stratifiée
imperméable à l’eau
Au cours de leur maturation, les cellules épidermiques expriment
successivement des gènes différents
L’épiderme est renouvelé par des cellules souches situées
dans la couche basale
Les deux cellules filles d’une cellule souche ne deviennent pas
obligatoirement différentes
La couche basale contient à la fois des cellules souches et des cellules
transitoires amplificatrices
Les cellules transitoires amplificatrices font partie d’une stratégie
de contrôle de la croissance
Les cellules souches de certains tissus gardent leurs brins d’ADN
originels
La vitesse de division des cellules souches peut augmenter de
manière spectaculaire quand il existe un besoin urgent de
nouvelles cellules
Le renouvellement de l’épiderme est gouverné par de nombreux
signaux interagissant entre eux
La glande mammaire subit des cycles de développement et de
régression
Résumé
ÉPITHÉLIUMS SENSORIELS
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Les neurones olfactifs sensoriels sont continuellement renouvelés
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Les cellules auditives ciliées doivent durer toute la vie
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La majorité des cellules permanentes renouvellent leurs constituants :
les cellules photoréceptrices de la rétine
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Résumé
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VOIES AÉRIENNES ET INTESTIN
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Des types cellulaires adjacents collaborent dans les alvéoles des
poumons
Cellules caliciformes, cellules ciliées et macrophages collaborent
pour entretenir la propreté des voies aériennes
Le revêtement de l’intestin grêle s’autorenouvelle plus vite que
n’importe quel autre tissu
La voie de signalisation Wnt entretient la population de cellules
souches intestinales
La signalisation par Notch contrôle la diversification des cellules
intestinales
La signalisation par Éphrine-Eph contrôle les migrations des cellules
épithéliales de l’intestin
Les voies de signalisation Wnt, Hedgehog, PDGF, et BMP se
combinent pour délimiter la niche des cellules souches
Le foie fonctionne comme une interface entre l’appareil digestif
et le sang
La perte de cellules hépatiques stimule la prolifération des cellules
hépatiques
Le renouvellement des tissus ne dépend pas forcément des cellules
souches : cellules sécrétant l’insuline du pancréas
Résumé
VAISSEAUX SANGUINS, LYMPHATIQUES
ET CELLULES ENDOTHÉLIALES
Les cellules endothéliales tapissent tous les vaisseaux sanguins et
lymphatiques
Les cellules endothéliales des extrémités sont les pionnières de
l’angiogenèse
Différents types de cellules endothéliales forment différents types
de vaisseaux
Les tissus ayant besoin d’un apport sanguin libèrent VEGF ; la
signalisation par Notch entre les cellules endothéliales régule
la réponse
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SANGUINES
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Des signaux en provenance des cellules endothéliales contrôlent
le recrutement de péricytes et de cellules musculaires lisses pour
former la paroi des vaisseaux
Résumé
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RENOUVELLEMENT PAR DES CELLULES SOUCHES
MULTIPOTENTES : LA FORMATION DES CELLULES
SANGUINES
Il existe trois catégories principales de globules blancs : les
granulocytes, les monocytes et les lymphocytes
La production de chaque type de cellule sanguine dans la moelle
osseuse est contrôlée individuellement
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Sommaire détaillé
La moelle osseuse contient des cellules souches hématopoïétiques
Une cellule souche multipotente donne naissance à toutes les
catégories de cellules sanguines
La détermination est un processus qui a lieu par étape
Les divisions des cellules précurseurs engagées amplifient le nombre
de cellules sanguines spécialisées
Les cellules souches dépendent de signaux de contact venant des
cellules stromales
Les facteurs qui régulent l’hématopoïèse peuvent être analysés en
culture
L’érythropoïèse dépend de l’hormone érythropoïétine
De multiples CSF influent sur la production des neutrophiles et des
macrophages
Le comportement d’une cellule hématopoïétique dépend en partie
du hasard
La régulation de la survie d’une cellule est aussi importante que
celle de sa prolifération
Résumé
GENÈSE, MODULATION ET RÉGÉNÉRATION
DU MUSCLE SQUELETTIQUE
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La fusion des myoblastes donne naissance aux nouvelles cellules du
muscle squelettique
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Les cellules musculaires peuvent moduler leurs propriétés en
modifiant les isoformes des protéines qu’elles contiennent
1465
Les fibres musculaires squelettiques sécrètent de la myostatine
pour limiter leur propre croissance
1465
Certains myoblastes persistent en tant que cellules souches
quiescentes chez l’adulte
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Résumé
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LES FIBROBLASTES ET LEURS TRANSFORMATIONS :
LA FAMILLE DES CELLULES DU TISSU CONJONCTIF
Les fibroblastes modifient leur caractère en réponse à des
signaux chimiques
La matrice extracellulaire pourrait agir sur la différenciation des
cellules du tissu conjonctif en modifiant la forme et l’ancrage
des cellules
Les ostéoblastes sécrètent la matrice osseuse
La plupart des os sont construits autour d’un modèle de cartilage
L’os est continuellement remodelé par les cellules qu’il contient
Les ostéoclastes sont contrôlés par des signaux en provenance des
ostéoblastes
Les cellules adipeuses peuvent se développer à partir des
fibroblastes
La leptine sécrétée par les adipocytes opère un rétrocontrôle pour
réguler l’ingestion de nourriture
Résumé
INGÉNIERIE DES CELLULES SOUCHES
Les cellules souches hématopoïétiques peuvent être utilisées pour
remplacer des cellules sanguines malades par des cellules saines
Des populations de cellules souches épidermiques peuvent être
multipliées en culture et servir à la réparation tissulaire
Les cellules souches nerveuses peuvent être manipulées en culture
Les cellules souches nerveuses peuvent repeupler le système nerveux
central
Les cellules souches du corps adulte présentent une spécificité
tissulaire
Les cellules ES peuvent être utilisées pour former n’importe quelle
partie du corps
Les cellules ES spécifiques d’un patient pourraient résoudre le
problème du rejet immunitaire
Les cellules ES sont aussi utiles à la découverte de médicaments
et à l’analyse des maladies
Résumé
Références
Chapitre 24 Agents pathogènes, infection
et immunité innée
INTRODUCTION AUX AGENTS PATHOGÈNES
Les agents pathogènes ont développé des mécanismes spécifiques
pour interagir avec l’hôte
Les signes et les symptômes d’une infection peuvent être provoqués
par l’agent pathogène ou par les réponses de l’hôte
D’un point de vue phylogénétique, les agents pathogènes sont
variés
Les bactéries pathogènes sont porteuses de gènes de virulence
spécifiques
Les champignons et les protozoaires parasites ont des cycles de vie
complexes avec des formes multiples
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Tous les aspects de la propagation des virus dépendent de la
machinerie de la cellule hôte
Les prions sont des protéines infectieuses
Les agents des maladies infectieuses sont liés au cancer, aux maladies
cardiaques et à d’autres maladies chroniques
Résumé
BIOLOGIE CELLULAIRE DE L’INFECTION
Les germes pathogènes traversent les barrières protectrices pour
coloniser l’hôte
Les agents pathogènes qui colonisent les épithéliums doivent éviter
leur élimination par l’hôte
Les agents pathogènes intracellulaires ont des mécanismes qui leur
permettent d’entrer et de sortir de la cellule hôte
Les particules virales se fixent sur des molécules exposées à la surface
de la cellule hôte
Les particules virales entrent dans les cellules hôtes par fusion
membranaire, formation d’un pore ou rupture membranaire
Les bactéries entrent dans les cellules hôtes par phagocytose
Les parasites eucaryotes intracellulaires envahissent activement
les cellules hôtes
De nombreux agents pathogènes modifient le transport membranaire
dans la cellule hôte
Les virus et les bactéries utilisent le cytosquelette de la cellule hôte
pour leur déplacement intracellulaire
Les virus prennent la direction du métabolisme de la cellule hôte
Les agents pathogènes peuvent modifier le comportement
de l’organisme hôte pour faciliter leur dissémination
Les agents pathogènes évoluent rapidement
Les variations antigéniques d’un agent pathogène se font par des
mécanismes multiples
Les erreurs de réplication dominent l’évolution virale
Les agents pathogènes résistants aux médicaments posent un
problème croissant
Résumé
BARRIÈRES CONTRE L’INFECTION ET SYSTÈME
IMMUNITAIRE INNÉ
Les surfaces épithéliales et les défensines aident à éviter l’infection
Les cellules humaines reconnaissent des caractéristiques conservées
des agents pathogènes
L’activation du complément marque les agents pathogènes en vue
de la phagocytose ou de la lyse
Les protéines de type Toll et les protéines NOD forment une ancienne
famille de récepteurs de reconnaissance du motif
Les cellules phagocytaires recherchent, phagocytent et détruisent
les agents pathogènes
Les macrophages activés contribuent à la réponse inflammatoire
sur le site d’infection
Les cellules infectées par un virus prennent des mesures drastiques
pour éviter sa réplication
Les cellules tueuses naturelles induisent le suicide des cellules
infectées par un virus
Les cellules dendritiques sont un lien entre les systèmes immunitaires
inné et adaptatif
Références
Résumé
Chapitre 25 Le système immunitaire
adaptatif
LYMPHOCYTES ET BASES CELLULAIRES
DE L’IMMUNITÉ ADAPTATIVE
1487
Les lymphocytes sont nécessaires à l’immunité adaptative
Les systèmes immunitaires, inné et adaptatif, agissent ensemble
Les lymphocytes B se développent dans la moelle osseuse, les
lymphocytes T dans le thymus
Le système immunitaire adaptatif agit par sélection clonale
La plupart des antigènes activent beaucoup de clones de
lymphocytes différents
La mémoire immunologique implique à la fois l’expansion clonale
et la différenciation des lymphocytes
La tolérance immunologique assure que les antigènes propres
à un individu ne soient pas attaqués
Les lymphocytes circulent continuellement entre les organes
lymphoïdes périphériques
Résumé
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LYMPHOCYTES B ET ANTICORPS
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Les lymphocytes B produisent des anticorps à la fois sous forme
de récepteurs cellulaires de surface et d’anticorps sécrétés
Un anticorps typique possède deux sites identiques de liaison
à l’antigène
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Sommaire détaillé
Une molécule d’anticorps est composée de chaînes légères et de
chaînes lourdes
Il existe cinq classes de chaînes lourdes, qui ont chacune des
propriétés biologiques différentes
La force de l’interaction anticorps-antigène dépend du nombre et de
l’affinité des sites de liaison à l’antigène
Les chaînes légères et lourdes sont composées de régions constantes
et de régions variables
Les chaînes légères et les chaînes lourdes sont composées de
domaines Ig répétitifs
Le site de liaison à l’antigène est construit à partir de boucles
hypervariables
Résumé
CRÉATION DE LA DIVERSITÉ DES ANTICORPS
Les gènes des anticorps sont assemblés à partir de segments géniques
séparés pendant le développement des lymphocytes B
La réunion imprécise des segments géniques augmente fortement
la diversité des régions V
Le contrôle de la recombinaison V(D)J assure la monospécificité
des lymphocytes B
L’hypermutation somatique entraînée par les antigènes affine
les réponses des anticorps
Les lymphocytes B peuvent modifier la classe d’anticorps qu’ils
produisent
Résumé
LYMPHOCYTES T ET PROTÉINES CMH
Les récepteurs des lymphocytes T (TCR) sont des hétérodimères
de type anticorps
La présentation de l’antigène par les cellules dendritiques peut soit
activer les lymphocytes T, soit les rendre tolérants
Les lymphocytes T cytotoxiques effecteurs conduisent les cellules
cibles infectées au suicide
Les lymphocytes T effecteurs helper facilitent l’activation des autres
cellules des systèmes immunitaires inné et adaptatif
Les lymphocytes T régulateurs inhibent l’activité des autres
lymphocytes T
Les lymphocytes T reconnaissent les peptides étrangers
liés aux protéines CMH
Les protéines CMH ont été identifiées au cours des réactions de
transplantation, avant même que leur fonction ne soit connue
Les protéines CMH de classe I et de classe II sont des hétérodimères
de structure similaire
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Une protéine CMH fixe un peptide et interagit avec un récepteur
d’un lymphocyte T
Les protéines CMH dirigent les lymphocytes T vers leurs cibles
appropriées
Les corécepteurs CD4 et CD8 se fixent sur des parties invariables
des protéines CMH
Les lymphocytes T cytotoxiques répondent à des fragments de
protéines cytosoliques étrangères, associés aux protéines CMH
de classe I
Les lymphocytes T helper répondent à des fragments de protéines
étrangères endocytés et associés aux protéines CMH de classe II
Les lymphocytes T potentiellement utiles sont sélectionnés
positivement dans le thymus
La plupart des lymphocytes T cytotoxiques et helper en
développement qui pourraient être activés par les peptides
non étrangers sont éliminés dans le thymus
Certaines protéines spécifiques d’organes sont exprimées de façon
ectopique dans la médullaire du thymus
La fonction des protéines CMH permet d’expliquer leur
polymorphisme
Résumé
LYMPHOCYTES T HELPER ET ACTIVATION
DES LYMPHOCYTES
Les cellules dendritiques activées utilisent plusieurs mécanismes
pour activer les lymphocytes T
L’activation des lymphocytes T est contrôlée par un rétrocontrôle
négatif
Les sous-classes de lymphocytes T helper effecteurs déterminent
la nature de la réponse immunitaire adaptative
Les lymphocytes TH1 activent les macrophages infectés et
stimulent une réponse inflammatoire
La fixation d’un antigène à un récepteur de lymphocytes B (BCR)
n’est qu’une étape de l’activation des lymphocytes B
Les lymphocytes T helper spécifiques de l’antigène sont essentiels
pour l’activation de la plupart des lymphocytes B
Une classe spéciale de lymphocytes B reconnaît des antigènes
indépendants des lymphocytes T
Les molécules de reconnaissance immunitaire appartiennent
à l’ancienne superfamille des Ig
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